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Quand, dans les années 50, un ingénieur en Mécanique, s'exprimant au sujet de l'Atlantide, évoque la notion de la Terre creuse.


I Introduction.

     Le 11/06/2011, nous avons reçu par la poste de notre grand ami Jacques M....un exemplaire du N° 16 de la revue intitulée aux "Carrefours de l'Histoire" de Déc. 1958 dont voici la copie de la couverture, et celle de la page du début de l'article sur l'Atlantide qui nous intéresse particulièrement, aujourd'hui:

  

II Genèse de l'affaire.


     Après le présentation d'usage de l'affaire de l'Atlantide qui on le sait, nous fut révélée par le grec Platon, au IV siècle avant J.C , dans son "Timé" et son "Critias", nous découvrons alors le passage suivant plutôt dense, et ardu à saisir :

     " Ce continent se serait effondré subitement dans les flots. La catastrophe est racontée par eux comme la plus naturelle du monde, la plus plausible en tout cas. I vient immédiatement à la raison que si ce cataclysme s'étaient vraimentproduit à l'endroit supposé, on pourrait aisément, de nos jours, en retrouver des vestiges à proximité des Açores et méme beaucoup au-dessous. Or, si nous consultons les cartes des "Grands Fonds Marins", nous sommes surpris de trouver, en cette partie de l'océan, au lieu des restes apparents d'un continent "englouti", une immense dépression de l'écorce terrestre, une "cuvette" dont la profondeur varie de 4 500 et 5 000 mètres (en moyenne) et atteint méme, en plusieurs endroits, 8 000 et 10 000 mètres. Donc, aucun vestige de l'Atlantide ! Nous sommes en mesure, au jourd'hui, d'affirrner, grâce aux progrès de la science, qu'il n'a jamais existé d'île aussi vaste entre l'Ancien et le Nouveau Continent. A l'époque où cette assertion était admise, on ignorait à peu près tout de l'écorce terrestre et, à plus forte raison, de l'écorce sous-marine. Il semblerait donc plus raisonnable - plus logique, surtout - de supposer que, il y a des milliers d'années, les deux continents, l'Ancien et le Nouveau, n'en formaient qu'un. En effet, si nous consïdérons une mappemonde, nous nous apercevons que, en dépit de auelques "déchets" demeurés à proximité de leurs c8tes, les deux continents sont découpés de façon telle qu'il suffit de les rapporocher pour les raccorder. Nous sommes ainsi conduits à réfuter la légende de l'engloutissement de l'Atlantide, contée par les auteurs les plus anciens, et la remplacer par l'hypothèse, beaucoup plus admissible, d'une soudaine "cassure" d'un même continent, cassure qui, selon toute probabilité (à en juger, répétons-le, par leur « découpage » ), a formé deux imnnenses territoires. Cette cassure, selon certains savants. aurait été provoquée par une formidable poussée de gaz dans ce qu'on a coutume d'appeler le "Foyer Central" de notre planète. M. Louis Pelletier prétend, lui, dans une bien curieuse déduction sur l'éclatement de la Terre au cours de son évolution, qu'un anneau, devenu son satellite (la Lune) a été lancé dans l'espace sous l'action - de la fantastique vitesse de rotation de notre globe (463 mètres par seconde), et aussi sous l'action de la force centrifuge. Tous les savants du monde sont aujourd'hui d'accord sur ce point."

     C'est alors que l'auteur Mr Jacques Faure de l'article, à notre grande surprise fait intervenir (ou bien ce sont les "Maîtres" qui préparaient déjà le terrain) l'ingénieur mécanicien, M. Godard sous une forme tout à fait hors normes, pour l'époque. ( Nous ne pensons pas que cet ingénieur ait eu en main à l'époque les ouvrages dont nous parleront plus bas) . Voilà de quoi il s'agit, et nous demandons au novice, qui entre par cet article pour la première fois dans le site ARTivision, de bien vouloir attacher sérieusement sa ceinture, car dès maintenant, à l'altitude où l'on va s'envoler, il risque d'y avoir de très fortes turbulences :

     "Un ingénieur-rnécanicien, M. Godard, qui a étudié le problème du point de vue strictement "mécanique", et comme s'il s'agissait d'un simple problème industriel, c'est-à-dire en tournant résolument le dos au domaine de l'hypothèse, suppose, lui, que le globe terrestre ne serait pas un "corps plein" de la densité moyenne de 5,52 ainsi qu'on l'enseigne généralement, mais un "CORPS CREUX", un segment métallo-sphérique relativement mince et FLEXIBLE, d'une épaisseur maximum de 800 kilomètres. (Note 1 du Webmaster : il la nomme plus bas la Métallosphère). I1 serait resté entouré de son ancien crassier d'écume de fusion, remanié d'abord par le Déluge et ensuite brisé ; on l'appelle la "Lithosphère". La caractéristique essentielle de la Lithosphère, c'est de constituer un "puzzle" sphérique dont les éléments, (les éclats), aujourd'hui dispersés, étaient encore réunis à l'époque Crétacé (Note 2 du Webmaster : Dommage que l'on ne nous présente pas ici un schéma explicatif. Nous demandons donc avec déférence à tout internaute qui aurait des documents sur la thèse M. Godard de penser à nous. Hélas le prénom qui commence par M , n'est jamais mentionné dans l'article. Cependant sur Wikimpédia, nous avons extrait ce schéma qui correspondrait à la lithosphère moderne et la métallosphère serait que que l'on nomme sur ce schéma le manteau supérieur ou Asthénosphère :


     Bien sûr le schéma de l'époque de M.Godard serait plus explicite)
.

     Ils enveloppaient entièrement le globe primitif qui était, paraît-il, d'un diamêtre BEAUCOUP PLUS PETIT. Cette lithosphère primitive, décantée et stratifiée par les eaux qui l'entouraient alors camplètement, fut tout à coup brutalement ROMPUE, fractionnée... DISLOQUEE. Ses multiples morceaux furent projetés, dispersés, plissés par suite de l'explosion soudaine de la métallosphère sous-jacente encore fluide. Enflant, telle une "bulle" et TRIPLANT SA SURFACE, elle provoqua la naissance d'îles et de continents qui donnërent à la Terre l'aspect que nous lui connaissons actuellement. C'est pourquoi ces éclats -ou "socles continentaux" - présentent cette surprenante, mais explicable particularité, de pouvoir être réajustés par leurs contours géographiques, â la façon des morceaux d'une potiche brisée...

      Sous l'irrésistible poussée expansive au globe, la lithosphère s'ést rompue et s'est crevassée DU NORD AU SUD, du détroit de Behring à l'Antarctique. Les bords de cette crevasse primitive (berceau du Pacifique) se sont séparés et se sont éloïgnés comme les branches d'un compas dont la charniére serait articulée au détroit de Behring et dont l'arc des îles Aléoutiennes donnerait la mesure de son ouverture.

     Au moment où la métallosphère faisait ainsi craquer Ia lithosphère, l'ensemble marchait vers l'Est à la méme vitesse ; mais comme l'expansion continuait, les bords, s'écartant l'un de l'autre, durent changer de vitesse. L'un prit de l'avance, l'autre du retard. C'est alors que se produisit l'inévitable ; la force vive (énergie cinétique) , qui s'oppose à, toute variation de vitesse, entra en jeu de façon irrésistible et FIT ECLATER LE BORD RETARDATAIRE EN UNE MULTITUDE DE FRAGMENTS devenus l'Australie, le Japon, la Malaisie, la Mélanésie, etc...

     Toutes les mers se sont ouvertes de la même façon, par arrachement lithosphérique, Des couches boueuses, raclées et amassée par cette méme énergie cinétique, ont formé des chaînes de montagnes, plissées et rompues. La chaîne des Alpes, par exemple, a été ainsi rompue ; l'un des tronçons a formé les Pyrénées, pendant que l'autre tronçon, cintré en Suisse à angle droit, formait le parallélogramme ccmposé avec le cintre du rivage à Port-Saïd. Aucun point du globe n'a d'ailleurs fait exception à cette rêgle de l'éclatemenL de la lithosphère, consécutif à l'expansicn soudaine de la métallosphère sous-jacente...      On se sent saisi d'épouvante, conclut M. Godard, en songeant à la fragilité de notre ce "support", mince et flexible, vaste poitrine qui respire le rythme planétaire et balance ses océans, qui s'écoulent par dénivellation alternative. On peut ainsi prévoir toutes les les conséquences de cette théorie, la négation de ce qui, cependant, paraissait bien assis : Géophysique, Géologie, Cosmogonie, Astronomie, Paléontolagie, DELUGE, Apparition de saiscns, Disparition des grands sauriens, AP- PARITION DE L'HOMME, etc.

     Cette expansion ne serait pas particulière la seule planëte Terre; elle n'aurait pas été provoquée, en réalité par une simple dilatation gazeuse, ainsi qu'on serait tenté de le supposer. D'autres planètes, Mars et la Planète 28, dont les 600 ou 700 morceaux gravitent entre les orbites de Mars et de Jupiter, auraient également subi les effets d'une nouvelle prise d'équïlibre dans le système solaire, à l'accasion d'une "intrusion" dont le renouvellement - il faut le dire - pourrait nous être tragiquement fatal quelque jour... évidemment lointain ! "


     Arrêtons ici, ce discours académique, de M. Godard afin de ne pas plonger dans une sorte de saturation mentale...

     L'auteur de l'article Mr Jacques Faure enchaîne alors en disant :

     " De la savante et scientifique démonstration de M. Godard, on peut, déduire, sans grand risque d'étre démenti, que l'énigmatique Atlantide faisait, il y a des milliers et des milliers d'années , partie de notre continent. Cela expliquerait bien des choses demeurées mystérieuses, des analogies troublantes dont nous allons énu- mérer auelques-unes.

     Quand les Atlantes conquirent l'Afrique et l'Egypte, avant d'échouer dans leur assaut contre la Grèce, ils venaient - Platon et, après lui, nombre d'historiens l'ont affirmé - d'une région située à l'ouest de ces pays.

     Les savants furent longtemps déconcertés par l'existence d'une faune et d'une flore absolument identiques (à des latitudes égales), sur le Nouveau Continent et sur l'Ancien. Des restes fossiles de chameaux ont été découverts dans l'Amérique du Sud et au Kansas, comme aux Indes et en Afrique. La science est certaine que le cheval est originaire de notre hémisphëre ; or, on a déterré de nombreux squelettes de chevaux dans les couches fossiles du Nebraska. Darwin a déclaré pérentoirement que le bœuf dérivé du buffle sauvage d'Amérique, était domestiqué en europe au début de l'âge de Pierre. Enfin desrestes dulion des cavernes originaire d'Europe ont été retrouvé aussi dans lesterres du Nouveau Continent ! "


     Nous n'allons pas ici poursuivre l'exposé de cet article au demeurant intéressant pour les spécialistes, ce que nous ne sommes pas du tout (Il y a encore au moins 8 pages sur 2 colonnes à découvrir).

     Rappelons cependant ici maintenant, que cet article est de 1958 et que selon ce que nous y comprenons brièvement, l'Atlantide serait situé sur le côté est du vieux continent, mais pas au milieu de l'Atlantique. Les arguments évoqués sont connus, mais à l'époque en 58, on ne parlait pas encore de Bimini, et voici de quoi il s'agit :

     C'est pendant le mois de Septembre 1968 que l'équipe du professeur MANSON VALENTINE, œuvrant pour le Musée des Sciences de Miami en Floride, découvre au nord-ouest de Bimini, petite île des Bahamas, à environ 1200 km de la Guadeloupe, des structures cyclopéennes immergées à environ 6 mètres sous la surface de la mer. Cette découverte fut rendue possible grâce à l'engin Remora M-114-E, scooter sous-marin construit par Dimitri Rebikoff, explorateur, ingénieur spécialisé dans le domaine de la photographie sous-marine et grâce également au concours de Paul Aranda aviateur et de Robert MARX, célèbre plongeur , passionné de recherches sur les anciennes navigations et sur l'archéologie sous-marine des îles Bahamas. Voyez donc l'image ci-dessous :


      C'est en effet fin de 1971, que les chercheurs découvrirent qu'il s'agissait d'une gigantesque structure de la forme d'un grand U pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de 600 m de long sur 10 m de large et formée de blocs de pierres dont la constitution ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu'ils surplombent. ( Voir le croquis ci-dessous :)


Extrait de L'ouvrage de Pierre Carmac "l'Histoire commence à BIMINI"
publié en 1973 chez Robert Laffont dans la prestigieuse collection : "Les énigmes de l'Univers".


      Ces blocs sont régulièrement alignés, parfaitement à l'équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d'entre eux avaient près de 5 m de côté et leur épaisseur variait entre 50 et 150 cm , ce qui parfois correspondait à une masse d'environ 5 tonnes par bloc. De plus on constata en effectuant des tranchées d'exploration que certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse de certains géologues, comme le nommé Harrison qui d'emblée sans attendre la fin de l'exploration de l'équipe "Valentine" avaient déclaré que le mur de Bimini était un ensemble d'origine strictement naturel. Par la suite on découvrit encore aux alentours de Bimini d'autres structures de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales .

     Mais quel pouvait être l'âge de ces constructions? Des études de datation au carbone 14, estimèrent que pour une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface il y a environ 10000 ans , ce qui ne signifie pas qu'elles venaient d'être édifiées à ce moment là . Mais en ce qui concerne les bâtisseurs, c'est le mystère le plus total. En effet rien de ce qui nous est connu de l'histoire des amérindiens (qui remonte à environ 2000 ans avant J.C) ne nous permet la moindre hypothèse concernant le peuple qui vivait à cette époque et même en Europe aucune peuplade n'aurait été capable en cette période d'édifier une construction aussi monumentale. C'est pourquoi il valait mieux étouffer cette affaire dans l'œuf , comme certains ont cru devoir le faire aisément. Quelques revues sérieuses en ont cependant fait état sommairement : Science&Vie n°640 de Jan.1971 - Sciences et Avenir les numéros 286, 291, surtout 298 de Dec.1971, puis vint l'ouvrage de Pierre Carnac : "L'Histoire commence à Bimini" chez R. Laffont 1973 .

      Il est cependant à noter un fait étrange concernant le site de Bimini. Le 14 Août 1926 soit 42 ans plus tôt dans une déclaration faite sous hypnose contrôlée et référencée sous le N°996-1, (et surtout sans que l'on ne lui ait rien demandé à ce sujet), le fantastique thérapeute et médium américain EDGAR CAYCE révélait en 1933 , que sur le plateau de Bimini avait existé jadis une formidable civilisation, (Voir les remarquables ouvrages:"les Mystères de l'Atlantide revisitée" de E.E Cayce, aux Editions de Mortagne 1994, ou "l'univers d'Edgar Cayce" de D.K. de BIZEMONT n° 2786 Ed. de poche J'AI LU New Age ), et , il révélait aussi que : "des vestiges des temples de Poséidia, portion engloutie de l'Atlantide, allaient ressurgir de la vase des fonds sous-marins près de l'île de BIMINI au large de la Floride et probablement vers les années 1968 ou 1969 ".       Tout ceci semble donc bien lui donner raison. Ainsi donc, la découverte des structures cyclopéennes de Bimini, illustre encore admirablement, le majestueux passé des civilisations anciennes, dont il ne demeure hélas, pour activer l'éveil de la mémoire fugitive et pourtant orgueilleuse des hommes, que l'alignement de pierres gigantesques, toujours plus énigmatiques.

     Puis pour abonder dans le sens de Mr Jacques Faure, l'auteur de l'article en question de 1958, il y a aussi cette courte vidéo reçue dès fin Février 2009, et placée à :

http://www.dailymotion.com/video/k4jh8Gp9QqC9kAXySG


     Donc à 620 miles de l'ouest de l'Afrique, a peu près dans le cercle suivant :



     On a découvert ces structures très géométriques :



     
Il ne semble pas qu'il s'agit d'un  nouvel "Hoax" , car  un autre internaute ami Renaud L...  nous a aussi adressé les urls de sites qui en parlent également  :
http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/article2255989.ece
et résumé en français à :
http://area51blog.wordpress.com/2009/02/22/latlantide-retrouvee/  .

     Il y a aussi l'url de ce site que nous avait envoyée, notre grand ami Pierre Lux :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/oceanographie-1/d/google-earth-a-t-il-permis-de-decouvrir-latlantide_18383/#xtor=RSS-8   .

     Et donc nous  supposons que les  webmasters de ces sites ont certainement déjà vérifié d'où venait l'information que tout un chacun peut parait-il découvrir sur Google Ocean. En effet une ruine d'une ville carrée de près de 165 km de côté , probablement il s'agirait d' artefacts de la banlieue de l'Atlantide, cela ne peut être caché longtemps encore :
 

  


     D'autre part concernant Google ocean, il serait sans doute utile, pour ceux qui savent l'utiliser, de tourner autout de l'île de Cuba où il existerait aussi des structures bien étranges. Rappelons en terminant notre pararagraphe PS2 en date 2 0ct 2001 de notre article :

http://www.artivision.fr/peupleciel.html

     Mais revenons à l'article deMr Jacques Faure et là nous allons hisser notre propos à un dégré difficillement imaginable pour le profane. En effet relisons attentivement ce passage de M.Godard :

" On se sent saisi d'épouvante, conclut M. Godard, en songeant à la fragilité de notre "support", mince et flexible, vaste poitrine qui respire le rythme planétaire et balance ses océans, qui s'écoulent par dénivellation alternative... "

     Certes en s'exprimant de la sorte, M.Godard , pensait assurément à des événements se déroulant à des temps géologiques lointains et imperceptibles à l'échelle humaine, mais le site ARTivision, pense que rien ne se fait par hasard dans cet univers, et que ces mots étranges, viennent sans doute, d'une autre dimension et que ce sont peut-être, ceux qu'on appelle les Maîtres, qui les lui ont fait prononcer à l'époque, pour préparer déjà, le Temps des Révélations qui se déroule en ce moment même. En effet vous avons exposé dans de nombreux articles le fait que cette planète, est bien creuse et en plus qu'elle est un organisme vivant qui inspire à sa mesure, par le pôle Nord, et expire, par le Pôle Sud, et donc qu'elle a bien comme le dit M. Godard "une vaste poitrine qui respire le rythme planétaire...".

Pour expliquer tout cela clairement il ne nous reste qu'a reprendre le passage qui en parle de notre page :

http://www.artivision.fr/Mmystifications.html

Début de citation :

      " Pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.

     Tout cela serait considéré, comme de la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.... 

"Fin de citation"

    Mais, si dans le livre de R Bernard, nous avions découvert plus haut que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :

http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm

ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

A vous de juger, une fois de plus, tout cela !

    Mais en terminant il nous semble utile de transcrire à nouveau ici, cette missive incroyable missive reçue le 11/06/08 , de notre ami Rodolphe D.... :

----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008 10:04 AM

          Bonjour Cher Fred,      Je t'ai envoyé un mail le Lun. 09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas du le recevoir, alors je réitère mon envoi.

     Voici un article qui risque de t'intéresser au plus haut point : Tiré du site Futura Science ce jour. Voici donc de quoi il retourne :


voir les photos à :

http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/geologie-1/d/des-violents-seismes-en-antarctique-deux-fois-par-jour_15782/


Des violents séismes en Antarctique... deux fois par jour

Énorme surprise des glaciologues :

     Avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
     A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
     Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.
     Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.
     Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment régulièrs et violents.
     Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière.
     Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.
     Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ?
     Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.

Saccades géantes…

     Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.
     Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ?
     Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
     Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace.
     Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
     C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.
     Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan.
     La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.


     Fin de citation

     Que voilà une nouvelle qui me ravit, en effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !

     Pourquoi ?

     Parce que, ces tremblements géants, tous les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20 minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur !

     En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les 12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui varie avec le temps).

     Et là, on nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se déroule aux deux poles !

     Tout cela confirme donc très bien, cette histoire de Terre creuse qui fait tant rire les sceptiques.

     Peut-être commençeront-ils à changer de couleur à la lecture ce cet article ! ........

nbsp;    Hors les tremblements aux pôles, ne sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de la terre soit 4.5 miliards d’années !

     Ces tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles, toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées de par le monde, cela n’est il pas étrange !

     On le voit bien une nouvelle fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.

     Mais le fait est, que cela est tout à fait possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois !

     Donc les railleurs de tout bord, doivent revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.

     Très amicalement

     Rodolphe.


     Fin de sitation

     Merci donc mille fois à l'ami Rodolphe pour sa si aimable participation aux recherches d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient pas eu un écho retentissant, dans les médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi !"

     Fin de citation.

III Conclusion.

     Pour bien comprendre cet article, concernant M. Godard, il convient alors, d'avoir pris connaissance des nombreux articles d'ARTivision, qui parlent des ouvertures polaires. Il nous faut aussi supposer que M. Godard, n'a pas eu en main pour élaborer sa théorie hors normes, certains ouvrages en anglais, parlant de la Terre creuse, et au moins ceux-ci :

1°) FANTÔMES DES PÔLES (1906) de Williams REED publié à New-York aux Editions Walter.s.Rockey Company. sous le titre The phantom of the poles.283 p. illus., plates, ports. MicRR 30237 "The earth is hollow. The poles so long sought are but phantoms" . Cet ouvrage fut aussi publié par Fiedcrest Publishing Co Inc 210 Fith Avenue New York 10, N.Y. Ouvrage de base dont la plupart des thèmes et illustrations se retouvent dans l'ouvrage de R. Bernard de 1971: La Terre creuse

2°) VOYAGE À L'INTÉRIEUR DE LA TERRE ou "les pôles ont-ils vraiment été découverts "(1920 ) de Marschall B.Gardner.("A journey to the Earth’s interior; have the poles really been discovered ?",) imprimé par Eugène Smith Company, Aurora Illinois, 456 p. illus., plates , port. QB638.G3. C'est l'ouvrage clef, incontournable, qui fait date dans cette incroyable affaire des ouvertures polaires et de la Terre creuse.

     Si cela est vérifié, nous n'avons plus qu'à tirer un grand coup de chapeau, à ce génial ingénieur en mécanique, et qui fut sans doute, à notre avis, inspiré, en Haut Lieu.

     Mais il y a aussi les judicieux propos de M.Godard, qui a évoqué le fait que " On se sent saisi d'épouvante, en songeant à la fragilité de notre "support", mince et flexible,"...

     On ne peut que lui donner entièrement raison, en contemplant les images suivantes (que certains des amis d'ARTivision connaissent déjà), et qui sont tirées d'une vidéo, intitulée Astronomie.PPS facilement repérable sur Google, et images qui, vous le comprendrez bien, sont à la base des recherches et de la préoccupation majeure de notre site, pour sauver ce qui reste de notre notre berceau, hélas bien malmené :




     Les humains devraient alors se sentir bien minuscules et plus solidaires n'est-ce pas, après de telles visions !!! Hélas l'actualité nous montre que ce n'est pas encore le cas.

     A bon entendeur salut, et surtout à Messieurs les apprentis sorciers inébranlables.

     Article mis en page le 15/06/2011 , et revu le 12/07/2011.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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