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L' extraordinaire découverte
de l'Amiral Richard E. Byrd


     Cet article qui se présente actuellement en plusieurs volets, est dédié à Jimmy Guieu qui au travers de près de cent œuvres incomparables, a su nous entrouvrir, superbement, les portes de ce que nous appelons désormais le réalisme fantastique.

    De son livre "Le livre du paranormal" de 1973, aux Editions Omnium littéraire, nous reprenons de ( J.B.S. Haldane: biologiste Britannique auteur du livre " Science and Life" London 1968), l'admirable citation suivante qui s'applique parfaitement à ce qui va suivre: " L'univers n'est pas seulement plus bizarre que nous l'imaginons, il est plus bizarre que tout ce que nous pouvons imaginer "

I Introduction.

     Nous avons attendu longtemps avant d'aborder sur le Web cet article, tant les faits qui font être relatés ici, sont tabous en Haut Lieu, et s'il peut être d'une part dangereux de les évoquer, d'autre part cela risque de plus de susciter émoi et incrédulité chez le lecteur non préparé. Cependant nous avons déjà effleuré, le sujet en fin de notre article " Les enfants de nulle part " , dont nous vous rappelons le paragraphe en question :

    -Venaient-ils peut-être d'un monde souterrain, où vivrait une civilisation inconnue qui se serait développée depuis des siècles dans la planète Terre qui serait creuse à l'intérieur ?

    Voyons donc cela de plus près :

     C'est d'abord en 1964 que Raymond Bernard (qui s'appelait en réalité Walter Seigmeister) publiait :"THE HOLLOW EARTH", the greatest geographical discovery in history, chez l'éditeur FIELDCREST aux USA. Plus tard, il y eu une nouvelle édition en 1969 chez University Books Mc, New York. Enfin en 1974 paraissait une édition de poche publiée par Lyle Stuart, MC. (120 Enterprise Ave , Secaucus, N.J. 07094 col. Dell N0 3382), que nous avons pu nous procurer, ainsi que la traduction française parue en 1971 chez Albin Michel et qui est presque introuvable même chez les libraires specialisés :

  

     Rappelons tout de même que R. Bernard, nous avait déjà donné un avant-goût en 1960 de son livre en la matière de l'ouvrage intitulé "Agartha : The Subterranean World" publié par Health Researh, Mokelumne Hill, Usa, non traduit à notre connaissance en français.

     Nous en reparlerons. Notons aussi la surprenante page 194 du livre aussi très rare à trouver d' Howard Menger : "Mes amis les hommes de L'Espace" chez Dervy Juillet 1965, page que vous pouvez cependant retrouver dans le livre plus récent d'Anne Meurois-Givaudan: "Celui qui vient" : Tome 2 : les Dossiers sur le Gouvernement Mondial, Editions Amrita, Octobre 1998 pages 52 et 53, où nous trouvons les phrases suivantes: " Il y a aussi d'autres gens de votre planète, des gens dont vous n'avez jamais entendu parler. Des gens qui jusqu'à maintenant n'ont été ni observés ni découverts. Une sorte de peuple souterrain."

     Comme vous voyez, nous avions promis de vous en reparler et nous pensons, qu'aujourd'hui que le moment est venu (et nous dirons plus tard pourquoi..), à nos risques et péril, d'autant plus que d'autres auteurs récents, dont vous verrez la liste en fin d'article, n'ont pas hésité, eux , à se lancer dans ces incroyables révélations, alors pourquoi pas nous ?

II La genèse de l' affaire.

    L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences , (d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980) aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.

    Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation


     Notons, qu'avec regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

    On pourrait donc croire que nous avons là, affaire à un début d'un roman inédit de Jules Verne, si l'on ignore que l'amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires, entre autre en 1929, 1936, 1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites que nous extrayons du livre de R. Bernard cité plus haut :

     " Février 1947: " J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord). Cette terre qui est le centre du grand Inconnu".Vice-amiral Byrd avant son vol de 2700 km au delà du Pôle Nord (visité en 1926:voir ci-dessus et il y a eu aussi l'expédition de 1929 au Pôle Sud voir ci-dessous)
    Novembre 1955: " C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde." Vice-amiral Byrd avant son départ pour explorer la terre au-delà du Pôle Sud.
    Janvier 1956: " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du pôle Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle".Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 février 1956.
     Mars 1956 :"La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire ". Vice-amiral Byrd le 13 Mars 1956 à son retour du Pôle Sud."

    Notons avec soin le terme "Au-delà " et non "au-dessus" utilisé par l'amiral Byrd. Si Byrd avait volé au-dessus des pôles Nord et Sud, en direction des immensités glacées qui s'étendent d'après la géographie classique de l'autre côté du pôle, il serait incompréhensible que cet amiral ait qualifié ce territoire en 1947, de "Grand Inconnu". Il n'aurait pas non plus, aucune raison d'utiliser l'expression étrange prononcée, parait-il, avant sa mort: " ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère!"

    Voyons ce que nous dit encore R. Bernard dans son extraordinaire ouvrage :
    "Si nous regardons une carte du Pôle Nord, par exemple et si nous mesurons les distances au pôle géographique, à quelques pays des alentours, Sibérie, Spitzberg, Alaska, Canada, Finlande, Norvège Groenland, Islande,..ces distances sont toutes inférieures à 2700 Km. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue en 1947. Il dit avoir dépassé le pôle, au delà de 2700 Km, puis fut obligé de rebrousser chemin, car la réserve d'essence de son avion diminuait. Et comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même un animal monstrueux qui ressemblait à un mammouth préhistorique. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion et après la brève annonce basée sur le rapport radio de Byrd et publiée dans la presse américaine, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement pour qui Byrd travaillait, et qui avait des raisons politiques et militaires évidentes à cacher cette découverte."

    Byrd est mort en 1957 et son journal de bord concernant cette expédition aurait été confisqué par le Pentagone pendant de nombreuses années, mais est redevenu accessible, parait-il, ces jours-ci.

     La seule façon de comprendre convenablement les déclarations énigmatiques de cet amiral, nous dit encore R. Bernard, est "d'écarter la conception traditionnelle de la formation de la Terre " et d'en accepter une nouvelle, montrant que les extrémités arctique et antarctique ne sont pas convexes (comme une orange) mais concaves. (Comme une pomme: Profitons justement de l'exposition réalisée à la Gallerie nationale du Jeu de pomme du mois d'Avril à Juin 2003, des œuvres du peintre surréaliste belge Magritte pour nous livrer à un petit jeu également artistique, qui ne manquerait pas, peut-être, de surprendre le peintre lui même, malgré son habitude à vouloir nous subjuguer. Bien que pour la Terre, la concavité soit certainement moins prononcée que pour notre pomme, l'analogie est cependant remarquable.)

  

   Mais R. Bernard poursuit son explication : "... Byrd entra tout simplement dans les déclivités polaires, qui pénètrent à l'intérieur creux de la Terre, là où règne un climat tropical et où se développe une vie végétale animale et humaine qui nous sont inconnues actuellement et que les gouvernements nous cachent, car ils savent que c'est de là que sortent certains ovnis, prouvant que la civilisation atteinte par les gens de l'intérieur dépasse de loin nos capacités technologiques, et que l'on n'a aucun intérêt à les affronter ".

     Si vous doutez, encore des révélations de l'amiral Byrd, lisez l'extraordinaire reportage que l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), nous transmet aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978 et qui relate l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929 lors de son survol du Pôle Sud :

"..cette légende .. a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Byrd depuis son avion - rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement- sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages du Pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs spécialisés dans les domaines de la zoologie et de l'exploration qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. "

    Mais Charles Berlitz, qui ne se contente pas de décrire, comme certains auteurs, des légendes, a réussi à trouver un témoin clef de cette époque, en la personne de Mme Emily INGRAM, et vous aurez, je l'espère, un grand plaisir à prendre connaissance de son témoignage exceptionnel dans le livre déjà cité de Berlitz que l'on peut encore trouver chez les bons "bouquinistes".

    L'un des précurseurs à avoir prôné cette "Théorie de la Terre Creuse" est le capitaine De John Cleves Symmes, ancien héros de la Guerre de 1812 contre la Grande-Bretagne, et dont on a érigé, à Hamilton un monument de pierre représentant une sphère percée en deux points symétriques. C'est le 10 Avril 1818 qu'il envoya au Congrès Américain, à des directeurs d'université et à des savants, la lettre suivante: "Au monde entier, je déclare que la Terre est creuse et habitable intérieurement...". Symmes, qui avait probablement compulsé les récits d'explorateurs polaires, admettait cependant que la terre comprenait 5 sphères emboîtées et espacées, de telle sorte qu'elles soient habitables aussi bien sur leur face convexe que concave. Il admettait cependant qu'il y avait aux deux pôles d'énormes ouvertures où s'engouffraient l' atmosphère, des terres et des mers.

     On soupçonne même, (nous dit un article du livre " les Grandes énigmes " édité par France-Loisirs en 1992), Symmes d'être l'auteur du roman paru en 1820 sous le titre "Symzonia" et signé d'un certain Captain Adam Seaborn , roman qui fut certainement à l'origine de bien d'autres comme par exemple le roman de Jules Verne : "Voyage au centre de la Terre" (1864), et nous démontrerons, une autre fois, que Jules Verne était parfaitement au courant de l'affaire des Ouvertures polaires et de la Terre creuse. .

     Mais le le Temps des Révélations, est bien arrivé, et certains auteurs modernes ont carrément loupé le coche. Ah s'ils avaient au moins lu, cet épisode en Bande Dessinée de Russ Manning évoquant les exploits de Tarzan à Pellucidar, d'après l'œuvre de Edgar Rice Burroughs:


     Il nous faut maintenant savoir que, le texte d' Edgar Rice Burroughs, nous présente l'histoire de David Innes, ingénieur des mines, qui a accepté de financer la construction d'un excavateur de type nouveau inventé par son ami Abner Perry. Les deux hommes effectuent un test dans le désert du Sahara, et tombent dans le monde intérieur inconnu de Pellucidar. Donc il n'est pas du tout question ici du Pôle Nord. Voir le tome 1 sur le site à :


     C'est donc Russ Manning lui-même, qui autour de 1970, a imaginé cette affaire de voyage de Tarzan en dirigeable vers le Pôle Nord. Bravo à lui, car cela montre qu'il connaissait parfaitement, la théorie de la Terre creuse, et l'on va voir ci-dessous pourquoi...(Cette théorie, on le sait est parfaitement bien occultée dans notre enseignement scolaire puisque nous-mêmes, nous l'avons souvent dit, nous ne l'avons découverte qu' autour de 1972, après avoir pris lecture de l'ouvrage désormais incontournable sur le sujet de R.Bernard: La Terre creuse de 1971 ).

      En effet, Voici donc, grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée, on le sait par Russ Manning , et concernant l'affaire du monde de Pellucidar. Ces vignettes sont parues en France, journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan monter dans un Zeppelin pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable hélas en noir et blanc (Tout internaute qui pourrait avoir cela en couleur, serait bien sûr plus que béni) :






     Vous avez bien noté que dans cette BD, il est mentionné que Pellucidar se trouve au centre de la Terre que l'on peut y accéder, soit par l'insolite ouverture du Pôle Nord, soit à travers le seul autre chemin que Tarzan connaisse, c'est-à-dire une couche de 800 km de roche, (donc sans doute par des tunnels connus secrets de lui). Il y a aussi cette information qu' à l'ouverture polaire le brouillard est éternel à cause de la rencontre de l'air froid du Pôle et l'air chaud qui monte du centre de la Terre à travers un tunnel de 800 km.


     De plus on apprend que dans le trou polaire, il faut suivre une route en spirale car la boussole (le compas) est inutilisable :


      Mais il y a aussi le fait qu'à intérieur de la Terre existe un Soleil et que donc l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus.


     Pas mal n'est-ce pas cette imagination hors norme de l'auteur !!!

      Cependant, si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques, nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste de la BD, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile de Russ Manning, qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage "Fantôme des pôles",
, et bien d'autres auteurs, comme par exemple Raymond Bernard, dans son ouvrage incontournable de 1964 "the Hollow Earth"
que Russ Manning avait probablement lus...

     Á vous de juger tout cela...      Faisons alors ici une petite digression : Les auteurs de Science-Fiction comme notre célèbre Jules Verne ( mentionné à juste titre ci-dessus), ont apparemment un rôle à jouer dans le cycle planétaire ( 25920 ans pour certains) qui nous ramènera à l'Age d'Or d'antan. En effet qui peut affirmer que certaines idées qui jaillissent de certains cerveaux à un moment donné, ne sont pas des manisfestations subsconcientes, bien orchestrées temporellement, venant d'une autre dimension parallèle, et dimension qui reste, bien sûr, encore à déterminer et que la Science commence à peine à mettre en exergue? Nous pensons donc vraiment que certains textes d'auteurs, doivent être lus sous l'angle d'un deuxième degré sous-jacent. Fin de la digression.

     Cependant d'autres auteurs ont profité de cette théorie de la terreccreuse pour mettre en avant leurs idées politiques xénophobes et totalitaires. En effet certaines sociétés secrètes notamment dans l'Allemagne prénazie, " La Loge lumineuse", connue aussi sous le nom de " Société du Vril ". Ses disciples croient pouvoir domestiquer le Vril , l'énergie intérieur et devenir ainsi des surhommes. Parmi eux, on trouve l'allemand Rudolph Hess et d'autres nazis de la première heure... qui ont recherché dans cette théorie une justification de leur monstrueuse politique.

     On trouve aussi en marge de tout cela, l'écrivain Edward George Bulwer-Lytton, politicien, ésotériste et écrivain célèbre (auteur des "Derniers jours de Pompéi " en 1830 et dont on a tiré un film) et qui a publié en 1873 l'ouvrage "The Coming race " :


    Ce livre nous parle d'une utopie souterraine dont les personnages, rescapés des cataclysmes de la surface, depuis des milliers d'années, sont des sortes de surhommes, à la force entretenue par un mystérieux "fluide Vril " et race qui va bientôt nous supplanter.

    D'autres auteurs, empruntent aussi le sillage de Symmes, comme l'américain William Reed en 1906 et surtout un autre américain Marshall B. Gardner, en 1920, ont présenté sensiblement la même conception de la structure de la Terre: Une Terre creuse, ouverte au pôles. Mais la seule différence et elle est de taille, alors que Reed imagine que c'est un volcan en eruption qui est à l'origine de l'aurore boréale, Gardner en attribut les effets à l'existence d'un vrai soleil central.(Voir croquis terre creuse n°1).

    Ces deux ouvrages épuisés et non traduits en français n'ont pas eu plus de succès que les précédents, mais furent, nous dit R.Bernard, "des messages lancés à l'humanité comme on jette une bouteille à la mer".

    Le black-out sur les surprenantes découvertes aux pôles de L'amiral Byrd a été si bien orchestré, que tout cela était pratiquement oublié quand en Déc. 1959, paraissait l'ouvrage " Words beyond the Poles " (Mondes au-delà des pôles) " de Amadeo Giannini chez New York Vantage Presse: 218 pages non traduit en français et ouvrage qui ne reçut aucune publicité pour pouvoir toucher un grand public comme on le faisait pour d'autres ouvrages moins fantastiques. Cependant le rédacteur en chef, Ray Palmer, du magazine " Flying Saucers " (soucoupes volantes) fit un article en Déc. 59, sur la " théorie de la Terre Creuse " exprimée dans ce livre, et il se passa quelque chose d'extraordinaire qui prouve encore que cette publication dérangeait certains "conjurés". Quand la camionnette venant de l'imprimerie (avec les milliers de magazines à distribuer aux abonnés), arriva chez l'éditeur , on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide. L'éditeur téléphona à l'imprimeur pour en savoir la raison. L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun bordereau prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce n° ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en route et de refaire un nouveau tirage. c'est alors que ce dernier s'aperçut que les clichés étaient en si mauvais état qu'un réimpression était impossible et ainsi près de 5 000 abonnés ne reçurent pas leur magazine ce mois de Décembre là. De plus un distributeur qui avait tout de même reçu, 750 exemplaires à vendre fut porté disparu et les 750 exemplaires s'évanouirent avec lui. " (Donc vous comprenez maintenant la signification de l'expression "risques et périls", utilisée plus haut).

    Cependant, plusieurs mois plus tard, ce n° de Déc. 59, était réimprimé avec d'infinies précautions et envoyé aux abonnés et nous serions infiniment reconnaissant à l'illustre internaute qui pourrait posséder ce surprenant n° de "Flying Saucers" de nous contacter, bien sûr, assez rapidement sur le Web. Merci d'avance.

    D'après R. Bernard, Ray Palmer nous dit dans ce fameux magazine :
     " Beaucoup de lecteurs croient que des vols commerciaux franchissent continuellement le pôle et passe de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pas vrai, bien que les officiel des lignes aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pourquoi n'est-ce pas vrai ? parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiquement tout vol en ligne droite au delà du pôle. En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le survole jamais (Voir une ancienne carte Air France ci-dessous).

    N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement au dessus du pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi? Ne serait-ce pas parce que, si le pôle avait été franchi l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans cette terre au-delà du pôle " le Centre du Grand Inconnu " dont parlait Byrd ? ..( Voir croquis terre creuse n°2 ).


    En effet si le pilote grâce à ses appareils actuellement perfectionnés essaie de maintenir l'avion à la même altitude, il suivra la courbure interne de la dépression polaire et plongera dans le creux intérieur de la Terre . " (voir photo troupole1)

    On voit dans cette image très peu diffusée, bien une trouée où les nuages semblent s'incurver, à moins que l'on nous dise encore qu'il s'agit là de "l'éternel illusion d'Optique".

    Le 5 Décembre 01 nous avons reçu d'un aimable internaute le message :
----- Original Message -----
From: Reiyel Angel
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, December 05, 2001 5:15 PM
Subject: Bonjour
     Bonjour et félicitations pour votre site, il est une petite mine de richesse. De plus très bien expliqué je voulais vous en féliciter. Alors je voulais vous faire part d'une photo que j' ai découverte sur le site de la Nasa, une photo en couleur similaire à la vôtre. Cette photo est une image de la Terre ou nous pouvons voir un trou comme dépressionnaire au niveau du Pôle nord. Je vous l'envoie en pièce jointe:

    Merci donc à notre aimable internaute pour sa trouvaille bien "colorée"qui nous le rappelons est la même que notre photo en noir et blanc.

    Mais il faut se méfier des jugements hatifs, quand on n'est pas qualifié pour étudier efficacement certains documents. En Effet le 18 Décembre 2002, un internaute particulièrement compétant, nous a fait remarquer que sur cette photo: " on distigue nettement la forme de L'Afrique, en particulier les côtes du Maghreb (il faisait beau ce jour là sur la Méditérrannée : Merci super hasard) et la péninsule Ibérique, ainsi que l'Italie. On y voit aussi à l'est de l'Afrique, et séparée d'elle par la Mer Rouge, l'Arabie dont l'inclinaison nous indique sur la photo ci-dessus, la Terre ne nous est pas présentée verticalement, mais inclinée d'une bonne vingtaine de degrés vers la gauche. D'autre part, il convient de constater en consultant une carte du monde que la Mer Rouge, vue de face, pointe vers le Nord une direction aboutissant sur la circonférence à 7° à peine à l'Ouest du Pôle. Donc la tache sombre de la photo ci-dessus se trouve certainement être une simple dépression atmosphérique, localisée sur la Sibérie et non comme l'on pourrait le croire avec une certaine légèreté, un indice de l'ouverture polaire : (Voir le rapide croquis ci-dessous annexé à la photo en question: )

    Mais en plus notre aimable internaute nous a fait remarquer "qu'un examen plus poussé, nous montre que l'image en question présente 5 traces très nettes d'un montage assez sommaire qui sont numérotées de 1 à 5 sur le croquis précédent et le long desquelles de nombreux détails ne collent pas du tout. Ceci est-il dû à un procédé particulier de prise de vue en plusieurs fois ?(comme pour les sondes automatiques ORBITER, SURVEYOR ou LUNA), ou à un artifice d'édition, ou à une intention malveillante (fort malhabile !!); peu importe: cette image est sujette à caution."

     De plus cet internaute très vigilant et qualifié, nous a envoyé par la poste, une autre image du Pôle Nord, prise par le satellite ATS-3, dont nous dit-on les archives ont été soigneusement détruites par la NASA, et , image qui n'a pas les défauts de la précédente et où l'on aperçoit une cavité lumineuse sorte "d'entonnoir avalant les nuages sur une profondeur visible au moins égale à 200km"nous dit-il avec d'autres schémas explicatifs. Cependant comme cette image du globe terrestre est trop grande pour notre scanner, nous vous en présentons seulement la moitié Nord :

     Se pourrait-il cependant, que cette excavation notoire de la photo trou pôle n°1 ci-dessus, soit tout de même en relation avec le véritable trou polaire par une sorte de vortex aspiratoire décalé ainsi qu' on peut le constater dans le phénomène d'une trombe, où les deux entonnoirs placés aux extrémités, ne sont jamais juxtaposés verticalement ?

    Le 17 février 2003 , nous avons découvert dans nos archives, la même photo, prise par le même satellite AST-3 à 35 800 km (d'après cl. Edisstudio) mais avec des teintes plus claires, sur une couverture de la revue encyclopédique Alpha n° 241 du 2 Aout 1972, qui montre clairement cette dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle au bout de la flèche rouge :


( Voir aussi d'autre part, cette étrange photo suivante que nous devons à la perspicacité de l'ami Roch Saüquere en fin Février 2001 sur le site:http://rsd.gsfc.nasa.gov/goesg/earth/Weather/GOES-8/gif/)

    On y voit aussi les nuages qui "semblent" s'enfoncer dans une crevasse insolite.

     En Mars 1962 le magazine "Flying Saucers" encore lui, toujours sous la signature de Ray Palmer publiait dans un article intitulé :
" Pôle Nord - façon Russe "

     "Les Terres mystérieuses des pôles: une preuve de plus- Deux cents ans d'exploration (dont nous n'avons pas ici de place pour en parler ) ont amené les Russes à une nouvelle conception du Pôle et rendu désuets les anciens traités de géographie
- Des faits géographiques indiscutables !"..."Les russes auraient découvert que le pôle magnétique n'est pas un point mais une ligne de 1600 km de long.
Et Ray Palmer de déclarer: "A notre avis , les russes se sont trompés dans leur déductions ils ont vu une ligne, là où nous voyons un cercle... ils ont dû compresser le cercle pour le réduire à une droite.
Finalement, il conclut son article en disant: "Ainsi quand l'amiral Peary (qui prétend avoir atteint le premier le pôle nord le 6 Avril 1909) affirme qu'il a atteint le Pôle, il fait une déclaration très vague. Tout ce qu'il peut dire, c'est qu'il a atteint un point situé quelque part sur les bords de l'ouverture polaire. Un exploit peut-être, mais pas une "découverte du pôle"...Aucun être humain n'a jamais volé directement au dessus du pôle Nord et continué tout droit. Etant donné que les autres types de navigation ont en définitive, eux aussi , leur limitation tout comme la boussole, nous aurons l'audace d'affirmer que personne n'a jamais atteint le pôle et mieux encore qu'il n'y a pas de pôle à atteindre. (Le pôle magnétique est un cercle entourant l'ouverture polaire et le pôle géographique, lui n'existe pas réellement, et est un point fictif, suspendu entre ciel et terre au centre de ce cercle.) "(Voir ci-dessous image pôle fantôme)

    Terminons aujourd'hui cet exposé par la présentation de quelques photos bizarres de la NASA et qui n'ont jamais été commentées outre mesure.

     La première photo aurait été prise le 23 Nov. 1968 par le satellite Essa 7 à la verticale du pôle Nord et été publiée la première fois, en juin 1970 par le magazine "Flying Saucers". On y voit un gigantesque trou très insolite, bien circulaire, au bord échancré. Pourquoi a-t-on enlevé, sans explication sur la photo, cette partie discoïdale du Pôle Nord ? Un internaute futé pourrait peut-être, nous trouver une réponse orthodoxe acceptable à ce niveau.(Voir image trou polaire nord 2)

    La deuxième photo, est un autre document de la NASA, que nous avons personnellement obtenu en 1975, des mains de l'agence USIS qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait une photo mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication . On aimerait bien savoir pourquoi ?

La troisième photo multiple

Le 20 Mai 1972, d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972, eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien, une conférence d'un certain Eugénio Siragusa, représentant à l'époque, du Centre d'Etudes et de Fraternité Cosmique, qui se voulait être une association qui recherchait les contacts avec des extraterrestres. Ce monsieur Siragusa, aussi contesté que le célèbre Adamski, semblait cependant être parfaitement renseigné sur les "manœuvres" de la Nasa. Un spectateur posa à Siragusa la question suivante :

    "D'après un livre que j'ai lu: "La Terre Creuse", les soucoupes volantes pourraient provenir du centre de Terre qui est creux et où vit un peuple très évolué! Qu'en pensez-vous ?

    Réponse de Siragusa : Je vous rappelle une chose qui a été prouvée scientifiquement. Au centre de la Terre, il y a un mouvement centripète, tandis qu'à l'extérieur, il y a un mouvement centrifuge. Les E.T. ont la possibilité de pénétrer au centre de la Terre par le Pôle qui présente une large ouverture circulaire . Mais ils ne vivent pas au centre; Ils arrivent de l'extérieur, d'une confédération extra-galactique dont font partie les planètes de notre système solaire et d'autres confédérés qui surveillent notre planète. Les Ovnis peuvent pénétrer au centre de la Terre qui est creuse et qui possède en son intérieur un noyau solaire....Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29000 clichés pris par le satellite. Je l'ai eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public...
"

    Nous avons retrouvé cette photo de Siragusa, jointe avec deux autres photos du Pôle Nord, présentées page 193 dans le livre de Victorino Del Pozo écrit sur Siragusa et publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979. (voir trous polaires n°4)

    Mais, nous dit en plus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) dans ce livre, " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

    Le 12 Mars 2001, nous avons reçu de notre ami R. Saüquere, les deux superbes images en couleur suivantes qui proviennent du site: http://www.obs-mip.fr/omp/legos/francais/rech/calottes/index.htm et qui viennent, sans aucun doute confirmer, que l'on dissimule, ici, vraiment, quelque chose au monde entier :

  

     C'est à vous maintenant, qu'il appartient, de vous interroger, au sujet de ces trous bien insolites.

La photo incroyable :


     Le dimanche 27/02/05, nous avons reçu d'un aimable internaute canadien, une page Web en PDF(adresse perdue hélas alors) en allemand , où il y avait plusieurs photos des pôles de planètes, et pour la Terre, l'extraordinaire image suivante :


    En traduisant, ce qui est écrit au bas de l'image, un aimable internaute nous apprend qu'il y a écrit : " Une belle prise de vue du Pôle Sud, fait par l'Environnement Research-Institut Michigan. On y voit, non pas seulement les nuages tourbillonnant autour de l'ouverture, (les contours de l'Antarctique - se trouvant dans un espace sans nuages - sont reconnaissables ), mais de surcroit, le reflet du Soleil intérieur de la planète" .

    Il nous faut aussi ajouter, que cette photo est très probablement issue des dossiers du fameux Dr Locke-Stuart , dont nous avons parlé dans notre article Byrdsuite.html.Ce monsieur doit certaimenent changer souvent de site pour que l'on ne le repère pas.

    Le 13/03/05 nous avons reçu avec joie de l'ami Xavier Tournarie Architecte D.P.L.G et Collaborateur d'UniversMac, l'adresse de la page en question. La voici:

http://www.nsl-forum.com/lager/u0578HohleErde.pdf


    Nous remercions donc ici vivement l'ami Xavier Tournarie, pour sa sollicitude envers ARTivision.

L'oasis de Bunger :

     En Février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du Pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de "l'Oasis de Bunger"(dont nous présenterons plus bas la version la revue "Science & Vie" de 1960).

     Nous lisons dans le livre de R. Bernard : " Le capitaine David Bunger de la Marine Américaine, en mission avec son hydravion pour " l'opération High-Jump " de 1946 à 1947 avait quitté la base de Shackleton près de la Côte de la reine Marie dans la Terre de Wilkes, et volait vers l'intérieur du continent antarctique quand il aperçut une région sans glace, avec de lacs de plus de 4km de long aux multiples couleurs et entourés de murailles de glace. Le capitaine Bunger posa son appareil sur l'un de ces lacs et aperçu que l'eau était plus chaude que dans l'océan des environs. Comment expliquer la présence d'une telle oasis en plein Antarctique, qui bénéficiait de températures plus clémentes comme-ci comme au pôle Nord, cette oasis se trouvait aussi dans la dépression polaire sud ? Ce territoire sans glace d'environ 600 km carrés représentait une trop grand étendue pour être affecté par une source de chaleur volcanique. Les courants de vents chauds en provenance de l'intérieur de la Terre par l'ouverture proche, expliqueraient davantage cette anomalie."

     En Mars 1960, justement nous l'avons déjà évoqué, la revue "Science et Vie" dans son n° 510, nous présentait un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer .( Notez bien l'écriture du mot avec un "u"de plus et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis ), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan (Voir la photo du "Science et Vie" 510):)



    Notons cependant que cette oasis de "Bunger", (sans "u" cette fois) est bien mentionnée page 29, dans le paragraphe "les vallées sans glace" du "Que Sais-je" n° 1249, édité en 1967 par "les Presses Universitaires de France", concernant l'Antarctique, sans aucune mention de la température qui y règne.

     Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, rien de tout cela, ne nous a jamais plus été montré, à notre connaissance, depuis, dans cette revue. A vous de juger.

     R. Bernard révèle de même, cependant, qu'un journal de Toronto " The Globe and Mail " ( mais nous n'avons pas pu hélas en déterminer le n° exact et surtout la date de parution), publia une photo d'une vallée verdoyante, prise en vol par un aviateur dans l'Arctique, vallée qui devait probablement se situer dans ce même territoire visité par Byrd au-delà du pôle en Février 1947. (Peut-être qu'un aimable internaute qui aurait la chance inouie de posséder ce journal, pourrait nous en faire une copie. Merci encore d'avance.)

III Quelques récits surprenants de voyageurs en direction du pôle.


    Raymond Bernard dans son livre déjà cité nous décrit avec force détails l'histoire digne des " Voyages de Gulliver " de J.Swift (1726), racontée par le Dr Nephi Cottom de los Angeles (mais nous n'avons pas pu, non plus, déterminer l'ouvrage de référence en question) où un de ses patients qui habitait la Norvège, prétend avoir un jour voulu avec un ami, aller aussi loin que possible dans le Nord, avec un petit bateau de pêche muni d'une voile et rempli de provisions pour près d'un mois. Au bout de ce mois de navigation, ils ont pénétré parait-il, dans un étrange pays où il faisait si chaud qu'ils n'arrivaient pas à dormir. Puis ce patient explique: " Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser.! intrigué, nous continuâmes dans cette direction et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste cañon qui conduisait au centre du Globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de La Terre."
    Nous ne pouvons, pas bien sûr ici rapporter tout ce que ce patient a révélé de son extraordinaire récit, où il est fait aussi mention, entre autres choses, de plantes et animaux et même d'humains gigantesques et il est étonnant qu'un tel récit soit passé si inaperçu alors qu'il prétend être authentique et déclasse de loin les récits les plus imaginatifs comme ceux de Gulliver.

    Nous avons aussi dans nos archives le livre de Willis George Emerson, intitulé " The Smoky God " ou "A voyage to the Inner Word " publié dans la collection "Inspired novels" par Palmer Publications Illinois en 1965 et qui raconte une histoire à peu près semblable, vécu par un autre norvégien nommé Olaf Jansen et qui s'est confié cette fois à l'écrivain Willis George Emerson. (Voir ci-dessous, la couverture et la page de garde de l'ouvrage en question : )

    Le titre de cet ouvrage que l'on pourrait traduire : " Le Dieu qui fume ", (non traduit officiellement en français), se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre. Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'impression d'être brumeux, comme entouré d'un nuage de fumée. C'est l'histoire de ce Jansen et de son fils qui dans leur petit bateau de pêche, ont tenté avec un courage indomptable de trouver " la terre au delà du vent du nord " dont parlaient les légendes. Ils seront alors projetés, après les affres d'une tempête, dans l'ouverture polaire et se retrouveront à l'intérieur de la planète pour y séjourner deux ans et pour ressortir ensuite par l'ouverture opposée du Pôle Sud. Là malheureusement un iceberg coupe en deux le bateau et le père est tué. Le fils sauvé de justesse passera cependant 24 années dans un hôpital psychiatrique pour déficience mentale... une fois relâché, il se gardera bien de reparler de son aventure; il devint pécheur pour gagner sa vie et après 26 ans de dur labeur, il pu partir pour les USA et s'installer finalement en Californie. Il avait près de 90 ans, lorsque par hasard l'écrivain Willis Georges Emerson fit sa connaissance et devint son ami. Le vieillard sentant venir sa mort et voulant partager son secret avec son ami, lui raconta alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait réalisées à l'époque et c'est ainsi que paru en 1908 le livre "The Smoky God", dont nous vous laissons le plaisir de découvrir, hélas encore en anglais, ( cependant les magnifiques gravures y sont bien reproduites), l'extraordinaire narration chez Palmer Publications en 1965, cité plus haut ou à l'adresse Internet :

http://ourhollowearth.com/SGContents.htm

et désormais en français ( grâce à notre très modeste traduction à partir du 6/10/2001) sur notre site à l'adresse :
http://http://www.artivision.fr/SmokyGod.html

    D'autre part le 23/08/07 , nous avons eu le privilège de recevoir par la poste, la traduction professionnelle que nous réclamions dès le 6 Avril 2001, lors de notre modeste tentative de traduction du livre extraordinaire "The Smoky God" de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson.

    Voici cet ouvrage traduit par :Ischaïa :


    Edité par les Éditions Saint-Germain-Morya au Québec N° ISBN 2-923568-01-X
    Voir à : http://www.biosfaire.com/index.php?vProduitID=88703


    Mais en dehors du livre de R.Bernard, on peut aussi citer un récent ouvrage intitulé " Le Livre Jaune n°6 " (début 2000) publié par les Editions Félix :(leseditionsfelix.com) ouvrage qui a mis mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



    Et en page 246...

     " .....Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu'il y a beaucoup de brouillard dans l'Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n'y aurait pas assez d'humidité dans l'air pour la formation de brumes et de brouillards. L'explorateur américain Dr. E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt et qui a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855, a écrit ceci il y 150 ans " Il y a des indices qui montrent clairement qu'il doit y avoir un océan dans le nord, les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment".

    Greely, un météorologue, qui a dirigé une expédition dans la Terre de Grant en 1868, parle d'une zone sans glace toute l'année. Nansen, qui a sans doute été l'explorateur qui s'est aventuré le plus au nord, explique qu'il y avait de moins en moins de glace, plus il allait vers le nord. Dans son livre, il décrit les sentiments étranges qu'il a eus en voyageant en pleine nuit sur une mer de roulis, dans une contrée qui n'avait jamais vu de bateau auparavant : " Devant nous, toujours ce même ciel sombre, qui annonce la pleine mer. Chez nous, en Norvège, personne ne croirait que nous voguons en pleine mer vers le pôle. J'aurais eu du mal à y croire, si on m'avait dit cela il y a deux semaines. Et pourtant, c'est vrai. Est-ce un rêve ? ".

    Si c'était un rêve, il avait la dent dure. Trois semaines plus tard, fin Septembre, la mer n'était toujours pas gelée. Nansen : "Aussi loin que l'on puisse voir à travers les jumelles du poste de vigie, on ne voit que de la pleine mer ". Charles Hall, le journaliste, croyait également qu'autour des pôles il y avait de la pleine mer. "De la montagne de Providence, on pouvait distinguer dans le nord un brouillard sombre, qui montrait qu'il y avait de l'eau " écrit-il dans son rapport. Fritjof Nansen avait noté dans son journal du 3 août 1894 : "Nous avons trouvé des traces de renards. Le climat est très doux, presque trop chaud pour dormir ". Et cela, plus au nord qu'aucun homme n'avait été. "Nous nous sentions comme chez nous".

    En 1799, le pêcheur sibérien Schumachoff fait une incroyable découverte, un squelette entier de mammouth, congelé dans un bloc de glace. Les loups avaient commencé à dévorer la viande qui dégelait. Le squelette a pu être sauvé, il est exposé maintenant au Musée d'Histoire Naturelle de St-Petersbourg. Les os de mammouth ne sont pas rares en Sibérie. Sur les bords de la Lena, on en trouve de des milliers. On explique leur présence par une glaciation qui serait apparue brutalement, il y a 20 000 ans. Mais il existe une autre explication, plus inattendue. Marshall B. Gardener, un écrivain américain, l'a proposée en 1920. Les mammouths seraient des animaux qui viennent de l'intérieur de la Terre, leurs cadavres auraient été charriés par les grands fleuves qui sortent de l'ouverture du pôle et se seraient échoués sur les côtes sibériennes. On a trouvé toutes sortes d'animaux surprenants dans les glaces de la banquise : des hip- popotames, des lions, des hyènes et des rhinocéros. La position géographique particulière de leurs tombes peut s'ex- pliquer par le fait que l'axe de la Terre a pu être inclinée beaucoup plus à une certaine époque, et la région polaire aurait ainsi connu un climat tempéré ou même subtropical, à une certaine époque...
"


    Mais il y a aussi cette affaire de neige colorée que l'on a déjà vu plus haut..:

    ...Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d'un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D'où venaient les centaines de troncs d'arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui. Les troncs d'arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du nord. Des arbres encore plus au nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas.
     Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus....


    Arrêtons voulez-vous, ici, ces extraordinaires commentaires ce Livre Jaune n°6 , pour ne pas subir les foudres justifiées des auteurs et de l'Éditeur, et pour les internautes qui veulent en savoir bien plus, nous les invitons vivement à lire plus avant, cet ouvrage désormais incontournable, dans cette affaire de Terre creuse. Disons alors, une fois de plus qu'effectivement, que seule la présence de volcans et de zones couvertes de végétation à l'intérieur de la déclivité polaire, peuvent expliquer ces phénomènes. De même, seule la sortie d'un ou plusieurs fleuves par cette ouverture, peut être à l'origine de ces icebergs fait d'eau douce. Il y a de plus ce soleil rougeoyant qu'ont vu, les Jansen et Nansen, qui se sont approchés du bord l'ouverture polaire et qui correspond au soleil intérieur décrit plus au haut et qui de plus nous dit-on, est à l'origine du phénomène des aurores boréales, dont nous n'avons pas le temps ici d'expliquer la théorie en vigueur, comme de même en ce qui concerne la nature de ce soleil central dont certains prétendent qu'il serait trop petit, pour pouvoir exister vu que notre soleil extérieur serait lui le centre de réactions nucléaires gigantesques qui nécessitent une masse critique et un certain volume pour se déclencher sans parler des radiations qui seraient mortelles pour toute vie interne. Nous reparlerons de cette affaire de Soleil plus loin.

nbsp;   Mais il y a de plus, cette affaire de mammouths, vue plus haut, ainsi que dans le texte de Charles Berlitz , et mammouths que l'on retrouve, de temps en temps, dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov , découvert intact en 1997(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)

     Autre exemple: Dans son ouvrage publié chez A. Michel en Mai 1970, intitulé " Terre énigmatique" l'écrivain Peter Kolosimo nous relate page 19 :

     " Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "

    Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue": " Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement été enveloppés, tout de suite après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "

     Ces hallucinantes narrationsde Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont-elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ? Rappellez-vous les incroyables pressions subies par les scientifiques dans les deux cas suivants :

     Premier cas :

      1976, la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent prélevés par Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.

      Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent des feuilles de tabac, ce qui parait impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu être rapporté en Égypte via l'Europe que 2700 ans plus tard au retour de Christophe Colomb.

B>Deuxième cas plus grave:

     16 ans plus tard en 1992 une découverte toute aussi étonnante va avoir lieu. de Svelta Balabanova, une toxicologue de Munich, chargée d'étudiér les drogues utilisées pour réaliser la momie vieille de 3000 ans, d'Enouctaoui (écriture non garantie), une prêtresse égyptienne, découvre alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie contient de grandes quantités d'une substance contenue dans les feuilles de coca et que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse en avait, elle même, consommée avant de mourir. Cette annonce fait l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit alors des montagnes de lettres, presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante, la coca , d'où l'on extrait la cocaïne, n'existait nulle part ailleurs, qu'en Amérique. Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse, car cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.

A bon entendeur salut...

IV Prolongement révélateur en date du 31/10/01.

    Comme Suite à l'émission de Thalassa "dans le sillage des Mammouths" passée le 20/10/01 en Métropole et reprise par la suite en Guadeloupe sur la Chaîne Tempo, nous reprenons ici quelques propos tirés du documentaire (joint à cette émission) de Pierre Fauque, Bernard Buigues et Jean-Charles Deniau concernant l'extraction en 1999 du sol des glaces sibériennes du mammouth cité plus haut nommé Jarkov et documentaire que nous avions eu la chance d'enregistrer auparavant sous le titre "Mammuthus"

    Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence . La fosse est profonde de 6m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits, il y a une drôle d'odeur . On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à son paroxysme . "C'est entrain de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est très très forte. C'est de la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui proviennent d'un étant ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur la végétation aquatique à l'époque du mammouth."

fin de citation des commentaires du film

     Notez bien que dans le documentaire ci-dessus , l'on voit aussi un chercheur dégager du permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux. Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur, n'ont même pas disparu ? Mais de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, je l'espère, les termes dithyrambiques utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs: incroyable, inimaginable, magique , très très spectaculaire, etc.. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés.....Ah si un aimable internaute pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout deviendrait plus clair....
     L'explication serait d'après Gardner déjà cité: "" que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."

    C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.

    En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.

    Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994:

    "...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur...Dans l'île de arctique de Wrangel des chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de 4000 ans? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait signé le glas des mastodontes. Particularité: ces dents ont appartenu à des mammouths nains ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leur ancêtres du continent. Troublant, car sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivants...
    En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique, permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son dernier repas. Dans son cœur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont globules blancs et rouges se distinguent encore.
    A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire revivre le géant de la préhistoire.
"

    Vous avez bien noté, je l'espère, les termes vivants, troublant, état de conservation extraordinaire, coup de tonnerre,son dernier repas etc.. qui montrent bien "la surprise" de l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth. Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."

V Autre prolongement révélateur en date du 1/02/02.

     Le 1er Fév. 2002, nous avons découvert dans nos archives, alors que nous cherchions tout à fait autre chose, l'entrefilet suivant extrait du n° 476 du Science et Avenir d'Oct. 1986 page 11. (Les couleurs sont de nous évidemment):

FORÊT FOSSILE AU PÔLE NORD "

    45 millions d' années, c'est l'âge de la forêt fossile qui vient d' être découverte sur 1' île canadienne Axel Heiberge, à quelque 1100 km du pôle Nord. "Il s'agit de la plus belle forêt fossile connue dans le monde", affirme James Basinger, paléobotaniste à l'université canadienne du Saskatchewan, qui précise que son état de préservation est "étonnant". Sans s'être pétrifié, le bois est si bien conservé que les membres de l'expédition ont pu couper des fragments et les faire brûler ! La forêt renferme sur un kilomètre carré des essences comme les séquoias et les sapins, mais également de nombreuses espèces disparues. Certaines souches sont encore enracinées dans le sol et certaines, jonchant le site, ont jusqu'à dix mètres de long. Des amas de feuilles ont même été retrouvés, qui paraissent si fraîches, raconte James Basinger, "qu'on a l'impression de les avoir cueillies de l'arbre"."
Fin de L'entrefilet

    Comme vous le voyez, le fantastique (si cher à ARTivision) est à portée de main et nous constatons que ce récit ressemble étrangement à celui d'Olaf Jansen dans l'ouvrage the Smoky God mentionné ci-dessus quand il a abordé avec son père, une île nordique inconnue avec son sloop de pêche... Des fossiles non pétrifiés qui s'enflamment, des feuilles fraîches...après 45 millions d'années ??? Le journaliste qui a écrit cela, n'a t-il pas vu qu'il pouvait en faire un film du style "voyage dans le temps sur une île perdu".
    Quelle explication peut-on donner à cela ? Ces arbres, à la suite d'un glissement de terrain de la région interne de la planète, n'ont-ils pas simplement dérivé dans un fleuve vers l'extérieur et puis échoué sur les icebergs qui les ont déposés par la suite sur cette île déserte, il y a seulement quelques centaines d'années ? Il y a sans doute d'autres explications. Messieurs les scientifiques, qu'en pensez-vous? Nous attendons avec ferveur vos suggestions...

     Nous pourrions évoquer bien d'autres énigmes que peut résoudre cette "théorie de la Terre creuse" (comme la migration d'oiseaux et d'insectes qui disparaissent en hiver, l'aplatissement de la Terre au pôle, la trop faible masse de la Terre etc...).

    De même, on a observé de temps en temps une luminosité inhabituelle dans les régions polaires, que l'on ne peut expliquer.

    Comment ces régions pourraient-elles être lumineuses alors que le soleil y brille à peine ?

     Voici une photo remarquable que nous devons à la perspicacité de l'aimable et ami internaute Mr SAÜQUERE Roch qui est extraite du site : http://www.windows.ucar.edu/spaceweather/aurora_shuttle_view.html

    Photo que nous devons à la courtoisie du Dr Hallinan, et l' Astronaute Overmeyer de la Nasa:


    Des photos de satellites montrent le même phénomène sur Mars, Mercure, Neptune et d'autres planètes et même sur la Lune. Il n'y a qu'une seule explication logique, les régions polaires sont lumineuses à cause du soleil intérieur qui y transparaît. Voici une information publiée par le Parisien du Mardi 4/12/79 que nous avons découvert "par hasard" dans nos archives le 12/02/2001.

     "Des savants Soviétiques ont observé des perturbations atmosphériques insolites dans l'Antarctique, provoquées apparemment par une "source d'énergie inconnue" à l'altitude de 95 kilomètres a annoncé hier l'Agence Tass.
    Selon les spécialistes soviétiques, il s'agit de changements rapides de température, de densité, et de pression notamment, et ils pourraient être provoqués par des rayonnements ionisés provenant du soleil et arrivant sur le pôle sud de la Terre ."


    Nous avons mis en couleur les termes importants de ce communiqué et vous notez bien que l'on parle d'une "source d'énergie inconnue", dont on cherche les explications...

    Terminons ici le premier volet de cette affaire, pour ne pas la rendre trop indigeste au le courageux internaute qui a eu l'audace arriver à lire jusqu'ici et dans la seconde partie nous analyserons les aspects étranges d'autres planètes du système solaire et nous exposerons surtout une bibliographie adéquate sur la question.
    Les deux autres volets sont aux adresses suivantes:

Deuxième volet à :

http://www.artivision.fr/Byrdsuite.html

Troisième volet à:

http://www.artivision.frByrdalice.html

VI Prolongement révélateur spécifique en date du 22/03/01.

     Le 21 /03/01, en fouillant dans nos dossiers à la recherche d'une information sur les jardins de Findhorn en Ecosse, nous sommes tombés sur un article du contre amiral Lepotier dans le "Science et Vie" n° 422 de Nov. 1952 intitulé, "L'Arctique devient une plate-forme stratégique" où nous lisons les passages: "Ainsi, c'est seulement au début de notre XXe siècle que l'on sait que l'océan Arctique borde d'une façon continue les côtes de l'Asie et de l'Amérique; mais son immense zone centrale d'environ 3000 km de diamètre qui contient le pôle Nord géographique , reste inexplorée . Le pôle lui même est-il en terre ferme ou en mer ? Cette fois, la Banquise permanente s'oppose à la progression des navires. S'aventurer dessus en traîneaux tirés par des chiens se révèle une aventure pleine de périls, ainsi qu'en témoignent les récits des Explorateurs... l'océan secoue et brise en permanence ce manteau de glace qui l'écrase. Les courants et les effroyables tempêtes qui s'y succèdent provoquent des crevasses et partagent cette croûte de glace en morceaux de dimensions variées appelés floes dont l'assemblage, genre de puzzle s'appelle le pack...

    La conquête de l'air devait amener le survol de cette banquise qui avait arrêté l'homme pendant 23 siècles... C'est d'abord le vainqueur du Pôle Sud, Amundsen , qui abandonnant cette fois le traîneau à chiens pour l'hydravion et décollant d'un fjord du Spitzberg vient amerrir entre deux floes à 25 km du Pôle en 1925. L'année suivante Byrd effectue en quinze heures le vol Spitzberg-pôle et retour. Nous sommes loin des 36 jours de Peary. "

     Nous constatons, d'après cet article, donc ici que l'hydravion d'Amundsen s'est bizarrement arrêté à deux pas du pôle ( pourtant si mythique) sans vouloir y aller et s'y poser et que Byrd, lui, il aurait parait-il touché le pôle, mais on ne nous dit surtout pas, s'il s'y est posé et s'il a surtout fait des relevés, prouvant qu'il y était bien arrivé en 1926. Plus loin on trouve dans cet article : " Le 21 Mai 1937, après 6 heures de vol le quadrimoteur (russe) N-170 pose sur un floe de 3 km de diamètre , à 20 km du Pôle Nord, Ivan Papanine, chef de station, Pierre Chirkov, hydrobiologiste....(...etc). Le premier travail, après l'organisation du campement, est de creuser un puits dans leur floe qui n'a que 3 m d' épaisseur et d'y filer un câble d'acier monté sur treuil, pour sonder: 4200 m de fond au Pôle. "
Nous voyons donc qu'ici encore l'expédition n'a pas jugé bon de faire 20 petits kilomètres de plus pour s'installer plutôt sur la banquise en plein pôle Nord (mythique), et où les mesures effectuées auraient plus de "signification", à moins que justement ce pôle nord (pourtant si près ) était totalement libre de glace et ne présentait que de l'eau où les mesures devaient être effectuées. Mais on ne nous dit rien à ce sujet, tout en affirmant pourtant que sous le pôle il y a 4200 m d'eau . A vous donc de juger cette "incohérence".

    Pour terminer notons enfin ce dernier paragraphe: " Cette mission observe aussi que, contrairement à ce qu'on croyait jusque là, la vie animale existe dans tout l'Arctique. Près du pôle, les Russes voient des oiseaux de mer, des ours blancs et des veaux marins s'ébattant entre les floes. Leur présence est le signe certain de celle des poissons".
    Il serait cependant intéressant de connaître les sortes d'oiseaux aperçus, et surtout s'il n'y avaient là, que des oiseaux de mer.(Voir plus bas, notre prolongement spécifique en date du 03/11/05)

VII Prolongement révélateur en date du 26/10/01.

    Grâce à l'initiative de l'aimable internaute , sur le site (http://www.cybersciences.com et à l'adresse exacte suivante: http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/n147.asp , nous avons découvert le très intéressant article suivant:
"Une oasis au cœur de la banquise arctique
Les eaux d'une région de la baie de Baffin sont étonnamment chaudes, ce qui favorise la prolifération du plancton et attire les animaux marins. Les origines de cette région constituent encore un mystère.
Canada

    17/07/1997 - Au printemps, la baie de Baffin près du pôle nord est encore recouverte par les glaces. Mais ces dernières ont déjà quitté depuis quelques semaines une partie de la baie vaste de 80,000 kilomètres carrés. Cette région baptisée les Eaux du Nord constitue ce qu'on appelle une polynie, mot russe signifiant une zone libre de glace.

    À cause de la pénétration de lumière dans les eaux de surface de cette polynie, une grande quantité de phytoplancton s'y développent. L'abondance de ces végétaux attire une diversité d'animaux, comme la morue arctique, les phoques, les bélugas, les narvals et plusieurs espèces d'oiseaux marins.

    " C'est une des régions les plus productives au nord du cercle arctique", affirme Louis Fortier, de l'Université Laval, qui dirige l'International North Water Polynya Study (NOW). Le but de ce projet, lancé cet hiver, est de comprendre comment cette zone libre de glace s'est formée ainsi que l'impact d'un tel phénomène sur l'écosystème arctique. Pour y arriver, 61 scientifiques de partout dans le monde étudieront la question pendant quatre ans, grâce à des fonds de recherche de 34 millions de dollars.
signé : Anne­Marie Simard
"
fin de citation.

    Cette information qui remonte d'après ce communiqué à 1997, n'a pas eu, malgré son caractère très insolite, à notre connaissance, une suite notoire et remarquable, dans les médias qui ont pignon sur rue. Reste à savoir pourquoi ?...Nous reparlerons, dans notre deuxième volet, de cette polynie , à propos d'un livre justement appelé "La mer libre du pôle" du Dr J.J Hayes publié chez Hachette en 1877.

VIII Autre information similaire en date du 28/10/01.

La revue "Pour la Science" n° 287 de Septembre 2001, en page 29, publie justement un article sur une page intitulé "Un trou dans la banquise", mais il s'agit cette fois de la banquise polaire australe. Nous notons alors les lignes: " Chaque année, le froid de l'hiver austral installe autour du continent antarctique une ceinture de glace qui s'étend sur plusieurs centaines de kilomètres. Toutefois, dans la mer de Weddel qui borde l'Antarctique au sud de l'Atlantique, une zone de l'océan ne gèle pas systématiquement, et dessine un trou dans la banquise. Selon David Michael Holland, du Centre des Sciences de l'Atmosphère et de l'océan de l'Université de New York, de la glace se forme dans cette région, mais les plaques ne s' agglomèrent pas en banquise, car un courant marin circulaire les éloigne les unes des autres. Ce courant naît de la rencontre des masses d'eau qui font le tour de l'antarctique et du mont de Maud, une montagne sous-marine. (de 3000m de hauteur dont le sommet est à 2000m sous le niveau de la mer :Note mentionnée plus loin dans l'article )
    Depuis une trentaine d'années que la région antarctique est observée par satellite, la formation d'une "polynye"(mot d'origine russe qui désigne une zone dépourvue de glace dans une mer gelée) est un événement rare. C'est en 1974 que l'on a constaté la polynye la plus grande avec une absence de glace sur une superficie proche de celle de la Grande-Bretagne.....
"


    Nous ne pouvons ici évidemment, citer tous les passages surprenants de cet article et nous invitons les internautes intéressés à s'adresser directement à la revue pour en avoir une copie. Notons cependant l'expression utilisée "un événement rare" et aussi l'écriture (avec deux Y) du mot "polynye" qui est différente de celle de l'article précédent d' Anne­Marie Simard et, écritures qui diffèrent toutes les deux, du mot "polynia", que nous avons découvert dans le livre pourtant ancien : "La mer libre du pôle" du Dr J.J Hayes mentionné déjà ci-dessus.

IX Autre information semblable en date du 09/12/01.

    Voilà le message que nous avons adressé ce 9 Déc. aux responsables de la chaîne satellite "Voyage":
----- Original Message ----
- From: idylle fred
To: DICOSTANZO, Isabelle
Sent: Sunday, December 09, 2001 11:38 AM
Subject: Les Oasis de L'Arctique

Bien chère équipe:

     Le samedi 8 décembre 2001, j'ai eu le privilège d'enregistrer votre volet de HUB Voyage intitulé "les Oasis de L'Arctique " dont le préambule du narrateur commence par ce qui suit : "Vaste étendue, glacée et inhospitalière, l'Océan Arctique demeure un des milieux les moins connus de notre planète. La région centrale de cette océan demeure perpétuellement couverte d'une banquise de deux à quatre mètres d'épaisseur, alors que sa périphérie ne se libère de glace que pour quelques semaines à la fin du bref été arctique. Au retour de l'automne, le couvert de glace envahit de nouveau l'ensemble du bassin arctique atteint à la fin de l'hiver une superficie de 15 millions de Km2 (environ 27 fois celle de la France: note du Webmaster).
     Fait étonnant même au cœur de l'hiver polaire, certaines régions de l'océan arctique demeurent libre de glace malgré le froid intense. Appelées polynies du russe polynia qui signifie piscine, ces vastes régions libres de glace constituent souvent des écosystèmes, spectaculairement productifs où la vie foisonne malgré les conditions extrêmes....."
    Ce préambule est déjà en lui même très énigmatique et j'espère que vous avez bien relevé les termes en rouge de ce texte. Je tiens à vous faire remarquer que cette émission n'a, à aucun moment présenté, la photo satellite du Pôle Nord, que la Nasa et les autorités militaires américaines ne diffusent que très rarement. On se demande pourquoi ? ...

    J'ai eu moi même à m'interroger à ce sujet et je vous invite à consulter mes extraordinaires conclusions en fin de mon article situé directement à l'adresse : http://www.artivision.fr/Byrd.html qui parle justement de cette polynie extraordinaire.
Veuillez recevoir chère super équipe de "Voyages", mes tropicales salutations de "l'île d'émeraude".
Fred Idylle .......

    Et le 13/12/01 nous avons reçu la réponse suivante:
----- Original Message -----

From: BERNARD, Florence
To: 'fred.idylle@wanadoo.fr'
Sent: Thursday, December 13, 2001 11:52 AM
Subject: emission : les Oasis de L'Arctique

Monsieur,
    Nous avons bien reçu votre mail du 9 décembre et vous remercions de l'intérêt que vous portez à notre chaîne.
    Nous avons pris note de vos remarques et les avons transmises au service concerné. Sachez que vos commentaires nous intéressent car ils participent à l'évolution de la chaîne.
    En vous adressant nos plus sincères salutations, nous vous souhaitons d'agréables moments sur Voyage.
Florence Bernard
Stagiaire Marketing
Service Presse Voyage.

X Autre prolongement révélateur en date du 22/11/02.

    Encore un coup de " super hasard " car le 19 /11/02 , nous avons découvert dans une Grande Surface, un article intitulé" Les Pôles fondent-ils vraiment ? " dans la revue La recherche l'actualité des sciences n° 358 de Nov 2002 page 35, revue que nous n'avons pas feuilleté assurément depuis des mois et pourtant qui s'est retrouvée sous nos doigts ce jour là, pour que nous puissons y découvrir la phrase suivante :" ...Nos lecteurs se souviennent peut-être aussi qu'à l'été 2000 un brise-glace russe emmenant des touristes, mais aussi des scientifiques de haut niveau, s'était retrouvé en mer libre pile au pôle Nord. L'un des chercheurs présents sur le bateau était James McCarthy, l'un des principaux responsables du GIEC. Il avait fait part de sa stupeur au New York Times : du jamais vu ! La bonne presse américaine publia un éditorial de Lester Brown, le médiatique secrétaire du Worldwatch Institute : "La découverte d'eau libre au pôle Nord apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la Terre fond, mais qu'elle fond à un rythme accéléré. " (La recherche Octobre 2000 page 114)
Bref, il est dans toutes les têtes que le réchauffement climatique est en train de s'attaquer aux glaces des pôles, et que nous filons un mauvais coton. Que sait-on vraiment, et que faut-il en penser? "

    Nous invitons donc avec déférence, les internautes qui pourraient nous transmettre les informations exposées dans ce n° de "La Recherche" d'Octobre 2000 concernant cette mer libre de glace, à nous toucher dès que possible. Merci mille fois d'avance.
     Voici deux photos mosaïques des deux pôles que l'on doit à la discrétion de l'agence Planetary visions



    La légende peu lisible de cette photo est alors : " Les Zones gelées proviennent ici d'une mosaïque d'images prises par le satellite militaire américain DMSP, au printemps arctique et au printemps antarctique. L'évolution de la banquise (mer gelée) est sans incidence sur le niveau de la mer. Seules les glaces reposant sur la terre ferme en ont une. Aux dernières nouvelles, les glaciers d'Alaska, qu'on aperçoit joueraient actuellement un rôle plus important que le Groenland ou l'Antarctique."

    Comme vous le voyez ces photos diffèrent grandement de celles obtenues par ESSA 3 en 1967 et ESSA 7 en 1968, où l'on voit nettement une trouée bizarre, du moins au Pôle Nord, dont nous vous rappellons ci-dessous la configuration insolite:



    En page 36 de la même revue , il est fait mention de L'Antarctique qui est la plus grande masse de glace de la planète avec ses 10 millions de km ² ( dix huit fois la France et donc à notre humble avis le Pôle Sud qui s'y trouve ne devrait pas être si facilement repérable dans cette immencité) et dont l'épaissseur atteint parfois jusqu'à 4,8 km (autant que l'altitude du Mont-Blanc). Il nous est précisé aussi qu'autour du Pôle Sud: " Il y fait extrêmement froid : à Vostok, célèbre lieu de forage russe au cœur de la calotte, la température moyenne est de -70 ° C en hiver et "monte" à -50 ° C en été. De l'avis général, il n'y a absolument aucun risque que cette masse de glace puisse être entamée parle réchauffement climatique prévu."

    Comme vous le voyez, l'Oasis de Benguer (voir plus haut) qui nous avait été mentionnée en Mars 1960 par le Science et Vie n° 510, a été complétement passée sous silence par l'auteur Mr Olivier Postel-Vinay de cet article, comme s'il n'en avait jamais entendu parlé. (Affaire à suivre donc)

XI Autre prolongement révélateur spécifique en date du 30/11/03.

     Il y a plusieurs mois, nous avons eu le privilège de parcourrir la page extraordinaire intitulée: "Location and Size of the Polar Openings" , que l'on pourrait traduire facilement par "Emplacement et taille des ouvertures polaires" et page accessible sur le site:
http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm

     Mais n'étant pas à l'époque, équipé pour en capturer les images spéciales de cette page, nous avons à notre grand regret dû simplement placer cette page dans notre dossier "Documents précieux". Aujourd'hui nous sommes en mesure de vous montrer ces documents exceptionnels (selon nous bien sûr) et surtout, nous implorons les mains jointes, toute personne qui maîtriserait parfaitement la langue de Shakespeare et celle de Voltaire de tenter traduire la page en question, ne ce serait-ce qu'à titre de curiosité, si cette personne ne croit pas du tout à la thèse présentée.

     Cette page nous présente un super croquis de l'ouverture nord que nous pouvons dès lors, vous montrer ci-dessous:



    D'abord nous constatons ( les côtes étant en milles) , que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 milles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec la côte présentée dans l'ouvrage en anglais de Raymond Bernard que nous avons sous la main, et dont nous vous présentons à nouveau, la photo de la couverture:



     Entre 1400 milles et 90 milles, il y a donc un bon écart et nous serions vraiment heureux de savoir, comment les auteurs du site précédemment nommé sont arrivés à cette conclusion. D'ailleurs, on ne sait pas non plus du tout, comment R. Bernard sans photos satellites, a pu arriver à ses 1400 milles de diamètre ( Voir plus haut : environ 2300km en arrondisant à la centaine supérieure) pour les deux trous. Aux spécialistes de répondre...car nous, notre rôle ne se résume qu'à vous présenter des faits et des documents relatifs à cette théorie fantastique de la Terre creuse sans pouvoir pousser les études physiques adéquates.

    Mais ce site va nous surprendre encore plus, car il nous précise que l'axe de rotation de la Terre ne passe pas du tout par le centre des ouvertures polaires sans doute peut-être à la suite d'un boulversement planétaire qui aurait fait basculer cet axe. Voici donc une image significative à ce sujet:



    Nous ne pouvons déduire de tout cela que si les spécialistes qui ont édifié ce site, ont pu nous sortir des shémas d'une telle qualité et d'une telle précision, c'est qu'ils ont eu accès à des informations ultra-confidentielles et que, par conséquent, l'heure est venue en effet, de dévoiler tout cela. Donc une sorte de déballage officiel en douce qui s'opposerait à la désinformation habituelle. Mais les deux hypothèses pourraient encore parfaitement se juxtaposer.

    Pour clore ce paragraphe, voulez-vous, la cerise sur le gâteau, que nous avons déjà présentée dans notre article merlibre.html :



     Il ne nous reste plus alors devant ce dernier shéma, qu'à prononcer stoïquement et avec résignation, les mots sibyllins des Anglo-saxons: "No comment..."

     Vous pouvez désormais à partir du 8/05/04 découvrir la traduction d'Eric G. du texte de ce site sur ARTivision à :

http://www.artivision.fr/ouverturespolaires.html


XII Prolongement révélateur spécifique en date du 29/04/04.


    Si nous n'avions au 30/11/03, rien à dire au sujet des deux excellents schémas qui précédent, il nous semble opportun aujourd'hui, d'ajouter ceci qui suit :

    Dans l'ouvrage "Les lieux énigmatiques" (1988) publié par un collectif d'auteurs, et paru aux Editions Time-Life, dans la collection "Les Mystères de l'inconnu" dans le chapitre 5, intitulé "Les entrailles de la Terre", il est mentionné ceci :

    " Mais les "croyants" furent soumis à plus rude épreuve lorsqu'en Mars 1959 , le sous-marin nucléaire américain Skate, après être passé sous la banquise arctique fit surface au pôle Nord. L'équipage se servit d'instruments de navigation inertes pour calculer la vitesse de rotation de la Terre et confirmer son arrivée au pôle, où la rotation est nulle en un point unique. Le commandant, James F. Calvert, écrivit plus tard: " Avec une précision extrême, nous fîmes des sondage, des mesures de gravité et des relevés de position, pour nous assurer que nous avions atteint le pôle géographique et que nous recueillions le plus de données possibles sur ce point célèbre."

     Dans un autre document de Paul-Emile Victor publié par le périodique Télé Sept Jours (date hélas non notée, mais probablement début de 1980) nous notons l'explication suivante:

"    Victoire de la technique: Le 3 Août 1958 , le sous-marin atomique "Nautilus " émerge au Groenland, après avoir navigué sous la glace, prouvrant ainsi une route rapide et sûre entre le Pacifique et l'Atlantique. Puis c'est le "Skate" qui après avoir parcouru cinq mille kilomètres en 16 jours sous la glace , en plein hiver, réussi l'exploit de faire surface en crevant la croûte glaciaire:


Présentation du document par Paul-Emile Victor



Présentation du sous-marin "Whalle" surgissant aussi au milieu de la glace.



Le 2 Août 1962 le "Skate" et le "Sea Dragon" se rencontrent tous les deux, au Pôle Nord
après avoir pris des chemins différents. "



    Il va s'en dire donc, que nous ne sommes pas qualifiés pour mettre en doute les calculs et les relevés faits avec tant de précision par les explorateurs polaires des sous-marins en question. S'ils affirment être arrivés vraiment au point où la rotation terrestre est nulle, pourquoi n'auraient-ils pas raison, puisque l'axe réel de rotation de la planète ne coïncide plus avec l'axe centré sur les ouvertures polaires à la suite probablement d'un bouleversement planétaire, comme le pense Immanuel Velikovsky dans son ouvrage célèbre "Mondes en collision".

    Cela n'enlève rien, au fait que l'existence au dela des pôles d'une zone bien plus chaude que celle archi-froide connue de la région, est la seule hypothése capable résoudre les phénomènes inexplicables qui s'y passent et que nous avons déjà évoqués amplement sur ARTivision.

XIII Autre prolongement révélateur spécifique: Quand la Presse russe s'en mêle.

     Le 25 novembre 2003, nous avons eu la surprise de recevoir une missive de l'aimable internaute Mikhail Smeretchanski vivant à Marseille, mais qui est d'origine ukrainienne, qui effectivement fait toutes ses études en Ukraine dont il connait très bien la langue. Il maîtrise d'autre part également parfaitement le russe, et peut lire aussi le polonais.

    Dans cette missive, il nous a fait parvenir le document en russe suivant :



    Nous lui avons demandé évidemment de nous en présenter une traduction que nous avons par la suite d'un commun accord, ajustée de la manière suivante : (les couleurs sont évidemment de nous, mais pour l'instant nous n'avons pas pu déterminer ni le nom du journal de cet entrefilet, ni sa date parution ce jour 30/11/03 à 9h50)

L'entrée de la tanière de l'enfer photographiée de l'espace ?


    Bien sûr, les sceptiques pensent, que Byrd a été l'objet d'un mirage ou d'une hallucination. Mais le 23 novembre 1968, le satellite américain ESSA - 7 a transmis une photo de Pôle Nord où l'on voyait grand trou noir !

     De même en 1989 sont apparues les photos de Pôle Nord de notre voisine Venus. Et on y voyait le même trou noir !

    Ses clichés ont permis aux scientifiques d'affirmer : Obroutchev, peut-être, avait en partie raison. ( Note du webmaster : Voir au sujet du savant Obroutchev, notre article placé à :

http://www.artivision.fr/merlibre.html ).

   La Terre n'est pas constituée d'une masse rocheuse compacte, mais plutôt ressemble à un gros ballon de foot : elle est vide à l'intérieur. Et si on y trouve le vide, pourquoi ne pas imaginer, que dans ce vide vivent des êtres, dont on ignore l'existence ?

    Un des arguments scientifiques en faveur de la théorie de la "Terre creuse" réside dans la comparaison de la surface de la planète et de son poids : Une si grande bille, si elle est totalement remplie de roches, devrait peser beaucoup plus! Soit elle est vide, soit elle est poreuse, il ne peut en être autrement! En effet, dans le monde scientifique, maintenant est très populaire l'idée des mondes "troués" - que l'on appelle scientiquement le monde fractal -( Note du webmaster : voir au sujet de la théorie des Astres creux le site :

http://science-univers.qc.ca
et aussi l'article placé à :
http://science-univers.qc.ca/cosmologie/creux.htm#idylle1 )
.


    Les cavités existent pratiquement partout : dans les plantes, les cheveux, les os, les briques et les molécules. Si toute la nature est faite comme ça, pourquoi l'intérieur de la Terre ne peut-il pas contenir des trous?

    En général, les physiciens maintenant imaginent des idées plus tordus que celles que l'on accorde aux des écrivains de science-fiction. Il existe même la théorie de "l'univers miroir" - dans laquelle l'espace se comprime d'une façon bizarre, si bien que si une sphère contient a l'intérieur, une autre, cette dernière devient est plus grande que la première! Et à l'intérieur de notre Terre peut se cacher une autre Terre!

Ne va -on pas là, dans un monde diabolique ?

    Pour quand même trouver la vérité, David Stevenson professeur de géophysique de l'Institut Technologique de Californie à l'intention d'envoyer des appareils scientifiques, vers le centre de la Terre. Comment? Le Projet de Stevenson est simple: on prend ..... (l'article est hélas ici tronqué)

Fin de la traduction

    Nous espérons vivement pouvoir un jour retrouver les éléments manquants de ce document et l'aide de toute personne connaissant le russe serait particulièrement appréciée

    En conclusion, si nous comprenons bien, l'auteur de l'article fait référence dans les titres qu'il utilise (que nous avons mis, en gras et en rouge et en bleu) à cette notion littéraire qui imagine que l'enfer est sous nos pieds à l'intérieur de la Terre sans doute au coeur du métal en fusion imaginé par la théorie scientifique admise couramment....On n'en reparlera sûrement...

    A 11H 30, ce jour même, nous avons reçu la suite de ce texte qui parait-il vient d'être publié sur Internet le 13 Nov 2003 à l'adresse suivante : http://www.kp.ru/daily/23156/24633/

    Voici donc le reste du paragraphe tronqué...



dont une traduction approximative pourrait-être :
    " On prend une charge nucléaire de 2 a 3 tros fois la puissance de celle d'Hiroshima puis la fait exploser dans point exact pour que dans l'écorce terrestre se forme un "trou" de 30 cm de largeur et de quelques centaines de mètres de profondeur. Nous y versons ensuite dans l'entonnoir obtenu, du métal en fusion. La masse chaude rampera de manière infernale, vers le centre de la planète, parce que sa densité est plus grande, que celles des roches. Le métal chauffé plongera à la vitesse de 5 mètres à la seconde et en quelques jours atteindra le noyau de la Terre.

    L'avalanche infernale poussera devant elle-même, la petite sonde scientifique de la taille d'une balle de tennis. celle-ci racontera aux expérimentateurs ce qui se passe dans le règne souterrain : Y fait -il chaud ou froid ? Quelle pression y règne t-il ? y trouve t-on la rivière Styx ? (Note du webmaster : fleuve des Enfers dans la mythologie grecque) et y a t-il une place pour les entités diaboliques ?

    Il resta à trouver l'emplacement, qui soit adéquat, qui ne craigne pas la frature tectonique et qui soit au moins inhabité. Le bon professeur a décidé d'abord que l'Islande froide conviendrait au mieux , mais a changé d'avis ensuite : "J'aime l'Islande. J'ai là-bas des amis. Mais le projet vaut la peine - a raison de 10 milliards de dollars-. "
"


     En fin de compte, nous aurions bien pu nous passer de mettre en ligne ce ridicule projet du Pr David Stevenson qui dénote une mentalité d'apprentis sorciers découvrant tout juste l'énergie atomique autour de 1945. S'il avait au moins imaginé une foreuse spéciale fonctionnant à l'énergie atomique ... il pourrait avoir au moins une très petite chance que l'on lui décerne "le prix Jules Verne"...

     Il ressort d'autre part que l'entrefilet russe présenté plus haut n'est qu'une partie d'un plus grand article. Si un internaute veut nous traduire tout le reste, nous le remercions à l'avance, mais vu la profondeur des propos ci-dessus, nous pensons qu'il vaut mieux qu'ARTivision en reste là pour aujourd'hui.

XIV Prolongement révélateur spécifique en date du 18/01/05 au sujet du Science&Vie de Nov 2004.

     De nombreux internautes ont eu la gentilesse de nous envoyer, la photo suivante de l'Antarctique extraite de la page 151, du numéro 1046 de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004 :



    La légende qui présente cette photo est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que ce gigantesque trou n'est pas là par hasard et une fois encore, il vise à masquer l'incroyable et le satellite en question semble bien avoir quelques trous de mémoire.

    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue qui a pignon sur rue dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un trou gigantesque, sans aucune explication.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir) et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au dessus des pôles (le satellite bien connu Spot non plus: voir notre article: Byrdsuite.html), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)


XV Prolongement spécifique en date du 03/11/05 : Une affaire énigmatique d'oiseaux dans les régions polaires.



    Dans un paragraphe précédent en date du 21/03/01, où il est fait état de l'article intitulé "L'Arctique devient une plate-forme stratégique" du contre amiral Lepotier, paru dans le "Science et Vie" n° 422 de Nov. 1952, nous avons mis en exergue le paragraphe suivant :

" Cette mission observe aussi que, contrairement à ce qu'on croyait jusque là, la vie animale existe dans tout l'Arctique. Près du pôle, les Russes voient des oiseaux de mer, des ours blancs et des veaux marins s'ébattant entre les floes. Leur présence est le signe certain de celle des poissons ".

    Et nous disions alors qu'il serait cependant intéressant de connaître les sortes d'oiseaux aperçus, et surtout s'il n'y avaient là, que des oiseaux de mer.

    Une certaine réponse nous est proposée par la revue "La Recherche" n° 390, d'Octobre 2005, qui fêtait son 35è anniversaire. (Voir la couverture de cette revue à la fin notre article Byrdsuiteplus.html).

    En effet nous y trouvons en page 95, l'entrefilet significatif suivant :



    Vous avez bien noté, la performance surprenante de la sterne arctique qui peut parcourir 30 000 km, pour passer de la zone froide arctique son lieu de nidification, à une autre zone froide antarctique, sa zone d'hivernage.

    Pour expliquer cela, on nous dit qu'il y a des ressources alimentaires, très abondantes dans les zones froides des pôles...Mais cette réponse sous-entendrait pour la sterne, que l'Antarctique serait plus attirante pour sa nourriture, car elle n'aurait que quelques battements d'ailes, à faire pour s'alimenter après sa nidification dans le bassin arctique lui-même, aussi bien pourvu de nourriture. A moins que cela soit une affaire d'hiver au nord , quand c'est l'été au sud et où la nourriture est plus abondante. On ne nous explique pas cela hélas dans cet entrefilet. Mais aussi, certaines sternes n'auraient-elles pas trouvé un chemin plus court et plus reposant, pour passer d'un pôle à l'autre ? Vous voyez certainement ce que nous entendons par là ..!

    Il est aussi dit que les hirondelles de cheminée et la fauvette des jardins, partent passer l'hiver en Afrique du sud. A-t-on l'assurance qu'elles ne vont que là, et qu'il n'y en a pas qui arrivent jusqu'à certaines "oasis de l'Antarctique" ?

    Il serait donc utile de bien répertorier avec soin, les volatiles qui évoluent dans ces régions polaires et on aurait sans doute bien des surprises.

Dans l'ouvrage du Dr Elisha Kane "Arctic Explorations" Tome I (1856), on peut lire après traduction :

    " ...Depuis la limite méridionale de cette banquise jusqu'à la région mystérieuse de l'eau libre, il y a, à vol d'oiseau , 180 km. N'eût-ce été la vue des oiseaux et l'affaibblissement de la glace, ni Hans ni Morton, n'en auraient cru leurs yeux, n'ayant aucune prévision de ce fait...

    La vie animale, qui nous fait défaut vers le sud, leur apparut d'une manière saisissante. Au havre Rensselaer, à l'exception du phoque nesik ou du rare héralda, nous n'avions aucun objet de chasse. Mais l'oie de Brent, l'eider et le canard royal, étaient si nombreux que nos voyageurs en tuaient deux, d'une simple balle...

    ...Là, pour la première fois, il remarqua le pétrel arctique (procellaria glacialis). Ce fait démontre la régularité de son observation, quoiqu'il n'en connût point l'importance. L'oiseau n'avait pas été vu depuis que nous avions quitté les eaux hantées par les baleiniers anglais à plus de 325km au sud. Sa nourriture essentiellement marine, consiste en acalèphes, etc... Il s'attroupe rarement , excepté dans les parages fréquentés par les baleines et plus grands animaux de l'Océan. Ici les troupes de ces pétrels se balançaient au dessus de la crète des vagues, comme le font les représentants de la même espèce, dans les climats plus doux...

    ...Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ?
"

    Notons que ce dernier et surprenant paragraphe se retrouve aussi cité dans l'ouvrage remarquable de J Hayes "La mer libre du Pôle" de 1877.

    Pour en terminer avec le sujet, toujours passionnant, de ces volatiles polaires, reprenons ce que nous trouvons dans un ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2.

Page 94 : Autour du 81° de Lat Nord en Mai 1895, il est écrit: " Au milieu de cette banquise, nous ne nous attendions guère à rencontrer une faune ailée abondante. Aussi, grande fut notre surprise, le 13 mai, le jour de la Pentecôte, à la vue d'une mouette. À partir de cette date, quelques oiseaux viennent tous les jours voler autour de notre radeau de glace. Des pagophiles blanches (Larus ebccrrieccs L.), des mouettes tridactyles (Larcs tridact)rlus L.), des pétrels arctiques (Procillarica glacialis), parfois des mouettes bourgmestres (Larus glacccccs L.), des mouettes argentées (Laracs argentatus), des guillemots (Uria giylle). Une ou deux fois, nous aperçûmes des stercoraires (Lestris parasitica), et, le 31 juillet, un bruant des neiges.

    Le 3 août, nous eûmes la visite de mouettes de Ross (Rhodostethia rosea) et j'eus la bonne fortune de tuer trois jeunes exemplaires de cet oiseau rarissime. Ce mystérieux habitant de l'extrême nord, nul ne sait où il va, ni d'où il vient.

    Depuis que nous sommes dans ces parages, je l'ai toujours guetté ; le voici qui arrive juste au moment où je m'y attendais le moins.

    Le corps des trois mouettes de Ross que j'ai tuées mesurait une longueur de 0,32 m. Elles avaient le dos et les ailes gris, le ventre et les côtés blancs, légèrement teintés d'orange, et autour du cou un collier gris. Un peu plus tard ce plumage change. Le dos devient bleu, le ventre rose et le collier noir.
"

    En conclusion, comme vous le voyez, il reste encore beaucoup de choses qui nous échappent, sur cette concentration d'oiseaux, dans ces bassins polaires, oh combien mystérieux.

XVI Prolongement spécifique en hommage à Wolf Lintz en date du 19/12/05.


    Le 25 Avril 2001, nous avons reçu de notre ami Pierre Lux (un nom bien prédestiné) les trois volets de l'excellent article de Wolf Lintz intitulé "les Mondes Creux" qui était à l'époque visible sur le site : http://www.wofflinzt.com, non opérationnel désormais.

    Nous avons alors félicité l'auteur pour la qualité de son travail au sujet de "la théorie de la Terre creuse et des ouvertures polaires", et nous avons été heureux par la suite d'échanger quelques missives avec lui.

     Donc en dehors des informations que nous connaissions déjà, Wolf Lintz, nous expliquait qu'il avait découvert un dossier remarquable de la revue "CIEL et ESPACE" de Juin 1992 intitulé "Le vrai visage de la Terre" où l'on pouvait lire cette chose surprenante : " De vastes régions du globe sont encore largement inexplorées, en particulier dans l'Antarctique. Surprise : le Groenland et le continent blanc lui-même ont révélé au radar du satellite ERS de grandes différences de relief par rapport à la cartographie traditionnelle. Sur ces images, le relief de la Terre antarctique est reconstitué d'après les données fournies par le satellite européen. Différences d'altitude découvertes par ERS : plus de 500 mètres !".

     Plus loin, on pouvait lire : " ERS a mis en évidence d'importantes inexactitudes dans les actuelles cartes du relief du continent antarctique".

Première photo de l'Antarctique:



A - L'Antarctique vue de face selon les clichés établis par le satellite ERS en 1992. La banquise de Ross est inexistante et une monumentale dépression perfore le continent blanc.

Deuxième photo de l'Antarctique:



B - L'Antarctique vue de profil selon les clichés établis par le satellite ERS. Les dimensions du trou sont sans appel : 1/3 et demi par rapport au reste du continent.

Troisième photo de l'Antarctique:



C - L'Antarctique vue de dos selon les clichés établis par le satellite ERS.


    Pour en savoir plus, prière donc de se reporter aux supers pages des sites de Wolf Lintz :

ou directement à :
    Nous aurions évidemment pu vous parler bien plus tôt de cela...Mais sur ARTivision, on le sait , chaque chose arrive en temps voulu et nous venons aujourd'hui rendre hommage à Wolf Lintz, pour avoir en exclusivié à l'époque, parlé de ce dossier important de la revue "CIEL et ESPACE"

    Surprenant n'est-ce pas cette plongée topologique dans le monde de l'Antarctique. Quant à nous pour terminer, et il ne nous reste qu'à demeurer plutôt stoïque envers tout cela et comme les anglos-saxons embarrassés, disons alors en la circonstance, les mots clefs : No comment.

XVII Prolongement révélateur en date du 01/08/06 concernant le n° 9 de juillet-Aout de "Science magazine".

    Nous avons sous la main, ce n° en question qui nous parle entre autres choses du "monde fascinant des pôles", et des exploits des nouveaux aventuriers de ces régions glaciales :


    Nous y découvrons alors en page 14, cette tête de chapître :



    Nous apprenons alors que les explorateurs Mike Horn et Borge Ousland sont partis le 22 Janv. 2006, du Cap Artichesky (En Sibérie) pour une expédition au Pôle Nord qu'ils atteignent, nous disent-ils, le 23 Mars.

    Mais entre temps, il se passera un évémement surprenant qui ne pouvait que nous interpeller. En effet 55 jours, après leur départ soit le 17 Mars, ils écrivent cela dans leur carnet de bord :

     Page 16 : "...Vous n'allez pas le croire, mais nous avons apeçu furtivement un petit bout du soleil. En même temps nous avons regardé la température et il faisait - 38°C. C'était incroyable de revoir enfin le soleil et ça nous a redonné un coup de fouet et nous nous sentions bien...."

Hélas aucune indication ne nous est donnée sur les caractéristiques de ce soleil et son image était-elle plus au nord ou plus au sud ? A quelle latitude nos explorateurs de trouvaienr-il exactement? Mais ils nous disent cependant plus bas : " Plus que 160 km et il n'y a qu'un souci pour le moment. Pendant que je vous parle Borge est en train de scier ses skis en deux... "

     Cette distance de 160 km au Pôle Nord devrait nous permettre de calculer la latitude atteinte.

En effet à la page 113 de l'ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 nous lisons : "Du 83 ° au pôle la distance est de 420 milles ou de 777 km". Donc grosso modo ces explorateurs devraient se trouver à environ 88,6° . Or d'après le schéma suivant :



le 17 Mars se situe 3 jours au moins avant l'équinoxe de printemps et on se trouve encore à 88,6° totalement dans la zone crépusculaire. Aux spécialistes de nous dire si le soleil pouvait pointer son nez quelque part dans cette zone polaire ce jour là ? Toujours est-il que nos explorateurs eux même avouent s'être trompés à propos du soleil vu ce 17 Mars:" Nous sommes à l'équinoxe de printemps et le soleil est là 24 heures sur 24. Nous n'avions pas réalisé que, ce que nous pensions être le soleil les jours précédents, n'était que le reflet du soleil. Ce n'était pas le soleil. Maintenant, après 3 mois, nous voyons vraiment le soleil et c'est totalement différent. Pour la première fois hier, il y avait des ombres. On croit même percevoir la chaleur des rayons mais ce n'est qu'une illusion. C'est vraiment un sentiment extraordinaire. "

     Cette affaire de soleil fictif, ne nous rappelle le rien ? Prière alors de se reporter à notre article :


au paragraphe commençant par l'expression :

    "Nansen, à la page 394, dit : " Aujourd'hui une autre chose remarquable est arrivée, qui était qu'environ midi nous avons vu le soleil, ou pour être plus correct, une image du soleil, car il ne pouvait qu'être qu'un mirage.....

    En conclusion remercions la revue Science magazine de nous avoir donné ce temoignage plutôt insolite des explorateurs Mike Horn et Borge Ousland. Eux seuls pourront, un jour, nous expliquer davantage cette affaire de soleil mirage, qui nous interpelle aujourd'hui. Et donc à vous de juger une fois de plus tout cela.

XVIII Prolongement insolite spécifique en date du 12/09/06.

    Super-hasard étant toujours à l'affût des pérégrinations du Webmaster d'ARTivision, il lui a fait mettre la main, il y a très peu de temps sur un vieux Paris Match, possèdant un dossier spécial sur le Pôle Sud. En relisant attentivement ce dossier près de trente six ans après sa sortie, voila ce que nous y avons découvert :

     Ce dossier de 19 pages (du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970) est intitulé "Pôle Sud 70" et a été élaboré par les grands reporters de l'époque Raymond Cartier et Stéphane Groueff. Les principaux épisodes reliés au Pôle Sud y sont évoqués avec un grand réalisme.

    Après nous avoir parlé des premiers explorateurs du Pôle Sud et en particulier du lieutenant de l'US Navy Charles Wilkes et du capitaine de vaisseaux Jules Sébastien Cesar Dumont d'Urville, du capitaine de phoquier anglais Weddell, le récit se poursuit ainsi, page 106 :

     "Celui qui sortit l'Antarctique de l'incertitude, qui le fixa dans la qéographie, est sir James Ross. L'histoire de son voyage est une féerie au milieu des tragédies que sont si souvent les explorations polaires. Les deux solides navires de Ross, Erebus et Terror, se frayèrent d'abord une route dans un pack assez lâche, puis, à l'émerveillement des équipages, la mer libre s'ouvrit à perte de vue devant les étraves. Quelques jours plus tard, une chaine de très hautes montagnes se dessina à tribord. Ross les longea, après avoir planté le drapeau britannique sur le rivage, au milieu d'une foule de pingouins médusés. Cinq cents milles plus au sud, au bord d'une mer toujours libre, un spectacle plus prodigieux encore sortit des flots. Un formidable volcan, que Ross appela l'Erebus, se couronnait d'un panache de fumée. Un autre, qui fut appelé la Terror, était assoupi dans le lointain. Un large chenal partiellement libre de glaces, auquel Ross donna le nom de son second, McMurdo, pénétrait encore plus profondément dans le sud. Ross s'y engagea et, sous le 76e parallèle, trouva enfin le terme de sa navigation fortunée : une falaise de glace de 150 mètres de haut, bleue et verte dans ses profondeurs insondables, entaillée à sa base par des cavernes où venait mourir l'eau engourdie par le froid. L'Antarctique, cette fois, était magnifiquement découvert.

    Puis il se passa une chose extraordinaire : cette découverte n'intéressa personne. Elle avait eu lieu en 1841. Pendant les 55 ans qui suivirent, l'histoire des explorations de l'Antarctique est une page blanche. Les phoquiers achevaient d'exterminer les phoques à fourrure. Les baleiniers ayant à peu près éteint la baleine franche s'attaquaient à la baleine à dents, au grand cachalot des mers du Sud. Mais ni les gouvernements, ni les sociétés savantes,, ni les particuliers ne se souciaient de franchir la porte ouverte par sir James Ross, d'élucider le mystère du continent austral.
"

    Vous avez bien noté, nous l'espérons, cette affaire de mer libre au dela du 76 ° de latitude sud et cette histoire pas bien explicitée ici de cette falaise de glace de 150 mètres de haut, bleue et verte. S'agit-il d'une illusion d'optique ou vraiment de quelque chose de bien tangible. Les auteurs ne nous éclairent pas hélas sur ce détail important.

    Plus loin page 108, on trouve :

    "Au bout de trois semaines, ils virent se dessiner de grandes montagnes auxquelles une illusion d'optique prêtait un manteau de forêts qu'on aurait dit dorées par l'automne. Ils choisirent pour les escalader un glacier étroit et raide dans lequel l'avance fut pénible, retrouvèrent l'horizontalité à 3 600 mètres d'altitude, crurent qu'aucun obstacle ne s'interposait plus entre eux et le pôle. Amundsen fit abandonner deux traîneaux et abattre les vingt-quatre chiens les moins robustes. " Ce fut dur, mais nous avions juré de ne reculer devant rien pour atteindre notre but. "

    Novembre s'achevait. Scott n'avait pas encore atteint le pied du glacier Beardmore. Ses tracteurs l'avaient lâché à quarante milles de sa base. Neuf poneys étaient morts et les autres s'épuisaient à vue d'oeil. Le fantasque climat antarctique faisait passer sur le Shelf une vague de chaleur, poussait le thermomètre jusqu'à 32° Fahrenheit, qui correspondent à zéro centigrade et la neige amollie rendait la marche extrêmement pénible.
"

    Cette fois, c'est l'augmentation surprenante de la température qui étonne n'est-ce pas, mais hélas on ne nous dit pas à quelle latitude, on était.

    Mais il y a mieux page 110 :

    "Contrastant avec le pourtour marin, l'intérieur du continent est le domaine de la mort. Ou, plus exactement, de la non-vie.

    Cette stérilité de l'Antarctique, on la crut encore plus totale qu'elle ne l'est. Lors de mon premier voyage, on m'avait dit qu'en dehors de 1a péninsule antarctique, où végètent quelques lichens, la vie continentale n'était représentée que par une demi-douzaine de bactéries identifiées dans les vallées sans glaces voisines de McMurdo. Le catalogue s'est amplifié. On a découvert jusqu'à 480 kilomètres du pôle une algue microscopique et, vivant d'elle, le géant de l'Antarctique continental, un arthropode de près d'un millimètre de long !

    Fourmillement de la mer. Désert de la terre. Cependant, il arrive que la vie marine s'aventure vers le coeur totalement inhospitalier du continent. On a toujours trouvé des phoques momifiés à ces distances importantes des rivages, parfois à mille mètres au-dessus du niveau de la mer. Le docteur Wakefield Dort, de l'université du Kansas, a refusé l'interprétation suivant laquelle ces désespérés sont de vieux misanthropes allant mourir à l'écart de la foule. Ce sont, au contraire, de jeunes individus. " Nous en avons trouvé un, nous a-t-il dit, il y a neuf mois, sur la glace, au-delà des vallées sèches. Son corps était encore souple et du sang coulait encore de ses narines. II n'avait probablement pas plus d'un mois." L'hypothèse d'un bébé égaré, abandonné par sa mère, serait plausible si la trace n'était pas rectiligne, comme celle d'un être qui sait où il va.

    II restait une dernière surprise : Dort appliqua au cadavre tout frais l'épreuve du carbone 14. Elle témoigna que l'animal était mort depuis 700 ans! On ne sait pas pourquoi le carbone 14 est indigne de foi dans l'Antarctique.

    Le cas des pingouins est plus extraordinaire encore. Le 31 décembre 1957, l'expédition Ellsworth trouva une trace absolument rectiligne de pingouin empereur, se dirigeant vers l'intérieur du continent, à 450 kilomètres de toute étendue marine. Deux jours plus tard, le docteur Charles Bentley releva une trace analogue et les excréments d'un pingouin Adélie dans la région de Byrd, à 360 kilomètres de la mer. De multiples observations ont été faites depuis lors. Or le pingouin ne vole pas. II marche en station debout ou glisse sur la glace en se servant de ses moignons d'ailes comme propulseurs. On se demande vers quels rendez-vous macabres se hâtent ces solitaires, si loin de leur milieu nourricier.
"

    Rendez-vous macabre ou appel irrésistible d'un paradis ancestral (situé bien plus au nord des rivages habituels), enfoui dans mémoire instinctive de l'animal ? A vous de juger une fois de plus, tout cela !!!

XIX Autre prolongement insolite spécifique en date du 23/09/06.

    Le 22 Septembre 2006 , nous avons eu le plaisir de recevoir de l'ami Heinz de Suisse, l'adresse du site Internet suivant :



    Voici donc ce que l'on y découvre concernant le Pôle Nord :

Vendredi 22 septembre 2006

On peut arriver en bateau au Pôle Nord !




    La semaine dernière, j’attirais votre attention sur le fait que la banquise arctique fondait 10 à 15 fois plus vite qu’avant, et en illustration, on comparait la calotte glaciaire arctique en 2004 et 2005. Eh bien, regardez la photo ci-dessus. A gauche, vous avez une image de la banquise prise le 24 août 2005, et à droite, la même image prise le 24 août 2006. La partie rose représente la banquise "solide" à 100% de glace, et la partie jaune représente une zone "libre" où a on des morceaux de glace épars et dissociés. Voici un gros plan du 24 août 2006 :


    Ce qui a choqué les scientifiques dans cette image, c’est que, pour la première fois, il aura été possible, cet été, au mois d’août, d’atteindre le Pôle Nord en bateau ! C’est du jamais vu, et la fonte de la banquise arctique se produit à une vitesse bien plus élevée que prévu:

Crédit photo : Greenpeace/ Beltra

    Les premières victimes de cette fonte de la banquise sont les ours blancs qui n’arrivent plus à se mouvoir sur la banquise en marchant dessus, et beaucoup se noient déjà ...

    Pour en savoir plus :

Pour en savoir plus :
1. Arctic summer ice anomaly shocks scientists (ESA)
2. Scientists shocked as Arctic polar route emerges (Yahoo news)
3. Polar bears drown, islands appear in Arctic thaw (Yahoo news)

Sur le même sujet :
1. La banquise arctique fond 10 à 15 fois plus vite qu’avant (Gaïa - 14 septembre 2006)
2. La banquise se retrécit (Gaïa - 1er octobre 2005)
3. Les ours polaires sont menacés par le réchauffement climatique (Gaïa - 27 décembre 2005)
4. La glace de l’Antarctique perd 152 km3 par an (Gaïa - 4 mars 2006)


AUTEUR DE L'ARTICLE
Luc (Avignon)

    Un baby-boomer. J’avais 20 ans en mai 68. J’ai regardé ce monde évoluer dans des directions qu’on pensait pertinentes au départ et qui, avec du recul, se sont révélées moins judicieuses que prévu. J’ai beaucoup voyagé dans le monde entier, et j’ai ainsi appris qu’on faisait tous partie de la même humanité. Ce qui est moins évident à comprendre quand ne sort pas de chez soi et qu’on a peur de son voisin de palier. Je suis un optimiste indécrottable. Mais j’avoue que, ces derniers temps, j’ai un peu de mal. Actuellement, je vis en Provence, (...)

    Fin de citation

XX Autre prolongement insolite spécifique en date du 08/10/06.

    Le Mercredi 04/10/06, nous avons eu l'opportunité de regarder le journal télévisé de 19/20 de France 3 retransmis par RFO guadeloupe.

    Dans un volet relatif au déréglement climatique de la planète, un interlocuteur patenté a présenté sur un écran vidéo la calotte polaire nord. Mais ce qui nous a frappé d'emblée, c'est qu'il y figurait un super disque noir à peine plus petit que celui que nous avait présenté le Science&Vie de Nov 2004, dont (pour vous éviter de remonter dans cet article), vous voyez ci-contre à nouveau a droite l'image réduite :

     Hélas nous n'avions pas capté sur DVD ces informations, et nous nous sommes précipités à l'adresse :


pour retrouver ce volet sur les déréglements climatiques, mais malheureusement, nous n'avions pas le logiciel pour capter les images du film où figurait le disque noir. Le 6/10/06, nous en avons parlé tout à fait par hasard , à notre cousin Patrick, Directeur d'une école de langues, à Basse-Terre, qui nous a alors dit qu'il possédait un logiciel requis et qu'il allait nous envoyer les images en question.

    Merci donc une fois de plus à Super Hasard et voici donc trois clichés parmi ceux que nous avons reçus :

    


    Que peut-on dire des photos surprenantes ? Nous avions toujours cru que le pôle géographique était symbolisé par un point et non un disque. Sur la photo de gauche relative à l'année 2005, il aurait suffit de placer un petit point noir et tout à côté l'inscription bien visible, (en jaune par exemple), "Pôle Nord". Passons, on nous dira que le disque noir, c'était pour mettre en relief l'inscription. Mais pour 2006 on a carrément oublié de l'inscrire ce qui est plus étonnant. Vite, appelons à notre secours, l'intertnaute fabrice c...., dont nous avons parlé dans notre article :

, et qui nous affirmait sans sourciller: " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire..."

    Eh oui bien sûr, comme c'est évident pour tout un chacun, et surtout, on attendait cette fois que l'interlocuteur scientifique de l'émission, nous en dise quelques mots de plus que le Science&Vie de Nov 2004. Mais non...rien de plus...C'est l'éclipse totale. Revoyez le disque des images 2 et 3, justement c'est très ressemblant à une éclipse... n'est-ce pas ?

A vous de juger, une fois de plus, tout cela...

XXI Nouveau prolongement révélateur en date de 02/11/06.


    Le 27/09/06, nous avons eu, le plaisir de recevoir de notre ami François S....... de Paris, les deux images très intéressantes que voici :

    La première image est :


     Cette image est relative au site http://www.hollowplanets.com/, et nous avons parlé du livre en question dans notre biblioterrecreuse.html tel que :

    HOLLOW PLANETS. A feasibility study of possible hollow worlds . (Could the planets Mercury, Venus and Earth be hollow?) LAMPRECHT JAN, 1998, USA WORLD WIDE PUBLISHING. ISBN: 0-620-21963-7 (C).

    A notre connaissance, ce livre pourtant vieux de huit ans, n'a jamais été traduit en français.

    Faisons ici en passant une petite digression : A propos de ce livre, nous avons contacté, il y a pas mal de temps, (Nous avons hélas perdu cette missive suite à des problèmes informatiques) l'éditeur Albin Michel, pour l'inviter à prendre rapidement les devants en traduisant en français cet ouvrage de LAMPRECHT JAN qui est, selon nous, aussi important que le livre "La Terre creuse" de R. Bernard, que cette maison d'édition avait eu l'audace de traduire et de publier en 1971.

    Nous n'avons jamais reçu de réponse... Il s'agit certainement d'une nouvelle équipe peu avertie des importantes données vraiment ésotériques (concernant la planète Terre), qui circulent actuellement sur le Web. Souhaitons cependant que la maison Albin Michel (qui a su si bien, nous ouvrir l'esprit, avec son incomparable collection "Les chemins de l'impossible"), et à qui donc, par tradition, cette traduction devrait revenir de droit, ne se fasse pas court-cicuiter par une autre maison plus avisée de la marche du temps. (Fin de la digression)

    La seconde image est celle-ci :



    Evidemment, ce qui frappe à l'œil immédiatement, c'est encore ce disque noir placé presqu'au centre de l'image. Voici ce qu'on nous dit sur le site :

    :

Antartic Image (NSCAT)

    Illustrates an image formed from NSCAT sigma-0 measurements and demonstrate the wealth of information contained in the scatterometer data. This image shows Antarctica and the surrounding sea ice constructed from 6 days of scatterometer data in Sept. 1996.The black circle in the center of the image is where no data was collected owing to NSCAT's orbital and sampling geometry. The dark band around the continent is sea-ice pack surrounding Antarctic.



    Et l'ami François, nous dit au sujet de la phrase en rouge :

" la phrase stipule :

"le cercle noir dans le centre de l'image correspond à une zone où aucune donnée n'a pu être collectée par le satellite de par son orbite et son positionnement (dans l'espace)"

    C'est une explication qui ne devrait pas manquer de vous amuser (ou vous désoler suivant l'humeur)

    Sur la page d'acceuil, il est indiqué que le site est dévoué aux images prises avec l'instrument "Scatterometer" dont le but initial était d'étudier la biosphère, et qui s'est révélé au gré des différentes missions, être un outil intéressant pour étudier les pôles de par ses capacités à "voir" sous les couches supérieures de glace...

acceuil :http://www.scp.byu.edu/ Amitiés,

François S....., de Paris.


    Merci donc mille fois à François S..... pour sa sollicitude, et remarquons en passant que pour Google Earth, il n'y a pas de zone sans données, pas de disque noir, et donc que tout est limpide :


    A vous donc de tirer profit de tout cela...

XXII Autre développement révélateur du 02/11/06.


    Nous recevons ce même jour la missive extraordinaire suivante de l'internaute Serge B....:

----- Original Message -----

Sent: Thursday, November 02, 2006 12:53 PM
Subject: Trou(s)
        Bonjour,

    Je viens de lire votre article “encore un prolongement révélateur à Byrd.html” du 02/11/2006 et je voudrais y ajouter un autre prolongement :

    Si vous allez sur Google Earth et vous allez visiter le pôle Sud, vous verrez du blanc, comme le montre votre image du pôle inséré dans votre article.

    Mais si vous zoomez (avec l’aide de la molette de la souris) sur cette même région, vous allez voir apparaître un trou noir !

    Comme celui-ci :


image001.jpg@01C6FE7D.F002F2D0

    Vous pouvez reproduire la même chose avec les coordonnées et l’altitude indiquées sur cette image tirée de Google Earth.

    A noter que si vous « dézoomez », vous allez voir apparaître un « caviardage » de la zone polaire !

    C’est la même chose pour le caviardage au pôle Nord, on devine les contours d’un trou, mais aussi une « luminosité » à une certaine altitude :


image002.jpg@01C6FE7D.F002F2D0

    Bon voyage aux Pôles…

        Cordialement.

        Serge.


Fin de citation.

        Merci beaucoup à l'internaute et bravo à l'aimable internaute Serbe B...qui nous éclaire judicieusement ici sur les "dessous" de Google Earth , que nous n'avons pas encore eu le temps de bien décortiquer.

XXIII Du nouveau à propos de Google Earth en date de 03/11/06.

     Le 02 Novembre 2006, nous avons reçu d'un très aimable internaute, Marc Lem...., la missive suivante :

----- Original Message -----
From: marc.lem.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Thursday, November 02, 2006 10:53 PM
Subject: terre creuse

     Salutations,

     L'an dernier, je me suis apperçu de ce qui est décrit lorsque l'on utilise Google Earth, en zoomant sur les pôles.

     Google Earth utilise les photos satellites pour reconstituer un pseudo 3D de la terre.

     Chose étrange, alors que partout ailleurs, les images sont scrupuleusement appliqués (même la Zone 51 aux USA), et que l'on peu voir des choses inutiles en plein océan, lorsque l'on zoome pour voir les pôles, on s'aperçoit qu'un effet fractal recouvre toute une partie des zones intéressantes. Pourquoi là et nulle part ailleurs, vu que ce sont des zones inhabitées ?

     Amicalement, Marc E.....

Fin de citation.

     Comme vous le voyez, chers internautes, au sujet de Google Earth, en ce qui concerne les zones polaires, les choses deviennent de plus en plus surprenantes.

XXIV Prolongement révélateur en date du 16/07/07.



      Comme suite directe à notre prolongement révélateur en date du 31/10/01, notre ami canadien André D..., nous fait part de la découverte en Mai dernier d'un autre bébé mammouth en Sibérie (comme le Jarkov de 1999 vu plus haut) , voir d'abord le site :


      Mais, selon André D..., il y a aussi le site :


      Nous y extrayons avec déférence ces propos :

Découverte d'un bébé mammouth congelé en Sibérie.

Par Jean Etienne, Futura-Sciences.

     Un bébé mammouth congelé, qui se trouve dans un remarquable état de conservation, a été découvert en Sibérie par un gardien de troupeau de rennes en mai dernier.

    Le spécimen, qui serait mort il y a environ 10 000 ans, affleurait du sol gelé de la péninsule de Yamal. Il s'agit d'une petite femelle âgée de 6 mois, qui pèse 65 kg pour une taille de 85 cm et une longueur de 130 cm. Seules la queue et les oreilles semblent avoir été rongées, probablement par des prédateurs, tandis que sa trompe, ses futures défenses et des touffes de poils au niveau des pattes sont intactes.

     La carcasse est actuellement gardée au froid dans la ville de Salekhard, et a reçu la visite du directeur de l’institut zoologique de l’Académie des sciences de Russie, qui s'est déclaré enthousiasmé par l'exceptionnel état de conservation de l'animal. Une équipe internationale comprenant entre autres le Français Yves Coppens et le Hollandais Dick Moll doit bientôt se rendre sur place afin de procéder à des études de biologie moléculaire et de génétique sur ce spécimen.


Fin de citation

     Vous avez bien noté que les touffes de poils au niveau des pattes, sont intacts après 10 000 ans. Curieux n'est-ce pas ? Mais, même si la datation au carbone 14, ou une autre méthode de datation, nous affirmait que ces touffes n'avaient pas plus (par exemple) de 500 ans, va-t-on le crier sur les toits ou se taire implacablement ? A vous de juger une fois de plus, ces détails surprenants ...

XXIII Suite significative en date du 1/08/07

     Le 31/07/07, nous avons reçu de notre ami André Julien, l'artiste peintre dont vous pouvez admirer l'œuvre nommée Liberté , sur notre page d'accueil, l'adresse du site suivant :


dont nous vous invitons à parcourrir minutieusement l'article intitulé : " Les mystères des mammouths congelés"

     Nous ne reprendrons pas entièrement cette page, pour ne pas subir les foudres du Webmaster comme cela c'était passé avec un site où régnait le vocable "spectrosciences" qui a été jusqu'à écrire à l'Afnic , pour faire fermer notre site, pour avoir reproduit un petit article sur les pôles de Saturne, pourtant simple traduction d'un texte avec photo de la Nasa.

     Notons cependant ce passage extraordinaire :

"....Certains scientifiques, que d'autres qualifient d'un peu douteux, ont vite introduit la rumeur d'une disparition catastrophique des mammouths retrouvés. Immanuel Vilkovsky et Peter Kolismo en font partie. Leurs théories s'accordent pour un catastrophisme hors du commun : les mammouths seraient morts de froid en plein été, ils auraient été congelés instantanément.

     Les amateurs de mystère se sont accaparés ces théories et les ont même développées. Aujourd'hui certaines personnes sont rendues à penser que les mammouths ont été les victimes d'un choc brutal, reprenant à leur compte la théorie de la surfusion. La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé. Ce catastrophisme est encouragé par les tenants de ces hypothèses par l'état exceptionnel de conservation présumé des individus retrouvés....

     Comme le dit le proverbe, il n'y a pas de fumée sans feu, et le feu ici vient des récits des populations locales de Sibérie. Il n'est pas rare d'entendre ou de lire des récits qui insistent bien sur le fait que les mammouths retrouvés sont parfaitement conservés, si bien que leur chair est encore présente et comestible. Qu'en est-il vraiment ? Les paléontologues, qui étudient directement les mammouths gelés et donc qui sont les mieux placés pour en parler sérieusement tiennent un tout autre discours.

     Déjà, le terme de conservation exceptionnelle est relatif. Effectivement, on retrouve les parties molles de l'animal, chairs, estomac, etc. ce qui est tout à fait inattendu car ils sont morts il y a plus de 10 000 ans, en ce sens, c'est extraordinaire. Mais tout s'explique. Un tel état de conservation exige un ensevelissement rapide du cadavre de mammouth par des limons, boues et de l'eau qui gèle très rapidement pour sceller le sol, qui privé d'air devient un milieu de conservation privilégié car les attaques de bactéries ou autres insectes nécrophages sont très limitées....
"


     Il est inutile, nous pensons, de préciser ici que ce communiqué évite soigneusement de parler de la théorie des ouvertures polaires, en parlant de surfusion et on nous y parle aussi de Vilkovsky et Peter Kolismo (Il s'agirait certainement plutôt d' Immanuel Velikovsky et surtout de Peter Kolosimo ce dernier ayant été largement mentionné plus haut), et on sait d'après ce que l'on a vu plus haut en parlant d'un certain mammouth que : " il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "

      L'explication donnée dès 1920, la plus claire et déjà vue plus haut, serait on le sait, d'après Marshall B. Gardner : "...que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."

      Le mieux serait donc n'est ce pas, pour clarifier tout cela, que l'on découvre actuellement un bébé mammouth pris dans la glace d'un iceberg à la dérive et avec de l'herbe fraîche dans la gueule...On a bien le droit de rêver un peu, non...

XXV Un certain plus concernant la surfusion en date du 02/08/07. Ce même jour nous avons eu le plaisir de recevoir la missive suivante de l'ami Ludovic F :

----- Original Message -----
From:Ludovic F......
To: Fred Idylle [Fred Idylle]
Sent: Thursday, August 02, 2007 6:59 AM
Subject: Petite rectification sur la surfusion

      Bonjour Fred,

      J'aimerais apporter une petite rectification sur l'extrait de l'article du "journal du Net". En effet il est dit : "La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé".

      Ce n'est pas exact, cet article laisse entendre que les mamouths pourraient être dans de l'eau, donc à temperature normal, qui se refroidirait d'un seul coup pour geler. La surfusion ce n'est pas du tout ça. Le phénomène de surfusion à lieu dans les eaux particulierement pures, mais il ne s'agit pas du tout d'un refroidissement brutal, mais l'eau bien qu'étant, par exemple, à -10°c , reste à l'état liquide, on dit qu'elle est alors en état métastable. Il suffit d'une toute petite perturabtion pour que l'eau change d'état et se solidifie.
     Imaginons donc un lac en Sibérie a une température de -30° en etat de surfusion. Un mamouth approche, et au moment où il entre dans l'eau, elle passe de l'état liquide à l'état solide et il se retrouve instantanément prisonnier de la glace.

     Bien entendu, je ne fais que corriger la mauvaise explication de la surfusion. Cela ne me semble pas être une explication plausible car la surfusion ne peut avoir lieu qu'en hiver, donc aucune raison qu'on puisse retrouver des touffes d'herbes dans les pattes ou l'estomac.
     Cordialement.
     Ludovic F.....


      Merci donc à Ludovic F......pour cette explication très scientifique de la surfusion. En effet nous avons l'impression que le journaliste a fait une synthèse entre une interprétation du mot surfusion et la théorie de la Terre creuse qu'il a certainement lu sur le Net (Ne serait-ce que sur ARTivision), mais dont professionnellement il ne pouvait parler pour ne pas jeter le discrédit sur son journal. D'ailleurs on voit bien que cet article a été écrit rapidement à la volée, puisque ce journaliste n'a même pas pris la peine de vérifier l'écriture des noms Vilkovsky et Peter Kolismo .

     Ce même jour nous avons aussi reçu cette missive intéressante :

----- Original Message -----
From:Patrick C.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr.
Sent: Thursday, August 02, 2007 10:21 AM
Subject: Les russes au Pôle

     Bonjour Fred!

     Quoi de neuf sous les tropiques!
     Voici ci-dessous une information qui devrait changer les dires sur le Pôle Nord :

J'attends tes comments!

P.C



L'expédition Russe.


      " Des explorateurs russes ont planté jeudi un drapeau de la Russie au fond de l'océan Arctique, à plus de 4.000 mètres sous le pôle Nord, au terme d'une expédition présentée comme pionnière et symbolique des velléités territoriales de Moscou sur l'Arctique et ses hydrocarbures. "

      Merci donc à Patrick C...pour cette surprenante info. Nous pensions que des accords internationaux avaient proscrit l'exploitation à des fins industrielles des zones arctique et antarctique. Mais dans la carte présentée, on parle aussi d'un message qui aurait été placé à 4000 mètres de profondeur. Quelle est la nature de ce message et à qui pourrait-il être destiné, à une telle profondeur ? Cela nous rappelle bien, l'affaire des messages déposés sur la Lune par de prétendus astronautes américains... Affaire à suivre donc de très près.

XXVI Un certain plus concernant la formation des icebergs en date du 18/10/07.

     Le Samedi 6 0ctobre 2007, nous avons eu le privilège de visualiser sur le Canal Sat, un volet de la Chaîne Voyage, consacré à l'Antarctique tel que :


     Après nous avoir présenté l'immense continent Antarctique, la narratrice d'une voix suave, nous explique que "Cette masse glacière de la taille d'un continent qui a persisté une éternité se fragmente désormais et se disperse en l'espace d'un instant. Le facteur d'évolution qui la retenait était la protection de la glace. Actuellement même les sections les plus larges se libèrent de la longue étreinte du pôle et ne font qu'accélérer leur fin. "

  


     C'est ainsi que l'on découvre des pans entiers de falaises de la calotte glacière qui s'effondrent dans l'océan en faisant des vagues gigantesques :

  


     Mais concernant "ces structures de glaces" qui plongent dans l'océan, la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...elles peuvent mesurer 175 km de long et 100 km de large, une fois détachées, peu d'entre elles dureront plus d'une dizaine d'années. Alors que d'immenses fleuves, abreuvent les autres continents, l'Antarctique se déverse dans la mer pour former une mosaïque d'icebergs ".

  
Noter bien qu'il ne s'agit pas d'une photo, mais d'un schéma en animation

  
Noter à droite, l'iceberg à la dérive, et le chemin parcouru en rouge par ce dernier.


     Puis alors la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...Près de 5000 icebergs naissent chaque été soit 6 fois plus qu'en Arctique, soit 640 km3 de glace lancés à la mer autour du continent. Des millions de tonnes de cubes de glaces s'accummulent à la surface de l'océan. ".

  


     Et nous terminons par ceci : "Mais ce n'est rien en comparaison avec leur masse immergée qui peut atteindre 450 m de profondeur. Les neuf dixièmes de l'iceberg sont immergés, et c'est en dessous que leurs répercussions sont plus spectaculaires ".

  


     Ainsi donc, même avec nos satellites puissants, ou avec Google , cette émission a été incapable de nous montrer la photo d'un seul des 5000 icebergs entrain de se détacher du continent. Seul un dessin animé a pu servir à nous montrer cela. Noter cependant que la narratrice a tout de même évoqué, ( peut-être inconsciemment), "les immenses fleuves" des autres continents, en ignorant ceux qui sortent par le trou polaire sud... Surprenant n'est ce pas ?... A vous donc de juger, tout cela...

XXVII Encore un disque noir sur la région polaire nord (Paragraphe en date du 16/08/09).

      Le 14/08/09, nous avons reçu à notre cousin Patrick, déja présenté plus haut, les urls suivants :


     Et il y a aussi cette vidéo sur Youtube:


      Au cas, où ces urls ne seraient plus opérationnels, voici de quoi il s'agit :




     Que fait fait encore cette pastille noire au sein de cette zone polaire ? Certains diront encore, comme l'internaute Fabrice C..... vu plus haut : " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire..."

      Rappelons que pour le Science&vie de Nov 2004, il y avait sur l'Antarctique aussi une sacrée limite satellitaire :



     Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement fuser un rayonnement lumineux surprenant.

     Mais pour le site arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/, en question, plus aucune limite satellitaire ne s'impose sur l'Antarctique, et tout est clair et net :


     C'est à vous qu'il appartient maintenant, de juger tout cela.

XXVIII Quand l'Arctique avait des palmiers (Paragraphe en date du 27/10/09).

     Le 26 octobre 2009 nous avons reçu de l'internaute Rachid, la missive intéressante suivante :

----- Original Message -----
From: Rachid.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, October 26, 2009 10:53 AM
Subject: Article pouvant vous intéresser
          Bonjour,

     Je viens de découvrir votre site ce week end et je n'ai pour l instant regardé que la page concernant l'Amiral Byrd.
Mais ce matin en ouvrant ma page web habituelle, je tombe sur cet article sur Yahoo qui va certainement vous interesser :


       Cordialement
          Rachid.


      Mais comme cet url peut disparaître, du jour au lendemain sans qu'on sache pourquoi, voici alors de quoi il s'agit :

YAHOO Actualités : le 25/10/09


Reuters Alister Doyle

Des palmiers dans l'Arctique… il y a 50 millions d'années



      Des palmiers ont poussé dans l'Arctique pendant une courte période chaude, il y a environ 50 millions d'années, si l'on en croit une étude publiée dimanche et qui donne à penser qu'il reste de grosses lacunes dans notre compréhension du changement climatique.

      La végétation de l'Arctique devait être très semblable à celle que l'on trouve de nos jours en Floride, a déclaré Appy Sluijs, de l'université d'Utrecht, aux Pays-Bas, qui a dirigé l'étude internationale. Aucun indice de présence de palmiers à une telle latitude n'avait été relevé jusqu'ici.

      Les sédiments prélevés dans un fond marin qui se trouvait il y a 53,5 millions d'années à 500 km du pôle Nord contenaient des pollens d'un type ancien de palmiers, de conifères, de chênes, de pacaniers et d'autres arbres.

      « La présence de pollen de palmier implique que la température moyenne la plus froide dans l'Arctique n'était pas inférieure à 8 °C », écrivent dans la revue Nature Geoscience les scientifiques basés aux Pays-Bas et en Allemagne.

      Ces conclusions contredisent des simulations informatiques selon lesquelles les températures hivernales étaient inférieures à zéro, même pendant la période chaude inexpliquée qui a duré entre 50 000 et 200 000 ans à l'époque Éocène.

      Les palmiers ne résistent pas au gel.

NOUVEAUX TYPES DE NUAGES ?

      Appy Sluijs a noté qu'il était frappant que des palmiers, qui ne perdent pas leurs feuilles en hiver, aient grandi dans des régions où le soleil ne brille pas pendant cinq mois environ.

      Des expériences sur des palmiers modernes ont montré qu'ils peuvent survivre à des périodes prolongées d'obscurité.

      Les scientifiques estiment que la présence de végétaux de la famille des palmiers – on ne sait pas exactement s'il s'agissait d'arbres ou de plantes – indiquent que le système climatique actuel pourrait réserver de grosses surprises.
      La température augmente actuellement en raison de gaz à effet de serre dus à l'activité humaine, principalement l'utilisation de combustibles fossiles, selon ONU-Climat.

      La banquise arctique a fondu en 2007 pour atteindre son épaisseur la plus faible depuis que les satellites ont commencé à la mesurer, dans les années 1970.

      La poussée de température de l'époque Éocène est peut-être due à une brusque montée des niveaux de CO2. Cela a pu être causé par des éruptions volcaniques ou par la fonte de méthane congelé piégé dans le fond de la mer.

      « Nous ne pouvons l'expliquer avec notre connaissance actuelle du système climatique », reconnaît Appy Sluijs. Il est possible que ce soit dû à la formation dans l'Arctique de nouveaux types de nuages pendant le réchauffement, ce qui aurait agi comme une couverture qui a piégé encore davantage de chaleur et accéléré le réchauffement.

      « Si l'océan était très chaud, il est possible que ces nuages se soient formés à une latitude plus élevée que maintenant. »

Version française Nicole Dupont


      Fin de citation.

      Ce communiqué semble ignorer le fait que de nombreux explorateurs avaient découvert (nous l'avons déjà dit plus haut) à certains endroits, une la neige qui était colorée, en rouge, en noir, vert ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ?, et personne, nous dit-on, ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait.

     C'est à vous qu'il appartient une fois de plus , de juger ces nouvelles incongruités.

XXIX Quand un puissant courant marin rode près de L'Antarctique autour de îles Kerguelen (Paragraphe en date du 03/05/10).

       Le 03/05/10, nous avons reçu de notre ami DDJulien, le site à visiter suivant :


    Voyons d'abord où se situent ces îles kerguelen et ce que le site :
, nous en dit :

    Les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) sont un territoire d'outre-mer (TOM) de la France, le seul territoire français ayant conservé le statut de TOM. ce territoire est composé de quatre districts: d'une part, les îles Kerguelen (7215 km²) ou îles de la Désolation, les îles Crozet (115 km²), ainsi que les îles de Saint-Paul (7 km²) et Nouvelle-Amsterdam (54 km²), toutes situées dans le sud de l'océan Indien, et, d'autre part, la Terre Adélie (432 000 km²) un étroit segment en forme triangulaire du continent Antarctique, celui-ci étant situé à 2500 km de la Tasmanie (Australie). Ces cinq possessions françaises forment un TOM (territoire d'outre-mer) couvrant 7820 km² de territoires (sans la Terre d'Adélie), mais 2,2 millions de kilomètres carrés en zone économique exclusive (ZEE), soit l'équivalent de l'Algérie.

    Les TAAF sont éloignées à plus de 15 000 kilomètres de la France, dans une région inhospitalière et isolée, aux prises avec une température ne dépassant guère 0° C et descendant jusqu'à -45° C, sans compter des vents quasi permanents pouvant atteindre les 250 km/heure.

    Le drapeau est celui de l'administrateur supérieur des TAAF; les navires sous pavillon "Kerguelen", utilisent le pavillon français.

    Voyons maintanant de quoi il s'agit, au cas où le site Figaro.fr/sciences-technologies, disparaîtrait brusquement, comme cela arrive souven par jour. Une ligne de mouillage permanent d'un courantomètre revient à près de 200 000 €.


 Fin de citation.

   Ne pensez-vous pas plutôt , que ce sont les puissants fleuves de l'intérieur sortant par l'ouverture sud de la calotte polaire (et ouverture bien cachée par les gouvernements) qui seraient responsables de ce phénomène maritime découvert aux îles Kerguelen ?  

   A vous de juger, une fois de plus tout cela !

XXX Quand BYRD, nous offre un court voyage dans le temps, en 1933 (Paragraphe en date du 23/09/10).


    Le 21 Septembre 2010, nous avons reçu du grand ami canadien Sébastien C......, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :


        Amitiés
        Sébastien


    Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, voici le document en question :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:

Traduisons alors grosso modo ce passage :

       " Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précedent vol en Antarctique quand il partit de sa base au pôle sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié..

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

    Rappelons ici un autre texte plus récent, où Byrd s'est exprimé d'une manière tout à fait analogue :

    En effet Byrd s'exprime en Janvier 1956 dans le n° du Selection du Reader's Digest, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique", que nous avons le privilège de possèder :

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, il nous parle de l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     "Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà" et non "autour" du pôle. Le même raisonnement utilisé plus haut et concernant des étendues glacées et neigeuses très caractérisées, s'applique donc aussi ici. Or, dans ce texte, nous sommes 1956(mais là, on le sait, Bryd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même phrase. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933 pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inoui, à la fin de notre article :


XXXI Quand l'écrivain Vincent GADDIS, nous parle de phénomènes polaires surprenants (Paragraphe en date du 22/12/10).


    Sur le site Wikipédia, on découvre ceci :" Vincent Gaddis (1913-1997) est un écrivain et journaliste américain, passionné d'énigmes et de mystères. En février 1964, il forgea en couverture du magazine Argosy l'expression "Triangle des Bermudes". Il popularisa beaucoup de phénomènes paranormaux dans un style narratif proche de celui de Charles Hoy Fort."

     Nous avons déjà, dans nos articles, parlé de fameux triangle des Bermudes, et aussi de l'incomparable Charles Hoy Fort.

    Mais voyons aujourd'hui ce que Vincent Gaddis nous dit pages 41 à 48, au sujet des mystérieuses régions polaires, dans son ouvrage incontournable, paru en 1965 aux USA, et en 1966 en France:

  

Quand les mirages apparaîssent...

" Le Museum américain d'histoire naturelle dépensa, en une occasion, 300 000 dollars et perdit un navire, lors d'une expédition envoyée pour explorer un mirage.

    Roy Chapman Andrews, qui le dirigea pendant de nombreuses années, a raconté l'histoire clans un article que publia le Sunday Sun de Baltimore, le 13 novembre 1938.

    Lors de son expédition dans l'Arctique de 1906, Robert E. Peary signala avoir vu, à deux reprises "les sommets blancs d'une terre lointaine au-dessus de l'horizon de glace". Il baptisa cette terre Crocker Land (Note du Webmaster: Voir notre article :Greenarticle1923.html ). Le Museum organisa une exploration sous la direction de Donald MacMillan, mais le bateau fit naufrage en remontant vers le nord.

    MacMillan, passa plus tard â l'endroit où Crocker Land aurait dû se trouver. Il ne vit rien et, concevant des soupçons, revint au point d'où Peary disait avoir aperçu la terre.

- La journée était claire, écrit-il, et nous la vîmes effectivement. Elle était si nette dans nos jumelles que nous eussions parié notre tête sur son existence.

    Peary avait été victime du mirage dit "looming" en anglais qui se produit le plus fréquemment sur l'eau et montre des objets au-dessus de leur élévation naturelle. Les mirages dits "inférieurs" font apparaître des lacs fantômes dans les déserts et les plaines. Les deux genres varient habituellement avec les conditions atmosphériques mais quelques-uns sont permanents et restent semblables jour après jour.

    Manifestement, certaines de nos îles évanescentes pouvaient être des mirages, particulièrement aux abords des régions arctiques et antarctiques, et ces mirages pouvaient être du caractère permanent.

    -La plupart des mirages se produisent lors de la superposition de couches d'air de densité différente, écrit Andrews. Par conséquent, il doit exister à la surface de la terre, à quelques kilomètres ou à un millier, des objets similaires à ceux qu'on aperçoit. Les ondes lumineuses se réfractent et suivent une route anormale en traversant les couches. (note du Webmaster: ces mirages peuvent-ils être le reflet de paysages situés à l'interieur de la Terre, quand les trous polaires s'ouvrent largement ?)

    Par le même principe, un bâton plongé dans l'eau paraît déformé parce que l'eau est plus dense que l'air.

    Un mirage "supérieur" fait paraître des objets, droits ou renversés au-dessus de l'horizon : un bateau peut sembler naviguer dans le ciel. Un mirage "latéral" déplace les objets latéralement, un bateau peut se dédoubler en deux objets identiques, avançant l'un vers l'autre ou dans des directions opposées. Le mirage peut enfin être déformant, présenter un canot comme un grand navire...
`" .

Quand les gigantesques icebergs sont en vadrouille.

    " ...ll existe cependant une exception de taille si l'on considère les icebergs et les grandes formations glaciaires des régions polaires comme des iles. Les confusions furent fréquentes. En 1931, par exemple, des Esquimaux photographièrent l'ile de Takpuk dans la mer de Beaufort, mais elle flottait et fondit.

    Des équipes d'observation de l'aviation américaine ont utilisé de grands radeaux de glace détachés du glacier d'Ellesmere. Ces îles ont des rochers, de la terre, des mares d'eau douce et de la mousse. Elles décrivent des cercles dans le bassin arctique.

    En 1961, des savants américains parcoururent deux cent cinquante milles, pendant six mois, sur une de ces îles. Elle avait trois kilomètres de diamètre, contenait un lac à fond de vase et onze espèces de plantes. Des traces indiquaient des passages de bœufs musqués, de lemmings et d'autres animaux terrestres.(Note du webmaster: Mais d'où venaient donc, ces îles très mystérieuses, porteuses de plantes ?)

    Les explorateurs ont signalé des masses terrestres, en apparence permanentes, dans l'Arctique, qui n'ont pu être retrouvées. Par exemple : Bradley Land, prétendument observée par Frederick A. Cook, à une centaine de milles du pôle Nord, en 1908; Président Land, signalée dans la mer de Lincoln, en 1871, par le capitaine Charles F. Hall; une terre non relevée dans la mer de Beaufort, une par le capitaine John Keenan, et Sannikov Land(Note du Webmaster,Voir notre article:terreSannikov.html), découverte par des explorateurs russes au nord de la Sibérie.

    Des milliers de kilomètres carrés de l'Arctique n'ont jamais été reconnus. Les avions de reconnaissance ne peuvent les étudier â cause du brouillard ou de la vapeur qui les recouvre en permanence.

- La région comprise entre le pôle Nord et la terre d'Ellesmere demeure un mystère à beaucoup d'égards, écrit le colonel Joseph Fletcher, qui commanda pendant trois ans le 58° groupe aérien chargé d'étudier la calotte glaciaire. Nous avons beaucoup appris au cours de la dernière décennie, mais notre connaissance reste loin d'être complète.

    Avec sa femme, Caroline, et le capitaine Lawrence S. Kaenig, le colonel Fletcher résolut l'énigme posée par l'origine des grandes îles de glace, ultérieurement utilisées par les équipes d'observation.

    Le 14 août 1946, un avion américain prit, au radar, les contours d'une île, alors qu'il volait dans un épais brouillard à trois cents milles au nord de Point Barrow, en Alaska. Cette île, longue d'environ trente kilomètres et large de vint-cinq, donc plus grande que Guam, présentait un grand intérêt militaire.

    Le brouillard masqua la région pendant plusieurs jours, et les dernières reconnaissances montrèrent que l'ile s'était déplacée de plusieurs milles vers l'est. Quand la vue se dégagea enfin, les aviateurs furent surpris de découvrir qu'il s'agissait d'une vaste plaque de glace d'environ huit cents kilomètres carrés. Sa hauteur variait de dix à soixante mètres, ce qui indiquait une épaisseur variant de soixante-dix à près de cinq cents mètres. La texture et la couleur bleu pâle révélaient que c'était dela glace d'eau douce.

    Cet "iceberg" fut baptisé T1 et on suivit sa course pendant trois ans; il parcourut quinze cents milles dans le courant de Beaufort Eddy. Les avions le perdirent en octobre 1949, au nord du Groenland.

    D' où provenait-il ?

    Les énormes icebergs sont assez fréquents dans l'Antarctique, où ils se détachent du plateau de Ross pour dériver vers le nord. Gould en signale un de cent kilomètres sur soixante-cinq qui causa un naufrage en 1866. Le record est détenu, croit-il, par un qui fut aperçu, durant les années vingt, près des Shetlands du Sud, par un baleinier norvégien. Il dépassait cent cinquante kilomètres de long et était manifestement très large.

    Mais, autour de l'océan Arctique, les terres sont relativement plates; aucun glacier connu n'était assez grand pour produire un iceberg de la taille du T1.

    Le colonel et Mme Fletcher, et le capitaine Koenig étudièrent les rapports des explorateurs arctiques. L'amiral Robert Peary, virent-ils, avait découvert, en 1906, une énorme formation glaciaire sur la côte de l'île d'Ellesmere, près du pôle Nord. Une expédition américano-canadienne avait confirmé le fait en 1947, et photographié une masse de glace d'eau douce, au large de cette île.

    Les deux officiers s'y rendirent en avion et découvrirent le glacier. Sa surface était analogue à celle du T1. En mai 1950, le Pentagone ordonna une recherche pour voir s'il existait d'autres îles flottante et essayer de retrouver le T1.

    Deux mois plus tard, une patrouille découvrit le T2 près du pôle. Il avait environ trente kilomètres sur trente et était donc plus grand que T1. Mme Fletcher s'aperçut que son relief ressemblait à celui de la formation glaciaire photographiée en 1947. Quelques semaines plus tard, on trouva T3 au nord de la Sibérie, il avait quinze kilomètres de long et sept de large. La recherche continua pendant deux étés, mais on ne découvrit plus qu'une île minuscule.

    En Août 1951, on retrouva T1 près des côtes d'Ellesmere. Il paraît évident que le glacier de cette île constitue l'origine des îles de glace, mais il progresse si lentement qu'il faut plusieurs siècles pour en produire une. La plus jeune doit avoir au moins deux cents ans, la plus ancienne, peut-être plusieurs milliers.

    Elles conservent leurs dimensions parce qu'elles regagnent en hiver ce qu'elles perdent pendant l'été. Elles existeront probablement encore très longtemps.

    Elles possèrent une valeur militaire. Il est facile d'y amé- nager des pistes parce qu'elles sont presque plates et leur épaisseur les rend invulnérables aux bombes non atomiques et aux torpilles. Elles sont plus rapprochées de la Russie de plusieurs centaines de kilomètres que les bases terrestres américaines les plus voisines.

    Elles possèdent aussi une valeur scientifique en constituant des plates-formes d'où l'on peut étudier le temps, les courants, le fond de l'Océan et le champ magnétique terrestre.
"

    Fin de citation.

    Vous avez bien noté, nous l'espèrons, que l'auteur parle d'un brouillard génant et permanant, sans se poser la question de sa formation. Voir justement plus haut, à ce sujet, ce que nous en dit le livre jaune n°6, au paragraphe III. Par contre, il s'interroge bien, sur la provenance de certains icebergs géants !!

    Et pour en savoir plus, il convient de se procurer, évidement, cet ouvrage extraordinaire de Vincent Gaddis .

C'est vous qu'il appartient, maintenant, de juger, une fois de plus, tout cela...

    Fred IDYLLE.


    Article mis en page le 17/09/2000 et revu le 28/10/2001, puis le 05/11/01, puis le 18/02/03, puis le 24/05/03, puis le 30/11/03, puis le 12/02/04, puis le 11/03/04, puis le 29/04/04, puis le 17/09/04, puis le 18/01/05, puis le 10/03/04, puis le 15/03/05, puis le 02/06/05, puis le 24/10/05, puis le 03/11/05, puis le 19/12/05, puis le 20/12/05, puis le 01/08/06, puis le 13/09/06, puis le 23/09/06, puis le 8/10/06, puis le 02/11/06, puis le 03/11/06, puis le 16/07/07, puis le 01/08/07, puis le 02/08/07, puis le 18/10/07, puis le 10/04/08, puis le 15/05/08, puis le 25/05/08, puis le 16/08/09, puis le 17/08/09, puis le 27/10/09, puis le 03/05/2010, puis le 26/05/2010, puis le 23/09/2010, puis le 03/10/2010, puis le 10/10/2010, puis le 22/12/2010, puis le 23/12/2010, puis le 11/09/2011, puis le 5/04/2012, puis le 25/12/2013., puis le 26/01/2020.

IDYLLE Fred

fred.idylle@orange.fr

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