( Note 2 : Le site ARTivision, possède dans ses dossiers, de très nombreuses images, d'aliens vêtus de scaphandres ou de combinaisons spéciales, comme par exemple, les vêtements, que portaient, les kidnappeurs
du celèbre brésilien AntonioVillas Boas qui fut contraint d'avoir une relation intime, avec leur patronne :
Et en page 32, on voit :
Pour en savoir bien plus, sur cette extraordinaire épopée, prière de plonger dans l'ouvrage remarquable et incontournable :
Vraiment là, on tombe à renverse devant les histoires inouies, qui sont arrivées à des gens tout à fait sensés).
Vue 6
Image du Science et Inexpliqué en question
Ces deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la merticale deux tubes raccordés par des coudes à la ceinture, de laquelle part en baudrier une liaison annelée rattachée à la combinaison , au niveau des reins. pedant deux heures, en cette soirée du
5 Août 1608, les trois engins restent approximativement sur la même possition au centre de l'évolution circulaire des deux êtres étranges issus de leur sein. Vers 22 heures, les trois vaiiseaux du ciel, ayant réembarqués les deux explorateurs , dans un vrombrissement formidable et à grande vitesse se dirigent dans la nuit vers l'est, devenant en queques secondes
trois petits points lumineux , dans l'immensité de la nuit constellée d'étoiles.
Vue 7
Image du Science et Inexpliqué en question
Attribuant le phénomène dont ils viennent d'être les témoins terrifiés, à un avertissement de Dieu, les Niçois s'ébranlent dans leur ville en de longues processions religieuses, portant le Christ en tête jusqu'à l'aube du 6 Août 1608.
Vue 8
Image du Science et Inexpliqué en question
Au matin du
22 Août, les 3 engins venus du ciel se présentent alors
à Gênes, face encore à la citadelle.
de la ville.
Gênes informée des événements, survenus à Nice,
17 jours auparavant, réagit violemment. la citadelle déclenche
un tir serré d'artillerie, sur les trois vaisseaux spatiaux.
800 boulets, sont ainsi tirés sur les engins sans que ceci subissent le moindre dommage ni gêne dans leurs évolutions. Toutefois, fait à noter , nul extraterrestres ne tente de sortie, pendant
les deux heures trente, que dure le phénomène. Après une heure d'évolution au ras des flots,
un des engins se détache du groupe et fonce au dessus de la ville...
Vue 9
Image du Science et Inexpliqué en question
Une folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et bléssés, après le passage de l'engin.
Morts par piétinements, d'émotion, et certains sans doute, par les radiations émises par le vaisseau spatial. Après cette démonstration aux conséquences tragiques,
les 3 vaisseaux se groupent et foncent vers l'Est à une vitesse vertigineuse...
Vue 10
Image du Science et Inexpliqué en question
15 jours plus tard le 25 Août 1608 , Dans le ciel des Martigues, petit village de pêcheusr situé à l'entrée de l'étant de Bergue apparaît un vaisseau spatial, lequel évolue pedant une heure trente au dessus de l'aglomération. Deux personnage en sortent sembla à ceux que les niçois avaient pu observer au soir du 5 Août précédent, et planent autour de leur vaisseau donnant l'impression aux habitants de se livrer à un duel en plein ciel. C'est la dernère manifestation des vaisseaux spatiaux dans la région de la Méditéranée.
Vue 11
Image du Science et Inexpliqué en question
La semaine suivante est mmarquée dans la région par d'abondante chute de pluie, mais de pluie rouge , rouge comme le sang .D'ailleurs dans l'esprit des habitants à l'èpoque il ne peut s'agir que de sang. Dans ce phénomène se trouve justifier l'hypothèse attribuant à une vengeance divine les manifestations inquiètantes constatées pendant ce mois d'Août 1608. L'explication que l'on pourrait de jours donner à ce phénomène est la suivante : Dans cette region du Midi, on trouve en abondance de la bauxite, roche de couleur rougeatre. L'aspiration d'air, faite par les engins en s'élevant dans le ciel, pour repartir, peut, sans doute, produire une aspiration de bauxite laquelle colore la pluie et lui donne alors la couleur rouge. pour les habitants de cette région le phénomène est désormais fréquent et ne les étonne nullement.
Vue 12
Image du Science et Inexpliqué en question
Pendant 40 jours les Chapelles, les Eglises et Cathédrales de la région allant de la ville de Martigue à celle de Gênes, voient une foule enorme venant prier. les croyants et même les non croyants s'unirent pourtant dans une même prière demandant
au Seigneur, le pardon qui les évitera
les étranges et tragiques visions dont ils ont été les témoins.
Les renseignements qui ont permi au
Cercle Français de Recherches Ufologiques de réaliser cette manifestation d'extraterrestres,
sont consignés dans un rapport officiel se trouvant de nos jours au archives de Nice, et le Webmaster d'
ARTivision pense aussi, que l'on pourrait assurément trouver également ces renseignements à
la Bibliothèque du Vatican . Mais ce
30 Janvier 2015, il nous vient à l'idée de retrouver dans nos dossiers, d'autres documents officiels,
qui parlent de cette étrange affaire, et pour l'instant nous n'avons trouvé seulement, que le texte suivant, tiré
de l'ouvrage remarquable, que toute personne passionnée par
le sujet des Aliens, devrait avoir sous la main
(Il y a 4 tomes) :
Un petit regret cependant, le texte en question est
en vieux français, et commence seulement à l'épisode concernant, la ville
de Gênes :
Comme on le voit,
il y a d'autres précisions en plus , non révélées plus haut.
Aux spécialistes de faire la comparaison,, avec d'autres documents d'époque.
Mais le
31 Janvier 2015, disons pour le novice ingénu, qui n'a jamais eu un seul écho de tout cela, qu'il faut
battre le fer pendant qu'il est chaud, et nous allons aussi lui présenter ici, ce célèbre passage concernant
les Sylphes, et passage déja exposé clairement dans nos articles :
Voyage au pays des Sylphes .
Eliphas Levi; le célèbre auteur de I'Histoire de la Magie, décrit la psychose qui s'est emparée des gens devant ces manifestations insolites du ciel.
"Sous le régne de Pépin le Bref, note-t-il, des phénomànes fort singuliers se montrerent publiquement en France.
L'air était plein de figures humaines, le ciel
reflétait des mirages de palais, de jardins, de flots agités, de vaisseaux les voiles au vent, et d'armees
rangées en bataille. L'atmosphère ressemblait à un grand reve. Tous le monde pouvait voir et distinguer les détails de ces fantastiques tableaux. Etait-ce une épidemie attaquant les organes de la vision ou une perturbation atmospherique qui projetait des mirages dans I'air condensé ?
Les imaginations étaient pleines de ces merveilleuses fictions lorsque apparurent les mirages
du ciel et les figures humaines dans les nuées. On confondit les rêves avec la veille et plusieurs personnes se crurent enlevées par des êtres aériens aériens; il ne fut bruit que de voyages au pays des sylphes,
comme parmi nous on parle de meubles animés et de manifestations fluidiques. La folie gagna les
meilleures têtes et il fallut enfin que I'Eglise s'en mélat."
Magonia : un monde parallèle ?
Toutefois, à cette époque, I'événement qui fit le
plus de bruit se produisit à Lyon.
L'affaire nous est contée par un auteur anonyme, contemporain d'Agobard, évèque ou plutôt archevèque de cette ville ( Le IXe siecle est 1'epoque ou se fixe juridiquement l'autorité
archiépiscopale et même primatiale du siége épiscopal de Lyon), qui fut I'un des
prélats les plus célèbres et les plus savants du
IXe siècle.
"Nous avons cependant vu et entendu beaucoup d'hommes plongés dans une si grande stupidité, noyés dans de telles profondeurs de folie,
qu'ils croient qu'il existe une certaine région,
qu'ils appellent Magonia, où des bateaux voguent
dans les nuages pour emporter dans ce lieu les
fruits de la terre qu'ont détruits la grèle et les
tempêtes; les marins payant des gratifications
aux sorciers de I'orage et recevant eux-mêmes du
blé et d'autres produits. Parmi ces gens dont la
folie aveugle était assez profonde pour leur permettre de croire ces choses possibles, j'en,ai vu
quelques-uns extirpant d'une assemblee quatre
personnes garrottées - trois hommes et une
femme qui, prétendaient-ils, étaient tombés de ces bateaux; après les avoir gardés en captivité,
ils les avaient amenés devant cette multitude comme nous l'avons dit en notre présence, afin qu'ils soit lapidés. mais la vérité a prévalu. "
Les gens croient plus volontiers dans le bonnet d'un docteur qu'en leurs propres
yeux.
C'est en vain qu'un philosophe met en lumière
la fausseté des chimères que les gens ont fabriquées, poursuit I'anonyme, et offre des preuves
matérielles et manifestes du contraire. Qu'importe ce qu'est son expérience ou la solidité de son
argument et de son raisonnement; qu'un homme survienne avec un bonnet de docteur (...), il est
désormais au-delà de la force de la vérite de
rétablir son empire Les gens croient plus volontiers dans le bonnet d'un docteur qu'en leurs propres yeux. II y a eu dans votre France natale
une preuve memorable de cette folie populaire.
Le fameux cabaliste Zedechias, au règne de votre Pepin, se mit en tête de convaincre le monde que les Élements sont habités par ces gens dont je viens de vous decrire la nature. L'expédient dont il s'avisa fut de conseiller aux Sylphes, de se montrer à tout le monde, dans I'air. Ce qu'ils firent
d'une maniere somptueuse. Ces êtres furent vus dans I'air sous forme humaine, parfois en tenue
de combat, marchant au pas, faisant halte surdes branches, ou campant sous des tentes magnifiques; parfois sur des bateaux aériens
merveilleusement construits, dont les escadrons volants
se laissaient voguer au gré des zéphirs.
Charlemagne impose des amendes,
aux extra-terrestres ! .
Qu'arriva-t-il ? Supposez-vous que cet âge
ignorant voulait même réfléchir sur la nature de
ces merveilleux spectacles ? Les gens crurent
immédiatement que des sorciers avaient pris
possession de I'air dans le but de soulever
des tempêtes et de faire tomber la grele sur
leurs récoltes. Les savants théologiens et juristes
furent bientot du même avis que la masse. L'Empereur le crut tout aussi bien ; et cette chimère
ridicule alla si loin que le sage Charlemagne,
et après lui Louis le Debonnaire, imposerent de
lourdes amendes à tous ces supposés tyrans de
I'air. Vous pouvez lire un récit sur ce sujet dans
le premier chapitre des Capitulaires de ces deux
empereurs.
Massacrés par la populace.
Les Sylphes, voyant la populace, les
pédants et même les têtes couronnées s'alarmer ainsi à leur
sujet, déciderent de dissiper la mauvaise opinion
que les gens avaient de leur flotte innocente et
s'emparant d'hommes de chaque localite pour montrer leurs belles femmes, leur Répulique
leur genre de gouvernement et puis de les ramener sur terre dans les diverses parties du
monde. Ils mirent leur plan a execution. Les gens
qui virent ces hommes descendre, arrivérent en
courant de tous les côtes, convaincus à I'avance
que ceux-ci étaient des sorciers qui avaient quitté leurs compagnons pour venir répandre des
poisons sur le fruit et les pousses. Emportés par
cette frénésie suscitee par de telles fantasmagories, ils s'empresserent de torturer ces innocents. Le grand nombre de ceux qui subirent la mort du feu et de l'eau dans tout le royaume est
incroyable.
Un jour, entre autres, par exemple, il arriva a Lyon des nacelles aériennes d'où I'on vit
descendre trois hommes et une femme. La cité
tout entière se rassembla autour d'eux, criant qu'ils etaient des magiciens envoyés par Grimaldus, duc de Berreventum, I'ennemi de Charlemagne, pour détruire les moissons frangaises. En vain, les quatre innocents se défendirent en disant
qu'ils etaient des leurs et avaient été emportés
peu de temps auparavant par des hommes
extraordinaires qui leur avaient montré des merveilles dont on n'a jamais entendu parler, et ils , avaient désiré leur faire eux-mêmes le récit de ce qu'ils avaient vu.
L'évêque Agobard au secours des
ambassadeurs des Sylphes.
La populace déchainée ne tint aucun compte
de leur défense et était sur le point de les jeter
dans le feu, quand le valeureux Agobard, évêque
de Lyon qui, ayant été moine dans cette ville, avait
acquis une autorité considérable, alerteépar le
bruit, arriva en courant, et après avoir entendu les
accusations des gens et la défense des accusés,
declara gravement que les uns et les autres
étaient dans I'erreur, qu'il n'était pas vrai que ces
hommes étaient tombés du ciel et que ce qu'ils
disaient avoir vu était impossible. Les gens
crurent en la parole de leur bon pére Agobard , plus
qu'en leurs propres yeux, ils s'apaiserent, remirent en liberté les quatre ambassadeurs des
Sylphes, et reçurent, emerveilles, le livre qu'Agobard écrivit pour confirmer le jugement qu'il avait prononcé. Ainsi le témoignage de ces quatre témoins, fut rendu inutile.
Fin de citation...
Pour terminer cet article rappelons ce passage de notre article très significatif au sujet de ce qui précède :
"Deuxième fait :
- Dès le
Ve siècle avant J.C,
Diogène D'Apollonia affirmait que des
" météores évoluaient dans l'espace et
tombaient fréquemment sur Terre". Cependant le grand chimiste français
du
XVIIIe siècle, Antoine Laurent de Lavoisier que l'on interrogeait à la suite de la chute d'une météorite dans la région, déclarait:
"Il est impossible à des pierres de tomber du ciel, parce qu'il n'y a pas de pierres dans le ciel. " ".
Fin de citation.
C'est donc à vous, qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui...
Fred IDYLLE
Article mis en page le 25/01/2015 , et revu le 28/01/2015 , et revu le 29/01/2015 , et revu le 30/01/2015 , et revu le 31/01/2015 et revu le 10/08/2016.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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