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La science perdue et les Extraterrextres .
(Jimmy Guieu)


I Introduction.

      C'est en un jour de Novembre 2009, en fouillent dans nos dossiers à la recherche d'une information particulière, nos sommes tombés sur un article de Jimmy Guieu dans le Grand Albert n° 12 du mois d'Octobre 1972, dont voici, pour les puristes, la couverture :


      En relisant cet article de Jimmy Guieu, 37 ans plus tard, nous avons constaté, qu'il n'avait pas pris une seule ride depuis sa parution et de plus qu'il pouvait être parfaitement considéré comme un article précurseur au nôtre placé à :

http://www.artivision.fr/docs/AstroArcheologie.html

      Toutes les illustrations étant en noir et blanc, nous avons préféré remplacer certaines par des images en couleur plus modernes.

      Jimmy Guieu est le pseudonyme littéraire de Henri-René Guieu, né le 19 mars 1926 à Aix-en-Provence, décédé le 2 janvier 2000, et fut inhumé le 6 janvier 2000 à La Chaussée-d'Ivry près d'Evreux.


      Jimmy Guieu est l'un des maîtres de la science-fiction européenne. Pionnier de l'Ufologie (dicipline qui etudie les Ovnis), parapsychologue, spécialiste de l'ésotérisme et des sociétés secrètes, ce fut aussi un conférencier et homme de radio, auteur de nombreuses vidéos. Voir alors le site :

http://radiocourtoisie.leforum.eu/t4919-Jimmy-Guieu-ecrivain-Roman-SF-Verite.htm

      Il a écrit prés de 140 livres, parfois sous pseudonyme (Jimmy G. Quint, Claude Rostaing, Dominique Verseau, ou encore Claude Vauzièr). Traduits en de nombreux pays certains de ses ouvrages sont introuvables. On peut désormais se procurrer certains dans la collection "SF Jimmy Guieu ".

II La genèse de l' affaire.

        Voici donc l'article en question en fervent hommage à ce grand écrivain et penseur hors-normes.

      Voici d'abord comment se présente le début de l'article :


      Et voici le texte en question :

      " Dans son Essai sur Essai sur Nicolas Gogol, Prosper Mérimée a écrit : « Du bizarre au merveilleux, la transition est insensible et le lecteur se trouvera en plein fantastique avant qu'il se soit aperçu que le monde est derrière lui. » La sensibilité du poète procède souvent d'une prescience, d'une vision irréelle à peine travestie de faits bien positifs ; le poète (mais combien d'initiés sont-ils aussi qualifiés de poètes ?) rejoint alors la vérité, la froide vérité scientifique de demain que lui et ses contemporains ignorent encore.

      Je n'en veux pour exemple que l'étonnante histoire des Voyages de Gulliver où l'auteur - Jonathan Swift - en 1726 fait état de Phobos et Deimos,

  
photos actuelles de Phobos et de Deimos .

les deux satellites de Mars. Or, ceci est proprement fantastique si l'on sait qu'en 1726, le téles- cope était encore dans l'enfance. Newton fut le premier (en 1671), à avoir réalisé un télescope à miroir ; toutefois, ni du temps de Newton ni en 1726, ces télescopes n'auraient pu permettre d'apercevoir ces minuscules lunes que seuls de puissants instruments peuvent déceler. Ce ne fut d'ailleurs qu'en 1877 qu'Asaph Hall, à la grande lunette de l'Observatoire de Washington, put reconnaître leur existence.

L'hypothèse de Chklovski.

      En se fondant sur les anomalies de ces lunes martiennes (orbites rigoureusement circulaires et non pas elliptiques, évolution exacte sur le plan équatorial) et plus encore sur l'étrange ralentissement de Phobos (lequel décrit d'ailleurs une orbite rétrograde), l'éminent savant soviétique Chklovski a pu envisager l'origine artificielle de cette "lune". Selon lui, il pourrait s'agir d'un satellite artificiel géant lancé par les "Martiens" à la veille du déclin de leur planète. L'an dernier, Mariner 9 réussit la performance de photographier les satellites de Mars ; Phobos apparut alors comme une sorte de "pomme de terre" de 21 km sur 25, perforée de cratères et "cabossée". Cette forme peu orthodoxe détruit-elle l'hypothèse de Chklovski ? Nous le saurons avant une décennie, lorsque les hommes approcheront de Mars. Quoi qu'il en soit, rien n'interdit de penser qu'une technologie très en avance sur la nôtre ait pu forer ce "caillou" pour y loger tout ce que pourrait contenir un satellite artificiel de cette taille, cela sans présager de l'origine exacte des auteurs d'une telle réalisation (« Martiens » ou « Galactiques »).

      Dans son ouvrage Ces dieux qui firent le Ciel et la Terre (Ed. Robert Laffont), mon confrère Jean Sendy, lui, émet l'hypothèse selon laquelle ce satellite artificiel aurait été placé sur une orbite circummartienne à une époque infiniment plus reculée, non par des "Martiens" mais par des "Célestes" venus modifier la biosphère terrestre pour la rendre ultérieurement habitable par des humanoïdes.

    
Quelques motifs dessinés sur des parois rocheuses et ressemblant à des astronautes.

      Revenons au XVIIIe siècle pour constater qu'une autre question subsiste : comment Jonathan Swift, père de Gulliver, a-t-il pu mentionner les deux satellites de Mars 150 ans avant leur décnuierte ? En outre, ses chiffres sont tellement proches de la vérité (caractéristiques et distance de ces lunes par rapport à leur planète) que force nous est d'admettre qu'il a bel et bien obtenu as renseignements précis. Swift n'a absolument pas pu les inventer avec autant de rigueur ; il les a donc reçus ou appris. Comment ? Cela reste pour nous une énigme.

Une civilisation disparue.

      Il nous est cependant permis de formuler une hypothèse que les scientistes ne manqueront pas de réfuter comme non conformiste. Nous la présenterons tout de même car elle a le mérite d'expliquer bien des choses : tous les ésotéristes s'accordent à reconnaître qu'en un lointain passé régnait une Connaissance-Mère, patrimoine d'une civilisation évoluée qui disparut très longtemps avant notre ère, mais qui laissa des survivants, propagateurs de cette Connaissance dont seules des bribes nous parvinrent. Etait-ce la civilisation Atlante, celle de Mu, de la Lémurie ? Nous l'ignorons, encore que l'hypothèse "Atlante" repose sur des données extrêmement troublantes. Sur ces divers continents disparus, on lira avec profit les ouvrages suivants : Origines atlantiques des anciens Egyptiens, de Marcelle Weissen-Szumlanska (Omnium Littéraire) ; Les secrets de l'Atlantide par Andrew Tomas et Fantastique ile de Pâques, de Françis Mazières (tous deux parus chez R. Laffont) ; Mu, le continent perdu et l'Univers secret de Mu, de James Churchward ; Hommes et Civilisations fantastiques, de Serge Hutin (trois ou- vrages aux éditions "J'ai Lu") .

      I1 n'y a pas eu un mais plusieurs déluges, plusieurs cataclysmes qui provoquèrent parfois un basculement de la Terre sur son axe. Immanuel Vélikovski le démontre dans son magistral ouvrage Mondes en collision (Stock), mais la très sérieuse revue Science et Avenir de février 1972 (en se gardant bien de tirer les conclusions qui s'imposent) écrit (p. 159) : « Une inversion du magnétisme terrestre datant de 12 500 ans avant J.-C a été décelée par trois chercheurs hollandais et suédois étudiant une carotte de 14,5 mètres de long, retirée du sol du jardin de Gothenburg. »

      Nous constations chez tous les peuples l'existence d'un étrange fond commun traditionaliste et symbolique dans lequel ils ont puisé pour édifier leur protohistoire et leur mythologie. Cette K science perdue • a.. laissé des traces (rémanences subconscientes mais confuses au stade collectif) sous forme de légendes, de traditions qu'un ésotérisme abstrait, une symbolique accessible aux seuls initiés cachent au profane. Cette connaissance perdue, les francs-maçons des Loges Bleues y font une allusion symbolique en évoquant la "Parole Perdue" liée à l'enseignement d'Hiram. (Cf : La Franc-Maçonnerie à l'heure du choix, Alec Mellor, Ed. Marne)., et le Dictionnaire initiatique d'Hervé Masson (Ed. Pierre Belfond).

La prescience de Swift.

      I1 est hautement probable (sinon certain : voir notamment les fameuses cartes de Piri Reis) que cette ou ces civilisations disparues avaient atteint un haut degré de civilisation et appris bien des choses qu'il nous reste à redécouvrir. Leur science astronomique devait, elle aussi, dépasser et de fort loin celle des astronomes des XVIIe et XVIIIe siècles. C'est ainsi que Jonathan Swift aurait pu recevoir certains enseignements concernant cette science perdue pour le commun. D'un groupe d'initiés gardiens de cet antique savoir , il a pu apprendre l'existence de Phobos et Deimos et les mention- ner dans ses Voyages de Gulliver. Cet écrivain n'a pu davantage imaginer un procédé aussi "fantastique" (à son époque) que celui de l'anti-aviation auquel il fait allusion. I1 cite également une invention que nous ne réaliserons nous-mêmes que dans quelques années : l'ile volante ou satellite artificiel géant habité.

      Le caractère prophétique de ces écrits est tellement précis que nous sommes en droit de nous demander si les ésotéristes (et leur croyance en une révélation côntinue dans le temps, réservée à des initiés) ne sont pas dans le vrai. Le cas de Jonathan Swift n'est pas une exception. D'autres hommes qualifiés de « visionnaires » semblent bien avoir bénéficié de certaines "révélations" étranges et inconcevables à l'époque où ils furent jugés dignes de les recevoir. "Doctor Admirabilis", Roger Bacon (1214-1294), dont François Ribadeau Dumas brosse la biographie dans son Histoire de la Magie (Ed. Belfond), peut sans conteste mériter le titre de prophète qui écrit : « On fabriquera des instruments pour naviguer sans le secours des rameurs et faire voguer les plus grands vaisseaux avec un seul homme pour les conduire; des voitures qui rouleront avec une vitesse inimaginable sans aucun attelage ; des instruments pour voler, au milieu desquels l'homme, assis, fera mouvoir quelque ressort qui mettra en branle des ailes artificielles ; il y aura un appareil pour marcher au fond de la mer, des instruments pour rester sous l'eau, toutes sortes de mécaniques et d'appareils merveilleux.»

Des coïncidences ?

      A ceux qui nient systématiquement les phénomènes de voyance aussi bien que le principe d'une chaîne d'initiés détenteurs des bribes d'une science perdue, je demande de m'expliquer comment ces lignes ont pu être écrites au XIIIe siècle ? S'il n'y a point voyance ou perception extra- sensorielle du futur, s'il n'existe point de Sages héritiers d'une Connaissance-Mère vouée à une répétion cyclique dans le temps et l'espace, je serais heureux que nos ultra-rationalistes veuillent bien éclairer ma lanterne ; mais je leur demande en grâce de ne pas faire intervenir la "coïncidence" d'une imagination fertile prêtée à Roger Bacon ! De même, Héléna Pétrovna Blavatsky, dans son extraordinaire Doctrine secrète (Ed. Adyar) - trop hâtivement rejetée en bloc par la Science orthodoxe - nous parle, en 1888, de "créatures artificielles" qu'aujourd'hui nous nommerions "robots". Ces "animaux parlants" auraient été des "bêtes créées artificiellement, sem- blables sous certains rapports à la création de Frankenstein, qui parlaient et prévenaient leurs maitres de tout danger imminent". Les Stances de Dzyan, dans cette même Doctrine secrète, mentionnent également des procédés ou engins surprenants, tels que Vimanas (chariots volants),Agnyastra ("arme de feu préparée par magie") ), projecteur de sommeil pour hypnotiser l'ennemi. Soulignons bien que ces Stances remontent à une fabuleuse antiquité ! De même, la Mahâbhârata épopée sanskrite du IIe siècle av. J.-C. (mais relatant des événements infiniment plus anciens) fournit de stupéfiants détails quant à ces Vimanas,(note du Webmaster: un artiste en a élaboré un modèle remarquable :


qui est sans doute assez proche de la réalité d'alors)
ces "magnifiques chars célestes brillant d'un vif éclat comme une comète dans le ciel, comme un météore entouré d'un gros nuage". Ces "chars aériens" qui émettaient un "son mélodieux" ou parfois un "grand bruit semblable à celui du tonnerre", s'élevaient, tels "une flèche bondissant de l'arc", parcouraient la voûte céleste et "traversaient la plus haute atmosphère qui se trouve au-dessus des vents".

      Tant d'exactitude dans la description (voici au minimum plus de deux millénaires) d'un aéronef ou d'un astronef, ne peut résulter que de faits authentiques et dûment observés, mais décrits avec le vocabulaire (fort peu « scientifique ») de l'époque ! Soulignons aussi que ce chiffre : deux siècles avant J.-C., est celui fourni par les historiens classiques. En fait, (la ou le, selon les auteurs) Mahâbhârata remonterait au moins au septième millénaire avant le Christ (Cf : Retour aux étoiles, Erich von Daniken, Ed. R. Laffont).
      Que ces engins merveilleux aient été créés par une civilisation terrienne disparue ou que ces Vimanas aient été construits sur un autre monde et amenés sur le nôtre importe peu. Le seul fait à retenir est qu'ils ont réellement existé... et que, dans un avenir relativement proche, leurs principes de base seront redécouverts par les humains.

L'héritage de la franc-maçonnerie.

     Nous avons fait allusion, plus haut, à cette longue chaîne ininterrompue d'initiés gardiens d'un savoir caché. I1 faut à ce propos évoquer aussi les Initiateurs, ces instructeurs qualifiés d'Etres de Lumière que l'on signale, ici et là, à l'époque du Moyen Age et de la Renaissance, ainsi que l'expose Jacques Bergier dans son étonnant ouvrage Les Extra-Terrestres dans l'Histoire (Ed. « J'ai Lu »). Ces humanoïdes au corps rayonnant de lumière (champ de force protecteur ?) visitèrent Facius Cardan (père de Jérôme Cardan) et on les signala un peu partout dans le monde, révélant certains secrets à ceux qu'ils jugèrent capables de les recevoir.

"Après avoir fait des apparitions au début de l'ère chrétienne, écrit J. Bergier, les « démons lumineux » surgissent avec les premières manifestations de la Franc-Maçonnerie, dès le XIIIe et le XIVe siècles. C'est à cause d'eux que les francs-maçons se font appeler "les Fils de la Lumière (...)" En 1823, le Dr George Oliver, historien de la Franc-Maçonnerie, écrivait : "L'ancienne tradition maçonnique - et j'ai de bonnes raisons pour être de cette opinion - dit que notre science secrète existait avant la création de ce globe terrestre et qu'elle était largement répandue à travers d'autres svstèmes solaires (...) " "Qu'il y ait des rapports entre la Maçonnerie et des "créatures de lumière" venues pour enseigner, poursuit Bergier, cela parait certain. Mais il n'est pas soutenable qu'on puisse en déduire que la Maçonnerie prolonge la tradition des "gardiens du ciel."

(Note du Webmaster : Rendons ici hommage à la super vidéo :
qui nous présente l'image juste ci-contre, au dessus, en couleur :


où l'on voit plus nettement que la partie inférieure des deux personnages, est formée d'une carapace d'un reptile. Surprenant n'est-ce pas ? ).


    Et là, Jacques Bergier a parfaitement raison. La notion de "Parole Perdue" (asso- ciée à celle de science perdue) est aussi applicable à l'héritage initiatique de la F-M. Bien que fidèle à la Tradition et au symbolisme (ce qui est tout à son honneur car on ne peut en dire autant de toutes les obédiences maçonniques !), la Grande Loge de France ne prétend pas, effectivement "prolonger la tradition des gardiens du ciel". Parce que, à l'exemple d'autres sociétés initatiques, elle a oublié les sources de la Tradition des Fils de la Lumière, ces Instructeurs venus d'Ailleurs dont on retrouve la trace dans les textes sacrés de tous les peuples de la Terre ! Ce n'est point là un reproche mais une constatation et il appartient donc aux Frères sensitifs et néo-ésotéristes d'entreprendre, individuellement, leur propre quête pour remonter aux sources, en méditant, par exemple, le VIe chapitre de la Genèse faisant allusion aux "fils de Dieu qui vinrent sur la Terre, connurent (au sens biblique !) les filles des hommes qui leur donnèrent des enfants", (Note du Webmaster : Dans la traduction de Chouraqui de 1985, que nous prenons comme référence, car elle est très proche du texte hébreu, on peut alors lire :


      Nous avons aussi mis en exergue, la présence de ces Elohim dans les textes bibliques, dans nos articles :
http://www.artivision.fr/docs/bible.html
http://www.artivision.fr/docs/peupleciel.html
http://www.artivision.fr/docs/DocumentsermentObama.html
http://www.artivision.fr/docs/Elohimfeminin.html
)


, à savoir les demi-dieux, premiers héritiers d'un enseignement dispensé par leurs pères "venus du ciel".

Un faisceau de preuves.

       Ne retrouvons-nous pas, chez Lamartine, ce souvenir confus lorsqu'il écrit : "L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux". (Je conseille, à cet égard, la lecture d'un captivant roman de Dominique Arly : Les Ailes de flamme, paru dans la collection « Angoisse » des Ed. Fleuve Noir).

      Chez les Perses aussi nous trouvons un initiateur "divin" : Ahura Mazda qui "vêtu de beauté, de force et de lumière, fulgurait sur un trône de feu" (Cf : Les Mystiques du soleil, de mes amis Jean et Michel Angebert (Ed. R. Laffont).       Des francs-maçons eurent-ils accès, jadis, à cette "source X " ? Il semble bien que l'on puisse répondre par l'affirmative en citant de nouveau Jacques Bergier (p. 134, Les Extra-Terrestres dans l'Histoire) : « Le grand maître de la première loge franc-maçonne de Londres, Jean Théo- phile Désaguliers, Français d'origine et inventeur d'un canon tirant 23 coups à la minute, mathématicien et savant, paraît annoncer l'apparition de la source X. Son livre, paru en 1723, sur l'histoire et les doctrines de la Franc-Maçonnerie, insiste sur l'importance des mathématiques et prédit le prochain avènement d'un savoir universel apporté de l'extérieur du monde.

      Alec Mellor, dans son magistral Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie et des francs-maçons (Ed. Pierre Belfond, Col. • Sciences Secrètes •),` nous apprend que J.T. Désaguliers était membre de la Royal Society « ainsi que membre correspondant de plusieurs académies étrangères, dont l'Académie des Sciences de Paris. I1 se signala dans le domaine scientifique par de nombreux mémoires et des inventions (...) La carrière de ce franc-maçon illustre entre tous fut féconde et même sans nul doute plus qu'on ne le sait."


      De son côté, Jean Palou (Cf : La Franc-Maçonnerie, Ed. Payot), écrit : " On sait bien peu de chose de la vie profane et maçonnique de J.T. Désaguliers. Cependant, son rôle dans la constitution de l'Ordre dut être très important. Mais ceci est avant tout subjectif, car on a bien peu de traces de son activité réelle (...) En 1713, il enseigne à Westminster et devient l'ami de Newton (...) il seconda Newton devenu vieux dans ses expériences et ses démonstrations."

      Ce maçon illustre, cet homme secret, fut donc membre du fameux "Collège invisible" qui devait enfanter la Royal Society et il fut l'ami de Newton, homme exceptionnel lui aussi, qui disait : "Si je suis monté si haut, c'est parce que j'étais sur les épaules des géants". Faisait-il, en cela, simplement allusion aux penseurs et chercheurs qui le précédèrent ou bien à une lignée occulte d'initiés ?

      Nous serions enclins à pencher pour la seconde proposition de cette alternative ; Désaguliers aurait été, alors, l'un des maillons de la chaine, détenteur d'une parcelle du "savoir caché", de la "science perdue" qui, en ce cas, lui aurait permis de prédire "le prochain avènement d'un savoir universel apporté de l'extérieur du monde".

Les supérieurs inconnus.

      Essayons, nous aussi, très modestement, de nous hausser "sur les épaules des géants" et formulons une hypothèse. Tous les symboles initiatiques (maçonniques, rosicruciens, templiers, etc.) sont éternels, universels et leur origine remonte à la nuit des temps ; il est logique de penser que ces symboles (dont le sens originel est oublié pour nombre d'entre eux) ont été apportés par les Insructeurs venus d'ailleurs. Ceux-ci les confièrent en dépôt à des humains triés sur le volet, "sélectionnés", conditionnés par eux, peut-être, pour qu'ils fussent transmis par-delà le temps et l'espace jusqu'à nous. A nous qui, aidés par les ferments de notre technologie du XXe siècle, devrions pouvoir les comprendre, les interpréter en nous aidant d'un néo-ésotérisme indispensable à leur décryptage.

      La science perdue nous viendrait donc bien de ce que les Anciens ont appelé "les dieux" et que certains ésotéristes appellent "les Supérieurs Inconnus". Mais ceux-ci, après avoir semé, ne reviendront-ils pas voir ce qu'est devenu leur champ ? N'approchons-nous pas du temps de la moisson ? Ces Instructeurs humanoides, ha- biles à manipuler les symboles, détenteurs d'une sagesse fabuleusement antique, n'appartiennent-ils pas, eux mêmes, à un Ordre Initiatique Supérieur d'origine Cosmique ? Un Ordre duquel découleraient nos "sociétés secrètes bénéfiques" , nos sociétés initiatiques œuvrant pour le perfectionnement de l'homme et pour le bien de l'humanité ?

      Et si nous ne savions ni lire ni écrire mais seulement épeler... Si, dans le futur, ces "Maîtres" se présentaient à la porte du Temple, ne seraient-ils pas aptes - mieux que quiconque parmi les Frères - à répondre au "tuileur" pour se faire reconnaître ?

      Hypothèse que tout cela ? Certes, mais gageons que la rencontre future de ces Instructeurs nous réservera bien des surprises ; car cette rencontre, nous pouvons tenir pour certain qu'elle aura lieu un jour. Ici, sur la Terre, ou au gré de nos randonnées spatiales à venir...


            JIMMY GUIEU

III Prolongement spécifique, en date du 30/11/09.

        Le 29/11/09, nous avons reçu de notre grand ami et bon explorateur du Web, Claude, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Claude....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Sunday, November 29, 2009 6:58 PM
Subject: J. Guieu suite 2

                Merci Super Hasard !!!

      Jette donc un petit coup d'oeil à :


      Comme tu le sais, le "hasard", est l'un des noms que prend le Père Créateur, lorsqu'il ne veut pas être reconnu !!

      Amitiés...

            Claude.


      Merci donc infiniment à Claude, de nous faire découvrir cet extrait déjà ancien d'une vidéo montée par Jimmy Guieu, qui rappelons-le, nous a quittés hélas, le 2 Janvier 2000.

     Article mis en page html par Fred IDYLLE, le 26/11/09, le 30/11/09, le 09/01/2010.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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