Consultations pour le data-system :
ARTivision.fr, est une page
WEB, strictement personnelle de
:
Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997 Pour tout contact avec ARTivision.fr : fred.idylle@orange.fr Bonne lecture ! Communiquez nous, SVP,vos commentaires. Merci d'avance. Adresses du site :
http://artivision.eu (Pour connaitre le code des couleurs, prière d'aller, SVP, à :
Avant-propos.html
|
Pas de glace au Pôle Nord.
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. États-Unis 21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois, que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher. Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise. Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100. |
Pas de glace au Pôle Nord.
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. États-Unis 21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois, que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher. Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise. Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100. |
Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)
Mais tout ce qui précède n'était que le hors-d'œuvre du plat de résistance, très titanesque.
Comme il est bon, d'ironiser, tant soit peu, de temps en temps commençons, si vous le voulez bien, par cette information très classique où l'on apprend que les scientifiques, ont réussi à photographier dit-on, un prétendu, trou noir cosmique, tel que :
Pourtant en 1992, on était déjà, aussi heureux, d'exiber cette autre image, et on ne parlait surtout pas là, dans ce cas, de
parhélie, autrement dit, de phénomènes dus à des illusions d'optique :
Mais alors, l'on note alors , que ces Messieurs les scientifiques, vont à perpette (près de 50 millions d'années-Lumière), chercher l'image d'un obscur vortex, nommé Trou Noir, mais, qu'ils sont incapables de voir, celui bien plus voisin d'eux, et pourtant très lumineux de l'astre nommé Titan...
C'est la revue "Sciences et Avenir d'Août 2004 :
qui fut l'une des premières revues , à présenter, une image extraordinaire, de Titan le plus gros satellite de Saturne, dont le diamètre est de 5150 km, (plus gros que la Lune : 3474 km, que Pluton 2280 km et même que Mercure : 4960 km) .
Ce satellite géant, fut filmé en fin Juin 2004, par la sonde américaine Cassini-Huygens, lancée le 15 Octobre 1997, de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride. Un module européen de Cassini, nommé Huygens, a même réussi à se poser sur Titan, le 14 Janvier 2005)...
Et c'est le moment ici, de reprendre à notre compte, la célèbre boutade du grand acteur que fut Louis Jouvet, qui nous le disait si bien, dans le film de 1937 "Drôle de Drame" de Marcel Carné :
et en parodie, on dirait ici :
Il en résulte que pour ARTivision.fr, on découvre là un phénomène, qui pose des interrogations majeures aux scientifiques contemporains, qui pour cela, évitent d'en parler et d'en discuter...
Voici donc, à la page 14, ce l'on découvre, au sujet de ce fameux Titan :
Et comme les couleurs sont ici, un peu floues, nous avons précisé, où se trouve, le phénomène en question :
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps, de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan....
Pour mieux visualiser cette affaire, disons déjà qu'elle nous invite résolument à mettre en exergue, le célèbre aphorisme :
, de Victor Hugo, tiré de son poème intitulé La Conscience de "La Légende des siècles".
Nous allons donc ici, vous présenter un fait très embarrassant, mais pourtant bien cadré, dans le domaine scientifique, et dont l'interprétation est loin de faire l'unanimité, et fait, qui s'intègre donc parfaitement dans les deux sujets du Bac de Philo de 2013, qui s'énonçaient ainsi :
et
Interprète-t-on à défaut de connaître ?
Mais analysons tout cela plus attentivement :
Allez le voilà à nouveau en grand, dans toute sa magnificence :
, et en bleu c'est très super :
Et que c'est le moment ici de sortir le proverbe antillais inversé, (le pas bon est devenu le bon), tel que
Autrement dit :
l'est aussi pour notre Terre".
Rappelons aux novices, qui lisent souvent en diagonales les articles du site, qu'il n'est pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant, de près de 300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus, possède clairement, en desous de lui, de faibles traces, cependant bien visibles, soulignant la présence d'une sorte réverbération, sur les couches de l'atmosphère de la planète, prouvant ainsi absolument, que cette extrême luminosité, vient bien de l'intérieur de l'astre. (voir le bout de la flèche rouge).
Disons aussi que notre site, a pu ainsi publier, plus de 100 articles, concernant cette affaire de Terre intérieure, qui bien sûr, fait toujours rire sous cape, les détracteurs zététiques psycho-sociaux, et autres intellectuels blasés et très médiatisés du système, et ces derniers vont louper le coche lamentablement, que la sonde Cassini Huygens est venue confirmer prodigieusement en 2004, en nous présentant le satellite TiTAN de Saturne, tel avec un vortex très brillant à son pôle sud (ce que certains égarés ont qualifié, de petit nuage de méthane) :
Mais un élève de sixième, assez attentif et vigilant, pourrait voir facilement, qu'il y a bien là, (juste, au bout de la flèche rouge), une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre ...
"Élémentaire, mon cher Watson, dirait le célèbre Sherlock Holmes d'Arthur Conan Doyle.
Et en, infra-rouge on a aussi :
Il est très clair qu'ici, on voit, sans discusion possible, un vortex très lumineux, rarement montré dans les sphères médiatiques actuelles , au Pôle Sud, de la planète.
Rappelons aussi, que cette photo du satellite de Saturne, tiré du site officiel de la NASA, tel que :
On y découvre alors
ceci d'abord justement en noir sur blanc
, cette image nommée : TitanJLPsiteNASAPolesudennoiretblanc.jpg telle que :
Et voici alors, un semblant
d'explication de la NASA :
En rouge,
on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparait au pôle sud des 3
images. .."
Oh là
...."un nuage de particules de
méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène
naturel inconnu, pour nous fournir une
luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les
rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de
Km...
On le voit, ici la
NASA, parle "d' un brillant nuage de particules de méthane qui
apparait au pôle sud de Titan" , ce qui nous montre une fois
de plus que les mots
employés nous éloignent, tout aussi assurément,
de la
réalité.
Et en couleur, c'est bien mieux sur le même site de la NASA, on trouve aussi ceci :
Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc en question (Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!)
A vous de juger.
Mais ajoutons une image en couleur, de plus :
Le point lumineux au bas de la planète, est toujours là, et, étant donnéé sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre.
Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :
De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase
suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :
" Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs." "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "
Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image bleu, que nous replaçons volontairement ici et dont le diamètre, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :
par le Webmaster du site ARTivision, dès Janvier 2005.
La NASA, et les
astronomes prétendent, que le disque brillant en
question,
n'est qu'un un petit nuage blanc de
méthane.
Il est clair alors, que pour notre Terre,
c'est Kif-kif. C'est exactement cela que
démontre notre site depuis le 17/09/2000. (voir notre modeste article d'époque :Byrd.html)
Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...
Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :
Ainsi, sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web; (merci d'avance à tout internaute béni, qui en retrouvera le nouvel url) :
on trouvait alors en 2004, cette image :
Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith en. (1998) a détecté est en fait, un évènement similaire à celui-là. : "
Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...
Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", que nous avons souvent évoqué, dans de nombreux articles ...
Cette luminosité inexplicable, d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien bien ici, dans le cas, où la Science "interprète " à la va vite, un fait notoire, à défaut d'en connaître sa stucture véritable... (Voir à ce sujet nos articles clefs :