Voir aussi notre article placé tel que :
https://www.artivision.fr/cayce.html).
Tout cela, serait vite qualifié par
les éternels détracteurs zététiques, de roman digne de
la science fiction la plus échevelée, si cet
Edgar Cayce (prononcez SVP, ce mot tel que Caïci), si dans cet opuscule, l'auteur n'avait pas écrit,
en pages 46 et 47, concernant le fameux continent disparu :
ATLantide, ce passage
important :
Notez bien le vocable
Bahamas. On y reviendra plus bas.
Mais, il est dit plus haut que
certaines archives de l'Atlantide ont été transportées en Égypte. Voyons donc cela, plus en détail en pages 93-94 :
Il n'est pas besoin d'insiter ici
sur l'importance de cette déclaration d'Edgar Cayce, et sur
l'intérêt que l'on aurait à possèder cet incontournable livre de poche n° A 300 en
J'ai Lu, dans la collection, hélas disparue :
" L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues".
Tout cela serait
de la bonne science-fiction pour intellectuels blasés, si justement, pendant le mois de
Septembre 1968, l'équipe d'un certain professeur
MANSON VALENTINE, œuvrant pour
le Musée des Sciences de Miami en Floride, n'avait pas découvert au nord-ouest de
Bimini, petite île des Bahamas
(bien mentionnée, on le sait maintenant, par Edgar Cayce , dans ses étranges lectures ) ,
à environ 1200 km de la Guadeloupe,
des structures cyclopéennes immergées à environ
6 mètres sous la surface de la mer. Cette découverte fut rendue possible grâce à l'engin
Remora M-114-E, scooter sous-marin construit par
Dimitri Rebikoff, explorateur, ingénieur spécialisé dans le domaine de la photographie sous-marine et grâce également au concours de
Paul Aranda aviateur et de
Robert MARX, célèbre plongeur , passionné de recherches sur les anciennes navigations et sur l'archéologie sous-marine des îles Bahamas.
Voyez donc l'image ci-dessous :
Donc en
fin de 1971, des chercheurs découvrirent qu'il s'agissait,
d'une gigantesque structure, de la forme d'un grand
U, pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de
600 m de long sur 10 m de large, et formée de blocs de pierres dont la constitution
ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu'ils surplombent.
(Voir le croquis ci-dessous :)
Extrait de l'ouvrage remarquable de Pierre Carnac "l'Histoire commence à BIMINI"
publié en 1973 chez Robert Laffont dans la prestigieuse collection : "Les énigmes de l'Univers".
Ces blocs sont régulièrement alignés,
parfaitement à l'équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d'entre eux avaient près de
5 m de côté, et leur épaisseur variait entre
50 et 150 cm , ce qui parfois correspondait à une masse d'environ
5 tonnes par bloc. De plus, on constata en effectuant des tranchées d'exploration que
certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse,
de certains géologues profanes, comme
le nommé Harrison, qui d'emblée sans attendre la fin de l'exploration de l'équipe
Valentine, avaient déclaré que
le mur de Bimini était un ensemble d'origine strictement naturel. Par la suite, on découvrit encore aux alentours
de Bimini, d'autres structures
de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales .
Mais
quel pouvait être l'âge de ces constructions? Des études de datation
au carbone 14, estimèrent que pour
une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface
il y a environ 10 000 ans, ce qui ne signifie pas
qu'elles venaient d'être édifiées à ce moment là.
Ceci est
une preuve incntournable que
le Passé de notre planète est beaucoup
plus fantastique, que nous le traduisent
les pontifes de nos universités.
Autre exemple récent : Le Dimanche
03 Avril 2022, nous avons eu la
grande opportunité de visualiser une émission de télé de la
Chaine NAT-GEOGRAPHIC, intitulée de
"L'ombre à la Lunière" telle que :
, qui montre
la découverte en
1994, en
TURKIE , de
structures archéologiques enfouies,
à plus de 10 m dans le sol tel que :
On y trouve, de très
nombreux blocs de près
14 m de hauteur, superbement taillés en forme de
T , et ayant
d'admirables bas-reliefs sculptés tels que :
On nous dit alors, que
ces sculptures,
( qui représentent une créature mi-homme mi-animal, n'ont pas pu être faites avec les outils primitifs, que la Science actuelle prétend, qu'il existait à l'époque), remonteraient à près de
11 000 ans, et donc
seraient plus anciennes que les pyramides d'Egypte
d'au moins 7000 ans, ce
qui est faux, car selon
Edgar Cayce, la
Grande Pyramyde, dite
de Chéops, aurait été construite entre
10 490 et 10 390 avant JC, et
donc, il y faut ajouter
en plus nos 2022 ans.
Un
grand bravo aussi, aux auteurs,
plus perspicaces des
superbes documentaires qui passent en boucle
ces temps-ci tels que :
Puis, vous trouverez dans cette même revue
Occulture,
un article clef de 7 pages , dont voici aussi
les 3 premières : :
Mais, quittons un peu
la Lune, pour aller
bien plus loin, aux abords
de Jupiter, et
voyez donc aussi ce qui suit, qui prouve que nous ne parlons
jamais en l'air, sans présenter
des documents vérifiables :
Cette photo, est issue de la
NASA
et nous l'avons trouvée, à la page 46 sur une revue
d'astronomie bien connue, de
Septembre 2003 portant le
n° 400, et elle représente une photo tirée d'une image de
Callisto,
un satellite
de Jupiter, et photo envoyée par la
sonde
Galileo, avant de plonger
dans l'atmosphère fantasmagorique de Jupiter. Il suffit alors de
regarder attentivement le bout de la flèche rouge, pour y
découvrir une structure géométrique incroyable, hélas ici,
un peu floue qui s'érige à l'intérieur du cratère, lui-même d'une
blancheur
extraordinaire, qui pour nous ne peut qu'être qu'une conséquence,
du raclage ou rabotage technologique du sol.
D'autre part, pas besoin non plus, de sortir
de Polytechnique, pour deviner que
l'image en bas à droite, ayant grossièrement la forme d'une
croix de Malte :
n'a elle,
aucune chance, de provenir
d'un choc météoritique, tant elle est bizarrement structurée
et également d'une blancheur inouïe produite par le même processus .
Evidemment, la
revue en question, n'a pas osé
(
même à titre de curiosité) , signaler dans son article,
ces extraordinaires
structures .
A vous de juger, donc, ces soi-disant "
caractères météoritiques", que la revue
semble affecter à
ces formations hors normes .
Mais, nous avons bien mieux à soumettre,
à la fuyante sagacité des journalistes qui aiment imiter l'autruche :
En effet, voici
un petit plus, en
noir et blanc, cette fois
(les structures y sont beaucoup plus nettes, en effet) :
Cette image nous vient de la revue"Pour La Science N° 270 d'Avril 2000", et contrairement à ce que déclare aussi, la revue en question, ce cratère du dessus nommé Valhalla, (dont le diamètre est d'environ 1500 km , donc bien plus grand que la France), ne peut en aucune manière, être un cratère d'impact, car on y voit très bien en son centre, une structure phénoménale quasi hexagonale , (jamais mise hélas en 3 D par les infographistes (qui possèdent actuellement, de gros moyens, et qui se prétendent dans le vent), et structure où figurent des formes géométriques classiques et des angles droits à profusion.
Dans la photo de droite, nous avons colorié en bleu et rouge deux énormes blocs, juxtaposés vers le bas du cratère.
Comme sur notre photo (imprimée sur une feuille 21-27), les 1500 km en question, mesurent 70 mm, un calcul élémentaire, nous donne pour la longueur des 2 blocs bleus mesurant chacun 8mm, une longueur autour de 171 km et des poussières, et comme la largeur de 5mm sur le papier, correspond à peu près, à une longueur de de 107 km. le bloc rouge en-dessous, mesurerait alors autour de 128 km de long pour 65 km de large...et nos fameuses pyramides d'Egypte, sont donc de vrais, grains de sable à côté...
Alors Messieurs les infographistes curieux, la mise en 3D, de tout cela ne vous enchante-t-il pas ?
Voici d'ailleurs, une moderste tentative , qui nous est venue dès 2008, du grand infographiste ami canadien : Yves Vaillancourt :
Vous trouverez plus de détails, sur l' incroyable photo d'origine, de tout cela, à l'adresse de notre article (sorti pourtant dès le 29/07/99) :
Terminons enfin, cette dernière conversation, par les éléments suivants, dèjà vus ailleurs car comme la sœur Anne, du célèbre conte, Barbe bleue, de Charles Perrault, nous ne voyons toujours comme explication, strictement, rien venir, ni même " ... le Soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie...".
L'avenir dira bientôt, qui a camouflé la vérité, et pourquoi !!!
Vous trouverez plus de détails sur cette incroyable photo, à l'adresse de notre article ::
Là, les médias ayant pignon sur rue, qui devraient bondir de satisfaction sur ce scoop d'ARTivision.fr, publié dès la mi-septembre 2003, et ces infographistes qui croient être malins, et toujours prêts à inventer des images bidonnées (voir l'affaire du cratère bidon Tycho , à notre article : Cratère Tycho bidon), ont loupé lamentablement le coche, et continuent donc là, à fourrer carrément la tête sous le sable, exactement comme ceci :
Et donc finalement, tant que ces Messieurs les sceptiques, qu'ils soient haut placés ou pas dans cette société, et tous ces médias et consorts astronomes et scientifiques de tout bord, se tairont au sujet de cet incroyabe et ahurissant cratère Valhalla, de Callisto :
ou de cette "forteresse" sur Mars :
ou encore au sujet de cette structure
gigantesque, placée sur la face
cachée de la Lune, et visible page 33, sur le Paris Match du 18 Janvier 1969 :
et donc le site ARTivision, continuera à les pousser dans leurs plus petits retranchements, et les forcer, un jour, à parler.
Voilà donc une mission très prosaïque, qui n'a rien de
magique.
Finalement donc, il importe de savoir que certains de nos gouvernants, (pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique), cachent donc au monde entier, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres, et d'autres protagonistes outillés pour le savoir et très concernés par cette affaire, préfèrent aussi se taire, pour ne pas faire des vagues et ne pas mettre en cause leur position sociale, (astronomes, astrophysiciens, et consorts journalistes et éditorialistes des choses de l'espace et du cosmos, dont le métier est de justement dire, ce qui sautent aux yeux, sur notre gros satellite), et ils vont s'en mordre les doigt jusqu'à l'os, et alors les oligarques milliardaires continueront à envahir militairement ou économiquement les nations et les peuples, plus faibles et démunis, comme en ce moment l'Ukraine, et selon nous la connaissance du fait de savoir, que des êtres intelligents circulent allègrement dans le système Solaire, porte en elle-même, la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes, avec ces guerres dérisoires et meurtières; qui la déchirent depuis des siècles
Point à la ligne...
Mais, on le sait bien, la première devise de ceux qui nous dirigent, est assurément : "Diviser pour régner".
Mais allons encore plus loin, et disons alors qu'il faudrait vraiment être de très mauvaise foi, pour affirmer que les images qui vont suivre, sont toutes naturelles, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion d'optique.
Ces images sont tirées de l'ouvrage remarquable de notre ami Alfred Nahon:
(hélas décédé en 1990) et intitulé: "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc 1973, en Suisse :
On y découvre alors la figure, 29 suivante :
On y voit là, au centre du cercle ajouté,clairement , un truc en forme de E, tout à fait insolite, et qui semble être un engin excavateur qui triture le sol lunaire sur le contrefort droit du cratète Copernic , déjà bien raboté, n'est-ce pas !!!
Si l'on sait, que ce cratère mesure environ 93km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'éventuel engin excavateur près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier à cause de l'imprécision de nos messures simplement à 12 km.
Comment donc, se fait-il, qu' un engin ou une structure de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ? Bien sûr, on nous dira, qu'il s'agit d'une illusion notoire d'optique et que la blancheur du sol, n'est que le reflet de notre soleil, sur un sol composé de roches cristallines A vous de juger ....
A ce propos, il convient aussi de savoir, que cette image ne saurait être une "fake news" trafiquée , car elle est tirée de l'ouvrage très sérieux intitulé : "The Moon", de l'ouvrage bien scientifique, et publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, par le grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL, qui vivait alors en Angleterre, et c'est le 4/12/2017, que nous avons eu, grand le privilège, de recevoir par internet, ce livre très savant tel que :
Et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251, une sublime comparaison, à la même échelle, du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment. A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :
Il est clair que le fameux truc en question :
,gagnerait à être mis, vite fait en 3D par les spécialistes qui en ont les moyens. Hélas personne jusqu'à présent (Cela fait plus de 50 ans qu'est sorti l'ouvrage de l'astronome Kopal Zedenek), n'a eu l'audace élémentaire de le faire...Curieux n'est-ce pas, ce sacré handicap...
Mais, parmi les surprenantes images., de l'ouvrage de l'ami A. Nahon, présenté plus haut, extrayons aussi celle-ci :
Et, dans ce même livre, l'ami Alfred Nahon, nous avait aussi présenté une structure très bizarre, découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye :
Il est clair que ce bizarre hamgar demi-cylindrique, très structuré ayant une tour verticale jouxtant son toit, a très peu de chance d'être l'œuvre de Dame Nature, et seuls les fiers "autruchards", en seront encore convaincus.
On en demeure bouche bée, à la vue de cela, et pourtant les astronomes et consorts officiels, n'ont jamais discuté de cela en public et restent aussi muets qu'une carpe, qui voit passer devant sa cachette un gros requin affamé.
C'est sans doute d'ailleurs pour la même raison d'état que les journalistes de Paris Match (ils sont presque tous sans doute, décédés en ce moment), qui ont élaboré l'article unique en son genre, dans le n °287 de Septembre 1954 , se sont lamentablement dérobés de leur mission première . Voyez-vous même :
On découvre alors dans cet article , sur les Soucoupes volantes (sans doute le premirer article sur l'affaire de la revue) des témoignages inouïs, et surtout un laïus très favorable au sieur George Adamski, qui était peu connu en France à l'époque, et donc pas encore villipendé, par les rationalistes de tous bords qui se disaient fermement cartésiens.
Rappelons alors ce passage surprenant
de l'article, en page 63 :
Disons alors que le Major Donald E. Keyhoe, qui a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis), et qui a dirigé pendant 13 ans, le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens), est l'un des chercheurs les plus documentés sur le phénomène des Ovnis, et dont l'autorité est mondialement reconnue.
On s'étonne alors , que les reporters de l'époque, de Paris Match n'aient pas bougé, le petit doigt, pour retrouver chez les astronomes en question, un seul cliché, de cette route lunaire construite récemment disait-on, à l'époque. Voilà le genre de preuve qu'un journaliste curieux, doit obligatoirement se procurer. C'est exactement comme si une météorite était tombée sur un arbre du Zoo de Vincennes, et avait calciné cet arbre, et que le journaliste s'était contenté du récit d'un visiteur pour raconter l'affaire sans se rendre sur place pour photographier l'événement. Il serait n'est-ce pas, inadmissible, que l'auteur de l'article agisse ainsi. Alors pourquoi ne nous a-t-on pas montré, dans ce Paris Match n°287, cette route lunaire si significative?
Mais comme ARTivision.fr, a toujours
des données significatives en réserve, voici une sorte de route lunaire (déjà évoquée plus haut), que les médias ont carrément évité de montrer.
On distingue d'ailleurs, très nettement, une figure insolite, en forme de F, qui apparaît sur la gauche du tracé rectiligne :
Donc voilà un document extraordinaire (apparru sur le Web autour de l'an 2000, qui porte le nom de : landstrip.jpg) et pour en savoir
plus, prière SVP, de se reporter au site :
https://web.archive.org/web/20010203121800/http://cassiopaea.org/cass/moon.htm
où l'on découvre cette image clef :
Mais si vous
cliquez, sur l'image de la Lune de Web.archive.org ci-dessus, vous découvrirez son nom
: landstrip.jpg, et image qui ne semble pas du tout être une "fake news") , et merci donc à l'internaute béni, qui retrouvera le références de cette curieuse image dans les pages de la NASA
Mais les anciens journalistes de Paris Match, s'ils avaient été plus curieux, auraient pu aussi, un peu plus tard, après la sortie de leur super n° 287 de Sept 1954 s'intéresser davantage à la Lune , et poursuivre leurs investigations, en découvrant, de superbes informations sur le sujet, dans la revue très avant-gardiste, des années 61 et suivantes :
Et dans ce n° 41 de Juillet- Août 1968, en pages 17 à 26, ils auraient découvert ceci, (les colonnes sont de nous) :
Et, ce n'est qu'une petite partie de l'article en question. Il aurait déjà été n'est-ce pas, très surprenant, que tout cela ait été imaginé par un esprit pervers, alors que l'Internet, n'existait pas à l'époque.
Maintenant, comme nous le dit ce n° 41 de Planète, de Juillet-Août 1968, il ne nous reste qu'à prouver que cette preuve inouïe, non présentée par les journalistes distraits ou égarés, du fameux Paris Match n° 287 de Septembre 1954, pourrait justement être, la la brèche découverte le 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane, dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, d'où partait une longue et rectiligne bande, large d'environ trois cents mètres, et ressenmblant à une super autoroute ou à une piste d'envol. L' internaute possédant des images de télescope de cette brèche, dans le cratère Piccolomini (hélas, il y a plusieurs cratères qui portent ce nom), serait bien sür, le béni des cieux, s'il pouvait, nous envoyer une image de cela :
Bon courage pour la recherche, et merci d'avance..
Venons en maintenant à une autre exclusivité d'ARTivision.fr découverte autour de l'an 2000, quand par le plus grand des Hasard humm humm, il nous a pris l'envie de feuilleter l'ouvrage (que nous avions depuis des lustes, dans notre bibliothèque) et ouvrage du grand astronome Robert JASTROW , et intitulé "Des Astres, de la vie et des hommes", aux Editions du Seuil 1972 , sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e
Et voici ce que l'on découvre en page 86 ceci :
Mais la page 87, le cadre choisi, nous montre, oh merveille :
On y voit le cratère Clavius, et sur son bord le cratère Rutherford , ayant à l'intérieur des formes tout à fait insolites :
Cet ouvrage est la traduction du livre très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, intitulé "Red Giants and White Dwarfs", de Robert JASTROW publié dès 1967 chez Harper and Row Publishers incorporeted ,à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .
Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:
On aperçoit en effet, dans cet ouvrage, page 109, une super photo de la Lune, non produite par la NASA et venant de l'observatoire du Mont Wilson aux USA.
Jetons y voulez-vous, un rapide coup d' œil :
Agrandissons la zone au bout de la flèche rouge:
Certains astronomes, comme Mr Patrick Moore ( et qui dit connaître "toutes les facettes de la Lune"), et un certain Paul Davies , qui est présenté tel que :
et qui possèdent dans leurs dossiers, certainement ce livre de Robert Jastrow, et donc cette photo du Mont Wilson, n'ont pourtant jamais , dans aucun de leurs ouvrages, fait état de cette étrange configuration dans le petit cratère Rutherford (ou Rutherfurd en anglais) (61°S; 9°W) sur le bord du grand cratère Clavius.
Plaçons encore ici cette dernière image :
Là encore,
la profusion des formes géométriques spéciales, et
des angles droits de la zone en question, ne laissent aucun doute sur,
le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et il faudrait bien, comme ce
Mr Moore, ou ce monsieur
Davies, se fourrer encore la tête sous le sable, pour rien y voir de particulier.
Si donc l'on pouvait mettre la main sur
le négatif, utlisé par l'auteur et l'Editeur pour publier cette photo de la Lune dans l' ouvrage en question, on pourrait agrandir tout cela, comme il faut, pour en savoir bien plus.
Le site
ARTivision.fr, n'est pas resté inactif à ce sujet :
D'abord nous avons contacté
les Editions du Seuil éditeurs
en 1972 en français du livre, et nous avons fait chou blanc. Ils n'ont jamais eu en main
ce négatif, et de plus ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse,
(qu'ils ont obligatoirement connue),
de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.
Nous avons évidemment immédiatement après écrit aux USA, pour contacter la maison américaine. Hélas jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucune réponse.
C'est alors que nous avons ensuite eu l'idée de demander à motre ami londonien
Eric Barkian de se charger de contacter l'Editeur américain
Harper and Row pour savoir s'il avait gardé
par chance, ce négatif.
Voici la missive que nous avons reçue de lui :
----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"
Cher Fred,
Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.
Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition HarperCollins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.
Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.
Il me restait, comme vous l'aviez vous meme suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.
Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.
L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final a ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.
A bientot donc.
Eric.
Comme vous le voyez, le Maître Temps, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme ce monsieur Patrick Moore, ou ce monsieur Paul Davies, qui alors pourtant, n'ont rien vu, ni rien fait.
Mais ce monsieur Paul Davies et ses consorts astronomes, auraient eu encore, comme nous, aussi la possiblité, de se procurer la version plus récente de 1990, du livre de Robert Jastrow, et aussi intitulé "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur telle que :
Et en page 119, on y trouve aussi ceci de déjà vu :
La photo ci-dessus est on le sait, de l'observatoire du Mont Wilson, et remonte à plus de 40 ans, à l'époque où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune, ce qui, semble polariser grandement plutôt tardivement, ce cher Mr Davies,
Le négatif de cette photo, doit bien dormir quelque part., dans les précieux dossiers de Mr Robert Jastrow, et il faut absolument le retrouver. Mais hélas, ce Monsieur est décédé en Février 2008, et c'est surtout lui, qui aurait pu nous dire, où avait été archivé, ce négatif. (Mais dès le 28/03/03 nous avons parlé de Rutherford dans notre article Clairlune, bien avant le décès de Mr Jastrow, et on le voit bien, les journalistes et autres spécialistes des choses de l'espace, ont loupé lamentablement le coche dans cette cruciale affaire).
Si l'on ne peut mettre la main sur le négatif en question, il ne nous reste qu'à trouver un logiciel performant, capable de nous mettre en 3D , ces fantastiques structures de Rutherford, et alors nous allons probablement être prêt de toucher le Gros lot.
Ce qui est très suprenant, c'est que le Télescope Hubble, et bien d'autres appareils très modernes, qui sont aux premières loges, pour nous photographier ce cratère Rutherfort, n'ont jamais montré, une seule image qui soit significatrice, à ce sujet. A vous de juger !!!.
Pour en savoir plus, veuillez SVP, lire aussi notre missive envoyée par la Poste à, l'observatoire Keck d'Hawaï, et missive destinée à élucider ce mystère :
Hélas , la courtoisie se perd de plus en plus ces temps-ci, et nous n'avons reçu jusqu'à présent, aucune réponse.
A vous de juger, une fois de plus tout cela, documents à l'appui.
Mais, ce 01
Sepembre 2021, disons, comme le disent parfois les anglo-saxons : "Let us make hay,
while the sun shines" (faisons du foin, quand
le Soleil brille), et appliquons sans hésitation ce précepte de la
sagesse populaire antillaise qui prétend que :
"Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup ".
"C'est dans les
vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes".
En effet voyons alors dans la foulée, une autre affaire
inouïe, véritable exclusivité
mondiale, du site ARTvision.fr, et affaire qui a dû déjà mettre très mal
à l'aise, ces Messieurs les astronomes, astrophysiciens, et
consorts éditeurs de revues sur l'espace et les planètes.
Cette affaire incroyable, a démarré, quand nous avons eu,
la surprenante idée, d'analyser à la loupe, la
page 564, de notre n°153
de "Sciences et
Avenir" de Septembre
1959, dont la couverture est telle que :
On y découvre, une superbe
photo du cratère Copernic
:
Notons aussi que, cette photo est aussi présentee de l'exceptionnel Science et Vie, de l'époque d'Avril 1964,
dont la couverture est telle que :
Juxtaposons alors les deux
images, celle de Science&Vie étant à droite:
Hélas le
Sciences et Avenir (de gauche) ne
spécifie pas clairement de quel télescope est tirée cette image, mais d'après le
Science&Vie d'Avril 1964, la photo du cratère
Copernic, fut aussi prise, par l'observatoire du Mont
Wilson en Californie, observatoire très cher à notre site, et on expliquera une autre fois
pourquoi... <(hélas on ne dit pas quand) Aux spécialistes de répondre, car
l'image semble être la même, plus ou moins agrandie sur les bords
:
Sur les deux photos, avec une loupe,
à notre grand étonnement, on découvre, en haut
à gauche, une chaîne de montagnes et pas loin en dessous, le cratère Tobias Meyer, il y figure, le
petit cratère que nous nommons X par
commodité, et cratère qui est traversé diamétralement
par une sorte de pont, tel que pour les deux
revues en question, on ait :
Notons en passant, que sur Google, on découvre que le diamètre de Tobias Mayer, peut être évalué à 30,5 Km et sur la carte de RAND Mc NALLY
publiée au Japon en 1969, que nous avons, l'emplacement du cratère principal Tobias Mayer (16° N - 29° W):
On peut alors estimer de diamètre de Tobias Meyer à 30,5 Km,, et alors, le soi-disant "le petit pont", aurait selon nous, grosso modo, une longueur voisine de 6
km.
Merci mille fois à l'internaute
béni, qualifié pour ce genre d'évaluation, de nous préciser la longueur exacte de ce surprenant petit pont.
Mais, où
l'affaire se corse, c'est que notre grande
amie Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), nous avertit que sur le site Wikipedia, on trouve la photo de Tobias
Mayer, prise par la sonde Orbiter 4, telle que
:
Comme, on le voit, notre "le petit pont", est devenu un
ensemble élargi plutôt complexe, en forme d'X. tel que :
Comparons de plus près
ces deux structures:
Donc, on voit ici que, la structure de moderne gauche, pourrait avoir subi des bidouillages informaiques, par de puissants logiciels, et l'autre de droite très ancienne prise avec les télescopes de l'époque, où les ordinateurs étaient très balbutiants. A gauche la topographie du lieu est bien avachie comme
après le passage d'un puissant cyclone, sur nos îles
de la Caraïbe. Mais hélas, il n'y à pas de cyclone sur la Lune..., et le petit pont insolite, est devenu comme par enchantement, une sorte de montagne
superbement assise, entre deux cressasses, toutes
les deux bien banales, et il n'y a donc, là, plus rien d'insolite à voir. Point Barre...
A vous de juger...une fois de
plus, tout cela, document à
l'appui.
Pour les puristes
qui en veulent plus, des sources ,tangible , on trouve sur cela sur le site :
Mais ce
jour, nous allons en dire bien plus, sur cette affaire très insolite, du cratère
X traversé par le petit pont en question, et cratère X dont nous cherchons toujours à connaître le nom. En
effet, nous avons écrit, à une
bonne demi-douzaine d' Observatoires Astronomiques, à qui nous avions
demandé en Décembre 2017, un petit service en ces
termes :
..........................................................................................
Sur
Google, j'ai découvert que le diamètre de Tobias Mayer, peut être évalué à 30,5 Km, alors le soi-disant "petit
pont", aurait selon moi, grosso modo, un diamètre voisin de 6 km.
Pouvez-vous alors SVP, me peaufiner une évaluation
classiquement plus orthodoxe, et surtout me dire comment s'appelle sur
vos cartes, ce petit cratère, placé très visiblement sur la
photo de droite, ci-dessous...
Je vous enverrai
immédiatement un chèque, pour couvrir tous les frais relatifs à vos
recherches.
Vives cordialités
tropicales.
Fred IDYLLE
Il est alors, quasi inutile ici que nous n'avons reçu aucune réponse à ce sujet, de la part de ces doctes Observatoires astronomiques...
Pour en savor plus à ce
sujet prière de consulter aussi, nos articles révélateurs :
D'autre part pour ceux qui
traiteraient, le petit pont en question, d'illusion d'optique, disons aussi, que c'est le
22 Mars 2009, que nous avons reçu une missive très
intéressante de l'aimable internaute Mike, qui nous
invitait à prendre connaissance de la superstructure
suivante découverte, il y a déjà quelques temps, dans
cratère Copernic de la Lune (
9.3° N, 19.25° W / Eastern Oceanus Procellarum, Mare Insularum), et nous
avons été particulièrement surpris d'admirer ceci :
et en agrandissant un peu
:
Et cette structure très brillante était visible à l'époque dans les
vidéos :
Pour
la suite, il ne nous reste qu'à souhaiter qu'un intrépide infographiste, veuille bien nous traduire en 3D cette si étrange configuration...
Mais pour ceux qui
osent encore croire, que le site ARTivision.fr, ne raconte que des
balivernes, voici en passant, l'avis de l'auteur très éclairé, Patrice Gaston, du livre intitulé
"Disparitions
Mystérieuses", et paru chez R. Laffont en
Janvier 1974, dans la prestigieuse collection "Les énigmes de L'univers" :
Et voici en effet, un bref
aperçu de la page 232 :
" Les
savants n'ignorent pas que la Lune est
habitée, qu'une activité fantastique s'y
déroule depuis des lustres, que parmi les milliers de photos qui ont été
prises de son sol, il en est qui sont "la"
preuve d'une d'une vie sur le satellite. Mais
la NASA se tait. Sans doute attend-elle qu'on
lui donne le feu vert pour faire - publiquement
- des révélations. Ainsi, la conquête
spatiale prendra-t-elle sa véritable
dimension..."
Ce n'est pas, à notre
humble avis, la conquête spatiale qui
aurait pris une autre dimension, si la NASA avait parlé, mais c'est toute l'humanité, qui aurait pris un autre visage...sans doute plus fraternel, car certains conflits à revendications militaires, commerciaux, et
souvent religieux, n'auraient plus de raison d'être...
Disons donc aussi Bravo, à l'Editeur R. LAFFONT, pour avoir osé publier en 74, (cela
fait déjà 48 ans, en 2022), une déclaration aussi fracassante,
qui pourtant aurait dû inspirer davantage les détractreurs psycho-sociaux et consorts intellectuels blasés, qui continuent ainsi à fourrer la tête sous le sable
:
...pour ne pas nuire, à leur petit confort intellectuel et
social...
Donc alors, comme disent
les anglosaxons restant dans l'expectative, Wait and see !
Mais, l'histoire n'est pas finie, car Super Hasard, a encore fait des siennes, en nous d'abord faisant découvrir une autre chose inouie, dans l'incontournable n° 559, de la revue Science&Vie d'Avril 1964:
Nous avons en effet, relu d'abord dans la rubrique L'UNIVERS, un article incroyable pour l'époque , jamais repris ensuite dans ce magazine, et intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :
Puis, nous y avons découvert en plus ce schéma :
Les flèches, mises par notre soin, indiquent où apparurent les lumières et leurs dispositions
Mais, vous pensez bien que les Forces Négatives de l'Ombre, ont tout fait pour neutraliser cette extraordinaire information, et on n'en a plus du tout, entendu parler.
Pour les puristes, qui veulent en savoir plus sur ce sujet, voir notre article :
Mais, en feuilletant, un peu plus avant, dans cette même revue, de ScienceetVie d'Avril 1964, à la page 69, nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas très superbe il est vrai, mais assez significative, devinez de quoi..., du cratère Rutherford.
En effectuant une petite comparaison, voilà ce que cela donne :
Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas, et cela n'a rien à voir avec la photo de la sonde Clémentine mnotrée à l'époque. Voyez plutôt :
A vous de juger ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.
Terminons alors ce jour, ces insolites lignes, une fois encore, par la superbe phrase de Mr Lionel Hubert tirée de son ouvrage : "les phénomènes Psi", aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut".
Nous voilà arrivés ce grand jour du 1er Mai 2022, à notre 6e focus, qui va vraiment, nous sortir des sentiers battus, et qui va évoquer des "infos" assurément hors-normes, jamais évoquées sur nos plateaux de télé, car elles remettent en cause le cursus même, de nos enseignements didactiques universitaires...
f) Sixième focus où ARTivision.fr, sort des preuves irréfragables de ses affirmations.
Tout ce qui précède, s'inscrit donc dans contexte culturel strictement pragmatique, basé sur des documents tout à fait vérifiables(souvent anciens), qui prouvent la venue sur Terre d'authentiques voyageurs cosmiques, utilisant une technologie astronautique, bien sûr inconnue de nos universités.
Il nous est alors utile de rappeler ici, une fois de plus, que le site ARTivision.fr, a plus d'une preuve dans ses dossiers, et il n'est pas obligé d'en faire état, à tout bout de champ..., et que la démarche de notre site, s'inscrit depuis sa création (il y a eu 25 ans, en Janvier 2022), dans un cursus culturel très ancien, non admis dans nos Universités, et qui s'articulerait au départ, sur le témoignage du philosophe grec, tel que, nous l'indique notre Petit Larousse en couleurs de 1988 :
Bien sûr, on ne parlait pas de satellites et de sondes spatiales, à l'époque du grec en question, et c'est pour cela que l'on évoque actuellement, le terme, de "néo-évhémérisme", qui pour notre site, est dès lors, (compte-tenu des extraordinaires découvertes faites par nos sondes spatiales sur la Lune et sur les astéroïdes), devenu un thème, incontournable...
Donc, pour le site ARTivision.fr, les "béni-oui-oui" de la NASA, (en anglais, il semble qu'on les nomme, les mythbusters), et autres inconditionnels opportunistes, de toute nature, sont exactement, au même niveau, que ces prétendus savants, qui, à la fin du XIXe siècle, affirmaient (preuves mathématiques et scientifiques à l'appui), que "le plus lourd que l'air ne volerait jamais", alors qu'au début du siècle suivant, les pionniers de l'aviation, avec les frères Wright en Amérique, Santos-Dumont, Gabriel Voisin, Henri Farman et Blériot en France, prouvaient expérimentalement le contraire.
Il n'est certes, pas besoin de sortir de l'école polytechnique, pour imaginer que toute théorie, ou invention, (par exemple certains croient que l'énergie atomique actuelle est, pour éviter dit-on, le réchauffement climatique planétaire, est ce qu'il y a de plus élaboré et de plus incontournable), sera assurément, un jour prochain, totalement dépassée...
En effet chacun sait, actuellement, qu'il y a 100 ans à peine, que la télévision n'existait pas, et que, ce n'est qu'en Janvier 1926, qu'un certain John Logie Baird, a effectué, à Londres, la première retransmission publique de télévision, en utilisant, un système mécanique, sans bien sûr, tube cathodique. Etant donné le fait que, nous avons pu en personne constaté, les progrès extraordinaires accomplis depuis, avec les écrans plats et les hologrammes, il est quasi certain qu'en mille ans, on aura la possibilité, de transmettre la matière elle-même, et que nos moyens de transport actuels n'existeront plus, et ce sera alors, l'ère de la téléportation, comme dans le célèbre feuilleton Star Treck...
Vous avez du mal à assimiler tout cela, et bien voici alors, un certain plus, qui nous vient de notre ami Jean B..... (https://www.banlin.fr.), et cela est tiré de l'url d'un site archéologique concernant les Mayas :
et, montrant des découvertes faites dans le centre du Mexique, il y environ 55 ans, et montrant des entités troublantes, aux yeux ovales très inclinés :
Pensez-vous que les Mayas auraient représenté, d'une manière si expressive, ces silhouettes, s'ils ne les avaient pas vues en chair et en os ?
Mais de plus, nous dit aimablement, le 13/03/2013, l 'internaute Monique G...; " Avez-vous remarqué que chaque fois que leurs mains sont visibles, elles ne comptent que 4 doigts ? "
Rappelons nous aussi nous dit Monique, que "La vénusienne Oréjona, qui d'après la légende a atterri avec son vaiseau spatial sur les bords du lac Titicaca, avait aux mains 4 doigts palmés" :
D'après R.Charroux : Histoire inconnue des Hommes depuis cent mille ans. 1963.
Mais ce jour, comme parait-il "il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", nous allons ici produire la preuve que ces extraterretres, n'étaient pas des individus masqués participant à des cérémonies rituelles, comme le prétentent, les archéologues officiels, en discutant de ces motifs curieux, (et qui préfèrent se fourrer le doigt dans l'œil, jusqu'au coude).
En effet, dans les images qui précèdent, on voit parfaitement qu'il ne sagit plus du tout de masques rituels, mais bien d'astronautes manipulant des instruments dans une cabine :
C'est alors que l'on découvre aussi, cette gravure surprenante :
Que fait donc cet épi de maïs, sur le côté gauche de cet artefact ?
Pour ARTivision.fr, cela ne peut signifier que le fait, que ce maïs, a été effectivement apporté par les aliens, aux yeux ovales et inclinés, de leur planète sur la Terre, au moment de leur arrivée comme le prétendent, les traditions ancestrales de ces peuples amérindiens, N'est-ce pas !!!
Mais, il y a mieux encore pour confondre, ces archéologues blasés, car nous avons nous-mêmes été aussi particulièrement surpris, de découvrir dans l'image ci-dessus, cette représention d'une planète ressemblant incontestablement à, Saturne ...
La seule explication c'est d'admettre , que les mexicains de l'époque, qui ont sculpté ces artefacts, (il y a assurément, des centaines d'années, et un grand merci à l'internaute, qui nous en précisera, la datation exacte), ont eu l'information de leurs Dieux ancestraux, ou bien qu'ils ont eu main au moins un télescope abandonné sur Terre par ces dieux , leur permettant ainsi de capter l'image de Saturne, de notre système solaire, et de pouvoir ensuite venir, la graver dans l'artefact en question.
Une autre explication, serait que ces êtres aux yeux ovales et très inclinés, vus plus haut, ont simplement représenté, dans cette image d'un corps planétaire, avec son anneau, la forme de la planète, d'où ils venaient. Point barre.
Mais, pour ceux qui aiment plonger dans les récits anciens, que l'on évite soigneusement, de citer dans nos universités, il y a eu, par exemple, l'incomparable affaire, arrivée à Nice en 1608, et que nous avons déjà explicitée, dans de nombreux articles, dont principalement, celui-là :
, où l'on découvre quelques éléments de cette admirable reconstitution :
Cette affaire parfaitement concervée aux Archives de Nice , et certainement dans la Bibliothèque horriblement privée du Vatican, et tout cela, prouve sans l'ombre d'un doute, que la Terre, reçoit depuis des lustres, la visite d'Aliens, utilisant des appareils aériens très perfectionnés.
Mais, il y a aussi, cette photo de 1929, obtenue micaculeusement , avec un appareil très primitif de l'époque, et que nous aimons soumettre à l'attention des scientifiques et journalistes audacieux,, et, aux consorts contorsionnistes intellectuels blasés, qui préfèrent, devant cette photo très insolite :
, fourrer vraiment, la tête sous le sable, ainsi que nous avons déjà montré cela, plus haut :
au lieu d'utiliser, les puissants ordinateurs qu'ils ont à leur disposition, pour mettre en 3D, la preuve absolue, que la Terre est visitée depuis des lustres, par des Aliens, très avancés par rapport à nous, et qui ne tiennnent pas à mettre le pied dans la fourmilière agressive, des humains de cette planète, dont la guerre russo-urkainnienne actuelle, nous expose, un très lamentable et triste aspect, et conflits minables, que le Maître Klaatu, du célèbre film le célèbre film culte : "Le jour où la Terre s'arrêta" de 1951 tel que
avait traité, de chamailleries (tout à fait au début du film en s'adressant au haut ministre des USA, venu l'interroger), ce qui nous avait déjà, (vers la fin des années 57-59), fait doucement sourire, en coin, en une totale approbation de ces propos...
Pour couronner tout cela, voici une fois de plus, une portion de l' incroyable déclaratiion du Grand Maitre POMAR, grand voyageur intergalactique :
"... Ce phénomène est vérifiable, bien qu'il soit en contradiction avec les conclusions de toutes vos recherches scientifiques. Il est donc tout simplement absurde de formuler un principe selon lequel la chaleur est inversement proportionnelle à la distance. Il
s'ensuivrait pour vous, terriens, comme résultat logique, que Mercure devrait être une fonderie de
bismuth et de plomb, alors qu'au contraire Mercure possède les mêmes éléments que la Terre, et il
est le centre radio de notre système habité par des hommes
physiologiquement et spirituellement plus élevés, que vous. Donc votre
science erronée est en contradiction avec la leur en tant qu'ils obéissent aux
lois universelles, de l'Esprit
Créateur : Dieu" .
Vous avez bien noté, (nous l'espérons vivement), que le Maître
ET POMAR fait là, allusion à la planète Mercure, à qui nos pontifes des
universités, prétendent octoyer une
température très chaude et affolante, et surtout très contre-indiquée pour
ceux qui voudrait y poser le pied... Voilà alors,, un fait, qui prouverait que c'est faux:
III
Conclusion élémentaire.
Le 15 Janvier 2022, nous avons reçu du Webmaster et ami, du site très moderne https://www.banlin.fr/, le texte et la photo atypiques, qui suivent :
Pour clore ce 5e focus, et notre causerie de ce jour, il nous vient maintenant, à l'idée, de présenter une fois de plus quelque images relatves au fameux film cité ci-dessus et qui selon nous, décrit assez bien , la situation actuelle de la planète
Terre au nom qui nous fait frissoner encore : "Le jour où
la Terre s'arrêta" de 1951, et dont
voici, ci-dessous la version totalement refaite et masterisée :
Et, nous
le savons déjà, il est grand temps que les "autruchards", de tout bord puissent répondre illico à , l'injonction finale du Maître Klaatu, prononcée juste à la fin du film :
" Nous
attendons votre décision ..."
Que celui, qui a pu, bien lire, tout ce qui précède, en tire le bienfait, plein d'éclaircissements, qui s'impose, et surtout, le désir latent, d'en savoir plus.
À
suivre...
Fred IDYLLE.
Article, mis en page le 30/03/2022, et revu le 02/04/2022, puis le 09/04/2022, puis le 13/04/2022, puis le 22/04/2022, puis le 01/05/2022, puis revu le 09/01/2024, puis revu le 10/01/2024, puis revu le 12/01/2024, puis revu le 15/01/2024...