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Lettre ouverte à un internaute dont l'e-mail
n'est plus opérationel
.


I Introduction.

      C'est en début de Janvier 2007, que nous avons eu le privilège de recevoir d'un aimable internaute, une très importante missive, ayant trait aux diverses missions "Apollo", et à l'installation d'appareils, comme des rétro-réflecteurs, sur le sol lunaire. Nous lui avons envoyé à l'époque, une longue missive, qu'il a très probablement reçue. Mais en voulant, ces temps-ci, recontacter cet internaute, le Mail Delivery System, nous a averti que son e-mail ne fonctionnait plus.

      Aussi nous allons, tenter par cette lettre ouverte, de le contacter à nouveau, et par la même occasion, nous allons vous transcrire ici quelques éléments de notre première missive.

     

II Genèse de l'affaire.

      Voici donc la missive importante de cet internaute ( les couleurs sont de nous évidemment) :

----- Original Message -----
From: Dominique D.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, January 08, 2007 12:45 AM
Subject: informations sur votre article : "Ameriquechocretour", est-on allé sur la Lune en 1968 ?

                  cher Fred,

           Merci pour votre site ARTivision, si généreux en informations et en données. Je n'ai pas fini de l'exploiter, il y a tant de pistes pour moi qui travaille sur ces thèmes de présences depuis des dizaines de millenaires dans l'univers et sur Terre, d'êtres, Elohims ou autres, qui sont devenus nos dieux, alors que ce sont nos ancêtres du cosmos (référence explicite à l'oeuvre de Maurice Chatelain : Nos ancêtres venus du cosmos).

      Certains articles de votre site sont discutables, et c'est leur but, vous les presentez pour l'analyse critique et objective de vos lecteurs, et je vous remercie de cette ouverture d'esprit.

      Aussi, dans cet article "l'Amérique, choc en retour", la controverse est posée, sur la base d'analyses et de reportages, de la présence réelle des astronautes sur la Lune, ou de documents fabriqués sur terre.

            Pour ma part cette présence sur la Lune des astronautes ne fait aucun doute, je vous livre mon expérience personnelle :

      En 1969, j'étais jeune ingénieur dans un grand centre de recherches francais, à la division lasers militaires. J'ai cotoyé la plateforme d'experimentation de trajectographie laser de la Lune, un dispositif avec telescope et laser de puissance permettant de tirer au laser sur la Lune pour en mesurer l'écho de lumière en retour, et, par chronométrie ultra-precise, d'en calculer la distance en permanence et donc la trajectoire et parametres d'orbite, à quelques mètres près !

      Cet ensemble d'instruments complexes était dirigé par le professeur Bivas, astronome (je crois à l'observatoire du pic du Midi), puis monté à l'observatoire de Stéphanion, en Grèce, plus favorable par sa position. Compte tenu du mauvais retour lumineux de la Lune (l'Albedo lunaire est très bas), nous n'avons pu effectuer des mesures précises avec un retour de lumière suffisant en quantité (on comptait les photons!), qu'apres que les astronautes aient déposé sur la Lune des rétro-réflecteurs (sorte de petits miroirs très précis renvoyant la lumiere dans l'exacte direction de l'emission) en une position en coordonnées lunaires que la NASA a rendue publique imm&diatemment, au moins dans le monde scientifique. Ces dispositifs devant être alignés et reglés précisément en place sur la Lune, il ne fait aucun doute pour moi que les astronautes ont bien déposé et réglé sur la Lune ces dispositifs optiques (ce travail faisait partie de la mission). Ces rétro-réflecteurs étaient fixés sur le LEM qui restait en place après la mission.

      En effet, à partir de l'été 1969, nous avons enfin obtenu des échos clairs et puissants, en visant avec le laser le point de coordonnées lunaires qui nous avait été communique par la NASA, comme bien d'autres laboratoires du monde d'ailleurs.

            En résumé : avant la mission Apollo, pas d'echo mesurable, 2 jours après leur retour : échos puissants et bien localisés sur le point cible indiqué (Mer de la Sérénité si ma mémoire est bonne). Cette mission technique de la NASA n'est connue que des scientifiques et n'a pas attiré l'attention du public alors, sensible seulement au sensationnel.

           Donc ils y sont allés (et aucun robot à l'époque n'aurait fait ce travail !).

            Avec toutes mes amitiés.

            Dominique D.........

      Après avoir indiqué à l'internaute Dominique ( qui nous contactait pour la première fois ) les tenants et les aboutissants du site ARTivision, où règne un certain pragmatisme, qui consiste à suivre une démarche qui est toujours soutenue par des documents très prosaïques, souvent rares, mais que chacun peut se procurer dans les bibliothèque et les librairies, cela afin d'éviter toute spéculation stérile et inutile, nous lui avons parlé de ce qui va suivre en utilisant le ton de la confidence, si cher à ARTivision

     Pour commencer, disons que cet exposé est une sorte de prolongement à ce qui est présenté dans la vidéo suivante, qu'il convient évidemment de vite regarder et enregistrer , avant qu'elle soit retirée du Net (comme cela arrive souvent ces temps-ci) :

http://www.dailymotion.com/video/xwbp9_imposture-de-la-lune-et-des-america_family

     Voici, en vrac, donc quelques éléments de notre missive en date du 9 Janvier 2007:

     Début de citation .

      ".............Il n'est pas besoin d'être, un agrégé en philosophie, ou un fortiche en psychologie, pour se rendre compte que certains dirigeants en Haut Lieu de cette planète, s'évertuent à dénaturer les faits, pour mieux nous abuser souvereinement.

      Pour comprendre le comportement aberrant de ceux qui nous manipulent, il faut savoir que tout est relatif dans ce monde et le domaine de la Science est fonction du niveau d'évolution de ses chercheurs dans le Temps et l'Espace. Le Vrai (à un certain degré de connaissance de nos universités) est donc aussi impalpable que le Faux. Les lois que l'on applique à un moment donné doivent s'adapter aux découvertes nouvelles pour les intégrer tant soit peu. Mais les révolutions culturelles sont difficilement acceptées par les mandarins , et des "martyrs" en font souvent les frais. L'histoire de la Science est criblée de cas de cette nature. Ce fut évidemment par exemple, le cas des théories d'un certain Velikovsky , et de celles de tas d'autres chercheurs hors normes.

     Les théories d' Immanuel Velikovsky, ayant trait à des bouleversements planétaires, ont été sévèrement combattues, vous le savez sans doute bien, par les Universités qui enseignaient que la Terre s'était formée progressivement sans cassure brutale, donc sans catastrophisme. Et maintenant on admet parfaitement que les dinosaures auraient été exterminés à la suite de la chute sur Terre d'un météore géant. Donc on admet implicitement "les boulversements planétaires" préconisés par ce Velikovski.

     J'ai deux ouvrages d' Immanuel Velikovsky : "Mondes en collision" publié chez Stock en 1976 , (mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York 1950) et aussi "Les grands bouleversements terrestres" également publié chez Stock en 1982 , et dernièrement la revue ésotérique "Le monde de l'inconnu", lui a rendu un hommage très mérité sur de nombreuses pages... dans son n° 305 :


     On admettra donc un jour, de la même manière les révélations osées d'ARTtivision , dont je rappelle quelques exclusivités, lancées en près de 10 ans, en sur le Net français :

 - l'affaire exclusive du Paris Match 1028, lancée dès le 28/08/1998 et concernant une "superstructure" placée sur la face cachée de la Lune.
 - L'affaire des pierres synthétiques moulées des pyramides d'Egypte, (J'en ai parlé le 27/12/06, dans mon article Avinsky.html, à la suite de l'article extraordinaire du Science&Vie de Déc. 2006 et dès Nov 99, et j'ai alors affirmé l'impossibilité de l'existence des carrières d'extraction des pierres des pyramides et du fait que ces pierres avaient été réalisées par un procédé de cristalisation du sable. Or la science vient de me donner raison et on peut découvrir le développement de cette affaire à l'article :


avec notre paragraphe "Nouveau prolongement en date du 03/01/07 : Quand la Chaîne ITÉLÉ, nous parle des pyramides".
 
 -  l'affaire de la Lune artificielle téléportée à son emplacement actuel , exclusivité d'ARTivision  présentée dès le  4/12/1999 ,
 - l'affaire de la Terre symétrique nommée Anti-Terre par les grecs, exclusivité d'ARTivision présentée dès le 28/05/01 ,
 - l'affaire des pyramides sur Mars, des constructions sur la Lune,
 - l'affaire des ouvertures polaires et la Terre creuse, présentée en exclusivité à l'époque dès le 17/09/2000,
 - l'affaire incroyable du soleil central à l'intérieur de la Terre,
 - l'affaire ahurissante du Soleil froid , autre exclusivité d'ARTivision présentée dès le  21/12/2000,
 - l'affaire de la Terre et le Soleil qui sont des organismes vivants,
 - l'affaire de l'intercommunication fondamentale entre les êtres vivants , ...etc..et  j'en passe  

    Donc  dès qu'une information importante m'est transmise par les internautes, je la place à la fin de l'article correspondant dans un prolongement spécifique, ou moi même je découvre dans une revue de mes dossiers une surprenante information comme justement , je l'ai fait  le 22/12/06 pour mon article déjà plutôt hors normes :

http://www.artivision.fr/poissonfossile.html

Dans cet étrange nouveau paragraphe , (il s'agit de la révélation incroyable d'une habitante de l'Ile de la Réunion) , et vous avez dû vous rendre compte que là, , on tombe carrément à la renverse.

     Il vous faut donc savoir d'abord que dans mes articles, je fais de mon mieux pour découvrir les recoins souvent secrets de choses, si difficiles à croire, que d'emblée les biens-pensants , non avertis me rangent dans la catégorie des mythomanes.

     En attendant sachez que vous avez donc bien fait de m'écrire, et vous allez vite voir pourquoi!

      De plus je vous invite à sauvegarder cette missive qui ne manquera pas de vous surprendre, j'en suis certain par son caractère exceptionnel.

     Vous pourrez ainsi la transmettre à des amis très chers car les informations qu'elle contient dépassent de très loin tout ce que vous pouvez découvrir dans les médias habituels qui ont pignon sur rue et même les élaborations intellectuelles des auteurs de Science-Fiction très chevronnés .

     D'emblée pour commencer, je vous dirai que le site ARTivision s' insère parfaitement dans le contexte de ce que j'appelle "Le Temps des Révélations", (Vous n'ignorez certainement pas ce concept, et je vais vous en dire plus plus bas) qui nous conduira inéluctablement vers une nouvelle ère de Paix et d'harmonie. Mais que de tribulations nous attendent d'abord...

      Donc Cher Dominique , je vais donc vous expliquer ici que le site ARTivision est un site très particulier et vous allez vite découvrir, au travers des lignes de cette missive, pourquoi ...

     Il vous faut donc savoir que si pratiquement tous mes articles constituent cette "quête d'un savoir perdu" , que de nombreux sites mettent ces temps-ci en exergue, la notion de la contraction du Temps et celle de sa réversibilité dans des dimensions supérieures , ne me sont pas étrangères et je pourrai une autre fois vous entretenir de mes expériences personnelles à ce sujet.

      En effet, à travers les lignes que je vous trace aujourd'hui, vous découvrirez que le Hasard , que les savants relient à la "La notion de simultanéïté", n'existe pas en fait, et que tout est réglé par des lois, dont nous ne soupsonnons même pas l'existence, et lois qui prennent racine dans un complexe multidimensionnel , hors de notre portée actuellemment, à moins que l'on ait atteint le niveau de ceux que l'on appelle les "Maîtres" . (Je n'ai hélas pas le temps de développer ici ce concept).

     Mais quoique vous puissiez en penser, sachez que le fait que vous ayez eu le besoin de vous rapporcher du Webmaster d'ARTivision , n'est pas du tout le fruit du hasard et maintenant que vous me dites que vous avez su apprécier certains articles de ce site, je vais pouvoir m'étendre un peu (et hélas cela risque d'être assez long) sur ses caractéristiques, pour vous permettre de pénétrer plus avant dans ses arcanes vraiment ésotériques et fantastiques , et vous verrez plus tard que le terme "fantastique" n'est pas usurpé du tout.

     Il faut aussi savoir que les recherches d'ARTivision , s'appuyent avant tout sur les ouvrages du Maître initiateur que fut Lobsang Rampa ( qui est pourtant toujours très critiqué par les journalistes ignares), sur ceux de l'ami Guy Tarade et de Robert Charroux (je viens justement dans un article en date du 7/10/06 de lui rendre un vibrant hommage) et aussi cela va de soi, sur ceux de Serge Hutin, de Jacques Bergier (savant atomiste), d' Erich von Daniken, de Charles Berlitz, d'Andrew Tomas, de Brinsley le Poer Trench, ou encore de Maurice Chatelain (Ancien spécialiste ayant travaillé à la NASA, que vous connaissez bien ) ou de Pierre-Moatti (Ancien Préfet), de David Hatcher Childress , de Graham Hancock, et bien d'autres...qui furent il n'y a pas si longtemps bien critiqués par les biens-pensants de l' intelligentsia universitaire . Tous ces auteurs, furent de puissants précurseurs préparant les Temps Nouveaux et ce sont eux, qui ont d'abord assumé , hélas, les crititiques et rires sarcastiques des détracteurs d'antan, qui désormais adoptent un profil bas, vis à vis des découvertes cosmiques, comme celles qu'ARTivision s'évertue à mettre en exergue.

     Mais vous écrivez cependant aussi : " Aussi, dans cet article "l'Amerique, choc en retour", la controverse est posée, sur la base d'analyses et de reportages, de la présence réelle des astronautes sur la Lune, ou de documents fabriqués sur terre.Pour ma part cette présence sur la Lune des astronautes ne fait aucun doute, je vous livre mon expérience personnelle ........."

      J'apprécie fort bien votre argumentation technique mais comme vous n'avez pas encore lu tous mes articles , je vous dirai d'abord que je n'ai écrit nulle part, que les américains ne sont jamais allés sur la Lune, mais seulement qu'ils n'y sont pas allés avec les Apollos et le Lem . Il n'y a pas de contracdiction avec votre propos .

      Si vous jetez un coup d'oeil à mon article :

http://www.artivision.fr/Affairegravaslune.html

, vous y trouverez cci :

"Tous ces détails s'accummulent progressivement (et de très nombreux sites s'en font désormais l'echo sur le Web), et tendent à prouver bien que la NASA nous a menti, et que les américains ne sont jamais allés sur la Lune avec aucune fusée Apollo et aucun Lem. ".

     Mais maintenant je vais devoir monter là, le niveau ésotérique de cette missive et je vous invite d'abord (si vous avez parfois des palpitations cardiaques), à consulter dès maintenant votre cardiologue...

     Si les américains ont effectivement déposé des appareils de mesure sur la lune (votre missive le prouve bien) et aussi distribué de vraies pierres lunaires , (des 382 kg qu'ils avait ramassés), parcimonieusement aux savants de la Terre pour étudier le sol de la Lune, comment les américains ont-ils pu les recueillir, s'il est démontré qu'ils n'avaient pas les moyens techniques de débarquer à ce moment là sur la Lune, à l'époque où les ordinateurs, je l'affirme, n'avaient même pas la puissance d'une calculatrice de lycéen actuel. Revoir à ce sujet mon article :

http://www.artivision.fr/unplusdansespace.html


     La seule manière que l'on puisse concevoir, c'est qu'ils sont allés sur la Lune par le moyen des ovnis des extraterrestres (les Petits Gris) avec qui, ils ont fait alliance bien avant 1969. (note postérieure d'ARTivision : Tout cela est parfaitement expliqué sur le site :

http://conspiration.ca/ufo/confessions_agent_secret_du_vatican.html )

     C'est dur à encaisser n'est-ce pas ? Voyez cependant en détail la fin de mon article :

http://www.artivision.fr/Soriarevelations.html

, et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici le paragraphe très révélateur que j'ai mis en ligne dès le 23/07/2003 :

e) Où Soria, très succinctement, parle de bases extraterrestres souterraines.

     De nombreux textes circulent ces temps-ci sur le Web parlant des Petits Gris qui auraient conclu des accords avec certains dirigeants de cette planète. Une très courte phrase de Soria en page 26 du 5è livre, semble confirmer au moins leur existence:

" Alors écoutez ceci : La vie se meut à la surface extérieure de cette planète (votre zone d'habitation) en poursuivant sa progression à l'intérieur de la croute Terrestre. (deuxième Zone) où résident des êtres (voir l'ouvrage Telos cité plus haut : note du Webmaster) hautement évolués ( il s'y trouve également des bases, très proches de la surface, habités par des extra-terrestres peu enclins à l'Amour et à la Lumière de Vie) et dans la troisième zone, le cœur de votre sphère de vie (Voir alors nos articles sur la Terre creuse: note du Webmaster). Vous abritez trois secteurs forts de Vie "

       La phrase en rouge ci-dessus est sans contestation relative à l'existence de méchants extraterrestres dans notre sous-sol, mais si ici, il n'est pas précisé ici que nos gouvernants ont pris contact avec ces êtres négatifs dans le paragraphe suivant, extrait  de mon article "Baiser maudit",   aucune ambiguité n'est plus possible à ce sujet  et tout cela tiré des pages 51 à 53 du  second livre de Soria: "- Maîtrise du corps ou  unité retrouvée " Sept.2001.

" Dans des coffres-forts cachés sous terre et bien gardés sont rassemblés tous les documents attestant des visites d'extra-terrestres et des expériences tentées sur eux. Vous pourrez lire également les traités signés entre vos gouvernements et les extra-terrestres peu scrupuleux de votre bien-être à tous. Vous êtes les esclaves des régimes en place. Aucun pays n'ignore ces traités. Nous avons pu observer toutes les réactions de vos gouvernants dans le but de garder leur pouvoir, jouant les apprentis sorciers avec des énergies qui les ont dépassés et mettant en danger l'équilibre de votre planète.

   Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques, si ce n'est que nous avons dès le 9 octobre 2001 commencé la traduction très difficile d'approche d'un texte extraordinaire qui est la confession avant sa mort d'un officier de sécurité de la base militaire DULCE aux USA nommé Thomas Edwin Castello....A suivre dans l'article .

Fin de citation

     Donc il est clair que certains américains (pas obligatoirements les astronautes désignés) ont pu parfaitement déposer vos retro-reflecteurs, et tout autre instruments, dans les lieux choisis pour les prétendues missions lunaires, et cela ne pouvait que satisfaire les scientifiques admiratifs. De plus, il faut désormais aussi que l'on revise totalement nos croyances à l'égard des soviétiques de l'époque. Ils ont évidemment été aussi contactés par les Petits Gris et c'est en accord avec les américains qu'ils ont profité des avances technologiques de ces derniers. Le concept de Guerre froide, instauré dans les années 60 et suivantes, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec ces Petits Gris.

      D'ailleurs, voyez vous-même , ce que Bill Kaysing, (ancien spécialiste en construction des moteurs Apollo, et qui ne croit pas du tout, au débarquement lunaire), en pense :

 

      Selon nous donc, les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison d'Etat supérieure , à tout ce qui est économiquement et socialement valable. S'ils ont laché prise c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron plus puissant que les américains et les soviétiques et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus.

 
 
 J'aurais eu bien du mal à croire cela,  si Soria n'en avait pas parlé d'une manière aussi claire.
 
Si vous relisez mon article :
 
http://www.artivision.fr/lettreouverteSA.html 
 
vous y trouverez aussi ceci : "La photo qui sert de préambule à cet entretien avec cet astrophysicien , est accompagnée d'un petit texte explicatif, où nous relevons la boutade suivante, d'une grand-mère (qui aurait pu être la nôtre) à qui on apprenait, le 21 Juillet 69, l'arrivée des américains sur la Lune: "J ' y crois pas ! ils ont fait ça dans un studio... Ils nous ont tous bernés !". ".
 
     Et bien d'après les dernières découvertes,  c'est bien elle qui avait raison.
 
 Mais, vous avez aussi cette page extraordinaire qui confirme bien tout cela :
 
http://www.artivision.frdocs/affaireSchneider.html
 
 
D'autre part enfin, la cerise sur le gâteau est venue en plus, ces temps-ci, des pages :
 
http://www.artivision.fr/Winmakers.html 
 
http://www.artivision.fr/Andersontexte.html 

      Bonne lecture donc, mais je tiens à vous avertir, qu'il est préférable pour le deuxième texte d'attacher solidement votre ceinture, car il risque d'y avoir de très sérieuses turbulences, et pourtant texte qui prouve qu' ARTivision, est bien situé à la croisée des chemins .

 
 
   C'est ainsi Cher Dominique que  certaines "vérités" que l'on croit bien affirmées, se trouvent de années après, souvent contredites.
 
 
 Prenons parmi tant d'autres quelques éléments extraits de mon article intitulé :

 http://www.artivision.frdocs/Nasatangible.html


b) Mystère n°2

     En deuxième point, nous allons analyser cette photo tirée du Paris Match 1138  du 27 Fév. 1971 et dont la légende explicative de la revue est la suivante: "Les Ornières zigzagantes de la brouette: le chemin sinueux qui part du Lem est la trace de la "brouette" lunaire  en aluminium. Il témoigne de l'effort épuisant des astronautes . Ceux-ci en effet  devaient  au cours de  leurs deux sorties  modifier  à chaque instant leur itinéraire  afin d'éviter les rochers et les cratères. D'autre part, ils étaient terriblement gênés par les rebondissements de la brouette dont les pneus se trouvaient trop gonflés dans l'apesanteur, et pourtant le poids du véhicule qui aurait été de 40 Kg  sur terre, n'était sur la lune que de  6,75 Kg."

 



    Vous constatez donc en premier lieu qu'il n'est pas fait mention dans le commentaire ci-dessus (et non plus d'ailleurs, dans tout le reste du texte de l'article du Paris Match) du disque lumineux qui brille de toute sa splendeur dans le coin supérieur gauche de la photo et qui ne peut en aucune manière, être le soleil, car les rayons lumineux éclairant la scène, viennent sur le document, beaucoup plus grand de Paris Match, d'une source lumineuse située beaucoup plus à gauche de ce petit disque. Aucune explication satisfaisante n'a jusqu'à présent été donnée sur la présence insolite de ce disque dans ce paysage lunaire d'Apollo 14. Si vous croyez qu'il s'agit bien du soleil, et que nous sommes victimes  d'une illusion d'optique(souvent mise en avant pour noyer le poisson), alors, voyez à droite une autre photo, où il ne peut plus y avoir d'équivoque, car deux "soleils" sont alors présents.

  Cette photo célèbre de la Nasa peut être vue page 94 de l'ouvrage "Des Astres, de la vie et des hommes" de Robert Jastrow aux Editions du Seuil du début de 1971.On y voit l'astronaute Aldrin lors de la mission Apollo 11, qui déploie  un dispositif destiné à mesurer le vent solaire. De même, aucune explication n'est  apportée par l'auteur du livre sur la présence de ces "deux soleils" pourtant extrêmement brillants sur le fond noir du ciel. Avis aux amateurs...
Fin de citation.

   Il y a trente ans, je pensais que les disques lumineux  représentaient des soucoupes volantes d'observations, venus d'ailleurs espionner les astronautes, mais maintenant je suis convaincu qu'il s'agit simplement de reflets parasites de projecteurs, non prévus par la NASA. Ce qui prouve une fois de plus que ces photos ont été faites sur Terre dans les centres de simulation du Névada ou ailleurs dans des centres encore plus secrets.

       D'ailleurs il ne faut pas  l'ignorer ,  c'est un américain même , qui le premier a tout dévoilé du grand bluff, à ces risques et périls dès 1976 . En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé  Bill  Reid  Kaysing ( déjà nommé plus haut), dans un ouvrage paru aux USA en cette année,  et  intitulé  "We never  went to the Moon" publié par la Société of  Metaphisicians LTD.

     Bill  Reid  Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'est un ingénieur à la retraite de la société  Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.

       Pour les puristes , qui recherchent plus de détails, disons aussi que cet ouvrage a été écrit en collaboration avec un certain Randy Reid (nous n'avons aucune information sur lui), et voici donc quelques images de plus sur cette affaire :

  


  


      Cet ouvrage, hélas jusqu'à présent, n'a jamais été traduit en français, et ses auteurs sont bien cependant, tout simplement, les précurseurs incontestables, qui avaient déjà à l'époque flairé le Gigantesque  Bluff , à l'égard de l'humanité, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les "fusées Apollo".

      Cela explique aussi le comportement inadmissible de  Neil Armstrong, l'homme le plus célèbre de la Terre à l'époque.

     En effet  dans toute cette affaire, au moins une vérité indiscutable, c'est le fait que certains astronautes sont revenus de la Lune, totalement déboussolés et en particulier le premier d'entre eux, Neil Armstrong qui est comme "un ours en cage" et ne veut, parait-il, plus entendre du tout parler de la Lune, et surtout le second Buzz Aldrin qui aurait été interné deux fois et qui de plus, aurait prononcé cette phrase très insolite lors d'une interview: "On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés". Voir à ce sujet l'exceptionnel Paris-Match1242 du 24 Fév. 1973, dont le titre de l'article est à mon avis déjà, en lui même, très explicite: "Ils sont encore dans la Lune". Il y a donc bien "anguille sous roche".

    Pour certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, par exemple, mes déclarations sur Armstrong, l'homme qui, le premier, parait-il, a mis le pied sur un autre "astre que la Terre" et qui aurait pu amplement en tirer profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 :

    "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".

    Mais il y a le témoignage encore plus direct de David Adair, un ingénieur de réputation internationale spécialisé dans l'aéronautique, et ayant travaillé pour l'Air Force et la Navy des USA.

    Le 12 Mars 2006 l'internaute Jean B.... a eu la gentilesse de m' envoyer l'adresse du site suivant :


où nous lisons la phrase importante de David Adair :

    " Je connaissais Von Braun quand j'étais gosse parce que je travaillais déjà très jeune sur des fusées au début des années 70 au moment où des hommes marchaient sur la lune. A une heure et demi de voiture de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait à Wapakenneta. Sa mère - Viola elle s'appelait - et moi, nous nous sommes liés d'amitié. Elle était une sorte de seconde mère pour moi, on se voyait tout le temps et je pouvais donc voir Neil également. Souvent d'ailleurs, je me rendais chez eux, je passais devant Neil sans y prêter attention parce que c'est Viola que je venais voir. Et Neil appréciait cela, le fait que je ne sois pas intéressé par sa célébrité et que j'aimais tout simplement sa mère. Neil était un homme très renfermé qui vivait comme un ermite... car lorsqu' il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine façon littéralement disparu."

    Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs, qui justifient parfaitement, mon avis, l' expression "Ours en cage", citée ci-dessus et qui s'expliquent parfaitement en admettant le fait qu'Armstrong a été blessé dans son orgueil d'être humain , devant toute cette mascarade du Gouvernement américain et de la NASA sa complice.

    En voulez-vous une derniere petite preuve présentée en exclusivité par ARTivision il n'y a pas si longtemps qui met bien en évidence le
pragmatisme rigoureux de mon site, et pragmatisme qui embarrasse souvent ceux qui aiment faire des phrases ronflantes vides de clarté et de précision.

     Considérons en effet, voulez vous, de plus près, la photo NASA AS16-107-17446, d'Apollo16 :



     Voici  trois  adresses 
:
 
qui montrent  aussi cette photo qui présente  les prétendues  évolutions des astronautes Apollo16 sur la Lune . Comme vous allez le voir ce sont de très  petits détails souvent négligés par les observateurs (depuis au moins trente ans) qui sont mis en relief par ARTivision pour démontrer que la NASA a truqué absolument ces photos, pour occulter l'incroyable aux humains.

     Les américains sont sans doute bien allés sur la Lune, mais pas du tout comme on nous l'a fait croire avec le LEM et la fusée Apollo.

    Jetez en effet un coup d'oeil sur la trace de la roue de la jeep, qui arrivent au rocher que montre la flèche rouge.

     Dans son ouvrage intitulé "Lumières sur la Lune : le grand doute" paru aux Editions Carnot fin 2000 l'ami Philippe Lheureux (qui ne tient déjà pas la NASA dans son cœur) , a supposé page 40, que l'astronaute qui a conduit la jeep, où elle s'est arrêtée, est vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper sur un énorme rocher (au risque de casser un essieu ou quelque chose d'autre), et qu'il a aussitôt après, en plus, braqué brusquement à 90°.

     Mais ARTivision a une toute autre optique de cette affaire. Ceci s'adresse d'ailleurs
à tout internaute quelconque, bien curieux, ( vous en faites partie évidemment )   et mieux à tout photographe professionnel , je demande de  répondre à la simple  question clef  qui est la suivante :   La jeep est-elle  oui ou non , montée sur le rocher indiqué par la flèche rouge, en considérant évidemment les seules  traces laissées sur le sol ?

    Un  internaute à qui je demandais de me donner son  avis sur le fait que la jeep n'a pas pu monter sur le rocher pour laisser la trace visible sur la photo me répondait: "  " je ne puis donner un avis autorisé car bien que photographe averti , je n'ai pas de spécialisation reconnue en retouche et trucages photographiques.
 
 Je lui ai répondu que dans cette affaire, il n'est pas question de retouches ou de trucages photographiques, (bien que cela existe aussi sur cette photo) , mais simplement d'appliquer  un raisonnement basé sur une logique formelle que même un élève de sixième peut comprendre. Si la roue de la jeep est montée sur le rocher en question, il est alors impossible que la trace laissée par cette roue soit parfaitement collée au rocher. Il doit y avoir un espacement vide de trace, au bord du rocher. Pour être plus clair, voici une explication très schématique que je n'ai pas encore mis sur mon site car j'attends qu'un dessinateur me fasse la roue à l'échelle de l'image. Dans le schéma suivant en imaginant une roue plus à l'échelle, les deux flèches encadrent à peu près, au moins , la partie de la trace qui ne devrait absolument pas exister si la roue était vraiment montée sur le rocher. C'est clair et net et sans bavures.


(Note postérieure du Webmaster : Pour être fair play, précisons que les rationalistes détracteurs ont trouvé la parade à cela, en disant que : " En fait on doit imaginer une dénivellation importante tout de suite derrière le rocher. Comme une sorte de décaissement (que l’on devine peut-être un peu sur la droite) d’au moins 50 cm en pente raide. Donc la roue de la jeep est tombée derrière le rocher sur cette pente abrupte (là pas possible de voir de trace, puis 1m50 plus loin elle réapparaît en fait en remontant la pente (que l’on devine aussi un peu au niveau de la trace arrondie) et elle réapparaît visuellement juste derrière le rocher alors qu’elle se trouve en fait à plus d’1 mètre. Ce qui donne alors l’illusion d’optique d’une impossibilité de voir la trace à cet endroit si on ne tient pas compte de la différence de niveau. De plus la perspective sur les photos Apollo est très trompeuse , tout le décor semble comme écrasé, et il est donc possible que cette dénivellation n’apparaisse pas sur la photo mais qu’elle soit bien là. Et dans ce cas la taille de la trace s’explique aussi, c’est simplement qu’il s’agit d’une trace du passage superposé des DEUX roues droites, celle de l’avant et celle de l’arrière… et avec le décalage la trace qui apparaît comme la trace du passage d’une seule roue à cause de l’illusion d’optique, parait plus grande que nature…et parait donc impossible alors que ce serait logique avec cette thèse."

     Je réponds à cela que des infographistes confirmés, peuvent parfaitement déterminer avec les moyens puissants qui sont à leur disposition, si au bout de la fleche n° 1 de l'image suivante :



où, il n'y a aucune denivellation cachée possible, les traces de la roue passent sous les gravas. C'est cela qui donnera pleinemernt raison à ARTivision. Point barre.


    Autrement dit, le rocher et la terre avoisinante, auraient été placés accidententellement sur les traces de la roue, ( à la suite, par exemple d'un terrassement sur le sol voisin en dehors de la photo), après le passage du véhicule. Si ceci est confirmé par des spécialistes ( des infographistes surtout) qui travailleraient sur les documents originaux, (que je n'ai hélas pas), il en résulterait alors des implications énormes, car on ne voit pas du tout pourquoi, un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, va s'amuser à projeter de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep. (Note ultérieure très importante du Webmaster: Il s'agit désormais de savoir de quelle jeep il s'agit ? Voir plus bas). C'est donc une photo, faite sur Terre, dans le centre de simulation, où la terre a été remuée maladroitement pour une raison ignorée, et elle est venue couvrir le dessin de la roue de la jeep, avant que l'on ait pris la photo en question, et cela sans que le photographe de la NASA s'aperçoive de ce détail scabreux.

     Aux spécialistes de répondre au sujet de cette étrange anomalie, et à ce nouveau gros point d'interrogation, que je soulève ici, en avant première.

     Voilà donc un élément de preuve supplémentaire qui prouve que la NASA a menti, en prétendant que cette photo a été prise sur la Lune. D'où l'importance de mettre tout en œuvre pour faire éclater cette vérité, et cette photo nous en offre , le moyen inespéré.

    En partant de là, en les analysant averc soin on peut penser aussi que les autres photos des Apollos successifs sont également sujettes à caution.

     C'est simple comme tout, et tout à fait prosaïque n'est-ce pas... , et pourtant les implications en seront énormes, car ce sera la preuve absolue que la photo en question d'Apollo XVI a été prise sur Terre et non sur la Lune.

     Voilà cher Dominique, le genre d'informations qui retient l'attention toute particulière d'ARTivision.  Hèlas j'ai constaté que beaucoup de gens qui sont qualifiés pour se prononcer sur cette affaire cruciale, ont peur de se "mouiller", et les propositions ne sont pas légions. Seuls deux internautes ont su me répondre déjà et j'aimerais aussi avoir votre avis sur ce point précis, qui est très rationnel.

    Pour avancer dans ces analyses d'images des photos de la NASA, ce qu'il me faudrait trouver vraiment, c'est le logiciel qui permettrait de reconstituer le relief appararaissant sous des zones flous d'un paysage. Ce logiciel est sans doute  hors de prix et est réservé aux spécialistes et aux militaires qui cherchent à découvrir des structures camouflées dans des photos prises d'avion ou par des satellites espions. Un jour un internaute qui utilise ce genre de logiciel et qui n'a plus de famille que l'on peut menacer, sortira des photos  superbes et on ne pourra plus nier.

    En terminant j'aimerais aussi avoir votre avis sur l'affaire de la brouette d'Apollo 14, qui s'est déplacée dans une direction presque perpendiculaire au plan d'une roue visible. Voici d'ailleurs la photo prise sur Terre, de cette brouette et des astronautes Alan B. Shepard et Egar D. Mitchell à l'entraînement nous dit-on, en Arizona à Cottonwood où le site du cratère Fra Mauro a été reconstitué (Science & Vie n° 641 Fev. 1971)

  

     Nous constatons que cette brouette est bien massive avec tous les appareils qu'elle transporte, donc pas très facile à manier et devrait effectivement laisser des traces profondes sur le sol lunaire, même si sur la lune son poids est bien moins.

      Cette brouette (scientifiquement appelée le MET: Modular Equipement Transporter) est présentée en couleur sur une photo du Paris Match 1138  du 27 Fév. 1971 :


    La légende qui accompagne cette photo est : "L'instant du décollage. Shepard et Mitchell vont voir disparaître brouette et instruments. Sur le sol couvert des empreintes de leurs pas, ils aperçoivent l'ombre de leur antenne parabolique" .

    Il semblerait donc que la caméra ait été dirigée volontairement vers le sol pour filmer cet appareil désormais inutile et sans grand intérêt alors qu'un panorama du paysage lunaire serait bien plus enrichissant. On voit en effet sur cette photo de la brouette "abandonnée", deux traces assez nettes sur le sol lunaire (voir flèche double n°1), mais traces hélas qui s'arrêtent brusquement alors que la brouette est bien plus loin et n'est pas reliée à elles. Comment a-t-elle pu donc rouler jusqu'à son emplacement final si rien ne le montre sur le sol ? Mieux il semblerait qu'elle ait été tirée selon un angle très fermé sur une roue ( flèche 2 ) alors que l'autre roue de droite, elle,  n'a laissé aucune trace parallèle sur le sable meuble où des empreintes de pas se sont si bien imprimées. Cela nous suggere comme explication que cette brouette a été posée là, par un dispositif de levage , et alors la roue de gauche a frotté le sol, légèrement, lors de la mise en place. A vous de juger....

     De plus cette brouette est posée sur un câble (on aimerait bien en connaître l'utilité ici ), qui se prolonge à gauche de l'appareil ( flèche n°3 ) bien plus loin sur la photo beaucoup plus large du Paris Match (dont nous avons été obligé de couper une grande partie). Mais ce qui surprend, c'est que ce câble est enfoui sous le sable à certains endroits et on le voit à peine passer, pas loin du  bout de la flèche n°2, sortant du dessous de la roue de gauche de la brouette et il réapparaît de nouveau hors du sable au bout de  la flèche n° 4. Ce câble a-t-il été enfoui accidentellement à certains endroits, ou l'a-t-on déterré à la suite d'une mauvaise manœuvre ? Il est très important de le savoir, car dans la deuxième hypothèse, cela signifierait sans l'ombre d'un doute que tout cela a été préparé à l'avance car l'on voit mal en effet, un astronaute passer son temps précieux à enfouir un câble sous le sol lunaire, alors qu'il est plutôt gêné aux entournures par son scaphandre, et qu'il ne peut pas se plier pour réaliser une telle opération, au demeurant parfaitement inutile sur la Lune...A vous donc de juger encore ces points surprenants

     Voila donc cher Dominique, quelques interrogations, très prosaïques, que je vous soumets à votre perspicace attention.

     Je vous  prie d'excuser la longueur de ma missive (mais elle aura un jour l'importance qui lui revient de droit) et je vous transmets aussi, en terminant, mee souhaits de découvertes fructueuses et de souverains enrichissements au sein de la Véritable Connaissance, que vous recherchez assurément, puisque vous avez eu l'heureuse l'opportunité de contacter le Webmaster de ce site ARTivision .

      Une prochaine fois, si cela vous interesse bien sûr, je pourrai vous en dire bien plus sur les phénomènes extraordinaires qui intéressent les Pôles de la Terre, et qui sont occultés impitoyablement par ceux qui nous dirigent.

     Sur ce je vous dis, merci encore pour votre sollicitude envers ARTivision et je vous dis aussi dis à un de ces jours prochains si le Maître du Temps , n'y voit pas d'inconvenient .

       Vives cordialités
    tropicales
       Fred  IDYLLE

Fin de citation

       Hélas nous n'avons jamais reçu de réponse de cet internaute, et c'est bien dommage.

III Conclusion et dernier épisode.

      Le 22 Mai 2009, nous avons encore envoyé à Dominique cette missive :

----- Original Message -----
From: Fred IDYLLE To: Dominique  D....
Sent: Friday, May 22, 2009 4:52 PM.
Subject: Une affaire déplorable de traces de roues sur le sol lunaire.


            Très cher Dominique.

            Bonjour  de l'Archipel  de la Guadeloupe.

       Ce matin, je ne sais pas pourquoi, une forte invitation à retouver votre missive dans mes dossiers, a envahi mon esprit. Heureusement , je me souvenais d'un mot venant de vous à l'époque qui était le mot "réflecteurs " . J'ai mis alors en action mon moteur de recherche sur mon Registre des messages reçus, c'est ainsi que j'ai pu retrouver votre admirable missive en date du  08/01/07. J'y avais aussi répondu, dès  le 09/01/07, par une missive très importante, que j'espère vous n'avez pas perdue. Mais, je peux de toute façon, vous la renvoyer, si cela est nécessaire.

       Si je vous écris aujourd'hui, c'est pour avoir votre avis très autorisé sur mon dernier scoop ,  qui figure en bas de ma page de garde, mais que je vous retransmets ici :

       " Cependant les Maîtres de la Désinformation ciblée, sont bien ceux, qui, par exemple, ont élaboré cette célèbre photo NASA AS16-107-17446, d'Apollo 16 :



     Et c'est, ;nous le croyons franchement, grâce au fait que nous possédions par le plus grand des hasards ( Hum hum ) un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de cette image célèbre, nous avons  pu observer récemment ce qui suit , (grâce à la perspicacité d'une aimable internaute), et que nous avons pu en extraire, cette portion d'image :



    Cela démontrerait définitivement (selon nous, bien sûr) que cette photo était bidon et ne pouvait être faite que sur Terre ou être que le résultat d'un montage de plusieurs plans.
. (Pour plus de détails, voir la fin de mon article : Ameriquechocretour.html )

Que celui qui a des yeux, pour voir l'évidence, en tire la conclusion qui s'impose!!! ". Fin de citation.

       Je crois sincèrement que , tout est clair , net et sans bavure. Cette photo est bien truquée, car il est impossible que deux jeeps lunaires différentes aient pu fouler le sol lunaire à la même époque. Voyez d'ailleurs sur le site :
les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep (LRV) :

  

       Que pouvez vous donc me dire sur cette nouvelle affaire, que je viens de lancer sur le Net ?

      Donc cher Dominique, j'imagine que la seule réponse que pourront avoir désormais  les détracteurs endurcis et autres consorts  zététiques qui n'ont de cesse de trouver une raison pour défendre la NASA,  sera de dire  seulement alors :  " Oui la photo est bien truquée  pour des raisons stratégiques ou autres,  non communicables aux novices ...etc.. etc ..". 

     Mais, cette fois avec cette affaire impossible de deux traces de roues différentes sur la Lune ,  ils vont mordre la poussière.
     Mais en ce me qui concerne, sur ARTivison , j'appliquerai désormais strictement le dicton, que vous connaissez déjà, (voir ma missive du 09/01/07)

"Qui vole un jour un œuf, peut aussi voler un autre jour un bœuf . "

, ce qui signifie en clair ,que si l'on a découvert qu'une photo d'une mission Apollo est  absolument truquée ,  alors il n'y a aucune raison que ne pas croire que les autres le soient aussi.

     Donc tout est à revoir et c'est tout ce que nous présente la NASA dans les missions Apollo qui est sans doute faux, et je suis prêt à donner raison aux déclarations du médium qui dit, dans mon article :


au paragraphe VII du 20/02/06 :

"...And how the Apollo Moon Program was a cover-up of higher technology."
dont la tractuction exacte serait :

      " ...ou comment le programme spatial Apollo fût une couverture pour dissimuler une technologie bien supérieure. "

     En effet, ce texte extraordinaire en anglais, nous vient en premier lieu, d'un texte anglais transmis à l'adresse :


     Et, pour en savoir plus sur cette incroyable déclaration,, J'ai tout fait, pour contacter son Webmaster Terry Melanson à ce site :


     Hélas, et Oh désespoir, je n'ai jamais reçu de réponse. Peut-être aurez-vous, plus de chance , que moi !!!

       Je pense enfin, même, désormais, que l'affaire d'Apollo 13 , a été montée de toutes pieces, pour donner un coup de fouet à l'idée que le Monde doit se faire de la puissance de l'économie et de la technologie americaines. Puis comme cela n'a pas trop marché, on a inventé le coup de terroristes du 11 Sept 2001, qui n'a pas marché non plus, (voir les nombreux sites qui prétendent que c'est aussi une incroyable imposture), et voilà pourquoi la crise mondiale s'est installée.

                La Vérité est en marche,  rien ne peut, dès lors,  arrêter son cours.

      Vives amitiés  tropicales.
       Fred Idylle.


     Fin de citation.

     Hélas l'e-mail de cet internaute Dominique n'est plus opérationel, et c'est pour cela que nous lui adressons cette lettre ouverte.

IV Prolongement révélateur en guise de vérification .


      Certains internautes vont sans doute vouloir vérifier par eux même , cette incroyable affaire de traces de roues de la jeep lunaire dans l'image d'Apollo XVI.

      Voici un moyen d'y arriver, si l'on ne veut pas tomber sur une image très floue.

      Il faut partir par exemple, du site :


      Puis placer la pastille contenant un + sur l'image et cliquer dessus pour l'agrandir et puis visualiser le coin presqu'en bas à droite. Après capture d'écran, et aidé d'un logiciel requis pour cela, vous pouvez obtenir la portion d'image suivante :


      Aucun doute n'est possible, les deux traces visibles des roues de la jeep, sont parfaitement différentes. Point final.

IV Prolongement très prometteur en guise de vérification précise.


      Le 6 juin 2009, un nouvel internaute, nous envoyait la missive intéressante suivante :

----- Original Message -----
From: Olivier M....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, June 06, 2009 5:23 PM
Subject: traces de pneus differentes.

            Bonjour Mr Idylle ,

      Fidèle lecteur de votre site, je tiens à apporter ma modeste contribution au problèmes des traces de pneus différentes sur la photo de la mission Apollo 16 .

      La deuxième trace de pneu a une signature bien particulière, qui m'a immédiatement fait penser celle d'une jeep Willys.( voir photos ci-jointes )

  

      La jeep Willys a parcouru tous les conflits et tous les continents mais est elle allée sur la lune ?

      Il est plus raisonnable de penser qu'une de ces willys a traversé le plateau de tournage.

C'était à l'époque un véhicule très répandu dans l'armée Américaine .

            Cordialement.

            Olivier


       Bravo à Olivier, pour cette découverte. Il y a certainement d'autres traces de cette jeep sur d'autres photos d'Apollo XVI, et un internaute qui aurait collectionné une telle jeep, pourrait confirmer le détail des roues.

V Tentative de comparaison des traces de roues.


       Le 11/06/09, nous avons eu le privilège de recevoir la missive suivante de l'ami François :

----- Original Message -----
From: François de.............
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, June 11, 2009 9:04 AM
Subject: TRACES PNEUS JEEP.


              Bonjour Fred,

       C'est encore François, de métropole.

       Merci pour votre message. En retour, je vous adresse le seul document que je possède représentant les empreintes laissées au sol par une Jeep militaire chaussée de pneus neufs de 6.00 x 16 conformes à la monte préconisée. Ces traces sont laissées dans un sol recouvert de neige, qui avait le mérite de révéler des empreintes nettes et bien définies.


       Les traces laissées par ces pneumatiques bien connus ont par ailleurs été bien observées et bien rendues par le dessinateur Hergé, qui en a reproduit le détail dans son album "Tintin au pays de l'Or Noir", quand les frères Dupondt sont persuadés trouver une piste dans le désert alors qu'ils ne trouvent que leurs propres traces après qu' ils se soient perdus...

       Espérant répondre à votre attente.

              Toutes mes amitiés.

              François


       Fin de citation.

       Nous avons tenté, avec nos faibles moyens, un rapprochement des traces, et voila ce que cela a donné :


        Cela n'est certes pas très convaincant, mais un jour, sans doute, nous pourrons avoir des traces de jeep Willys, plus nettes....

VI Nouvelles confrontations. ( en date du 15/06/09)


      a) Le 12/06/09, nous avons reçu de l'ami Olivier, la photo suivante d'Apollo XVII, où nous avons placé certaines inscriptions :


        Mais voyons cela de plus près :


       En résumé, les traces supérieures (bien que difficilement visibles à l'oeil nu) sont, (on le voit après agrandissement) totalement différentes, de celles de la jeep lunaire LRV visibles en bas de la photo. Celles du haut, ressemblent en effet aux traces de la jeep Willys bien connue et déjà évoquée plus haut. Comme on ne pouvait pas amener une jeep Willys sur la Lune, on en déduit, une fois de plus, que cette photo est bien truquée, et qu'elle a été faite sur Terre, dans un centre de simulation de la NASA.

b) L'ami Olivier, nous a aussi envoyé cette photo d'Apollo XV, qui a été la première mission à utiliser la Jeep lunaire LRV:


      et voyons aussi cela de plus près :

  

      Sur la photo de gauche, on voit que les segments du dessin de la roue, ont une direction perpendiculaire au bord visible de la trace, et il n'en est pas du tout de même, pour les segments que montre le bout de la flèche rouge de la photo de droite.

      Il y a aussi cette photo d'Apollo 15AS15-87-11818 visible sur le site :

où l'on découvre ceci :


       Mais sur le même site, pour la photo d'Apollo 16 : AS16-107-17437, on voit alors :


       Vers le bas de la photo, on voit aussi que l'on a fait une manipulation, soit photographique, soit de terrain sur la trace de la jeep Willys.

      Mais il y a mieux, sur le même site, on trouve a nouveau clairement cette tentative de camoufflage très mal réussie, de la trace de la jeep Willys sur la photo AS15-85-11435 :


      Hélas pour la NASA, cette mauvaise tentative de camoufflage, nous permet de comparer à loisir, les deux traces qui sont bien différentes n'est-ce pas!!!

      Mais revenons encore à l'image agrandie :


      Analysons alors cette portion :


      Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici (vu la masse de la jeep LRV (Lunar Roving Vehicle) qui dépasse de loin celle de l'astronaute), c'est une tentative de voiler, la trace embarrassante de la jeep Willys par une manipulation photographique dérisoire.

       D'ailleurs, une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo AS16-107-17446 . En effet d'après le site :


, on peut lire : " Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."

       Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :


       Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16, les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune.

      Mais jetons aussi ce 12/08/09 , un petit coup d'œil sur cette superbe photo d'Apollo 16, placée à


      Quel beau panorama n'est-ce pas ?

       Mais, voyons cela de plus près :


      Bien que la roue semble métallique cette fois, elle a laissé une trace totalement incompatible avec les sculptures très obliques qu'elle porte. D'ailleurs la plupart des traces sur sol, découvertes dans les photos des Apollos, sont presques toutes des moitiés de traces de jeep Willys, sur lesquelles on a juxtaposé maladroitement, une moitié de traces de jeep LRV, comme le montre bien cette image placée à :


      et que voici, avec nos commentaires :


       Donc, à vous de juger, une fois de plus cette affaire de débarquement lunaire.


VII Un certain plus concernant un timbre inaugurant le débarquement sur la Lune (en date du 22/06/09).


       Comme ARTivision pense que le moindre petit détail, peut avoir son importance dans ces affaires traitant de l'espace, il nous vient aujourd'hui l'idée, de vous transmettre, la réponse que nous avions faite à un très aimable internaute canadien, qui nous avait parlé de sa découverte chez un antiquaire ami décédé, d'une magnifique collection de timbres et surtout d'une statuette aux traits négroïdes, mais aux yeux particulièrement bridés.

       Voici donc cette missive très importante :

----- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: Marshaal...
Sent: Saturday, November 12, 2005 10:37 PM
Subject: Re: Envoi d'un message : statue-inconnue-nov-2005 .

              Cher Ami du Grand Canada.

       Je suis très impressionné par la suite des événements, qui vous ont ammené à devenir un antiquaire très côté et un collectionneur de timbres d'une grande envergure.

       J'ai moi même une petite collection de timbres ( environ 500 ) uniquement attachés au domaine spatial. Ce qui est surprenant, c'est que je n'ai qu'un seul timbre des USA, émis lors du prétendu débarquement sur la Lune d'Apollo 11, alors que d'autres pays (surtout les pays arabes) s'en sont donnés à coeur joie pour se faire du fric en vendant des timbres sur l'espace de toute beauté alors que le pays le plus impliqué dans cette aventure spatiale, les USA, ont eu l'air de traiter cela par dessus la jambe, comme si cette aventure lunaire était sans importance... Affaire à méditer donc.

       Vous m'avez proposé de m'offir certains timbres pouvant m'intéresser. Merci infiniment, mais je crains de vous décevoir beaucoup en vous disant que je ne m'intéresse plus depuis belle lurette à cette affaire de timbres, que j'avais constituée pour plaire à mes enfants, il y a 20 ans. Mais comme ce n'était pas leur tasse de thé et qu'ils pensaient plutôt aux jeux vidéo et consort, j'ai tout abandonné, d'autant plus que j'ai vu que certains pays avaient trouvé,, un moyen de se faire du fric à bon compte en sortant à chaque événement spatial mineur des timbres pour le sanctifier. Je n'ai jamais cherché à connaître les côtes de timbres sur l'espace que je possède et quand j'ai lancé ARTivision, j'ai eu d'autres recherches bien plus passionnantes à faire que de courir après des timbres.

       Voici donc quelques timbres choisis parmi tant d'autres, notons celui de la Pologne qui présente le Spoutnik 1 du 4 octobre 1957 , le premier satelliste lancé par les Russes, il y a déjà 48 ans.




       En ce qui concerne votre superbe statue aux traits négroïdes, mais aux yeux très bridés lui donnant un bon petit air extraterrestre,



, évidemment n'étant pas archéologue, je ne puis me prononcer sur sa provenance. La première chose à faire c'est de contacter un spécialiste des statues anciennes à son sujet, et puis obligatoirement, un laboratoire pour la soumettre à un procédé de datation moderne pour en déterminer l'ancienneté, ce qui en confirmera la côte sur le marché. C'est tout, ce qu' hélas, je puis dire au sujet de cette superbe statue

.............................reste coupé pour raisons personnelles..............................


      Fin de missive.

Que celui qui sait lire entre les lignes de cette missive, en tire les conclusions qui s'imposent !

VIII Quand un aimable internaute nous interpelle au sujet d'une photo lunaire ( en date du 03/07/09)


      Le 30/06/09, nous avons reçu la très intéressante missive suivante :

----- Original Message -----
From: P L
To: Fred IDYLLE
Sent: Tuesday, June 30, 2009 1:02 AM
Subject: Phootolune SP 362

             Bonjour Fred

       Placée sur le site :http://www.hq.nasa.gov/office/pao/History/SP-362/contents.htm, vous avez présenté et commenté la photo SP-362 de la Lune dans votre article : AstroArcheologie.html :


       La première réflexion qui me vient à l'esprit, est que, les "triangles noirs" ne sont en fait que du caviardage de couleur noire pour maquiller très certainement "des structures gênantes".

       Ces triangles ne peuvent eux-même être des structures, car l'on verrait leur ombre, ce qui ne semble pas être le cas. D'autres parties de la photo en haute résolution ont été traitées de la même façon.

       Mais, il me vient une autre réflexion à ce sujet auquel, je n'ai pas de réponse : Pourquoi les sbires de la NASA diffusent-ils ce genre de photos "vraies", mais truquées et prises réellement en satellisation (pas comme celles prétendument "prises au sol"), alors qu'ils pouvaient ne montrer que celles qui sont totalement "convenables", et qui seraient, elles, sans truquages ? En effet de nombreuses autres photos non compromettantes pouvaient être choisies...Ce fait là, me parait très étrange !

      Cela est-il dû à l'euphorie des années 70, où le public n'avait pas accès à la haute résolution ? Peut-être, mais encore une fois, avec les nombreuses autres photo "naturelles", en réserve pourquoi donner des bâtons pour se faire battre ? Le public de l'époque aurait quand même été comblé. A moins que se soit une provocation savamment orchestrée, ou un clin-d'œil de "collaborateurs" pas très d'accord avec leurs "mentors"...

            Amitiés
               PL


      Voici alors notre réponse à l'ami PL :

             Très cher ami.

Bonjour  de l'Archipel  de la Guadeloupe .

      Je me suis bien sûr posé les mêmes questions que vous et j'en suis arrivé à la même conclusion que ces photos qui nous tombent dessus très opportunément sont l'œuvre d'ingénieurs rebelles de la NASA , qui s'amusent à nous tester.

       Ce camouflage de structures lunaires est connu. En voici un autre tout à fait notoire:



...et que vous trouverez sur ma page : http://www.artivision.fr/unplusconcernantlalune.html

       Ce qui me ferait bondir de satisfaction,  c'est qu'un de ces ingénieurs rebelles de la NASA, nous parle enfin , de l'Anti-Terre photographié sans doute par une sonde qui, en circulant en direction des planètes lointaines, a jeté furtivement un petit coup d'oeil de l'autre côté du Soleil par rapport à la Terre. Je viens à l'instant, en parlant de Jacques Bergier , de mettre cette affaire dans mon article http://www.artivision.fr/AstroArcheologie.html

       Votre missive est donc très importante et sera mise en ligne dès que possible.

       Sur ce, je vous souhaite donc encore de bonnes découvertes sur ARTivision (qui bouge beaucoup ces temps-ci), et je vous dis à un de ces jours prochains si le Maître du Temps, n'y voit pas d'inconvénients.

       Vives amitités tropicales.
              Fred Idylle.


IX Partons sur les "traces" de la jeep lunaire d'Apollo 15 ( en date du 04/07/09).


       Selon la rumeur Apollo 15 (26 Juillet 1971 - 7 Août 1971), fut une mission lunaire qui pour la première fois, a permis à deux astronautes d'utiliser la Jeep lunaire (LRV), et de parcourir dit-on 27,9 km sur le sol de notre satellite.

          Mais voyons cela de plus près :

       Sur les sites et bien d'autres :


, on peut découvrir cette photo d'Apollo15 AS15-82-11120 :


      Mais hélas, dans cette photo, on ne découvre aucune trace des roues de la jeep LRV, sur le sol, alors que des traces de pas sont nettement visibles, juste à coté du véhicule.


       La jeep était-elle si peu massive et donc bien moins lourde que l'astronaute, pour ne laisser aucune ligne sur le sol ?

      Dans la photo précédente, on ne peut pas voir hélas, la trace de la roue arrière gauche. La photo AS15-82-11129 du site hqnasa.gouv précédent, nous en montre plus :


      Il y a aussi cette photo d'Apollo 15AS15-82-11062, visible sur le site déjà vu :

où l'on découvre aussi ceci :


      A vous de juger cette nouvelle incongruité !! .

      Pour expliquer comment cette jeep a pu se positionner dans ce paysage, selon nous, deux possibilités s'imposent ici :

- 1°)  Cette jeep ne peut être arrivée là, que grâce à un dispositf de levage en forme de grue et cela évidemment ne peut se faire que sur Terre.

- 2°)  Cette jeep a été ajoutée au paysage, purement et simplement par un montage photographique adéquat.

      Une fois de plus, que celui qui a des yeux, pour voir l'évidence, en tire la conclusion qui s'impose !!!

      Mais il y a encore mieux, car sur le même site, on trouve la photo AS15-82-11056 qui suit avec nos commentaires spécifiques :


      A notre connaissance la NASA n'a jamais bien expliqué, cette boule lumineuse (ici structurée en forme de toupie) qui brille parfois étrangement dans le ciel lunaire des photos qu'elle nous présente.

      A vous, une fois de plus, de juger tout cela, sur piece.

      On pourrait parfaitement s'arrêter là, mais, il y a encore bien mieux, qui va faire tomber à la renverse le novice, qui découvre ces photos pour la première fois, car Philippe Lheureux, en a déjà parlé dès la fin 2000, dans son ouvrage "Lumières sur la Lune" (le grand doute), paru aux Editions Carnot.

      En effet, voyons maintenant l'image AS15-82-11082 du même site :


       Quelle belle crevasse n'est-ce pas, juste au devant de cette photo ?

     Réduisons maintenant cette photo à ceci, en coupant sur les bords :


       Mais y juxtaposant le haut de la photo AS15-82-11056, sans la fameuse "toupie", on s'aperçoit que les montagnes de l'arrière plan, forment un contexte totalement identique sur les deux photos :



      Or il faut savoir que lorsque le LEM s'est posé (photo du haut), il n'est plus question, qu'il se déplace. Où donc est-il passé sur la photo du bas, car il n'apparaît pas entre la crevasse et les montagnes ?

       A vous donc de juger cette nouvelle devinette !!!

      Mais, pour plus de clarté, ajoutons très empiriquement le LEM à la photo ci-dessus. On obtient grosso modo, l'image suivante :


, qui nous montre que le LEM est bien placé entre la crevasse et l'arrière plan montagneux. Pourquoi donc a-t-il disparu ? Encore une illusion d'optique, diront, n'est-ce pas, assurément les irréductibles détracteurs !!!

       A vous de juger...

X Quand la NASA avoue son incapacité actuelle d'atteindre la Lune ( en date du 30/08/09).


      le 28/08/09, nous avons reçu de notre ami Julien du Canada, l'url suivant :


     Comme l'information peut disparaitre un jour comme par enchantement, nous vous en transcrivons les termmes qui concernent apparemment Mars :

Ciberpresse.ca

Publié le 19 août 2009 à 10h45 | Mis à jour le 19 août 2009 à 10h49

Pourquoi la Nasa n'ira pas sur Mars

Pascal Lapointe

Agence Science Presse

     «Nous n'abandonnons pas Mars», s'est senti obligé de dire le président du comité chargé de faire le ménage dans les options qui s'offrent à la NASA. Mais le fait qu'il sente le besoin de le dire, signifie que les Martiens vont attendre : à court et à moyen terme, une mission vers Mars est irréaliste.

     À moins, bien sûr, que la NASA n'ait droit à une hausse spectaculaire de son budget, comparable à ce qui s'était produit dans les années 1960. Mais c'est là un scénario au moins aussi irréaliste que la mission vers Mars...

     Au lieu de cela, a déclaré le comité la semaine dernière, lors d'une dernière audience publique qui semblait annoncer à l'avance les conclusions de son futur rapport, les Américains devraient mettre en branle une stratégie étapiste : des missions présentant des défis de plus en plus grands, en vue de se préparer, un jour incertain, à - très hypothétique - séjour sur la planète rouge.

     Ces déclarations prudentes contrastent avec l'atmosphère qu'avaient tenté de créer les plus optimistes le mois dernier, à l'occasion du 40e anniversaire du débarquement sur la Lune. Oubliez la Lune, allez directement vers Mars, avait notamment enjoint «Buzz» Aldrin, le deuxième homme à avoir mis le pied sur la Lune.

     Idée d'emblée rejetée : «nous pensons qu'une mission directe vers Mars est une mission que nous ne sommes pas préparés à entreprendre, techniquement ou financièrement», a déclaré le président du comité, Norman Augustine, un ancien PDG de la multinationale Lockeed Martin, un partenaire privé de longue date de la NASA.

     Ce comité de 10 personnes a pour mission de remettre au président Obama, à la fin du mois, un rapport sur les priorités de la NASA. Parmi les interrogations : est-ce que survivra, intact, le projet de l'ex-président Bush, pour lequel les Américains ont dépensé 9 milliards depuis cinq ans, dans le but de préparer un véhicule susceptible de les ramener sur la Lune en 2020?

     Un retour sur la Lune, c'est aussi le coeur d'un nouveau livre. Intitulé The Seventh Landing (Le Septième alunissage, puisque six ont eu lieu entre 1969 et 1972), il passe en revue les obstacles, et ils sont plus nombreux qu'on ne l'imagine, de la conception d'un engin Terre-Lune jusqu'à la création d'un véhicule d'alunissage plus polyvalent que jadis, en passant par les bâtiments d'une éventuelle base lunaire. Or, le calendrier est de plus en plus serré :

     - une fusée Arès, similaire aux fusées Apollo de jadis, transporterait le successeur des navettes spatiales, appelé Orion, à partir de 2013;      - quelques années plus tard, une version améliorée d'Arès enverrait en orbite l'engin Altair; celui-ci rejoindrait la station spatiale, où amarré ensuite à Orion, il transporterait les astronautes vers la Lune.

     Déjà, le New Scientist s'attend à ce que le comité invoque les contraintes budgétaires pour plutôt viser 2018 pour le premier vol d'une capsule Orion vers la station spatiale, et 2028 pour le premier voyage vers la Lune. Léger problème : dans certaines projections, la NASA prévoit cesser de maintenir en vie la station spatiale dès 2016!

     Curieusement, dans tous ces scénarios invoqués depuis un mois, la perspective d'une collaboration internationale ne semble jamais émerger sur les écrans radars. Le nouveau directeur de la NASA, Charles Bolden, l'a évoqué pour des satellites d'observation de la Terre, alors qu'il témoignait devant le Sénat; le directeur scientifique de la NASA, Edward Weiler, a évoqué une collaboration avec l'agence spatiale européenne pour un robot martien. Mais sans plus.      Détail inattendu : Defying Gravity, une série télé américaine lancée au début du mois, où la science-fiction sert de décor aux déboires sentimentaux typiques des téléséries américaines, met en scène une première mission habitée interplanétaire... et internationale. La fiction devance la réalité?

     Vous avez bien noté qu'avec nos supers ordinateurs actuels, nos carburtants et notre technologie toujours plus efficaces, les spécialistes de la science spatiale comme le New Scientist, préfèrent tabler sur 2028 pour le fameux Septième Alunissage .

     On se demande alors vraiment comment les américains avec des ordinateurs balbutiants, des fusées et des Lems primitifs, ont pu réussir 6 supers alunissages comme dans un fauteuil, il y a déjà plus de 35 ans.

     Certains ont l'habitude de dire : " On n'arrête pas le progrès n'est-ce pas ?" Mais, il semblerait que ce vieil adage, ait vraiment du mal à s'appliquer dans cette affaire de prochain débarquement lunaire.

.      A vous de juger, une fois de plus, ces incongruités...

XI Quand on s'aperçoit qu'une pierre dite "lunaire" est fausse. ( en date du 3/09/09).


     Le 30/08/09 nous avons reçu de l'ami Claude, l'url suivant :


     La précieuse roche de la lune du Musée National de Hollande est un faux. Les "théoriciens de la conspiration" , vont se rejouir : On nous apprend après expertise que la pierre en provenance de la Lune n'est en fait qu'une roche de bois pétrifié. Certains spécialistes ont dit : "Ce serait formidable si elle provenait vraiment de la Lune, car il y aurait eu des arbres il y a un milion d'années". Le plus curieux est que le musée, en dépit du fait que c'est un faux, a décidé de la conserver quand même en tant que "curiosité" pour ne pas que les gens oublient combien héroiques furent ceux qui risquèrent leurs vies pour atteindre la lune. Un peu comme les documentaires la BBC de la 2e guerre mondiale. Les images sont vraies, mais les textes sont façonnés ou franc-maçonnés.

     Le musée avait acquis la roche après la mort de l'ancien Premier ministre Willem Drees en 1988 qui l'avait lui même reçue comme un don privé, le 9 octobre 1969 à partir de puis-États-Unis Ambassadeur J. William Middendorf lors d'une visite par les trois astronautes d'Apollo 11 .

     Middendorf, qui vit dans le Rhode Island, d'après les nouvelles néerlandaises NOS, aurait dit qu'il avait obtenu cette objet du Département d'Etat américain, mais ne pouvait se rappeler les détails exacts.

     Des chercheurs de l'Université libre d'Amsterdam ont déclaré qu'ils pouvaient voir en un coup d'œil la roche n'était pas de la lune.

     "C'est une indéfinissable, très jolie de pierres , mais sans valeur, et ne vaut pas plus que 70 $", affirma le géologue Frank Beunk, dans un article publié par le musée.


     D'autre part, nous nous souvenons bien d'un article publié par la revue Science&Vie, quelques mois avant 1969 et où il était précisé qu'on avait sous la main une certaine catégorie de roche, qui s'apparentait fort bien aux caractéristiques supposées de la roche lunaire. Hélas nous avons égaré l'exemplaire en question de cette revue qui en parlait. Nous serions évidemment très heureux de retrouver cet article.

XII Quand les jambes des astronautes s'effillochent étrangement sur les photos de la NASA (en date du 5/10/09).


      Si nous allons sur les sites :


ou sur la photo d'Apollo 11 n° AS11-4D-5874 du site :


      On découvre alors l'ombre des jambes d'Aldrin sur le sol, telle que :


       On est franchement étonné par l'effilochage considérable de l'ombre des jambes d'Aldrin et cela fait penser à un ajout sur la photo d'un dessinateur peu expérimenté. Bien sûr, les admirateurs de l'exploit d'Apollo 11, trouveront la parade et diront, par exemple, qu'il s'agit d'une illusion d'optique, que l'ombre est bien plus large, vu que le soleil était très bas sur l'horizon et que etc...

      Nous aimerions alors que ces admirateurs puissent appliquer le même raisonnement à la photo suivante d'Apollo 14 n°AS14-64-9089 du site précédent et que nous vous invitons gentillement à bien décortiquer :


       Nous avons alors grosso modo, dessiné par une flèche rouge la direction des rayons du Soleil, en copiant celle de l'ombre des deux petits cailloux encadrant notre flèche. Nous constatons alors que les deux jambes de l'astronaute sont pratiquement juxtaposées, si l'on tient compte de la direction du soleil, et il ne devrait absolument pas y avoir de vide, entre les ombres des deux jambes, comme le montre la photo. Des spécialistes de la photographie, ont bien voulu dessiner les ombres ainsi qu'elles devraient être, et cela donne l'image de droite :

  

     On voit alors que le côté gauche de l'astronaute est aussi nettement dans l'ombre, ce qui n'apparaît presque pas sur la photo d'origine.

     C'est donc, une fois de plus, à vous qu'il appartient de juger cette nouvelle incongruité, de cette dernière photo de la NASA.

XIII Quand des câbles insolites, jonchent le sol "lunaire" d'Apollo XIV ( paragraphe en date du 7/10/09).


     Nous avons déjà parlé, plus haut, de cette affaire d'un câble enfoui sous le "sable lunaire", et que nous avions à l'epoque découvert sur une photo d'Apollo 14, présentée par le Paris Match n°1138 du 27 Fév. 1971. Nous avons retrouvé la photo en question, bizarremeent inversée, sous le n° AS14-66-934 sur le site :



       De nombreux internautes, et nous-mêmes, nous nous étions posés la question de savoir, si ce câble avait été enfoui accidentellement à certains endroits, ou si l'on avait déterré, à la suite d'une mauvaise manœuvre. En effet dans la deuxième hypothèse, cela signifierait sans l'ombre d'un doute que tout cela a été préparé à l'avance car l'on voit mal dès lors, un astronaute passer son temps précieux à enfouir un câble sous le sol lunaire, alors qu'il est plutôt gêné aux entournures par son scaphandre, et qu'il ne peut pas se plier pour réaliser une telle opération, sans intérêt sur la Lune. Donc déjà ce câble posait problème. Mais le 05/10/09, nous avons détecté sur cette photo un deuxième câble, également enfoui à certains endroits du sol. C'est donc, encore une fois, une manipulation supplémentaire délicate, à attribuer à ces astronautes devenant alors de véritables câbleurs aguerris :


      Jetons maintenant, un nouveau coup d'oeil, à la photo ci-dessus AS11-40-5874A, où Aldrin, est au garde-à-vous devant le drapeau américain. On y voit alors, sur la gauche, un cable tout à fait hors sol, à tout moment, ce qui est très logique :


      Il en est de même, pour la photo A17-136-20 704, tirée du site :


où l'on découvre d'admirables voluptes d'un câble, reliant deux appareils, et câble qui d'ailleurs ne projette, chose bizarre, aucune ombre sur le sol :


      Alors, si on peut donc, admettre qu'une fois le câble ait été, pour Apollo 14,, enfoui accidentellement sous le sol , il est beaucoup plus difficile de croire, que cela soit arrivé deux fois de suite, pour le même équipage.

      A vous de juger, une fois de plus, tout cela...

XIV Quand la "Diplomatie", entre en jeu (paragraphe en date du 29/10/09).


      Ces derniers temps, nous sommes entrés en possession du n°9 hors série d'Août-Sept 2009, de la Revue DIPLOMATIE dont voici la couverture :


      Sur la photo de la NASA présentée, il y a de nombreuses anomalies.

      Nous parlerons d'abord du super panneau avec le drapeau des USA et l'inscription United States. Comment donc ce panneau, qui est totalement à contre jour (voir la zone d'ombre qui l'entoure) puisse révéler son contenu avec tant de netteté. C'est sans doute un panneau auto-luminescent.

      Nous sommes ensuite frappés par la blancheur et les rondeurs du mont en arrière plan et surtout par ceci :


      Ensuite, nous voyons, à peine perceptible, à droite et vers le bas de la hampe du drapeau, une trace de roue telle que :


      La direction des stries de cette trace est perpendiculaire au bord de la trace, ce qui prouve qu'il ne s'agit pas d'une trace de roue de la jeep LRV, mais plutôt de la trace d'une jeep Willys, impossible sur la Lune.

      Ensuite en cherchant plus loin, nous n'avons pas eu la chance de trouver en couleur, la même image sur le site pratiquement officiel déjà cité :


      Cependant, nous y avons retrouvé une photo, qui lui ressemble beaucoup, bien que le champ de vision, soit plus large presque partout. Voici cette photo :


      Ajoutons y quelques commentaires :


      Tout cela est de plus en plus révélateur, n'est-ce pas ?

      Mais analysons maintenant plutôt, les propos du chapitre intitulé "La conquête de la Lune (1968-1969) : le dénouement " ( Comme ils sont prétentieux ces écrivains en parlant de conquête, n'est-ce pas ? )

      Survolons alors en page 30 et en Décembre 1968 l'épopée d'Apollo 8 :


      Vous avez bien lu, n'est-ce pas, que la face cachée est grise sans couleur.. désolée et lugubre etc... mais chacun a bien voulu lire des versets de la Genèse, et cela à l'intention des terriens bien loin à 400 000 km de là, ( et sans doute aussi, un peu pour les Dieux, eux, bien présent, sur notre satellite, n'est-ce pas ?) .

      Plus loin, en page 32, on nous parle aussi de l'épopée d'Apollo 10 , où le module lunaire dans le voisinage de notre satellite, s'est séparé d'Apollo en Mai 1969, pour s'approcher jusqu'à 14 km du sol lunaire. Et là, on nous présente un petit médaillon de la surface de la Lune, photographiée par les astronautes de cet Apollo 10. Hélas, on ne dit pas si cette photo vient de la face cachée. Les spécialistes le découvriront sûrement.

      Mais nous avons noté cependant sur ce médaillon quelques incongruités :


      Bien sûr il y beaucoup d'autres anomalies sur cette photo, et un bon logiciel qui ne tardera pas à être commercialisé, nous en dira plus, nous l'espérons vraiment bientôt .

      Cependant, ce 30/10/09, arrivés à la page 34 de cette revue, nous avons apprécié ce passage :


      Comme le dit le commentateur, il eu été plus beau de planter, le drapeau de l'ONU , si l'on est venu sur la Lune au nom de toute l'Humanité.

      Mais ce qui retient encore notre attention ici, c'est ce nouveau médaillon, où pour Apollo XI, les astronautes Neil Armstrong et Buzz Aldrin, plantent le drapeau américain sur la Lune. Dommage que ce commentateur qui, nous dit-on, est un historien de la conquête spatiale et de la dissuasion nucléaire, (nous préférons dire, bien sûr, un historien de l'épopée spatiale), n'ait pas jugé bon de nous dire, qui a pris cette photo ? Et où était placée la caméra en question? A-t-elle été commandée de la Terre ? Ou plus rare encore les astronautes avaient-ils une sorte télécommande avant-gardiste, à leur disposition ? Les spécialites trouveront certainement la réponse.

      Mais voyons l'image de plus près sous un autre cadre :


      Observons bien les ombres des astronautes sur le sol lunaire. Ces derniers sont proches l'un de l'autre n'est-ce pas, (ils tiennent en effet le drapeau tous les deux), et on sait de plus que le Soleil est à la même hauteur pour tous les deux. On remarque alors que l'ombre de l'un, sur le sol lunaire, est pratiquement le double de l'autre.

      Mais à 16h20, ce jour, nous avons placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que l'ombre portée mesurait 98cm, pour chacune des bouteilles :


      En conclusion, l'explication que nous pourrions fournir à ce phénomène des ombres différentes est que, soit les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona), soit pire encore, qu'il s'agit d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément.

      A vous de juger cette nouvelle affaire saugrenue!!!

      Mais ce 31/10/09, il nous vient à l'idée de vous transcrire ici, la missive suivante de l'ami Olivier :

----- Original Message -----
From: Olivier
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Friday, July 24, 2009 8:03 PM
Subject: Anniversaire du premier pas sur la lune

            Cher Fred,

      
Extrait du dossier de l'Express concernant les 40 ans d'Apollo 11.

      Clichés de voyage.

      " En plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales . Au total , 18 663 photos ont été prises manuellement et près de 15 000 par des caméras automatiques".

      Le temps total passé sur la Lune toutes missions confondues est de 4834 minutes .

      Donc, officiellement ,, en dépit de toutes les taches qui leurs incombaient, les astronautes ont eut le loisir de prendre 3,86 clichés par minute, soit presque une photo toutes les 15 secondes .....

Hallucinant !       Dans ce même dossier on peut aussi lire ceci :

      " Pour beaucoup , il n'y a aucune ambiguïté : le projet Apollo était politique , et n'a jamais eu de réelle ambition scientifique".

      On peut donc conclure que le programme Apollo avait principalement une ambition photographique...

      Cordialement .

            Olivier


      Fin de citation

      Mais revenons à notre texte "Diplomatique". Nous en extrayons cette fois deux autres images :

  

       La première de gauche nous présente le minois bien souriant d'Armstrong de retour dans le module lunaire et donc on suppose que ce module lunaire était toujours sur la Lune. Il serait intéressant de savoir si c'est Adrin qui a pris cette photo ou si l'appareil a été posé tout seul dans un coin du module en question. Logiquement il devrait exister une photo souvenir semblable d' Aldrin, n'est-ce pas ? Les spécialistes sont certainement au courant.

       Donc voilà une photo souvenir bien calibrée, mais il y en d'autres qui seraient bien plus historiques (voir plus bas).

        Sur la photo de droite, nous avons souligné en rouge les passages importants qui prouvent que le débarquement lunaire a eu quelques difficultés à s'opérer et a failli même échouer car l' ordinateur primitif de l'époque a vite été saturé

      Voyons maintenant le trajet inverse pour quitter la lune et rejoindre le module de commande Columbia avec l'astronaute Collins :


       On voit alors que la jonction s'est faite (non plus en 2 heures comme la descente vers la lune) mais en 3h 39' 59" . Donc il fallait être bien patient avant les retrouvailles n'est-ce pas ?

       On découvre aussi que le commentateur a été très maladroitement inspiré en écrivant que Columbia attend, à environ 100km d'altitude, alors que ce vaisseau se déplace à (au moins la vitesse de satellisation néccessaire por la Lune) 1,67 km/s, soit 6012 km à l'heure .

       Donc l'étage supérieur du LEM, doit au moins quitter la Lune avec une extrême précision et atteindre à un moment donnée une vitesse légèrement supérieure ces 6012 km à l'heure, pour rattraper Colombia. Donc il faut de la poussée en réserve, n'est-ce pas !!! Et ce petit engin avec ses deux occupants, aura du bon boulot à fournir...

       Mais pour clore cette affaire, voici alors un autre passage qui vient de notre article :


     Début de citation

" Notons en effet aussi, ce fait important : Le 15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans tous les télés, radios et presses du monde entier.Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :



    Mais justement maintenant, il nous vient à l'idée que la Nasa n'a jamais montré pour Apollo 11 ( ni d'ailleurs, chose bizarre, pour aucun autre vol d'Apollo), (à notre connaissance bien sûr: les internautes qui en auraient la preuve nous ferait un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes Armstrong et Aldrin, revenant de la Lune et de leur compagnon d'infortune Michael Collins, lui privé, hélas, du débarquement et qui est resté sagement dans le module de commande à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or Michael Collins n'avait-il à sa disposition à l'intérieur de la cabine une caméra pour filmer tout ce qu'il se passait à l'extérieur sur la Lune. Aux spécialistes de répondre ".

   Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion au monde entier ? Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la Nasa.

      Or d'après la lettre précédente de d'Olivier, on sait désormais que :

" En plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.

    Tout est donc clair, et selon nous bien sûr, si Michael Collins n'a pris aucune photo du retour de ses privilégiés de copains après leur escapade très risquée sur la Lune, c'est qu'il n'y a jamais eu de rendez-vous lunaire et cela pour les 6 Apollos connus (On peut aussi ajouter Apollo 10), car cette opération était effroyablement risquée avec un materiel très primitif et pour un équipage qui n'en avait jamais fait l'expérimentation sérieuse à l'avance.

 Seule la  photo suivante déjà jaunie par le temps demeure dans nos archives. Elle est tirée   d'un calendrier publié en 1971 par les Editions LYS (B -8500) Kortrijk imprimé en Belgique:

   Cette photo est accompagnée au verso de la légende : " Eagle de nouveau en orbite lunaire le 21 juillet 1969, vers 2 heures de l'après midi. Retournant au Module de Commande d' Apollo 11, Armstrong et Aldrin se trouvent dans le module de décollage, juste après leur lancement de la Lune.. Ils commencent ainsi la première partie de leur voyage de retour à la Terre. En haut sur la photo, notre planète à demi plongée dans la nuit, au desuus de la courbe de l'horizon lunaire."

      Fin de citation

      Cette photo agrandie apparaît aussi sur deux pages dans le n° hors série de la revue Ciel&espace de 1999 page 42 et 43 avec la légende: "Fin de la première aventure lunaire...ce 21 juillet 1969, l'étage supérieure du module Eagle se propulse vers son rendez-en orbite avec Colombia sur fond de lever de Terre" (C'est dommage que cette revue n'ait pas, elle non plus, pu nous montrer une photo du rendez-vous à l'intérieur de la cabine...)

      Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre?   Nous attendons vos appréciations...

   A propos de cette photo ci-dessus, pendant que nous y sommes, nous remarquons sur la Lune, à droite du vaisseau, une zone rougeâtre très caractérisée, qui n'apparaît plus ensuite, sur les autres photos ultérieures de notre satellite. Aux spécialistes de nous dire pourquoi ?.

      Mais voyons maintenant autre chose sur cette affaire de rendez-vous spatial :

   En effet nous nous souvenons, que ces mêmes américains avaient eu, en Décembre 1965, un gros problème avec Gemini 6 (avec les astronautes W.Schirra et T Stafford) qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite cible qui devait être un étage de la fusée Agena spécialement équipée pour que le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son lancement, la Nasa décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau Gemini 7 (avec Fank Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire, puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions orbitales.

   Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1976 avec Gemini 8 (avec N. Arsmtrong et D. Scott).

    Nous n’avons pas trouvé d’exemple où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo différents (avant bien sûr la mise en orbite de la navette spatiale) se sont réunis dans la même cabine après un rendez-vous spatial programmé.

   Alors, on se demande comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans un fauteuil) 6 rendez-vous lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs qui n'avaient même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle d'écolier. Et cela en plus, malgré le terrible cône d'ombre électromagnétique que représentait la Lune, vis à vis de la Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à joindre.

   C'était donc là, l'un des moments les plus cruciaux de la trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune et, c'est là que nous avons le moins d'information et aucune image de cela.

       Si vous étudiez, en plus, le comportement aberrant de certains astronautes, on reste sidéré devant une telle attitude, car cela ne cadre pas du tout avec le stoïcisme et le caractère avenant que l'on prête en général à un héros de la nation et nous avons même proposé dans merlibre aux étudiants en psychiatrie ou psychologie de lancer une thèse à ce sujet.

      En effet, il y a de plus, dans toute cette affaire, au moins une vérité indiscutable : C'est le fait que certains astronautes sont revenus de la Lune, totalement déboussolés et en particulier le premier d'entre eux Neil Armstrong qui est "comme un ours en cage" et ne veut, parait-il, plus entendre du tout  parler de la Lune, et surtout le second Buzz Aldrin qui aurait été interné deux fois et qui de plus
, aurait prononcé cette phrase très insolite lors d'une interview: "On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés". Voir à ce sujet l'exceptionnel Paris-Match n° 1242 du 24 Fév. 1973 :


      D'ailleurs le titre de l'article en question est à notre avis déjà, en lui même, très explicite : " Ils sont encore dans la Lune".


      Donc ces astronautes seraient devenus des "misfits" donc des déxaxés par allusion à un film célèbre.

      Et il y a donc bien, "anguille sous roche".

      Pour certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, par exemple nos déclarations sur Armstrong l'homme qui, le premier, parait-il mis le pied sur un autre "astre que la Terre", et qui aurait pu amplement en tirer profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99  de l'ouvrage très documenté de  Pietro Banucci  intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 :

      "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs  reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre  1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à  laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".  


        Lorsque l'astronaute Armstrong a soi-disant débarqué sur la Lune (et cela 5 heures avant l'heure  prévue et pour cause),  il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé.  Jamais il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contaire) un panorama du paysage comme le fait tout alpiniste qui arrrive au sommet d'une montagne. C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra. Des spécialistes ont démontré d'ailleurs que la caméra n'avait aucune protection contre les dures conditions qui régnent sur la Lune et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...  

       Mais il y a le témoignage encore plus direct de David Adair, un ingénieur de réputation internationale spécialisé dans l'aéronautique, et ayant travaillé pour l'Air Force et la Navy des USA.

    Le 12 Mars 2006 l'internaute Jean B.... a eu la gentilesse de nous envoyer l'adresse du site suivant :



,où nous lisons la phrase importante de David Adair :

    " Je connaissais Von Braun quand j'étais gosse parce que je travaillais déjà très jeune sur des fusées au début des années 70 au moment où des hommes marchaient sur la lune. A une heure et demi de voiture de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait à Wapakenneta. Sa mère - Viola elle s'appelait - et moi, nous nous sommes liés d'amitié. Elle était une sorte de seconde mère pour moi, on se voyait tout le temps et je pouvais donc voir Neil également. Souvent d'ailleurs, je me rendais chez eux, je passais devant Neil sans y prêter attention parce que c'est Viola que je venais voir. Et Neil appréciait cela, le fait que je ne sois pas intéressé par sa célébrité et que j'aimais tout simplement sa mère. Neil était un homme très renfermé qui vivait comme un ermite... car lorsqu' il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine façon littéralement disparu.

       Arrêtons là ces propos significatifs,  qui justifient parfaitement, à notre avis,  l' expression  "Ours en cage", citée ci-dessus .

       On n'a jamais vu un américain cracher sur des montagnes de dollars qu'on lui apporte sur un plateau d'argent, et il suffisait qu' Armstrong boive  devant les caméras, par exemple un coca-cola, et il toucherait des milliers de dollars pour ce simple geste.

       Alors la seule façon de comprendre ce comportement très aberrant d'Armstrong, c'est de se dire qu'il a eu un sursaut évident,  de dignité et de moralité, et a refusé de participer à cette mascarade cosmique montée par son gouvernement et la NASA, pour de vulgaires questions de prestige politique, économique et militaire de sa nation.

       Alors on peut penser objectivement que :

1°)  Soit Armtrong a mis le pied sur la lune, grâce à  un appareil ultra-secret sorti d'Apollo, en orbite autour de la Lune, mais on lui a interdit de dire ce qu'il y a vu sous peine de représailles implacables sur sa famille et lui même (si l'on a pu descendre le Président Kennedy ce n'est pas un petit astronaute qui pourrait échapper à son sort quelque soit l'endroit où il irait se cacher).

       Mais il est clair que les photos montées à la Presse, sont manifestement truquées, nous l'avons vu plus haut.

2°) Soit Armtrong n'a jamais mis le pied sur la lune (d'où son refus très compréhensible de participer à cette mascarade de commémoration), et il s'est contenté de tourner quelques jours en orbite de la Terre, comme il l'avait déjà fait, et alors les roches lunaires avaient déjà été ramassées bien avant 69 par d'autres sbires du gouvernement américain avec les soucoupes des aliens.

        A bon entendeur salut !!!

XV Quand la "Diplomatie", dame le pion à une photo officielle. (paragraphe en date du 03/10/09).


      En poursuivant notre découverte de cette revue DIPLOMATIE HS d'Août-sept 2009, nous découvrons en page 56, les images :

  

       Bien sûr, que cette affaire du statut juridique de la Lune est importante, et nous renvoyons les lecteurs, à la revue en question pour en savoir plus. Mais nous préférons, ici, analyser plutôt la photo d' Apollo 17 présentée .

       Il est d'abord facile de constater que les deux roues de droite du véhicule n'ont laissé sur le sol, aucune trace visible, ni à l'avant, ni à l'arrière du véhicule. Seule une trace entre ces deux roues apparaît nettement sur le sol. Agrandissons donc cette trace pour y voir plus clair :

  

      On voit alors que cette trace ne correspond pas du tout, au dessin que devrait laisser la roue de la jeep LRV. Voyez vous-même :

  

       Mais retrouvons la même photo référencée AS17-147-22526, sur le site presque officiel déjà vu :


, où l'on découvre ceci :


      On voit alors que :

  

      Les stries entre les deux roues ne sont presque plus visibles, comme si elles avaient été dénaturées, par une manipulation photographique quelconque.

       C'est à vous qu'il appartient désormais de juger, cette nouvelle incongruité !!!

XVI Quand l'ancien cliché d'Apollo XVI, s'oppose au moderne. (paragraphe en date du 11/11/09).


      Nous avons déjà, dans divers articles fait allusion , au fait que nous avons eu le privilège de posséder, dès 1973 , un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de la célèbre photo NASA AS16-107-17446, d'Apollo XVI , déjà vue plus haut en long et en large :


    Rappelons que c'est l'astronaute Charles M. Duke Jr, le pilote du module lunaire d' Apollo XVI, qui, nous dit-on, se tient debout, le 22 Avril 1972, à côté du Lunar Roving Vehicle.

    Le Dimanche 6 Février 2005, nous avons pu enregistrer le volet de 30 minutes de la Chaîne d'alors, nommée "Planète Choc", intitulé "L'espace intersidéral" de la série d'émission " théories du complot".(Voir l'image ci-dessus):



       Voici maintenant une photo du britannique David Percy, photographe professionnel et producteur de films et qui, dans ce documentaire, se montre très sceptique sur la mission d'Apollo en question :


      Ce chercheur nous dit aussi alors :

     " Regardez le rocher en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).



    " On y voit écrit dessus la lettre C. (Note du webmaster: ce C apparaît aussi clairement sur notre poster ):



"Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur un rocher de la surface lunaire ?      Il s'agit certainement d'un rocher utilisé par des studios de cinéma et cette lettre désigne un emplacement précis. "
.


     Donc, selon nous, l'opérateur a simplement oublié de faire pivoter ce rocher pour cacher ce C, à la vue du photographe, et tout cela se passe évidemment alors, dans zone de simulation de la Nasa, et pas du tout sur la Lune.

     Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme la croix + placée à côté et utlisée pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, à des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant.

     Mais, ce qui est plus surprenant, c'est que, de très nombreux sites présentant dés lors des photos de cette "épopée lunaire", d'Apollo XVI, nous exposent le même rocher, toujours avec la croix +
à droite , mais le C de gauche, s'est volatilisé comme par magie. Voyez vous même, pour le site déjà connu :


     Et comparez bien cela, avec ce que nous montre notre poster :

     Quelle est alors l'autorité, qui a décidé de faire en douce le ménage ?

     C'est à vous qu'il appartient alors, de trouver désormais, la réponse à cette scabreuse énigme.

XVII Une simple confirmation de plus, concernant la jeep Willys (paragraphe en date du 18/11/09).


     Le 13/11/09, nous avons reçu de l'ami Xavier T.......la copie de la vignette de l'album d'Hergé "Tintin au pays de l'or noir", où l'on aperçoit des traces sur le sol de la jeep Willys. Nous vous laissons apprécier, le souci du détail que montre le dessinateur.


     Quelques jours avant Xavier nous faisait remarquer qu'il y avait un décallage entre les structures de droite et de gauche de la roue d'une jeep Willys. Voyez donc vous même :

  

     Bien que nous ayons découvert que la plupart des traces de la jeep Willys sont coupées à moitié ( et l'autre moitié n'étant qu'une dérisoire magouille photographique), il nous reste cependant ces deux cas :

     Pour la photo AS15-87-11818 vue plus haut, on découvre en bas à gauche ceci :


     Mais pour la photo hélas plus floue, AS15-85-11435, vue aussi plus haut, on découvre en bas à droite ceci :


     En conclusion, malgré toutes les manipulations faites autour des traces laissées sur le sol, il semble bien que l'on retrouve, par ci et par là, des structures qui ont bien l'air d'appartenir à une jeep Willys, et structures qui n'ont rien à faire sur la Lune.

Fin de la deuxième digression .

     Voyez donc mainetant la photo n°6 :


        A vous donc de juger, une fois de plus, tout cela !!!
.

XVIII Quand Paris-Match commémore ostensiblement, la prétendue conquête de la Lune, d'il y a 40 ans (paragraphe en date du 20/11/09).


     Le 18/11/09, par un heureux hasard (humm..humm) , nous sommes entrés en possession du Paris Match n° 3136 du 25 Juin au 1er Juillet 2009 qui titre, à la une :


     Sur 35 pages centrales, cette revue nous récapitule les tenants et les aboutissants du soi-disant débarquement lunaire des américains, avec les engins primitifs de l'époque. Nous avons cependant bien apprécié la page 89 (digne d'être conservée dans les annales) , et qui nous expose le titre :


     Pour en savoir plus prière de plonger dans la revue en question...

      Mais, si vous le voulez-bien, analysons alors quelques photos présentées dans cette revue :

     A la page 99, on nous présente cette photo, qui serait dit-on celle de Gene Cernan astraunaute d'Apollo 17 photographié par Harrison Smitt dans le Lem, après leur dernière sortie sur la Lune :


      Et, on nous précise bien alors, (et cela se voit parfaitement) que la combinaison de l'astronaute est couverte de poussière lunaire.

     Voyons maintenant la photo qui occupe la page entière 98 :


      D'une part, on voit que la chaussure droite de l'astronaute est propre comme un sou neuf, et n'a pas un grain de poussière sur son contour. (Il en est de même de la jambe droite visible de l'astronaute)      Mais voyons donc cela de plus près :


      Pas un grain de poussière n'est collé en dessous de la chaussure. Ne trouvez-vous pas cela bizarre? L'astronaute est-il passé directement du LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre si une telle chose est possible !!!

      Mais soyons plus pointilleux : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :


      On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues ( et on sait, plus haut, que cela a posé un gros problème ). Dommage aussi que l'on ne puisse pas voir un peu du sol qui précède la première roue de droite.

      Nous avons cependant, heureusement retrouvé ce detail, sur une autre photo AS17-137-20979 d'Apollo 17 :


      Là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et l'anguille est aussi bien sous roche, ici. Point barre.

      Mais un fervent inconditionnel du débarquement lunaire avec le Lem, nous dira avec assurance, que le LRV en question venait d'être posé sur le sol lunaire, et donc qu'il n'avait pas encore roulé, d'où l'abscence de traces.

      Cette photo porte sur le site bien connu, http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html, pour Apollo 17, le n° AS17-137-20979. Si l'on veut bien démarrer à la photo AS17-134-20378, où l'on voit l'astronaute Gene Cernan qui salut le drapeau américain, et où aussi, disons le en passant, l'on aperçoit en bas d'incontestables traces (à moitié trafiquées) de jeep Willys, sur le sol, on a ceci :


      Il existe alors des dizaines d'autres photos avant d'arriver à celle qui pose problème AS17-137-20979, et qui ne saurait donc être, selon nous, la première faite, quand on a déposé le LRV sur le sol. D'ailleurs même en utillisant une grue pour déposer ce LRV, on ne pourrait échapper au ripage autour des roues, et pourtant ici, il n'y en a pas du tout. En plus, cette photo montre une vulgaire réparation faite sur un garde-boue après maints déplacements, qu'aurait effectué ce LRV et donc il avait déjà bien roulé.

      Pour ternimer cette affaire, voici un petit dernier pour la route, à l'image AS17-134-20421 :


      Alors que des traces pullulent partout, le LRV lui, ne montre aucune trace de roues sur le sol.

      Mais le 21/02/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute F.C., la missive suivante :

----- Original Message -----
From: F.C.
To: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, February 21, 2010 5:46 PM
Subject: Compléments - quand les roues parlent

            Cher Fred,

      Un complément concernant vos travaux placés sur :



      A l'url :



      On découvre cette image :


      Qu'un certain agrandissement, montre sous la forme :


      Comme chacun pourra le constater, il n'y a aucune trace sur le sol des roues arrière (ou avant) alors que, en simple logique de conducteur, il devrait y en avoir derrière si le véhicule avançait. Et si ce véhicule était poussé en arrière par le cosmonaute, il devrait y en avoir en avant.

      Voici une dernière image montrant l'ombre atténuée de la roue arriére droite , où l'on ne voit aucune trace au sol de cette roue :


      Quand à ceux qui objecteraient que le sable a pu tout recouvrir, c'est clairement illogique, puisque de nombreuses traces de pas sont visibles un peu partout. Pourquoi donc n'y en a-t-il pas pour le LRV ?

      Meilleures Salutations de Suisse,

            F.C

      Mille fois, merci à F.C pour sa si aimable sollicitude .

Et à bon entendeur et vrai observateur salut!!!

       Mais ce 21/11/09, pendant que nous y sommes, au sujet de la revue Paris Match, et cela, bien sûr, pour le novice, qui aborde le site ARTivision, la première fois en entrant dans cet article, disons alors que, pour nous, Paris Match, en parlant plus haut de "conquérants" , a oublié hélas, les précurseurs que furent les astronautes d' Apollo 8, Franck Borman, Jim Lovell et William Anders, qui ont réussi, dit-on, le premier voyage habité de la Terre à la Lune, mais aussi, qui ont fait l'une des plus extraordinaire photo de sa face cachée. Le n° 1025 du 25 Déc. 1968, les présentait en effet en première page tel que :


      Cependant c'est, dans le n° 1027 du 11 janvier 1969, dont voici une portion de la couverture :


, que l'on nous présente cette intéressante image montrant le cheminement des 8 révolutions du vaisseau spatial d'Apollo 8 :


      Notre scanner ne pouvant pas prendre l'image en totalité, nous vous en avons présenté presque les 4/5 èmes.

      Le commentaire de la revue est alors : " Le trait indique les huit révolutions d'Apollo VIII à 112 km d'altitude. Ce parcours a permis le survol des sites convenant à un alunissage. Les nunéros désignent les cratères reproduits dans nos pages : 1: Cauchy ; 2: Gocleninus ; 3: Magelhaens ; 4: Colombo ; 5: Lagrenius. "

      Nous aurions, bien sûr, aimé avoir la même image correspondant à la face cachée de la Lune, car sur deux pages du Paris Match 1028 du 18 janvier 1969, qui vient juste après celui qui précède,


on découvre une superbe photo globale de la Lune, où apparaît une petite partie de la face cachée. Mais hélas toujours à cause de notre scanner, nous ne pouvons ici, vous en présenter qu'un petit quart environ :


      Des spécialistes détermineront à quelle hauteur cette photo a pu être prise par Apollo 8, car elle est vraiment sensationnelle. En effet au bout de la flèche rouge, on aperçoit une étrange anomalie ayant l'aspect d'un demi porte-avions de prés de 30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de" flèche gigantesque". Voyez donc les deux images ci-dessous :


Pour en savoir plus, voir notre page : http://www.artivision.fr/match.html

      Hélas, tous les efforts d'ARTivision, ont étés vains pour retrouver le négatif du cliché, utilisé à l'époque par Paris Match, qui l'aurait emprunté parait-il à l'Agence World Book Science Service qui hélas n'existe plus. (Voir les missives en question dans notre article) :


      Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que toutes les photos d'Apollo 8 commandées à l'époque à la NASA, ne présentaient plus rien, au même emplacement où était supposée être cette " superstructure" sur le Paris Match 1028 . Voyez vous même :

  
Photos commandées à l'époque à la NASA
.

    Mais il est à noter qu'à l'intérieur du cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une auréole caractérisée, qui pourrait être le résultat de l'application d'une "pastille de camouflage" .

      Le risque Zéro dit-on, n'existe pas , mais on demeure, n'est-ce pas, interloqué par le fait que, les (SFNO) (les Sbires des Forces Négatives de l'Ombre), spécialistes du caviardage des photos de l'Espace, aient pu laisser passer un tel document ...A moins que, déjà en 1969, ils préparaient la désinformation actuelle...

     À vous de juger...et nous attendons vos suggestions.

XVIII Quand la NASA, nous inonde, de tonitruantes déclarations sur la Lune (paragraphe en date du 06/02/2010).


      
On le sait bien, les articles du site ARTivision essayent de démontrer, que le Passé de la Terre est beaucoup plus fabuleux que l'on ne saurait l'imaginer, et que d'autre part aussi que cette planète est bien arrivée à un tournant décisif de son destin et cela avec des moyens  très primitifs et sans utiliser de publicité.

      ;Tout cela est pour ARTivision parfaitement vérifiable dans l'environnement terrestre :  la Lune , Mars , Mercure etc...

      Par exemple sur le journal France-Antilles du Samedi 14 Nov 2009, la NASA à déclaré à grand fracas qu'elle avait découvert de l'eau en quantité significative dans un cratère du Pôle Sud de la Lune.


     De même elle avait annoncé il n' y a pas si longtemps, et cela a été relayé par TF1 :

  

Puis le 31/01/2010, on a découvert aussi :


     Mais, selon nous, il ne faut pas se laisser berner par ces manipulations mentales de l'opinon publique, car il y a belle lurette que la NASA, nous trompe au sujet de la Lune, et de bien autres choses.

     Par exemple, dans un de nos paragraphes de l'article Mercure.html, nous mettons au pied du mur les  détracteurs irréductibles qui parfois aiment à nier certains faits inexplicables sur les photos de la NASA , en parlant souvent d'illusion d'otique, ce qui ici ne peut absolument pas être évoqué au sujet des rayures inexplicables et blancheurs notables   visibles à certains endroits de la planète :

     

, d'autant plus  que pour les rayures, la même configuration se retrouve sur la Lune comme cette surprenante photo découverte par la sonde lunaire chinoise Ange I, en fin 2007 :


      Ou encore, cette une surprenante photo de Callisto , ce satellite, bien loin de nous, de Jupiter :



      Si certains cratères donc se ressemblent sur la Lune et Mercure , (et ce fait n'est pas du tout étonnant pour ARTivision ), c'est que, selon nous, ces cratères ne sont pas du tout des cratères météoritiques comme le croit la science officielle , (voir aussi à ce sujet notre récent article : http://www.artivision.fr/cratereTsiolkvosky.html) , mais bien d'énormes cirques rabotés par des engins automatiques pour en extraire des minerais, comme cela se passe dans nos carrières terrestres. Voyez vous-mêmes un de ces engins en forme de X ou de E en action dans les cratères suivants de la Lune :



      A bon entendeur salut!!! Et, à la revoyure si le Maître du Temps, nous en laisse l'opportunité.

            Fred Idylle.

      Article mis en page le 31/05/09, et revu le 01/06/09, puis le 02/06/09, puis le 03/06/09 , puis le 05/06/09, puis le 06/06/09, puis le 09/06/09, puis le 12/06/09, puis le 13/06/09, puis le 15/06/09, puis le 20/06/09, puis le 22/06/09, puis le 23/06/09, puis le 03/07/09, puis le 04/07/09, puis le 08/07/09, puis le 11/07/09, puis le 14/07/09 , puis le 03/08/09, puis le 12/08/09 , puis le 30/08/09 , puis le 3/09/09, puis le 5/10/09, puis le 06/10/09 , puis le 07/10/09, puis le 10/10/09, puis le 29/10/09, puis le 30/10/09, puis le 31/10/09, puis le 01/11/09, puis le 03/11/09, puis le 05/11/09, puis le 09/11/09, puis le 11/11/09, puis le 12/11/09, puis le 18/11/09, puis le 20/11/09, puis le 21/11/09, puis le 25/11/09, puis le 28/11/09, puis le 06/02/2010, puis le 01/03/2010, puis le 23/07/2010, puis le 27/09/2010, puis le 07/11/2010, puis le 24/06/2011.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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