Quand on reparle de Titan à propos de dunes.      
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Quand on reparle de Titan, le satellite de Saturne, qui possède une zone désertique, aussi grande que les USA, et remplie de dunes en vadrouille.


I Introduction.

     Le 30 Janvier 2012 , nous avons reçu le message suivant:

----- Original Message -----
From: cenadi academ
To: Fred IDYLLE
Sent: Monday, January 30, 2012 11:54 AM
Subject: Des nouvelles de Titan.


           Salut Fred

Des nouvelles de Titan:


http://www.wikistrike.com/article-les-dunes-de-titan-seraient-tres-similaires-aux-deserts-terrestres-98264944.html

           Amitiés
           Patrick


II Genèse de l'affaire.

Présentons donc ici quelques élements de cette affaire au cas où ce site viendrait à disparaître comme par enchantement :

Les dunes de Titan seraient très similaires aux déserts terrestres.


De nouvelles données fournies par la sonde Cassini de la NASA indiquent que les dunes observables sur Titan, une lune de Saturne, varieraient en forme un peu comme le font les dunes terrestres.

     Plus grand satellite de la planète Saturne, Titan a été découvert en 1655 par l'astronome hollandais Christian Huygens. Mais durant les siècles suivants, cette lune est restée très mystérieuse en raison de son épaisse atmosphère qui rendait difficile l'observation. Ce n'est qu'en 2004 avec le début de la mission Cassini-Huygens que la surface du satellite a pu être révélée. Les scientifiques ont ainsi observé que Titan présentait peu de cratères mais montrait plutôt des plaines, des montagnes, des côtes et des dunes. Des dunes sur lesquels la NASA vient d'en apprendre un peu plus grâce à de nouvelles données provenant de la sonde Cassini.

     D'après les observations, les dunes recouvrent plus de 6 millions de kilomètres carrés de la surface de Titan, soit une région d'à peu près la taille des Etats-Unis. Or, l'analyse des nouvelles images révèle que ces montagnes de sable seraient similaires à celles présentes sur Terre. Plus précisément, elles varieraient en taille de la même manière que le font les dunes terrestres, à la différence qu'elles ressembleraient davantage à des déserts comparés à nos standards terriens. En effet, sur Titan, les dunes sont larges de un à deux kilomètres en moyenne, s'étendent sur des centaines de kilomètres et atteignent environ 100 mètres de hauteur. Cependant, leur taille et leur étendue varient à la surface, trahissant l'environnement dans lequel elles se sont formées et ont évolué.

     En utilisant les données radar de Cassini, Alice Le Gall du Jet Propulsion Laboratory de Pasadena en Californie et ses collègues ont découvert que la taille des dunes de Titan dépendait au moins de deux facteurs : l'altitude et la latitude. Selon les observations, les montagnes de sables les plus élevées ont tendance à être plus minces et davantage espacées. En terme de latitude, les dunes se rencontrent essentiellement dans la région équatoriale du satellite, sur une bande située entre 30 degrés de latitude sud et 30 degrés de latitude nord. En revanche, celles présentes plus au nord sont généralement moins volumineuses que les autres. Les scientifiques estiment que ceci pourrait être dû à l'orbite elliptique de Saturne.

Un hémisphère sud plus sec.

     Comme la Terre, Titan possède des saisons mais celles-ci durent environ sept ans. Or, la nature elliptique de l'orbite de Saturne implique que l'hémisphère sud du satellite a des étés plus courts et surtout plus intenses. Les régions du sud sont donc probablement plus sèches que celles au nord, ce qui implique évidemment moins d'humidité dans les sols. Plus les grains de sable sont secs et plus ils peuvent être facilement transportés par le vent. ".En allant vers le nord, nous pensons que l'humidité des sols augmente probablement, rendant le sable moins mobile, et donc, le développement de dunes plus difficile", explique Alice Le Gall, citée par le Daily Mail.

     Une hypothèse également alimentée par le fait que les lacs et mers d'hydrocarbures ne sont pas distribués symétriquement sur Titan. Ces réserves de d'éthane et méthane liquide sont bien plus présents dans l'hémisphère nord, suggérant de nouveau une humidité plus importante. Par ailleurs, sur cette lune, le sable ne serait pas fait de silicates comme sur Terre mais plutôt d'hydrocarbures solides, provenant de l'atmosphère.

     Si de nombreuses questions restent à élucider, ces nouvelles observations pourraient permettre d'en apprendre bien plus sur le mystérieux satellite. "Comprendre comme les dunes se forment autant qu'expliquer leur forme, taille et distribution à la surface de Titan, est d'une grande importance pour comprendre le climat et la géologie de Titan", commente Nicolas Altobelli, scientifique du projet Cassini-Huygens de l'ESA.


Source:Maxisciences.

     On apprend aussi sur le Web, que l'atmosphère de Titan est très épaisse et pourrait atteindre au maximum près de 880 km, et donc est environ 8 fois plus importante que celle de la Terre. Elle formée dit-on de 98,4% d'azote et aussi 1,6 % d'hydrocabures comme le Methane, l'éthane etc.. La pression atmosphérique 146,7 Kpa est environ 10 fois celle de la Terre, et qui reçoit 100 fois moins d'énergie solaire, et dont la température moyenne oscille autour de -180°C.

     On s'étonne alors que dans une atmosphère aussi froide et lourde et imprégnée de liquides plutôt huileux, que des dunes de près de 2km de long et 100 m de hauteur, puissent ne pas être gelées, et arrivent se déplacer dans une zone désertique immense, grande comme les USA.

     Sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Titan_(lune)
nous lizons ceci : " Selon Athena Coustenis de l’observatoire de Paris-Meudon, ces dunes seraient... formées de poussières dont la densité est bien moindre que sur Terre, où les grains de sable sont formés de silice. Des vents réguliers de faible puissance suffiraient donc à mettre les sables titaniens en mouvement. Le sable sur Titan pourrait s’être formé suite à l’écoulement du méthane liquide responsable de l’érosion du substrat de glace, peut-être sous la forme de crues. Il pourrait également provenir de solides organiques produits lors de réactions photochimiques dans l’atmosphère du satellite"

     Bravo donc pour l'intérêt soutenu, que portent ces scientifiques sur ces dunes en ballade de Titan.

     Mais vous avez bien noté que plus haut, il est écrit : "Si de nombreuses questions restent à élucider, ces nouvelles observations pourraient permettre d'en apprendre bien plus sur le mystérieux satellite."

     Cependant le site ARTivision lui, pense que cette affaire de dunes est très secondaire, et cela nous rappelle l'affaire des scientifiques passionnés à la recherche des exoplanètes , qui sont des milliards dans l'univers. C'est donc pas demain la veille, qu'ils aboutiront dans cette tâche. Nous l'avons souvent écrit :

     Pas besoin en effet, d'être un agrégé en philosophie pour savoir que, chacun situe d'une part,  son appréhension  des choses, et d'autre part, il situe aussi,  ses priorités...,   en fonction de ses préoccupations immédiates.  Mais, il arrive souvent que, ... quelques temps plus tard (et parfois il faut des siècles pour cela : Voir nos articles sur les Elohim), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que  des futilités qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement , et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution .

     Le cursus intellectuel du site ARTivision est justement axé sur la démonstration de cette assertion.

     Nous aurions plutôt apprécié que cette scientifique (citée justement plus haut) Athena Coustenis, nous en dise bien plus, sur Titan, ( 7 ans plus tard en 2011), que ce qu'elle avait déclaré dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :

http://www.artivision.fr/docs/LeMonde101104.html

     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

     " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. " "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, dit qu'elle ne sait pas comment qualifier ce disque extrêmement brillant que l'on aperçoit au pôle sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte de nuage" (mais elle évite de parler de son extrême brillance) qui se présente sous la forme d'un vortex tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :

     Puis ensuite sur le site :

http://www.aerov.jussieu.fr/themes/APACHE/CVs/Rannou/RANNOU.html

on trouvait alors en 2004 , cette image :



     Et aussi, ces propos : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.
     L'une des premières photos composites (3 couleurs) du spectromètre VIMS infrarouge, rendue publique dès juillet 2004, où l'on voit le nuage au pôle sud, un nuage élongé en longitude à 40°S et de nombreux autres nuages plus discrets à d'autres latitudes. Ces petits nuages sont similaires à ceux observés par la caméra ISS.
"
.


     Après les avoir toutes redressées sur l'axe nord-sud, analysons maintenant d'un peu plus près ces 4 images du satellite de Saturne Titan (5150km) (plus gros que Pluton (2280km) et même que Mercure (4960 km) ) filmé en début Juillet 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :

 

     Isolons alors le globe de couleur bleue, et agrandissons le, quelque peu :


      Pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle sud de Titan.

      Mais le 17/03/2012, nous avons eu l'idée de rechercher sur Google, le vocable VIMS, inscrit sur la photo vue plus haut, du site RANNOU.html. Ce vocable signifie: Visible and Infrared Mapping Spectrometer. VIMS est un instrument qui réalise une image spectrale visible infrarouge (0.35 - 5 2 µm), embarqué à bord de l'orbiteur Cassini de la mission Cassini/Huygens. Il fut destiné à cartographier Saturne et son système pour déterminer la composition de sa surface et de son atmosphère. Et finalement nous sommes tombés sur l'image détaillée :

http://speclab.cr.usgs.gov/spacecraft-planetary/cassini-vims/titan.6798.r=2um,g=1.56um,b=1um.labels-b.jpg

     Là, on voit très bien ce disque lumumineux inouï du pôle sud de Titan, et sa superbe réverbération, sur les couches de l'atmosphère, de l'astre.

     Puis nous sommes alors arrivés, au gigantesque site :

http://pgj.pagesperso-orange.fr/Cassini-Huygens-Titan.htm

, et c'est seulement tout à fait à la fin, que nous sommes tombés sur les toutes petites images suivantes :


où l'on voit à peine, le disque lumineux du pôle sud, comme si l'on considérait ce détail comme particulièrement insignifiant. A vous de juger.

     Voici quelques sites connus parlant de Titan :

http://www.sciences.univ-nantes.fr/geol/missions/Cassinihuygens/?page_id=179&lang=fr
http://fr.wikipedia.org/wiki/Titan_(lune)
http://www.astroo.com/articles/titanDione.html
http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20100608.OBS5203/de-la-vie-sur-titan.html
http://www.universcience.fr/fr/science-actualites/actualite-as/wl/1248100228584/huygens-sur-titan-les-premieres-images/
..................etc.............

    Aucun n'a osé présenter Titan avec son disque extrêmenent lumineux d'environ 300 Km de diamètre. A vous de juger...

    Il serait donc aussi judicieux de regarder, comment certaines revues, qui ont pignon sur rue, ont traité à l'époque, cette affaire de disque très brillant au Pôle Sud de Titan :

     Commençons voulez-vous par la revue "Science&Vie" n° 1043 d'Août 2004.

     Découvrez vous-même, ce qu'on en dit :


     Vous constatez donc que l'on qualifie ce disque superbement brillant de Titan de "champs de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage Blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Aout 1989 et qui brillait encore plus.(Voir notre article à Byrdsuite.html)

     Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, comme ceux qui pendant des siècles, ont affirmé que c'était le Soleil qui tournait autour de la Terre.

     S'il s'agit vraiment "de nuages de méthane", ce méthane a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, car nous dit-on ( Mr Emmanuel Monnier), dans le n° Spécial de la même revue de Mars 2008:

, que le flux de lumière,qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre :

     Mais le 01/09/04, nous avons aussi pu avoir sous la main le n° 412 de la revue CIEL&espace de Sept.2004 (le n°411 n'avait lui rien du tout de saillant sur Titan), et nous avons été très surpris de ne pas y découvrir les fameuses photos de Titan tant attendues par nous et qu'au moins la revue Science&vie n° 1043 (nommée ci-dessus) avait eu l'audace de publier, le mois précédent.

     Cependant Titan a eu droit à une petite fleur en la matière d'un court article, en page 19, qui nous parle de tout autre chose que de ce disque brillant si insolite. Voyez vous même l'image qui donne le détail de tout cela :



     Comme vous le voyez, le disque très luminueux de Titan a disparu comme par enchantement...Ne pensez-vous pas qu'il s'agit là d'une diversion notoire, pour cacher le vrai embarras devant lequel les spécialistes de cette revue se trouvaient, pour seulement imaginer une explication non stupide du phénomème ? Visiblement, ils ont été pris de court, et ont préféré se taire sur le sujet à ce momentent là.

     jMais voyons un autre son de cloche :

      Le 16/11/04, nous avons pu avoir sous la main, le "Figaro magazine" du Samedi 13 Nov. 2004, où nous lisons en page 36, ceci :

 

     Nous extrayons alors, du texte précédent, les mots suivants :

" Un spectromètre de masse était aussi de la partie pour analyser les composants de l'atmosphère: elle est constituée d'azote à 90%. Mais on trouve, du méthane, du benzène, du diacéthylène... Près du pôle sud, ces composés forment un vaste tourbillon de nuages blancs. Découverte surprenante les particules nuageuses sont trop grandes pour être faites de méthane..."

     Nous avons vainement cherché ce tourbillon de nuages blancs au pôle sud de la planète, sur la photo suivante que nous présente aussi la revue :

 


     Ainsi donc, il paraît que ces taches blanches du pôle Sud de Titan, ne sont plus composées de méthane, alors que chaque revue mentionnée plus haut ne parlait que de cela...Comme les "certitudes", concernant l'espace, se modifient rapidement, ces temps-ci.

     Comparons encore tout cela avec notre fameuse photo bleue de Titan, vue plus haut:

  


     A qui fera-t-on croire, que ces deux photos, représentent le même phénomène, sans qu'il y ait eu en Haut Lieu, une manipulation de l'image ? Mr Olivier de Goursac de la Socièté astronomique de France, fait (ici pour la photo de gauche, obtenue par Cassini Huygens, à partir du 26 octobre 2004) allusion à un tourbillon de nuages blancs (tourbillon vraiment non perceptible comme vous le voyez) alors que sa collègue Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris, déjà présentée plus haut, parle elle, pour la photo de droite d'un vortex, tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. En parlant de tourbillon, ce monsieur Olivier de Goursac ne garde-t-il pas inconsciemment en mémoire, ce vortex de la photo bleue, qu'il a eu obligatoirement en main, à partir du 4 juillet 2004 ?

     De plus, la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" présente une luminosité remarquable et Mr Olivier de Goursac, nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan". Or d'après ce que l'on a vu plus haut, et que disait Mr Emmanuel Monnier, le flux de lumière venant de notre soleil étant 900 fois plus faible dans cette région, par conséquent, cette lumière aurait bien du mal à éclairer si manisfestement, ce côté de Titan.

     Nous ne pouvons hélas, en dire plus, ici sur ce phénomêne surprenant, mais pour expliquer cela, au novice, qui a à peine découvert deux ou trois articles d' ARTivision, nous l'invitons d'abord à bien attacher sa ceinture avant d'entrer dans les pages qui suivent, car à l'altitude où l'on va circuler, il risque d'y avoir de très fortes turbulences :

http://www.artivision.fr/docs/Byrdalice.html

http://www.artivision.fr/docs/Byrdalicesuite.html

A vous de juger, une fois de plus, tout cela.

    Mais comme on dit qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, puisque nous avons toujours sous la main, le n° Hors série vu plus haur, de Science&Vie de Mars 2008 "50 ans de conquêtes Spatiales", analysons alors maintenant, la page 55 de cette revue :

     On y trouve alors, ces deux images accolées :


    Sur la gauche, on y voit une photo du sol de Titan que l'on nous affirme être gelé, à -180°, et où l'on a plutôt l'impression de voir un désert sablonneux au crépuscule, semé de cailloux. Bref les instruments nous disent qu'il fait -180°C. Point barre.

     Par contre la seconde image est bien plus extraordinaire. On dirait un croissant très effilé du petit satellite de Saturne nommé Encelade d'un diamètre d'environ 500 Km. Mais, le disque noir pourrait être aussi un dispositif de camouflage de jets lumineux, que l'on préfère ne pas montrer. Rappelez-vous cette image, page 151, du numéro 1046 de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004 :



    La légende qui présente cette photo est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que ce gigantesque disque noir (autour duquel on voit nettement fuser des rayonnements brillants) n'est pas là par hasard et une fois encore, il vise à masquer l'incroyable. Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue qui a pignon sur rue dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un trou gigantesque, sans aucune explication.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir) et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au dessus des pôles, on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture vis à vis des lecteurs de cette revue.

    La photo d'Encelade en question, répond-t-elle au même objectif que celui du Science&Vie de Nov. 2004 ? A vous de juger...

    De plus, si on regarde les prétendus jets d'eau (ou d'autres liquides) lancés, nous dit-on, par des geysers, il y en a un extrêmement brillant (la brillance du disque au pôle sud de Titan, c'est de la gnognotte à côté), dont la longeur atteint presque le tiers du diamètre d'Encelade, ce qui nous donne environs un jet de près de 170 km. Quelle puissance pour un Geyser et surtout quelle lumunosité cela donne !!!

    Pour en savoir plus, jetez donc, un coup d'oeil sur ce qui suit, dans le site suivant :

http://permanent.nouvelobs.com/sciences/20051129.OBS6960.html
 

Signaux de fumées sur Encelade
Encelade éclairée par le Soleil à contre-jour dévoile ses jets de particules, plus nettement visibles dans l’image colorisée (à droite).

(NASA/JPL/Space Science Institute)
 


La sonde Cassini, qui se promène dans le monde saturnien depuis plus de quinze mois, a livré de nouvelles images de l’activité en partie inexpliquée qui se déroule au pôle sud d’Encelade, l’une des lunes de Saturne. Profitant du fait qu’Encelade était éclairée à contre-jour par le Soleil, la sonde a pris des clichés révélant la présence de jets de vapeur et de poussières émanant du pôle sud, qui abrite vraisemblablement les régions les plus jeunes de cet astre très réfléchissant.

Les images en fausses couleurs permettent de faire ressortir ces panaches de particules qui s’élèvent à plus de 100 kilomètres au-dessus de la surface d’Encelade. Les chercheurs qui analysent les données s’interrogent sur l’origine de ces volutes. Leur présence est cohérente avec l’hypothèse d’une activité géologique au pôle sud d’Encelade. Ces jets de vapeur et de glace pourraient provenir de geysers qui s’échappent du sous-sol d’Encelade, ou bien de l’évaporation de glaces en surface.

Les différents survols d’Encelade par Cassini ont révélé la présence d’une fine atmosphère autour de cette lune, atmosphère qui serait renouvelée en permanence, la faible gravité d’Encelade ne pouvant pas la retenir bien longtemps. Depuis le passage de Voyager au début des années 80, les chercheurs soupçonnent Encelade d’être géologiquement active et d’alimenter de glace l’anneau E de Saturne.

Cécile Dumas(29/11/05)


Fin de citation

     Cette affaire de projection de jets lumineux gigantesques, nous rappelle aussi cette affaire de IO, qui est un satellite Jupiter et qui est couvert de volcans crachant, lave et soufre sur toute la planète. Il fut filmé par Voyager 1 , le 4 Mars 1979. Voici donc une photo de Io :




    Or, on y voit sur le fond noir du cosmos une lumière éclatante , que les scientifiques ont vite assimilé à un volcan en éruption . Voici d’ailleurs ce que l’on trouve à la page 63 d’un ouvrage intitulé "Constellations et planètes " publié par l’éditeur Gründ en 1994 :




    Etant donné que Io a un diamètre de 3630 km et que cette lumière brillante semble s’élever, sur la photo, de 5mm au dessus du globe d’Io, un calcul élémentaire nous donne pour la hauteur véritable de cette lumière environ 80 km , ce qui n’est pas trop différent des 100 Km, indiqués dans l’ouvrage en question. Or cette lumière est si vive , que nous nous demandons maintenant, si elle ne correspond pas plutôt à l‘aurore polaire (australe ou boréale) fusant à travers l’ouverture polaire de la planète. Un volcan devrait projeter des gravas, sans doute incandescents, mais surtout contenant beaucoup de poussières et de fumées. Or ce n’est pas le cas ici. Cette lumière éclatante, à frange bleutée, est bien différente de ce que nous observons au-dessus des volcans en éruption.

    Des infographistes bien équipés pourraient certainement en effet nous en dire plus sur cette lueur surprenante.

     A vous de juger une fois de plus...

     Comme vous le voyez, cette affaire de dique lumineux sur Titan, nous a conduit dans des sentiers très surprenants et inattendus...

     On pourrait alors se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ? Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du pôle nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose :



     Mais, le 14 Janvier 2010, super hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :

http://saturn.jpl.nasa.gov/photos/?subCategory=10

, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...




     Fin de l'entrefilet.

     Pas mal du tout, n'est ce pas, cette explication officielle pour ce disque polaire nord si brillant ?, surtout si l'on sait que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit d'après les dires, découverts plus haut, de Mr Emmanuel Monnier dans le Science&vie de Mars 2008.

     Mais il existe encore un petit corps céleste qui semble vouloir damer le pion au turbulent Encelade. Mais lisez donc ce qui suit plutôt :

    Le 09/09/05, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Claudisa....le message suivant :

----- Original Message -----
Sent: Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: nouvelobs.com quotidien temps réel vous informe...

Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!

La vraie nature de Cérès

Lire : http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20050909.OBS8748/la-vraie-nature-de-ceres.html

    Amitiés

    Claudisa




    Et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici de quoi il sagit :

© Le Nouvel Observateur
 
La vraie nature de Cérès

Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète (9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
 
 

L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.

De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses collègues.

Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.

Cécile Dumas
(09/09/05)

    Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.

    Nous avons aussi reçu d'autres aimables internautes, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 septembre 2005 :



    Vous voyez que là nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes n'ont pour l'instant aucune explication à proposer au sujet de cette tache blanche très lumineuse qui apparaît sur les photos.

     Nous avons évidemment fait un petit calcul qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès et de celui de la Terre de 12760 km. Or d'après le livre "La Terre creuse" de Raymond Bernard, le diamètre du soleil intérieur de la Terre ferait 960 km. Donc toute proportion gardée, le diamètre du soleil intérieur de Cérès, serait donnée par l'expression: ( 960 x 930) / 12760. Le résultat est donc voisin de 69,968 ...km , soit en arrondissant à 70 km .

    Nous n'avons évidemment aucun moyen de savoir si cela est suffisant pour donner cette éclatante lumière que l'on aperçoit sur les images montrées.

    Donc il faudrait pour en être convaincu pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.

    Nous avons d'ailleurs, demandé à Mme Régine Françoise Fauze qui channellise Soria, si effectivement l’astéroïde Cérès, possède un noyau solaire d’environ 70km de diamètre, pour que cette étrange lumière visible sur les photos, vienne de là ...Elle répondra probablement dans un de ses prochains ouvrages...Affaire à suivre donc de très près.

    le 13/10/05, nous avons reçu une missive de Mme Régine Françoise Fauze , qui nous confirmait confidentiellement, que le diamètre du noyau solaire de Cérès était, chose formidable, à un km près et des poussières, ce que nous avions évoqué plus haut. Nous ne donnons pas ici la valeur exacte, car Soria pourrait en parler dans son prochain livre.

    Donc l'éclatante lumière observée, ne peut que venir d'une ouverture polaire, et nous allons essayer ici d'en calculer le diamètre moyen, bien que nous sachions désormais que ce diamètre varie en fonction des "respirations" du corps céleste.

    Si nous considérons que pour Titan , l'ouverture polaire observée sur notre photo Titan bleu, faisait environ 300 Km de diamètre(voir notre article Byrdsuiteplus.html), nous en déduisons que pour Cérès, elle sera de l'ordre de : (930x300)/5150. Soit voisin de 54,1747..km, que nous arrondissons à 54 km. Peut-on en déduire que la lumière éblouissante observée, peut parfaitement s'échapper par cette ouverture d'environ 54 Km ?...A vous de juger....

    Il nous reste donc à découvrir, (nous l'avons déjà évoqué plus haut), pour une confirmation absolue de tout cela, l'autre hémisphère de Cérès, et encore à espérer que les responsables du télescope spatial Hubble et surtout ceux de la prochaine la mission Dawn conçue pour rendre visite à Cérès, "n'oublient" pas, (voir l'affaire de Mercure), de nous montrer ces images tant attendues.

      Mais pour terminer ici, le décor "éblouissant" de titan (les dunes mises à part bien sûr), voici une image que nous tirons de la page 37 du n° 701 de la revue "Sciences et Avenir" de Juillet 2005, et où nous découvrons l'entrefilet suivant :

   

     Comme vous le voyez, il est question d'un "cryovolcan", qui serait en forme de structure "brillante" de 30km, dans une zone parfaitement obscure, que met en relief un très petit carré. Il faut donc vraiment y aller à la loupe pour y voir cette prétendue brillance. Par contre celle énorme, qui crève les yeux au pôle du dessous de la planète, (nous y avons à dessein, juxtaposer justement notre Titan bleu, pour mieux voir la correspondance), ne fait l'objet d'aucun commentaire de la revue. La politique de l'autruche, est donc toujours de rigueur en la circonstance. A vous de juger...

       Le 05/08/05, nous avons aussi découvert la même étonnante image ci-dessus dans le n°423 d'Août 2005 de la revue "CIEL & espace", page 32 , dans un article intitulé "Sur Titan les volcans crachent de la glace". On aimerait aussi savoir, si ce sont des volcans crachant la glace qui sont indirectement responsables (par une sorte de reflet très opportun des rayons de notre soleil) de cette incroyable luminosité qui apparaît au bas de la planète dans l'image en question. Rappelons que cette revue, depuis Juillet 2004, n'a jamais présenté, ni commenté évidemment, (même à titre de curirosité), cette autre luminosité au Pôle Sud de Titan, que nous connaissons si bien et qui elle, interpelle grandement ARTivision:

    A vous de juger, une fois de plus, tout cela.

    Toute cette affaire, vue plus haut, de disques brillants, aux pôles de Titan, et chez certains autres astres, serait vite classée par les détracteurs irréductibles habituels, comme des illusions d'optique, s'il n'y avait pas aussi, plus près de nous, par exemple à la planète Mars, ce genre d'images tout aussi surprenantes :

     En effet, nous alors présenter ici, des éléments prouvant catégoriquement que la planète Mars, nous offre aussi, depuis belle lurette, le moyen de résoudre définitivement, l'énigme fantastique, de ces affaires polaires.

    Commençons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin Sept 1902, par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


     Ces images sont extraites, page 80 bis, de l'ouvrage incontournable de Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :

  

    Nous avons alors ici, le plaisir de vous transmettre un paragraphe en pages 84 et 85 :

     "Earlier writers, however, had noticed that the spots were brighter than the other surfaces of Mars, an astronomer, writing in the Scientific American Supplement as early as 1879, in effect, having made that observation. But this writer was not aware of the real nature of the light. In 1892 the celebrated English astronomer, J. Norman Lockyer, repeated in a periodical a number of observations he had made thirty years before and had then communicated to the Royal Astronomical Society of England. Here is a significant quotation :

     "The snow-zone was at times so bright that, like the crescent of the young moon, it appeared to project beyond the planet's limb. This effect of irradiation was frequently visible; on one occasion the snow spot was observed to shine like a nebulous star when the planet itself was obscured by clouds, a phenomenon noticed by Messrs. Beer and Madler, recorded in their valuable work, 'Fragments sur les Corps Celestes.' The brightness, however, seemed to vary very considerably, and at times, especially when the snow zone was near its minimum, it was by no means the prominent object it generally is upon the planet's disc."
"

     Traduisons, à peu près, cela :

     " Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et obsevations qu'il a ensuite communiqué à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :

     "La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, elle se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même,la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM bière et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement Au dessus de la planète."."

    Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars , déjà présentées sur notre site :

  


    Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux, ", bien en relief, au dessus de la planète !!!

    En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...

  


     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provient du site :
http://www.astronomyforum.net/astronomy-photos/511-mars-photos/16-mars.html

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA,(qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935), et photo que vous pouvez decouvrir actuellement à l'url :

http://web.archive.org/web/*/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html


    Mais revenons à Marshall B. Gardner, et voyons comment, il explique tout cela :

A DIRECT SOURCE OF LIGHT

     No one who reads the above in the light of our theory can fail to see how it fits into it. A snow cap would not reflect light with so much more vividness than the other surfaces of the planet, and only direct beams of light coming from a central sun could give that luminous effect above the surface of the planet and varying as the atmosphere in the interior or above it was clouded or clear. Had it been a mere ice cap there would not have been this luminosity and, in particular, there would have been no luminosity when the planet was covered with clouds as Lockyer says it was. Furthermore, that luminosity is precisely what our own aurora borealis would look like if our planet was viewed from a great distance. And the light is the same in both cases.

     From that early date we jump to 1905 and find Percival Lowell again telling of a bright white "kernel" which he observed at the Southern end of the Martian north polar cap.

     That, then, is the situation. All the evidence points to the fact that it is light, and direct light at that, that causes what we have called the Martian ice-caps but which we ought to call the Martian polar openings. But perhaps the reader is still not convinced. He may recall that the writers who treat this aspect of Mars, whether or not they believe in the "canals" seem to have no doubt of the fact that at the poles we have snow or ice. We have already pointed out some inconsistencies in this view. Here are some other considerations that help to dispel that idea, and then, by turning to the planet Venus, we shall demonstrate absolutely that the polar circles are not snow, or ice, or even hoar-frost caps, but simply apertures leading to the inner and illuminated surface of the planet.


UNE SOURCE DIRECTE DE LUMIÈRE

     Aucun de ceux qui aurait pris connaissance des faits qui précèdent, ne peut manquer, à la la lumière de notre théorie, de voir comment ces faits s'y intègrent. Une calotte de neige ne pourrait pas réfléchir la lumière, avec une intendié plus grande que les autres surfaces de la planète, et seulement des faisceaux d'une lumière provenant diectement d'un soleil central, pourraient produire cet effet lumineux au-dessus de la surface de la planète et subir des variations en fonction du fait que l'atmosphère, à l'intérieur du globe ou au-dessus, soit assombri ou éclairci. Si elle avait été une calotte de glace pure, il n'y aurait pas eu cette luminosité, quand en particulier la planète est couverte de nuages, comme l'affirme Lockyer. En outre, cette luminosité est précisément ce que donnerait, nos propres aurores boréales, si notre planète était, vue à une grande distance. Et la lumière est la même dans les deux cas.

     De cette date du début, sautons à 1905 pour y trouver à nouveau Percival Lowell qui affirme avoir observer un "flash" éclatant sorir à l'extrémité sud de la calotte polaire nord de Mars.

     Voilà la situation. Tous les éléments de preuve montrent que ce "flash" est fait de lumière, et de lumière directionnelle en provenance de ce que nous avons appelé les calottes glaciaires martiennes, mais que nous devons appeler les ouvertures polaires martiennes. Mais peut-être le lecteur n'est toujours pas convaincu. Il peut se rappeler que, les écrivains qui traitent de cet aspect de Mars, (qu'ils aient ou non besoin de croire aux «canaux»), semblent avoir aucun doute sur le fait qu'au niveau des pôles, nous avons de la neige ou la glace. Nous avons déjà souligné certaines incohérences dans cette façon de voir. Voici quelques autres considérations qui contribuent à dissiper cette idée, et puis, en se tournant vers la planète Vénus, nous allons le démontrer absolument, que les diques polaires ne sont pas des calottes de neige ou de glace, ou même de givre, mais simplement des ouvertures menant à la surface intérieure et éclairée de la planète.


    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie. Pour être édifié à ce sujet, lisez par exemple ce qui suit :

     Le 22/11/06 , en fouillant dans nos dossiers pour trouver un document égaré, nous sommes tombés très opportunément sur le n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992, où nous avons découvert un remarquable article de Mr Guillaume Cannat, qui nous a fait beaucoup plaisir.

     En voici le titre :

x

     Cette sonde enropéenne qui a quitté la Terre le 6/10/90 à bord de la navette Discovery, va survoler Jupiter à partir du 8 fevrier 1992 pour profiter du champ gravitationnel de la planète pour bifurquer hors du plan l'écliptique où circulent les planètes de notre système. Puis Ulysse foncera vers le Soleil et réussira ainsi à survoler ses deux pôles et faire de nombreuses mesures du vent solaire et de son champ magnétique. Le magnifique schéma suivant, nous explique cette "Odyssée d'Ulysse" :


     Cependant dans cet article, on peut lire page 23, ce paragraphe très explicite :

     " ...Jupiter et ses abords vont donc retenir l'attention du monde astronomique durant tout ce début d'année. Mais il ne sera pas possible d'admirer de nouvelles images de ce monde dont les volutes colorées ont été gravées à jamais dans les mémoires par les photographies des sondes Voyager : "Il n'y a pas de caméra à bord!", déplore Bent Pedersen. Cruelle absence pour ce chercheur d'origine danoise, venu en France pour apprendre le cinéma et devenu spécialiste de Jupiter. "Pourtant, ajoute-t-il, voir les images de ces mondes lointains, c'est un peu comme découvrir un film grandiose jusque-là censuré." Des contraintes financières et des choix scientifiques autres ont exclu la présence de caméras. "

     Nous ne croyons pas du tout à cette pseudo explication, parlant de restrictions budgétaires, mais nous pensons au contraire, qu'il y avait bien dans la sonde, une caméra secrète, camouflée pour ces deux raisons :

a) On aurait pu peut-être mieux voir l'étrange luminosité qui s'échappe des pôles de Jupiter et que le télescope keck du Mont Mauna Kea, à Hawaii, nous a mis en exergue en Février 2005.


b) Beaucoup plus utile, on aurait pu aussi, peut-être aux abords du Soleil, jeter un coup d'œil derriére celui-ci vers la position symétrique à la Terre, pour y entrevoir cette fabuleuse Anti-Terre (connue des anciens grecs), et dont nous parle notre ami José Frendelvel, dans son admirable ouvrage intitulé "l'Or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire"(voir notre article Terresym.html Voir justement le mot de José en date du 06/12/06 dans cet article)


      Rappelons que cette planète pourrait ne pas être sur la même orbite que la Terre, et se déplacer d'après l'ami José, tel que :


     Mais voici le meilleur de l'affaire : L'auteur Guillaume Cannat de cet article, de Ciel&Espace, sans doute grandement déçu, n'a pas hésité pour illustrer son propos, à nous présenter cette image du pôle Nord de Jupiter :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, ici, c'est cette pastille noire, presque carrée, (on est plus habitué à voir des disques noirs, quand la NASA veut nous cacher certaines choses : voir plus haut), placée juste au pôle, et pastille sous laquelle, on voit nettement fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait donc , cette obscure pastille ?

    Selon nous, cette affaire de plaque noire à forme géométrique caractérisée, n'a rien à voir avec Jupiter, mais est simplement une manipulation informatique, pour "caviarder", le trou central de l'ouverture polaire, d'où jaillit naturellement la lumière éclatante du soleil central de la planète.

     Mais le 20/03/2012, en fouillant dans nos boîtes de dossiers, nous sommes tombés sur un article de Mr Pierre THOMAS, de la revue "Ciel et Espace" de Mars 1992, n° 267, qui nous parle de la découverte de taches brillantes surprenantes aux pôles de Mercure. Voici donc de quoi il s'agit :


     Et voici donc ce que l'on découvre aux pages 57 et 59, après réajustement des colones:


     D'autre part, nous n'avons pas pu retrouver sur Google, la photo qu'aurait prise Mariner 10 en 1974 juste sur le terminator de l'époque, et qui, nous dit-on ci-dessus , montrait la moitié de cette tache brillante au pôle Nord de la planète. Nous supplions donc avec la plus grande des déférences, l'internaute qui aurait retrouvé cette photo de Mariner 10, de nous en faire une copie SVP. Merci d'avance, mille fois.

      Enfin, Ciel et Espace, nous précise bien qu'en 1993, il y aura une nouvelle fenètre d'observation pour le Pôle Nord et en 1994 pour le pôle Sud qui est en fait très difficile à observer.

   Etant au courant à l'époque de cette affaire (voir notre article : Byrdsuite.html), nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations de Mercure, en 1993 et en 1994, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ? Les bien-pensants vous diront que, les observations n'ont pas pu être faites simplement à cause de perturbations atmosphériques, de poussière parasites ... etc.. Rapellons cependant, que le Télescope Hubble, ( qui ne craint aucune perturbations climatiques), a été lancé en Avril 1990, et sa miopie fut réparée en fin 1993. Si donc on ne pouvait l'utiliser pour analyser Mercure en 1993, il était fort possible de le faire en 1994. Pourquoi donc ce mutisme caractérisé des officiels de l'époque ??

       A vous de juger, tout cela une fois de plus...

         Fred IDYLLE.

     Article mis en page le 05/02/2012 , et revu le 06/02/2012 , et revu le 07/02/2012 , et revu le 08/02/2012 , et revu le 09/02/2012 , et revu le 04/03/2012 , et revu le 18/03/2012 , et revu le 21/03/2012 , et revu le 31/03/2012 , et revu le 23/04/2012.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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