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Avant-propos


   L'article qui va suivre est de Mr Jean ANNE , initiateur en Juin 1982 avec l'écrivain Guy Tarade et quelques  autres chercheurs  de L'Institut  pour la Recherche et la Connaissance des Sciences Avancées, (IRC) qui a fait depuis cette époque de nombreuses conférences et séances audiovisuelles dans Alpes-Maritimes et dans le Var.

    Mr Jean Anne fut  inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962 faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. En effet, Mr Jean ANNE ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe  pendant ces moments tragiques, a su  inspirer confiance aux  commandants allemands de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences. Dans ce quatrième volet, il nous révèle certains secrets troublants qui s'attachent à ces confidences.


Un grand merci donc à Mr Jean ANNE pour son aimable participation culturelle à notre site.
L'ami Jean Anne, hélas a quitté ce monde le 17/01/03.





EUX , NOUS & AILLEURS

 par Jean ANNE

 

I Les Ufos... Quid?

      Il semblerait étonnant que ne soit pas abordé un chapitre consacré aux recherches effectuées sur un phénomène ayant depuis 1947 fait couler des flots d’encre, provoqué les plus acharnées polémiques et, surtout, le plus irritant pour les hommes de toutes opinions les plaçant face à un mystère.. et toujours plus de questions que de réponses ! Le mystère de l’ufologie encore davantage épaissi par le secret imposé par les hauts responsables des nations... Inutile de reprendre une énième fois l’énumération des principales manifestations des OVNI dont la Presse abonde de détails, de suppositions : Un remake n’apportant que bien peu d’éléments nouveaux, laissant les lecteurs sur leur faim, avec toujours une lancinante et même question.. d’où viennent ces objets.. Il existe pourtant des réponses… Vraisemblablement ces engins n’ont pas tous la même origine ce qui, évidemment, ne fait que brouiller un peu plus les pistes… Avant de présenter une synthèse concluante, de laquelle une très sérieuse hypothèse sera formulée, il nous apparaît évident d’exposer les différentes bases de recherches ayant nécessité des années de compilation et de travaux de toutes natures. Nous n’avons pas la certitude absolue que les équipages de ces engins soient originaires de planètes ou de corps célestes lointains.. quant bien même si, à bord de certains s’étant « crashés » , il pouvait y avoir des êtres assez peu conformes aux critères humanoïdes classiques. Qu’il y ait eu des êtres étranges à bord de certains véhicules, c’est une certitude que certains pays en ayant la preuve, n’ont pas cru bon d’en révéler l’existence, en brouillant assez malhabilement les pistes ou en pratiquant une désinformation quelque peu maladroite, voire infantile.. ou tout simplement en apposant sur les dossiers occultés au fond de placards une étiquette « Ultra Top Secret ». Nous n’affirmons rien, mais comme toutes nos recherches contiennent chacune une parcelle de vérité.. que tous les passionnés y trouvent matière à réflexion ! Les plus anciennes présences d’objets volants sont décrites dans de nombreux récits et écrits sacrés, religieux ou légendaires. Ces fameuses légendes faisant sourire les rationalistes de tous poils.. lesquelles ne sont que symboles de faits réels du passé, soigneusement occultés pour ne les perpétuer qu’à destination des initiés, offrant sous un aspect enfantin des récits merveilleux destinés au vulgaire… qu’il suffit de savoir lire entre les lignesIl y a les visionnaires modernes, les plus « fiables » sont peu nombreux et parmi ceux-ci nous n’en citerons que deux : Edgar CAYCE et ses étranges facultés de visionnaire. Pierre GUILDER étonnant médium. Et, aussi, il est impossible de négliger le contenu de certains documents mis à jour par les services spéciaux alliés après la seconde guerre mondiale concernant les activités de l’‘Ordre Noir’ véritable ordre occulte et sectaire avec une structure hiérarchique, la SS, ce brutal parti nazi, véritable ordre sacré aux ‘activités‘ les plus sanguinaires et sordides. (Nombreux dans le passé de l’histoire des hommes sont les ordres sacrés responsables des pires atrocités) Ainsi qu’en parallèle... la pratique la plus poussée de l’ésotérisme !

II EDGAR CAYCE

    Parmi les plus troublantes révélations sur la réalité de vols d’engins à des dizaines de siècles précédent notre temps présent, il y a celles des étonnantes « lectures de vie » (Life Readings) de cet américain né en Mars 1877 à CHRISTIAN COUNTY dans le KENTUCKY et décédé le 5 Janvier 1945 à ROANOKE, près de VIRGINIA BEACH, état de VIRGINIE. Cet homme dont les livres traitant de sa biographie et de ses « expériences » ont fait le tour du monde et tous les chercheurs, médecins, savants, géologues, passionnés d’histoire ancienne connaissent ces fameuses «lectures » et l’extraordinaire pouvoir de cet homme ayant été surnommé le Prophète Endormi! Il a beaucoup parlé de l’Atlantide, cette civilisation inconnue ayant, suivant ses récits, existé sur une très longue période de plusieurs milliers d’années, sur un continent plus vaste que l’Europe au milieu de l’Atlantique, qui se serait morcelé en cinq îles, dont la dernière aurait disparu il y a environ 12.000 ans, après qu’une partie importante de ses habitants aient émigré un peu partout, principalement vers l’Afrique du Nord pour aboutir en Egypte, dans le sud de l’Europe et vers l’Ouest: Une partie de l’Amérique Centrale et du Sud. (Voir ci-dessous une photographie d'Edgar Cayce:)

III  LA CARTE DE PIRI-REIS

     Pour un peu plus accréditer la ‘croyance’ en de très anciennes civilisations, une preuve matérielle indéniable vint jeter le trouble parmi les farouches fanatiques de la science exacte humaine, qu’ils élèvent au rang de dogmatisme: Une carte -celle que l’on nommait au XVI° siècle un Portulan- fut découverte en 1929 dans l’ancien Palace Impérial de Constantinople portant la date 919 de l’année islamique, soit l’an 1573 du calendrier chrétien et signée d’un amiral turc de l’époque, Piri ibn-Haji Mehmed, plus connu sous le nom de Piri Reis. Cette carte n’aurait été qu’une curiosité historique.. si elle avait naïvement représenté.. tout autre partie du monde connu à l’époque.. que l’Amérique du Nord et du Sud.. ce qui était étonnant pour une carte du seizième siècle !  (Voir ci-dessous la carte  en question :)

 

    Un autre détail intriguait les spécialistes : une inscription indiquait que cette carte avait été dressée par Christophe Colomb, lequel était parti à la recherche de la route des Indes par l’Ouest le 3 Août 1492 du port portugais de PALOS. Cette carte devenait une énigme car depuis plusieurs siècles l’on cherchait désespérément à retrouver « la carte perdue de Christophe Colomb « Puis plus personne n’entendit parler de cette carte jusqu’en 1953.. lorsqu’il fut découvert que celle-ci montrait le détail des terres actuellement recouvertes par les glaces polaires, telles le Groenland et le continent antarctique. Des recherches sismologiques furent confiées à différentes missions scientifiques dont une française. Après de longs mois de travaux, ceux-ci achevés, en comparant les relevés sismologiques des terres invisibles sous les calottes glaciaires, quelle ne fut pas la surprise de constater que cette carte ancienne représentait ces terres actuellement enfouies sous des glaces millénaires.. Ce Portulan avait donc une origine beaucoup plus ancienne et ne pouvait être que la copie de très anciens documents datant au plus tôt de plusieurs millénaires.. d’une époque où les glaces ne recouvraient pas encore ces terres ! Nos écoles traditionnelles nous apprennent que les connaissances technologiques de nos très lointains ancêtres inconnus se limitaient à la taille de silex pour chasser… Il est maintenant légitime de se poser de pertinentes questions ! ! D’autant plus que pour dresser de telles cartes avec une telle précision géographique.. une couverture de centaines de clichés satellites ou des milliers de photos aériennes seraient actuellement nécessaires.. Alors ? Aurions nous eu des lointains ancêtres contemporains d’une civilisation technologiquement évoluée.. possédant des moyens aériens permettant de dresser de telles cartes.. dont une aurait été retrouvée par hasard quelque part, dans une ruine oubliée, remise à un navigateur musulman, cartographe du seizième siècle lequel, ne la comprenant pas très bien, l’aurait copiée avec les méthodes et la cryptographie de son époque... Sinon, quelles techniques les contemporains d’une civilisation disparue, dont seule subsiste une légende (mais quel infantile croit encore aux légendes), auraient permis de dresser de tels documents ?

 

IV TROIS DÉCOUVERTES INSOLITES

    S’il est encore nécessaire d’apporter quelques preuves matérielles de très lointains humains civilisés ayant laissé des traces de leurs existence voici, à l’intention des septiques, parmi beaucoup d’autres, trois énigmes parmi des centaines d’autres répertoriées à travers le monde: En juin 1851, un vase métallique était extrait d’une immense masse rocheuse qu’un ouvrier avait dynamité a Meeting House Hill à DORCHESTER dans le Massachussetts. Ce vase métallique habilement exécuté, en forme de cloche renversée de 11 cm sur 16,5 cm a été décrite ainsi: « Ce vase ressemble par sa couleur et sa composition à du zinc, dans lequel entre une considérable proportion d’argent. Sur la face externe sont six représentation de fleurs en bouquets, en argent pur joliment incrusté et, tout autour de la base du vase est une tige torsadée ou une torsade en argent également incrustée. La ciselure, la sculpture et l’incrustation ont été réalisés par un très habile ouvrier. Ce mystérieux vase a été découvert après l’explosion d’un énorme et solide bloc de poudingue, enfoui à environ 3 mètres de la surface du sol. En Juin 1891, une femme casse un bloc de charbon de chauffage afin d’en mettre les morceaux dans un seau et, après l’avoir préalablement séparé en deux, découvre une chaîne en métal dont une des deux extrémité est resté enchâssé dans l’autre moitié encore intacte du bloc de charbon. Lorsque l’on sait que -théoriquement- le charbon s’est formé durant l’ère carbonifère il y a quelques centaines de millions d’années...qui donc à cette époque a bien pu fabriquer une telle chaîne pour la perdre ensuite dans la nature? En 1961, en Californie, un étrange objet a été trouvé à l’intérieur d’une géode de pierre. La pierre, après avoir été sciée en deux, a révélé dans son vide un objet ressemblant à une commune bougie d’allumage de voiture ! Sa section transversale montre une partie hexagonale en porcelaine ou en céramique servant d’isolateur avec une partie centrale métallique en forme de pointe de lance - Classique composition d’une bougie. La radiographie aux rayons X montre que le reste de la partie supérieurs est un métal corrodé d’où sort un fil. Un géologue a inspecté la géode laquelle portait l’incrustation d’une coquille fossile, ce qui laisse à penser que cette géode et son contenu.. daterait d’environ 500.000 ans ! Même question que ci-dessus.. Quelqu’un peut-il répondre ou émettre une hypothèse valable ?

V PIERRE GUILDER

    Cet étrange médium, un de nos contemporains.. recevant ses « messages « en écriture automatique, ayant fidèlement transcrit ce que ses « correspondants « dictaient, a écrit des centaines de pages dans une langue inconnue, tracé quantité d’esquisses, de dessins et d’épures où les engins volants sont décrits avec précision, ainsi que des schémas d’installations souterraines ou autres captant une forme d’énergie pour la restituer vers ce que nous nommons des ovnis. (Voir ci-dessous une photographie de Pierre GUIDER:)

 

    Des années de recherches ont permis de comprendre certains termes, d’associer des mots à des lieux, à des fonctions et surtout une connaissance de certains symboles similaires à ceux mentionnés et utilisés par les peuples préincaïques, les Olmètes, les Toltèques et les Incas dans leur iconographie et leur bestiaire que l’on retrouve dans les temples, pyramides et hauts-lieux sacrés du Mexique, du Yucatan et chez certains peuples indiens d’Amérique du Sud. De longues heures de travail en compagnie d’éminents spécialistes de l’archéologie, des langues anciennes dont la plupart sont en voie d’être oubliées, celles des peuples migrant indo-européens. Mettant a rude épreuve la mémoire d’anciens missionnaires ayant passé des années chez les autochtones des pays d’Amérique Centrale, du Brésil, de Colombie, du Pérou, du Chili, etc.. pour arriver à s’entendre dire par un de ces plus éminents archéologues, un religieux, véritable puits de Sciences pratiquant plusieurs langues anciennes, élamite, dravidien, sumérien, hébreu ancien, araméen, essènien et autres. Lisant les écrits cunéiformes.. aussi simplement que vous lisez votre journal ! Fouillant les mastabas et ayant traîné ses sandales dans tous les pays où il valait la peine de trouver quelque chose faisant avancer les connaissances ethnologiques et scientifiques des peuples anciens: "Cette langue vient d’Ailleurs.. quoique l’on y trouve des mots et des racines de dialectes de langues mortes, telle le dravidien et celles de certains peuples dont anciens indo-européens.".. " C’était la langue des Atlantes.." et il ajouta : "Cela peut vous paraître étrange, mais je n’ai pas pour habitude d’affirmer ce dont à quoi je ne puis croire." En écrivant je me permets d’ajouter : "Moi non plus!" C’était la langue des Atlantes.. Oui, mais nous n’avons pas de dictionnaire : Seule une solide et généreuse intuition et une bonne connaissance des symboles et du sacré.. Alors...

VI  SYMBOLES TECHNIQUES...

     N’aimant pas particulièrement perdre du temps et a fortiori en faire perdre à nos semblables, nous poursuivons notre travail pour tenter ainsi de mieux vous informer...

Sur la planche no. 1 le symbole se mélange étroitement avec des définitions technologiques : Il en est ainsi de tous les écrits reçus par GUILDER ! (Voir ci-dessous la planche n°1 en question :)

   ( Cette planche devrait être vue en 3D, et l'avis de spécialistes à ce sujet serait le bienvenu. D'ailleurs cette planche et toutes les autres, gagneraient évidemment à être agrandies pour en analyser plus  finement les détails )

     Dans la partie gauche face au coté du triangle, se trouve un personnage stylisé tenant à la main une barre, un levier de commande et, à sa gauche, verticalement l’on lit ATHUALPA.. Tous ceux s’étant intéressés a l’histoire de la conquête de l’Amérique Centrale et du Sud par les espagnols, ont gardé en mémoire qu’ATHUALPA était le chef inca « L’INCA « . Fait prisonnier et malgré le versement d’une rançon astronomique en or, bijoux, argent, Francisco Pizarro, le conquistador, reniant sa parole de le faire libérer contre rançon, le fit mettre à mort le 29 Août 1532.. Ce ne fut pas qu’un homme que de façon absurde il fit disparaître, mais tout un symbole vivant et, plus grave encore, perdre à jamais la clé d’une Science qui aurait été fort utile a l’Humanité toute entière... Car, contrairement à la définition généralement admise dans nos écoles contemporaines, ATHUALPA n’était pas le nom de ce chef Inca, mais reste la désignation sacrée de Grand Initié, de Grand Maître de toute une nation, le détenteur d’un pouvoir et d’une science et, c’est la raison pour laquelle ce nom se trouve toujours associé dans les écrits reçus par GUILDER, à certaines planches les plus « parlantes « . ATHUALPA était le représentant au plus haut niveau des descendants des Atlantes ayant émigré et s’étant installés dans cette partie de l’Amérique. Un des ultimes descendants d’une civilisation dispersée dont il détenait encore de nombreux secrets... Quant au serpent à grosse tête : QUETZA COATL, c’est le fameux Serpent à Plumes, représenté partout sur de nombreux temples, gravé sur des murs et des pyramides. Il est le symbole légendaire ayant donné par extension une idée du concept de la puissance énergétique, la rapidité de transmission de l’énergie et des ondes pouvant la transporter et la diriger. Le Serpent ondule pour se déplacer : toute énergie a sa propre vibration.. Sa propre longueur d’Onde. En clair c’est le symbole de l’onde porteuse d’énergie : C’est ainsi qu’il faut comprendre sa signification dans ces textes. Ensuite il y a deux mots prés de la ligne verticale pleine a l’extrême droite : Ante Cosmi signifiant l’énergie captée « domestiquée « , stockée ou mise en place, prête à toute utilisation. Plus à droite encore Suho Cosmi : C’est l’énergie libérée, envoyée par train d’onde, utilisée et conditionnée pour assurer par sa libération la propulsion, la sustentation ou/et à la manoeuvre de l’engin ou de la machine à laquelle elle est destinée. Déjà dans son ensemble, cette esquisse laisse comprendre que le « Maître « manoeuvre une centrale énergétique dont le faisceau d’onde (Quetza Coatl) est le support virtuel permettant la propulsion et le pilotage de l’engin.. ressemblant étrangement à un ovni.. Le reste des figures, points, noms et symboles sont les repères stellaires et géographiques, sorte de plan de vol utile à la mission de l’engin. C’est un schéma ayant pour objet de permettre la compréhension d’une technologie dans l’ensemble d’une utilisation générale. Un peu comme si un ingénieur décrivait le fonctionnement d’une centrale EDF, ce qui se passe à l’extrémité des fils, une fois l’électricité parvenue à destination des usagers, n’est plus de son ressort mais d’applications diverses des plus simples aux plus complexes requérant l’énergie électrique. Cet important élément de base assimilé, il restait à déterminer d’autres significations pour dresser une première liste de mots, de symboles et y attacher une traduction idéographique pouvant, par le suffixe, donner un sens virtuel et par les autres mots immédiatement précédents ou succédant et déterminer un sens un peu plus précis. Il est à noter que, dés 1947, GUILDER recevait des messages qu’il transcrivait en caractères hiéroglyphique et mélangée ou associée avec de l’écriture démotique, caractères au premier abord intraduisibles! Ce n’est qu’à dater de 1981, que ses écrits furent transcrits en phonétique.. un peu moins hermétique en compréhension.. mais dont la masse (des centaines de pages) aurait découragé des chercheurs moins obstinés !

Sur la planche n°. 2 : un nom de lieu parfaitement connu: HUASCARAN. Un ancien volcan du PEROU culminant à 6768 m. latitude 9.07 Sud et longitude 77.37 Ouest sur la Cordillère des Andes -face occidentale- au N.O. de la cité de Huaras. Ce mont est cité sous l’appellation de SOTOHI HEHOMI et il faut un peu regarder ce qui se passe en dessous et dans la petite guérite en bas à droite, à flanc de montagne : Il y règne pour le moins des « activités bizarres « Un missionnaire ayant vécu dans ces contrées nous a rapporté : « Dans tous ces coins-là, les paysans travaillant dans leurs champs ne lèvent même plus la tête pour regarder ces engins : Ils en voient si souvent ! !(Voir ci-dessous la planche n°2 en question :)

 

VII  LES « PLANCHES » DE GUILDER PARLENT!

   Il est techniquement impossible de joindre en annexe plusieurs dizaines de planches « reçues « par Guilder. Il en est de plus ‘parlantes’ que d’autres..

Sur une planche n°3 il est décrit le lieu où le « Maître « (ATHUALPA) siège parmi ses hommes (Prêtres, techniciens ou autres) et, de là, commandant et dirigeant les opérations (arrivées ou départ d’engins volants) (Voir ci-dessous la planche n°3 en question :)

 et sur la suivante , la planche No. 4 : la Centrale énergétique en activité… (Voir ci-dessous la planche n°4 en question :)

 

Sur d’autres diverses planches n° 5,  6 et 7, des détails techniques et technologiques.

(Voir ci-dessous la planche n°5 en question :) 

(Voir ci-dessous les planches n°6 et 6a en question :) 

 

   La planche n°6 est exceptionnelle car, une ligne est en caractères hiéroglyphique, deux lignes en démotique et à nouveau deux ensembles hiéroglyphiques (une sorte de ‘Pierre de Rosette atlante !). 

Voici maintenant la planche extraordinaire n°7 et 7 a,  où règne une complexité "hiérogliphique" remarquable:

Voici à nouveau cette planche 7 avec quelques explications:

Et plus bas des symboles d’énergies, dont certains sont bien connus, car universels.. que l’on retrouve sur les « engins « stylisés en sustentation au dessus d’un « coussin « d’ondes porteuses.. et portant des symboles que l’on retrouvera plus loin au chapitre de l’ORDRE NOIR !

! Rien dans l’Univers n’est dû au seul hasard ! ! ......

   Enfin, et pour faire réfléchir sur les utilisations de cette énergie cosmique (ou solaire), la planche n°8 confirme également ce que le ‘Prophète endormi’, Edgar CAYCE et, décrivait également bien avant la seconde guerre mondiale dans ses « lectures « .. que cette énergie pouvait servir (aux Atlantes) à lever des pierres... reste à prouver que sur l’Ile de Pâques certains descendants d’émigrés atlantes n’aient pas mis pied et dans quel but.. sinon celui d’y implanter un « relai ».

(Voir ci-dessous la planche n°8 en question :)

 

 

 Enfin sur la planche n°9 que GUILDER a reçu, quelle pourrait être cette île vue d’en haut et en perspective aves des installations inconnues au très curieux symbolisme technologique... pas si étonnant que cela… si certaines statues sont symbolisées par des piliers...Voir ci-dessous la planche n°9 en question :)

 (Voir ci-dessous la planche n°9 en question :)

 Jetons enfin, en dernier lieu, un  regard sur la planche 10:

     Notre structure mentale actuelle n’est certainement plus capable de « saisir » une forme de symbolisme datant de plusieurs millénaires. En matière de recherche l’humilité est de règle : Le pédantisme et la suffisance n’y ont pas leur place : Aucun homme ne peut affirmer posséder la connaissance infuse… Ne sachant même pas qui il est… d’où il vient… quel est le mystère de la Vie qui l’anime... Comment a-t-il la prétention d’affirmer qu’il n’y a rien après sa mort … Il l’ignore… alors… Affirmer sans savoir est aussi ridicule que dénier ! Nous venons de parler du passé, celui des ancêtres de l’Homme, contemporains de civilisations technologiquement très avancées, dont il ne reste que récits étranges, traditions obscures et légendes hermétiques car déformées au fil des âges par l’oubli et la superstition. Superstition, apanage de l’ignorance ! Nous avons acquis la certitude que ces hommes ont disposé dans leurs temps, de moyen de transports mus par la maîtrise d’une énergie cosmique que nous ne faisons qu’entrevoir. Mais notre XX° siècle nous réserve des surprises car, il ne s’agit plus de suppositions, mais de certitudes absolues, depuis 1934, l’homme a bien fait évoluer des engins.. tels que ces lointains ancêtres âgés de plusieurs dizaines de siècles en faisaient eux-mêmes évoluer...

VIII   LES OVNIS DU XX° SIECLE

     Ce sont des hommes, lesquels au nom d’une idéologie ont mis en place un ordre nouveau, ont fait plonger le monde entier dans le chaos d’une guerre mondiale dont l’atrocité et l’étendue n’ont pas d’égal dans le passé. Cette idéologie est depuis un peu plus de 50 ans mise au ban de l’Humanité : Il s’agit du nazisme... Mais pour en arriver à nos engins volant.. il est indispensable de remonter le cours du temps afin de mieux comprendre l’évolution de cette idéologie hors du commun.. ayant généré des applications technologiques dont bon nombre de nos contemporains ignorent l’existence.. en haussant les épaules sans chercher à approfondir ! ! Les Ordres et Sociétés secrètes ont depuis longtemps été des activités ésotériques développées et savamment utilisées plus généralement par les anglo-saxons, surtout par les anglais et les peuples teutons. Inspirés par les concepts de « l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée « (The Hermetic Order of the Golden Dawn) d’obédience britannique, différents membres de sociétés secrètes et ordres mystiques germains, dés 1917 se réunirent à VIENNE (Autriche) afin de confronter leurs connaissances et tenter de percer les mystères des textes templiers, ce pour préparer l’avènement d’une ère nouvelle : Le passage de l’ère des Poissons à l’ère du Verseau, soit d’après les calculs templiers.. à l’issue d’une année cosmique de 25.860 années terrestres.. quittant l’époque indo-aryenne du « Kali-Yuga « (l’ère du pêché) pour entrer dans un nouvel âge.. Parmi les participants à cette réunion il y avait un puissant occultiste, le Baron Rudolf von SEBOTTENDORF qui devint en 1918 Grand Maître de l’Ordre de la SOCIETE THULE, rencontra fin Septembre 1917, au mont Untersberg les membres de la Société « LES MAÎTRES DE LA PIERRE NOIRE » , société issue en 1221 de la Société des Templiers marcionnistes, ayant pour but de combattre le mal dans le monde et participer à la construction du royaume de la Lumière du Christ. Sebottendorf revint de cette rencontre avec un concept nouveau : El Shaddai (le Satan) était le corrupteur, l’ennemi de Dieu et ses fidèles (les Juifs) participaient donc à la destruction de la Terre, de la Nature et des Hommes..

IX  LA SOCIETE DE THULÉ

    En 1918 à Bad Aibling, le Baron von Sebottendorf mît sur pied la SOCIETE THULÉ, qui pratiquait le tantrisme, le yoga et les méditations orientales, s’adonnait à la magie, à l’astrologie, à l’occultisme et essayait de mettre en place un lien entre ces pratiques et la politique : La Société Thulé interprétant les prédictions d’Isaïe, croyait à la venue d’un Messie qui aurait apporté la gloire et une culture aryenne à l’Allemagne.... Allemagne qui était à cette époque en pleine débâcle politique et économique consécutive à sa défaite de la guerre 1914-1918, offrait le terrain idéal où pouvaient lever les ferments idéalistes.. et visionnaires les plus pernicieux.. Parmi les membres de la Société Thulé et en quatrième position dans la hiérarchie figurait un dénommé Adolf Hitler .. Plus tard, la Société Thulé essaima en deux branches, l’une ésotérique et l’autre exotérique.. dont Hitler prit plus tard la destinée ! Parmi les doctrines principales de Thulé était la religion germano-aryenne « WIHINAI « et une aurait eu une idéologie : Thulé aurait été la capitale du continent des Aryens « Hyperborée « . Continent plus ancien que l’Atlantide et la Lémurie, qui aurait été recouvert par les eaux lors d’une ère glaciaire. Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux 4 branches tournées vers la gauche... La légende prétend qu’ils étaient originaires d’une planète du système solaire d’Aldébaran : C’étaient des géants blonds, à la peau blanche et aux yeux bleus qui utilisaient des engins volants, fonctionnant avec comme « carburant « la « force VRIL « , en prélevant de l’énergie au champ magnétique terrestre, exactement comme le font les convertisseurs à tachyon du commandant Hans Coler ou encore le moteur à « espace quanta « de Oliver Crane. Grâce la création de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces engins ayant la forme d’un disque, étaient capable de s’affranchir de la pesanteur, de voler à des vitesses incroyables en effectuant d’habiles manoeuvres en vol (performances souvent décrites par les témoins d’apparitions d’ovnis) En plus de ces technologies, les hyperboréens, afin d’émigrer avant que leur continent ne disparaisse sous les glaces, creusèrent de gigantesques tunnels avec des engins, créant ainsi des royaumes souterrains dont un sous l’Himalaya, l’AGARTHA, dont les habitants, aux dires des lamas thibétains et du Dalaï Lama, existent encore à notre époque.. La légende de la Terre Creuse est encore bien tenace chez beaucoup de peuples. Un général en retraite, Karl HAUSDORFER fonda un ordre « Les Frères de la Lumière « lequel, en 1919 devint la SOCIETE VRIL, dans laquelle se joignirent « Les Maîtres de la Pierre Noire « (DHvSS) et les « Chevaliers Noirs du SOLEIL NOIR « , élites de la Société Thulé et des SS, de sinistre mémoire. L’on peut difficilement imaginer que le parti nazi ait été un ordre sacré.. et pourtant l’histoire du monde regorge de forfaits sordides et barbares à l’actif de nombres d’ordres sacrés... En comparant les deux Sociétés THULE et VRIL, leur différence réside dans le fait que THULE s’occupait des choses matérielles et politiques et que VRIL avait pour but l’Aù-Dela, avec en commun l’étude de l’Atlantide, de l’Hyperborée, des rapports originels entre les germains et les mésopotamiens, des lieux sacrés et du mystère des Pierres Levées. La deuxième guerre mondiale n’interrompît pas leurs activités occultes et les recherches sur sites (entr’autres à Montségur !) occupaient des centaines de SS loin des théâtres d’opérations militaires ! !

X   LA SOCIETE VRIL

     En décembre 1919, près de Berchtesgaden, se réunirent quelques membres des Sociétés Thulé, DHvSS et Vril. Parmi ces personnes il y avait les médiums Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait reçu, en écriture automatique, des informations sur l’écriture secrète des Templiers, langue inconnue pour elle, avec des précisions techniques pour fabriquer un engin volant... D’après les écrits ces « messages « avaient été émis du système solaire d’Aldébaran, de la constellation du Taureau. Ces premiers messages furent pendant des années suivis de beaucoup d’autres. Le procédé était le même que pour GUILDER, mais dans une autre langue et certainement d’un autre « émetteur ». Et aussi des informations sur les habitants de ce système solaire éloigné de 68 années-lumière de notre Terre. Mais, tout en ayant un intérêt certain, dépassant ici le cadre direct de notre sujet : Les engins volants. Les informations reçues par ce procédé, plans, descriptions, etc.. étaient d’une telle précision que les plus hautes instances hiérarchiques de ces sociétés décidèrent de passer au stade de la construction de la « machine à évoluer vers l’au-delà « et le concept d’une « autre science « germât dans les esprits et le Dr.W.O.Schumann, membre des Sociétés Thulé et Vril, lequel fît un exposé à la Faculté des Sciences de Munich, exposant, entr’autres, que les principes opposés déterminant les événements (le bien, le mal - l’ombre et la lumière - le plus et le moins) détermineront les moyens techniques à mettre en œuvre pour nos travaux dans cette voie.. HITLER et tous les membres des sociétés en cause, savaient que le principe divin est toujours créateur, donc constructif et une technologie qui repose sur l’explosion est de ce fait destructeur, donc opposé au principe divin. Alors pour réussir il fallait créer une technologie reposant sur l’implosion ! Ce suivant l’enseignement de Johannes Kepler, lequel était en possession de la doctrine des pythagoriciens, conservée secrète par les Templiers : Au moyen des trajectoires de l’énergie du monocorde (harmonique des monocordes) et de la technique de l’implosion.. on entre dans le domaine de l’antimatière et la pesanteur se trouve annihilée ! Basé sur la technique de l’implosion de Viktor Shauberger devant en assurer la propulsion, le premier engin en forme de soucoupe fût construit durant l’été 1922. Il comprenait un systéme de trois disques parallèles superposés, le premier en haut de 6,50 m. de diamètre, avec en dessous un disque de 8 m. lequel surmontait le troisième disque de 6 m. Ces trois disques étaient percés d’orifice de 1,80 en leur centre où fût installé le propulseur, Ce cylindre se terminait en bas par un cône dans lequel se trouvait une sorte de pendule ou de gyroscope ayant pour objet de stabiliser l’engin. Les disques supérieur et inférieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique, alors que le disque central restait immobile. L’on ne sait rien d’autre sur cet engin, mais il fût expérimenté durant deux ans, puis démonté et les pièces entreposées dans les ateliers de l’usine de l’avionneur Messerschmidt à Augsburg. En 1934, Hitler convoqua Viktor Schauberger avec les membres les plus importants des société Thulé et Vril afin de travailler ensemble à ce projet et en Juin 1934, sous la direction du Dr.W.O.Schumann, fut construit le premier avion circulaire expérimental baptisé RFZ1 lequel fit son premier vol avec aux commandes le pilote Lothar Waiz. Ce premier essai failli mal se terminer mais, fin 1934, un autre appareil, le VRIL2, d’un diamètre de 5 m. à « propulsion vril » et un pilotage « à impulsion magnétique » vola enfin. Voici comment le vol fut décrit: « Les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse. Il s’illuminait de différentes couleurs. Suivant la force de propulsion, il passait successivement du rouge à l’orange puis jaune, vert blanc, bleu ou violet « . Cette description ressemble étrangement aux témoignages des témoins visuels des apparitions d’ovnis après guerre ! Ce modèle d’un diamètre de 11,56 m, fut construit en 17 exemplaires,. effectua 84 vols d’essai, il pouvait emmener un équipage de 1 à 3 hommes. (Voir l'image ci-dessous  :)

 

 

    De cette date à fin 1944, d’autres modèles furent construits: Le ‘HAUNEBU 1’ d’un diamètre de 25m. Construit en 2 exemplaires effectua 52 vols avec un équipage de 8 hommes, à une vitesse de 4800 à 11000 km/h. Le ‘HAUNEBU 2’ d’un diamètre de 26,30 m. construit en 7 exemplaires, effectua 106 vols avec un équipage de 9 hommes et pouvant emmener 20 passagers à la vitesse de 6000 à 21000 km/h. Enfin le ‘HAUNEBU 3’ de 71 m. de diamètre, un seul exemplaire, 19 vols avec un équipage de 32 hommes et pouvant transporter 70 personnes à une vitesse de 7.000 à 40.000 km/h., ce fut le dernier construit, Tout ceci, d’après les archives secrètes portant en en-tête l’inscription : « SS-GeheimsKommandosache » Estampille de tous les documents confidentiels des services secrets de la SS, dont une partie a été retrouvée par les Services Spéciaux alliés, classés ensuite « Ultra Top Secret « et dont certains dossiers furent auparavant soustraits et mis en lieu sûr par des personnes dignes de confiance et de haute qualité morale. D’autres appareils furent construits jusqu’à la fin de la guerre, car il est évident que les disques volants, malgré leur vitesse étonnante de déplacement pour l’époque, ne pouvaient être utilisés comme arme de guerre car, malgré ces performances et des décollages foudroyants à la verticale, ils ne pouvaient effectuer des changements de direction que de 90°,45° ou 22,5°, à n’importe quelle vitesse, sans dommage pour l’équipage grâce à ce système de pilotage à impulsion magnétique. Cette supériorité technologique ne remplaçait pas la maniabilité des avions de chasse, Messerschmidt et Fockewulf de la Luftwaffe, face aux forteresses volantes B17 et B52 des alliés puissamment armées. Au fur et à mesure que ces engins étaient mis au point, d’autres appareils hybrides (propulseurs à réaction et pilotage avec stabilisateurs magnétiques) furent fabriqués jusqu’à la fin de la guerre mais, plus ‘baclés’ faute de temps furent expérimentés avec des fortunes assez diverses.. plutôt mauvaises ! Cette conception ne pouvant allier deux technologies différentes pour une même machine amenèrent de nombreux échecs. Mis à part des vols sporadiques parmi les formations Alliées que leurs aviateurs qualifiaient « d’armes miracles « , ces engins ne furent jamais engagés comme armes aériennes.. Toutefois et en parallèle, les disques volants du type VRIL étaient encore perfectionnés et un dernier grand modèle baptisé ODIN, ou VRIL 7, serait devenu opérationnel juste avant la fin de la guerre. Fin 1943 à Kolberg, station balnéaire de la Mer du Nord s’est tenue une réunion de la société VRIL à laquelle participaient les médiums Maria et Sigrun qui avaient « reçu des informations précises sur les planètes du système d’Aldébaran... « Les participants décidèrent qu’un « voyage » devait être programmé vers Aldébaran.. Le 2 janvier 1944, HITLER, HIMMLER, KÜNKEL et SCHUMANN (tous de la société VRIL) se rencontrèrent pour mettre en place ce projet : Ils voulaient avec un gros engin VRIL7 faire effectuer un vol expérimental vers ALDEBARAN par un "canal dimensionnel" ( ?) Ce voyage aurait eu lieu l’hiver 1944.( ?).. Ensuite en Avril 1945, ce VRIL 7 aurait décollé du terrain de Brandebourg vers Aldébaran, emmenant des scientifiques et des membres de la société VRIL... Les effets du décollage furent désastreuses pour les installations du terrain d’essais... ayant été détruites par les vibrations magnétiques La finalité de notre travail étant de formuler une conclusion sérieuse sur les irritantes questions sans réponses sur les OVNIs, une ultime information est à noter car, sans celle-ci, toute hypothèse serait maladroite.. et passerait bien à côté de la réalité !!

 XI  LES OVNIS DU III° REICH...

     Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins. Un retour en arrière est indispensable : Dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement. Entr’autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND» embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit.  L'image suivante pourrait symboliser tout cela:

    Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des « équipages constitués de nombreux techniciens spécialisés « , fuyant l’occupation alliée en Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée « High Jump « se composant, en plus du navire amiral « Mount Olympus « de deux brise-glace le « Burton Island » et le « North Wind », les transports de troupes « Pine Island » et « Curritruck », les destroyers « Brownson « et « Henderson », le porte-avions « Philippine Sea » et quatre autres navires, « Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et le « Merrick », 4000 marines et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais..

    Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le « Mercurio»,  une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: « C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre »  Il laissa aussi comprendre:  « Qu’il y avait « là bas» une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure ». Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947.. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme un peu avant le milieu de notre XX° d’autres furent également capables de rééditer ces « exploits » technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement. D’après les « lectures » d’Edgar CAYCE et les « planches » et « codex » de GUILDER force est d’admettre que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de portée physique des terriens avaient la connaissance et la maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou solaires que les sciences humaines sont encore maintenant loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes (VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à ces informations par contacts initiatiques médiumniques, lesquels ne disposant pas plus que les autres humains d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en place les techniques permettant de construire des engins et de produire des matériaux aux performances bien supérieures à ce que les industries classiques mettaient au point et d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il y a pour tous un mystère.. qui n’en est plus un si l’on accepte avec humilité et sagesse, d’admettre que certains humains ont la faculté de « recevoir des messages et des informations « insaisissables par nos sens communs en provenance de sources inconnues. Il faudrait être complètement obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois physiques universelles sont encore inconnues de l’homme (tout comme l’électricité l’était au Moyen-Age) et que des « médiums », dotés de sens perdus par l’homme après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques à d’autres milieux successifs, soient encore capables de transmettre par ce « canal » des informations.. rejetées par la masse ignorante.. mais pouvant très bien être exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux intentionnés du monde.. pouvant mettre ces technologies au profit de causes parfois plus que douteuses.. Des ouvrages entiers ont été écrits, apportant les preuves matérielles que des médiums permirent un peu partout dans le monde de faire des découvertes étonnantes.. entr’autres archéologiques. Il n’entre pas dans notre intention d’en faire état ici. Il n’est donc pas étonnant à ce que, grâce à des médiums ayant eu la faculté d’entrer en contact avec des « entités « du système solaire d’Aldébaran, des savants aidés de techniciens aient mis au point des engins d’une technologie incroyable pour notre époque.. Que les septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins purent être fabriqués et évoluer ainsi alors que les avions de chasse les plus performants de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise, n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de l’US-Air Force s’en souviennent encore ! Il est curieux de constater que ce n’est que depuis l’année 1947 que les OVNIS commencèrent à poser de sérieux problèmes aux « Hommes du Secret »: Personnalités diverses, militaires et scientifiques, la plupart desquels ayant été témoins d’atterrissages, de crashes ou simplement d’évolutions.. réduits au secret sur ordres supérieurs, contraints de démentir officiellement ce qu’ils avaient vu, ayant été soit-disant abusés par des phénomènes naturels, atmosphériques ou autres explications aussi absurdes.. auxquelles les spécialistes ne croyaient pas.. mais « vraies « .. puisqu’officielles ! Après la coûteuse expédition de l’Amiral BYRD menée contre un adversaire non officiellement connu et de cette cuisante mise en cause de la supériorité technologique militaire humaine de l’époque, certaines suppositions peuvent être avancées : Un succés de l’US Navy en Antarctique et, le 24 JUIN 1947, Arnold KENNETH pilotant près du mont Rainier au N.O des Etas-Unis un monomoteur de tourisme Call-Air A2, aurait tranquillement recherché l’épave d’un Curtiss Commando C-46 qui s’était écrasé quelques semaines auparavant dans ce secteur.. sans avoir observé neuf disques volants d’environ 15 m. de diamètre évoluant à une vitesse ayant été estimée par la suite par des spécialistes de l’aviation à 1900/2000 kmH., vitesse qu’aucun appareil volant construit ne pouvait atteindre à cette époque ! Le 509° groupe de bombardiers US basé dans le Nouveau-Mexique à ROSWELL aurait continué une carrière paisible jusqu’à sa dissolution.. sans autre histoire et sans faire parler de lui dans le monde entier. Le malheureux major Jesse MARCEL, n’aurait pas été placé devant la pénible obligation de renier son premier témoignage en présentant ses excuses à la Presse au cours d’une conférence, où cet officier supérieur dut reconnaître avoir confondu les débris d’un objet volant non identifié s’étant écrasé début juillet 1947 dans les environs.. avec ceux d’un ballon sonde complaisamment étalés aux pieds des journalistes convoqués à la hâte.. Une telle « version officielle » ne peut souffrir de doute, ni la moindre critique malgré le tragi-comique et l’absurdité de la cocasse mise en scène organisée par le général RAMEY.. Mais pendant des années le major Jesse MARCEL et sa famille endurèrent un véritable calvaire moral, lui à la recherche d’une vérité qu’il ne put jamais découvrir, mené de fausses pistes en impasses par des autorités peu soucieuses de révélations ! Les vagues d’observations de juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du Nord, semblèrent venir narguer et faire toute une série de pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et militaires du Pentagone et de la CIA.. placés pour longtemps devant le problème que posait ces manifestations, sans réponse possible quant à la technologie spécifique utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux objets volants.. à identifier officiellement ! Rien de plus irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé un peu plus loin près d’une falaise, devant les connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne permirent de comprendre le fonctionnement, la propulsion de cet engin.. pas plus que pouvoir identifier le fameux « métal » dont il était en grande partie composé. Seules quelques ‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil.. et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents, dessins et épures récupérés après la Guerre par les Alliés, ne constituaient que des informations certes convaincantes détenues par les Services Secrets de l’Ordre Noir de la SS.. mais techniquement inexploitables. Les plans et les documents technologiques, permettant la construction en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages et de faire procéder aux essais en vol et, compte tenu du caractère ultra-secret de leurs contenus, ont été évacués à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé par les technologies de pointe de la production allemande du III° Reich. Un simple témoignage personnel donné par l’auteur convaincra le plus septique : Une technologie très avancée en matière de production optique était, jusqu’aù Samedi 17 et le Lundi 19 mars 1945, (dates de deux très destructeurs bombardement par la US-Air Force) en pleine activité à Jena, dans le Thüringe, chez Carl ZEISS. Deux usines étaient en place à Jena dont une en pleine ville, grandes bâtisses de briques rouges, nommée « Hauptwerke » abritait des ateliers, des bureaux d’études et l’administration centrale. A l’étage il y avait un bureau de dessin, le Kobo Pulz, Bureau de Construction Pulz, du nom d’un illustre inconnu et, au fond de ce long bureau un palier avec, en face un très discret atelier de photographie, ayant pour objet de microphotographier tous les plans de ce que Carl Zeiss produisait en optique: De la simple jumelle au planétarium le plus sophistiqué, en passant par toute la gamme des télémètres, périscopes, appareils de visées, de photo, de caméras et d’objectifs les plus élaborés. Les centaines de plans de chaque appareil étaient enregistrés chacun sur un petit film tenant dans le creux de la main et placé, telle une poupée russe, dans une succession de boites le mettant à l’abri du feu, des radiations, des rayons X et autres ! Ces films étaient stockés dans des abris bétonnés au fin fond de profondes caves sous terre. N’ayant pas le caractère « top secret « des engins volants, les films de Carl Zeiss furent facilement « saisis « par les troupes US sous les ordres du major général Anderson, parvenues les premières à Jena le 21 Avril 1945.. lesquelles, le jeu de la politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour laisser une place « nettoyée ».. à leurs alliés soviétiques ! Or, ce procédé était utilisé dans toutes les industries de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs un ensemble de technologies pouvant être facilement reconstituées en cas de destruction locale ou même faire face à une issue désastreuse de la guerre pour le III° Reich.. que beaucoup avaient envisagé des mois avant la chute de Berlin.. ou encore aussi -pourquoi pas- pour des technologies très avancées pour l’époque- servir plus tard pour la « bonne cause » à une survivante et future organisation nazie répartie dans quelques bases secrètes prévues, organisées installées de longue date dans certaines contrées par des milliers d’ hommes bien entraînés et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés officiellement du monde des vivants et évacués longtemps avant le 8 Juin 1945 et pour certains « grands pontes « .. durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère, voire intergalactiques...

 XII  LES BASES DU DERNIER BATAILLON

     Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entr’autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique.. précaution supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants d’autres bases, pouvaient travailler activement au remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines outils et infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité : L’attention des Alliés du conflit terminé se portait vers d’autres préoccupations politiques et économiques prépondérantes plutôt que continuer, après cette « aventure », à chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées ... Outre le territoire antarctique du Neu Swchabenland il existe d’autres territoires à travers la monde où des colonies perpétuent la survie du régime nazi, avec d’anciens SS et leur descendance, dans des camps parfaitement organisés dont le plus important est situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur. Dans un secteur géographique de l’Amérique du Sud, il y a au moins une base d’engins volants quelque part dans la Cordillère (la localisation se lit sur certaines planches de Guilder). Une autre encore et non la moindre, se situerait dans le labyrinthe des hautes vallées perdues de l’Himalaya. Là essayons de comprendre pourquoi les forces chinoises ont tenu à occuper à tout prix le Tibet.. malgré le peu d’importance stratégique de ce territoire sacré!.. Une très importante raison occulte. Là ce n’est encore qu’une hypothèse non vérifiable.. Puis encore sous les glaces du Groënland et en d’autres points invisibles car soigneusement et profondément enterrées dans certaines zones souterraines de notre planète.. où séjournent toujours les membres du dernier bataillon. Ce fameux dernier bataillon que Hitler citait dans son discours du 24 février 1945: «Je vous prédit aujourd’hui, comme toujours empreint de la foi en notre peuple, la victoire finale du troisième Reich où dans cette guerre il n’y aura ni vainqueur ni vaincu, que des morts et des survivants, mais le dernier bataillon sera allemand ! » Et la ronde des OVNIS se poursuit. Ces étranges engins viennent toujours narguer les peuples en poursuivant une activité insoupçonnable, surgissant apparemment de nulle part et disparaissant mystérieusement, mettant depuis des décennies des milliers d’ufologues en émoi.. lesquels cherchant très loin ce qui se trouve tout simplement, pour la plus grande majorité, basé dans quelques discrets recoins de notre planète.. Ceci n’est plus de la fiction : Ces engins volants existent bien, conçus et pilotés par des hommes, aidés psychiquement et physiquement par d’autres intelligences. Mais quels sont ces équipages ? Certains ont été aperçus lors de rencontre dites du deuxième type : De grands blonds, parfois de très grands de plus de 2 mètres, d’autres plus petits, des nains ou des nabots à drôles de têtes, les avis divergent car il y a une diversité entre les occupants de certains engins avec d’autres. Leurs missions restent pour nous du domaine du mystère.. Cette question reste encore sans solution.. Beaucoup de témoins affirment avoir eu contact avec des hommes blonds, parlant anglais ou la langue du témoin.. mais avec une pointe d’accent allemand voire, en présence du témoin, s’exprimant entr’eux en allemand.. pour ceux-là pas de problème : Inutile de chercher loin, nous savons à qui nous avons à faire ! Ensuite certains « géants » blonds également, ne s’exprimant pas directement avec les témoins : Il y a de fortes chances pour que ce soient des individus en provenance (peut-être) d’Aldébaran. Ceux-là même partageant les communautés humaines des bases du dernier bataillon, venus avec soit leurs propres engins ou ayant été ramenés par des appareils construits sur notre planète grâce à leurs informations technologiques reçues par leurs correspondants télépathes, tel que décrit plus avant. Enfin en ce qui concerne les petits êtres, nabots et nains, faudrait-il comprendre que, pour certaines missions particulières, de tels « hmanoïdes » aient été génétiquement fabriqués par, soit des hommes, soit par des ressortissants d’Aldébaran ? Cette hypothèse n’est pas si absurde: Ne venons nous pas de redécouvrir la méthode du clonage (pudiquement expérimentée sur une brave brebis), déontologiquement contrôlée par les instances médicales les mieux intentionnées du monde.. mais pouvant très bien, en de discrets laboratoires sous la férule de doctes savants à la conscience assez élastique, « produire » bien d’autres choses.. que d’innocentes brebis ! ! C’est intentionellement que nous écrions re-découvrir car, nous avons tous appris dans les mythologies de nos manuels scolaires que des êtres mi-hommes mi-animaux évoluaient au milieu des humains, le Minotaure, le dieu Pan, le Centaure, Anubis (l’homme à tête de chacal),le Sphynx, les Tritons, les Sirènes ce qui laisse à penser que, toute légende ayant un fondement de vérité, dans les civilisations antédiluviennes il était courant, probablement pour aider les humains dans leurs tâches, de « produire » des êtres hybrides.. Nous ne faisons que reprendre à notre compte une « technique » génétique ayant été déjà pratiquée par les hommes de civilisations oubliées.. Alors rien n’empêche de penser que certaines équipes de médecins de la mort, ayant exercé leur « art » dans les camps nazis, se soient alors, dans le plus grand secret, consacré à « travailler » sur les mutations génétiques humaines! Au procès de Nüremberg il n’a pas été question de ce genre de torture.. Mais a-t-on réellement tout « déballé » et devant l’énormité de la découverte, la chape de plomb du « grand secret « n’a-t-elle pas été mise en place, car combien d’expérimentations in-vivo sur des centaines de malheureux déportés horriblement sacrifiés n’ont-elles pas servi, après guerre, à la mise au point de techniques médicales, chirurgicales ou autres ? Un voile autant hypocrite qu’épais a bien été jeté sur beaucoup de ces « révélations » Ne soyons donc pas étonnés que des humanoïdes pourraient avoir été « mis au point » pour remplacer les hommes ou leurs collègues d’Aldébaran à l’intérieur des vaisseaux. Restons malgré tout vigilants: Ne tombons pas dans le piège de certaines désinformations, telle la fameuse autopsie d’une sorte d’humanoïde.. mise en scène pour la production d’une video particulièrement douteuse quant à sa qualité et à ses conditions de prises de vues bizarres.. et parvenues dans certains studios de TV après de rocambolesques aventures. Tout un ensemble volontairement produit par certains services spéciaux afin de masquer une autre vérité.. certainement plus étonnante ! L’INCROYABLE EST MALGRE TOUT POSSIBLE ! Mais pour réussir dans leurs missions actuelles et futures, ce que le 24 février 1945, Hitler n’avait pas imaginé en faisant son fameux discours, ces hommes du dernier bataillon, vivant sur ces bases secrètes, sont liés par un tacite contrat moral à ces Intelligences avec, pour Règle Unique et inconditionnelle de survie, une stricte allégeance à une Loi Universelle fondée sur le respect de la Vie sous toutes ses formes… Les engins volants et les armes d’une puissance inouïe dont ils disposent devant rester un système exclusivement défensif par leur capacité à dissuader également tout adversaire en le privant de ses moyens offensifs.. Sous peine de se voir immédiatement détruire et anéantir intégralement par ces intelligences… Le père Noël n’est pas si loin que ça ! ...Dommage pour les rêveurs… Mais comme dans toute science exacte.. la Physique de l’Avenir, mettant en jeu des paramètres encore inconnus des Sciences des Lois de l’Univers et du Cosmos, n’est pas du domaine du rêve, mais de celui du pragmatisme, de la Sagesse et de l’Humilité… Pour parfaire cette conclusion, il est bon de se reporter aux centaines de pages adressées depuis 1947 par une de ces Intelligences à Guilder, ce médium ayant fidèlement recopié ce qui lui était dicté : Textes, dessins, épures, plans, l’ensemble décrivant avec une foule de détails étonnants ce qui vient d’être très schématiquement décrit plus avant… Rien n’est à traiter avec dédain ni condescendance.. même ce qui peut sembler être le plus aberrant des facteurs exposés n’est à mépriser.. ni encore moins à rejeter si l’on veut humblement comprendre tout l’ensemble d’un problème. En la matière, le Berger, méditant sous les constellations de la voûte du Ciel, dispose lui d’autres sciences que celles emplissant la tête la plus pleine de l’homme le plus savant d’entre les hommes n’ayant pour frontières que celles des murs de son laboratoire... et pour limites celles de sa connaissance.. Mais qu’un jour ce Savant rencontre et écoute le Berger… et alors le monde des Hommes s’étonne... « Visita Interiora Terrae Rectificando Invenies Occultem Lapidem » Mystérieux VITRIOL alchimique, tu contiens plus de secrets... que tu n’en dévoiles à l’Homme !

Jean ANNE

Article mis en page par Idylle Fred, le 07/09/2001, et revu le 18/09/2001, puis le 14/04/05, puis le 16/06/08.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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