Notons d'abord ici, que le site
ARTivision, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu
lors de la première sortie des
"astronautes".
Donc, on devine que les
"spationautes",
d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des
"km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du
LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel.
Comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et
ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec
un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre
de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué
l'apparence du sol lunaire. Mais,
on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est
le très petit détail qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...
Point barre...
Si nous analysons la tranche
la fameuse roue immobile de la photo
AS17-137-20979, d'
Apollo 17 vue plus haut :
Nous y distinguons clairement,
les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de la roue, quand elle a roulé ailleurs.
Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo
AS17-134-20453 :
Mais, voyons cela, en diminuant le contraste:
Pas un grain de poussière n'est collé
en dessous de la chaussure.
"L'astronaute", est-il passé directement du
LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ?
Aux spécialistes de répondre, si une telle chose est possible !!!
Mais, soyons plus pointilleux encore : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues du
LRV :
On voit là alors que, les roues de droite du
LRV n'ont laissé sur le sol
aucune traces visibles dans la direction montrée. Il en est de même d'ailleurs semble t-il, pour la roue arrière gauche.
Cette affaire de trace de roues absente sur le sol lunaire,
a été présentée dans de très nombreux articles.
Mais, hélas comme la sœur Anne du conte Barbe bleue, de Charles Perrault, nous ne voyons strictement, que rien venir, comme explication, même la plus banale..
Pour en savoir bien plus sur ce
n° 391 Décembre 2002 de la revue Ciel & espace, prière de consulter aussi, notre article :
Où vous trouverez aussi cette
image, répertoriée
AS17-136-20760, qui nous réserve bien d'autres surprises :
et sur le site quasi officiel, on voit aussi que pour Apollo 15:
Mais allons encore plus loin dans
cette affaire saugrenue .
En effet, il n'est pas difficile pour
ARTivision, de mettre en évidence, le fait incroyable , que donc
ni Jonh Young d'Apollo 10,
ni Michael Collins d'Apollo 11, ni Richard Cordon d'Apollo 12, ni Stuart Rossa d'Apollo 14, ni Alfred Worden d'Apolo 15 ( celui qui retient, en cet exposé, notre attention), ni Thomas Mattingly d'Apollo 16, ni Ronald Evans d' Apollo 17 , les 3e "voyageurs" des diverses missions
"Apollo", qui ne sont pas descendus sur le sol lunaire,
n'ont jamais photographié par les sas d'entrée, leurs collègues de retour de leurs dangeureux périples sur la Lune (ou simplement vers la Lune pour
Apollo 10).
Pour bien analyser
cette nouvelle énigme, nous nous souvenons d'abord, que c'est en
Décembre 1965, que les américains eurent un gros problème avec
Gemini 6 ( avec les astronautes
W.Schirra et T Stafford), qui n?a pas pu s?arrimer à un satellite
cible qui devait être
un étage de la fusée Agena, spécialement équipée pour que
le nez de la cabine
Gemini 6 puisse s?y emboîter.
Agena ayant échoué dans son
lancement, la NASA, décide brusquement de modifier ses plans. C?est le vaisseau
Gemini 7 (avec Fank
Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à
Gemini 6. L?expérience devient alors peu spectaculaire,
puisque
l?arrimage étant impossible, le
15 Sept 1965, les
deux cabines ne vont pouvoir que s?approcher à deux pas l?une de l?autre, et
vont effectuer ainsi
en tandem plusieurs révolutions
orbitales.
Le véritable rendez-vous avec
la fusée Agena
inhabitée n?aura en fait lieu qu?en
Mars 1966
avec
Gemini 8 (avec N.
Arsmtrong et D. Scott) et encore que le vol fut interrompu à cause d'un court-circuit.
Mais où cela est surprenant, c'est que nous
n'avons pas
trouvé d'autres d?exemples, où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo
différents
(avant bien sûr la mise en orbite de la
navette spatiale), se
sont réunis dans la même cabine, après un
rendez-vous spatial programmé.
Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le
15 juillet 1975, fut lancé le vaisseau soviétique
Soyouz 19 avec les cosmonautes
A. léonov et V. kubasov , et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission
aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la man?uvre d'approche et
le passage par le sas de contact, des visiteurs américains :
T. Stafford , V.Brand et D.Slayton, ont été
largement filmés et retransmis, dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré
leur grande joie de se rencontrer, et par la suite, ils ont expérimenté et testé
les processus d'amarrage des deux vaisseaux, pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :
Mais, justement maintenant, il nous vient à l'idée, que
la NASA, n'a jamais montré, pour aucune des missions "Apollo",
(à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait
somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de
la Lune, avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le
Module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait
assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine,
une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui...
Aux spécialistes de répondre et
de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.
Quelle joie ce serait en effet, pour lui, de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion, au monde entier ?
Non rien de tout cela, ne nous a été présenté par la NASA !!!
On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras
placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient
chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.
Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur
la Lune, qui reviennent
au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon,
sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir !!!..Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre... ?
Allez, ce
14 Mars 2018, voici encore,
pour les inconditionnels flagorneurs de la NASA, un petit plus notoire , ( placé dès le 20/11/09 sur notre site), parmi de nombreux autres, car en effet, de très nombreuses photos montrant les prétendues
"épopées" des
"Apollo", nous montrent
des ombres d'objets sur la Lune, qui vont dans des directions différentes, ce qui est impossible puisque le Soleil est à la même hauteur pour tous ces objets et il leur envoie des rayons parallèles.
Si nous consultons par exemple la photo d'
Apollo 14, du site déjà bien connu :
, on peut y voir l'image
AS14-68-9487, dont nous vous présentons une portion :
, et un petit coup d'oeil aux ombres portées, nous donne ceci :
Mais, montrons aussi, cette image bien colorée, venant de la vidéo :
Là, on reste muet, devant l'évidence qui pourtant a échappé au regard des observateurs de cette scène, pendant des années.
Voyons maintenant cette image d'
Apollo 17 n° AS11-40-5930, que nous a envoyée, le
20/11/09, l'ami
Claude, et photo tirée du site connu déjà présenté :
apollo_gallery.html
Et toujours pour
Apollo 17, voici l'image
AS17-133-20328, du même site :
On trouvera certainement d'
autres images aussi significatives, montrant cette affaire
d'ombres divergentes.
Bon courage donc, aux éventuels amateurs.
Le
15 Juillet 2010, nous avons reçu par la poste, le
Paris Match 1236 du 13 Janvier 1973, dont voici la portion de couverture, que notre petit scanner a pu capter:
Analysons alors, si vous le voulez bien, cette image de la page 43 :
De nombreux indices étranges, nous interpellent aussi .
Il y a bien sûr cette affaire d'ombres qui vont dans divers sens :
Il y a d'autre part cette caméra
qui est toute nue et non protégée, par un sac bien adéquat,
des dures radiations, circulant sur le sol lunaire et qui détruiraient, vite fait, les sensibles pellicules photographiques de l'époque.
D'autre part, nous ne comprenons pas pourquoi, le relief de
l'arrière plan, est si
arrondi et érodé, alors que sur la Lune il n'y a pas de vent, pour casser les éventuels pics.
Voici par exemple, comment dans un article intitulé,
"Futures visions lunaires ? ", dans le celèbre n° Sciences et avenir n° 153 de Novembre 1959, dont nous présentons ici, encore la couverture :
des journalistes scientifiques de haut niveau, nous imaginaient un paysage lunaire :
Il n'y a vraiment pas de ressemblance n'est pas !!! A vous de juger ...
De plus, la brillance du scaphandre de l'astronaute, contraste avec la paleur du sol, situé derriére lui, comme si l'astronaute avait été juxtaposé sur le paysage par une manipulation photographique.
Mais il y a pire :
Sur le super site :
, nous avons retrouvé cette photo du Paris Match,
( où les couleurs sont moins nettes sans doute furent-elles renforcées par la revue), sous le
n° AS17-134-20425.
Et en regardant attentivement autour des pieds de
"l'astronaute" , vous y découvrirez des traces laissées par
une jeep Willys, qui ne fonctionnerait pas sur la Lune.
Mais allons maintenant plus loin dans l'exploration de ce
Paris Match 1236.
Il nous présente alors, sur deux pages entières,
(que nous ne pouvons capter entièrement avec notre petit scanner), cette image
d'Apollo 17, que nous tirons du site
apolloarchive.com sous le n° :
AS17-I40-21496 :
La légende accompagnant la même photo géante du
Paris Match n° 1236 du
13 Janvier 1973, est alors :
" Un rocher comme sur la Terre : ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante. Son aspect déchiqueté et érodé contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. Au retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue Harrison H. Schmitt a choisis avec discernement. 270 Kilogrammes de roches ont été jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".
Comme tout cela est bien envoyé, n'est-ce pas !!
On s'aperçoit déjà, que ce rocher présente
de nombreuses anfractuosités, contenant plusieurs angles droits, et même
des trous carrés, que vous n'aurez aucun mal à déceler et qui donnent l'impression que
ce rocher aurait été carrément sculpté.
(Mais ce n'est qu'une impression que des spécialistes en mathématiques et topologie, n'auront aucun mal à préciser).
Mais extrayons en, ces deux paties :
Reprenons d'abord la photo de gauche, en y plaçant deux petites flèches :
Au bout de flèche rouge
n° 1, on découvre une sorte d'inscription voilée représentant un
R, et un
Y ou un
4. Plus bas, au bout de la
flèche 2, on distingue comme une parcelle de la roche qui aurait été comme grattée et dont la couleur est plus foncée. Sur la photo d'à côté, nous avons volontairement accentué le contraste pour que cela soit plus net. On y voit alors parfaitement la
forme géométrique de ce grattage, pour y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un
V, qui apparaît bien nettement, et
au-dessous duquel, pointent deux portions de droites bien parallèles.
Évidemment, tout cela pourrait être
le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes en graphologie, démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur
les implications extraordinaires, que l'on pourrait en tirer.
Aux spécialistes donc de répondre...
.
Venons en alors, à la photo suivante, où nous avons placé une seule flèche :
Au bout de la flèche rouge, on aperçoit
une sorte forme circulaire très étrange, et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, ou mieux
une sorte de crochet (il y en a, peut-être, d'autres cachés par derrière), pouvant servir à soulever la structure lègère en carton-pâte ou en plastique.
D'ailleurs
le sommet de ce rocher, paraît bien plat pour un bloc lunaire, car sur la Lune , on le sait, il n'y a pas en principe d'érosion, susceptible de le raboter de la sorte.
Mais dans ce super
n°1236 de Paris Match consacré à Apollo 17 , nous avons aussi repéré l' image du véhicule lunaire
(LRV)Lunar Roving Vehicle placé presque qu'au centre des deux grandes pages 40 et 41, trop étendues pour notre scanner :
Mais sur le site :
, nous avons retrouvé l'image globale en question :
Voyons de plus près ce
LRV (Lunar Roving Vehicle) du Paris Match :
qui correspond à la légende :
" ...Harrisson H. Schmitt parait isolé et perdu vec sa jeep dans ce paysage lunaire fantastique et désolé. C'est ici que vient d'être découverte pour la première fois une roche de couleur orange. Cette couleur est nettement visible de chaque côté du véhicule. trace d'une éruption volcanique ou de la présence d'eau voici des milliards d'années sur la Lune, cette roche sera analysée par les chercheurs. Son origine pose une nouvelle énigme.".
Ce que nous constatons d'emblée, c'est que l'on ne voit
aucune trace de roues du véhicule, ni devant, ni derrière. Comment a-t-il pu arriver au centre du paysage sans laisser de traces sur le sol. Bien sûr, on nous dira que c'est la dureté du sol qui en est responsable.
Point Barre.
Mais il y a une autre énigme tout aussi étrange : On s'aperçoit que la branche horizontale bien noire de
la super croix qui traverse le
LRV (Lunar Roving Vehicle:rappel) ,
passe carrément sous une partie de l'appareillage, alors qu'elle
devrait passer dessus :
Certains internautes ont cru démontrer que c'était
le blanc qui saturait le trait noir de la croix, et le faisait disparaître. Dans notre article
unplusdansespace.html,
nous avons démontré que c'était faux, et voici de nouveaux les deux images vues plus haut montrant nettement que le blanc ne gêne pas la croix :
III Conclusion .
Nous avons bien sûr déjà
signalé sur notre site de nombreuses autres incongruités, dans ces affaires d'Apollo 8 à 17, et incongruités que nous ne pouvons reprendre ici, pour ne pas trop alourdir, ce très modeste article....
Donc, à vous de juger, une fois de plus, cette affaire très suspecte, de débarquement lunaire des vaisseaux Apollos, et nous attendons bien sûr, avec ferveur, les commentaires avisés de ces Messieurs les adorateurs des "exploits" de la NASA .
Mais, on ne peut nier, le fait que Le Temps des Révélations est assurément en marche et le site ARTivision , y participe ouvertement, malgré ses faibles moyens.
Voici justement à ce sujet, quelques propos du 14 Mars, du Grand Maître de Findhorn, qui nous explique très étrangement, comment réagir en face des velléités débridées de ce Monde et propos qui sont extraits, on le sait, de l'ouvrage "Opening Doors Within"publié en 1986, par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007 :

et sache
que tout est très très bien.
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (en français dès 1989).
Méditation pour le 14 Mars, après adaptation d'ARTivision.
Fin de citation.
Très curieux n'est-ce pas, que ce langage, qui va encore faire grincer des dents nos philosophes aguerris et autres intellectuels blasés du système, système, qui ne serait pas à la dérive, comme nous mêmes, avions pu le croire...mais problablement dans une fin de cycle séculaire...et à vous donc de juger, une fois de plus, tout cela...
Mais justement ce 14/03/2018, après la sieste de rigueur sous les tropiques, des circonstances exceptionnelles, que nous ne pouvons décrire ici, nous ont fait sortir de notre bibliothèque, le petit livret de 1985, de 146 pages, n° ISBN 2-651157-918-8, suivant :
Peut-être alors allons nous, dans les pages 66 à 69, mieux comprendre la surprenante méditation ci-dessus du Grand Maître de Findhorn :
Allez, voici encore un petit plus, du Maitre Bhagavan Sri Sathya Saï Baba, dont l'auteur, révéle, les nombreux prodiges, qui s'attachaient à sa présence dans un lieu de passage, et cela explique parfaitement ici, la notion de réincarnation, si souvent mise en exergue par le site ARTivision :
et, pour le novice ingenu, qui débarque actuellement surARTivision, il découvrira, que tout cela
, est déjà clairement expliqué dans notre article :
dont le préambule clef, fut placé dès 10/05/2003 à :
Fred IDYLLE
Article mis en page le 10/03/2018, et revu le 12/03/2018, et revu le 14/03/2018, et revu le 15/03/2018.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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