Consultations pour cet article :
ARTivision est une page Web strictement personnelle de :

Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@orange.fr

Bonne lecture !
Communiquez nous vos commentaires.
Merci d'avance.
Adresses du site :



Revue L'AUTRE MONDE n° 13 d' Octobre 1977.

Article de Paul Ledoux .

LES JARDINS FINDHORN.

    Serait-il possible à l'homme de communiquer avec la Nature, par l'intermédiaire des Elfes et des Dévas, que l'on croyait définitivement rélégués dans les pages poussiéreuses des mythologies primitives ? Il nous parait difficile de le croire dans le siècle où nous vivons aujourd'hui. Et pourtant une petite communauté qui vit depuis quelques années à Findhorn Bay, en Ecosse, fait une expérience qui nous parait troublante. Ces garçons et ces filles qui se sont réunis, parlent aux Esprits de la Nature et ont vu pousser autour d'eux un jardin merveilleux. Sont-ils de simples jardiniers à "La main verte" ou de grands mystiques ?


    En Novembre 1962 un groupe de 5 personnes vint s'installer dans deux caravanes dans le Parc de FINDHORN 9 Av, Morayshire (Ecosse). Chacune de ces personnes avait eu une longue période de préparation au cours de laquelle elle avait appris à tout remettre à la Volonté de DIEU. Ce groupe était composé de Peter et Eileen (Elixir) Caddy avec leur famille, Dorothy (Divina) et Léna avec sa famille.

    C'était vraiment le dernier endroit que n'importe lequel d'entre eux aurait choisi pour y vivre. Ce petit coin de terre était entouré de mer sur trois côté: et constamment battu par des venta violents. Il était situé en bordure de dunes de sable et il n'y poussait que dès ajoncs, du genét e balai, du chiendent et une variété d'herbe qui se plait dans le sable.

    Imaginez un désert de sable et de pierres maintenus ensemble par du chiendent. Prenez un groupe qui n'a aucune expérIence préalable du jardinage et mettez les deux ensemble. Le resultit devrait normalement être négligeable. Cepgndant, d'une association aussi Incongrue est née la remarquable histoire du Jardin de FINDHORN.

    Aucun d'entre eux n'avait la moindre expérience pratique en jardinage. Aucun d'entre eux n'avait jamais semé une seule graine avant d'arriver à FlNDHORN. Ils avaient passé un temps considérable l'hiver précédent, à étudier des livres sur le jardinage. Mais ces livres ne s'appliquaient pas aux conditions locales, avec des hivers longs et sombres et une saison très courte pour la croissance. De plus, ils donnaient parfois des informations contradictoires. Par exemple ils voulaient faire pousser du cresson de fontaine. Un livre disait que l'eau courante était indispensable. Un autre livre déclarait qu'ils pouvaient se dispenser d'eau courante si la culture était disposée dans une tranchée exposée en plein soleil, cependant un troisième livre informait que les plants devaient être mis à l'ombre.

    Devant tant d'avis contradictoires, ils décidèrent de s'en remettre à la Nature elle-même. de se confier à elle. Et c'est ainsi qu'ils apprirent ensemble à communiquer avec les Esprits de la Nature et avec les Dévas. Mais qui sont les Dévas ? Selon la tradition, les dévas sont des Etres Angéliques qui manipulent les forces archétypales. Il existe un Déva particulier pour chaque espèce de plante et en outre, il y a des Dévas du son, de la couleur, du vent. etc,.. Des Dévas traitent des forces et des modèles ou termes. Les Esprits de la Nature ou Élémentaux s'occupent d'utiliser l'énergie pour construire la forme ce sont eux qui font monter la sève. En somme, les Dévas fournissent les plans et l'énergie alors que les Esprits de la Nature exécutent le travail. Une fille du groupe, Divina, était capable de communiquer avec les Dévas. Cette sorte de communication est très difficile à expliquer. Divin peut seulement dire qu'elle "s'élève spirituellement dans un monde de beauté et de lumière où elle sent que l'esprit et le coeur sont un". Elle est capable de traduire en mots les pensées qu'elle y capte. Voici ce qu'écrit Caddy sur cette étrange communication que Divina entretenait avec la Nature:

    "Chaque fois qu'une espèce avait été plantée, Divina communiquait lorsque c'était possible, avec te déva correspondant et lui souhaitait la bienvenue dans le jardin. A d'autres moments, lorsque des informations spécifiques étaient désirées, le déva approprié était contacté. Par exemple des laitues nouvellement repiquées étant flétries, elle demanda conseil et on lui répondit:

    "Nous n'approuvons pas la transplantation. Elle affaiblit les forces de la plante. Pour l'homme c'est pratique mais pour nous c'est un inconvénient qui diminue nos efforts. La méthode de la Nature est d'utiliser une masse énorme de graines dont seule les plus robustes survivent ce qui assure la sélection des plants les plus vigoureux. Le mieux dans tous les mondes, est de semer plus épais qu'il est nécessaire et d'éclaircir ensuite en enlevant les plants les plus chétifs. On aide ainsi la Nature, et elle vous le rend en santé."

    Les membres du groupe reçurent ainsi des instructions pratiques des devas concernant beaucoup de problèmes potagers. Fréquemment des problèmes se posaient, d'ordre plus général et ceux-ci étaient traités par un Etre, que faute, de mieux, ils avaient appelé: "l'Ange du Paysage". Il leur apprit beaucoup de choses, par exemple que les dévas manipulent des forces ou radiations, là où l'homme tend à penser qu'il s'agit de réactions chimiques, d'oligo-éléments etc... Il leur dit que la contribution la plus importante de l'homme dans un jardin est la radiation qu'il met dans le sol pendant qu'il le cultive, telle la radiation de l'Amour, et que chaque membre du groupe de FINDHORN a quelque chose à donner à l'ensemble. L'un apporte force et puissance, l'autre l'amour, etc.

    Le résultat de l'expérience que le groupe poursuivait devint apparent quelque 18 mois après, lorsque il fit venir le Conseiller du Département d'Horticulture pour prendre un échantillon du sol aux fins d'analyse. Son premier commentaire, à son arrivée, fut qu'il fallait absolument amender le sol. Caddy lui fit remarquer qu'il ne croyait pas aux engrais chimiques et qu'il préférait utiliser un compost additionné de cendre de bois. Il répliqua que c'était tout à fait inadéquat pour pallier les déficiences de ce sol bien particulier. En fait, ajouta-t-il, cela serait impossible, et il continua à expliquer pendant deux heures, pourquoi c'était impossible.

    Six semaines plus tard, il revint apporter le résultat de l'analyse qui avait été faite entre temps à Aberdeen. A son complet ébahissement, l'analyse n'avait décelé aucune déficience. Tous les éléments, y compris les oligo-éléments étaient présents. Il était si étonné qu'il demanda s'il voulait prendre part à une émission de radio concernant le jardin de Findhorn avec lui-même comme interpellateur et en 3ème partenaire, un jardinier expérimenté utilisant les méthodes conventionnelles de jardinage, engrais chimiques etc... Caddy sentit que ce n'était pas le moment d'exposer en public leur coopération avec les dévas et qu'il ferait bien d'attribuer leurs remarquables résultats à l'emploi de fumier et de compost organique. Pendant l'émission, il ajoutait cependant qu' à son avis l'équilibre de l'ensemble de la Nature avait été bouleversé par l'homme qui commence maintenant à récolter les résultats qu'il a semés.

    Les dévas leur avaient indiqué que toute nourriture obtenue avec leur coopération était d'une valeur vibratoire nutritive plus élevée. Pour des raisons d'économie, ils étaient forcés de vivre presque entièrement des produits de leur jardin. Cette nourriture. avec l'air pur, le soleil, les bai-ns de mer et l'eau pure, froide et abondante, leur permit de purifier leur corps. Plus ceux-ci s'affinaient, plus ils étaient aptes à absorber l'énergie des rayons cosmiques du soleil et de l'air, et moins ils avaient besoin de nourriture solide. Ils construisaient ainsi des corps capables de capter les nouvelles fréquences et les énergies qui entrent dans la Terre à mesure que celle-ci avance dans l'Ere du Verseau.

    Au printemps 1967, Elixir reçut des nouvelles instructions: le jardin devait prendre une nouvelle extension et devenir un lieu de beauté. Il fallait planter des arbres, des arbustes et des fleurs. Cette expansion nécessita l'acquisition de nouvelles parcelles ce qui leur fit en tout une superficie de 8.000 m?. Le sol ingrat était considéré comme parfaitement impropre à la culture d'arbres à feuilles caduques, mais ils décidèrent néanmoins de tenter l'essai et de planter arbres et arbrisseaux. C'était la fin avril et il était déjà trop tard pour planter mais, ils plantèrent un noyer et d'autres arbustes dans le sol sablonneux. Un été sec suivit. La croissance du noyer atteignit 14 pouces (35 cm) - chose étonnante étant donné le climat défavorable - La taille et la couleur des fleurs dans les nouvelles plates-bandes de sable pur. sans rien d'autre (tout le compost avait été utilisé et il n'en restait plus), étaient véritablement sensationnelles. Un deiphinium (pied d'alouette) atteignit une hauteur de 8 pieds (2 m 40) et il avait une énorme floraison. Toutes les fleurs avaient des couleurs brillantes et scintillantes de qualité exceptionnelle. En tait beaucoup de visiteurs leur déclarèrent n'avoir jamais vu, nulle part. un standard aussi élevé et aussi régulier darrs toutes les sections, et ils renonçaient à comprendre comment cela pouvait se faire dans un sol aussi pauvre et dans un climat nordique. Ce n'était certainement pas dû à l'expérience du jardinier!

    Au cours de cette période ils apprirent beaucoup de choses au sujet des Esprits de la Nature et de la manière dont ils devaient rechercher leur collaboration. Un jour au printemps, Caddy demanda à Dennis qui avait été avec eux depuis 3 ou 4 mois, s'il voulait bien élaguer les buissons de genêt qui étaient déjà en fleurs. Il le lit à contre coeur et tout en taillant, il expliqua aux Esprits de la Nature que ce travail devait être fait car les genêts empêchaient la croissance des arbres à fruits qu avaient été plantés pour leur fournir de la nourriture. Caddy avait l'impression d'avoir pris la seule voie possible puisque leur objectif premier en ce temps-là était de se procurer de la nourriture. Plus tard au week-end, Roc arriva et demanda immédiatement ce qu'avait pu être fait pour mettre les Esprits de la Nature en révolutîon. A ce moment, personne n'avait aucune idée de ce que cela pouvait être.

    En descendant vers la plage par le chemin bordé de buissons de genêts, Roc s'aperçut qu'il avait été suivi par une quantité de petits elfes qui voulaient savoir pourquoi l'homme avait démoli leurs maisons. lls vivaient semble-t-il dans les fleurs de genêts et les balais et ils dirent à Roc qu'ils avaient tous quitté le jardin refusant de travailler là à cause de cette destruction irréfléchie. Roc leur expliqua que cet acte avait été accompli par ignorance. Aussitôt que Caddy comprit la situation. Il s'excusa auprès d'eux et leur demanda de revenir ce qu'ils firent.

Depuis ils taillent les plantes lorsqu'elles ne sont pas en fleurs. Plus tard, Peter et Caddy reçurent le message suivant :

    "Rappelle-toi Peter, qu'à FINDHORN où un pionnier fait l'expérience de la coopération entre l'homme et les dévas et les forces de la Nature, les plus grandes précautions doivent être prises pour éviter toute acte pouvant offenser. Ceci s'applique tout parculièrement aux Esprit de la Nature qui s'activent dans le jardin. Si vous ne respectez pas leurs principes, vous ne pourrez pas continuer à compter sur la collaboration de ces êtres dont beaucoup doutent encore que l'homme soit digne de mériter leur aide. La coopération avec les esprits de la Nature est une affaire double. Il ne suffit pas pour l'homme de croire en eux et de demarder leur concours. Il doit aussi respecter et éviter de faire quoi que ce soit qui puisse les offenser, Il y a certaines pratiques courantes dans beaucoup de jardins qui ne devraient pas être utilisées ici. Peter en tant que maître du jardin, doit prendre les décisions, mais il doit être averti que, s'il commet une faute, de sérieux inconvénients en résulteront. Non seulement les forces de la Nature partiront du jardin, mais une pénalité sera imposée en plus. Et elle sera sévère car il n'aura maintenant plus d'excuse à offenser ces esprits et ne pourra ptus plaider l'ignorance comme ce fut le cas pour tes genêts".

    "Aussi pour Caddy et pour tout le groupe aujourd'hui, c'est la méconnaissance et le discrédit de l'homme concernant ces Etres qui a provoqué la séparation entre ces mondes qui devraient travailler ensemble. Pour eux il est essentiel qu'une réconciliation soit recherchée et réalisée, il ne suffît pas de croire simplement en eux et de solliciter leur aide. Il faut apprendre à les connaître et essayer de comprendre leurs caractères de façon à ne rien faire qui, par ignorance, puisse les offenser et les faire partir."

    L'histoire du jardin de Findhorn, telle qu'elle est racontée par l'un des membres de cette communauté, Peter Caddy, peut paraître à certains esprits réalistes, invraisemblable, ou même purement fictive. Comment admettre aujourd'hui, en effet, que des hommes de notre génération puissent communiquer avec les Dévas ou les Esprits de la Nature ? Nous aurions d'ailleurs hésité plus longtemps à la publier telle, si nous n'avions pas eu connaissance du témoignage d'un personnage éminent de Grande-Bretagne, un historien de très haute réputation, qui eut l'occasion de se rendre sur les lieux et de constater de ses propres yeux la richesse des cultures entreposes à Findhorn. Comment admettre que des plantes, des fleurs ou des légumes aient pu pousser et résister dans un sol composé presqu'uniquement de sable ?

    En effet à Paques 1968, Sr George Trevelyan rendit visite à Peter CADDY à Caravan-Site, dans la Baie de FINDHORN en Moray. Les caravanes étaient entourées d'un ravissant jardin. Il y avait des jonquilles et des narcisses d'une beauté et d'une taille qu'il n'avait jamais vues, au milieu de planches bourrées d'autres fleurs. Un jeune chataignier haut de 2 m 40 était au centre, éclatant de puissance et de vigueur. Des arbres fruitiers de toutes sortes étaient en fleurs. En un mot, c'était un des jardins les plus vigoureux et les plus productifs qu'il ait jamais vus, avec une qualite de saveur et de couleur sans pareille. Plusieurs espèces d'arbres à larges feuilles et d'arbustes y prospéraient magnifiquement bien que l'endroit soit situé sur la pente coté terre de dunes battues par les vents. D'autres habitants de Caravan Site, voyant les extraordinaires résultats obtenus par leurs voisins, plantèrent aussi des choux et des jonquilles mais ils n'obtinrent que de rares et chétifs spécimens Caddy déclare avoir eu des choux pesant 21 kgs.

    Voici ce qu'il écrit à propos de Findhorn : "Je n'ai pas la prétention d'être un expert en jardinage, mals je suis membre de l'Association du Sol et je m'intéresse aux méthodes organiques. J'en ai vu assez pour savoir que le compost et la paille mélangés a un sol sablonneux et pauvre, ne sont pas suffisants pour convenir à un jardin. Il doit y avoir, je pense, un "Facteur X" à prendre en considération. Quel peut-il être ? J'ai pressé Caddy pour qu'il m'explique cela. Ici il nous faut faire le plongeon et ce qui suit va séduire les uns, mais sembler inacceptable aux autres."

L'ANGE DU PAYSAGE

    "Le groupe de Caddy a choisi de vivre une vie centrée sur DIEU. Elixir, la femme de Caddy, a des contacts médiumniques journaliers avec les plus hauts plans spirituels qui lui donnent directement des conseils et des enseignements. Une autre partenaire : Divina, est une sensitive qui peut également écouter en pleine conscience, les entités supérieures. Ils connaissaient le monde des Dévas qui peuvent étre considérés comme les architectes des formes des plantes, le monde des êtres élémentaux de la Nature (Sylphes, gnômes, ondines du monde des fées) qui sont les ouvriers chargés d'exécuter les lois divines de la croissance et des formes des plantes. Donc ils décidèrent de chercher du secours auprès d'eux et Divina, très simplement, se mit en méditation et demanda le Déva des Pois pour un conseil. Immédiatement elle eut la réponse claire dans sa pensée. Ils agirent en conséquence et continuèrent à demander des instructions aux dévas des autres plantes. Par la suite, ils eurent contact avec un être qu'ils appelèrent «l'Ange du paysage», qui contrôlait tout le secteur. La réponse des dévas est donnée à Divina dans sa conscience supérieure, sous la forme de pensée ou d'impressien très claire qu'elle traduit en paroles.

    Afin de prévenir toute critique, je peux affirmer que je sais bien qu'il existe nombre de sensitifs (médiums) avancés qui sont en contact direct avec le monde des dévas et qui travaillent avec eux - Rudolf STEINER connaissait bien la question et fonda ses méthodes bio-dynamiques sur cette connaissance et sur ses investigations dans le domaine des forces formatrices éthériques. Les "Jardiniers aux doigts verts" travaillent naturellement, mais inconsciemment, avec les Esprit de la Nature à cause de leur pur amour des plantes. Ce qui apparait comme nouveau à FINDHORN, c'est qu'il s'agit d'un groupe d'amateurs qui se lancent dans le jardinage en partant de zéro, qui emploient le contact mental direct avec le monde des dévas et qui, en pleine conscience, basent leur travail sur cette collaboration, C'est une véritable Association des deux mondes: l'Humain et le Spirituel ".

    Les anciens acceptaient naturellement le Royaume des Esprits de la Nature sans poser de question car c'était pour eux un fait normal confirmé par la vision directe et par l'expérience. Les clairvoyants celtes peuvent encore voir "le petit peuple" (voir l'article sur «Les fées » l'Autre Monde n°11). Le développement de notre conscience intellectuelle moderne a provoqué l'abolition de cette connaissance dans notre pensée et ces choses sont plutot considérées comme superstition. Pour George Trevelyan, une explication possible est que, chez l'homme moderne, les organes de perception du monde super-sensible se sont atrophiés en contrepartie de l'évolution de l'esprit scientifique analytique. Les Esprits de la Nature peuvent être aujourd'hui tout aussi réels qu'ils ont toujours été, mais ils ne sont plus perçus, sauf par les humains qui peuvent re-dévelepper la faculté de les voir et de les fréquenter. La Science spirituelle actuelle montre que cela est possible et que l'investigation consciente des mondes supérieurs est de la plus grande importance pour notre compréhension de la Vie. Peut-être que ce phénomène qui nous préoccupe n'est tout simplement qu'un des nombreux exemples de la brèche que font les plans supérieurs dans le mur (de la matérialité) pour établir de nouvelles possibilités de coopération créative.

    Pour George Trevelyan, la portée des résultats obtenus est vaste. Ils démontrent littéralement que le désert peut fleurir comme la rose. Ils montrent l'étonnant progrès que ceci peut apporter. Si ce travail a pu être fait si rapidement à FINDHORN, il pourrait être accompli aussi au Sahara, si un nombre suffisant d'hommes pouvaient commencer à utiliser réellement et consciemment cette co-opération, les produits alimentaires pourraient être récoltés en abondance dans les régions les plus stériles. Si le "Facteur X" pouvait être mis en jeu au sommet de nos méthodes organiques, Il n'y aurait virtuellement pas de limite. Même si nous faisions sauter une partie de la surface de la planète, elle pourrait être purifiée de nouveau - mais seulement si nous travaillons consciemment avec ces forces directrices de la vie.

    Beaucoup d'autres qui voudront reconnaître et aimer les Esprits de la Nature pourront constater, même s'ils ne sont sensitifs en aucune manière, que leurs jardins commenceront à croître et à rendre comme jamais auparavant. Ils sentiront qu'ils sont dirigés par une intuition plus sûre pour faire les travaux les plus profitables aux plantations et a leur entretien.

LES ESPRITS DE LA NATURE

    Ce simple processus de préparation au contact direct des dévas peut être tenté par n'importe quel homme pourvu qu'il ait de la bonne volonté envers l'esprit. Le moindre cynisme provoquerait probablement le départ des esprits de la Nature. Si plusieurs groupes ou centres se lançaient dans une expérimentation consciente, les résultats des essais devraient être publiés dans un bulletin périodique afin d'établir des comparaisons.

    Et pour conclure, George Trevelyan ajoute :

    
"Le phénomène est si extraordinaire qu'il faut avoir un esprit grand ouvert et sans aucun préjugé pour ce genre d'investigation. Le débat consiste, je le répète, dans le fait que quelque chose arrive qui apparait comme étant au-delà des méthodes normales d'agriculture organique. Selon l'opinion de plusieurs experts qui ont visité FINDHORN, il ne s'agit pas de voir les choses trop simplement comme par exemple attribuer les résultats obtenus à l'emploi d'un bon compost. La qualité des fleurs et des légumes qui poussent dans le sable suffit à le démentir, et si quelqu'un croit pouvoir obtenir les mêmes résultats par les procédés habituels, qu'il essaye donc dans les dunes de sable avoisinantes. Ce serait une expérience intéressante à faire. La possibilité de coopération avec les dévas devrait être étudiée sérieusement. Le temps est venu de parler plus ouvertement de ces choses. Les résultats pratiques obtenu par un groupe d'amateurs doivent attirer l'attention sur ces choses. Beaucoup de gens sont maintenant prêts à les comprendre et le fait qu'il puisse y en avoir assez pour comprendre et travailler dans ce sens serait probablement d'une importance prépondérante dans la situation actuelle du monde."

Paul Ledoux

       Article mis en page le 18/04/03, et revu le 03/06/05, et revu le 25/07/08.

IDYLLE Fred

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

Retour à la page d'accueil