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 Un journal Américain en apporte de nouvelles preuves...
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LE YETI HANTE TOUJOURS l' HIMALAYA
Ces traces de pas sur la neige s'étendent sur plus d'un kilomètre. Chaque empreinte mesure trente-cinq centimètres, ce qui représenterait pour un homme du 49 de pointure .



 
REBONDISSEMENT dans l'histoire à épisodes de "l'abominable homme des neiges ", le monstre mi-homme, mi-animal, appelé aussi Yéti et qui hante inlassablement les cimes de 1'Himalaya. Sa « saga» vient en effet de s'enrichir de trois nouveaux témoignages dont l'authenticité ne semble pouvoir être mise en doute. C'est en tout cas l'opinion du magazine américain "The Enquirer" qui a envoyé sur place au Tibet, une équipe de reporters chargée de les vérifier.

Les témoignages d'une bergère, d'un policier et de seize alpinistes en font foi.

Le premier de ces témoignages est celui d'une bergère de 17 ans qui a assisté, terrifiée, au massacre de cinq de ses bêtes. Le deuxième est le rapport de l'officier de police qui a enquêté sur les lieux où s'est déroulée cette corrida inattendue. Le troisième, enfin, a été fourni par une équipe de 16 alpinistes polonais qui affirme avoir relevé les traces du yéti.

La jeune bergère se nomme Lhakpa Sherpani. Elle est née dans un village népalais, Khumjong où elle habite toujours. Elle avait mené boire son troupeau lorsque le yéti, surgissant brusquement, la précipita sur les rochers qui bordent le ruisseau où ses bêtes s'abreuvaient. Il commença d'abord par étrangler son unique vache et assomma ensuite quatre de ses sept yaks en leur martelant la tête de ses énormes poings.

"- Sa face est toute noire, devait-elle raconter ensuite avec une bouche immense, bordée de lèvres épaisses noires, elles aussi. Mais ses dents sont d'un blanc éclatant et elles ont la même forme que les nôtres. C'est sans doute à cause de cela que je lui ai trouvé quelque chose d'humain. Ses yeux sont ronds, comme ceux des bœufs et surmontés d'épais sourcils, gris et broussailleux. Il m'a semblé très grand : au moins 3 mètres. Son corps est entièrement couvert d'une toison assez Iongue, brun foncé ou noire. Elle est traversée, au niveau de l'estomac, par une bande de poils blancs. Il en a une autre sur la tête, qui part du milieu du front pour aboutir au sommet du crâne. Ses mains sont gigantesques, avec des doigts terminés par de longues grilles et ses pieds ressemblent à des pieds humains, à ceci près qu'ils sont recouverts de poils. Enfin, il sent épouvantablement mauvais ".


Une force exceptionnelle

Les envoyés du magazine ont ensuite rencontré Chatra Nanrai, le policier qui a vérifié le témoignage de la bergère. Il couvre la région de Namche Bazar, la capitale du district de Khumbu, au Népal.

"- Je suis convaincu, a-t-il déclaré, que Lhakpa Sherpani n'a pas menti. Elle a bien vu le Yéti. A ma connaissance, il n'existe pas d'autre animal, même sauvage, capable de mutiler des bêtes comme l'ont été celles de la jeune fille. Jamais je n'avais vu cela. Un des yaks, notamment, était littéralement déchiré en deux après avoir été férocement mordu. Aucun doute: le troupeau a bien été assailli par une créature douée d'une force exceptionnelle et ce ne peut-être que le yéti."

"J'ai relevé six empreintes de l'animal : quatre appartiennent probablement aux membres postérieurs, les deux autres aux membres antérieurs. Les premières ont environ 35 centimètres de long et 15 de large. Les secondes sont plus petites : 26 centimètres sur dix. Toutes s'enfonçaient très profondément dans le sol. On peut en conclure que le yéti doit avoir un poids plus que respectable. Mais il ne s'agit pas d'un être humain, c'est certain."

Au témoignage de la bergère et de l'officier de police est venu s'ajouter celui des 16 alpinistes polonais qui avaient établi leur camp à une vingtaine de kilomètres de Khumjung, le village de la jeune fille. C'est en tentant (sans succès) de vaincre le Mont Lhotse, le plus haut sommet de l'Himalaya après l'Everest (8 500 mètres et 8 840 mètres) qu'ils ont repéré les traces du yéti.

"- Nous les avons découvertes par hasard, à quelques centaines de mètres du camp, a dit le D' Jan Kolser, le chef de l'expédition. Leur taille nous a frappés de stupeur..."


Déjà en 1936...

L'équipe polonaise réussit à suivre et à photographier ces empreintes sur plus d'un kilomètre et demi. Au delà, la neige les avait recouvertes. Et le Professeur Bogdan Janowski a ajouté:

"- Je suis de l'avis du policier moi aussi, je suis certain que ces empreintes sont celles d'un animal, non d'un être humain.

Pensez que, de l'extrémité du pouce au talon, elles mesuraient 35 centimètres. Ce qui équivaut, pour un homme, à la pointure 49 ! "

" De retour au camp, nous avons consulté un livre que nous avions emporté avec nous et qui traitait, précisément, du yéti. Une empreinte, prise en 1936, illustrait une de ses pages. Elle était en tous points semblable à celles que nous venions de photographier."



Pour l'instant, on en est là. Le magazine a publié les résultats de cette enquête effectuée "en direct" au Tibet, sans en tirer de conclusion particulière. Comment le pourrait-on, puisque le yéti, une fois de plus, a de nouveau disparu. Où se cache-t-il ? Comment et de quoi vit-il'? On n'en sait rien et son mystère est au moins aussi troublant que celui qui entoure le monstre du Loch Ness.

Guido PARLOTTI       


     Article mis en page par Idylle fred le 11/02/02, puis le 05/06/05 puis le 25/07/08.

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