Jacques BERGIER
, est né le 8 Août 1912
à Odessa en Ukraine et mort à Paris le 23 Novembre 1978 et est enterré au cimetière juif de Pantin. Ingénieur chimiste, découvre en 1936 avec
André Heibronner
l'utilisation de
l'eau lourde
pour le freinage des neutrons, et réalise avec lui la première
synthèse d'un élément radio-actif naturel, le polonium. Il invente
en 1950 le refroidissement électronique des réacteurs nucléaires, et
le réacteur nucléaire sous-critique sans modérateur, en 1955. Il a
organisé le premier réseau de renseignements scientifiques en 1940
et s'est occupé de la récupération et du transfert en Angleterre de
l'eau lourde de Norvège. Plus de
vingt ouvrages, l'ont fait connaître du grand public dont le
fameux best-seller
"Le matin des Magiciens", écrit en
collaboration avec
Louis Pauwels en 1960 avec lequel, il a aussi
fondé la remarquable revue
"Planète", en Octobre 1961 et qui pendant près de 10 ans, fut le panégyrique incontestable de l'ésotérisme de bon aloi autrement dit de ce que l'on appellait alors le
"Réalisme Fantastique".
Pour
les puristes, qui aiment remonter aux sources, voici les couvertures du célèbre ouvrage de 1960
"Le Matin des Magiciens":
Mais, il convient aussi de présenter ici, un modèle de la revue renommée
"Planète" qui se présentait comme un ouvrage d'environ 200 pages et de 17,5 cm de largeur, pour 20 cm de Hauteur et 1 cm d'aipaisseur et pouvait ainsi être directement placé, debout dans une bibliothèque :
Voici les couvertures du n° 26 de Janv-fév 1966 :
Vous trouverez une remarquable bibliographie de
J. Bergier sur le site:
Membre de
l'Académie des Sciences de New York, personnage de Tintin dans l'album
"Vol 714 pour Sydney", sous le pseudonyme de
Mik Ezdanitoff, dont voici donc 3 vignettes :
Et voici aussi, la jaquette du DVD en question :
Si nous avons présenté ces vignettes et ce DVD, c'est simplement parce que, ce savant
Mik Ezdanitoff (alias J.Bergier), épouse parfaitement
le cursus culturel d'ARTivision.
De plus, il est utile de savoir que
Jacques Bergier, était un
casse-tête pour les savants, car il avait la faculté de lire des
ouvrages en plusieurs langues,
à une vitesse incroyable. Il
connaissait par exemple parfaitement le français, l'espagnol,
l'hébreu, le tchécoslovaque, le polonais, l'italien et tâtait encore
que deux ou trois autres langues. Il était capable de lire un
ouvrage comme la Bible en deux heures, et un roman policier en 10
minutes.
Le n°26 de la revue
"Planète" qui précède, n'a pas été choisi au hasard, car voyez vous-même ceci :
Il avait donc
une incroyable faculté d'assimilation des
nombreux nouveaux ouvrages scientifiques ou autres que lui enviaient
sûrement bien de
ses contradicteurs, car il les invitait souvent, à
propos d'un sujet brûlant, à se documenter dans une liste
impressionnante d'ouvrages que lui, il avait bien
lus souvent en anglais ou dans d'autres langues.
( Voir à ce sujet notre article : Nostramystère.html) où il répond sévèrement à une pléiade de contradicteurs ayant écrit le pamphlet intitulé le "Crépuscule des Magiciens".
II Genèse de l'affaire.
Faisons déjà ici, une
première digression :
, puis le
29/12/2013V oici une info
très bizarre de
R. Charroux, et qui nous interpelle franchement et qui se trouve en page 218 de son ouvrage
"Histoire inconnue des Hommes depuis cent mille ans", Edition de Mars 1973, et ouvrage dont le manuscrit d'origine est de 1963.
R. Charroux, fait ici état
(sans la nommer ce qui est assez rare) d'une
revue américaine qui parle de
l'affaire Muroc Air Field que nous avons évoquée succinctement à la note n° 4 de notre article :
Nous n'avons pas non plus trouvé, dans ce premier livre de
Charroux une autre référence antérieure mentionnant cette extraortinaire
l'affaire Muroc Air Field, alors que
Charroux, nous en parle ici, comme si c'était une affaire très connue, qu'il avait déjà expliquée. Ce comportement est totalement inadmissible et peut-être qu'un internaute avisé, nous en dira plus qui nous aurait échappé.
( A l'internaute qui trouverait cette explication dans une édition précédente, merci de nous en avertir).
Mais selon nous, si
Charroux a parlé
d'une revue américaine sans la citer, c'est sans doute parce qu'il s'agissait d'une revue
"dite people", ayant des titres souvent tapageurs et des articles à sensation, pour attirer les gogos, et
Charroux, voulait certainement que son ouvrage soit considéré comme sérieux, aussi a-t-il évité de nommer cette revue...
Mais, en ce qui concerne le site
ARTivision, son Webmaster considère
que chacun à son petit rôle à jouer dans la Grande Horloge cosmique qui dirige l'Univers, comme
chaque petite roue dentelée d'un réveil mécanique est utile.
Donc, ce webmaster
ne fait aucune différence de classe, par exemple entre une revue dite par les
bien-pensants plutôt
sérieuse, comme par exemple,
"La Recherche", ou la revue
"Science et Avenir"... et
une revue people , comme
"Paris Match", ou mieux une revue considérée,
à l'époque, par des
bien-pensants comme une
"Feuille de choux", comme
Nostra, que ces
bien-pensants, n'auraient jamais eu l'idée d'acheter à ce moment là.
Que cela soit clair ici, une fois pour toutes. En, effet ce n'est certainement pas, une revue comme
"La Recherche",... qui aurait à l'époque osé publier cette affaire de
Muroc Air Field, et encore moins
cette incroyable affaire de Terre creuse, évoquée par
Jacques Bergier dans le
n° 263 du 20 au 26 Avril 1977 de
Nostra. Nous invitons donc ces
bien-pensants, à relire avec attention le début de notre article
très corsé sur cette affaire, où il est question
du soi-disant sérieux de certaines revues :
Ceci étant bien précisé, analysons maintenant l'article de
Jacques Bergier en question :
Voici donc la photo de couverture et le début de l'article de cette revue
Nostra, à laquelle nous étions abonnés, depuis le
n° 1 du 13 Avril 1972, jusqu'à sa disparition
fin Juillet 1982, avec le
n° 535.
CLASSÉES
"TOP SECRET" PAR LES MILITAIRES
AMÉRICAINS DES PHOTOS PRISES PAR SATELLITES
PROUVERAIENT
QUE LA TERRE EST
CREUSE.
par Jacques BERGIER
Notre planète est une boule de bilboquet.(Note du Webmaster n° 1 : Voici un modèle :
et, il est bien dommage, que l'on ne puisse voir ici, que le trou supérieur de la boule). Elle est percée aux deux bouts, aux deux pôles et l'on peut accéder à l'intérieur par l'un ou l'autre de ces orifices.
Voici une hypothèse qui revient à la mode, dans notre pays et
ailleurs avec la projection du très bon film "Centre de la Terre, septième continent", (Note du Webmaster n° 2: Voici l'image de présentation du film en question sorti aux USA en 1976 :
Notons cependant que le film suivant, de 1974, semble évoquer le même thème :
nous donnerons plus bas nos commentaires ciblés sur ces films. Fin de la note n°2, et suite du texte de Jacques bergier)
Elle n'est pas nouvelle et l'on se souvient
plus particulièrement des théories aussi abstruses que métaphysiques
développées, naguère par les nazis. Mais le film en question ne doit rien aux élucubrations de ceux qui furent les nouveaux "illuminés de Bavière" puis de tout le IIIe Reich. Il s'inspire d'un roman de l'écrivain
américain Edgar Rice
Burrough, un cœur simple qui vivait dans un
dénuement extrême et ne pouvait compter pour subsister que sur son
imagination fertile entre toutes. Rappelons, pour la petite
histoire, que sa terre trouée le laissa creux lui-mème comme par
devant, mais qu'il se consola en créant Tarzan (Le premier Tarzan est paru en 1912)
(Note du Webmaster n° 3: Bergier oublie ici cependant de mentionner qu' Edgar Rice Burroughs a repris cette théorie la série "Pellucidar" (Au cœur de la Terre en 1914), pour se poursuivre avec 6 autres volumes.
Il n'y a pas si longtemps au Fort Delgrès de Basse-Terre en Guadeloupe, s'est tenu un forum de la BD, où les plus grands spécialistes du genre, montraient leurs œuvres. Nous avons étonné tout un chacun, en prétendant que nous recherchions en priorité un dessinateur de BD Norvégien, pour l'inviter à sortir un album très classique, sur l'histoire du " the Smoky God", de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson, paru en 1908 . Hélas il n'y avait aucun dessinateur norgévien, dans le coin et tout le monde a voulu prendre notre photo, quand nous avons sorti le Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969, où l'on voit à vue d'œil, une super structure gigantesque placée sur la face cachée de la Lune. Mais, ensuite ce fut tout. Ces messieurs spécialistes de la BD, ont replongé dans leur petit train-train quotidien, et pas un ne nous a contacté, pour en savoir plus sur l'ouvrage extraordinaire "Smoky God", (que nous avons été, rappelons le, premier à traduire gratuitement sur le Web Français dès le 6 Avril 2001). Ils s'en mordront les doigts, car le Temps des Révélations, est bien arrivé, et ils ont loupé le coche comme beaucoup d'autres. Ah s'ils avaient au moins lu, cet épisode en BD de Russ Manning concernant Tarzan à Pellucidar, d'après l'œuvre de Edgar Rice Burroughs:
Mais ce Tarzan d' Edgar Rice Burroughs, nous présente l'histoire de David Innes, ingénieur des mines, qui a accepté de financer la construction d'un excavateur de type nouveau inventé par son ami Abner Perry. Les deux hommes effectuent un test dans le désert du Sahara, et tombent dans le monde intérieur inconnu de Pellucidar. Donc il n'est pas du tout question ici du Pôle Nord. Voir le tome 1 sur le site à :
Donc ce Tarzan, ne connaissait donc pas les ouvertures polaires, comme celui de Russ Manning, dont nous allons donner ci-dessous quelques infos.
C'est donc Russ Manning lui-même, qui autour de 1970, a imaginé cette affaire de voyage de Tarzan en dirigeable vers le Pôle Nord. Bravo à lui, car cela montre qu'il connaissait parfaitement, la théorie de la Terre creuse, et l'on va voir ci-dessous pourquoi...(Cette théorie, on le sait est parfaitement bien occultée dans notre enseignement scolaire puisque nous-mêmes, nous l'avons souvent dit, nous ne l'avons découverte qu' autour de 1972, après avoir pris lecture de l'ouvrage désormais incontournable sur le sujet de R.Bernard: La Terre creuse de 1971 ).
En effet, Voici donc, grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée, on le sait par Russ Manning , et concernant l'affaire du monde de Pellucidar. Ces vignettes sont parues en France, journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan monter dans un Zeppelin pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable hélas en noir et blanc (Tout internaute qui pourrait avoir cela en couleur, serait bien sûr plus que béni) :
Vous avez bien noté que dans cette BD, il est mentionné que Pellucidar se trouve au centre de la Terre que l'on peut y accéder, soit par l'insolite ouverture du Pôle Nord, soit à travers le seul autre chemin que Tarzan connaisse, c'est-à-dire une couche de 800 km de roche, (donc sans doute par des tunnels connus secrets de lui). Il y a aussi cette information qu' à l'ouverture polaire le brouillard est éternel à cause de la rencontre de l'air froid du Pôle et l'air chaud qui monte du centre de la Terre à travers un tunnel de 800 km.
De plus on apprend que dans le trou polaire, il faut suivre une route en spirale car la boussole (le compas) est inutilisable :
Mais il y a aussi le fait qu'à intérieur de la Terre existe un Soleil et que donc l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus.
Pas mal n'est-ce pas cette imagination hors norme de l'auteur !!!
Cependant, si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques, nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste de la BD, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile de Russ Manning, qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage "Fantôme des pôles", et bien d'autres auteurs, comme par exemple Raymond Bernard, dans son ouvrage incontournable de 1964 "the Hollow Earth" que Russ Manning avait probablement lus...
Il semblerait alors que ce Monsieur Russ Manning, n'ait pas eu en main (comme beaucoup d'autres auteurs) l'ouvrage "The Smoky God", de Willis George Emerson, paru (on le sait) en 1908, car à notre avis, il ne se serait pas privé du plaisir d'en faire une BD, vu le caractère hors normes, de ce récit, qui laisse loin derrière les "Voyages de Gulliver", (en anglais Gulliver’s Travels), écrit par Jonathan Swift, en version restreinte en 1721. S'il avait pu sortir cette BD, autour de 1970, les films de 1974 et 1976, présentés plus haut, n'auraient à notre avis, plus aucun intérêt intellectuel.
Á vous de juger tout cela... Fin de la note n°3 et suite du texte de Jacques bergier)
La
"terre creuse" fut redécouverte, pourtant. S'il revenait parmi nous,
Burrough, serait fort étonné de constater qu'aujourd'hui, huit ans après la première marche d'un homme sur la Lune
(Note 3 du Webmaster : Nous avons démontré que cette prétendue marche sur le Lune en 1969, fut le canular du siècle, voir nos articles plutôt corsés à ce sujet et placés à :
....etc.....
Attention, nous n'affirmons pas que les américains ne sont jamais descendus sur la Lune...Ils y sont bien montés, par d'autres moyens que nous ne pouvons détailler ici. Fin de la note n°3, et suite du texte de Jacques Bergier)
certains abondent dans le sens de son vieux récit, aussi alimentaire que fantastique.
D'autant qu'il faisait semblant de croire, simplement, qu'un soleil
brillait au centre de la
"boule" et que
"le creux" contenait une
atmosphère, ce qui permettrait à des humains de vivre sur l'écorce
intérieure aussi bien que sur l'extérieure, avec possibilité de
passer de l'une à l'autre.
Inconcevable tout cela? Voire ! Les partisans actuels de
"la terre creuse" ne
paraissent
ni des fous ni des maniaques. Ils adhèrent en nombre
à
une société que fonda à Londres, fin 1961, un homme d'affaires du
nom de
McDonald. Ce groupe publie des journaux et des livres,
mais en s'interdisant toute forme d'exaltation ou de délire.
Mc Donald , lui-même, dans une interview récente, a résumé
sa position par ce propos fort modeste :
"Nous n'avons pas de preuve mais , nous étudions la question".
(Note 4 du Webmaster : Nous n'avons pas entendu parlé davantage de cette Socièté londoniènne de Mc Donald, et toute information à ce sujet serait la bienvenue. Merci d'Avance ).
Sage comportement et attitude scientifique s'il en fut. Car
rien n'exclut, a priori, l'idée d'une Terre plus compliquée et riche de mystères qu'on ne l'imagine.
J'ai moi-même soutenu dans un livre
"Visa pour une autre terre" chez Albin Michel,
(Note 5 du Webmaster
: Nous ne possédons que la version publié en J'ai Lu n° A 351 en Déc. 1977 telle que :
et nous avons aussi celle publiée chez France Loisir en Mars 1978 telle que :
fin de la note n° 5, et suite du texte de Jacques Bergier ), la thèse d'une Terre
comprenant des espèces de prolongements dans
d'autres dimensions.
Des scientifiques d'URSS se sont intéressés à cette théorie. Elle
présente l'avantage disent-ils, de fournir une explication à la
survie d'êtres humains pendant les âges glaciaires: Ils auraient
disposé de refuges quelconques ouverts sur les régions ensoleillées.
Mais revenons à la version des
"orifices polaires". On devrait les voir, après tout, au moins
celui du pôle nord, ce point géodésique idéal que l'ère moderne se
flatte d'avoir parfaitement situé. La société londonienne déjà citée
a réuni des témoignages d'explorateurs et de marins qui prétendent
avoir accédé aux lisières du trou énigmatique. Quel crédit leur
accorder ? Car il parait, bien établi, maintenant, que nul voyageur
n'a jamais atteint le pôle. Certains, en toute bonne foi, ont cru
partie gagnée. Mais leurs calculs comportaient des inexactitudes.
Restent les survols. Qu'on sache, tout d'abord
qu'aucune ligne commerciale ne passe au pôle.
Note du Webmaster n° 6 : Jetez en effet un bref coup d'œil sur cet entefillet d'un journal du Petit Parisien du 25 Avril 1958:
Ainsi en examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons, que ce trajet contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le survole jamais comme nous le montre aussi cette ancienne carte Air France :
N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement au dessus du Pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique, car il y a aussi le gros risque de pénétrer dans le vortex polaire, et cela, le Contre-Amiral Lepotier, le savait certainement déjà en 1952 : Voir notre article :
articleLepotierde1952.html )
Les publicités qui affirment le
contraire trichent peu en vérité. De 200 km seulement, il
est vrai. Mais c'est plus qu'il n'en faut pour interdire aux
occupants des
"jets" de jeter un regard dans le puits,
si puits il y a.
Et tes satellites artificiels.
N'ont-ils pris aucune photo
révélatrice ? Eh bien oui! il semble qu'un tel document existe. Mais son histoire aussi pose des énigmes en cascade. Il s'agit d'une vue
prise par
le satellite américain Essa 7, le
23 novembre 1968. Une revue américaine
(peu sérieuse, hélas) (Note 7 du Webmaster : Encore cette notion de revue sérieuse, qui est tout à fait relative, et notion qu' ARTivision a déjà sévèrement stigmatisée, plus haut, dans notre première digression. En effet, nous aurions pu commander les revues dont parlent Robert Charroux et Jacques Bergier, afin de voir vraiment de quoi ces revues nous parlent effectivement, car dans les affaires évoquées, le moindre petit détail à son importance. Par exemple, imaginons qu'en 1969, un quidam passant devant un kiosque, voit un client entrain de feuilleter, le Paris Match n° 1028, et que ce quidam aperçoit alors sur deux pages de ce magazine, une photo globale de la Lune . Bien que notre quidam soit interressé par les choses de l'espace, il pourrait alors se dire: "Je n'achêterai pas cette revue people, qui ne correspond pas à mon niveau culturel". On le sait désormais, grâce à ARTivision, que ce quidam aurait loupé à l'époque, par son orgueil démesuré, un incontournable document, unique en son genre, et qui pose l'une des plus grandes énigmes du siècle . Expliquons plus clairement, pour le novice , cette audacieuse assertion :Voici en effet, une fois de plus, ce que notre quidam aurait découvert sur son Paris Match s'il en avait fait l'aquisition fortuite :
Et voici deux agranddissements de la structures en question :
Notre ami Jean Sider (auteur de nombreux livres sur les Ovnis dont le fameux ouvrage très pointu, intitulé "Ultra Top Secret: ces OVNIS qui font peur" Ed. Axis Mundi en 1990, avec la préface de Rémy Chauvin), a contacté le chef des archives de Paris-Match, pour avoir une copie du négatif ayant été utilisé par ce magazine, pour sortir cette la photo ci-dessus en question. Voici donc sa missive d'abord, puis et la réponse qu'il a obtenue :
Et voici la réponse en question en date du 8/01/88.
Comme vous le voyez, c'est l'Agence Scoop qui répond, sans pouvoir donner d'explication sur la destination prise par le négatif en question et chose étrange, ni Paris Match, ni Scoop, ne connaissent l'adresse de l'Agence World Book Science Service, qui était le propriétaire de ce négatif si indispensable.
Notez bien que, dans cette scabreuse affaire, , il faut bien savoir lire entre les lignes..., car d'une part, vous avez bien noté que Mr Sider, a écrit "Je suis disposé à payer N'IMPORTE QUEL PRIX", ce qui pourrait mettre à certains, la puce à l'oreille, et d'autre part, vous n'allez pas nous dire que Paris Match en 1969, n'a pas été capable, ou n'a pas eu l'idée, de demander à son "Service de la photographie", de lui procurer une copie du négatif de cette superbe photo globale de la Lune, avec en plus, une portion de la face cachée, jamais vue à l'époque. Est-il besoin de rappeler ici qu'en 1975, nous avons, nous-mêmes, facilement obtenu à L'Agence USIS (United States Information Service ... sise à l'époque au cœur même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin Bureau 200 75042 Paris, pour la modique somme de 50 F de l'époque) un négatif presque identique à celui du Paris Match 1028, mais il s'agissait d'une photo prise dit-on, par Apollo 11 en Juillet 69. Hélas la partie de la face cachée de la Lune qui nous intéressait était justement et malheureusement surexposée et l'on n'y voyait plus rien. Voici une photo du négatif en question :
Et voici ce que l'on découvre après développement :
Le cercle rouge tracé par nos soins, montre bien la blancheur notoire du secteur en question, où toute structure éventuelle a disparu, ce qui nous fait dire que la netteté de l'image, est ici inversement proportionnelle au n° d'Apollo, et autrement dit, chez Apollo 8, les images étaient bien plus nettes et révélatrices que chez Apollo 11, alors que cela, devrait être en principe l'inverse. Mais les détracteurs nous diront vite fait que ces photos ne correspondent pas la même distance de prise de vue..etc..A vous de juger tout cela... .
Tout cela est bien dommage, car si à l'époque, les personnes contactées pour résoudre cette affaire de négatif,, avaient poursuivies les recherches, elles auraient pu aujourd'hui se prévaloir d'une intuition remarquable, et nous affirmons même que leurs noms seraient restés, un jour dans la mémoire historique de l'exploration spatiale. Remarquez bien que nous n'avons pas écrit "la mémoire historique de la conquête spatiale ", car en matière de conquête (terme consacré par bien des commentateurs), nous savons que nous n'avons rien conquis du tout sur la Lune, mais plutôt c'est nous qui avons été subjugués, par les découvertes qui ont été faites sur notre satellite, et qui ont été cachées à l'Humanité entière pour
de vulgaires questions de puissances militaires et économiques des nations
intéressées.
Monsieur Sider, a aussi contacté directement la NASA, pour le même sujet, et voici une des photos reçues de cet organisme :
Pas besoin de sortir de l'Ecole Polytechnique, pour s'apercevoir que l'on a installé une superbe pastille de camouflage, juste à l'endroit où nous avons détecté la Superstructure en question :
A vous de juger tout cela, documents à l'appui, et nous en avons bien d'autres de même nature...Fin de la note n°7 , et suite du texte de Jacques Bergier)
, l'a publiée.L'image présente, en effet,
un trou noir.
Mais les services officiels, pressés d'en révéler davantage, ont déclaré qu'il s'agissait, en réalité, d'un panoramique, d'un ensemble de six photos assemblées après coup; Une septième, toutefois, manquerait, et le
"trou" ne serait rien d'autre que le vide laissé par la pièce manquante du puzzle. Les partisans de la terre creuse ne
furent pas satisfaits de cette réponse simpliste. Ils réclamèrent et
ce fut pour s'entendre dire
"Vous savez, le butin de la mission est de 40000 photos" .
Ce chiffre ne pouvait suffire à décourager les fervents. Ils
sollicitèrent encore:
"Qu'on
nous laisse donc les consulter". Cette fois,
ce fut
le silence définitif. On continue à attendre désespérément un
démenti ou une confirmation. C'est comme si n'importe qui dans les
services armés US, avait le pouvoir de porter la mention
"ultra-secret",
sur n'importe quoi même sur ce qui concerne la science universelle
et ne fait peser nulle menace de retombées militaires.
(Note 8 du Webmaster : Nous devons ici préciser que depuis 1977, on s'est aperçu qu'aucun satellite ne passe au dessus du Pôle voyez vous même l'explication des surprenants schémas suivants à notre article :