" Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique, dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi , bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir "
Fin de citation de l'article en question.
Et nous voilà déjà alors arrivés à notre
2 efocus ...
Deuxième focus :
Autrement dit,
si nous comprenons plus avant le texte incroyable, ci-dessus, c'est cette radiation cristalline du soleil intérieur :
qui est vraiment responsable de ces trainées lumineuses flambloyantes (appelées aurores boréales ou australes) qui apparaissent autour des pôles de la Terre.
Et voici encore, d'autres superbes aurores polaires :
Ou encore :
Cette surprenante dernière
aurore boréale, nous est due grâce à la courtoisie du
Dr Hallinan, et l' astronaute Overmeyer de la
NASA.
Donc, cela n'a rien à voir avec
la magnétosphère terrestre, qui d'après nos scientifiques, serait exitée par notre Soleil extérieur,
comme nous l'explique si bien, la revue Science&vie n°
1095 de Décembre 2008 :
On voit alors que selon cet article, qu'il n'y a
que deux théories qui ont l'agrément des scientifiques et surtout que les mots manquent aux scientifiques pour
"expliquer cette spectaculaire violence venue du ciel". Pas question que
cette aurore spectaculaire, vienne
de quelque partie que soit, de la Terre.
Point barre.
Pourtant l'illustration présentée par cette revue, montre bien que
l'intensité de la lumière se manifeste vers le bas donc tout près de la Terre et non du haut du ciel, comme cet article le précise :
Mais, soyons
fair play, et présentons aussi ici, le beau schéma d'explication des scientifiques du même
Science&vie n°
1095 de Décembre 2008, concernant le
vent solaire, qui vient chatouiller, la
magnétosphère terrestre, pour produire les superbes
aurores boréales et australes :
Nous supposons alors que
la mission Themis, lancée par
la NASA en
Février 2007, avait d'
autres objectifs plus secrets qu'une ballade de satellites dans le flux solaire. Bref chacun est libre de croire ce qu'il veut en fonction de la nature des informations qu'il détient.
A vous de juger...
Mais voilà, que maintenant nous arrivons, à notre
très important 3e focus ...
Troisième focus :
C'est en
Janvier 2005 qure le
Webmaster d'
ARTivisin, en exclusivité mondiale,
l'affaire de Titan le gros satellite de
Saturne (et affaire bien ignorée actuellement par nos astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de la NASA, qui ont parlé alors de petit nuage blanc
).
Titanbleuefleche700.jpg
Découverte faite en exclusivité du site ARTivision, dès Janvier 2005.
Les astronomes ont tous, vu là un petit nuage blanc.
Cette image donc, confirme admirablement
la superbe révélation, faite ci-dessus par
Madame Anne Givaudan, et on revoit ici,
très nettement
(bout de la flèche rouge).
la sorte de
superbe réverbération, prouvant que
la luminosité du disque, vient bien de l'intérieur de l'astre.
C'est donc ici pour
ARTivision, l'occasion,
une fois de plus , d'inverser mgisatralement,
le sage proverbe antillais,
bien connu, tel que :
"Sa I bon pou Zwa, I tou bon pou kanna"
"Ce qui est bon pour les oies, l'est aussi pour les canards"
Autrement dit :
" Ce qui est valable pour Titan :
l'est aussi pour notre Terre".
Rappelons
aux novices,
(qui lisent souvent en diagonales les articles du site), qu'il n'est pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que
cet œil surprenant de
Titan,
extrêmement brillant, de près de
300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus,
possède clairement, en desous de lui, de faibles traces cependant bien visibles, soulignant la présence
une sorte réverbération, sur les
couches de l'atmosphère de la planète,
prouvant ainsi
absolument, que
cette extrême luminosité,
vient bien de l'intérieur de l'astre.
(voir le bout de la flèche rouge).
Mais, comme on le voit sur l'image de droite,
le Pôle Nord de Titan est aussi entré
dans la danse...
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens (qui a fait ces photos et beaucoup d'autres qui n'ont pas été montrées), avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher, ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle Sud de Titan. Point à la ligne...
Mais il y a mieux dans cette affaire de vortex polaires planétaires, ce qui ne va pas manquer de faire hurler d'amertume les détracteurs zététiques et leurs consorts intellectuels archi-déphasés.
En effet, nous avons appris, au début d'Avril 2019, que les scientifiques, ont réussi à photographier dit-on, un prétendu trou noir cosmique, tel que :
Pourtant en 1992, on était déjà, aussi heureux d'exiber cette autre image et on ne parlait surtout pas là, dans ce cas, de
parhélie, autrement dit, des phénomènes dus à des illusions d'optique :
Notons en passant, que les Ummites, ces Aliens, qui visitent la Terre, en ce moment, n'aiment pas du tout, cette affaire de trou noir.
En effet, ces derniers, (voir nos précédents articles), lors d'une conversation téléphonique bien ciblée, ont dévoilé le fait, que les trous noirs n'existent pas dans notre univers, ce que l'astrophysicien Jean-Pierre Petit, (qui a lui aussi reçu en 1992, une lettre ummite
venant de Ryad), a l'air de confirmer, au grand dam, de ses confères académiques...
Pour les novices ingénus, qui ignorent tout de cette affaire des ummites voir aussi, ce récent petit fascicule remarquable, d'Octobre 2018 :

, qui y consacre 12 pages.
Mais alors, l'on note aussi, que ces Messieurs les scientifiques, vont à perpette (près de 50 millions d'années-Lumière), chercher l'image d'un obscur vortex, nommé Trou Noir, mais, qu'ils sont incapables de voir, celui bien plus voisin d'eux, très lumineux de l'astre nommé Titan, satellite de Saturne, tiré du site tel que :
On découvre alors
ceci d'abord justement en noir et blanc :
TitanJLPsiteNASAPolesudennoiretblanc.jpg
Et voici alors, un semblant
d'explication de la NASA :
En rouge,
on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparait au pôle sud des 3
images. .."
Oh là
...."un nuage de particules de
méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène
naturel inconnu, pour nous fournir une
luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les
rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de
Km...
On le voit, ici la
NASA, parle "d' un brillant nuage de particules de méthane qui
apparait au pôle sud de Titan" , ce qui nous montre une fois
de plus que les mots
employés nous éloignent, tout aussi assurément,
de la
réalité.
Et en couleur, c'est bien mieux sur le même site de la NASA, on trouve aussi ceci :

Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu (Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!). A vous de juger.
Mais ajoutons une image en couleur, de plus :
Le point lumineux au bas de la planète, est toujours là, et, étant donnéé sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre.
Terminons, maintenant ce 3e focus en prensentant en passant, (bien que cela remonte à près de 9 ans), le message du Grand Maître SaLuSa, reçu en Mars 2011, et paru à l'époque sur le site :
et texte que vous pouvez aussi trouver à notre article clef :
Dans ce super message, il y avait alors ce passage inouï :
"Par exemple, il y a des
preuves incontestables que la vie n’a pas seulement existé sur votre Lune et
Mars, mais qu’elle existe encore en ce jour. Il est
également connu qu’il existe une Terre intérieure, "la Terre
Creuse", qui abrite
des Êtres très
avancés ... "
Voilà des propos, qui vont encore faire hurler de dépit et d'amertume nos scientifiques bien blasés l, mais le Webmaster du site ARTivision lui, reste de marbre, devant ces
gesticulations désuettes et attardées, et met tout ce beau monde, carrément au pied du mur, tant qu'il ne se prononcera pas officiellement, sur la véritable la nature du fait cosmique qui suit, que ces scientifiques ont volontairement oublié de citer dans leur audacieux fascicule, de la revue "Sciences et Avenir" n° 142 Hors série d'Avril-Mai 2005, et fascicule qui se présente tel que :
Ce super fascicule hélas, dans les 10 faits présentés a cependant loupé lamentablement le coche (que la NASA, dès Décembre 2004, avait placé, juste devant leur porte),
en la qualité de cette image, pourtant surprenante, de Titan, et ils ont été incapables de voir, ce vortex, très lumineux au pôle sud, de l'astre nommé Titan, satellite de Saturne, tel que :
Photos publiées par la NASA le 17 Déc. 2004
A vous de juger donc, tout ce qui précède, documents incontournables, à l'appui...
Mais, ce 15 Avril 2020, avant d'aborder notre 4 e focus, il serait peut-être utile, pour les novices, qui veulent vraiment approfondir, ce nouvel aspect de la connaissance, (non divulgué dans nos doctes universités), de montrer ici une courte liste, des ouvrages déjà publiés par Madame Anne Givaudan et aussi Mr Daniel Meurois, afin de prouver que cette affaire d'univers parallèles, devrait vraiment, nous interpeller actuellement, et liste tirée de l'ouvrage de 1996, aux Editions Arista :
Et, il y en a eu beaucoup d'autres. Voir aussi la vidéo récente de 2020 :
Il n'est pas utile, de démontrer ici, que certains animaux de compagnie, captent, des vibrations venant d'un monde parallèle, et savent nous avertir, par exemple
que la mort, (même accidentelle), d'une personne aimée, est proche, pourquoi n'en serait-il pas de même, de certaines personnes très sensibles, comme Anne Givaudan, Monique Mathieu, Aurélia Ledoux, et bien d'autres.., qui nous font voyager dans ces mondes d'Outre-Espace.
Quatrième focus :
Mais, ce jour, (en ligne directe avec tout ce qui précède), nous allons commencer par vous présenter ici, une image animée, extraite d'un site de la NASA, tellement incroyable, que de nombreux internautes, qui fréquentent parfois les arcanes ésotériques du site ARTivision, ont cru qu'il ne pouvait s'agir, que d'une image que nous avions trafiquée :
Cette image animée très surprenante et jamais montrée dans nos télévisions qui ont pignon sur rue, est datée du 14/11/2001, et est tirée, du site (encore visible), de la NASA, tel que :
Alors, Messieurs les cosmologistes officiels, et consorts journalistes blasés,
que vous puissiez connaître ou pas, cette superbe configuration lumineuse, de notre belle planète la Terre, elle existe bien et c'est la NASA elle-même, qui nous l'a communiquée, ce qui prouve que ses protagonistes, sont très au courant de l'affaire des "ouvertures polaires" et qu'ils ont voulu là, nous lancer indirectement une sorte de "bouteille à la mer".
Point barre...
Mais
les éternels zélés détracteurs, qui ont aussi lu,
vite fait, les nombreux articles
pointus d'
ARTivision, sur le sujet, nous diront avec
une certaine condescendance :
"S'il existait, des vortex polaires quelconques, les milliers de satellites, qui circulent au-dessus de nos têtes, les auraient déjà photographiés en long et en large. Point Barre... "
Nous invitons alors, une fois de plus,
ces supers bien-pensants, à revoir les photos officielles, suivantes, qui montrent assurément,
selon nous bien sûr,
une manipulation informatique notoire :
, et maintenant, de plus près :
Que sont donc
ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus
du Pôle Nord ?
A notre humble connaissance,
C'est du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être
là,
pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!
D'autre part, sur le super site qui suit :
, voilà, ce qu'on pouvait aussi,
à l'époque y trouver :
Mais, que veulent donc bien nous montrer,
la superbe flèche rouge en question, et le cercle bien net, en son bout ?
Mais, toujours concernant
le pôle Nord, l'après-midi du
10/10/08, en recherchant une information dans nos
dossiers, nous sommes tombés sur l'entrefilet suivant de la revue
TOP SECRET n°
33 d'
Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi
il s'agit :
D'abord,
félicitons vivement notre ami
Roch
Saüquere, Directeur de la revue
Top
Secret , pour
la belle formule
littéraire suivante :
"" ...Ils"décident de ce que
nous devons croire et penser
"
Il nous reste maintenant à nous demander, comment il se fait, que
l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique, on aperçoive
cette
insolite pastille noire et qui évidemment
n'a jamais été expliquée, par les
commentateurs du journal télévisé de
LCI.
Mais
si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci
:
On
découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a
une faible luminosité qui semble
fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors
au centre de ce disque quelque chose de
bien
plus lumineux que l'on cherche à cacher.
A vous de juger
!!
Mais côté,
Pole Sud,
les magouilles, sont aussi flagrantes :
En effet, le
29/05/08, nous avons reçu de
l'ami
Jean-Carlo S... l'invitation à visiter
le site :
www.worldwidetelescope.org, où l'on
pouvait télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images
extraordinaires, dont celles-ci qui concernent
l'Antarctique:
Comme on le voit,
l'existence
d'une pastille plutôt
énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait
aucunement représenter
le pôle géographique en
question. Alors que fait donc
là cette pastille ?
A vous de
juger!
D'autre part, nous avons aussi
en 2010, reçu la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Didier
B........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Tuesday, May 11,
2010 5:47 PM
Subject: Envoi d'un message :Une photo satellite du Pôle
Sud : n°P-019-0049-5054.jpg
Bonjour Fred
,
Voici une photo satellite du pôle sud qui ne
manquera pas d'intéresser tes lecteurs.
En effet,
vers le centre du continent
antarctique, on distingue nettement une
forme circulaire évoquant un cratere ou bien un trou vers le
centre de la Terre. Je ne peux helas pas te donner la source, qui est asiatique
d'apres les caracteres incrits sur l'image.
Merci
pour ton travail et bonne
continuation.
Didier
B........
Agrandissons donc ce
disque insolite :
Pour
ARTivision, il ne s'agit
pas
bien sûr, d'un
cratère gigantesque, ou
d'un trou tout aussi immense, mais simplement
d'une pastille de camouflage,
qui cache
au commun des mortels,
des lumières qui lui seraient inexplicables.
Mais on le sait, sur
ARTivision,
rien ne se passe au hasard, car justement, voici autre une missive, disons
très opportune :
-----Message d'origine-----
De : Pierre ....
Envoyé : Lundi 30 Septembre 2013 04:53
À : Fred Idylle
Objet : Pole Nord
Bonjour,
Vous trouverez certainement votre bonheur à :
Bien cordialement
Bien sûr, nous avons déjà remercié vivement
Pierre, pour sa souvereine participation, aux recherches
très pointues d'ARTivision.
Mais, au cas où ce site venait à disparaître comme
par enchantement,, voici le début de sa présentation :
puis on découvre plus bas cette surprenante vue du Pôle Nord
Mais voyons cela de plus près :
On voit alors ici, que
le satellite ENVISAT, en question, a eu
quelques regrettables trous de mémoire, et surtout
qu'aucune explication ne nous est également donnée, sur
la présence très insolite de ce disque noir, au
Pôle Nord.
D'autant plus, qu'en agrandissant l'image, on voit aussi cela :
Comme on le voit finalement,
il se passe pas mal de choses très mystérieuses, qui s'attachent
aux zones polaires de
notre planète.
Mais voici
le plus étonnant, tiré de la revue
bien connue,
Science&vie, de
Novembre 2004, numéro 1046 :

Aucune explication concernant la présence ici, de ce super disque noir, ne fut fournie par cette revue, sauf celle-ci :
"L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat".
Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire, n'est pas là, par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, ici aussi, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir.
Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication, concernant sa présence très insolite, à l'endroit en question.
Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. (A vous de juger...)
C'est alors qu'un certain internaute, Fabrice C....., nous a interpelés sévèrement, le 21 Mai 2006, pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve :
" Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT
qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de
naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment... ".
Nous avons alors montré, bien sûr, à cet internaute
, si fier de sa culture"satellitaire", la photo extraordinaire de Jupiter suivante :
Et bien sû, ce Monsieur Fabrice C....., est resté, dès lors, muet comme une carpe, voyant de plus, passer près d'elle, un gros requin...
Cette photo assurément trafiquée de la NASA du pôle nord de Jupiter, est extraite du n° 266 de la revue Ciel et Espace, de Février 1992, et pour ceux qui verraient cette revue, dans une brocante, ou un vide-grenier, mieux vaut ne pas la louper, car elle est digne d'être exposée dans un musée :
Evidemment, ce qui saute aux yeux, cette fois encore, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle de Jupiter, et sous laquelle on voit nettement fuser également des rayonnements lumineux notoires. Que fait encore là, cette obscure pastille bien calibrée, qui, on le voit, n'a rien à voir ici, avec une circulation quelconque de satellites ?
A vous de juger... On nous prend ici, n'est-ce pas !!, vraiment pour des moutons attardés, et pour des malades mentaux, que l'on peut conduire, par le bout du nez.
Mais ce 17 Avril 2020, abordons notre 5e focus, qui rend encore hommage à Mr Daniel Meurois et à Mme Anne Givaudan, en extrayant de leur premier livre de 1983 :
Les paroles d'un Grand Maitre, qui sont alors, en page 14, telles que :
Et plus loin, vient cette précision extraordinaire, concernant la pyramide de Khéops en page 113 :
Pas mal n'est-ce pas... ces indications matématiques très subtiles, que tout un chacun peut verifier. De plus, notez bien aussi que la grande Année en question, peut se subdiviser en 12 periodes zdiacales, de 25800:12 = 2150 année, et donc l'ére du Verseau qui parait-il, vient de commencer, durera 2150 ans.
A vous de juger, en découvrant en plus, ceci :
En effet, l'axe Nord-Sud, de la Terre, lorsque celle-ci tourne autour du soleil, n'est pas perpendiculaire au plan de rotation, mais il est incliné d'un angle voisin de
23°26 . Cet axe ne reste pas immobile et fait un tour complet qui dure
25920 ans (d'après Jean SENDY: voir ci dessous), et que ce tour s'est achèvé, ces temps-ci. Alors, puisque, le
Temps des Révélations est bien arrivé, bientôt l'on ne pourra
plus cacher grand chose aux communs des mortels...
Soyons plus précis encore et expliquons
cette affaire ésotérique, de
"l'ére du Verseau", que nous venons d'aborder, durera
2160 années,
(nombre on le voit assez voisin ( 2150) de celui du Maître d'Anne
Givaudan), et donc cela implique
un changement total du contexte vibratoire de la planète Terre et de ses occupants qui vient semble-t-il de s'enclancher...
Mais,
ce jour, disons avec
constance, que tout ce qui précède, nous montre
une fois de plus, bien , que
rien de ce qui se passe sur ARTIvision, ne peut être l'effet du hasard, que certains croient être soumis, à une fonction aléatoire d'évènements synchrones.
Mais nous l'avons déjà souvent expliqué, dans d'autres articles, que cette planète est bien soumise à
des cycles réguliers, et en particulier à celui qui arrive tous
les 25920 ans (Mais, il y a d'autres cycles plus longs, connus venant des Mayas et des indiens), d'après
l'Einstein de l'ésotérisme humoristique français Jean Sendy (Voir son livre de 1968 ; La Lune Clé de la Bible).
Mais, comme nous ne sommes pas encore aptes
à voyager dans le Temps,
(Voir notre article : Le Temps c'est quoi !) ., si d'autres
déraillements éventuels inattendus, se produisent bientôt, sur cette planète, il faudra alors bien admettre cette affaire
d'Ère du Verseau...
Cette
ère du verseau, est donc celle, où l'on va ici découvrir que toutes les planètes sont creuses et possèdent donc des
"ouvertures polaires" pour accéder à l'intérieur. Ces Ouvertures brillantes ont carrément été assimilés à des calottes polaires réfléchissant
les rayons du Soleil extérieur
Vous avez du mal à croire, mais
encore une fois, 'il est préférable de ne pas, trop vite, oublier que le site
ARTivision, a toujours dans ses dossiers,
d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires...
Présentons alors ci-dessous, quelques vues, qui ne courent les rues ou que l'on ne voit jamais sur les ecrans des télévisions médiatiques. comme par exemple, certaines vues de
Vénus, dont on sait maintenant, que sa température tourne autour
de 400°, et planète qui ne saurait posséder
des calottes polaires couvertes
de neige brillante.
En effet, concernant cette planète
Vénus,
voici déjà,
une importante missive, que nous avons reçue le
01/08 2019 :
----- Original Message -----
From: Annaëlle
Sent: Thursday, August 1, 2019 5:58 PM
To: IDYLLE Fred
Subject: Vénus
Bonsoir Fred,
J'ai remarqué tout à l'heure une curieuse photo de la planète Vénus
à l'url :
On voit au pôle de la planète une tache claire que l'on ne peut attribuer à une calotte glaciaire, étant donnée la température. Curieux non ?
Fin de la missive .
Et, de plus, nous avions déjà présenté, sur notre site concernant
Vénus, ceci :
Il y a déjà
des lustres, certains détracteurs
pour noyer le poisson, prétendaient que
Vénus, aurait pu avoir comme
Mars, une
calotte polaire glacée, Mais maintenant que sait, que
Venus est brulante,
cette hypothèse ne tient plus. Alors d'où vient
cette luminosité polaire vue ci-dessus ?
Nous attendons,
avec ferveur, Messieurs
les irréductibles détracteurs, vos brillantes suggestions...
Pour mieux comprendre
cette affaire fantastique, disons alors que
le novice ingénu, qui découvre à peine le site
ARTivision, aura certaines difficultés
à assimiler ce qui suit :
En effet, comme justement,
rien n'arrive par hasard sur ARTivision, voici encore, une de nos découvertes
très surprenante, faite très opportunément,
le 2 Juin 2019, sur la revue suivante du
n° 1, spécial d'Octobre 1989 :
Et, en page 35, voici quelques mots très philosophiques de l'Astrophysicien
Ludwik M. CRLNIKIER, chercheur à l'époque
au CNRS :
Nous avons
bien sur, noté ce passage admirable :
Nous espérons que ce chercheur philosophe,
s'il est encore vivant, a aussi découvert comme
ARTivision,
"le petit détail inexplicable",
(comme il le dit si bien) des deux voxtex surprenants de l'astre
Titan :
Mais allons plus loin dans l'exploration de
nos précieux dossiers et présentons alors
une petite photo de Mars, tirée de la revue
Siences et Avenir n° 108 de Février 1956 (que nous avons le privilège de possèder, et qui doit être plutôt rare à trouver sur le marché), et dont pour les puristes, voici la couverture :
Et voici la photo en question :
Cette image, nous montre,
la calotte polaire de Mars,
qui brille souverainement, alors que
la zone tout autour, est dans un noir notoire.
En effet, nous allons alors présenter ici, des éléments prouvant catégoriquement que la
planète Mars, nous offre aussi,
depuis belle lurette>, le moyen de résoudre définitivement,
l'énigme fantastique>, de
ces affaires polaires.
Commençons, si vous le voulez bien, par ce
montage mosaïque, réalisé dès fin
Sept 1902, par
l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à
l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :
Traduisons grosso modo, le texte de l'image :
" Vues de Mars, prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse>, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."
Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :
Ces images sont extraites, page 80 bis, de
l'ouvrage incontournable (Que nous avons la très grande opportunité, d'avoir dans notre bibliothèque) de
Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :
Nous avons alors ici, le plaisir de vous transmettre un paragraphe en pages 84 et 85 :
"Earlier writers, however, had noticed that the spots were brighter than the other surfaces of Mars, an astronomer, writing in the Scientific American Supplement as early as 1879, in effect, having made that observation. But this writer was not aware of the real nature of the light. In 1892 the celebrated English astronomer, J. Norman Lockyer, repeated in a periodical a number of observations he had made thirty years before and had then communicated to the Royal Astronomical Society of England. Here is a significant quotation :
"The snow-zone was at times so bright that, like the crescent of the young moon, it appeared to project beyond the planet's limb. This effect of irradiation was frequently visible; on one occasion the snow spot was observed to shine like a nebulous star when the planet itself was obscured by clouds, a phenomenon noticed by Messrs. Beer and Madler, recorded in their valuable work, 'Fragments sur les Corps Celestes.' The brightness, however, seemed to vary very considerably, and at times, especially when the snow zone was near its minimum, it was by no means the prominent object it generally is upon the planet's disc.""
Traduisons, à peu près, cela :
" Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et obsevations qu'il a ensuite communiqué à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :
"La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, elle se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même,la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse>, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM Beer et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement Au dessus de la planète.".
"
Si les propos ci-dessus,
ne vous
fait, ni chaud ni froid...Alors, regardez aussi, ce qui suit
:
Pas mal, n'est-ce pas, ces
"couvre-chefs lumineux", bien en relief, au dessus de la planète
!!!
On aura du mal a nous expliquer comme la communauté Scientifique actuelle a pu ignorer les faits
clairs
et
nets
,
présentés ci-dessus n'aient pas fait l'objet de la moindre considération dans les nombreuses revues de vulgarisation, qui circulent dans le cursus médiatique actuel , comme par exemple :
Sciences&Avenir74AvrilADucrocq.jpg
Et après,
ou encore :
Et en plus, voici encore d'autres images, bien plus modernes, de Mars, où
l'on voit, que la calotte brille
majesteusement, alors que la région
environnante, est parfaitement, dans l'ombre...
Mieux, voyez aussi cette image surprenante, où le pôle de Mars, brille majestueusement, et image tirée du n° spécial 6, de la revue CIEL et ESPACE, de 1993 :
On reste muet de stupéfaction, devant cette casquette très brillante, et en relief de Mars, que ces spécialistes d'astronomie ont vite qualifiée, de calotte polaire glaciaire, qui brille sous l'effet lumineux de notre Soleil.
Cependant, il y a aussi une revue, qui elle, a vu juste, un peu plus tard en 2006.
Bravo, donc à la revue Top Secret, pour sa si judicieuse initiative...
Mais, voici aussi cette photo superbe, d'un pôle de Mars, tout illuminé :
Nous insistons alors ici, sur le fait que la photo de Mars ci-dessus, ne vient pas de la NASA, (qui vérouille et camoufle toutes les images venant des sondes spatiales), mais cette photo nous vient du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, et qui existe depuis 1935... et cette extraordinaire photo de Mars, fut prise le 31 Août 2003, par ce "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km ...
Pour les puristes, qui voudraient en savoir plus, prière
de contacter cet Observatoire
Griffith pour lui demander pourquoi cette superbe image,
n'a jamais fait la une des médias qui ont
pignon sur rue ... et surtout que l'on nous dise pourquoi
le site admirable, qui présentait cette photo
à :
a soudainement disparu en 2005, comme par
magie.
On y voyait
alors, entre autres choses, ceci :
Une modeste
traduction des 7 premières lignes, donne alors ceci :
" Dimanche 31 Août 2003, par le - Griffith Satellite Observatory, avec un
Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX
webcam.
C'est la meilleure image de
Mars qui se compose de plusieurs
dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de
prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette
année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif
Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord
est en haut et l'Est est à gauche ".
Remarquons que l'Est devrait être à
droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord
soit en haut. Le télescope en effet, inverse les images ...
Mais vous pouvez cependant,
grâce au merveilleux site :
, retrouver, le site Griffith qui a disparu, désormais en passant par exemple par le
( 29 Fev 2008) :
Le
nom de la photo étant Mars083103.jpg, vous
pouvez la trouver directement sur le Web à l'adresse :
, ce qui nous donne alors pour le Pôle Nord de Mars, ce superbe spectacle, déjà vu plus haut, qui, en mettant l'Est à droite, et en inversant l'image :
Quant à prendre en
considération, les documents de la NASA, où
figurent certaines images, des pôles de
Mars, comme par exemple, celles-ci :
, C'est alors du temps
totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile
actuellement pour la NASA, de trafiquer des
photos à sa convenance personnelle, pour nous mener carrément en
bâteau...
Bien sûr, nous avons déjà montré dans d'autres articles, d'autres planètes qui présentent aussi des vortex polaires inexplicables, et l'on verra cela bientôt...
Ainsi donc, après avoir observé Vénus et Mars ci-dessus, ce 19 Avril 2020, jetons un rapide coup d'œil, sur la planète Mercure, si bien étudiée par la super revue suivante :
Et en page 86, on peut admirer, le magnifique schéma suivant :
Ceci est un montage qui place Mercure, dans le contexte de ce que l'on appelle les planètes telluriques du système solaire :
On découvre alors que la trajectoire de Mercure est une ellipse très étirée, dont le point le plus rapproché du Soleil, (le périhèlie), est à 46 millions de km, tandis que le plus éloigné (aphèlie) est à 70 millions de Km. D'ailleurs ce périhélie , qui se déplace d'environ 570 secondes d' arc par siècle, et il a fallut l'ingéniosité d'Einstein, qui seul a pu expliquer en 1916 ce phénomène. Mercure étant très proche du Soleil, la planète ressent les fameux effets relativistes liès à la courbure de l'espace-temps, et c' est pour cela que l' orbite de Mercure, voit son axe, donc aussi son périhèlie, faire un tour complet autour du soleil en trois millions d'années.
Pour percer les secrets de Mercure, il fallait donc envoyer dans sa direction une sonde spatiale, qui pourrait photographier sa surface d'assez près. C'est ce que réalisa dans les années 1970, la sonde Mariner 10 qui frolla d'abord Vénus, puis bifurqua grâce à l' atttraction gravitationnelle de cette planète vers Mercure. La sonde visita ainsi Mercure le 29 Mars 1974, puis le 21 septembre 1974, et enfin le 16 Mars 1975 et a photographié ainsi, les 40 pour 100 de la surface de cette planète, sous la forme d'environ 2000 images avec une résolution voisine de 1,5 km, mais concernant une seule face de la planète. L'autre reste totalement inconnue.
Mais le 20/03/2012, en fouillant dans nos boîtes de dossiers, nous sommes tombés sur un article de la revue "Ciel et Espace" de Mars 1992, n° 267, qui nous parle de la découverte de taches brillantes surprenantes aux pôles de Mercure. Voici donc de quoi il s'agit :
Et voyons maintenant, le début de l'article en question de Mr Pierre Thomas :
Et voici donc ce que l'on découvre aux pages 57 et 59, après réajustement des colonnes :
Donnons, plus de relief, à la portion du texte placée, au bas de l'image ci-dessus :
Cette tache pouvait-elle être la signature radar d' une calotte glacière ? Les chercheurs savent en effet que lorsque sa température est suffisamment basse, la glace réfléchit fortement les ondes radio, comme c'est le cas dit-on pour la planète Mars, où l'on pense que la calotte glacière couvrant le Pôle Sud et qui est d'un blanc éclatant, est aussi couverte de glace. Mais on le sait, pour Mercure, la tempèrature peut monter jusqu' à 430° , en présence du rayonnement solaire et on ne voit pas comment cette glace, même si elle venait de comètes, n'a pas depuis lors été volatilisée dans l' espace sous l' effet du rayonnement solaire qui n'épargne pas les pôles, d' autant plus que la sonde Mariner 10, n' avait rien détecté de cette glace lors de son passage à proximité de Mercure. Les savants sont donc très perplexes et onr dû échafauder des hypothèses sur hypothèses pour résoudre cette énigme. Mais, ils tourneront en rond, tant qu'ils ne prendront pas en compte, le super phénomène, mis en relief dès Septembre 2000, par ARTivision, et concernant les "ouvertures polaires", de toutes le planètes du Système Solaire.
Mais ce que nous retenons surtout ici, est, le fait que le 8 Août 1991, les astronomes ont bénéficié, ce jour là, d'une fenêtre remarquable pour observer Mercure, puisque de plus, le Pôle Nord de cette planète était légèrement incliné vers la Terre. Ce fut alors l'occasion révée qu'attendaient les chercheurs du Jet Proplusion Laboratory et du Californian Institut of Technologie, pour décrocher, un puissant faisceau radar de 500000W en provenance du radio-télescope de Goldstone en Californie, et dirigé vers Mercure.
Le signal réfléchi a été alors capté par 27 antennes du Very Large Array, le remarquable réseau de télescopes de 25 m chacun, installé au Nouveau-Mexique.
La calotte brillante en questionn au Pôle Nord a dit-on, environ 640 x 300 km, qui réfléchissait ainsi les ondes radio. Plus tard le 23 Aout 91, une nouvelle salve radar confirme l' observation precédente et bien que, nous dit-on, Mercure ait tourné d' une centaine de degrés environ, cependant la tache était toujours là...
D'autre part, nous n'avons pas pu retrouver sur Google, la photo qu'aurait prise Mariner 10 en 1974, juste sur le terminator de l'époque, et qui, nous dit-on ci-dessus, montrait la moitié de cette tache brillante au pôle Nord de la planète. Nous supplions donc avec les mains jointes, l'internaute qui aurait retrouvé quelque part, cette photo de Mariner 10, de nous en faire, SVP, une petite copie. Merci d'avance, mille fois.
Enfin, Ciel et Espace, nous précise bien qu'en 1993, il y aura une nouvelle fenètre d'observation pour le Pôle Nord et en 1994 pour le pôle Sud qui est en fait très difficile à observer.
Etant au courant à l'époque de cette affaire, nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations de Mercure, en 1993 et en 1994, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ? Les bien-pensants vous diront que, les observations n'ont pas pu être faites simplement à cause de perturbations atmosphériques, de poussière parasites ... etc.. Rappelons cependant, que le Télescope Hubble, (qui ne craint aucune perturbations climatiques), a été lancé en Avril 1990, et sa miopie fut réparée en 1993.
Le Webmaster du site ARTivision, qui n'a pas l'habitude de se tourner les pouces, devant un fait surprenant, a poussé l'audace jusqu'à écrire à la Rédaction de la revue Ciel et Espace, (http://www.cieletespace.fr/), la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, April 15, 2012 7:53 AM
Subject: Lettre à Ciel et Espace.
Très valeureuse équipe.
Bonjour de l'archipel de la Guadeloupe dans les Antilles françaises.
Ce message est de la plus haute importance que vous puissiez l'imaginer.
Cette missive gagnerait à être transmise à votre collaborateur Mr Pierre Thomas, s'il est encore de ce monde, car il a affirmé dans votre n°267 de Mars 1992, que Mariner 10, a, en 1974, photographié le pôle Nord, de Mercure situé juste sur le terminateur où l'on voit ainsi la moitié d'une tache brillante.
Hélas à mon grand désespoir il n'a pas présenté dans son exposé, cette photo capitale pour mes recherches. Si vous arrivez à me retrouver ce cliché de la NASA, je vous serai alors d'une infinie reconnaissance et je saurai vous le montrer en temps utile.
En terminant, je vous dis enfin, à un de ces jours prochains si le Maître du Temps, nous en offre l'opportunité.
Vives cordialités tropicales.
Fred IDYLLE
Comme nous n'avons reçu aucune réponse, alors nous pensons ici, que c'est le moment utile de sortir la celèbre réplique de Paul Féval, dans son roman de 1858 le "Bossu" :
"...et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! "
Cette missive est donc, une sorte de deuxième lettre ouverte à la revue "Ciel et Espace", la première étant placée à:
Cet article, n'aurait sans doute pas vu le jour, si nous n'avions pas, on le sait déjà, la très grande chance , d'avoir sous la main, l'ouvrage hors norme de (1920) : de Marshall B. Gardner, qui parle aussi de Mercure, et ouvrage que nous vous présentons volontairement à nouveau, étant donnée son importance :
De la page 96 à 99, on découvre ceci, que nous avons traduit très modestement :
"Le professeur Proctor parle de MERCURE.
Et juste pour montrer au lecteur comment fonctionne notre théorie universellement, référons-nous à une autre planète sur laquelle les observations peuvent être faites des ouvertures polaires. Il est également Mercure - de la planète qui est si près du soleil qu'il fait le tour autour de lui dans quatre-vingt-huit jours. De cette planète Richard A.Proctor>, est l'un des meilleurs astronomes connus du XIXe siècle, dit :
"on pourrait mentionné en passant un phénomène concernant Mercure, et s'il est vrai, il pourrait, à juste titre, être considéré comme venant d' énergies volcaniques comme ceux qui agissent sur notre propre terre .... Ce phénomène serait d'ailleurs comme en provenant des forces d'un enfant chétif par rapport aux énergies d'un géant. Sur le disque noir de Mercure, quand la planète est en transit, est apparue une sorte d'illumination venant de la surface de la planète ou de son atmosphère. Mais cela ne saurait venir de son atmosphère ni de quelques trainées aurorales vu l'intensité du phénomène. Si la surface de Mercure resplendissait de cette lumière ainsi censée avoir été vue, alors il peut être facilement démontré que plus de la surface de centaines de milliers de miles carrés, doit briller avec une intensité d'éclat par rapport à laquelle la luminosité d'une lumière oxydrique ferait pâle figure. En fait, cette lumière oxydrique est la noirceur absolue par rapport à l'éclat intrinsèque de la surface du Soleil. Et le point lumineux censé appartenir à Mercure, a été observé avec un système de verres très assombris ((et avec d'autres dispositifs pour réduire la lumière du soleil). Mais il peut y avoir aucune espèce de doute que la tache lumineuse soit un phénomène optique seulement. "
La Lumière solaire seule est à prendre en compte.
Encore une fois, nous sommes d'accord avec l'observation, mais pas avec la conclusion. Voici un spot de lumière, bien vu à travers un télescope, si brillant que l'observateur le compare à l'incandescence d'un soleil. C'est une lumière beaucoup plus lumineuse que n'importe quel simple reflet pourrait donner. Mais nous devons nous rappeler que, pour Proctor une telle apparence doit avoir été stupéfiante à l'extrême. Non seulement il ne m'y attendait pas, mais il était tout à fait non préparé à voir un tel phénomène. Et il était tout à fait incapable de l'expliquer. Et c'est une bonne règle que lorsque l'on ne peut pas expliquer une chose, on la tranforme en une autre chose. Donc, Proctor considère cette lumière comme étant "un phénomène optique seulement". Oui, bien sûr, c' est un phénomène optique, mais pourquoi dit-il "seulement"? Tout ce que nous voyons est un phénomène optique, mais nous essayons généralement d'en expliquer la constitution. Un homme qui a vu les phénomènes optiques qui étaient sans explication, ou sans cause, serait dans une position très ambigüe. Les gens disent qu'il aurai "vu des choses" mais leur explication de suivrait pas. Mais nous ne pouvons pas supposer que les yeux de Proctor lui avaient joué un tour. Il était un observateur astronomique qualifié. Donc, ce qu'il a vu, doit avoir une explication ou une cause. Il ne peut pas avoir vu un"mythe", comme il s'affirme.
Maintenant, il est évident pour nous que ce qu'il a vu était le soleil central de Mercure rayonnant directement à travers l'ouverture polaire, et que Mercure étant une petite planète le soleil intérieur serait plutôt près de l'ouverture, et il n'y a certainement pas une atmosphère aqueuse avec des nuages, pour assombrir ses rayons , et c'est ainsi que ce soleil allait briller avec une extrême luminosité. Et il est remarquable que ses faisceaux lumineux n'ont pas porté à l'esprit de Proctor le fait qu'ils ressemblaient à ceux du soleil qui brille dans le ciel de toutes les planètes.
Qu'aurait-on souhaité de mieux pour montrer que Mercure , ainsi que les autres planètes possèdent un soleil central, que la présence d'un tel Soleil est universelle.
N'est-il pas significatif qu'en commençant par des observations sur Mars, nous avons été en mesure de passer à Vénus, et puis à Mercure, pour appliquer les mêmes critères, et obtenir les mêmes résultats ? Les tests furent l'observation directe ou l'observation photographique. Les résultats en sont, l'apparition invariable d'un soleil central"
Fin de citation des propos de Marshall B. Gardner.
Pour les puristes, qui aiment remonter aux sources, voici les ouvrages publiés par le professeur Proctor au XIX e siècle :
A vous de juger, tout cela, une fois de plus documents à l'appui...
Voyons, maintenant, la page 22 du n° spécial intitulé "Planètes les nouveaux mondes" de la revue "Ciel et Espace" de Oct-Nov-Déc 1989 :
Image ayant une très bonne résolution, mais, bigrement hélas, il y manque justement les régions polaires que nous gardons spécifiquement à l'œil, au bout de ce terminateur.
Cette absence des pôles est ici, si bien marquante et surprenante, que l'on se demande, si elle n'est pas voulue....
D'autre part, nous n'avons pas pu encore retrouver sur Google, la photo (présentant une tache brillante sur le terminteur nord), qu'aurait captée Mariner 10 en 1974, et nous nous contenterons maintenant, de présenter l'image que nous avons trouvée, à l'époque, sur le remarquable site suivant :
Imaginons alors, avec un peu d'audace, ce que pourrait être, le long du terminateur, (avec certes, une luminosité un peu forte), cette tache brillante au Pôle Nord de la planète :
Mais, sur le super site :
, nous venons de découvrir cette image surprenante :
Et en inversant l'image on découvre, ceci qui pourrait expliquer un peu, cette affaire saugrenue :

Mais alors, une fois de plus, nous implorons, avec la plus grande des déférences, l'internaute qui aurait retrouvé une photo de Mariner 10, ressemblant à celle qui précède, de nous en faire SVP, une copie. Assurement cet internaute verra un jour, sa démarche. inscrite dans un musée, consacré aux phénomênes polaires, si souvent, mis en exergue, par le site ARTivision.
Mais il se pourrait aussi, dans d'autres documents, que cette tache lumineuse, ait été purement et simplement escamotée, par la NASA, qui, on le sait, n'a pas hésité très grossièrement, à cacher le Pôle Nord de Jupiter, comme on l'a déjà vu plus haut, et comme, le rappelle, la photo ci-contre...
Mais, ce jour du 23 Avril 2020, avant de poursuivre l'expression de notre 5e focus, il serait peut-être bon de repréciser pour le novice, qui entre pour la première fois, ce site ARTivision, les tenants et les aboutissants ayant présider, à l'initialisation de cet article...
Il nous plait aussi, de révéler à ce novice, qu'ARTivision, est avant tout, une sorte de causerie au coin du feu, comme cela se faisait dans l'Ancien Temps, dans nos campagnes de nos îles, avant l'arrivée de la télévision, et donc il n'y a pas de structuration par thèmes, ni de regroupement d'articles. Tout ce qui va suivre est donc, une sorte de synthèse très réduite , des passages importants, déjà exprimés dans d'autres articles, mais cela est voulu, car parait-il notre subconscient s'accommode parfaitement des répétitions, pour en assimiller les données importantes.
D'autre part, étant donnés, les tiraillements scientifiques, qui s'étalent au grand jour, au sujet du Covid 19 et du confinement de la population, qui en résultent, (un grand hommage doit ceprndant, être accordé aux personnes soignantes très courageuses, qui ont à combattre, ce terrible virus), nous avons jugé bon de repartir
des puissantes révélations, lancées
ces dernier temps, par Mme
Anne GIVAUDAN dans sa vidéo telle que :
vidéo Anne Givaudan.
Mais le site ARTvision, a tout de suite pensé, qu'il fallait dans ce cas remette aussi en exergue une incroyable déclaration, concernant notre planète (Voir plus haut) et déclaration qui est tirée de son ouvrage de 1986 :"Le voyage à Shabhalla", écrit en collaboration avec, Daniel Meurois.
Chacun a donc la possibilité de confirmer ou d'infirmer les démonstrations très pragmatiques du Webmaster d'ARTivision, et démontrations, qui prouvent que cette incroyable déclation de l'ouvrage en question :
, n'est pas du tout, (en employant un terme moderne),
à ranger, dans les "fake News"
C'est ainsi, que les détracteurs habituels, de notre site (nous l'avons déjà vu plus haut), vont être bientôt, en demeure, de nous
expliquer pourquoi, une revue bien connue , à vulgarisation scientifique, a cru devoir admettre, certes implicitement, (comme d'ailleurs l'ensemble de la communauté scientifique contemporaine, actuelle), que l'image suivante de
Mars :
ne pouvait s'expliquer que par
la brillance intrinsèque, de
la calotte glacière du
pôle Mars, sous l'effet de notre généreux
Soleil...
Cinquième focus :
Il va sans dire que,
(compte-tenu, de la masse de données tangibles, que nous avons pu accumuler à ce sujet),
nous, à
ARTivision, nous
pensons
bien sûr, que
dans ce cas, c'est l'explication du livre cité plus haut :
"Le voyage à Shabhalla", qui s'impose
assurément.
Point à la ligne...
A vous de juger donc, cette singulière affaire, documents incontournables, à l'appui...
Avançons alors, ce
jour d'Avril,
maintenant, jusqu'à
Jupiter :
Disons alors ici, que malgré la multitude d'engins spatiaux qui tournent autour de notre planète, il est très rare de tomber sur une photo présentant à la fois les aurores boréales et australes de la planète Terre, comme on en découvre une bien superbe, pour Jupiter
Nous avons aussi pour cette planète les images :
Mais il y a mieux, car
concernant Jupiter, on découvre alors ceci :
Que dire de plus, devant ces images surprenantes, sinon qu'en
Haut Lieu, certains sont vraiment
des fervents inconditionnels et très maladroits, d'un
drôle de "pastillage"
Poursuivons dès lors, nos explorations polaires d'autres planètes, et par exemple voici, pour Saturne, des images qui ne courrent pas les rues banales du Web :
D'ou vient donc ce brillant disque lumineux au pole sud
de cette Planète?
Mais soyons fair play, et présentons ici une version officielle, qui nous a été envoyee, en Février 2005 et qui à l'époque, était visible sur les sites actuellement hors-service :
Découverte d'un point chaud inexpliqué sur Saturne :
Des astronomes ont découvert sur Saturne un phénomène climatique encore inconnu dans le système solaire : il s’agit d’un vortex polaire chaud situé au pôle sud de la planète aux anneaux. Glenn Orton (JPL) et ses collègues ont repéré ce point chaud grâce au télescope terrestre Keck (du Mont Mauna Kea, à Hawaii) et attendent désormais les observations de la sonde Cassini pour mieux comprendre cette curiosité.
Ces travaux sont publiés aujourd'hui dans la revue Science.
Sur Terre, ces vortex se forment dans la stratosphère, au-dessus de l’Arctique et de l’Antarctique. La différence de température entre les hautes et les moyennes latitude crée un courant circumpolaire qui isole les masses d’air froides. En Antarctique ce vortex polaire contribue à la destruction de la couche d’ozone pendant l’hiver. Au pôle nord le vortex envoie de l’air froid sur le nord de l’Amérique.
Que ce soit sur Terre, sur Jupiter, Mars ou Vénus, partout où ils ont été observés ces vortex polaires sont plus froids que l’air environnant. Sauf sur Saturne. Le pôle sud y est déjà particulièrement chaud – il est exposé au Soleil depuis 15 ans. Pourtant, à 30° de latitude du pôle les chercheurs ont repéré un point encore plus chaud.
Il pourrait s’agir d’une concentration de particules absorbant la lumière du Soleil "coincée" dans la stratosphère. Cependant l’explication est insuffisante. Pour comprendre la formation de ce vortex les astronomes attendent le passage de Cassini et l’observation de cette zone par son spectromètre à infrarouge (CIRS) en mars et mai prochains.
Fin de citation
Mais, à son époque, nous pensons que Cassini
, a eu largement le temps de photographier le pôle sud de Saturne et l'image suivante, n'a rien de particulier qui puisse nous émerveiller:
Cassini a-t-il mis, au bon moment, un filtre noir pour ne pas être "aveuglé" par une lumière trop génante, venue du pôle sud de la planète? A vous de juger.>
&
Mais poursuivons maintenant notre analyse du Sciences et Avenir n° 808 de Juin 2014 avec cette image d'Uranus :
Bien sûr, nous aurions préferé, voir cette image plus complète :
Les aurores sont visibles sous la forme de petites tâches blanches / NASA.
tirée du site :
ou mieux encore celle ci, bien plus significative :
En agrandissant un peu, le point lumineux central, en bas de l'image, et en jouant légèrement, sur le contraste, on découvre ceci :

Mais comme ces infos peuvent disparaître un jour comme par enchantement, voici de quoi il s'agit actuellement :
Lundi 16 Avril 2012.
Le télescope Hubble photographie des aurores sur Uranus.
Par Jill Langlois - 16/04/2012.
Hubble, le télescope spatial de la NASA a réussi à prendre de précieux clichés d'un phénomène rare. On peut y apercevoir des aurores polaires sur la surface glacée d’Uranus, à presque 3 milliards de km de la Terre.
Les aurores sont visibles sous la forme de petites tâches blanches / NASA.
Pour la première fois, Hubble, le télescope de la NASA a réussi à photographier des aurores polaires dans l’atmosphère glaciale d’Uranus. Deux tempêtes de courte durée, aussi appelées «les lumières du Nord», ont été capturées par les astronomes, alors qu’ils se focalisaient sur la face éclairée de cette géante gazeuse, en novembre 2011.
Des aurores de quelques minutes.
Uranus, la 7e planète du système solaire est un astre particulièrement étonnant. D’après le site Wired, son «Pôle Nord» est désormais situé à l’équivalent de notre équateur. Cela serait dû à une collision très ancienne avec une protoplanète (un embryon d’étoile), qui en aurait modifié l’axe de rotation. Sur les clichés, ces nouvelles aurores, dont la durée n’excède pas quelques minutes, sont semblables à de petits points blancs. L’équivalent terrestre en revanche, est souvent décrit comme une longue étendue lumineuse bleu vert, pouvant se prolonger de longues heures durant, et dont l’incroyable beauté a inspiré de nombreux mythes.
Des conditions atmosphériques différentes.
"La dernière fois que nous avons eu un signe d’activité auroral sur Uranus, nous renvoie au voyage de la sonde Voyager 2 en 1986 explique Laurent Lamy, astronome à l’Observatoire de Paris, situé à Meudon. "Mais c'est la première fois que l’on peut véritablement voir ces émissions lumineuses depuis la Terre" précise-t-il à National Geographic.
En 1986, les conditions sur Uranus étaient très différentes, lorsque Voyager 2 sonda la planète. Le site Wired signale que les pôles magnétiques d'Uranus étaient balayés par un vent solaire (un vent de particules électriquement chargées, en provenance du Soleil). Cette situation générait des aurores de plus longue durée, mais principalement situées sur la face non éclairée de la planète.
Maintenant qu’Uranus a entamé son équinoxe de printemps, son axe de rotation est désormais perpendiculaire au courant solaire, chargé de particules. Une aubaine pour les astronomes qui pensent tenir la raison de la formation de ces aurores, et ont le loisir de les observer et étudier.
Source:
Jol press
Voir aussi sur futura-sciences
Mais que penser donc de tout cela ?
Rappelons que des aurores boréales sur Uranus avaient été photographiées le 24 janvier 1986, par Voyager 2 lancé le 20 Août 1977 (donc après près de 9 ans de voyage), à une distance de 107 000 km, et l'on découvrit alors l'image déjà vue, plus haut et un peu plus agrandie:
Ne trouvez-vous pas déjà, qu'il est plutôt audacieux, de déduire, que cette si brillante tache lumineuse, n'est que, l'effet du flux ionisant de notre très lointain soleil, sur les particules de l'atmosphère d'Uranus ? Dans ce cas, si notre soleil était vraiment responsable de cette luminosité, elle ne saurait être aussi ponctuelle, et surtout aussi intense, à l'endroit considéré.
En effet, il n'est pas besoin de sortir de l'école Polytechnique pour s'apercevoir que sur les photos précédentes du 16 Nov 2011 et du 29 Nov 2011, on aperçoit une luminosité discoïdale, que voici de nouveau :
vraiment trop ponctuelle, pour qu'elle soit assimilée à un impact de particules venant de notre si lointain Soleil, à moins que ce dernier agisse comme le laser très directif du robot nommé Gort, du célèbre film culte, que nous vénérons grandement : "Le jour où la Terre s'arrêta" , réalisé en 1951, par Robert Wise, et dont voici ci-dessous, la jaquette du DVD sorti en 2003 :
D'ailleurs, voici une autre image calibré d'Uranus, et là nous trouvons alors, 6,8 cm pour le diamètre d'Uranus, et 0,2 cm pour la hauteur du croissant , dépassant le globe de la planète :
Le diamêtre réel d'Uranus, serait dit-on, de 47170 km (d'après "l'Atlas de la conquête de la Lune" de Patrick Moore chez Payot Lauzanne 1969), un calcul élémentaire, donne la hauteur réelle du croissant lumineux : 47170 x 0,2 / 6,8 = 1387,3529... que nous arrondissons, à cause de l'imprécision de nos mesures, à 1400 km. La France entière, aurait été noyée et couverte par cette lumière très brillante et en relief, et nous dit-on, éphèmère, qui est produite par notre Soleil, à près de 3 milliards de km de lui.
A bon entendeur salut...
Et pour Neptune, on tombe à la renverse :
Comme serait un spectacle éblouissant, si aux antipodes, on pouvait alors voir, ce qui s'y passait, n'est-ce pas !
Nous avons aussi, de la part de notre amie Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), ce panorama neptunien, venant de l'observatoire Keck d'Hawaii :
En effet, on sait par exemple que , douze ans après son lancement
(le 20 Août 1977),
la sonde américaine Voyager -2
après avoir survolé, Jupiter,
Saturne, Uranus arrive le
25 Août 1989 en vue de
Neptune à plus de 4 milliard de km de la Terre et prend parait-il près
de 8000 photos
de la planète et de son satellite Triton.
Neptune qui
avec ses 144990 km
de diamètre (3,53
fois celui de la Terre), ses -200 ° C de température
moyenne, et son atmosphère constituée principalement de méthane
apparaît alors d'un bleu chatoyant, mais surtout, avec ce que personne
n'attendait, et que faute de mieux l'on a qualifié parfois de "petit
nuage blanc", un
gigantesque "Oeil très
lumineux intérieurement"
possédant une "frange
ovale rouge" extérieure,
caractéristique d'une sorte de diffraction
spectrale étonnante. Cet
"œil fantastique" a-t-il pu
correspondre autrefois, à un pôle de la planète qui aurait peut-être basculé sur son axe après un cataclyme ? Seul un spécialiste pourrait nous le dire. Toujours est-il, que nous sommes restés totalement muets, devant cet étrange phénomène qui a dû troubler plus d'un observateur curieux.
Nous attendons, avec ferveur, Messieurs les irréductibles détracteurs, vos brillantes suggestions, et nous espérons qu'il en sera de même pour ces Messieurs les journalistes blasés, toujours avides de scoops atypiques, et autres consorts astronomes et cosmologistes officiels, bien engoncés dans vos cocons feutrés, du Système des Nations actuelles, et système qui cache des vérités inouies au commun de mortels, pour de vulgaires raisons d'hégémonies, politiques, culturelles, économiques et surtout militaires ... Mais, nous l'esperons vivement, que, la situation mondiale actuelle, remettra bénéfiquement, les compteurs à zéro.
Terninons par un bref aperçu, du très lointain Pluton :
En effet, nous avons eu, le 27 Nov.2019 au soir, l'opportunité, de visualiser à la télé, le documentaire à prétention scientifique suivant :
On y montrait, les pérégrinations de la sonde NEW HORIZONS, avant l'arrivée sur Pluton , la "planète solaire", (déclassée depuis lors, et donc on découvre ici, que des choses très évidentes sont, un jour ou l'autre délaissées ), astre, qui dit-on parfois, est le plus éloigné de notre
Soleil.
Chacun se disait alors que Pluton, était un monde givré et horiblement glacé., car étant donné son éloignement du Soleil, ( à en moyenne 5,9 milliards de km), avec des températures bien en dessous de - 200° C. La sonde spatiale New Horizons, lancée en janvier 2006 par la NASA, fut la première sonde à visiter Pluton..Elle frolera cet astre le 14 juillet 2015, à une distance minimale de 11 095 km , après un voyage de 6,4 milliards de kilomètres.
Sur le site :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pluton, on découvre les principales caractéristiques de l'astre :
L'image du haut montre en, bas à gauche une portion très sombre et surprenante, pour un astre gélé à mort.
Mais de nombreux sites dont :
ont par la suite, montré des vues (sans doute retouchées à certains endroits, car on n'y voit pas comme pour Titan, les vortex lumineux polaires), d'une courte vidéo de 1'35'' de la NASA, où l'on voit des images très insolites, par rapport à celles que l'on attendait, comme par exemple, celles-ci avec très peu de givre et de neige :
Pluton, ayant une épaisse atmosphère, voir plus haut, entre 200 et 800 km (celle de la Terre est à peine de 100 km), ce n'est vraiment pas là, un paysage noyé de matières glacières, et de neige à profusion.
Mais, il y a aussi cette image surprenante :
Bien que là, on voit un paysage à peine neigeux (le bord des cratères n'est pas du tout blanc), on aperçoit au-dessus, une sorte de crique à gradins, ayant de nombreux angles droits, reliés à des formes géométriques très caractérisées :
Avec les puissants moyens informatiques qui existent actuellement, ce cratère aurait dû déjà être présenté, en 3D afin que l'on en découvre tous les petits coins bizarres.
On voit alors, une fois de plus, que les mots et spécimens photographiques, qui nous sont avancés par la NASA, depuis des lustres,
sont très sujets à caution, et sont désormais, remis en cause, par de très nombreux sites...
Pour comprendre cette affaire de paysage non glacé sur Pluton, Il faut en déduire que la température, y est beaucoup plus élevée et finalement, il faut en revenir, aux déclarations hors normes, d'une part, du
Maître Pomar, et d'autre part, des spationautes non officiels Howard Menger et George Adamski, dont vous trouverez certaines déclinaisons, à notre article :
Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que pour Pluton, aucune lumières polaires ou encore taches aurorales ( comme on le précise, si bien pour
Uranus, plus haut , dans le Sciences et Avenir n° 808 de Juin 2014), ne sont mentionnés ici.
Point à la ligne ...
Mais ce jour, ajoutons un petit plus, pour les novices qui veulent vraiment sortir psychiquement, des sentiers battus, du confinement général actuel, dû au méchant covid 19 :
Il s'agit alors d'une info capitale, reçue en Mars 2007, qui concerne Encelade, l'une des lunes de Saturne, et, nous vous la transmettons ci-dessous :
----- Original Message -----
From : Philippe B......
To : fred.idylle@wanadoo.fr
Sent:Tuesday , March 13, 2007 9:21 AM
>
Subject : Un petit plus pour Byrdsuite.html
Bonjour Fred.
A propos d'Encelade (source : http://planet-terre.ens-lyon.fr)
Merci pour ce site passionnant, qu'est ARTivision !
Vives cordialités..
Philippe D.......
Fin de citation.
Vous avez donc bien lu, nous l'espérons, la conclusion de cet étrange entrefilé du site en question :
" Il y a donc une autre source de chaleur, que le soleil près du Pôle Sud "
Que ceux, compte-tenu de ce nouveau fait, qui refusent encore la théorie des planètes creuses avec un soleil central, s'évertuent désormais, à en élaborer une nouvelle plus significative et si possible non fantaisiste, et nous seront alors heureux d'en présenter ici, le concept. A bon entendeur salut ...
A vous de juger, désormais, tout cela, en connaissance de cause... documents à l'appui.
Mais ce 25 Avril 2020, nous allons aborder notre 6e focus, où notre grand écrivain Jules Verne, va entrer en piste, et nous demandons aimablement alors au novice en confinement actuel (de passage très accidentel sur ce site), de bien vouloir s'accrocher aux murs de votre environnement, car à l'altitude, où nous allons évoluer, il risque pour lui, d'y avoir de très fortes turbulences :
Sixième focus :
En ces temps de réflexion culturel planètaire, disons à nouveau ici
que les Maîtres, qui vivent très longtemps, interviennent depuis des lustres dans les affaires humaines,
comme de plus l'illustre, le célèbre film
"Retour sur Terre"de Star Trek 4, de 1987 :
Ceux qui ont eu
le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de
l'Enterprise, un vaisseau spatial du XXIIIe siècle,
remonte le temps et débarque sur Terre en plein milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines menacées ...
Une fois de plus, le site ARTivision, peut dire
ici, que :
"la réalité surclasse souvent, de très loin, la
fiction"
,et ce qui suit, va vite, vous le démontrer...
En effet, avançons un peu plus, vers le stade crucial de notre plongée, dans la Théorie si bien occultée de la Terre creuse, et pour cela, nous allons rejoindre, une fois de plus notre maître français du fantastique : Jules Verne, ce qui va encore faire grincer les molaires des bien-pensants académiques, qui n'ont jamais su (on va vite voir pourquoi ci-dessous), que ce
Jules Verne,
(ésotériquement parlant) , était
un initié contacté par les Maitres, dits ascensionnés...
Voyez donc ainsi, en passant, cet ouvrage de Michel Lamy republié chez Payot, en Février 1999 .
Cet ouvrage pourtant, dans le vif du sujet, ne semble pas avoir relevé l'incompable détail que nous allons souligner ci-dessous, et pour cela, reprenons volontairement ce passage déjà vu, dans de nombreux articles très sensibles, où l'on nous donne, le nom ancien de note planète :Urantia
Gaïa , et passage qui nous vient du collectif Soria, formé, on le sait, de 4520 entités cosmiques :
"L'intérieur de votre Terre est creux ;
un Soleil y réside,
permettant la vie comme sur
la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités
physiques d'Urantia
Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines
peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous Ainsi parmi les survols d'ovnis, quelques-uns
sont imputables aux
intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère
d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre
évolution. Il n'est pas rare que les
scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres,
les aidant même en laissant des formules dans la
matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société,
contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d'ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la
Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour
réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point
de rencontre conscient entre eux et vous. Seule
votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre
chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les
habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle
éventualité. Votre conscience sera touchée par
des informations révélant autant la vie stellaire que la vie
intraterrestre. Il est même possible que certaines portes
d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils
puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et
prophète Jules Verne, vous a
préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous
pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos
tendances à vous accrocher aux lois
actuelles. ".
Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria
Edition Ariane Mars
2002.
Mais,
si vous savez lire entre les lignes, de
l 'extrordinaire texte précédent, on peut imaginer alors que
notre incomparable
Jules Verne, et
sans doute d'autres écrivains bien choisis, ont été
contactés, en leur
temps, soit par
télépathie... soit directement par
des missionnaires spéciaux de la Terre intérieure, pour préparer
l'arrivée des découvertes extraordinaires, mises en relief actuellement sur le Web , et bien sûr decouvetes faites souvent
en exclusivité (avec ses très faibles moyens), par le site
ARTivision.
On pourrait en effet, écrire un ouvrage en entier, uniquement sur le passage en question
( avis aux journalistes, aux éditorialistes et autres amateurs psychologues et philosophes des mystères de ce monde)....
Nous allons donc plus bas, donner en
surbrillance,
la phrase clef de
Jules Verne,
que l'on ne discute jamais dans nos écoles et universités, et phrase publiée, dès
1866, au moins, dans son ouvrage intitulé
"Voyages et aventures du capitaine Hatteras".
Voici donc d'abord
deux scannérisations , d'une réimpression moderne de cet ouvrage :
, où
on le voit , est bien il est précisé, ceci au
Tome 2,
la phrase suivante, qui fait vraiment TILT dans l'ouvrage précédent :

Comme on le voit donc, tout cela est dit par Jules Verne,
clairement, nettement, et sans bavure...
On voit là aussi, que Jules Verne, ignorait l'affaire du Soleil central qui provoquait les auroles boréales, qu'il mentionne si bien ci-dessus ...
Voici en effet, comment Jules Verne parle de la lumière spéciale (assurément pour lui, d'origine électrique), qu'il a découverte au centre de la Terre, qu'il décrit au chapitre XXIII, dans son célèbre ouvrage de 1864 "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" :
Donc il est clair, pour Jules Verne, qu'il ne peut s'agir de la lumière d'un Soleil interne, mais d'une lueur "triste et souverainement mélancolique".
Alors Messieurs les puristes, il ne vous reste, qu'à trouver où sont stockées les notes personnelles, grifonnées par Jules Verne, parallèlement, à l'écriture de ses romans, afin de déterminer si possible, d'où il a pu tirer cette incroyable information. Bien sûr, le Webmaster d' ARTivision, a contacté à ce sujet, la Mairie de Nantes (où existe un musée Jules Verne), en passant par cette adresse : musee-julesverne@mairie-nantes.fr, et nous avons reçu, une réponse détaillée, concernant ces archives, Avis donc aux amateurs...
Cependant disons aussi que Jules Verne, aurait pu s'inspirer des travaux du précurseur nommé Sir John Leslie (1766-1832), qui lui imagina bien plus, puisqu'il parle lui, de deux soleils, nommés : Pluto et Proserpina, situés à l'intérieur de la Terre. Voir sur le site de l'époque :
le passage : " a Scottish physicist and mathematician, proposed that the earth had a hollow interior containing two suns "Pluto and Proserpina" ."
Cependant chez Jules Verne, ces deux soleils, sont devenus deux planètes :
" puis,
dans la sphère creuse, on imagina l’existence de deux planètes, Pluton et
Proserpine, et un air lumineux par suite de la forte pression qu’il éprouvait. "
Ceci est tiré de l'ouvrage tome 2, de 1866, de Jules Verne " Voyages et aventures du capitaine Hatteras".
Comment les deux "soleils" de Leslie, ont pu devenir "deux
planètes" chez Jules
Verne ? Aux historiens curieux de répondre.
D'ailleurs les internautes qui ont le privilège d'écrire aisément l'anglais, pourraient contacter le Webmaster du site précédent pour en savoir plus, et par exemple essayer de découvrir dans quel livre de John Leslie, apparaît cette extraordinaire affaire de deux soleils présents à l'intérieur de la Terre. Voilà déjà ici une avancée, très utile qui pourrait être réalisée dans cette affaire saugrenue.
Tout cela serait de la pure Science Fiction si le site ARTivision (On ne parlait pas du tout de "Fake News" et d'images bidonnées à l'époque ), si le Vendredi
13 Février 2004, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami
Jean RESTAYN du Canada, grand germaniste, ne nouus avait pas envoye,
(Cela fait déjà 16 ans en 2020),
l'importanrte missive suivante, dont nous vous donnons, que la fin...
(Les couleurs sont de nous, bien sûr) :
.............................................................................................................................................................................................
Rappelons ici que <Mihkaël Omraam Aïvanhof dans ses nombreuses conférences parle aussi de la Terre creuse, et du Roi du monde vivant en son centre. Il s' agit selon lui d' une synarchie. On pourrait la contacter par télépathie.
J'espère, cher Fred que vous pourrez présenter le cliché envoyé par mes soins, montrant le si beau trou du pôle nord.. Je n'en ai jamais vu d' aussi belle, n'en privez pas vos lecteurs. Elle est issue du site allemand :
Amitiés
Jean
Et, avec quelques unes de
nos explications, cette incroyable image devient :
Après quelques recherches, nous avons appris, il y a déjà quelque temps, que cette photo aurait été captée par
un spécialiste informatique
d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque,
au
Centre Spatial de
Garchlingen ( Bayern )
et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Le site qui présentait à l'époque
cette incroyable photo n'est plus fonctionnel . Seuls
des spécialistes très qualifiés (Voir plus bas la très remarquable déclaration de l'un d'eux) pourront nous dire, si, à l'époque
(autour de 2003) un détraque d'Hurluberlu
pouvait s'amuser à sortir sur le Web une telle image trafiquée et surtout pour quelle raison?.
Quelques années plus tard, nous avons aussi par
un heureux hasard, réussi à mettre la main, sur cette autre
étonnante photo :
Notre ami de longue date,
Frédéric, nous explique que cette photo est extraite de la vidéo plutôt ancienne qui n'est plus opérationnelle.
(Merci mille fois à l'internaute beni, qui en retrouvera le nouvel URL )
On voit donc que c
ette superbe image, est exactement la même que celle déjà vue plus haut mais elle a été redressée.
Cette inclinaison, s'expliquerait, par
les schéma suivants :
Où l'on voit alors, que le disque représentant
le vortex polaire en question,
ne se juxtapose pas juste au-dessus du
Pôle Nord.
Mais maintenant,
étant donnée son importance, reprenons ici, l'image de
2004, de l'ami
Jean RESTAYN du Canada :
L'image ci-dessus a été bien sûr,
étudiée en long et en large par un aimable infographiste canadien très qualifié, (qui a fait de plus, cette étude gratuitement), et qui en a déduit que
ses caractéristiques étaient déjà pour l'époque exceptionnelles.
Voici donc ici,
une partie, de
la conclusion de cet aimable
infographiste.
"Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement
régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son
intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points
immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.
Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul
de diffraction associé à un nuage de particules fines, peut donner ce
résultat en synthèse.
Mais vu la finesse des
détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes . De
plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à
créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge
aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra
parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement
sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont
beaucoup plus mêlées et diffuses...".
Fin de citation.
Si cela
s'averrait exact, nous serions là, en
présence d'un document
exceptionnel et inestimable.
Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules, qui fleurissent en ce moment, et photo, que le site ARTivision, fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès 2004, et que voici, à nouveau : .
, et photo qui se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir
sur blanc , (respectivement pages 16 et 52), et le 3e, bien plus agréable, à voir en couleur ( page 23).
Pour avoir eu l'audace de publier cette photo, ces opuscules ont dû, très certainement, tirer partie de l'analyse précédente de notre infographiste, mais, ils évitent soigneusement de le dire, et surtout de parler d' ARTivision.
A vous de juger donc, Messieurs les bien-pensants blasés, qui refusent de croire, à cette affaire d'ouvertures polaires, et à tout ce qui précède qui assurément, vous chiffonne, tant soit peu.
Mais cependant, il vous faut aussi savoir que le plus dur à croire, est encore à venir ...
Mais ce 27 Avril 2020, nous allons devoir aborder notre 7e focus, d'où sortira une autre preuve irréfragable et incontournable de cette affaire de vortex polaires, que l'on cache depuis des lustres, en très Haut Lieu, à l'Humanité entière, pour de stupides raisons de doctrines culturelles, religieuses et millitaires dépassées, et la situation actuelle, (nous l'espérons vivement), va déboucher, sur réinitialisation radicale, des compteurs de cette planète, qui part à vau-l'eau...
Rappelons en passant, que pour de navrantes et désuettes notions économiques et assurément militaires les deux dernières guerres mondiales, ont décimé près de 100 millions d'individus, (sans compter les blessés et les estropiés décédés rapidement plus tard), et que le Covid 19 est heureusement, encore bien loin d'arriver à cette horrible performance.
Le site ARTIvision, afirme dans ses articles, que notre civilisation peut parfaitement disparaitre de la surface de cette Terre, et que cela est déjà arrivé plusieurs fois, au cours des millénaires passés...(et nous avons, bien sûr, de nombreux documents qui le prouvent ).
Mais, le petit virus Covid 19, nous offre actuellement, la raison majeure d'unir cette Humanité, et d'en finir une fois pour toutes avec ces guerres dérisoires et calamiteuses, (toujours au profit des marchands de canons et des cupides profiteurs de cette société), qui la déchirent depuis des siècles. Point à la ligne...
Quant à ces hurluberlus décérébrés, de jihadistes radicalisés ou pas, ou les consorts anarchistes révolutionnaires, qui tuent leurs frères innocents, sur cette planète admirable, comme ceux, dont on parle dans les entrefilets déjà bien connus, suivants :
leurs disciples ( car souvent, ils sont
eux-mêmes, déjà dans un monde parallèle) n'auront pas bientôt, assez d'yeux et de larmes, pour pleurer leurs dérisoires méfaits, quand ils apprendront sous peu, qu'ils ne sont que des 3 m (minus, minables, misérables), sur cette planète, qui est bien entrain de remettre, les compteurs à zéro.
Septième focus :
Il est évident que les journalistes blasés et zététiques, toujours avides de scoops atypiques, et autres consorts astronomes et cosmologistes officiels, bien engoncés dans leurs cocons feutrés, qui pratiquent ouvertement cette attitude bien connue :
ce qui suit ne manquera pas assurément de provoquer chez eux, des grincements stridents de molaires , et nous allons vite ici, leur imposer l'adage très significatif :
" C'est au pied du mur, que l'on découvre le vrai maçon "
En effet, il est facile de vérifier, que les protagonistes médiatiques cités plus haut, n'ont pas trouvé un seul petit plateau de télé, pour lancer une franche discussion, sur cette image incroyable d'Encelade (déja présentée largement plus haut) telle que :

Si vous savez lire entre les lignes, les scientifiques avouent, là, qu'ils ne comprennent pas pourquoi, la température du Pôle Sud, d'Encelade est anormalement élevée. S'ils avaient fouillé, dans les recits des expéditions polaires au nord de la Terre, ils seraient vite dédouanés à ce sujet, car en effet, dans de très noubreux articles, de notre site, on peut lire, ce qui suit :
Passage tiré du livre remarquable, du grand explorateur polaire américain Elisha KANE 1857 :
Et pour les puristes, voici en anglais, le paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de
cet étrange paragraphe:
" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des
observateurs de l'époque, devant ce phénomène
hors-norme de la mer libre du pôle, et dont nous parlerons utérieurement
Venons en maintenant à notre 7e focus, qui est, on va le voir tout à fait, époustouflant, et nous attendrons sans doute, en ces temps de confinement général très salutaire,encore bien longtemps à ce sujet, les commentaires judicieux et réalistes, des cosmologistes officiels (Astronomes Astrophysiciens Directeurs et journalistes de revues se consacrant à l'étude des choses de l'Espace et du Cosmos, mais aussi les ecclésiastiques de tout gabarit (prêtres, évêques, pasteurs, mollahs, grands rabbins, chefs bouddhistes... etc.. et même les savants hébraïques orhodoxes actuels...).
Mais Le Temps des Révélations, est bien arrivé et s'ils se taisent encore, on ne pourra plus écouter, leurs beaux discours.
C'est le 09/09/05, que nous avons eu le grand privilège, de recevoir de l'ami Claudisa....le message suivant :
----- Original Message -----
From: Claudisa..
To: Fred Idylle
Sent : Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: Nouvelobs.com quotidien temps réel vous informe...
Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!
La vraie nature de Cérès
Lire : http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20050909.OBS8748/la-vraie-nature-de-ceres.html
Amitiés
Claudisa
Bien sûr, nous avons remercié à l'époque l'ami Claude pour sa si extraordinaire information.
Voici alors ce que l'on pouvait voir à l'epoque sur l'URL cité :
© Le Nouvel Observateur
La vraie nature de Cérès
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
L’astéroïde Cérès, le plus
gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars
et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du
même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de
continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu
une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet
homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine
dans la revue Nature.
De nouvelles observations menées en
décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès
est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une
force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de
la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses
collègues.
Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur
rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines
lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus
définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue
pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de
Cérès en 2015.
Cécile Dumas
(09/09/05)
;Fin de citation.
Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante , qui éclabousse Cérès Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire
Mais, le même jour on découvrait ausei sur le site :
, alors ceci :
où, chose très surprenante, on ne voit aucune photo de Cérès, cette fois-ci . Il était donc préférable en effet de ne pas montrer la photo troublante, dont on avait aucune explication connue, à présenter, concernant le disque lumineux
éblouissant et surtout très embarrassant... A vous donc de juger cette distortion stupefiante.
Mais, à la même époque, il y a eu aussi, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 Septembre 2005 :
Vous voyez que là, au moins, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes disent qu'ils n'ont pour l'instant aucune explication à proposer, au sujet de cette tache blanche très lumineuse, qui apparaît sur les photos....
Plus tard, le 22/11/05, nous avons eu le privilège de rentrer en possession du "Ciel&espace" n°426 de Novembre 2005, où, nous y avons trouvé l'entrefilet suivant :
Donc, nous découvrons ici, que contrairement à l'entrefilet du "Nouvel Observateur" en date du 09/09/05, sous le plume de Cécile Dumas, où nulle part, il n'est fait état de cette éclatante lumière, visible sur chacune des 4 photos présentées,(sans doute ces gens-là portaient-ils des lunettes ayant un fort pouvoir obscurcissant), ici, on reconnaît même, que cette
tache claire (notez bien l'adjectif "claire", qui banalise l'affaire et s'oppose à notre expression "éclatante lumière"), est si nette, qu'elle a permis de mesurer la période de rotation de Céres sur lui-même, soit de 9 heures.
Dans l'entrefilet ci-dessus, cette tache "claire" serait peut-être due à un cratère d'impact, sans toute dans une couche de terrain fait de matériaux calcaires (style albâtre gypseux), qui justifierait cette blancheur notoire. Pourquoi pas ! A moins que l'on découvre aux antipodes de ce cratère, un frère jumeau d'une blancheur analogue. Dans ce cas, cette hypothèse relative à un cratère d'impact, serait plutôt sujette à caution, n'est-ce pas ? Hubble détient, sans doute, la clef de ce mystère.
En conclusion, dans ces deux entrefilets cités, voilà deux poids variables et deux mesures bien différentes, pour le même phénomène, qu'Hubble a eu la grande ingéniosité de nous dévoiler, au grand désarroi (on le sent bien), des spécialistes de l'espace, dont il est question plus haut, et qui ont souhaité s'exprimer sur cette affaire.
A vous de juger tout cela ...
Nous avons alors, en début d'Octobre 2005 pousser l'audace, jusqu'à demander par l'intermediaire de Mme Régine Françoise Fauze, qui channellise Le collectif Soria, formé, on le sait, de 4520 entités cosmiques , de nous en dire plus sur l'affaire, et le 13/10/05, nous avons été comblé par le fait, de recevoir ces fantastiques mots :
" Quand la Science vient confirmer la vision transcendante de certains médiums... Nous vous apprenons très particulièrement que le noyau solaire de Cérès est de 71,300Km, et il y aura d'autres découvertes...Donc affaire à suivre..."
Nous avons évidemment imméditement fait un petit calcul, qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès, et de celui de la Terre de 12760 km. Donc toute proportion gardée, s'il elle existe, le diamètre du soleil intérieur de notre planète Terre, serait donné par l'expression : d = ( 960 x 930) / 12760 km = 947, 69583...km et pour simplifier, nous arrondissons alors à 950 km, ce qui est bizarrement très voisin du nombre de 960 km, avancé en 1920, par Marschall B.Gardner auteur de l'ouvrage (déjà présenté plus haut) :
D'abord en anglais et en milles :
Puis en français tiré du livre, quasiment introuvable, et très cher :
Et en km, on a alors :
Mais pour certifier tout cela, il faudrait d'abord pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès, et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.
Donc, dans cette affaire extraordinaire de Cérès, nous voyons que, dans ces entrefilets la question de la lumière étrange, apparaissant à la surface de cet astéroïde :
, a embarrassé assurément certains observateurs, qui ont préfèré, comme dans le premier cas cité, plus haut, pour éviter d'expliquer tant soit peu, la présence de ce disque lumineux qui, carrément, nous éblouit et nous subjugue...
A vous de juger cette affaire, documents à l'appui..., et affaire qui prouve bien que cette histoire de planètes creuses, avec un soleil central, est très dure, même actuellement, à encaisser, et on fait tout pour éviter d'en parler.
Mais concernant Cérès, il y a eu ces derniers temps, du nouveau, que nous tirons du site :
Voyez vous-même cela ;
Selon le chercheur Christopher Russell : "Les scientifiques de Dawn peuvent maintenant conclure, que la luminosité intense de ces zones est due à la réflexion de la lumière solaire par un matériau hautement réfléchissant sur la surface, éventuellement de la glace."
"Il reste maintenant à confirmer qu’il s’agit bien de glace", dira ce chercheur...
De la glace, sur ce corps céleste aride sans atmosphère, et ni eau, ni air ? Et bien sûr, on nous dira, que cette glace, viendrait d'une comète...
Mais, ARTivision,
se tord de rire, à cette explication, car ces lumières possèdent une configuration ayant de nombreux angles droits, qui en aucune façon ne sauraient être, l'effet du hasard...
Mais il y a mieux : On a repéré "une sorte de pyramide", sur le sol, pourtant désertique, de Cérès, et les mêmes scientifiques diront, vite fait, qu'il s'agit d'un monticule tout à fait naturel:
Nous attendrons sans doute longtemps encore, avant que, les cosmologistes et consorts assimilés, nous donnent une seule petite explication orthodoxe des phénomènes étant à l'origine des configurations des structures précédentes bien étranges. N'est-ce-pas !! .
Nous pourrions, (et nous l'avons déjà fait, dans de nombreux autres articles), présenter ici, beaucoup d'autres structures insolites, découvertes sur d'autres astéroïdes, (Comme les structures très insolites découvertes sur Éros, dont voici une :
qui nous subjugue énormément), et cela prouve de manière incontournable,
l'expression d'une vie assurément intelligente venant des ALIENS, qui patrouillent depuis des lustres, dans notre Système Solaire , et cette présence d'ALIENS, a été occultée systématiquenent, au commun des mortels, (mais rassurez-vous, les hauts dirigeants eux, sont parfaitement au courant).
Mais, ce 30 Avril 2020, avant de poursuivre notre exploration des mystères cosmiques essentiels, bien occultés par les magouilleurs de très haut niveau, et compte tenu du côté mystico-rationaliste, (déjà expliqué lus haut) de la plate-forme ARTivision, rendons hommage ici, une fois de plus, à toutes les opératrices et opérateurs médico-sanitaires, d'un grand courage, qui nous aident à combattre, ce terrible virus Covid 19 , et dont l'action est stipulée ouvertement, ce jour, par le Grand Maître de Findhorn :
En effet, ceux qui croyaient devoir tromper indûment et éternellement leurs semblables, doivent savoir aussi qu'il existe une Loi Cosmique, à laquelle, on ne peut échapper, et que, des entités de haut niveau semblent vouloir mettre en exergue, ces temps-ci. Les paroles qui suivent correspondent en effet, tout à fait à la situation mondiale actuelle, et paroles qui, de plus, s'articulent parfaitement avec les principes d'ARTivison, mis en avant sur le Web, dès Janvier 1997 :
Donner est une joie immense.
Au fur et à mesure que tu apprends à donner
et à offrir de tout ton cœur, tes dons et tes talents
(tout le monde en a de multiples, et ils fonctionnent tous à des niveaux différents),
tu grandis en stature et en grâce.
Si tu as une nature heureuse, gaie, qui rayonne où que tu sois,
cela te sera retourné mille fois plus, car tout le monde répond à une nature gaie.
Souviens-toi toujours:
"tu récolteras selon ce que tu as semé".
Si tu sèmes la critique, l'intolérance, la déloyauté et la négativité,
tu les récolteras aussi, car tu les attires à toi.
Pourquoi ne pas commencer dès maintenant à semer
des graines de joie, de bonheur, d'amour, de tendresse et de compréhension,
et voir ce que cela te procurera ?
Ton regard sur la vie changera,
et tu verras que tu attires vers toi le meilleur de la vie.
La joie que tu donnes sera reflétée par toutes les âmes autour de toi,
car tout le monde aime quelqu'un qui donne joyeusement et y répond !
La petite voix :
Eileen Caddy. Le
Souffle d'or(1994).
Méditation pour le 30
Avril,après adaptation d'ARTivision.
Pour bien comprendre, ce texte du Grand Maître de Findhorn, il faut savoir que dans d'autres méditations, il affirme que l'âme humaine, expérimente, par nécessité, plusieurs vies sur Terre, pour forger son devenir (comme l'affirmaient aussi, environ 30 années plus tôt, les spationautes non officiels George ADAMSKI et Howard MENGER, si souvent évoqués dans d'autres articles de notre site).
Certains bien-pensants, fervents d'un certain agnosticisme académique, et plutôt adeptes de la technologie moderne la plus débridée, et du principe bien commercial "Ôtes-toi de là, que je m'y mette", vont se tordre de rire, à la lecture de cette méditation, mais ce qu'ils ignorent c'est que le site ARTivision, a dans ses dossiers, de très nombreuses données, qui pourraient les mettre au pied du mur, et briser ainsi, cet égo démesuré, qui les caractérise, si ces temps-ci, l'épisode du virus Covid 19, n' arrivait pas à changer leur psychisme délirant.
Revenons maintenant, à cette affaire incoyable de la mer libre de glace en pleine banquise polaire nord, si bien mise, plus haut plus haut, en exergue plus,en 1857, par l'ouvrage remarquable, du grand explorateur polaire américain Elisha KANE, et prenons alors, un un très lourd marteau, pour enfoncer davantage le clou, de cette affaire très occultée en Haut Lieu, en faisant cette fois état, d'un fait extraordinaire contemporain, qui nous a été rapporté, dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute...
Remarque : Le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive, ne fonctionne plus, mais nous avons retrouvé, le texte en question, à l'url :
Pour le 19 Mars 2003 à (on peut aussi retrouver ce texrte, à d'autres dates):
En effet, c'est le 18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les
couleurs et la police des caractères, sont de nous, évidemment) :
----- Original
Message -----
From : V... T...
To: Fred IDYLLE
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
Bonjour Fred
J'ai trouvé sur le site : http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
v.........t
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.

Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Philippe
Gauthier
|
Mais, nous avons fait chou blanc, en tentant de joindre les protagonistes de ce super-communiqué, et nous gardons les missives en question, à la disposition des puristes passionnés...
Voilà donc, un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante, ce communiqué n'a pas eu, à notre connaissance, un seul petit écho favorable, dans le contexte des télévisions, ayant pignon sur rue... (voir cependant plus bas, une revue célèbre qui en parle succinctement, mais pas un
seul film, n'a été montré à la télé), alors que "l'expédition touristique", en question avait certainement des caméras, à sa disposition n'est-ce pas !!! . Devinez alors pourquoi, une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe...
Ce communiqué montre bien, aussi, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, il ne dit pas autre chose, sur "La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain, Isaac Israël Hayes :
Cet ouvrage extraordinaire, a été publié en 1868, en France par l'éditeur Hachette, sous le titre "LA MER LIBRE DU PôLE" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Et, nous voilà donc, en plein milieu, de cette affaire de La mer libre du Pôle Nord, niée actuellement par nos universités, mais longuement évoquée, par de très nombreux explorateurs des régions polaires, et aussi des chercheurs passionnés, sur la géographie polaire, comme les nommés : Le Dr Elisha Kent Kane, le Dr Isaac Israël Hayes, le Comte de Buffon, Daines Barrington, Boiteau, J-p Bellot, Nansen, Greely, Hall, Edward Parry, Ingleflied, Jules Verne, Jules Gay, De Wrangell, etc...
Mais, rappelons aussi, à toutes fins utiles, que le Webmaster, de la plate-forme ARTivision, a constaté avec surprise, que rien ne se faisait par hasard, sur ce
site, (libre à vous de démontrer, que c'est par, pur hasard, que nous avons découvert, dans la petite île de la Guadeloupe, un jour de 1983, dans une vieille malle, à 600 m de chez nous, -- voir cette incroyable affaire à :Tonton -- l'ouvrage condensé, de I.I. Hayes de 1877 suivant) :
Mais pour mieux saisir, cette incroyable affaire, voici ce jour, le résumé des propos d' Isaac Israël Hayes, à son arrivée devant cette mer libre de glace au Pôle Nord :
On trouve alors ceci, aux pages 188 à 189 , de ce super ouvrage :
" Tout le démontrait : j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation.
Cet admirable laïus, n'a hélas, pas du tout plu, à certain explorateur français, Paul -Emile Victor (1907-1995), et nous parlerons de cela une prochaine fois.
Tout ce qui est raconté ci-dessus, est superbement rassemblé, dans une gravure, montrant ce fantastique paysage, qui, à juste titre, a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici donc cette gravure sublime, représentant en page 190 bis, cette surprenante Mer libre du Pôle :
Il nous reste cependant, à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne les oiseaux, dont nous parlerons plus bas.
Et en couleur c'est mieux, grâce à la une petite contribution de notre ami Christian C....... qui réalise d'amirables aquarelles (Aquarelle et
voyage):
Mais tout cela aurait pu être classé dans le domaine de la Science-Fiction, s'il n'y avait pas eu auparavant, (le texte qui suit, déjà présenté plus haut, qui s'interroge au sujet de la mer libre en question), du très grand explorateur, le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et un explorateur polaire du 19 e siècle.
Reprenons, étant donnée son importance, la traduction, déjà vue plus haut, de cet étrange paragraphe :
"Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des
observateurs de l'époque, devant ce phénomène
hors-norme de la mer libre du pôle.
Mais, pour les puristes, qui aiment remonter aux sources d'une affaire, voici encore un autre document très significatif à cet égard, et venant du " The New York Times" du 21 Octobre 1871 :
Donc, juste au début, on découvre que : " le 20 Octobre .- Des rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines"....
Tous ces gens qui affirment l'existence, d'une mer libre de glace au Pôle Nord, ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale...
Disons aussi, que notre grand maître du fantastique Jules Verne, était parfaitement au courant de cette affaire de la mer libre au pôle nord, que nous cachent si bien, nos gouvernements.
En effet, c'est l'aimable l'internaute, Renaud F......, qui nous fait découvrir que Jules Verne, parle clairement de "la Mer libre du Pole" , au chapitre 7, dans son roman : " Le pays des fourrures" , en ces termes :
" - Croyez-vous, monsieur Hobson, demanda Mrs. Paulina Barnett, que l'homme puisse jamais atteindre le pôle même ?
- Sans aucun doute, madame, répondit Jasper Hobson, l'homme, - ou la femme, ajouta-t-il en souriant. Cependant, il me semble que les moyens employés jusqu'ici par les navigateurs afin de s'élever jusqu'à ce point, auquel se croisent tous les méridiens du globe, doivent être absolument modifiés. On parle de la mer libre que quelques observateurs auraient entrevue. Mais cette mer, dégagée de glaces, si elle existe toutefois, est difficile à atteindre, et nul ne peut assurer, avec preuves à l'appui, qu'elle s'étende jusqu'au pôle. Je pense, d'ailleurs, que la mer libre créerait plutôt une difficulté qu'une facilité aux explorateurs."
Comme vous le voyez, Jules Verne, était parfaitement au courant de cette affaire de mer libre, dont on ne parle jamais dans nos écoles et nos universités.
D'ailleurs, à propos de légende (qui signifie ce qui doit être lu), attachée ici, à la cartographie, en voici une très officielle, qui figure dans un livre qui était réservé aux élèves de 6e, et publié en 1977 par Fernand Nathan :
Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé justement une légende. N'est-ce pas ?
Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", (encerclée d'un trait vert pâle), alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace".
Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent,
cette superbe Mer libre du Pôle Nord, dont il est question, dans de très nombreux articles du site ARTivision.
Nous allons donc, à ce sujet, ce jour, carrément mettre le pied dans le plat , et cela va mettre une fois encore, très mal à l'aise nos zélés bien-pensants littéraires, qui n'ont jamais parlé de cela, dans leurs si brillantes emissions de radio ou de télé consacrées à la litterature fantastique...
En effet , il convient ici de savoir que dès 1908 est paru, aux USA, le livre suivant tout à fait renversant (ouvrage auquel nous accordons, un très grand crédit, et qui, selon nous bien sûr, surclasse de très loin, le célèbre ouvrage de Jules Verne : "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" de 1864).
De plus, ce récit est confirmé par les révélations du Maître DORIAN, et révélations souvent évoquées dans nos articles :
Ou encore, avec une courte explication :
Le navigateur norvégien, Olaf Jansen, en se dirigeant vers le Nord, avec le sloop de pêche de son père, à une certaine période d'Avril 1829, nous dit ceci :
que nous traduisons, très modestement :
"Devant nous et directement au nord, s'étendait une mer libre.".
Le site ARTivision, a d'ailleurs été, le premier du Web français, à traduire en amateur, l'ouvrage en question, et cela dès le 6 Avril 2001...et la traduction se trouve à :
Mais, de nombreux malotrus du WEB, ont recopié carrément notre traduction (en changeant bien sûr quelques petits mots), sans citer une seule fois le nom d'ARTivison, qui avait mis à l'époque plus d'un mois, à effectuer cette traduction aidé, bien sûr, d'un petit logiciel : Quick Translator :
Comparez vous-même notre traduction, avec les textes suivants :
A vous de juger tout cela, en connaissance de cause... documents incontournables à l'appui.
Et, à bon entendeur salut !!.
Mais ce 03 Mai 2020, il serait peut-être aussi utile de raconter ici, cette annecdote très significative , qui s'est passée y a quelques années, (nous avons deux fois hélas, perdu le dépliant qui présentait ce forum. Merci mille fois à l'internaute béni qui en retrouvera une copie), que nous avons eu, un jour, le bénéfice, d'assister au Fort Delgrès de Basse-Terre en Guadeloupe, à un forum de la BD, où les plus grands spécialistes du genre, montraient leurs œuvres. Nous avons étonné tout un chacun, en prétendant que nous recherchions en priorité un dessinateur de BD Norvégien, pour l'inviter à sortir un album très classique, sur l'histoire du "Smoky God", de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson, paru en 1908 . Il s'agissait de sortir une version française en BD, très classique (Sans aucune déformation de visage), comme ce qui suit, et qui a été établi en 1968 à New York:
Hélas, il n'y avait aucun dessinateur norgévien, dans le coin et tout le monde a voulu prendre notre photo, quand nous avons sorti le Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969, où l'on voit à vue d'œil, une super structure gigantesque placée sur la face cachée de la Lune.
Mais, ensuite ce fut tout. Ces messieurs spécialistes de la BD, ont replongé dans leur petit train-train quotidien, et pas un, ne nous a contacté après, pour en savoir plus sur l'ouvrage extraordinaire "Smoky God", (que nous avions aussi montré, à tout un chacun). Ils s'en mordront les doigts, car le Temps des Révélations, est bien arrivé, et ils ont loupé le coche comme beaucoup d'autres.
Mais, on sait que c'est en 1964 qu'est sorti l'ouvrage extraordinaire du DR Raymond Bernard, (qui en réalité s'appelait Walter Seigmeister, et qui est décédé le 10 Septembre 1965) tel que :
Cet ouvrage, nous décrit, en pages 13 et 14, avec forces détails, une histoire digne des " Voyages de Gulliver " de J.Swift (1726), racontée par le Dr Nephi Cottom de los Angeles :
(mais nous n'avons pas pu encore, trouver une copie des lettres incontournables en question) où un de ses patients qui habitait la Norvège, prétend avoir un jour voulu avec un ami, aller aussi loin que possible dans le Nord, avec un petit bateau de pêche muni d'une voile et rempli de provisions pour près d'un mois. Au bout de ce mois de navigation, ils ont pénétré parait-il, dans un étrange pays où il faisait si chaud qu'ils n'arrivaient pas à dormir. Puis ce patient explique :
" Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser. Intrigués, nous continuâmes dans cette direction et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste cañon qui conduisait au centre du Globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de La Terre"...
Ce récit est, tout à fait dans le même style, que celui de Olaf Jansen, déjà présenté plus haut. Nous ne pouvons pas ici, bien sûr, rapporter tout ce que ce patient a révélé de son extraordinaire récit, où il est fait aussi mention, entre autres choses, de plantes et animaux et même d'humains gigantesques et il est étonnant qu'un tel récit soit passé si inaperçu alors qu'il prétend être authentique et déclasse de loin les récits les plus imaginatifs.
La traduction bien appropriée, du livre en anglais de R Bernard de 1964, (nous l'avons déjà vu plus haut) , se présente, telle que :
Ouvrage publié en 1971, chez Albin Michel,
et est devenu un objet rare et très couteux
Ce livre nous parle de cette affaire des "ouvertures polaires", (les guillemets ont une très grande importance), et aussi du fait fantastique, qu'il existe un mini soleil, au centre de la Terre et qui est responsables des aurores polaires.
Cette incroyable affaire, nous fut alors révélée, qu'en 1972, quand une amie de la Métropole, a eu la très géniale idée, de nous envoyer le livre en question, désormais incontournable.
Les internautes, qui nous disent posséder, le livre ci-dessus, dans leur bibliothèque, font désormais partie d'un club de privilégiés, dont les membres se comptent sur les doigts des deux mains. (et on peut même, aussi lire quelque part, sur notre site, que les autorités ont fait mains basses sur tous les exemplaires qui traînaient chez les libraires et bouquinistes de France, non avertis).
Ces derniers temps, il faut aussi savoir, que l'on peut trouver sur le marché, cet autre ouvrage, en remplacement du précédent, publié aux Editions Hades en Septembre 2017 :
Evidemment, on le sait, cette théorie de la Terre creuse, n'est pas admise dans le cursus universitaire actuel, car elle s'oppose catégoriquement, à notre connaissance actuelle de la composition interne de la Terre mais, on l'a vu plus haut
, le Grand Maître SaLuSa, en parle souvereinement. Donc, la plupart des scientifiques officiels, non recyclés sur l'histoire des phénomènes polaires, vont la rejeter impitoyablement...
Mais ce jour, pour les puristes, qui aiment remonter aux documents clefs, disons que l'ouvrage incontournable "The Smoky God", a été aussi publié, en 2007, par notre amie canadienne Ischaia, tel que :
Mais, en Mars 2020 est sorti sur le sujet, un certain ouvrage de Mr C. FAYET, tout à fait renversant, et qui est tel que :
Comme on le voit, désormais, le Temps des Révélations, est bien arrivé...
Mais, il nous reste encore, un élémént de preuve incontournable de la littérature russe ou autre, de cette affaire de vortex polaire nord . Cet élément clef se trouve à la fin de l'ouvrage de 1873, d'un certain Jules Gay (qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :"La Mer libre du Pôle Nord" :
Et voici le passage clef, qui a fait tilt, chez nous :
" Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord. "Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note il s'agit, bien sûr, du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Nous voilà donc arrivés, au passage le plus surprenant de l'opuscule de Jules GAY, et c'est ce passage qui nous a déterminé à mettre en ligne ce texte. ( voir notre article :Jules GAY.html)..
Donc, sans peut-être s'en rendre compte Jules Gay, anticipe et amplifie ici la phrase, très audacieuse vue plus haut du livre de Hayes ainsi énoncée : "les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue ..." (On ne dit pas, hélas, du tout ici, quelles étaient leurs tailles : voir plus haut: SmokyGod.html).
Bien sûr ni Hayes, ni Gay ne pouvaient imaginer à l'époque qu'il ne sagissait pas que quelques îles éparses de la région polaire, mais bien d'un continent immense et intérieur à notre Terre.
Etant donnée, l'importance cette déclararation de l'amiral Wrangel, le Webmaster du site ARTivision, serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir l'origine russe, et l'ouvrage qui l'a publiée en premier. Hélas cela fait des lustres, que nous attendons qu'un internaute, parlant le russe, découvre cet ouvrage...
Mais ce 08 Mai 2020, il serait peut-être utile, dans un huitième focus, d'en dire un peu plus, sur cette affaire des "ouvertures polaires", et affaire parfaitement dissimulée, en très haut lieu, et cela va nous montrer une fois de plus, qu'il se passe pas mal de choses très mystérieuses, qui s'attachent aux zones polaires de
notre planète.
Huitième focus :
Voici alors une information très significative qui nous vient, de la chaine bien connue ARTE et donc, on n'aura aucun mal à vérifier qu'il ne s'agit pas d'une affaire de "fake news"
Le Jeudi 15 Mars 2012, la chaine ARTE, a passé le documentaire suivant :
que l'on pouvait à l'epoque aussi capter, à l'url :
On voit alors apparaître dans le film, à un certain moment, la salle de contrôle et d'enregistrement des données.
Puis, apparait, une carte montrant les flux de chaleur induits par les courants marins :
On apprend alors sur le Net que " Le «Tara» est un laboratoire flottant. Cet immense voilier dont l'équipage est composé des meilleurs climatologues mondiaux a une mission majeure à remplir. Conçue pour rester prisonnière de la banquise, cette goélette de 36 mètres permettra aux scientifiques d'étudier l'évolution du pôle Nord. "
Puis, sans explication aucune, sur la présence d'un large disque bleu pale à la place du Pôle Nord alors qu'un point noir aurait largement suffi, on découvre ceci :
Mais, chose étonnante, une seconde image est présentée, comme si le caméraman voulait nous dire en douce : "Regardez cela un peu mieux" , mais le narrateur est resté lui, muet comme une carte, à ce sujet :
Et bien sûr, aucun des climatologues en question, n'a donné la moindre explication sur ce disque insolite , placé au cœur de la zone arctique.
A vous de juger, une fois de plus, cette nouvelle
incongruité, documents à l'appui...
Autre chose d'extrordinaire, c'est dans la revue bien connue, Science&Vie n° 893 de Février 1992, que l'on trouve, un super article évoquant la trajectoire des multiples débris de satellites, orbitant autour de la Terre,, et dont voici le début en page 80 :
C'est alors que la revue
nous présente aussi une simulation informatique de l'évolution,4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :
Nous serions curieux de découvrir cette simulation pour 2020 !
Mais ce qui frappe en priorité dans cette figure c'est== >que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque ou à un cylindre, dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre.
Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre n'est-ce pas !!.
Bien sûr, les rationalistes endurcis, trouveront, une explication très vaseuse à cela.
D'autres gens, qui se disent cultivés, ont affirmé en public, que certains satellites, survolent allègrement les pôles :
Mais, voici alors un passage significatif de notre article :
A la note 7 du Webmaster, de cet article, on trouve alors :
" Comme vous le voyez, le Contre-Amiral Lepotier n'a pas écrit "et passent au dessus du pôle", mais bien ,"près du pôle". Il n'ignore pas en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui suit)...Il sait aussi que les autorités gouvernementales interdisent aux pilotes des avions militaires ou pas, le survol du Pôle Nord."
Voyez donc cet entefillet d'un journal du Petit Parisien du 25 Avril 1958 :
ou, avec un peu plus de détails :
Ainsi en examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons, que ce trajet, contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le survole jamais (Voir une ancienne carte Air France, ci-dessous que nous avons personnellement ramenée d'un voyage)
N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement au dessus du Pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique, car il y a aussi le gros risque de pénétrer dans le vortex polaire, et cela le Contre-Amiral Lepotier, le savait certainement déjà en 1952.
Fin de la citation du texte de l'amiral Lepotier de 1952.
Mais faisons aussi ici, une petite digression..Bien que cela n'intéresse pas l'article du"Contre Amiral Lepotier" puisque les satellites n'existaient pas encore en 1952, (le premier fut lancé par l'URSS le 4 Octobre 1957), disons pour le novice que, plus surprenant , à l'instar des avions, aucun satellite espion ou pas, ne passe exactement au dessus des pôles. Des gens qui se disent cultivés affirment pourtant encore que certains satellites, survolent allègrement les pôles :
D'autre part, rappelons qu'ARTivision, a déjà évoqué cette affaire de circulation des satellites aux pôles de la Terre, dans de très nombreux articles dont :
En effet le 14 Nov. 2000, nous avons enregistré sur la chaîne Tempo, (qui a cessé d'émettre depuis des années dans la Caraïbe), la rediffusion de l'émission bien connue de Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner,"C'est
pas sorcier", consacrée justement aux satellites de
la Terre. Mais écoutons textuellement ce que nous dit Jamy
au sujet du satellite SPOT, qui
orbite à 830 Km de la Terre:
"Comment le satellite SPOT,
peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus
de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien
d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite
polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les
deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une
heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi
autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre, SPOT ne passe pas au même endroit et peut
ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."
Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de
cette déclaration, qui montrent comment on
nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites
connus passent par les pôles, et qu'ils balayent
ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce
genre d'émissionest destiné à la jeunesse, et qu'il ne faut pas lui
demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les
protagonistes, eux-mêmes, de cette émission, ont été"initiés"
à"cette affaire polaire"
, vue plus haut.
Nous attendons vos éventuelles suggestions ... car d'autre part, dès 1992, nous avons eu le privilège de visiter "la Cité des Sciences et
l'Industrie" à la Porte de la Villette à Paris, et nous avons été surpris de constater, à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par
satellites, que ces derniers ne passaient jamais par les Pôles, mais circulaient tous à la limite d'un disque précis entourant chaque Pôle.
Le Samedi 7 Octobre 2000,
en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo,
contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous
transmettons ci-dessous:
En effet en 1993,
nous avions enregistré une émission de RFO,
produite par Jean Yves Casgha
et intitulé "Science Frontière" et où Cathy
Nivez a fait l'interview dans le cadre du
magazine "C'est à dire"
d'Ichtiaque RASOOL, alors
Directeur de programmes
concernant la géosphère et la biosphère à la NASA, professeur à l'époque à Paris, à
l'Ecole Normale Supérieure et au Collège de France.
Le programme "Global
Change", qui revient par an, à environ
un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce
savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des
autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des satellites
à défilement, comme par exemple SPOT
et NOAA, qui sont capables de repérer des détails
détails de 10 à 20 m,... Le film montré à cette
occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement,
et nous précise que les trajectoires de ces derniers"ne sont pas tout à fait polaires",termes exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir si "ces trajectoires ne sont jamais polaires".
Toujours est-il que le film nous présente la Terre entrain de tourner et
le faisceau des trajectoires qui reste "étrangement tangent" au bord d'un "disque
polaire d'un diamètre remarquable"
(Voir ci-dessous, deux images du
film:):
La question qui reste pour l'instant sans réponse,
serait de savoir pourquoi, pas
un seul de ces satellites, ne traverse diamétralement ce disque
polaire, alors qu'il aurait tout intérêt à
le faire et que,de plus, sa trajectoire n'est pas soumise, elle, comme
pour un avion, aux évaluations d'un altimètre ?
Mais le 04/01/2011, nous avons aussi trouvé, les images suivantes :
D'abord sur le site :
Et puis sur le site :
Ou encore, sur le site :
Pas mal, n'est-ce pas, cette étrange zone polaire, qui fait fuir les satellites."
Mais, apportons ici quelques précisions supplémentaires :
Le 19 Octobre 2012, nous avons reçu, la très intéressante missive suivante :
From: Jean-Philippe.......
Sent: Friday, October 19, 2012 4:50 PM
To: 'Fred IDYLLE'
Subject: RE: Terre creuse et Lune
Merci pour tes articles Fred, voici une image que tu dois connaître qui est tirée du site :
Certains diront : «Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale » voir le site:
???
Amitiés.
JPh
Nous avons déjà bien sûr, remercié vivement Jean-Philippe, pour sa si aimable contribution, aux recherches pointues d'
ARTivision.
D'abord, pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :
Mais, nous serions heureux d'apprendre par un spécialiste de l'art des maths, que cette formule, prend bien en compte le fait, que nous montre l'image envoyée par Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent encore cette fois-ci, tous tangents à un disque, de diamètre bien déterminé.
Mieux, ce disque semble se juxtaposer étrangement, à ce disque bien noir, déjà vu plus haut, et concernant la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. qui n'a on le sait dejà, donné aucune explication, concernant le gigantesque disque noir, en question, placé au centre de l'Antarctique :
Cette image semble bien en correspondance avec celles-là :
, que l'on peut encore trouver sur le site :
A vous donc de juger, toute cette affaire très saugrenue, documents incontournables, à l'appui...
Mais ce 11 Mai 2020, date désormais mémorable en France, disons maintenant que, côté satellites, au Pôle Sud, sur le remarquable site :
, on découvre aussi ceci :
Pas mal, n'est-ce pas, cette étrange zone polaire, qui rebute invariablement les satellites.
Tout cela pourrait être, tant soit peu, éclairci au travers du super site :
On peut alors y découvrir ce paragraphe :
" The negative anomalies over the polar openings are so great that the U.S. has lost satellites over them. In the early 1960's when the U.S. was trying to put its first satellites into polar orbit, they kept losing them over the Arctic pole until they decided to put them into orbit on either side of the polar opening. When they tried to send their satellites over the polar opening, several satellite cones were lost because they followed the earth's curvature into the earth's hollow interior where they crashed. "
Que nous pourrions traduire bien modestement : " Les anomalies perverses concernant les ouvertures polaires sont si grandes que les Etats-Unis, y ont perdu des satellites. Au début des années 1960, alors que ce pays essayait de mettre ses premiers satellites sur une orbite polaire, ces derniers furent perdus au dessus du pôle arctique jusqu'à ce qu'on décide de faire passer ces satellites tangentiellement à l'ouverture polaire. Aussi longtemps que l'on a essayé d'envoyer les satellites au travers de l'ouverture polaire, plusieurs ogives de satellites ont été perdues, parce ces satellites ont suivi, vers l'intérieur, la courbure de la Terre creuse, où ils ont été engloutis.
Mais poursuivons voulez-vous, en français cette fois la suite :
" l'auteur Ray Palmer a écrit en 1959: "la preuve la plus récente qu'il y a quelque chose d'étrange aux pôles terrestres nous vient du lancement des satellites en orbite polaires. Les six premières des fusées lancées par les Etats-Unis de la côte de Californie furent des motifs de déceptions et d'etonnements. Les deux premieres, bien que les lancements furent parfaits, ont mal tourné à la dernière minute et bien que l'on croyaient qu'elle suivaient la bonne orbite, elles ont échoué lors de leur premier passage complet autour de la Terre. Techniquement on pourrait dire, qu'elles ont emprunté la bonne orbite mais qu'en réalité, elles n'y étaient pas installées. Il s'est passé quelque chose et cela dans le secteur polaire....
Les deux satellites suivants portaient des ogives semblables à celles dans lesquelles un futur astronaute aurait pu être placé en orbite. Dans chacune de ces ogives se trouvaient un émetteur de radio puissant, car l'ogive était de la taille d'une automobile et transportait de lourdes batteries. Il y avait aussi de puissants projecteurs pouvant être éclairés en temps voulu. La technique du largage du satellite devait s'opérer par un dispositif déclenché par radio quelque part au nord de l'Alaska. Une fois ouverte, l'ogive a perdu de l'altitude pour effectuer une révolution de plus sur son orbite. Arrivée sur le pôle son altitude fut assez basse ( calculs faits par des spécialistes des fusées ) pour descendre au dessus d' Hawaii, et grâce à un parachute l'ogive amérirrait lentement, puis de gros avions en attente, iraient le repêcher et l'emporterait prendrait dans l'avion avant qu'il n'ait plongé dans l'océan pour récupérer intact ainsi son important contenu, sans dégâts.
Et voilà ce qui arriva : On n'a pas entendu les signaux radio puissants du tout, ni vu non plus aucun feux. Le radar, avec une longueur d'au moins 500 milles n'a absolument rien détectés. Chaque expérimentation fut un échec complet, parce qu'il n'y avait rien à faire pour la modifier...
Chaque lancement était parfait. Les orbites finement déterminée à la bonne distance, la vitesse, ont été réalisée et suivie constamment à la trace etc.. A la fin l'ogive s' est détachée avec succès et cependant tout tourna au désastre, et le résultat fut la disparition complète et inexplicable de l'ogive...
.... Ce peut-il que l'ogive soit tombée à l'intérieur de la Terre, de cette "terre de mystère" découverte par l'Amiral Byrd ?
Où donc, cette ogive a-t-elle pu s'éclipser? Si on regarde les pôles de la Terre sur les cartes d'aujourd'hui, comment des lancements successifs sur une orbite basse peuvent-ils donner le même résultat inexplicable ? - Cette disparition défie la raison, n'est-ce pas ? (Lands beyond the poles par Ray Palmer, publié par Gray Barker pp. 13-14)
Aujourd'hui il n'y a aucun satellite ayant une orbite polaire passant directement sur les pôles. Ceux qui ont une orbite polaire passent tangentiellement au bord des ouvertures polaires, sauf deux. Il y a deux satellites qui ont été découverts sur une orbite polaire en passant directement sur les pôles. Ces satellites n'appartiennent à aucune nation connue sur la Terre. Et ils diffèrent de nos satellites. Ces deux satellites mystérieux consistent en deux blocs de roche d'une taille d'environ 15 tonnes . (RAPPORT D'OVNI août 1977, p. 29)
Il semblerait que ces deux satellites polaires "de roche" appartiennent à la nation à l'intérieur de Notre Terre Creuse qui sait comment faire pour que ses satellites compensent du manque de gravité sur les trous polaires. Ces satellites "de roche" ne peuvent pas être confondus à les météorites qui ont été capturés sur une orbite polaire. Ceci est pratiquement impossible d'après un consensus de scientifiques sur l'éventualité de météores tombant naturellement sur terre. Et la possibilité de deux entrées pour la même orbite, et leurs stabilisations est impossible sans une supervision intelligente."
Fin de citation.
Bien que ce texte est d'un style assez vieillot, et étant donnés les détails précis, qu'il avance, il ne saurait être traité de texte de science fiction, et nous lui apportons dés lors notre confiance jusqu'à preuve du contraire.
Mais, chersamis puristes , vous vous qui avez trouvé tout cela, bien curieux, sachez que, ce qui va suivre, va être encore, bien plus extraordinaire...
En effet, ce jour, nous allons carrément mettre le pied dans plat, ce qui va encore faire grincer les molaires de nos "détracteurs zététiques", et de leurs consorts scolastiques...
Analysons alors le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
où, on trouvait alors en 2004, cette image :
Et aussi, ces propos surprenants :"Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du Pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là."
Comme on le voit ici encore, pour cet astronome Rannou, la superbe luminosité du disque du bas de l'image, ne peut venir que d'un nuage notoire, et très particulier.
Et de plus, tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...
Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", mot que nous avons déjà évoqué plus haut....
Donc, il y a bien un hic, dans cette affaire.
Cette luminosité inexplicable d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien bien ici, dans le cas où la science "interprète à la va vite,
un fait étrange, à défaut d'en connaître sa structure véritable".
Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront, que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans la catégorie des illusions d'optiques, si chères à leurs habituelles explications...
Ce que ces détracteurs oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :
En effet, le Webmaster, de ce site, a eu l'idée un jour, de se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ?
Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du Pôle Nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si, l'on tenait à cacher quelque chose, car l'on va voir, justement qu'il s'y trouve bien, un mystère très étrange...
Mais, le 14 Janvier 2010, Super Hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :
, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger
l'ascenseur à côté de GO jusqu'à
Titan), et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :
, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.
On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :
tel que l'on trouve ce montage :

Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo :
"la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".
Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :
Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (les couleurs sont de nous,
évidemment):
TITAN.
Un point lumineux récurrent.
La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.
Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.
Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?
Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...
Fin de l'entrefilet.
Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit...
Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008, suivant :
, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez bien, cela vous-même :
Alors, on se demande, comment ce faiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique, exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc, tout à fait, stupéfiant...
De plus, les scientifiques nous affirment que la température qui régne sur Titan doit avoisiner les -180° .
Mais les images suivantes de Titan :
ne présentent pas du tout un paysage glaciaire correspondant cette température de -180° , prônée par les savants, mais plutôt, à des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...
Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre. Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan, et de plus, le rayon réfléchi, tombe, pile-poil, en plein Pôle Nord de l'astre.
On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.
Mais, ce 14 Mai 2020, disons puisqu'il convient généralement dit-on de "battre le fer pendant qu'il est chaud", nous allons ici, mettre la barre à un niveau très supérieur, quitte à faire, grincer davantge, les molaires déja bancales de pas mal de scientifiques et autres philosophes, psychologues, psychiatres et consorts intellectuels affiliés blasés du système terrien, qui part, (chacun le voit bien), à vau-l'eau...
Notons d'abord en passant, qu' une première tentative d'explication du disque brillant au pôle sud de Titan, déja largement vu plu haut, nous vient de la revue Science&vie n° 1043 d'Août 2004 :
Voyez donc ce qu'on dit à ce sujet :
Vous constatez donc que l'on qualifie ce disque superbement brillant, de Titan de "champs de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage Blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus (Voir plus haut).
Décidément ces savants ont de la suite dans les idées, comme ceux qui pendant des siècles, ont affirmé que c'était le Soleil qui tournait autour de la Terre.
S'il s'agissait vraiment, de nuages de méthane, ce dernier aurait dû être chauffé à blanc et ionisé; sous forme de plasma, par un phénomne naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, car notre soleil est à près de 1,5 milliard de km, de Titan, et ne peut en aucune manière, être à l'origine de ce brillant nuage.
Soyons tout de même fair play, en présentant ici les propos d'un astronome officiel , au sujet du Pôle Sud de Titan.
En effet, c'est le 12/11/2004, nous avons reçu d'un aimable internaute dont nous conserverons l'anonymat, puisqu'il le désire, un article particulièrement intéressant du Journal "Le Monde" du 10/11/04, dont nous avons placé les éléments à l'url :
De l'article précédent, nous extrayons surtout les propos suivants, qui ont particulièrement retenu notre attention :
"Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. " "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du Pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis". (fin de citation)
Notez bien donc que Mme Athéna Coustenis, astronome à l'époque, à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, dit qu'elle ne sait pas comment qualifier ce disque extrêmement brillant que l'on aperçoit au Pôle sud de Titan, tel que nous l'avons souvent figuré plus haut :
Voila donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a une sorte de nuage (mais elle évite bien de parler de son extrême brillance), qui se présente sous la forme
d'un vortex, tournant au pôle sud de la planè;te, et
vortex, qu'elle qualifie cependant de
complexe météorologique .
A vous de juger maintenant tout cela documents à l'appui ...
Mais allons plus loin... Il n'y a pas si longtemps en effet,
Super-hasard, est
encore monté au créneau, car, il nous a offert l'occasion de visualiser un classique documentaire, concernant
Titan, présenté, tel que nous le montre, le
TV Mag du regretté
France-Antilles :
Ce documentaire qui,
on le voit déjà bien, porte un
titre ronflant bouffi d'orgueil, car les humains ont toujours besoin de croire qu'ils sont
des conquérants de l'impossible , alors qu'en réalisté, ils ne sont que
des enfants turbulants avides de compétitions entre eux, vis à vis
d'autres intelligences très voisines de nous, ce documentaire donc, nous expose une entreprise réalisée par des équipes scientifiques américaines et européennes au cours de la mission spatiale de la sonde nommée
Cassini Huygens.
Voici donc
quelques images significatives, et les interrogations qui s'y rapportent :
Après 7 ans d'un voyage très périleux,
la sonde Cassini Huygens , arrive aux abords
de Saturne, pour nous monter,
ces incroyages images, jamais vues aussi nettes.
Puis, après la double traversée
très risquée, des anneaux de saturne,
c'est la satellisation autour de Titan, telle que :
Puis les divers passages, auprès de
Titan nous offrent les images surprenantes suivantes:
En effet la première photo, nous montre
une brilance notoire du Pôle sud :
Mais lisons avec soin, ce que nous dit la scientifique suivante :
"... et
puis, il y avait un détail assez extrordinaire qui montrait, sur ces images, que les pôles étaient plus brillants qu'à l'équateur... "
Ceci pouvait s'expliquer disait-elle en substance, par
des dépots organiques ou autres, qui empéchaient la luminosité de l'équateur.
Notez bien, qu'elle parle
des deux pôles, alors que les photos que l'on nous présente ici, ne concernent que
le Pôle Sud.
Jamais ce documentaire, ne nous a, en effet, montré
cette image inouïe du Pôle Nord .
Pourquoi donc cette scientifique, parle-t-elle de lumière apparue
aux deux poles, alors qu'aucune photo du Pôle Nord,
de Titan ,
n'a jamais été ni montrée ni commentée, dans le film en question ?
A vous de juger !!!
Il est aussi précisé, dans ce documentaire, que les scientifiques
furent très étonnés de découvrir sur
Titan,
un cycle climatique très élaboré, avec évaporation, condensation, formation de nuages de pluie d'hydrocarbures, donc
une géologie très dynamique,
alors que l'éloignement de Titan du Soleil aurait dû en faire un astre froid dont la température oscille,
autour de -180°, comme par exemple, ce spectacle glacé de Ganymède, aussi un satellite de Saturne :
En effet, concernant
Ganimède, certains scientifiques pense que :
"Ganymède, est un océan formé d'une croûte, mélange de glaces et de silicates. Cette croûte n'est qu'une succession de terrains sombres, très fracturés, et de terrains brillants plus jeunes, séparés de façon assez nette par des bandes claires; On cherche encore à comprendre dans le détail, les mécanismes de cette transformation ".