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Quelques réflexions d'ARTivision sur certains entrefilets venant d'un grand pays voisin, des USA : Le Canada .


I Introduction.

     Rappelons au novice ingénu qui entre pour la première fois dans le site, ARTivision par cet article, que ce site été le premier site en France, à publier à partir du 6 Avril 2001, une modeste traduction d'amateur, de l'ouvrage tout à fait extraordinaire, "The Smoky God" de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson paru en 1908 . Cet ouvrage selon nous, est digne de figurer dans les annales de la littérature fantastique, et il surclasse de très loin, l'ouvrage célèbre de Jules Verne VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE , publié en 1864 à Paris, par le prestigieux Editeur Pierre-Jules Hetzel & Cie. :

  

    Cette modeste traduction est désormais placée à :

http://www.artivision.fr/docs/SmokyGod.html


    Mais, il nous vient aujourd'hui une puissante inclination, à rendre un hommage très mérité, à notre grande amie canadienne :Ischaia :

, qui en 2009, a aussi publié une traduction bien plus professionnelle que la nôtre, et qui se présente ainsi :


    Edité par les Éditions Saint-Germain-Morya au Québec ...

    Il a fallu ainsi à cette amie, un sacré courage, pour oser imprimer, ce texte étrange, qui met en cause toute notre connaissance géophysique et géographique de notre planète, et même assurément, notre conception du Système Solaire.

II Genèse de l'affaire.


    Donc, pour permettre à notre ami Ischaia de s'impregner davantage de l'esprit d'antan, des rédateurs de journaux de son pays, concernant les découvertes de l'amiral Byrd, voyons alors quelques entrefillets que nous avons découverts en passant, sur des sites commençant parhttp://news.google.ca/newspapers...

    A tout seigneur tout honneur, commençons si vous le voulez bien, par le Journal "Le Canada" du 10 Mai 1926 placé à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=1EqfMoDn7-AC&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr



    Cet entrefilet ne fait que décrire d'une manière très classique, les péripéties du premier voyage de Byrd, au Pôle Nord, le 9 Mai 1926. Beaucoup plus intéressants, auraient pu être les commentaires de Byrd, à son retour du Pôle Nord, publiés dans des journaux américains, le 24 Juin ou 25 Juin 1926, et hélas, nous n'avons rien trouvé à ce sujet dans ce journal. Rappelons cependant qu'à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

, concernant l'entrefilet du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, on trouve les phrases extraordinaires, soulignées en rouge :


que nous avons traduites, après beaucoup de réflexion, par ceci :

" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     Aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur avis...

     De plus, à la fin de l'article en question, du "Le Canada" du 10 Mai 1926, on voit que quelques mots sont effacés . Mais on apprend cependant dans cet entrefilet, que huit autres expéditions sont aussi programmées pour le Pôle Nord, et il semble donc évident, qu'en douce, on se bousculait à l'époque, au portillon, de la zone polaire Nord.

    Mais, comment trouver le pourquoi de tout cela ? Ce n'est, selon nous, certainement pas pour mesurer seulement la vitesse du vent, ou l'épaisseur de la banquise ou encore la profondeur de l'eau du coin, etc...

    Faisons alors ici, une première digression :

    En effet, le webmaster d'ARTvision, pense que c'était plutôt pour retrouver les caractéristiques de la Mer libre du Pôle Nord, dont nous a parlé, de très nombreux explorateurs de cettela zone polaire nord, comme, le Dr Bessels, Hall, Chester, kane, Hayes, Mc Gary, Morton, Greely, Dr Pavy, Nansen, qui ont constaté alors, la présence d'une mer libre, ou des portions de celle-ci, au delà d'une certaine altitude ...

    Par exemple, le Capitain Hall dans son livre "In capitain Hall's last trip" page 166, écrit : " We find this a much warmer country than we espected... we have found that the country abounds with life, and seals, game, geese, ducks, musk-cattle, rabbits wolves foxes bears pazrtriges lemmings, etc our sealers have shot two seals in the open water while at this encampement... " (Nous avons découvert une region plus chaude que nous l'espérions... Nous avons découvert une région débordante de vie et les phoques du gibier, des oies, des canards, du bétail musqué, des lapins, loups des renards des ours, des perdrix, des lemmings, etc..Nos chasseurs de phoques en ont abattus deux sur la mer libre alors que nous étions à notre camp)

Alors tous ces explorateurs auraient-is donc tout inventé !!! ...

    D'ailleurs, il nous semble judicieux aussi de transcrire ici, ce passage important du livre que publia Kane en 1857, et ouvrage que l'on peut trouver sur le site :

http://www.archive.org/stream/arcticexplorati02kanegoog#page/n0/mode/2up


     Et pour les puristes, voici le paragraphe surprenant déjà en anglais :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

   
Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

     Alors chers détracteurs zélés, sauf de dire que Dr Elisha Kent Kane était plutôt timbré, nous attendons avec ferveur votre réponse pointue, sur cette affaire.

Fin de la première digression.

     On voit aussi que l'entrefilet cité plus haut du 10 Mai 1926, parle aussi du célèbre Georges.H.Wilkins, et pendant que nous y sommes, revoyons aussi certains passages également du 10 Mai 1926, qui sont soulignés en rouge de l'image suivante :



     Où, l'on pourrait lire : " Vijhalmar Stefansson, explorateur vétéran de l'Arctique a ici déclaré, que le compte-rendu du commandant Byrd, relatif à son vol, sera très fructueux.

     L'exploit de Byrd est considéré par Stefansson, comme ouvrant la voie à son plus important et ambitieux vol vers le nord-ouest de la "Peary Land", dans le but de rechercher une terre inconnue .

      Deux expéditions polaires russes sont sur le point de s'élancer là, une autre française avec des avions et des traîneaux à chiens, se mettra en route bientôt, tandis que le lieutenant Leigh Wade, un globe-trotter mondial aviateur américain conduira une expédition des Universités américaines au dessus du pôle, dans le but de découvrir une route courte entre Londres et Tokio.

      Le Capitaine George H. Wilkins de l'expédition polaire de Detroit qui est à la rechrerche de terres nouvelles, s'envolera au dessus des dangereuses montagnes Endicott, à 300 milles de Port Barow en Alaska.

      Le Lieutenant Flaissen, un norvégien envisage un vol polaire et le Dr Hugo Eckener, un allemand pense à un vol en dirigeable.
"

Voyons maintenant l'entrefilet du journal "Le Canada" du 30 Nov 1929, placé à l'url

http://news.google.ca/newspapers?nid=1EqfMoDn7-AC&dat=19291130&printsec=frontpage&hl=fr





     Cet entrefilet ne contient, on le voit que des descriptions normales classiques .

    Venons en maintenant l'entrefilet du journal "Le Canada" du 8 Sept 1933, placé à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=1EqfMoDn7-AC&dat=19330908&printsec=frontpage&hl=fr




     Bien que les phrases en rouge, nous interpellent grandement, cet entrefilet canadien du 8 Septembre 1933, est visiblement un condensé très poussé, des textes fabuleux, que nous avions découverts du "Berkeley Daily Gazette" du 7 sept 1933, du "The MilWaukee Journal", de la même date, et surtout du "The Reading Eagle", également du 7 Sept 1933, et que l'on peut découvrir avec un grand étonnement dans notre article désormais incontournable sur le sujet .

http://www.artivision.fr/ByrdTrouvaillesinsolites.html


     A vous de juger comment l'information, circule d'un pays, à un autre, pourtant très voisin....

     Mais avant de quitter ce journal "Le Canada", présentons ici, ce dernier entrefilet étonnant, placé à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=1EqfMoDn7-AC&dat=19470704&printsec=frontpage&hl=fr




     Il nous plait alors, de rappeler ici, ce passage de notre article :

http://www.artivision.fr/http://www.artivision.fr/docs/FlashbacksurlecrashMissourietconsorts.html


     "Mais, en plus on sait que, le militaire Milton William Cooper, (qui a été abattu le 5 novembre 2001 à l'âge de 58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona), par les sbires du Gouvernement de l'Ombre, affirme qu'il y a eu deux autres crashs, l'un le 13 Février 1948, et l'autre le 25 Mars également en 1948.

     Nous sommes d'ailleurs presque certains, que tous ces crashs de soucoupes volantes qui eurent lieu avant le 14 Mai 1948, date de la création de l'Etat d'Israël, auraient déterminé la Société des Nations remplacée en 1945 par l'ONU, à agir autrement (par exemple en créant une simple province juive, dans l'immense Australie), et cet état d'Israël, n'aurait probablement pas été créé à l'endroit, où il se trouve actuellement, et cela évidemment, aurait évité tous les conflits désastreux ultérieurs de la poudrière du Proche et Moyen Orient...
".

     Que ceux qui avaient bien ri sous cape, à l'époque de notre proposition, se préparent désormais à raser les murs le soir, car le temps des Révélations est bien arrivé n'est-ce pas !!! .

    Et justement à propos de cette affaire Roswell, voici un entrefilet très important , en date du 9 Juillet 1947, qui est à l'origine de cela, et qui fera plaisir aux spécialistes de l'histoire.

    En effet à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=1EqfMoDn7-AC&dat=19470709&printsec=frontpage&hl=fr


On découvre ceci :



     Changeons maintenant de registre, et passons maintenant au journal nommé "The Vancouver Sun" :

     Coté Google ce journal débute en julet 1927 et donc on trouve rien en 1926, et en 1929 il manque des journaux et en particulier celui du 29 nov 1929, où Byrd alla survoler lePole Sud. par contre nous avons trouvé le 7 Sept. 1933 à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=ifIdVpG6JtcC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    Et voici ce que l'on peut y découvrir :



     C'est donc court, mais asurrément explosif et nous serions aux anges, si un historien ou un journaliste béni, nous découvrait une explication des termes de cet entefillet, dans une lettre d'une sommité scientifique ou même politique de 1933...

    Traduisons modestement les phrases soulignées en rouge :

" Aussi longtemps qu'il existera une étendue inexplorée aussi vaste que cela sur la face du globe dit-il, nous allons devoir l'explorer. Aussi, je crois que nous allons apporter quelques liens manquants dans les interrogations scientifiques, en explorant cette région qui s'attache à notre ère glacière."

    Voilà un langage bien ampoulé difficilement compréhensible, pour celui qui a loupé un épisode.

    Mais cet épisode, le site ARTvision, le connaît bien, et il voit tout de suite que cet entrefilet n'est qu'un condensé très réduit, du texte de de l'Agence Associated Press, dont plusieurs journaux américains ont publié, le communiqué inouï, du 7 Sept 1933. En voici donc un, parmi tant d'autres :


    Pour les chercheurs pointileux, disons que cet entrefilet américain, vient de la "seconde Section" du "Spokane Daily Chronicle" , et placé à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=ddB7do2jUx8C&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

    On voit , que le texte est bien plus étoffé, que celui venant du Canada, et que l'on nous parle ici d'un territoire inexploré, aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, et il y a aussi l'affaire d'une vaste étendue inconnue de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation. Puis il y a encore l'affaire des liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef et très surprenante d'un"nouveau continent", dont ne parle pas du tout, le court entrefilet canadien.

    A vous de juger, une fois encore , ce raccourci journalistique, qui nous interpelle ici grandement ....

    Mais, voici pour nous le moment d'effectuer un certain "devoir", bien canadien :

    Puisque Google, ne présente rien de ce journal le 9 ou 10 Mai 1926,, ni hélas le 24 et le 25 juin 1926, contentons nous, du 29 Nov 1929 à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=Qh5Z_vBjo80C&dat=19291129&printsec=frontpage&hl=fr


    On voit, qu'il s'agit d'une Agence nommée (S.P.A) ( merci mille fois à l'internaute qui pourra nous dire ce que cela signifie) , et l'on découvre que cet entrefilet ne fait que décrire d'une manière très classique, les péripéties du premier voyage de Byrd, au Pôle Sud, le 29 Nov. 1929. Plus de détails, nous sont fournis, le jour suivant bizarrement au même l'url :


    Mais, nous avons souligné en rouge, et surtout retenu avec une certaine ironie,, la phrase suivante du journal en question : "et à lever le plan d'une grande partie du territoire qui l'environne", car nous savons que Byrd, n'avait cartographié, non pas une grande partie du territoire découvert, mais vraiment une très infime partie, car il dira lui-même plus tard, le 7 Septembre 1933, dans par exemple, le " The Milwaukee Journal " ( Il y a bien d'autres journaux qui l'affirment) ceci d'incroyable :


     Traduisons modestement cela :

"Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

Nous recherchons un nouveau continent .

    Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."


     Là, tout est clair, Byrd parle bien, d'un nouveau continent, et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    A vous de juger une fois de plus, tout cela...documents à l'appui

    Notons, chose surprenante que, ce journal "Le Devoir", a manqué justement à son devoir car, nous n'y avons rien trouvé sur la mort de Byrd, (le 11 Mars au soir de 1957), ni le 12 Mars, ni le 13 Mars, comme cela existe, dans de très nombreux journaux américains.

    Cependant, terminons avec ce "Devoir", par trois textes, aperçus en passant, et qui n'ont rien à voir avec Byrd, mais qui pourraient intéresser éventuellement, certains chercheurs :




    Jetons maintenant un court un regard, sur cette carte du Canada :


     Et voici maintenant, en trois parties, un article du"The Ottawa Evening Citizen" du 10 Mai 1926, dont un très long texte est placé à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=QBJtjoHflPwC&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr

    En voici le début :


    et voici la suite 1 :


    et voici la suite 2 :


    On voit d'abord, que cet article très détaillé, et qui intéressera certainement un jour, les historiens et les fervents des exploits de Byrd, ne fait lui aussi, que décrire d'une manière très journalistique, les péripéties du premier voyage de Byrd, au Pôle Nord, le 9 Mai 1926. Les spécialistes de l'anglais se feront sans doute bien mieux que nous, un devoir d'en tirer la substantifique moelle. Cependant cet article nous parle, lui, de 10 expéditions prévues à l'époque pour le Pôle Nord, alors que le journal "Le Canada" également du 10 Mai 1926 vu plus haut, n'en prévoyait qu'en plus de celle de Byrd seulement huit autres. Aux historiens de régler cette différence.

    En ce qui concerne, le site ARTivision, cela montre une fois de plus, que c'était la course effrénée vers le Pôle Nord, et cela cache quelque chose de très important, pour qu'un si grand nombre de nations veulent s'y précipiter. De plus, on voit même qu'à la fin de l'article, qu'au Danemark, on demeure d'une grande perplexité , au sujet de l'exploit de Byrd :



    Le Danemark, n'avait pas tord de douter de l'exploit, car cette expédition est actuellement sujette en effet à caution (voir alors l'article paru dans les colonnes du journal Le MONDE du 27.04.01 à notre article:



    Comme pour le journal "Le Canada" vu plus haut, beaucoup plus intéressants, auraient pu être les commentaires de Byrd, à son retour du Pôle Nord, publiés dans des journaux américains, le 24 Juin ou 25 Juin 1926, et hélas, nous n'avons, non plus, rien trouvé à ce sujet dans ce journal, concernant ces dates importantes, alors que c'est là, qu'il fallait publier un laius encore plus long que celui du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, présenté plus haut , et où on le sait, on trouve (nous les repettons à dessein, vu leur importance) les phrases extraordinaires, soulignées en rouge :


que nous avons traduites, après beaucoup de réflexion, par ceci :

" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     A vous de juger, une fois de plus cette distorsion journalistique effarante concernant le manque notoire d'une information capitale, sur Byrd, en date du 24 Juin ou 25 Juin 1926...

    Venons en maintenant au très célèbre 29 Novembre 1929, que l'on découvre réalisé en deux parties par nos soins, à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=QBJtjoHflPwC&dat=19291129&printsec=frontpage&hl=fr


    Et en deuxième partie :


    Il ne faut pas bien sûr, s'attendre à des révélations sensationnelles de Byrd, lors de ce premier vol, vers le Pôle Sud, et il faudrait assurément attendre, par exemple, le 7 Sept. 1933, ou mieux le 9 Sept 1947, pour en savoir plus.

    Mais nous avons déja souligné ici en rouge, ceci qui nous interpelle grandement :


    Autrement dit, certaines nations, se battaient déjà, pour investir, ces zones froides soi-disant désertiques et la Grande Bretagne menait la danse. Voyez vous-même ce document placé à l'url :



http://news.google.ca/newspapers?nid=SFOYbPikdlgC&dat=19291129&printsec=frontpage&hl=fr


    Donc les revendications étaient déjà bien spécifiques, n'est-ce pas !!...

    En effet, il faut savoir que le fameux Traité sur l’Antarctique, fut signé seulement le 1er Décembre 1959, et est entré en vigueur le 23 juin 1961. Il réglementa les relations entre les États signataires qui furent l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Chili, les États-Unis, la France, le Japon, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et l’URSS (repris par la Russie). Cependant n’importe quel membre des Nations unies ou autre État invité par la totalité des signataires peut s’y joindre. De fait, plusieurs États ont adhéré au traité depuis sa signature. Voir, alors pour en savoir plus, le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_sur_l'Antarctique



    C'est lors de l'Année Géophysique Internationale, période allant du 1er Juillet 1957 au 31 Décembre 1958, que, 12 pays intéressés par l'Antarctique, réalisèrent un maximum d'observations géophysiques en installant 40 bases sur le continent et 20 bases sur les îles antarctiques et subantarctiques. Il apparut très vite nécessaire de créer un cadre réglementaire concernant le continent et les recherches qui s'y déroulaient...

    Donc à l'époque Byrd ne s'est pas privé, lui aussi, de réclamer les avantages territoriaux ou autres, que lui offraient ses nombreuses expéditions...Et, il faut aussi savoir que, dès le 23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer d'immenses territoires de l'Antarctique, sans demander rien à personne. Nous avons colorié en vert, les territoires en question dans le document qui suit :
    Texte tiré des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.
ouvrage de (36,5cm de long sur 26,5cm de large paru en 1987)

    Revenons à nos moutons, car par un heureux hasard, nous avons consulté le journal "The Ottawa Evening Citizen", du 2 Décembre 1929, et nous avons été surpris d'y découvrir, un texte de Byrd lui-même, racontant son expédition récente au Pôle Sud. Bien que nous n'y avons rien trouvé, de sensationnel, nous pensons ce texte plein de détails techniques, pourrait un jour peut-être, intéresser certainement les historiens et les désormais adeptes des explorations polaires de Byrd.

    Voici l'url en question :

http://news.google.ca/newspapers?nid=QBJtjoHflPwC&dat=19291202&printsec=frontpage&hl=fr

     Le texte de l'article placé en page 16, et nous avons, vu sa longueur, dû le présenter en 5 images :






Bon courage donc à ceux qui auront le courage d'aller jusqu'au bout de ce texte. D'ailleurs ce journal nous annonce qu'il va y avoir une suite à ce texte :


Hélàs nous n'avons pas encore pu découvrir ce nouveau texte en question (et il manque le 4 et 5 Déc 1929), et souhaitons qu'il soit plus révélateur que celui qui précède ...

     Mais, Il faut alors aussi savoir que 1929 est une année clef pour Byrd, si l'on en juge l'extraordinaire reportage, que l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz  (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), nous transmet aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978, et qui relate l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929 lors de son survol du Pôle Sud  : 

  



      Mais voyons donc ce récit incroyable:

      " Une curieuse légende s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929 . Elle a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion - rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement - sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. Cependant, la croyance populaire en ce curieux rapport se trouva ultérieurement renforcée par les phrases bizarres de l'amiral Byrd quant à "cette terre au-delà du pôle... centre du grand inconnu... ", et une remarque encore plus étrange, proférée en 1957, ayant trait à ce "continent enchanté dans le ciel, terre d'éternel mystère"...

      Le fait que bien des gens semblent se rappeler, ou croient se rappeler, l'émission tronquée apporte un mystère au cœur du mystère, non seulement sur la question de savoir ce que l'amiral Byrd a vu ou était censé avoir vu, mais aussi sur ce qu'il est advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule.

      La recherche de témoins auditeurs concernant cette émission controversée et presque légendaire est évidemment très difficile puisque tant de gens se la rappellent mais que si peu en ont un souvenir précis. A l'occasion de cette enquête, nous avons été particulièrement heureux d'enregistrer le témoignage d' Emily Ingram de Miami, journaliste judiciaire dont la profession a exercé la mémoire, a qui lui permet de se montrer très précise en évoquant les événements passés. Emily Ingram est une femme vive, à la nature enjouée, douée du sens de l'humour, qui poursuit avec brio sa carrière de journaliste. Le souvenir qu'elle garde du reportage de Byrd lors de son survol du pôle sud remonte à 1929, mais elle ne se rappelle pas moins l'incident de façon fort détaillée :

     "Nous habitions Boston à cette époque et mon père avait récemment acheté, un nouveau poste de T.S.F, qui comportait un haut-parleur en plus du casque d'écoute. L'amplificateur était encastré dans le mur et tout l'appareillage nécessitait une grande antenne. Je m'en souviens très bien parce que mon père tomba du toit en l'installant, mais il n'en réunit pas moins à faire fonctionner le poste.

     Ma mère s'intéressait particulièrement au reportage de l'amiral Byrd. On avait annoncé qu'il devait suivre le 70e parallèle jusqu'au-dessus du pôle et qu'il émettrait pendant le vol. Une fois le poste branché sur la station (un relais dc Boston) le haut-parleur commença à nous distiller l'émission. Il y eut beaucoup de parasites, puis la voix de l'amiral Byrd nous parvint. Au début, ce fut un récit classique, décrivant le survol des champs de neige et de glace. Puis, les parasites revinrent; ils s'intensifièrent et cessèrent subitement. Tout devint plus calme et la voix de Byrd nous parvint très nettement. Tout à coup, il dit :

     " Regardez! Vous voyez? 11 y a de l'herbe, là en bas.- une herbe drue... comme elle est verte!... il y a des fleurs partout... elles sont superbes... et regardez ces animaux... on dirait des élans... l'herbe leur arrive au ventre... et regardez!... il y a aussi des gens. Ils paraissent surpris de voir un avion." .

     Je me souviens qu'à ce moment, ma mère a lancé une boutade : « Je parie qu'ils ont aussi de longues oreilles! » Puis il y eut beaucoup de bruit et de parasites, et ce fut tout ce qu'on entendit jamais du programme. Impossible de le retrouver sur les ondes où de la musique succédait à la voix de l'amiral Byrd sans qu'on n'ait fait la moindre annonce.
     Jamais on ne nous expliqua ce qui s'était passé. Plusieurs de nos voisins avaient aussi écouté l'émission, mais ils n'en savaient pas plus que nous. On avait coupé la parole à l'amiral Byrd au beau milieu de son reportage. Je souhaitais vivement apprendre ce qui était arrivé et j'écrivis à la famille Byrd, en Virginie - vous savez, le sénateur - mais je ne reçus jamais de réponse
."

     Cette évocation d'une étrange émission, remontant à près de cinquante ans, souligne à quel point ce rapport radiodiffusé parut incroyable (ainsi qu'en atteste la réaction initiale de la mère d'Emily Ingram); il est donc possible que la station de Boston, sur un ordre officiel quelconque, ait préféré interrompre le reportage qui paraissait dénué de sens, en partie peut-être pour sauvegarder la réputation de l'amiral Byrd, et peut-être aussi parce que l'information était si insolite que la censure, ou tout au moins une diffusion différée, semblait s'imposer.
"

     Fin de citation.

      Que dire de plus, sinon qu'il est préférable de lire plus avant, le reste de tout cela dans l'ouvrage en question de Berlitz, qui a quitté ce monde le 18 Décembre 2003 à Tamarac, en Floride. Que Paix, et Lumière accompagnent (celui qui de son vivant fut un infatigable chercheur), dans la Haute Dimension, où il évolue en ce moment, et que sa joie , rejaillisse tant soit peu sur les terriens qui sont épris de la découverte d'une connaissance transcendante, pour que l'on puisse enfin, mieux vivre sur cette planète.

     Cette Dame Emily Ingram ne fut pas la seule, à nous avoir dévoilé, une histoire fantastique semblable...

     En effet, il y a aussi le témoignage surprenant de Miss Dorothy E. Graffin, présenté dans le livre de l'écrivain anglais Alec Maclellan :

  

     Cette dame de New-York, dans une missive envoyée à l'écrivain F. A Giannini, prétend avoir assisté à la projection d'un film à l'époque, où il y avait, la séquence dite des actualités :

" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues. Mais trouvera t-on un jour, dans un coin perdu, une copie de ce film d'actualité ? ce serait vraiment le Gros Lot !!

     Il va sans dire, qu'il est donc aussi impérieux que l'on retrouve cette incroyable lettre, de Miss Dorothy E. Graffin...si elle n'a pas été jetée négligemment, à la poubelle...

     Mais poursuivons cet article concernant le "The Ottawa Evening Citizen". Nous n'avons hélas rien trouvé concernant la date importante du 7 Septembre 1933, où de très nombreux journaux americains, comme par exemple "The Berkeley Daily Gazette", "The Berkeley Daily Gazette","The Spokane Daily Chronicle","The Milwaukee Journal","The Reading Eagle","The San Jose Evening News","The Portsmouth Times ", "The Newburgh News ", mentionnent continuellement, une affaire d'un territoire, découvert par Byrd, et qui est aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, Il y a aussi, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, et on trouve aussi, parfois, une affaire de liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef très surprenante d'un "nouveau continent" à explorer. (voir alors notre article placé tel que : Byrdtrouvaillesinsolites.html ))

     Mais poursuivons cet article, par le dernier entrefilet, en date du 1er Février 1947 , que nous avons pu découvrir de ce journal "The Ottawa Evening Citizen" à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=QBJtjoHflPwC&dat=19470201&printsec=frontpage&hl=fr



     Aucune révélation particulière n'est faite dans ce communiqué et pourtant il est daté, d'un jour après celui du super article du "Leader Post du 31 janvier 1947":


     Pour les puristes rappelons que l'url , de ce très important texte, est placé tel que :
http://news.google.ca/newspapers?id=Kb9TAAAAIBAJ&sjid=kDgNAAAAIBAJ&pg=5209,4664847&dq=south+pole+secret&hl=en


     Pour finir, disons que nous avons vainement cherché, une indication en date du 13 Mars 1957, qui correspond, on le sait, au décès de Byrd, et aucune mention du "The Ottawa Evening Citizen", n'y fait allusion alors que de très nombreux journaux en parlent. C'est incompréhensible, pour ce journal qui a publié parfois de longs textes de Byrd.

     Mais ce jour du 13 Mars 1957, voilà un entrefilet plutôt banal, qui se trouvait en première page du journal en question, à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=QBJtjoHflPwC&dat=19570311&printsec=frontpage&hl=fr

     Donc Byrd on connait plus, et c'est moins important que cela...

III Conclusion .


     Nous n'avons pu que très modérément exploré, certains journaux canadiens, et il y en a certainement beaucooup d'autres qui n'ont pas été digitalisés par Google, et même ceux que nous avons pu explorer, ont de noubreux jours manquants. Bravo, aux passionnés qui en trouveraient d'autres.

     Disons cependant que, si Byrd avait été un canadien, comme Vijhalmar Stefansson, cet explorateur des régions polaires du nord (1879-1972), (voir le site :Vilhjalmur_Stefansson) , on prêterait dans ce Grand Canada, selon nous bien sûr, une plus grande attention à ses révélations hors normes, n'est-ce pas !!!

     Et, comme nous l'avons souvent écrit, pas besoin d'être un agrégé de Philosophie ou de Psychologie, pour savoir que chaque individu, situe son appréhension des choses et  ses priorités en fonction de ses préocupations immédiates.  Cependant, il arrive souvent que quelques temps plus tard, ( parfois des siècles sont utiles pour cela, comme pour les textes dits bibliques) , ces préoccupations se révèlent n'avoir été que  des futilités qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement, et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution .

    A vous de juger, une fois encore, tout cela, documents à l'appui...

    Mais, même si chacun a réagi en fonction de son niveau de compréhension de l'époque des phrases insolites de Byrd, le site ARTivision, désormais se réjouit d'avoir mis en évidence, des preuves incontournables que l'on nous cache des choses inouies qui se passent au niveau des régions polaires, et que l'explication de ces phénomènes polaires requière une remise en question de toute notre connaissance, concernant la structure interne de notre planète, et même celle qui a trait à la formation et à la constitution de notre système solaire.

    Le site ARTivision a été, le premier site du Web français à avancer dès le 17/09/2000 cette théorie hors normes, et progressivement cette théorie, a donné place, après plus de 75 articles, à une certitude incontournable, qui s'inserre dans le Temps des Révélations, bien en marche désormais.

    Mais, pour vous permettre de mieux apprécier cette allégresse qui préside à chaque découverte de ce site, il convient alors, en ce jour du 7 Août 2013 , de vous présenter les paroles du Grand Maître, qui s'adaptent parfaitement à cette circonstance :

Marche dans la lumière

et n'aie jamais peur de laisser la lumière de la Vérité t'éclairer en plein !

Lorsque tu n'as rien à cacher, rien de quoi avoir honte,

tu es aussi libre qu'un tout petit enfant

qui n'a aucune inhibition et s'exprime avec une joie authentique.

II déborde de joie et cette joie est contagieuse,

rayonnant vers tout ceux qui entrent en contact avec lui.

La joie ne peut être cachée ou contenue.

Elle se révèle de mille et une façons: dans un regard, un mot. une expression.

La joie attire les gens à elle,

car tout le monde répond aux âmes joyeuses, heureuses

et aiment être en leur compagnie.

La joie attire les âmes à elle comme l'aimant attire l'acier.

tandis que la tristesse et la négativité repoussent.

Lorsque tu sais que tu fais la chose juste et que tu es à la place juste,

tu rayonnes de joie et de liberté.

Tout coule harmonieusement pour toi et tombe à sa juste place.

Tu attires le meilleur à toi ; tu ne peux pas t'empêcher de le faire,

car qui se ressemble s'assemble.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 7 Août , après adaptation d'ARTivision.



           Fred IDYLLE

     Article mis en page le 28/07/2013 , le 29/07/2013 , le 30/07/2013 , le 31/07/2013 , le 03/08/2013 , le 05/08/2013 , le 06/08/2013 , le 07/08/2013 .

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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