Mais, dans ce même
numéro 1242 de Paris Match, il y a aussi
cette incroyable page 79 :
, où l'on apprend que, le second
"voyageur de la Lune",
d'Apollo XI,
Buzz Aldrin, qui aurait été
interné deux fois, a prononcé cette phrase
très
insolite :
"On
nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés"
Il y a donc bien
quelque chose d'incroyable qui s'est passé au sujet de la Lune également pour Aldrin, n'est-ce pas !!
Mais parlons aussi un peu de,
Mikael Collins (le troisième larron qui a seulement tourné en rond autour de la Lune
dans le Module de Commande, quand ses camarades étaient "déscendus", sur le sol lunaire), et qui
parait-il a été
si choqué par son "
aventure lunaire", si bien qu'il ne participera plus à aucun autre vol spatial. Voir à ce sujet, la revue
"Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:
Que celui qui a bien su lire tout qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent d'en savoir plus, documents à l'appui.
De plus, il y a eu, on le sait, dès 2005, cette courte vidéo qui s'appelait autrefois
"Moontruth". On pouvait la voir à l'époque sur près d'une demie douzaine de sites, et actuellement, il reste encore celui là, sans doute, pas pour longtemps :
On y voit donc un système de projecteurs qui dégringole à côté de
"l'astronaute".
Cela surprend évidemment, mais les
détracteurs français zététiques et autres debunkers anglosaxons, vous diront que ce film provient effectivement
du centre d'entraînement, où l'on était entrain de préparer les gestes précis à faire, et donc que ce film a bien été tourné sur la Terre et probablement ce n'est même pas
Armstrong, qui descend de l'échelle et qui prononce
la phrase clef bien connue ...
Point Barre.
Mais ce
17 Septembre 2020, poursuivons notre analyse du comportement
si aberrant d'Armstrong....
Disons alors que
ce que ces détracteurs zélés ignorent probablement, c'est que nous avons assisté à l'époque, à la télévision, aux déclarations en direct
d'Armstrong lors de l'emission de FR3
"Les Dossiers de l'écran" ,
le 15 Août 1979,
(en retard ici, sur la Métropole) , et à un moment donné,
Armstrong, a affirmé devant des millions de téléspectateurs,
groso modo, que sa phrase
fut spontanée et non prévue à l'avance, lors de son débarquement sur
la Lune. Cette vidéo prouve donc,
qu'il a berné tout à fait, les journalistes de l'émission, alors que le premier quidam rencontré après cette émission, sans être
docteur en psychologie, vous dirait d'emblée, que cette phrase
ne pouvait avoir été spontanée, pour quelqu'un débarquant sur une autre planète pour la première fois, dans l'histoire de l'Humanité.
Chaque mot et chaque pas, devaient assurément, être étudiés à l'avance :
Merci mille fois à l'internaute qui retrouvera sur
Google,
l'url où le DVD, de cette emission des
"Les Dossiers de l'écran" , pour
bien analyser dans le détail, les propos d'Armstrong, correspondant à sa célèbre phrase.
Aux dernières nouvelles,
notre ami Jacques de Belgique, nous apprend que l'on peut voir une portion de cette émission à :
Ou à :
Nous avons nous-mêmes écrit, à la revue
Nostra, à propos de cette émission. Voici la lettre en question :
La vidéo
MoonTruth,
(que l'on a intérêt à enregistrer rapidement, car elle pourrait disparaître comme par enchantement), prouve
sans contestation possible, que la phrase
d'Armstrong, prononcée solennellement en posant le pied sur le sol, avait
bien été calibrée d'abord, et donc
Armstrong,
devait savoir cela :
Pourquoi donc a-t-il menti ?
Aux spécialistes... psychologues et psychiatres de répondre...Nous attendrons avec ferveur, leurs conclusions pour les publier joyeusement...
Le
18/09/2020, nous avons eu le
très grand
privilège, de recevoir de notre très fidèle
lecteur et ami : Pat B.............,
l'url suivant :
, qui confirme parfaitement
nos dires, placés ci-dessus :
L'image de droite a été tirée, juste au moment où,
Armstrong, dit
non , au journaliste qui lui a demandé :
"Vous l'aviez préparée ?"
Mais, puisqu'on est certain ici,
qu'il a menti, nous pouvons lui appliquer
sans réserve, l'
aphorisme célèbre :
"Qui vole un œuf, peut voler aussi un autre jour, un bœuf".
Et, alors on peut dire que, si
Armstrong, a
menti une fois, il peut très bien le faire
en mieux,
une autre fois. On pense même que ce film aurait été tourné,
en Angleterre, sur le plateau de cinéma, où fut réalisé le célèbre film de
Stanley Kubrick :
" 2001 l'odyssée de l'espace" :
Un documentaire
ironique, nous expliquait
dès 2003, tout cela d'une manière
très ambigüe :
Cela a été probablement à l'époque, qualifié de
tissu de bobards, par
les mythbusters (aficionados de la NASA), mais
ces temps-ci, on en parlé encore à la chaine
"histoire" , qui fut
une chaîne très courageuse, qui n'avait pas froid aux yeux, car elle a osé, en 2018, nous présenter de nouveau cet
surprenant documentaire, tel que :
A vous de juger...
Mais tout cela,
n'est que de la bouillie pour le petit chat, quand on analyse ce qui suit :
En effet, c'est le
25 Juillet 2015, que nous avons reçu de
notre très bonne et regrettée amie Nicole , le message extraordinaire suivant :
----- Original Message -----
From: ngrigorov
To: fred IDYLLE
Sent: Saturday, July 25, 2015 3:10 AM
Subject: Armstrong et sa combinaison
Bonjour cher Fred,
Ces imbéciles de la NASA, se sont grillés
eux-mêmes avec la ... :
Juste pour vous faire rigoler un peu, je vous ai envoyé ce lien . L'article original paru dans StopMensonges est interdit de visionnement, mais j'ai continue à chercher et j'ai trouvé l'article dans un autre site. Vous verrez dans la vidéo une image très claire de la semelle de la combinaison differente ce l'empreinte supposee etre sur la Lune ! C'est à mettre dans ARTivision.fr, C'est une preuve indubitable de l'arnaque !!
Donc comme vous le voyez, on peut toujours contourner la censure, et il suffit de chercher et on trouvera aussi pour Byrd. Quelqu'un aura bien fini par laisser passer l' info capitale, que vous cherchez à ce sujet.
Fin de citation.
Un grand Bravo au cite
CAGOU.com Qui a su si bien dénicher, cette info hors norme.
Dans la vidéo en question, les deux charmantes dames :
, nous exposent en anglais approximativement ce qui suit :
Puis, en cliquant sur l'image, nous découvrons cela :
Et enfin la vidéo, arrive à cette image :
Et en agrandissant la semelle, et en y mettant un peu plus de relief, nous avons obtenu ceci :
Pas besoin donc de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir qu'il y a maldonne :
Nous avons beaucoup hésité, pour mettre cette affaire en ligne, à cause du fait
que cela pourrait être un canular, monté de toutes pièces,
par des infographistes timbrés, qui veulent se faire mousser dérisoirement, sur le Web. Mais le fait que l'on ait pas présenté
l'image de conclusion en juxtaposant les deux semelles, nous fait croire à l'authenticité du document. Un
infographiste pervers, n'aurait pas manqué de le faire assurément.
Mais nous ne sommes pas au bout de l'affaire,
car la NASA, en cachant les documents de référence, peut toujours dire qu'au moment du départ pour la Lune, on a mis d'autres bottes plus étanches, car nous dit très justement notre amie vigilante
Aurélia
(http://www.unepetitelumierepourchacun.com
):
" Je suis très étonnée par l’allure de cette semelle, lisse et ne correspondant pas du tout à un soulier protégeant du vide spatial (coutures apparentes, et donc étanchéité faible). Je m’étonne donc, peut-être s’agit-il d’une sorte de "chausson", et les cosmonautes enfilaient-ils des bottes par dessus ? Si ce n’est pas le cas, alors, c’est vraiment bien la preuve que ce type de chaussure a servi plus à marcher sur les plateaux de cinéma, que sur un terrain accidenté. Votre réflexion sur les empreintes jumelles est tout à fait cohérente, à moins que l’on ait voulu absolument montrer le premier pas sur la lune, on se demande bien où peut être le second...
"
En effet, nous nous sommes toujours demandés, pourquoi
la NASA , n'avait présenté
qu'un côté de l'empreinte d'Armstrong sur la Lune, alors qu'il devrait
en avoir deux, presque côte à côte que les spécialistes du sol lunaire, auraient un vif plaisir à étudier. Qu'est que cette empreinte
avait de particulier pour être choisie si impérieusement ? Bien sûr, on vous répondra, que c'était
le premier pas, qui comptait avant tout.
Point barre.
Mais le Webmaster du site <
ARTivision.fr, avait déjà souligné bien plus que cela , dans son article mis en route dès le
30/04/2000 :
On peut alors y lire cet ajout de 2011:
" Le
7/01/2011, nous avons reçu par la Poste, l'album suivant :
, et cela, pour vérifier les prétendus dires d'un habitué, quelque peu fantaisiste, (
Akeenoya) d'un forum
(voir notre article Apollo8enquestion.html)
En refeuilletant le
28/12/2012, cet ouvrage luxueux nous y avons retrouvé l'image bien connue :
Puisqu'il s'agit de
"Quelques pas sur la Lune", analysons alors, justement, les pas des astronautes au bas de l'image. Disons d'emblée que seul le rapport d'un spécialiste en podologie ou en étude de la marche d'un astronaute engoncé dans son lourd scaphandre, peut faire foi. Nous ne proposons ici, que de modestes pistes de recherches :
Considérons d'abord l'écartement des pieds, que l'on pourrait croire convenable dans l'image suivante :
Nous n'avons trouvé que ces deux pas apparemment orthodoxes et assez rapprochés, au bas de la première image.
Mais voyons le reste :
- Soit les
"astronautes" ont marché à deux reprises sur une ligne en chevauchant leurs pas, ce qui ne semble pas commode avec leur scaphandre encombrant...
- Soit
ces traces de pas ont été ajoutées par juxtaposition à une photo primitive....
Mais,
le point le plus surprenant, est bien,
le pas, qui se trouve,
tout seul, de travers entre les deux
"pistes parallèles". Comment un astronaute, en marchant sur
la Lune, dans une direction, peut-il laisser
la trace d'un seul pas ?...
Cette affaire
d'un seul pas, est déjà
bien connue,
n'est-ce pas !!! On la connait, telle que :
et l'on découvre
là, qu'il y a parfaitement
assez de place, pour qu'apparaisse
au moins, le début d'un
deuxième pas.
Hélas ici aussi, c'est encore un pas
fantôme...
Mais, ce
23 Septembre 2020, le site
ARTivision, va encore
monter au créneau , sur
l'une des plus hautes marches du podium...
Il n'est pas besoin de sortir
de Polytechnique,
(et nous l'avons déjà exprimé plus haut), pour s'apercevoir de ces temps-ci,
que,atermoiements et tergiversations lamentables relatifs actuelles des biologistes , vis a vis
du virus Covid 19 ,
de l'hydroxychloroquine, du masque, et des tests en question,
( Le Professeur Didier.Raoul a surpris tout un chacun en disant que le virus en question a été ces temps-ci remplace par un autre.), nous montrent parfaitement que la prétendue science académique de nos pontifes contemporains sur le sujet,
est largement sujette à caution .
Le Site
ARTivision.fr, affirme
preuves à l'appu,i qu'il en est, alors de même assurément à un plus hau niveau, celui qui concerne,
notre espace solaire environnant..
En effet,
par exemple, la plupart des informations qui concerne
notre satellite la Lune, sont
absolument fausses...
Voici alors un petit échatillon récapitulatif, de
ces nouvelles fausses, bues à l'époque,
comme du petit lait, et que nous tirons de la revue
Sciences et Avenir de Novembre 1959, telle que :
Voici par exemple, comment dans un article intitulé,
"Futures visions lunaires ? ", des journalistes scientifiques
de haut niveau, nous imaginaient un paysage lunaire :
Aux pages 562 et 563, on découvre,
ce titre très significatif :
Et voici, le début de citation, de la page 558, où l'on nous parle de la Lune telle qu'elle était vue, à l'époque :
Futures visions Lunaires ?
....C'est le moment de nous préparer à la première grande révélation astronomique. Ce que des esprits scientifiques pouvaient refuser d'imaginer gratuitement nous devons le regarder bien en face: Que seront les paysages lunaires?
...Jusqu'ici, c'est comme par jeu que certains astronomes se sont plus à les concevoir. Sur quels éléments certains pouvaient-ils raisonner ?
D'abord la nudité du sol est évidente, ni fleuves, ni mers, ni forêts. Pas de nuages. Un monde strictement minéral .
D'autre part , la certitude de l'absence d'atmosphère. D'où découlaient de nouvelles certitudes : toute érosion aussi bien éolienne que fluviales, est à exclure : la lumière du soleil ne pouvant se diffracter sur les molécules atmosphériques comme elle le fait chez nous, en donnant au ciel son apparence azurée, le ciel est noir , même en plein jour, et les étoiles y scintillent sans cesse; le fait que toute diffraction est impossible mène à comprendre que tout objet est divisé en deux moitiés bien opposées, l'une franchement éclairée l'autre franchement dans l'ombre, sans que des molécules gazeuses donnent un certain moelleux aux ombres portées; enfin, élément décisif pour compléter notre tableau, la lumière est terriblement forte, terriblement crue car les feux du soleil ne sont filtrés par rien.
Fin de citation.
Le site ARTivision.fr, a démontré dans de très nombreux articles ,que cette vue prétenduement scientifique de la lune de 1959, est à jeter totalement au panier, et lisons d'abord ceci, où l'on apprend, que la Lune possède bien , une atmosphère certes plutot tenue, et texte qui est tiré,
d'un communiqué, publié en
Nov.1995, par la même revue
"Sciences et Avenir" (donc 36 ans plus tard), revue qui a, on le sait,
pignon sur rue en matière de vulgarisation scientifique :
Cependant,
le 12/10/2013, nous avons découvert dans notre boîte aux lettres,
le numéro 69, de la revue
Top Secret, d'
Octobre-Novembre 2013, et on peut y lire en
page 7, ceci de
très étonnant :
Nous ne pouvons pas ici reprendre les tres nombreuses images présentées sur
ARTivision.fr,
prouvant que la Lune est fréquentée depuis des siècles, par des entités intelligentes, qui y structurent et exploitent le sol...
Pour
faire très court, demandons nous alors,r pourquoi,
la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt
(dans les 6 missions qui ont exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du
cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux
"véhicules" d'environ
5m et
25m de large pesant des centaines de tonnes et
qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?
En effet, en
Août 1967, la sonde américaine "
Lunar orbiter V" a photographié
(Ref. NASA 67-H-1135), nous l'avons dit, à l'intérieur du
cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de
la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre
cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ
5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :
Mais voici aussi les images en question, montrées cette fois dans
l'ouvrage incontournable, publié en premier lieu en
1981,
(notre édition est la 8e, publiée en 1997), que tout chercheur passionné, devrait aussi, avoir
en sa possession, pour suivre le débat en question :
Et voici, en pages 54 et 55, les traces très nettes des deux mobiles :
Mais, il est cependant aisé de constater que
le petit mobile, qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère
en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de
700 m .
Comment une masse de près de
500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les
25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude
(environ 5m), alors que
la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue,
susceptible de provoquer une telle expulsion ?
Voici d'ailleurs comment
Fred Steckling imagine
admirablement, la structure mécanique de ce petit mobile :
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et
en forme de tronc de cône et flanqué d'un
appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile,
(dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse cependant 6 fois moins sur la lune), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale
(environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
L'image de gauche se retrouve aussi sur
l'incontournable ouvrage de
George Leonard,
"Ils n'étaient pas seuls sur la Lune" paru chez
Belfond en 1978 :
Cet ouvrage paru en fin
Mars 1978, qui se vend
très cher sur
Web, aurait dû s'intituler
"Des traces de Génie Civil sur la Lune :
Le dossier secret de la NASA ", car il n'a jamais prouvé
(Comme beaucoup d'autres écrivains, que l'alunissage avait bien eu lieu).
Point à la ligne ..
Mais, il est cependant aisé de constater que
le petit mobile, qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère
en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de
700 m . Comment une masse de près de
500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude
(environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue
susceptible de provoquer une telle expulsion ?
D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes de la 3D
(ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est
en forme de tronc de cône et flanqué d'un
appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile,
(dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck présentée plus haut, mais qui pèse 6 fois moins sur la lune ), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale
( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
Notons l'explication pour ce cas de la revue
Science et vie de
Mars 1968 N° 606 :
et en page 71 on peut lire :
"
Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".
Voilà une information
très fantaisiste, qui a pour but,
selon nous bien sûr, de "
noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "
a glissé", juste au moment où la sonde passait
(les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière en suspension dans l'air ? Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus, que ce bloc avait bougé... Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon
de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère ? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "
déboulé",
en même temps de deux endroits différents...!, et
il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul, d 'autant plus que si nous analysons de plus près, ce rocher,
ayant déboulé très opportunément, on découvre ceci :
Pas mal, n'est ce pas !!! ce gros caillou, très architectement structuré, pour rouler à l'aise, sur près de 500 m sur le sol lunaire. On nous prend ici, pour des débiles mentaux , et il ne reste qu'à un courageux infographiste, de produire dès que possible une image en 3 D de ce second mobile, ce qui, après 63 ans en 2020, aurait dû déjà dû être réalisé. Point barre...
Mais, voici, pour couronner tout cela, un extrait du super article venant de la même revue en question, plus exactement du Science&Vie d'Avril 1964, n° 559, dont voici, la couverture, pour les puristes qui pourraient avoir la grande chance de l'apercevoir dans une brocante ou un vide grenier :
Cet article est issu de la rubrique L'UNIVERS, et est intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :
Pour en savoir plus voir par exemple notre article : Article-SetV-Avril 1964.html
Cette affaire, est aussi, largement évoquée dans, l'ouvrage exceptionnel, de notre ami Alfred Nahon, ( hélas décédé en 1990), et, intitulé : "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc 1973,
en Suisse, et ouvrage que tout chercheur sur les affaires lunaires, devrait absolument avoir en main, pour suivre ce débat :
Cet ouvrage présente aussi en annexe, un édifiant rapport de la NASA, dévoilant près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires (nommées pudiquement des phénomènes transitoires, par les spécialistes des TLP :Transient lunar phenomena), observés sur la Lune de 1725 à 1967.
Voici aussi, pour
les puristes, une photo personnelle, que nous avait envoyée l'auteur,
le 21/06/79 :
A vous donc désormais, de juger... tout cela,
documents significatifs à l'appui...
Mais, ce jour le
25/09/2020, vers
6h30 locales, nous avons appris,
la terrible nouvelle, ayant trait à
un attentat à l'arme blanche, ayant eu lieu,
en plein Paris, pas loin des anciens locaux de Charlie Hebdo :
Rappelons qu'il n'y a pas si longtemps,
nous avons eux aussi à analyser cette autre terrible nouvelle :
Donc
là, dans
ce FA du 5 Octobre 2019, on voit que le jihadiste en question, a frappé
au cœur même,
de l'institution chargée de surveiller de près,
ces égarés notoires,...
De plus le site
ARTivision.fr, affirme, que ces
barbares de terroristes jihadistes (on écrit aussi parfois djihadistes), et autres
consorts anarchistes révolutionnaires, comme
ce Robert Bowers, dont on parle
très défavorablement, dans l'entrefilet ci-dessous :
, qui massacrent sur cette Terre,
leurs frères de misère, vont
se mordre les doigts jusqu'à l'os, quand ils découvrirornt,
très bientôt, qu'ils ne sont que des
minus, minables, misérables vis à vis, du fait que, l'espèce humaine de cette planète est
supervisée, depuis
des lustres, par
d'autres êtres supérieurement intelligents, et que nous appelons, fautes de mieux les connaître,
des Aliens, qui sont
bel et bien installés sur la Lune et dans les environs,, et qui possèdent aussi dans
leur contingent,
des anciens terriens, comme
par exemple, les
"descendants", des êtres suivants :
Têtes admirablement sculptées à traits négroïdes si caractérisés, et que l'on attribue faussement à la civilisation des Olmèques.
Donc une fois de plus, le site ARTivision.fr, (n'en déplaise à tous les bien-pensants zététiques, calfeutrés dans leur confort intellectuel douillet académique et bien officiel, qui sont parfaitement courant de ces faits), est au regret amer, de reprendre
sa coutumière diatribe contre
nos sourds hauts dirigeants de cette planète, qui pourraient facilement arrêter
ces terribles attentats, en
avouant au monde entier, les extraordinaires découvertes qui précédent, et qui ont été amplement mises en exergue par notre site dans d'innombrables articles
Le site
ARTivision.fr, tout en transmettant
sa profonde sympathie, aux bléssés de l'attentat de ce jour en question,
redit une fois encore,
que la seule façon, d'avoir une chance de neutraliser ces terroristes, c'est d'avouer,
une fois pour toutes, qu'il existe
sur la Lune et dans les environs, de
très nombreuses structures insolites, qui prouvent
de manière incontournable, l'existence et la permanance,
d'une vie assurément intelligente, qui
utilise par exemple la structure,
hors normes suivante, parue dans le
Paris Match 1028 du 18 Janvier 1968 :
Et, comme par hasard, c'est sur cette petite partie de la face cachée que l' on découvre une superstructure phénoménale, placée semble-t-il à, 27° de latitude Nord et 235 ° de longitude Est.
Et voici alors, le texte du Paris Match 1028 qui accompagne cette superstructure, que personne n'a vue à l'époque :
( Cet agrandissement a été obtenu par Mr Michel Girard, en fin 1973)
Voyez aussi deux autres agrandissents :
Nous avons même la preuve, que cette affaire a bigrement dérangé, certains sbires de la NASA, car voici une photo, venant de cet organisme, par lettre postale adressée à l'ufologue Jean Sider, il y a des années :
Pas besoin de sortir de l'Ecole Polytechnique, pour s'apercevoir que l'on a installé une superbe pastille de camouflage :
juste à l'endroit, où nous avons détecté la Superstructure si nette en question .
Les êtres, (on peut aussi les appeler les Dieux mythologiques), qui ont construit la gigantesque structure en question, et beaucoup d'autres déjà montrées par notre site, nous considèrent donc assurément comme des quidams insignifiants, affectionnant des querelles insipides, pleines d'agressivité et souvent meurtrières,
et n'ont donc nulle envie, de mettre le pied dans notre très excentrique fourmillière .
C'est pourquoi, cette découverte extraordinaire, qui est, selon nous, par exemple, bien plus importante que l'affaire du virus Covid 19, qui sévit en ce moment sur cette planète , a été camouflée, à l'humanité entière, (et l'est toujours), pour de vulgaires questions de prestige national, et de puissance technologique ou militaire, alors que, la révélation flagrante, de cette incroyable affaire, porte en elle-même, la raison majeure d'unir cette Humanité, et d'en finir une fois pour toutes, avec ces guerres dérisoires et ces calamiteux attentats, qui la déchirent depuis des siècles.
Les humains, conscients de cette réalité, doivent, tout faire, pour ne plus être davantage, les dindons de la farce...
A bon entendeur... Salut !!!
Mais, ce 01 Octobre 2020, un événement, tout à fait
extraordinaire, va nous conduire à transcender, les velléités culurelles dérisoires des bien-pensants très académiques, à l'égo zététique sur-dimensionné, qui osent prétendre que la Vie sur Terre, est trop extraordinaire pour être apparue ailleurs, dans l' Univers...
En effet, c'est en cherchant, tout autre chose, que ces temps-ci, nous sommes tombés à la renverse, en decouvrant sur la page :
, cette info incroyable :
Après quelques recherches, nous avons aussi découvert, cette image dans notre TVMag du 24 Septembre 2020 :
En effet, nous avions déjà eu, le 13 Novembre 2019. au soir, l'opportunité, de visualiser à la télé, le documentaire à prétention scientifique suivant :
Ce documentaire, nous rappellait aussi, ceux-là :
Nous avons déjà, depuis belle lurette, parlé de cette affaire évoquée au debut de ce documentaire, concernant les sœurs jumelles de la Terre, où la vie aurait pu, de même, se développer comme chez nous.
Ce concept, on le sait
, a depuis des lustres, été évoqué par certains astronomes sous la domination de "La pluralité des mondes habités".
Voyez vous-même, cet ouvrage de l'astronome Camille Flammarion de 1868, que l'on peut consuler sur le site : (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k246240.texteImage)
Mais, dans de très nombreux articles, nous avions cependant, déjà stigmatisé, l'astronome nommé Arthur Eddington, qui avait alors épousé, il y a environ 70 ans, la thèse ahurissante, des cosmologistes
archaïques, cités à droite du document de France-Tv-Et-vous, présenté plus haut.
Nous avons, en effet, le grand privilège de possèder, le n° 108 de Février 1956, de la revue Sciences et Avenir, dont voici la couverture :
Voyons alors, maintenant, les pages 52 et 53, du Sciences et Avenir, en question :
et puis, faisons un flash, sur ce passage significatif :
Cette image, va nous permettre de faire, d'une pierre, deux coups :
En effet, elle nous montre, d'abord, la calotte polaire de la planète Mars, qui brille, alors que la zone tout autour, est dans
un noir notoire.
D'autre part, en dessous de l'image de Mars, comme vous le voyez, l'astronome en quedstion , Arthur Eddington, ( décédé à Cambridge le 22 novembre 1944 à l'âge de 61 ans), n'avait pas hésité à écrire, (hélas on ne dit pas où, et merci à l'internaute béni, qui trouvera cela ...) :
" qu'il croyait assez volontier que notre humanité pouvait être la seule à contempler les beautés de l'Univers".
À l'époque, (dans les années 50), il fallait tout de même, une sacrée dose d'orgueil, (
C'est un Everest d'orgueil qui caractérise ceux de maintenant), pour en arriver à cette conclusion, n'est-ce pas !!! (alors que les sieurs George Adamski et Howard Menger, très vilipendés, par d'ignares bien-pensants, prouvaient photos à l'appui, le contraire).
Nous espérons, que maintenant, ce Mr Arthur Eddington, évolue dans une autre dimension, où, il appréhende bien plus, directement, la conscience, de l'aspect fanstastique
de l'Univers.
Disons aussi maintenant, pour ceux qui lisent encore en diagonales, les textes du site ARTivision.fr, que le thème soutenu par ce site, (qui s'oppose catégoriquement à la thèse moyenâgeuse évoquée ci-dessus), n'est absolument pas nouveau, et l'on pourrait même, dire, qu'il remonte avant J.C, car ce thème est relié aux travaux remarquables, du personnage grec, tel que nous l'indique, notre Petit Larousse en couleurs de 1988 :
Bien sûr, on ne parlait pas de
satellites, de sondes spatiales et d' Ovnis, à l'époque du grec mentionné ci-dessus, et, c'est pour cela que l'on évoque actuellement, le terme, de "néo-évhémérisme", et l'un des premiers à lancer, le thème en question en Angleterre fut le Lord, Brinsley Le Poer
Trench, dont l'ouvrage suivant de 1960 est devenu dès lors, incontournable :
Le novice, doit d'ailleurs aussi savoir de suite, que cet ouvrage, fut aussi publié bien plus tard, en France, dans la collection de poche J'ai
Lu, en 1968 sous le n° A 252 :
Avouons déjà, ce jour, que c'est ce petit opuscule, qui est à l'origine de la création en Janvier 1997, du site ARTivision.fr.
En effet, à la page 21, on peut déjà lire, ce qui suit, et qui n'est jamais expliqué, dans les homélies des dignitaires religieux actuels de toute nature, et jamais aussi, dans nos médias, qui ont pignon sur rue, (grands journaux, radios, télévisions etc..)., pourtant avides de scoops sensationnels, alors que là, selon nous bien sûr il s'agit ici, de la preuve irréfutables, que des visiteurs cosmiques, ont bel et bien séjourné, sur notre planète, il y a des lustres...
Voici le super texte en question de la page 21 :
Mettons donc quelques couleurs, à ce verset Genèse Ch.3 ver. 22 :
" Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous "
Nous avons longtemps attendu en effet, que l'on nous dise, que notre interprétation, de ce verset 22 du chap. 3, était inexacte. Mais ce fut le silence assourdissant de la pierre tombale, et le "nous" en hébreu :
, nous est resté en travers de la gorge, bien qu'il soit très éclatant dans le texte dit sacré de l'Ancien Testament ...
Sur le site :
On découvre, alors une photo du très grand ésotériste que fut, le sieur Brinsley Le Poer Trench.
Vous avez bien noté, nous l'espérons, que le sieur Brinsey
Le Poer Trench, était un Lord anglais, qui ne se serait pas permis d'avancer des déclarations tonitruantes, s'il n'en avait pas
sérieusement, vérifié les sources.
Mais, en France, en 1963, il y a eu la publication de l'ouvrage qui suit, de notre
Sindbad des temps modernes, Robert Charroux, né Robert Grugeau le 7 Avril 1909 à Payroux et qui nous a quitté le 24 Juin 1978 à Vienne en France...
Cependant pour
le novice, qui n'a jamais entendu parler de cet auteur, voici le début d'un article de 4 pages, le concernant, et tiré
du Nostra n°300 du 4 Janvier 1978 :
Ce
néo-évhémérisme est aussi appelé, la théorie des anciens astronautes, et théorie toujours contestée
par les archéologues blasés officiels, alors que
l'exploration de notre environnement lunaire, et de celui de notre système solaire, confirme absolument, cette théorie hors-norme, si souvent évoquée, par notre site, depuis
23 ans et des poussiéres (en 2020).
Cette théorie, se retrouve aussi dans les ouvrages
de Jean Sendy, dont l'un, très important,(notons bien cela) , fut en
1968 :
Il y a aussi, les ouvrages du tibétain
Lobsang Rampa (toujours très critiqué par les journalistes ignares), dont voici quelques couvertures de son célèbre
"Troisième œil " :
Puis, il y a ceux de l'ami
Guy Tarade, et aussi cela va de soi, ceux de
Serge Hutin, d'
Erich von Daniken, de
Charles Berlitz, d'
Andrew Tomas, ou encore de
Maurice Chatelain (Ancien spécialiste de la NASA), ou de
Pierre-Moatti (Ancien Préfet), de
David Hatcher Childress , de
Graham Hancock, et de
bien d'autres... qui furent, il n'y a pas si longtemps
bien critiqués par les bien-pensants de l' intelligentsia universitaire.
Voici; par exemple, un ouvrage de
David Hatcher Childress,
qui met vraiment les points sur les Is, en ce qui concerne la Technologie antique : Paru en anglais en 2000, sous le titre Technology of the Gods Adventures Unlimited Press, Kempton USA et qui en français, a été publié en 2004 par les Editions la Huppe :
Tous ces auteurs, furent de puissants précurseurs préparant les Temps nouveaux, et ce sont eux, qui ont d'abord assumé, hélas, les critiques et rires sarcastiques des détracteurs d'antan, qui désormais adoptent un profil bas, vis à vis des découvertes cosmiques, comme celles qu' ARTivision.fr, s'évertue (avec ses très faibles moyens déjà exposés au premier volet), à mettre, petit à petit, en exergue.
Après ce petit préambule, visant à montrer que le site ARTivision.fr, se base pour valider ses articles, sur de nombreux travaux de chercheurs réputés, passons maintenant, à l'énumération de quelques découvertes d'Astro-archéologie, prouvant incontestablement, la présence d'entités intelligentes sur la Lune et dans ses environs..
Pour bien montrer que le site ARTivision.fr, ne s'exprime qu'avec des documents très basiques irréfutables, voici donc une découverte
exclusive, concernant la présence sur la Lune d'un pont, ou d'une route, traversant diametralement, un petit cratère.
Afin de mieux cadrer notre problème, faisons alors maintenant, un court voyage dans le Temps...
En effet, il n'y a pas si longtemps, en 2011, alors que nous étions dans notre garage, en compagnie d'un voisin, une forte invitation à lui montrer que dans ce garage, il y avait des documents très rares, nous a fait sortir, d'une boîte en carton bien fermée, la revue qui se trouvait au-dessus d'une pile. Nous avons un peu déchiré le scotch qui encerclait la boîte, et voici la revue qui émergea à notre grand étonnement :
Comme on le voit, il s'agit de la revue Sciences et Avenir n°153 de Nov. 1959 :
Mais en page 564, on découvre aussi une superbe photo du cratère Copernic dit officiellement cratère d'impact :
Hélas ce Sciences et Avenir ne spécifie pas clairement de quel télescope est tirée cette image ? Pourtant ce petit détail est très important, et l'on verra bientôt pourquoi !!
Cependant, nous avons aussi en notre possession, le très important Science&Vie d'Avril 1964, et pour le bienheureux qui le verrait dans une brocante, voici la première couverture de cet incontournable n° 559 Science et Vie d'Avril 1964 :
Mais dans cet incroyable, n° 559 de Science et Vie d'Avril 1964 (déjà évoqué plus haut et présenté dans de très nombreux articles dont celui-là : http://www.artivision.eu/Quand-ParisMatch-en-1954-loupe-lamentablement-le-coche.html),
nous sommes alors tombés, par un très heureux hasard, à la page 68, sur cette photo qui fut prise dit-on par l'observatoire du Mont Wilson en Californie, observatoire très cher à notre site et on verra plus bas pourquoi !
Or cette photo de Copernic est sans doute la même, car elle ressemble, comme deux gouttes d'eau, à celle du n° 153 du Sciences et Avenir, présentée plus haut. Faites donc vous-même la comparaison (le Sciences et Avenir étant à gauche)
En agrandissant, on voit apparaître en haut à gauche, une chaîne de montagnes et pas loin en dessous, le cratère Tobias Meyer, tel que :
Mais juste à côté de Tobias Meyer, nous avons découvert, ce petit cratère traversé diamétralement, par une sorte "de pont ou
de route " :
Notons en passant, que sur Google, on découvre que le diamètre de Tobias Mayer peut être évalué à 30,5 Km, alors le soi-disant "le petit pont", ou "route", aurait selon nous, grosso modo, une longueur
voisine de 6 km. Cette "route", est donc à classer, dans une affaire semblable à celle qui a fait terriblement défaut, au Paris Match n° 287 de Septembre 1954 (Voir l'url cité ci-dessus) :
Merci alors mille fois à l'internaute, béni, qui sait utiliser Google-Moon , ou qui possède une carte détaillée de la Lune, de nous dire le nom et les coordonnées précises, de ce petit cratère, et puis nous demanderons ensuite, à tout infographiste passionné, de nous mettre cela à l'échelle, en 3D. Merci d'avance.
Inutile de dire ici, qu'à notre connaissance, ceci est une découverte exclusive Incroyable, qu'aucune revue d'astronomie ou même aucune sorte de revue médiatique affiliée, toujours avide de scoops atypiques, n'a présentée, dans leurs colonnes habituelles. Il serait donc grand temps de le faire, car le super déballage cosmique est imminent, et il n'est jamais bon de prendre sur le tard, le train en marche sous peine, de glisser la tête première sur le ballast, et les dures traverses, de la voie ferrée.
A bon entendeur salut...Et mieux vaut bien attacher sa ceinture, pour la suite, car le plus fantastique, est assurément pour bientôt...
Mais ce 05 Octobre 2020, poursuivons notre affaire
du petit pont ou route, traversant un petit cratère, près du cratère Tobias Mayer (16 ° Nord - 29 ° Ouest) .
Nous avons écrit, à une bonne demi-douzaine d' Observatoires Astronomiques, à qui nous avions demandé en partie, (Décembre 2017), un petit service en ces termes :
" Pouvez-vous alors SVP me peaufiner une évaluation classiquement plus orthodoxe, et surtout me dire comment s'appelle sur vos cartes, ce petit cratère fléché en rouge, placé juste en bas à gauche de la photo ci-dessous..?"
Il est presque vain, de préciser ici, que jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucune réponse à ce sujet de la part de ces Observatoires astronomiques...
Ce que les responsables et préposés travaillant dans ces Observatoires et mandatés par nos impots, ignorent totalement, c'est que nous avons la possibilité et le droit, d'utiliser dans ce cas, ce que l'on pourrait nommer, notre botte de Nevers, par analogie avec le célèbre roman de cape et d'épée de Paul Féval, de 1858 "Le Bossu", où il est précisé clairement : "...et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi !
Mais, où l'affaire se corse, c'est que notre grande amie Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
),
nous avertit en Août 2016, que sur le site Wikipédia, on trouve la photo de Tobias Mayer, prise par la sonde Orbiter 4, telle que :
Comme, on le voit, notre "le petit pont", est devenu un ensemble élargi plutôt complexe, en forme d'X,. tel que :
Comparons de plus près ces structures:
Comme on le voit, il y a une sacrée difference entre les deux clichés...
Donc, il y a bien une grosse anguille sous la roche, et le petit pont insolite, est devenu comme par enchantement, une sorte de montagne superbement assise, entre deux crevasses, toutes les deux bien banales, et il n'y a donc, là, plus rien d'insolite à voir. Point Barre...
Pour les puristes qui en veulent plus, on trouve aussi, sur le site :
cette image image :
Et c'est sans doute la même sonde lunaire Orbiter 4, qui a pris cette photo agrémentée, bien sûr, de quelques manipulations propices de la NASA et consorts affiliés:
La sagesse populaire antillaise prétend que ;
"Sé vyé Canari ki ka fè bon soup"
Ce qui signifie :
"C'est dans les vieilles
marmites que l'on fait les meilleures soupes".
Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer ici, à merveille, et c'est sans doute pour cela que le Webmaster d' ARTivision.fr, garde une remarquable méfiance, vis à vis des images prises par les sondes modernes de la NASA , et en ce qui concerne ce Webmaster, il est bien logique de penser qu'il préfère de loin, le petit pont vu ci-dessus bien raffiné de la page 564 de la revue Sciences et Avenir du n° 153 de Nov. 1959 (donc obtenu très probablement, il y a au moins, plus de 60 ans , par le télescope du Mont Wilson,), à cette montagne bien élargie et avachie, de la super carte moderne du site Wikipédia, et consorts affiliés telle que :
De même le Webmaster d'ARTivision.fr, reste très méfiant, vis à vis des images que nous présentent les logiciels comme Google Moon, Googles Mars, et même Google Earth. Point à la ligne...
Voici aussi, pour les internautes curieux, sur la carte de RAND Mc NALLY
publiée au Japon en 1969, l'emplacement du cratère principal Tobias Mayer (16° N - 29° W):
Mais ce 7 Octobre 2020, appliquons, une fois de plus, souvereinement, la devise très pratique des anglo-saxons : "Let us make hay, while the sun shines", (faisons du foin, quand le Soleil brille), alors que les médias, qui ont pignon sur rue, font du verbiage sémantique, sur les mots du type : séparatisme, islamique, colonialisme...etc..., le siteARTivision.fr, va en ajouter une couche bien plus pragmatique, sur d'autres faits planétaires, volontairement occultés par ceux d'En Haut, qui tirent les ficelles, et qui veulent assurément nous faire avaler, cette inculte, imbécile et archaïque théorie, (dejà présentée plus haut), telle que :
Nous allons voir maintenant, comment un astronome, cartographe, de la Lune et qui croyait encore, à l' époque, à la thése anachronique ci-dessus, a été très embarrassé, pour représenter une étrange anomalie, du cratère Parry, placé juste en dessous du cratère Fra Mauro, où seraient prétendument descendus les voyageurs d'Apollo 14.
Maintenant, scrutez avec attention la rainure de gauche du cratère :
Cette rainure semble être tout simplement un tunnel, (merci à l'internaute qui nous en fournira la largeur), qui débouche de l'autre côté du bord bien haut, du cratère Parry. Comme une telle configuration est très difficilement explicable par des mouvements structurels de notre satellite, voyez comment l'auteur de l'ouvrage : "A Portfolio of Lunar Drawings" de 1991 publié à Cambridge University Press, nous présente cela :
Bien sûr les détracteurs zététiques et leurs consorts intellectuels affiliés, a auront vite fait de régler le problème, en disant qu'il s'agit ici, d'une illusion d'optique n'est-ce pas !!
Cependant, lorsque cette affaire éclatera au grand jour, ce qui ne saurait tarder, l'Histoire, jugera sévèrement ce journal, pour cette coupable forfaiture.
Les Gouvernants, cachent donc au monde entier, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres, et cela pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique .
Ainsi donc, le fait de savoir que des êtres intelligents occcupent la Lune, a été camouflé purement et simplement pour satisfaire les désirs de puissance des nations, alors que la connaissance de cet événement porte en lui même, la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes, avec ces guerres dérisoires qui la déchirent depuis des siècles. Mais, on le sait bien, la devise de ceux qui nous dirigent, est assurément : "Diviser pour régner" .
Il faudrait vraiment être de mauvaise foi, pour affirmer que les images qui vont suivre, sont toutes naturelles, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion d'optique.
Ces images sont tirées de l'ouvrage remarquable ( déjà montré plus haut) , de notre ami Alfred Nahon, intitulé: "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc en 1973, en Suisse et ouvrage que nous remontrons ici étant donnée son importance :
On y découvre alors la figure, 29 suivante :
On y voit clairement un engin excavateur qui triture le sol lunaire ( (Voir la structure très insolite au centre du cercle) , sur un contrefort du cratète Copernic , déjà bien raboté, n'est-ce pas, sur sa droite .
Si l'on sait que ce cratère mesure environ 93 km , un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur près de 12,4 km que nous arrondissons volontier à cause de l'imprécision de nos messures à 12 km. Comment donc il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ? A vous de juger ..
L'image du bidule, qui rabote le côté droit de Copernic, est tirée d'un ouvrage des plus sérieux et très scientifique publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL, qui vivait alors en Angleterre: et ouvrage dont voici les deux premieres pages
Et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251, une sublime comparaison, à la même échelle, du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment. A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :
Nous avons surtout souligné en rouge que la photo de droite vient de l'Observatoire français du Pic du Miidi .Le mot récent pourrait signifier une date entre 1967 et 1968.
Mais analysons plus en détail cette image du Pic du Midi :
analysons maintenant la structure bizarre placée à l'intérieur du cercle :
Et voici encore mieux :
N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit, est tout à fait naturel :
Si l'on sait que ce cratère Copernic, mesure environ 93km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km.
Comment donc il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues, jusqu'à la sortie du remarquable ouvrage du très grand chercheur et ami Alfred NAHON, présenté, juste au dessus.
Il existe de plus de très nombreux cratères sur la Lune, qui présentent un côté parfaitement blanchâtre, comme s'ils avaient été aussi rabotés. En voici deux autres, dont Archimède,vers le bas, de la figure 36, du livre en question :
Mais, parmi les surprenantes images de cet ouvrage, extrayons aussi celle-là où l'on aperçoit clairement un pseudo cratère ressemblant plutôt à une sorte de bloc cylindrique, traversé diamétralement par une énorme structure :
Et comme légende, de cette photo, on découvre ceci :
En haut à gauche, on aperçoit la juxtaposition surprenante de deux structures cylindriques notoires :
On a donc découvert, que la superbe photo précédente du cratère Marius, vient de la NASA, et serait donc datée d'avant 1973. Hélas la référence exacte de cette photo de la NASA, est amèrement absente...
Et, dans ce même livre, l'ami Alfred Nahon, nous a aussi présenté une structure très bizarre, découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye :
On en demeure bouche bée, n'est ce pas, et pourtant les astronomes et consorts officiels, font toujours la politique de l'autruche, et restent muets comme une carpe...
Mais, où donc, se trouve ce cratère Marius sur la Lune ?
Sur le site de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marius_(crat%C3%A8re), on découvre :
Donc apparenment, ce n'est pas le même cratère Marius dont il s'agit, mais d'un autre sans doute plus petit, car aussi d'après Wikipedia, il existe beaucoup d'autres cratères qui portent le même nom Marius :
Il ne nous reste qu'à trouver, celui qui est traversé diamétralement, par une structure en forme de pont. Si vous le trouvez, vous aurez assurément gagné le super Gros lot.
Mais, notre amie Aurélia, déjà présentée plus haut (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), qui est vraiment une bénie des Dieux, nous a envoyé le 7/01/2015, l'url, de la photo suivante:
, où l'on découvre , oh grand miracle, la même image, plus agrandie, de la page 41 du livre d'Alfred Nahon en question, et cela avec toutes ses importantes caractéristiques :
Le cratère (de forme cylindrique surprenante.Voir le bout de la flèche rouge), avec son espèce de pont, est bien là, en-dessous du grand cratère. Il ne doit pas être très difficile, de déterminer son nom :
Des ruines avec de nombreux angles droits, sont également présentes juste à gauche :
Et même, les deux structures cylindriques très caractérisées, vues plus haut :
Ah, si l'on pouvait mettre tout cela, en 3D !!!
Mais poursuivons, notre investigation :
En attendant, voyez que sur le site :
On ne voit aucun cratère traversé par un pont...
De même sur le site :
On ne voit pas non plus un cratère traversé par un pont...
De même sur le site , en PDF
On ne voit pas, un petit pont quelconsue, sur un éventuel cratère de l'image ...
Bonne chance, dans vos investigations...et merci pour vos braves initiatives, dans cette affaire...
La suite de cet article se trouve désormais à la page :
À suivre... Fred IDYLLE.
Article mis en page le 12/04/2020, et revu le 13/04/2020, et revu le 15/04/2020, et revu le 17/04/2020, et revu le 18/04/2020, et revu le 19/04/2020, et revu le 20/04/2020, et revu le 23/04/2020, et revu le 25/04/2020, et revu le 26/04/2020, et revu le 30/04/2020, et revu le 03/05/2020, et revu le 08/05/2020, et revu le 11/05/2020, et revu le 14/05/2020, et revu le 18/05/2020, et revu le 20/05/2020, et revu le 22/05/2020, et revu le 24/05/2020, et revu le 25/05/2020, et revu le 27/05/2020, et revu le 01/06/2020, et revu le 05/06/2020, et revu le 11/06/2020, et revu le 14/05/2020, et revu le 18/06/2020, et revu le 21/06/2020, et revu le 23/06/2020, et revu le 26/06/2020, et revu le 27/06/2020, et revu le 29/06/2020, et revu le 02/07/2020, et revu le 03/07/2020, et revu le 05/07/2020, et revu le 10/07/2020, et revu le 14/07/2020, et revu le 15/07/2020, et revu le 18/07/2020, et revu le 21/07/2020, et revu le 25/07/2020, et revu le 27/07/2020, et revu le 30/07/2020, et revu le 31/07/2020, et revu le 05/08/2020, et revu le 07/08/2020, et revu le 07/08/2020, et revu le 11/08/2020, et revu le 12/08/2020, et revu le 16/08/2020, et revu le 20/08/2020, et revu le 21/08/2020, et revu le 25/08/2020, et revu le 01/09/2020, et revu le 02/09/2020, et revu le 05/09/2020, et revu le 06/09/2020, et revu le 09/09/2020, et revu le 13/09/2020, et revu le 17/09/2020, et revu le 19/09/2020, et revu le 23/09/2020, et revu le 25/09/2020, et revu le 01/10/2020, et revu le 05/10/2020, et revu le 07/10/2020, et revu le 11/10/2020.
Message très important : L'aimable internaute, qui nous a envoyé récemment un message nommé Nathalie BUTRUILLE, concernant le physicien Georges OSORIO, est prié de renvoyer ce message, car notre vieux logiciel Outlook Express, a encore fait des siennes, et a tout effacé malencontreusement, après un compactage de données.