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Plongée vertigineuse, dans certaines "légendes", dites marines .


I Introduction.

          En recherchant ces temps-ci un entrefilet (Il s'agit du jeune australien de 15 ans qui est devenu, il y a pas mal d'années, un expert concernant une espèce de papillon, et jeune adolescent, qui a été pourtant admis dans un club très réputé d'entomologistes. Hélas que nous n'avons pas encore trouvé cette info et peut-être qu'un internaute béni pourra mettre la main dessus...), nous sommes alors tombés sur un article d'Octobre 1977 du Nostra dont le titre était : " Les sirènes ne sont pas qu'une légende", et tout de suite après nous sommes aussi tombés sur un autre article de Juillet 1978 de la même revue Nostra et dont le titre était : " Peut-on croire aux sirènes ? ". Cette double référence aux sirènes ne pouvait que nous interpeller, et comme nous ne croyons pas du tout au Hasard, nous avons décidé de vous transcrire d'abord texto ces articles, et d'y ajouter par la suite, nos commentaires adéquats.

II Genèse de l'affaire.

     Pour les puristes qui aiment partir des sources d'un document, voici déjà une photo de la couverture du Nostra du 28 Juillet 1977 :


     Faisons d'abord ici, une petite digression :

     En effet, pour les paasionnés des affaires polaires , disons d'abord que, dans ce même n° 288 de Nostra, nous avons aussi été surpris d'y dévouvrir l'article suivant dont nous n'avons jamais encore parlé sur ARTivision.


     Et, nous en dirons probablement plus, dès que cela sera possible.

Fin de la digression.

     Et voici maintenant le début de l'article de Mr George Sampa :


     Voyons maintenant la digitalisation de cet article :

     La mythologie grecque a répandu par delà les siècles l'épisode de la lutte victorieuse que mena Ulysse contre les Sirènes, ces étranges créatures mi-femmes, mi-poissons dont le chant attirait les hommes par son charme irrésistible au point de les amener à se jeter dans la mer où ils se noyaient...

     Or, le héros grec, sachant ce qui attendait ses marins et lui, s'ils cédaient au chant des sirènes, avait ordonné à ses hommes de le lier au mât de leur navire et de se boucher les oreilles pour ne pas entendre.

     On s'est de tout temps interrogé sur l'existence réelle ou supposée de ces femmes-poissons et on s'est toujours demandé quels êtres avaient pu fournir l'origine de cette légende, car souvent les fables empruntent des éléments à la réalité.

     Or, il semble bien qu'un animal, qui existe encore de nos jours, aurait été à l'origine de l'histoire des Sirènes d'Ulysse. II s'agit du dugong qui vit dans la mer Rouge et dans l'océan Pacifique au voisinage des Philippines. Le dugong est un mammifère marin dont la femelle à la particularité d'avoir sur la poitrine deux mamelles très proches, en apparence, des seins féminins. II est donc certain que bien des marins ont dû être abusés en voyant les mamans dugongs allaiter leurs petits...

     D'autre part, un autre animal, cousin du dugong et qui s'appelle le lamantin se trouve couramment encore dans certains fleuves africains et américains, et sa femelle allaite ses petits grâce é deux seins...

     Détail curieux : les savants ont classé dugongs et lamantins dans la famille des "siréniens", nom évidemment tiré du mythe antique des Sirènes.

     Quant à dire que ces mammifères aquatiques chantent harmonieusement, c'est une tout autre histoire. Cependant, il faut reconnaître que lorsqu'ils sont blessés par le harpon des pécheurs, ils émettent des plaintes qui rappellent des lamentations humaines.

     Mais sans doute, dans la légende des Sirènes, il est entré une autre série de faits troublants. Dans l'antiquité, en effet, certains navigateurs s'étaient aventurés loin des côtes grecques ou romaines.

     Souvent ils étaient accueillis par de très jolies jeunes Noires qui venaient nager autour de leur bateau et des matelots s'étaient, risqués à plonger dans la mer pour rejoindre ces beautés exotiques. De ceux-là, on n'avait plus jamais entendu parler, car les tribus de ces pays étaient cannibales par religion.

     Mais le thème des belles nageuses tentatrices n'est pas seulement grec. On en trouve trace même en occident et notamment en Normandie avec l'histoire de saint Marcouf.

     Cet homme, un moine né à Bayeux, et qui mourut en 558 de notre ère, avait évangélisé une partie de sa province, lorsqu'il décida de se retirer dans un îlot de la côte qui porte aujourd'hui son nom.

     Un soir, une splendide jeune femme sortit de la mer sous ses yeux: "Je viens de faire naufrage, lui dit-elle; accueillez-moi". Le saint homme la fit entrer dans sa pauvre cabane et se sentit troublé. Comme il tendait à la tentatrice un morceau de pain pour se restaurer, il fit le signe de la croix pour bénir l'aliment.

     La jeune femme, affolée, courut se jeter dans les flots et il ne la revit jamais. C'était sans doute le Démon qui avait pris la forme de cette femme trop belle pour venir tenter le saint ermite. A moins que ce n'ait été encore qu'un dugong aux beaux seins, venu se perdre dans la Manche...

          Georges SAMPA

      Après ce petit avant-goût, passons à un autre niveau :

     Voici d'abord la couverture du Nostra possédant l' article de Juillet 1978


     Et voici maintenant le début de l'article qui est d'un certain Mr M. ROUTHIX :


     Voyons maintenant la digitalisation de cet article :


     Les "antropoïdes amphibies", n'appartiennent pas, semble-t-il, à la seule mythologie. Ils ont bel et bien existé. Et l'on ne saurait jurer que leur espèce soit définitivement éteinte.

     Ce que l'on observe, d'abord, à propos de ces "hommes des mers" et autres "sirènes", c'est qu'ils n'ont cessé d'intriguer, au cours des siècles et dans les contrées les plus diverses. Les premières mentions qui furent faites de tels êtres remontent à la haute antiquité !

     Pline l'Ancien, notamment, paraît s'être passionné pour la question. Cet historien et savant du début de l'ère chrétienne (23 à 79) qui périrait dans la catastrophe d'Herculanum et de Pompéi en a parlé dans sa fameuse "Histoire Naturelle", cette encyclopédie avant la lettre:


     "Dans une caverne des environs de Lisbonne, écrit-il, on a vu et entendu un homme des mers."

     Et d'en faire la description : il avait les mains et les pieds palmés, il correspondait assez bien à l'image qu'on se fait des tritons.

     Pline parlait, aussi, de Néréides ou "femmes qui vivent dans les mers".

     Aucun témoignage, ensuite, durant plus d'un millénaire. Rien d'étonnant à cela car bien peu de récits de cette longue période sont parvenus jusqu'à nous. II nous faut faire un sérieux bond dans le temps, et atteindre le XVe siècle, pour voir resurgir de leurs abysses les "humains de l'Océan".

     En l'année 1430, on peut lire dans "La Grande Chronique des Pays-Bas" qu'après une inondation, une Océanide (divinité, marine, fille de l'Océan et Téthys), fut découverte, ensevelie dans la vase, par des jeunes filles de la ville d'Edam. Ramenée à Haarlem, l'Océanide fut examinée par des savants qui constatèrent qu'elle était en léthargie. A son réveil, l'Océanide chercha par tous les moyens à se jeter à l'eau. Les savants, disent les chroniques, étaient obligés de la surveiller. Un jour, elle tenta de plonger dans une toute petite rivière qui n'avait pas cinquante centimètres de profondeur. Des professeurs essayèrent, mais en vain, de lui apprendre à parler.

     Qu'est-il advenu de cette créature ? La chronique ne nous relate pas, hélas, la fin de cette expérience.

     En 1433, soit trois ans plus tard, (et toujours selon la "Grande Chronique des Pays-Bas"), un homme marin fut péché sur les côtes de Pologne. II avait les mains et les pieds palmés. II se laissait approcher et même toucher par tout le monde. II ne parlait pas, mais, aux dire des témoins, il semblait entendre très bien. Le roi de Pologne ordonna que cet homme soit enfermé dans une tour. Mais, au bout de quelques jours, il commença à dépérir. Aussi, sur ordre du roi, on le ramena sur la côte. Toute la population de la région voulut assister au "départ" de l'homme des mers. Celui-ci fit un signe d'adieu à la foule, plongea et disparut à jamais.

     Deux siècles après, la chronique rapporte encore qu'un autre homme marin fut capturé dans le Texel. Tout le peuple d'Amsterdam l'admira. Mais l'homme, privé de son élément naturel, ne survécut que trois jours à sa captivité.

     Au XVIe siècle, le roi Manuel du Portugal, reçut un étrange cadeau : deux Océanides pêchées à la pointe de l'Inde. Elles avaient été ramenées en même temps que quinze hommes des mers qui ne survécurent pas au voyage. Le roi Manuel passa de longues heures à admirer ces princesses marines. Pour les garder en vie, il les fit descendre dans la mer, à un endroit peu profond, chargées de chaînes légères pour qu'elles ne puissent s'échapper. Tous les jours, le roi, accompagné de sa cour, allait sur un bateau, assister à leurs évolutions. Ces créatures vécurent, dit-on, plusieurs années, en semi-captivité. Mais elles ne purent jamais apprendre à parler.

Un monstre marin au visage humain.

     En France, le 31 mai 1671, le capitaine Pierre Luce, qui commandait en Martinique, nota, sur son rapport, qu'au large des îles du Diamant, six hommes avaient aperçu un monstre marin. II avait un visage humain, des cheveux noirs, et gris, une longue barbe, l'estomac couvert de poils. Mais, chose étrange, son corps se terminait comme celui d'un poisson. II avait l'air farouche. II ne se laissa pas capturer ; il plongea et ne reparut plus.

     Autre fait, qui se situe toujours en France : en 1746, une sentinelle, en faisant sa ronde sur les murs de Boulogne, aperçut, dans le fossé, un homme qui gesticulait. N'obtenant aucune réponse de cet "intrus", la sentinelle tira. En relevant le corps, on découvrit, non sans stupeur, que c'était un homme des mers dont les membres inférieurs étaient remplacés par une queue de poisson.

     La dernière apparition de Tritons remonte en septembre 1725. Un homme des mers parut à babord du vaisseau français, la Marie-de-Grâce. II s'amusa à narguer l'équipage, sans se laisser attraper, et disparut dans l'océan.

     Depuis lors, plus d'apparition. Les sirènes ont-elles appris à se méfier des hommes 7


Entités marines très stilisées de Nostra.

     Des scientifiques modernes de toutes disciplines se sont penchés sur cette question de nos "frères et sœurs amphibies". Les anthropologues insistent surtout sur le fait que le mythe d'un homme-poisson sorti de la mer "pour éduquer les gens de la terre ferme" se retrouve dans toutes les religions. Les noms donnés à cet "être étrange" différent, bien-sûr. Mais on songe toujours à une filiation avec le Poséidon des Grecs et le Neptune des Latins.

     Chez les Mayas c'est le Cuculkan, chez les Incas le Manco-Capac ; au Guatemala le Vinak-Car; surle golfe du Mexique le Quetzalcoatl ; dans les pays celtes le Nue-Gadarn ; en Inde la Parascharya.

     Pourquoi pas un fond de vérité dans tout cela ? C'est la question que pose, plus spécialement, Carl Sagan, l'"apôtre des extraterrestres" dont nous parlions récemment dans ces colonnes. II avance l'hypothèse d'extraterrestres, précisément, qui auraient amerri un jour, vêtus de scaphandres, et seraient venus donner aux hommes les rudiments de la connaissance. Leur première intervention - l'une des premières, en tout cas - aurait eu lieu sur le rivage de Sumer, dans le golfe Persique.

     Or il est tout à fait exact que l'on tient les Sumériens pour le premier peuple à avoir su atteindre un niveau très élevé de civilisation. Leur royaume fut victime, au Ile siècle avant notre ère, à la fois de l'ensablement du delta Tigre-Euphrate et des invasions barbares.

     Cette première civilisation aurait gardé le souvenir des visiteurs surgis de la mer.      En Occident, la plus vieille légende, ou le plus vieux souvenir (on ne sait plus très bien où s'arrête l'une et où commence l'autre), vient d'un prêtre de Babylone, au temps d'Alexandre le Grand : Berose. Selon ses dires, il aurait eu accès à des témoignages cunéiformes (c'est-à-dire transcrits en écriture perse ou assyrienne) et pictographiques datant de plusieurs millénaires. D'après ces témoignages, un animal "doué de raison" appelé "Oannes", était jadis sorti de l'eau. II avait l'apparence d'un Triton. II vivait la nuit dans la mer et, la journée, sur le littoral, enseignant aux hommes. C'était une créature amphibie.

     On peut, certes, penser que la première vie est venue des océans. Une humanité sous-marine a peut-être existé, puis a disparu. Les hommes des mers, qui ont fait des apparitions dans les siècles derniers, seraient des survivants, plus ou moins dégénérés, de la première humanité.

Peut-être explication :

     Au XVIIIe siècle, le naturaliste Benoit Maillet a cherché é savoir s'il ne nous restait pas de traces de cette vie amphibie. II a constaté que l'enfant, dans le sein de sa mère, respirait par deux cavités qui correspondaient aux quatre vaisseaux par lesquels circule le sang, sans pénétrer dans les poumons. Une de ces ouvertures s'appelle: le trou de Botal ; l'autre le canal artérien. Avant sa nais- sance, l'enfant vit dans un milieu aquatique. A sa naissance, l'air pénètre pour la première fois dans ses poumons où le sang circule désormais. Le trou de Botal se referme. Maillet conclut donc que si le trou de Botal ne se refermait pas complètement, l'enfant pourrait mener une existence amphibie.

     Le naturaliste Buffon poursuivit les recherches de Maillet. II fit naître un chiot dans un baquet d'eau tiède. II l'y laissa une demi-heure, le sortit une autre demi-heure, puis le replongea. II constata que le petit animal n'avait aucune difficulté apparente pour respirer.

     On s'étonne du fait que cette expérience n'ait pas été renouvelée et poussée plus avant.

          M ROUTHIX

III Compléments très ciblés d'ARTivision.


     Pour compléter cette affaire surprenante d'entités marines, il nous semble utile de transcrire ici, ces paragraphes importants de notre article en date du 13/03/01 et article placé à :

http://www.artivision.fr/docs/poissonfossile.html

Début de citation :

    "Mais, on le sait, c'est la littérature traditionnelle qui nous offre le plus de matière à étonnement en nous parlant de  Tritons, de néréides, de sirènes, de poisson-moine ou de poisson-évèque, de dieux mythologiques, venus des fonds marins pour apporter la civilisation aux hommes. Les Dogons, ce peuple vivant au cœur de l'Afrique n'affirment-ils pas que leurs  ancêtres étaient des amphibiens (Note du Webmaster: voir notre article :dogons.html ), et c'est pour cela qu'ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d'OANNES , l'homme poisson, qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes.

   Dans un article remarquable sur la question intitulé justement "l'énigme des hommes poissons" paru dans le n° 426 du 11 Juin 1980 de la revue Nostra, hélas disparue actuellement , Jean Louis de Degaudenzi, nous expose admirablement ceci :

    " La science nous assure que la vie est née de la mer. D'abord simple cellule indifférencié, puis mollusque, poisson, et, enfin, cœlacanthe qui, sur ses nageoires en mutation de jambes, gagna la côte. il y devint quadrupède, mammifère, puis les espèces se multiplièrent et, de l'une d'entre elles, naquit enfin l'être humain intelligent. la thèse est séduisante mais, de l'aveu  même d'une partie de la communauté savante, elle est bien loin de rendre compte de tous les mystères qui occultent notre lointain passé.

    Il manque en effet plus d'un maillon à la chaîne. Certaines découvertes ne corroborent absolument pas une conception linéaire stricte de l'évolution. Il y a eu des accidents ou plus exactement des interventions qui ne paraissent pas tout à fait naturelles. Et certains êtres qui semble-t-il, ne descendaient pas du cœlacanthe n'ont pas attendu d'être sorti de l'eau pour être plus intelligents que les hommes et s'imposer à eux comme des dieux, ces fameux dieux poissons dont nous parlent les mythologies.

   En prétendant que la vie est venue de la mer, la science actuelle s'est rapprochée sans le vouloir des anciennes croyances dont elle a pourtant, jadis, bien souvent combattu l'influence. Pratiquement toutes les cosmogonies au monde enseignent que les premiers êtres sont nés des eaux primordiales. Mais il ne s'agit pas exactement d'hommes, ni même de héros. Ce sont des dieux souvent venus d'ailleurs par l'intermédiaire du moins de leur propre maître, de leur propre créateur qui habite le néant ou les étoiles.
   Tout se passe comme si la mer était pour eux l'élément idéal sur notre planète, un milieu qui, mieux que la terre ou l'air libre, convient exactement à leur nature initiale. S'ils en sortent, c'est uniquement pour aller à la rencontre des hommes auxquels ils apprennent la civilisation. Cela fait, très souvent, ils repartiront vers les profondeurs à moins qu'ils ne préfèrent regagner les étoiles où se trouvent ceux qui leur sont encore supérieurs et qui les ont créés. Quels sont donc ces êtres des aurores de l'humanité, qualifiés de divins en raison de leurs pouvoirs par les premiers hommes et particulièrement bien adaptés à l'univers aquatique? D'où viennent-ils vraiment et peut-on les compter pour de simples mythes quand on prend en considération que, dieux-poissons ou surhommes aquatiques, ils apparaissent un peu partout en même temps d'un bout à l'autre de la planète?


Le fondateur de la civilisation de Sumer


   L'un des plus connus est Oannès, fondateur de la civilisation de Sumer. Plusieurs auteurs de l'Antiquité l'ont décrit mais c'est à Bérose que l'on doit son signalement le plus précis. Il a un jour surgi des eaux de l'océan Indien. Son corps est celui d'un poisson , couvert d'écailles. Sa tête est aussi celle d'un animal aquatique mais, en dessous, il possède une autre tête, renfoncée, qui est humaine celle-là. Deux pieds humains surgissent du bas de son corps qui est couvert de larges écailles paraissant métalliques tant elles brillent d'un éclat inaccoutumé. Ce "monstre marin" parle et ce qu'il dit est intelligible aux indigènes vivant à l'embouchure du Tigre et de l'Euphrate.

   Ces primitifs le révèrent comme un dieu. Auparavant, ils vivaient comme des sauvages dans des huttes, chassant avec des armes rudimentaires et s'adonnant à la cueillette. Il leur enseigne à fabriquer des briques d'argile pour faire de véritables maisons. Il leur apprend à faire de l'agriculture. Il leur confie des graines sélectionnées qu'il a rapportées d'on ne sait où. Après cela, Oannès entreprend de leur faire étudier la musique, l'arithmétique, la géométrie et la science des étoiles. Il structure aussi leur société jadis anarchique et leur donne des lois. En un mot, il en fait des hommes.

    D'autres auteurs que Bérose apportent des précisions sur cet étrange civilisateur. Oannès séjournait peu de temps parmi ceux qu'il avait entrepris d'enseigner. Il regagnait presque chaque nuit l'océan et il en ressortait le matin. En arrivant sur la plage, il ôtait cette carapace de poisson qui le recouvrait un peu.. comme on ôterait de nos jours un scaphandre. Et, le soir, il s'en revêtait à nouveau pour retourner dans l'eau. Son apparition et sa disparition, lit-on encore, concordaient avec d'étranges manifestations lumineuses sous la surface de la mer.
    Alors qui était cet étonnant homme-poisson, ce scaphandrier de la préhistoire devrions-nous dire ? Les lumières sous les eaux correspondent à ce que nous appelions de nos jours des OSNI ( objets sous-marins non identifiés ). Toujours d'après Bérose, il n'est pas seul. D'autres êtres semblables à lui viennent l'aider dans sa tâche auprès des hommes mais il demeure leur chef. On pense inévitablement en lisant le récit de ces événements et ces descriptions à quelques colonies d'extraterrestres installées sous l'océan Indien (ou venant peut-être de Mu si le continent n'a pas encore sombré dans les flots, mais c'est géologiquement peu probable). revêtus de scaphandres métalliques qui leur permettent de s'ébattre sans problèmes sous l'eau et amenés à proximité des côtes par des submersibles qui émettent de la lumière.

    On retrouve ces êtres, nous l'avons dit, un peu partout dans le monde et vers la même époque, c'est-à-dire au moins quatre millénaires avant Jésus-Christ. Chez les Grecs et, en général, tous les peuples qui entourent la Méditerranée, les dieux et surhommes poissons sont légions comme s'il avait existé là d'importantes colonies de créatures amphibies d'une autre race que l'humanité et d'une civilisation bien supérieure. Le plus célèbre est évidemment Poséidon fondateur de l'Atlantide à laquelle il apporta son savoir immense et sa puissance. Il est accompagné de tritons, de néréides ... qui constituent ses premiers sujets avant que les hommes d'Atlantis ne le reconnaissent pour roi.

    En Finlande, les eaux sont peuplées de dieux-salamandres " qui retirent leur peau d'écaille quand ils viennent auprès des hommes et leur ressemblent, alors, à la différence qu'ils sont plus grands et plus beaux et qu'ils ne peuvent mourir que quand leur roi le permet. (kalevala)". Vaïnamoïnen , le grand dieu chanteur du Kalevala, paraît être l'un d'entre eux. Il vient des mers et, dans quelques versions de la légende, c'est là qu'il retournera une fois sa mission accomplie. A des milliers de kilomètres de là, au Japon, Ekko-Hah présente les mêmes caractéristiques qu'Oannès. Sa présence à lui aussi concorde avec l'apparition d'étranges phénomènes lumineux dans le périmètre de ce qu'on appelle toujours, aujourd'hui, à cause de ces mystérieux OSNI, la mer du Diable.

    Dans son Universum Piscium Histona ( Histoire entière des poissons) de 1554 Guillaume Rondelet décrit l'un d'eux : " Nous parlerons de ce monstre marin que dans notre siècle, on a pris en Norvège après une grande tourmente, auquel tous ceux qui le virent lui donnèrent incontinent le nom de moine car il avait la face d'homme, mi-rustique mi-gracieux, la tête rase et lisse; sur les épaules,comme un capuchon de moine, deux longs ailerons au lieu de bras, le bout du corps finissant en une queue large "


L'étrange description d'un être aquatique


   " Il se pourrait qu'il s'agisse en l'occurrence d'un phoque de ceux que l'on appelle lions. Mais une autre description de monstre& consignée par Rondelet et le grand Ambroise Paré lui-même laisse moins de doute. Elle ressemble étrangement au signalement de certains ufonautes qui ont été observés au Brésil en particulier ou sur les côtes japonaises . Il s'agit de ce que les deux auteurs appelèrent poisson-évêque : Dans la mer Baltique, vers les côtes de Pologne et de Prusse, on prit environ en l'an 1433 un homme marin qui avait entièrement la figure d'un évêque ayant la mître en tête (crâne pointu), la crosse en main (?), avec tous les autres ornements dont un évêque a coutume d'être revêtu lorsqu'il célèbre la sainte messe. L'être était vivant et entretint même quelques rapports avec les gens de son temps! ". (Voir les gravures du poisson-moine et du poisson-évêque ci-dessous:)



   Et voici en mieux le poisson évêque (note du webmater)


    "Le roi le voulant faire enfermer dans une tour, il témoigna que cela ne lui agréait, et les évêques ayant prié le roi qu'on le laissât retourner en mer, il les en remercia par gestes. Il y fut reconduit par deux évêques, lui, marchant au milieu d'eux et s'appuyant de ses mains sur leurs épaules.

    La gravure qu'en a donnée Paré mérite tout notre intérêt de même que son évocation d'une autre créature qu'il appelle Soldat de la mer: " Sa tête, écrit-il, est couverte d'un cuir fort dur et épais, de forme presque semblable à l'habillement de tête de nos gendarmes, que l'on appelle casque ou salade. Il a deux bras forts et robustes, les mains bisulgues, c'est-à-dire divisées en deux. ".

   Jusqu'au XIX e siècle, on observe souvent, surtout dans les mers nordiques, des hommes marins que les Norvégiens baptisèrent Haffstramb et quand ils paraissaient de sexe féminin Masguguer. Ces êtres peuvent avoir de longues chevelures, souvent blanches, des barbes et leur visage est bien humain. Il ne faut pas les confondre avec les tritons et les sirènes habituellement évoqués par les légendes. C'est un autre peuple de la mer. Tritons et sirènes mériteraient eux-mêmes une étude approfondie. L'universalité de la croyance en ces créatures pose en effet problème et il est fort probable qu'elles correspondent aussi à autre chose que des allégories mythiques.

   Voici donc une partie de la première page de l'article en question où nous apercevons une superbe sirène, à faire perdre la tête à certains "dieux", même plutôt blasés.



   Et voici les tritons d'après la même revue:



    Nous retrouvons ces  gravures de Tritons publié dans l'ouvrage de Gesner à Zurich en 1560:le triton de Pausanias de Schott ayant quelques modifications minimes tandis que celui de Pausanias reste inchangé (note du webmaster)

  

   Voici encore une gravure d'époque :



     Aujourd'hui, les peuples de la mer sont plus prudents. Peut-être notre civilisation folle les rebute-t-elle ou bien sont-ils à jamais partis soit dans les abysses soit ailleurs. Mais on aura beau nous assurer qu ils n'étaient que des légendes, trop de choses nous font croire qu'ils recèlent l'un des plus fantastiques secrets de notre lointain passé.
"

Fin de citation de l'article de Mr Jean-Louis de Degaudenzi.


     Précisons encore une fois que nous ne sommes pas ici pour affirmer que tous ces êtres fabuleux existent ou pas, mais seulement pour exposer certains textes que les médias qui ont pignon sur rue évitent soigneusement de nous présenter.

     Nous ne terminerons pas cet exposé sans vous relater cette vieille légende danoise d'après l'ouvrage  de Frank Hamel "les animaux humains" paru chez Albin Michel dans la prestigieuse collection "les chemins de l'impossible " en Jan. 1972 page 164: "Selon une vieille légende danoise, une sirène serait venue annoncer la mort prochaine  de la reine Dagmar, femme de Valdemar II Le Victorieux."

    Mais il y a aussi d'après F. Hamel cette autre légende :

    " En l'an de grâce 1576 à la fin de l'automne, nous raconte la chronique de Frédéric II du Danemark, vint à la cour qui se tenait à kalundborg, un simple paysan qui déclara  qu'une fort belle dame lui était plusieurs fois apparue alors qu'il travaillait à ses champs situés au bord de la mer. A partir  de la taille, vers le bas, elle ressemblait à un poisson. Elle l'avait enjoint très solennellement d'aller annoncer au roi que Dieu avait béni sa reine et qu'elle était enceinte d'un fils (plus tard Christian IV ) qui serait un des plus grands souverains du Nord...

    Dans les iles Shetland, on prétend que les sirènes habitent parmi les poissons, au plus profond des océans, dans des demeures de perles et de corail. Elles ressemblent à des êtres humains mais les surpassent grandement en beauté. Lorsqu'elles désirent visiter la terre, elles revêtent le "ham" ou habit d'un certain poisson, mais si une fois sur terre elles égarent le vêtement, elles perdent avec lui tout espoir de retourner dans leur royaume.
"


    On sait aussi que dans la mythologie grecque, le fringuant, Ulysse dû se faire attacher au mât de son navire et obligea ses marins à se boucher les oreilles avec de la cire pour ne pas succomber aux chants mélodieux de ces sirènes. Ulysse pouvait entendre ce chant,mais pas ses marins qui n'exécutèrent donc pas ses ordres dictés par l'envoûtement musical de lavoix des sirènes qui lui intimaient le désir de diriger son navire vers les rivages maudits de leur île.

    En fin, dans son ouvrage intitulé les "Archives du savoir perdu" paru en Oct. 1972 chez Albin Michel dans la toute aussi prestigieuse collection "Les énigmes de L'univers" du célèbre ésotériste Guy Tarade, nous découvrons en français d'époque, un texte parlant de la découverte en 1636 d'un homme marin. Voici en substance, un modeste résumé en français plus moderne:

" Au 17 siècle l'érudit  Duc de Retz écrivit au savant Peirex pour lui faire part de l'apparition d'un homme marin à Belle-ile le texte suivant daté du 26 Mars 1636 trouvé à AIX à la Bibliothèque de Méjanes :

    " Un jour  celui qui commandait la paroisse de Sauzon fut avertit par des pêcheurs de l'île   qu'à la mer  à la pointe nommée les Poulains sise vers le nord ouest , il avaient vu , croyaient-ils, un homme marin.

    Lui qui pendant trente ans avait commandé des vaisseaux et avait fort navigué, se moqua de ce discours et fit avertir les habitants de cette paroisse et même les autres que, si ce poisson-là réapparaissait, on devrait faire ce qu'il faut pour pour le prendre dans des filets et que s'ils réussissait à le faire, le seigneur leur offrirait beaucoup plus que la valeur de leur chaloupe et de leurs filets et que tout ce qu'ils gagneraient  de toute leur vie.

    Ce commandement à peine émit que deux jours plus tard, on vint l'avertir que  l'homme marin  était sur un rocher du côté ouest d'un lieu nommé d'Arbonne, mais que les chaloupes étaient toutes parties ailleurs à la pêche et qu'il n'en restait plus pour approcher l'être en question. On essaya donc de s'en rapprocher le plus possible à cheval et les habitants s'y joignirent ensuite.

    Il était sur un rocher au soleil et semblait assis. On ne pouvait voir la partie de son corps qui disparaissait dans l'eau. Le reste jusqu'au nombril était très bien proportionné à part les mains qui semblaient extraordinairement grandes et blanches au bout des bras un peu courts.

    Son corps avait la grosseur d'une barrique de vin et le reste suivant proportionnellement. ses cheveux  tombant jusqu'au épaules étaient fort gras et blanchâtres. Sa barbe de même aspect lui allait jusqu'à l'estomac. Ses jeux étaient fort gros et rudes. sa peau n'était ni blanche ni basanée elle semblait rugueuse... Le dos, le dessus des mains et  ses bras étaient  d'une peau grisatre et sans écailles...

    Mais ils ne purent voir ni ses cuisses, ni ses jambes, ni ses pieds, et savoir s'ils étaient de forme humaine ou en queue de poisson quoique certains affirmaient ce c'était plutôt le dernier cas.

    Le lendemain, le capitaine de l'île qui était en charge de la paroisse de Sanson fit armer toutes les chaloupes et se joignît lui même aux pécheurs munis de leurs filets pour essayer de le prendre.

    Il se laissa approcher d'aussi près qu'ils le voulurent et même et même il semblait prendre un certain plaisir à voir les hommes et les femmes principalement quand elles étaient habillés de linge de couleur car parfois il battait des mains en émettant un certain sifflement que l'on prit pour du rire.

    Ils l'attrapèrent alors dans les filets, mais quand il voulurent l'approcher pour le  hisser dans les chaloupes, il les déchira sans aucune peine et plongea dans la mer. Une chaloupe qui suivit sa trace pour l'agrafer il s'en agrippa et la renversa très aisément  au grand dam de ceux qui l'occupaient. Ceci jeta un épouvantable  désarroi parmi les autres pécheurs que le capitaine ne put jamais les faire retourner sur le lieu du drame.

    Il apparut encore pendant 15 à 20 jours, mais si loin dans la mer ou dans des endroits si inaccessibles que l'on ne pouvait l'atteindre d'aucun projectile.

    Enfin une fois, il fut plus confiant et il s'approcha de la pointe du vieux Château .

    Le capitaine de l'île étant averti de cela, s'en approcha le plus subtilement possible et lui déclencha un tir d'arquebuse qui, on ne le sut pas l'a peut-être blessé ou non , mais aussitôt il replongea dans la mer et depuis n'a plus jamais réapparu.

    Simultanément à son apparition à Belle-île des habitants de ce lieu qui allaient à Vannes pour affaires affirment qu'en plein jour, ils ont vu un être semblable, sauf qu'il n'avait point de barbe et avait des cheveux forts longs et qu'ils confirment assurément qu'au lieu de jambes , il avait deux queues de poisson faites comme un saumon, et qu'il stationnait sur un rocher nommé le Béniguet. "
"
Fin de citation


    Que dire de plus devant  ce luxe de détail  de cet incroyable événement. Chacun en tirera les conclusions qu'il jugera bonnes à sa convenance. Mais si c'est une histoire inventée, il faut avouer que son auteur avait beaucoup d'imagination et à rendre bien jaloux notre grand Jules Verne.

    D'ailleurs puisque Mr Jean Louis de Degaudenzi, a bien voulu vous parler plus haut d'OSNI ces objets sous-marins non identifiés qui ont été aperçu circulant sous la mer, nous ne savons pas s'il y a un rapport avec ce qui suit, mais vous jugerez vous même :

Dans un ouvrage intitulé "Pour entretenir la Flamme" paru aux Editions de l'homme (Ottawa) en 1972 en anglais chez Gorgi Book dès 1971 le lama déjà cité Lobsang Rampa au chapitre 9 parle nous parle de L'Atlantide en des termes peu équivoques:

    " Oui l'Atlantide a existé et il existe encore aujourd'hui des vestiges vivants. Ceux-ci sont profondément enfouis dans une certaine partie du monde...je souhaiterais pouvoir vous dire certaines des choses que je connais absolument, parfaitement, mais certaines d'entre elles ne peuvent pas êtres divulguées en ce moment. Je connais la vérité au sujet des sous-marins Thresher et Sorpion (Note du webmaster: deux sous-marins américains: le premier a disparu corps et bien le 10 Avril 1963 avec 129 hommes à bord et le second le 21 Mai 1968 avec 99 hommes. Mais il y a eu aussi les deux sous-marins français : le Minerve le 27 Janvier 1968 avec 52 hommes et l'Euridice le 4 mars 1970 avec 57 hommes, perdu également corps en bien) et je sais ce qui leur est arrivé et pourquoi. Si l'histoire pouvait vous être comptée, elle ferait courir des frissons glacés le long de votre épine dorsale, Mais ce n'est pas encore le momment de parler à ce propos ...Vous pouvez m'en croire cepandant, le mystère du Thresher et du Scorpion est plus étrange que vous ne pourriez jamais le croire."

    Comme vous le voyez et ARTivision le répète souvent, "la réalité semble dépasser ici, de très loin la fiction", et pour ne pas en dire plus maintenant à ce sujet, comme les anglais, nous dirons alors : No comment.

     Nous ne terminerons pas cet exposé sans faire un bref petit crochet dans le domaine de la tératologie qui est la discipline qui étudie les monstres qui apparaissent par-ci par-là sur cette planète et dont on ignore parfois l'existence.

    Ainsi donc dans un autre ouvrage de Guy Tarade intitulé "les Dossiers de l'étrange" paru en Avril 1971également Chez R. Laffont, on peut trouver pages 166 et 167, les paragraphes suivants qui nous relient encore aux histoires de la mer: " En Mai 1961 une sirène naissait à l'université de Catane... (On aimerait justement, avoir plus de détail sur ce cas: note du webmaster)... Le 20 Mai 1968, une paysanne de 26 ans accouchait , en Bolivie, d'un bébé-poisson ! C'est à San Juan, ville située à environ à 700 kilomètres de la capitale bolivienne, que se produisit l'événement. Le nouveau- né, couvert d'une peau écaillée, possédait  deux ailerons qui tenaient lieu de bras.  A  la place  des pieds, il y avait une queue  séparée en deux parties . Ses yeux étaient ronds et petits, et sa bouche était semblable à celle d'un poisson.
    Les médecins de la ville se sont contentés de rapporter la nouvelle, sans donner d'explication au phénomène. Précisons que le monstre vit encore. "
(En Avril 1971: note du webmaster)


    Nous passons sur bien d'autres phénomènes monstrueux décrits dans cet ouvrage et relevons cette dernière phrase: " ...les lois de la génétique sont encore très mal connues ; un fait parait cependant établi: une sorte d'involution se manifeste actuellement dans le règne humain, et les monstres envahissent la Terre... "

    Ces mutations seraient-elles attribuables aux retombées radioactives comme l'auteur le présume par la suite? Qui vivra verra?

    Un de nos amis, réparateur de télévision, il y a déjà près d'une vingtaine d'années se présenta à l'improviste chez une personne qui n'avait pas pu récupérer son poste dans son atelier. Alors qu'il pénétrait dans une cour, il vit une dame entrain de brosser dans un bassin  le dos de deux enfants, dos qui présentait l'aspect une vraie carapace de tortue. En approchant du bassin, notre ami  demande à la dame avec naïveté, croyant que les enfants portaient une sorte de déguisement escamotable : "Mais pourquoi donc n'enlevez-vous pas cette carapace pour baigner les enfants". Elle lui répondit que les enfants  étaient nés avec  cela  et qu'il n'était pas possible de soustraire ces carapaces de leurs dos. Notre ami en resta muet d'ahurissement et il apprit ensuite que  ces enfants ne sortaient jamais de la maison et vous pensez-bien que cet ami n'a pas pu revenir sur place pour prendre des photos de ces malheureux enfants....

Mais de plus il y a ceci :

    Le 19/10/06, nous avons eu le plaisir de recevoir dans notre boîte aux lettres le n°27 de la remarquable revue Top Secret : http://www.topsecret.fr, dont nous avons eu le privilège de rencontrer son Directeur Roch Saüquere en Juillet 2004, à Montpellier. A la page 8, nous avons alors eu la surprise de découvrir un article qui s'harmonise parfaitement, avec notre poissonfossile.html ci-dessus, et nous ne résistons pas à la délectation de vous en présenter le début sous la forme de l'image :



    Nous sommes ainsi heureux, par la même occasion, de vous présenter l'ouvrage exceptionnel de l'auteur Pascal Cazottes intitulé :" Sirènes et hommes-marins, du mythe à l'évidence scientifique ".

    En se basant sur des rapports historiques anciens que chacun peut découvrir dans des bibliothèques officielles, l'auteur nous raconte l'histoire incroyable d'hommes et de femmes extraits du milieu marin, pris dans des filets ou s'exposant à la vue de marins éberlués. Retenons deux cas typiques qui sont suivi des judicieux commentaires de l'auteur (les couleurs sont de nous, évidemment) :

" Au XIXième siècle, en 1833, des marins pêchant au large des îles Shetland, ramenèrent dans leurs filets une drôle de prise.
    Une fois hissée à bord, la sirène - car il s'agissait bien d'une de ces créatures - ne chercha pas à s'échapper, mais émettait quelques sons plaintifs. Après l'avoir observée pendant trois longues heures, le capitaine et ses hommes prirent la décision de la remettre à l'eau. De retour au port, ils furent interrogés sur ce qu'ils avaient vu par un professeur du département d'histoire naturelle de l'université d'Edimbourg. Selon leur témoignage, la sirène mesurait environ un mètre de long, le haut de son corps était conforme à celui d'une femme, sa poitrine large et protubérante, sa tête avait quelques points communs avec celle d'un singe, surtout au niveau du cou et du front, mais la bouche et les lèvres étaient parfaitement humaines ; quant à la partie inférieure de son corps, celle-ci tenait du poisson, avec une queue de requin. Aussi incroyable que cette description puisse paraître, elle fut prise très au sérieux par le zoologue Robert Hamilton qui écrivait, en 1839, en se référant à cette découverte :

" On ne peut avoir ici recours au scepticisme habituel, qui consiste à dire qu'en fait, ce sont des phoques ou d'autres animaux marins qui ont été observés et que cette vision, agissant sur une imagination enfiévrée, provoque des illusions oculaires. II est impossible de penser que, compte tenu des circonstances, six marins des Shetland aient pu commettre une telle erreur !"

    Enfin, plus près de nous, en 1938, Beryl de Zoete, de nationalité néerlandaise, rapporta la capture d'un véritable Triton le long de la côte de l'État indien de Cochin. Ramené sur Terre par des pêcheurs,l'homme marin ne disait pas un mot et se tordait misérablement sur le sable. Lorsque les curieux, accourus pour le voir, devinrent trop nombreux, il regagna la mer dans des efforts désespérés et réussit à plonger dans l'eau pour retrouver la liberté.

    De nombreux autres témoignages pourraient ainsi être cités, renforçant, du même coup, la réalité de ces créatures aquatiques qui, précisons-le, ne peuvent en aucune façon être des lamantins et autres dugongs que les tenants de la science officielle brandissent comme la seule explication "rationnelle": En fait, il faudrait être bien mal voyant, saoul ou en proie à des mirages engendrés par je ne sais quelle fièvre pernicieuse, pour confondre ces vaches marines avec ces êtres énigmatiques qui se rapprochent bien plus des êtres humains. Et c'est justement sur ce point que le phénomène dérange. Nous croyant uniques, on ne peut, bien entendu, s'imaginer l'existence, qui plus est actuelle, de créatures présentant de nombreuses similitudes (notamment une bipédie naturelle) avec l'espèce humaine. II faut dire, aussi, qu'envisager, ne serait-ce qu'un instant, l'éventualité de l'existence de ces êtres, remettrait en cause bien des dogmes scientifiques, autant que religieux. Et cela est inacceptable pour les intégristes de tous poils ...

    Pourtant, les faits sont là, et le temps de discuter de leur réalité est depuis longtemps dépassé ; la seule question d'importance résidant, désormais, dans l'identification de ces êtres qui n'en finissent pas de hanter la mémoire collective de l'humanité.

Pascal Cazottes "


    Mais, si nous avons ajouté ce paragraphe, c'est parce que, de plus , dans le n° 28 de la même revue "Top Secret", nous avons aussi découvert ceci dans rubrique : Le rendez-vous des Lecteurs :

" Sirène.

    J'ai sous les yeux le dernier Top Secret, que j'attendais depuis 15 jours...
    En lisant votre article sur les sirènes, il m'est revenue l'histoire que me racontait ma grand-mère. Elle était réunionnaise et est née en 1896. Elle racontait que lorsqu'elle était enfant une rumeur était arrivée jusqu'à la ville où elle habitait : on disait que dans le lagon de St Pierre il y avait une jeune fille qui nageait, sautait, se reposait sur les rochers mais ne sortait jamais de l'eau. Elle s'est rendue au bord du lagon avec ses parents, comme des centaines d'autres personnes. Elle raconte que c'était devenu LA promenade de tout le monde. Et effectivement elle a vu une jeune fille avec une queue de poisson et une poitrine de petite fille, et cette jeune fille est restée quelques jours. À notre question : pourquoi n'existe-t-il pas de photo ? Elle nous a répondu que le seul photographe de l'île habitait à St Denis et que le temps qu'il fasse la route en charrette la sirène était repartie. Une nuit il y a eu une tempête et elle en aurait profité pour repasser par-dessus le récif de corail et repartir vers la haute mer. Cette histoire peut paraître folle, mais lorsque vous entendez une femme de 90 ans vous la raconter, vous savez qu'elle ne ment pas.   F. Q.

    Comme vous le voyez, ARTivision, dès Mars 2001, a senti venir du large... le vent de l'inspiration, mais aussi celui, du Temps des révélations. "

Fin de citation.

IV autres compléments dans le même registre concernant ce qui se passe sous nos Mers.


      En poursuivant l'exploration de nos dossiers, nous sommes tombés sur deux autres articles, que nous allons vous transcrire ci-dessous :

Voici d'abord l'article du Nostra n° 277 du 27 Juin au 2 Août 1977 :


     Et voici maintenant le début de l'article de Mr J.M. DOUCHET :


     Voyons maintenant la digitalisation du reste de cet article :

DES MARINS LES ont OBSERVÉES SUR TOUS LES OCÉANS DU GLOBE...



     suite de la page 29

     II y a plus étrange encore. Le 15 mai 1879, un hydrographe de la marine anglaise, le capitaine Evans, signala que le commandant Pringle, du navire Vulture, avait observé des "ondes lumineuses" qui se déplaçaient à grande vitesse dans le Golfe Persique. " Elles sont finalement passées sous le navire, dit-il. En regardant vers l'Est, on aurait dit une roue pivotant sur son axe, et dont les rayons s'illuminaient. Vers l'Ouest, une roue identique avançait dans le sens opposé. Les ondes de lumière s'étendaient de la surface aux profondeurs marines".

     A noter qu'après avoir croisé la route de ces "choses" lumineuses, le Vulture traversa des nappes d'une "substance flotante, huileuse".

Escortés par des "roues lumineuses"

Un phénomène semblable avait été signalé en Avril 1875, au nord de VeraCruz. "Le livre des damnés" de Charles Fort, (Aux Editions Terrain Vague 1967) nous rend compte de faits tout aussi déconcertants.

     Ainsi, en Mai 1880, le Patna, un steamer de la Compagnie des Indes Britanniques, fit une étrange rencontre en traversant le Golfe Persique. La nuit était sombre quand, tout à coup, le capitaine Avern et deux de ses hommes virent apparaître, de chaque côté du navire, deux énormes roues lumineuses qui tournaient sur elles-mêmes et dont les "rayons" paraissaient frôler la coque du bateau. D'après les témoins, ces rayons mesuraient de 200 à 300 mètres de long. Pendant une vingtaine de minutes, le steamer fut ainsi escorté.

     Dans cette même région du Golfe Persique, peu de temps après, l'aventure du Patna, un nouveau phénomène fut remarqué par le commandant Harris du Shah Jehan. Dans la soirée, alors que tout était calme et normal, il fut frappé par un spectacle si surprenant qu'il fit stopper les moteurs. "II s'agissait, dit-il, de vagues entre-espacées de lumières brillantes et d'une substance inconnue qui flottait, ne jetant pas de feu, mais paraissait éclairée par de gigantesques rayons lumineux. Onde sur onde se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus solenels qui se puisse imaginer".

     Toujours dans ce même Gofe Persique, le 4 Avril 1901, le capitaine Hoseason, du vapeur, Kilwa, observa durant un quart d'heure, de vastes ondulations lumineuses qui évoluaient à une vitesse qu'il estima de 10 km/h.

     Surprises du même ordre dans le détroit de Malacca. En 1907, M.S.C. Patterson, du vapeur Delta, assiste, pendantt 30 minutes, au spectade que lui offrirent des rayons lumineux d'environ 300 mètres de long "qui pivotaient sur un centre".

     En Juin 1909, le capitaine Gabe du paquebot le Bintang, aperçut, dans la même zone, une "sphère de lumière mouvante" juste au-dessous du niveau de la mer. "Elle s'approcha lentement du paquebot, écrivit-il, dans le livre de bord, en s'atténuant et en s'évanouissant dans les eaux".

     C'est, dans la mer de Chine, cette fois, que le capitaine Breyer, du bateau Valentijn, fut témoin le 12 Août 1910, d'une rotation d'éclairs qui'il décrivit comme "une roue horizontale, tournant rapidement au-dessus de l'eau et produisant sur l'équipage un profond sentiment de malaise".



     Dans l'Océan Indien, plus exactement dans le Golfe d'Oman, une nappe lumineuse apparut devant le navire de M.D. Canegie. Quant on en fut à une vingtaine de mètres "des rayons aveuglants vinrent frapper l'avant du bâtiment à une vitesse prodigieuse qu'on peut estimer de 100 à 200 km/h".      Canegie déclara aussi que les rayons semblaient provenir des pronfondeurs. II ajouta : "un navire qui passait à proximité ne brisait pas leur trajectoire : on aurait dit qu'ils le traversaient d'outre en outre".      Un autre phénomène extraordinaire se produisit durant le tremblement de terre de Sankiru au Japon, le 3 mars 1933. Ce jour-là, la mer se retira pour laisser voir à des centaines de témoins, un "halo luminescent" de couleur bleuâtre qui reposait sur le fond de l'océan.

     Un certain Frank Lane rapporta que le même phénomène s'était produit quelques années aupara- vant. La crête de vagues émettait une lumière fai- ble continue; toute la côte était enveloppée d'une douce clarté bleuâtre.

Ces étranges clartés qui montent des abysses.


     Que cachent-ils donc, ces étonnants effets de lumière constatés en des points si divers du globe? Tout comme pour le triangle des Bermudes on se perd en conjectures. D'autant que tes aspects ne sont jamais rigoureusement identiques. Certains sont même si extraordinaires qu'ils semblent tout droit sortis de l'imagination d'un Edgar Poë. Qu'on en juge par ce dernier exemple.

     C'était dans un passé encore récent : en 1957. Le chalutier Ella Hewett pêchait au nord-est de l'île de Man quand il fut environné d'une vive lueur, un peu comme si le faisceau d'un projecteur géant l'avait enveloppé. II n'y eut aucune vibration, aucun bruit étrange. Mais une altération que le capitaine Fred Sutton devait rapporter, le lendemain, en ces termes : "II m'est arrivé un drôle de truc, hier soir. Toute la peinture de la passerelle a disparu. La peinture était là, quand je suis allé me coucher. Ce matin il n'y avait plus que la sous-couche de minium. Je me suis creusé la tête toute la journée, pour comprendre. Mais je ne trouve aucune explication".

...ET C'EST LA DERNIÈRE IMAGE QUE LES ASTRONAUTES EMPÖRTÈRENT DE LA TERRE.


               J.M. DOUCHET

      Rappelons tout de même ici, tiré de notre article :


, le paragraphe suivant :

     "Cela est déjà arrivé à maintes reprises et ces intrusions expliquent le fonctionnement du gouvernement secret de cette planète que vos chefs d'état ont cautionné. Certaines de ses portes stellaires sont enfouies sous l'eau, depuis le dernier déluge. Ces vortex sous-marins attirent certains appareils qui se trouvent à leur proximité, lorsqu'ils sont enclenchés. C'est le cas de la porte stellaire qui se situe dans le Triangle des Bermudes et qui explique nombreuses disparitions de navigateurs et d'aviateurs. Toutes ces informations vous sont actuellement disponibles dans de nombreux ouvrages et sur le Net depuis une dizaine d'années. Même vos films vous dévoilent des vérités que vous n'osez encore accepter. "


     On comprend alors un peu mieux , comme nous le dit plus haut, L. Rampa, l'affaire "fantastique" des sous-marins américains Thresher et Sorpion qui ont disparu corps et biens , le premier le 10 Avril 1963 avec 129 hommes à bord et le second le 21 Mai 1968 avec 99 hommes.

     Et voici maintenant l'article du Nostra n° 289 du 19 au 25 Oct 1977 :


     Et voici maintenant, le début de l'article de Mr Jacques DEGAS :


     Voyons maintenant la digitalisation du reste de cet article :

..un extraordinaire phénomène. Ils se trouvaient au ~ large de l'lie Khiouma par moyen fond lorsqu'ils remarquèrent une masse oblongue qui se déplaçait parallèlement à eux. Une luminescence bleuâtre en émanait sans que ne soient visibles en aucun point des hublots ou des projecteurs. La clarté formait un anneau proche du vert au centre de l'objet. La longueur du mystérieux sous-marin qui ne répondit pas aux sommations d'usage fut estimée à une trentaine de mètres et son diamètre à dix. L'engin filait trois ou quatre nœuds mais quelques minutes après avoir été repéré, il disparut presque instantanément vers le Nord-Est. Selon les ingénieurs soviétiques, il ne pouvait absolument pas s'agir d'un autre submersible de modèle connu, les sous-marins ne présentant jamais de luminescence diffuse sur toute leur surface et ne pouvant s'esquiver aussi rapidement.

     La publication de cette rencontre dans le très officiel magazine de science soviétique équivaut pratiquement à une caution des autorités que l'on sait pourtant réticentes à voir de tels phénomènes évoqués. D'autres sous-marins d'URSS observèrent de semblables engins qui disparurent à leur approche. Tous ne présentaient pas des caractéristiques lumineuses, mais la vitesse à laquelle ils s'esquivèrent interdit toute assimilation de ces objets non identifiés avec des modèles de submersibles connus ou des monstres marins. De pareils engins ont été repérés dans les eaux australiennes à plusieurs reprises, près des îles Seychelles et au large de la fosse des Philippines.

     Le 10 juin 1909, presque exactement un an après la fameuse catastrophe de Tunguska, un USO immense, brillamment éclairé, apparut sous la surface des eaux dans le détroit de Malacca. Tout l'équipage du navire danois, le Bintam put l'observer et le capitaine consigna le mystérieux événement dans son livre de bord.

     En 1959, les marins du Herald II, un submersible de la Navy, rencontrèrent un USO en forme d'anneau de couleur grise qui disparut en girant sur lui-même de l'lie Mas-a-fuera. On évalua le diamètre du mystérieux engin sous-marin à une vingtaine de mètres. Près de l'île Oualan, dans le Pacifique, le Jackson, attaché à la base d'Hawaï, croisa à moins de cent mètres d'une masse vaguement opalescente de forme allongée qui portait plusieurs protubérances hémisphériques. De la même manière, l'objet non identifié disparut à Vès grande vitesse.

     Depuis 1960, date à laquelle se produisit un étrange incident dont le grand public n'eut jamais l'explication dans la baie de Buenos Aires, on fut parfois sur le point d'arraisonner des USOs mais ils parvinrent toujours à fuir presque instantanément. L'un d'eux fut littéralement bloqué par la marine norvégienne dans les eaux du port de Bergen. On ne sut jamais exactement de quoi il s'agissait et certains journaux, écartant l'hypothèse d'un submersible étranger, prétendirent que les plus hautes instances avaient autorisé sinon facilité sa fuite. II en irait de même du mystérieux sous-marin qui croisait au voisinage de l'île de Gotland en Mai 1974. Qu'est-il advenu des recherches entreprises pour le retrouver et l'arraisonner?

     Soviétiques et Américains unirent leurs efforts, en Mars 1969, pour surprendre un engin non identifié au large des Kouriles. C'est l'agence Chine Nouvelle qui avait signalé sa présence dans les eaux territoriales chinoises, pensant que ce submersible obéissait aux ordres de Washington ou de Moscou. On le localisa près d'Itouroup. Les bases d'Hokkaïdo et du Kamtchatka se mirent en état d'alerte. On repéra un submersible non identifié au large d'Akkesi, au Japon. D'après les appareils de détection il mesurait plus de cinquante mètres de long et filait à très vive allure en direction du Sud. Bien entendu, il ne fut jamais arraisonné...

     Qu'en est-il de ces manifestations étranges d'objets sous-marins non identifiés? Pouvons-nous les rapprocher des OVNI et seraient-ils aussi des véhicules de visiteurs extra-terrestres? C'est la théorie de l'Américain Robin Collyns, le Soviétique Altov demeurant plus réservé, sans toutefois repousser définitivement pareille hypothèse. II remarque que le monstre observé dans le lac Vorota, en Sibérie, depuis 1964, n'a rien d'un animal survivant des époques antédiluviennes.

     "II a communément été décrit, note Altov, comme un cylindre très long, aux reflets d'un gris métallique comme n'en peut émettre, au soleil, une peau serait-elle écailleuse. Depuis quand les animaux fossiles présentent-ils une forme et un aspect semblables? En a-t-on jamais imaginés qui évoluent comme ce prétendu monstre avec toutes les caractéristiques de nos plus modernes submersibles?"

De longs engins fuselés.


     Et de rappeler la singulière observation qui fut effectuée près de Tachkent. Un petit homme étrangement dépourvu d'oreilles avait été découvert mort sur le rivage d'un lac voisin. Peu auparavant on avait enregistré plusieurs témoignages d'OVNI semblant en difficulté au-dessus de la région. Une exploration des eaux du lac n'avait pas permis de découvrir l'engin qui, selon un enfant et un pêcheur, s'y serait englouti.

     Collins ainsi que Shklovsky, le célèbre partisan soviétique - et académicien! - ont retrouvé dans l'histoire et le mythe d'innombrables exemples d'extraterrestres à la technique prodigieusement évoluée dont les véhicules auraient hanté nos océans. L'astrophysicien russe cite volontiers cette tablette sumérienne retrouvée près de l'emplacement de l'antique Heridu et qui date de 35 siècles avant J.-C. Ce document cunéiforme relate qu'au début des temps, vivaient des sages dans de longs engins fuselés au fond du golfe Persique. Ces sous-marins immémoriaux allaient à la vitesse de l'éclair et périodiquement leurs occupants en descendaient sur la terre ferme pour apporter la civilisation aux humains. Ils leur donnèrent des semences et leur apprirent à fabriquer des outils et ils leur enseignèrent comment bâtir des maisons de pierre et de métal. Leur oeuvre achevée, les submersibles s'élevèrent à la surface des eaux et disparurent dans le ciel...

Poséidon, dieu des mers, vivait lui-même sous les eaux au large de l'ïle d'Eubée. Et c'est grâce à un monstre marin de fer et de feu qu'il parvint à envahir le royaume de Céphée, dans l'actuelle Ethiopie.


     La baleine de Jonas, dans la description qu'en donne la Bible, ressemble davantage à un submersible qu'à un cétacé dont on ne connaît aucune espèce susceptible d'engloutir un homme et de le rejeter vivant au rivage trois jours et trois nuits plus tard!


     Dans les mythologies celtiques, nombreuses sont ces histoires de protégés des dieux qui furent mis à l'épreuve et eurent le privilège de voyager dans les airs et sous les eaux à de vertigineuses vitesses en empruntant le char magique de Cuchulaïn.

     En ce qui concerne la description du Léviathan, le monstre biblique des forces du mal, on ne peut guère douter qu'il s'agisse d'un engin métallique :

     « Ses éternuements jettent un éclat de lumière et ses yeux sont comme les paupières de l'aube du jour. II sort des flambeaux de son corps et il en rejaillit des étincelles de feu; il sort de la fumée de ses narines... II fait bouillonner le fond de la mer comme un chaudron... »      Les mêmes descriptions d'animaux "divins ou infernaux" qui hantent les mers et que choisissent certains dieux comme habitations et véhicules fourmillent dans l'histoire mythique de l'humanité. On les retrouve avec les énormes serpents marins d'or et d'argent bleu que montent Vichnou et Nava Yama. Dans les pays nordiques où des monstres comme celui du Brendan gaélique, sont aussi vastes que des îles et abritent des hommes "aussi beaux que les dieux et qui sont leurs frères déchus..."      Le célèbre Nessie du Loch Ness ne serait lui-même que l'un de ces mystérieux submersibles. L'hypothèse d'un tunnel joignant le loch à la mer ne serait, selon de nombreux scientifiques, nullement à rejeter. Elle expliquerait les apparitions et les disparitions du "monstrez" et peut-être devrait-elle être mise en rapport avec ces énigmatiques boules de feu qui apparaissent périodiquement au-dessus des lochs voisins Leven et Awe. On a pu les observer et les photographier à maintes reprises, évoluant avec lenteur et dans le plus grand silence à quelques mètres des eaux. Bien entendu, on n'a jamais donné d'explication scientifique du phénomène...


          Jacques DEGAS

Fin de citation des articles.

      Toutes ces affaires de lumières étranges et de submersibles inconnus dont les bien-pensants se gausent allègrement, n'auraient pas été mises en relief ici, par ARTivision, s'il n'y avait pas aussi, ce petit lapin, que nous allons tirer maintenant, de notre chapeau...

       Voici donc, la photo qui nous avait été adressée, il y a pas mal de temps, par l'ami Joël Baran , qui a aussi placé certains articles, sur notre site : .

La photo de Bruno Ghibaudi.

Le 27 avril 1961, autour de midi,  Bruno Ghibaudi, journaliste scientifique, arrêta sa voiture suite à une crevaison alors qu'il se trouvait face à la plage de Montesilvano (ville italienne de la province de Pescara ). Il commença à changer la roue quand il remarqua la présence en l'air d'un disque peu commun métallique plongeant en direction de l'océan. La chose passa au-dessus, ralentit, prit un angle aigu vers le nord et s'envola.


 
Il eut le temps de prendre cette photo ci-dessus, qui montre cette chose étrange, munie de nombreuses ailes et presque organiques.

 

Illustration ci-dessus du journal Domenica La del Corriere le 15 Avril 1962. (Artiste inconnu), visible sur le site http://www.rense.com/general33/bruno.htm

    Comme le voyez, cette excellente et surprenante photo n'a jamais fait la une, des grands médias qui ont pignon sur rue en France, bien qu'elle ait été réalisée à l'époque où les ordinateurs étaient vraiment balbutiants.

    Alors, Messieurs les journalistes, chroniqueurs et consorts, si vous voulez vraiment faire un bon scoop, remontez alors jusqu'au négatif de cette photo de Bruno Ghibaudi, pour en déterminer tous les tenants et les aboutissants, puis faites au moins un débat à ce sujet, dans les médias officiels, afin que le citoyen, soit enfin informé d'une vérité inouie que l'on nous cache depuis des lustres...

         C'est à vous qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents à l'apppui.


     Article mis en page le 07/07/2012 , et revu le 8/07/2012 , et revu le 11/07/2012.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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