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Quand ARTivision découvre dans le "Portsmouth Times" du 31/01/1947, une deuxième surprenante déclaration de l'explorateur polaire Richard E. Byrd, où il fait état d' avions à réaction expérimentaux, montés sur skis.


    

I Introduction.

      C'est le 6/03/2014, en cherchant tout autre chose, que nous sommes tombés, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=8cTaIddhMp4C&dat=19470131&printsec=frontpage&hl=fr

sur cet article insolite de 1947, en page 18 :



     Géographiquement, c'est le site :https://www.google.fr/#q=portsmouth+usa+map, qui nous indique, où est située la ville de Portsmouth aux USA :



II Genèse de l'affaire .

     Après un temps de stupéfaction ( car nous avions déjà exploré ce site sans voir cet article), notre surprise a encore pris de la vigueur, quand nous avons essayé de traduire l'expression "Ski-Jet planes"

     C'est alors que notre grande amie Nicole est venue à notre secours en ,nous écrivant ceci : " Traduction du titre du Portsmouth Times du 31.1.47: "Byrd s'active à la préparation de ses avions sur skis équipés de réacteurs". ou -- "ses avions à réaction montés sur skis", ce qui n'est pas très juste car ce ne sont pas des avions standards mais un bricolage fait par Air Force pour l'expédition -- en effet impossible d'atterrir sur la glace avec des roues donc il a fallu composer mais en meme temps permettre aux avions de voler à grande vitesse, ils ont donc rajouté des réacteurs. En effet la suite de l'article précise bien que ses avions sur skis étaient équipés de réacteurs. Je suis quand même étonnée , car c'est la 1ere fois qu'on parle de réacteurs: "jet-assisted ski planes" . Je ne pense pas qu'il existe en francais une formule consacrée à ce genre d'avion que je n'ai d'ailleurs jamais vu. Je voudrais bien vous préciser que l'avion sur skis de Byrd dont parle l'article du Portsmouth Times était "équipé" , de réacteurs pour doubler la vitesse de croisière par rapport à un avion classique. Il ne faut pas oublier que les avions dits "à réaction", à proprement parler ont seulement commencé à être construits pendant la guerre, et ils n'ont été mis officiellement en service commercial qu'en 1950. Auparavant c'était seulement le privilège des forces armées et pas pour le commercial. Donc on ne peut pas savoir si c'est un prototype d'un Jet qui a été équipé de skis pour l'expédition, ou si on a rajouté des réacteurs à un avion existant pour accroitre sa vitesse. Comme on ne sait pas au juste, il vaut mieux nuancer. L'article n'est pas très clair à ce sujet étant donne la concision nécessaire au style journalistique.

     Ensuite petit titre de l'article :"L'explorateur estime que ce vol polaire est d'une importance primordiale"."


     Nous demandons donc avec la plus grande déférence, aux spécialistes de l'Aéronautique, qui ont quelques lumières sur cette affaire, d'être assez aimables, de nous éclairer si possible, davantage sur ce point.

     Merci donc mille fois à l'amie Nicole, pour ses magistraux éclaircissements, car nous nagions , dans une grande incompréhension.

     En effet, dans tous les journaux en date du 31 Janvier 1947, que nous avons découverts ( aidés aussi de notre ami canadien Sébastien) seuls le Spokane Daily Chronicle, et The Washinton Reporter parlent aussi de cette affaire de Jet-assisted skiplanes . Les autres , le Youngstown Vindicator, The Leader Post, Lewiston Morning Tribune, The Milwaukee Sentinel, The NewBurgh News, The Tuscaloosa News, n'en parlent pas, et dans notre titre, nous avons résumé cela, par le vocable : expérimentaux.

     Cependant, le 17/03/2014 au soir, nous avons eu le privilège de découvrir dans le "The Washington Reporter" ceci :


     On voit donc, que tout à fait au début du texte, il est fait état également (hélas sans aucune explication), des jet-assisted skiplanes de Byrd, et que d'autre part, les étermels détracteurs, ne pourront pas dire que, c'est nous qui avons inventé tout cela, car ce texte est presque identique , à celui du " The Portsmouth Times" du 31/01/1947, que nous allons justement étudier.

      Cette affaire de roues d'avion remplacées par des skis,, nous est présentée, succinctement, dans le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine, qui a publié à l'époque, un super article de 93 pages de Byrd :

  

      Avant de plonger plus avant, dans cet article du "Portsmouth Times" du 31/01/1947, rappelons aussi que ce même journal, nous avait déjà gratifiés d'un article tout aussi surprenant en date du 7 Septembre 1933, au même url:



      Traduisons ici, seulement le passage qui commence par "Asked why he was returning to the dreary Antarctique....", grosso modo par "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

      Voilà un discours, déjà bien surprenant, qui ne court pas les rues, et pour mieux comprendre cette affaire concernant les USA et le Mexique réunis, voyez donc les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :


     Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 = 11 487 264 Km2

     Comme on apprend sur le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de 14 107 637 km2, on voit alors que : 14 107 637 km2 -11 487 264 Km2 = 2 620 373 Km2, et donc autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le 23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :

carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.

    Un internaute géographe pourra additionner, les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite, que le compte, n'y est pas. Donc pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

    D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine :


    Donc, sans même y ajouter le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.

    Mais il y a justement un cas où, en 1955, Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de 3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :


    Mais où donc Byrd a-t-il pu découvrir ces 7 770 000 km² surtout tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le fait clair et net , que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment comme une peau de chagrin ?

    Alors, Messieurs les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix dans ces deux options :

-- Soit le vice amiral Byrd de l'époque, était tout à fait timbré, et un blagueur fini.

-- Soit, il a bel et bien pénétré, dans le vortex polaire sud, que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et vortex qui conduit, quand il s'ouvre, à l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment un immense continent à découvrir, possédant vies et civilisations très développées par rapport à nous.

     Mais le novice ingénu, qui entre pour la première fois dans le site ARTivision, justement en consultant cet article a le droit d'être très sceptique sur tout cela, qui contredit totalement ce qui est enseigné dans nos écoles et nos universités.

    Mais pour avancer dans la compréhension de cette curieuse affaire , le novice en question, doit aussi savoir que cet article du "Portsmouth Tiimes", du 7 Septembre 1933, n'est qu'un court condensé, d'un article de l'Agence Associated Press, bien plus détaillé paru dans de nombreux autres journaux, et par exemple on peut choisir celui qui suit, dont l'url est placé à :

http://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

     On trouve alors :


    Traduisons alors, grosso modo, le début :

"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"

L'amiral fait appel aux bons offices du Président.

L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.

    On voit alors que l'on découvre ici, que le texte utilise le vocable surprenant : "vaste continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que tout simplement du continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous, dans cet article :


     Reprenons alors étant donnée son importance, la traduction déjà vue : "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

    
Mais voilà le moment, où l'on sort franchement des sentiers battus :

Il recherchera un nouveau continent .

    Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la Cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."

     Là, tout est clair, Byrd parle bien, d'un nouveau continent, et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    Et même le Président des USA de l'époque, T. Roosevelt, renchêrit en affirmant qu'il existe bien une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace, il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!

        Finalement, on en déduit qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient déjà tout prêts d'imaginer la portée gigantesque, de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Ce n'est pas encore hélas, le cas, pour nos journalistes actuels.

    Mais, pour ceux qui aimeraient consulter un autre document de même nature, que celui qui précède, prière de consulter la page Google placée à :

http://news.google.ca/newspapers?nid=ZuSUVyMx-TgC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    On y retrouve les mêmes expressions que précédemment : l'histoire "du nouveau continent", et même cette fois, ( et cela est surprenant), on reprend deux fois l'affaire de la contrée aussi vaste que la superficie des USA et du Mexique réunis. Quand à l'affaire des liens manquants aux problèmes scientifiques, expliquons ici ce que cela signifie en douce. En effet Byrd, a découvert une immense zone tout à fait tropicale en plein Antarctique ( et il l'a aussi vue dans l'Arctique, en Mai 1926 ), comme la Science, n'a pas encore de théorie pour expliquer cela, alors, Byrd croit pouvoir s'attacher à résoudre cette fantastique énigme, mais à l'époque en 1933, nous pensons qu'il n'avait encore mis le doigt sur la bonne solution, et même s'il l'avait trouvée, le Gouvernement américain lui interdirait de la révéler.

    On voit alors que dans ces deux articles qui précèdent, il est fait état clairement du vocable surprenant : "un nouveau continent", terme qui hélas, a disparu, dans l'article en question ci-dessus, du 7/09/1933 du Portsmouth Times, et autrement dit le Rédacteur en chef de ce journal a préféré couper ce vocable hors normes, qui ne correspondait pas du tout à son cursus culturel officiel et qui heute encore de nos jours celui des éternels détracteurs d'ARTivision . A vous de juger ...

     Mais, (nous l'avons déjà suggéré plus haut ), pour noyer le poisson, les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de nouveau continent, nous diront évidemment sans d'abord tourner leur langue sept fois dans son logement, que nous faisons une fixation lexicale, sur le mot continent, qui concerne seulement le territoire immense peu connu de l' Antarctique, qui est déja classé comme un véritable continent ...Point Barre.

    Ces détracteurs, oublient que le site ARTivision, a toujours en réserve des documents incontournables, prouvant ses extrordinaires affirmations :

    C'est ainsi que l'ami Du grand Canada Sébastien, toujours très entreprenant,, nous dit que sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

    On découvre alors ceci :


     Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."

     Plus bas en parlant du capitaine George J. Derek, Officier de la Marine US de 43 ans, accompagnant Byrd en Antarctique, Lee Van ATTA nous dit :

"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."

      Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule la croyance affirmée de Byrd, nous intéresse ici : un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!!

      Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd, parle d'un huitième continent qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser, et ce monsieur a publié aussi d'autres articles surprenants de Byrd ), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer, (en quelques milliers de km) dans "l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre ( On ne sait pas, si Byrd savait déjà cela à l'époque) . Point Barre.

     A vous de juger tout cela, documents à l'appui.

    Mais pour mieux visualiser tout cela, remontons au 7 Septembre 1933, et voyons l'article d' un autre journal donc l'url est placé à :

http://news.google.ca/newspapers?nid=8IsQavbT1M8C&dat=19330905&printsec=frontpage&hl=fr


    On constate d'abord que ce journal n'a pas pu trouver une petite place dans son titre pour y inscrire le mot Byrd (d'ailleurs écrit en premier lieu dans le texte avec une faute d'orthographe : Bird à la place de Byrd ) .

    Mais bravo cependant, on retrouve dans le texte en question, les mêmes expressions que précédemment : l'histoire de la zone non répertoriée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain et existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, et enfin la surprenante affaire "du nouveau continent", et des liens manquants à la science dans le déroulement des faits ( ce dernier point est déjà expliqué plus haut).

    Autrement dit, ce "San Jose News", a passablement correctement suivi l'annonce de l'Agence United Press ( pas très différente de celle de l'Agence Associated Press) du 7 Septembre 1933, et ARTivision, bien sûr aurait bien aimé avoir le texte d'origine de ces deux Agences. (Merci d'avance à l'internaute béni, qui pourra se les procurer)

    Par contre, toujours pour ce 7 Septembre 1933, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=rUiCm8s56TIC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    On voit alors que le Rédacteur en chef de ce journal, y a été au minimum, avec l'information de l'Agence United Press en question et information qui pourtant intéresse, selon nous, l'humanité entière :

    Traduisons, grosso modo, le début :


Les objectifs de Byrd : 2 années d'exploration en Antarctique.

" Washington UPI . L'explorateur polaire, le vice Amiral Byrd , annonça à la Maison Blanche aujourd'hui, qu'il s'envolera le 25 Sept de Boston pour un voyage de deux ans d'exploration en Antarctique . Byrd télephona au Président Roosevelt , avant son départ avec deux navires " The Old revenue Cutter Bear " et "the supply Vessel Pacific Fir", pour sa base de glace "Little America", en Antarctique .

     Byrd dit encore : " Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi large que les USA et le Mexique réunis ", et il ajouta qu'il espérait faire 10 fois mieux que sa précédente incursion dans l'Antarctique."
.

    On voit là aussi, que l'affaire très importante, du nouveau continent à découvrir, est passée bien sûr, carrément à la trappe.

    A vous de juger cette déviance comportementale de l'être humain.

     Venons-en maintenant à notre étrange trouvaille du 6/03/2014 concernant le "The Portsmouth Times" du 31/01/1947:


    Comme on le voit, cet article vient de l'Agence United Press, alors que l'article du même journal du 7 Sept 1933 venait de l'Agence l'Associated Press.. Des spécialistes pourraient peut-être nous dire, la différence de style de ces deux agences.

    Le titre ayant été déjà traduit par notre amie Nicole, passons d'abord, aux 7 premières lignes :

" Little America , 31 Janvier (1947). L'amiral Richard E; Byrd a préparé ses avions sur skis équipés de réacteurs, pour un vol au travers du Pole Sud et affirma que vol allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".

    Cette phrase de Byrd, nous interpelle grandement . En effet, comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique qui soit ? .

    S'il s'agissait n'est-ce pas d'un territoire très glacé, couvert de neige à profusion, et où la température avoisine souvent les -50 degrés Celsius, Byrd , n'aurait pas qualifié ce territoire de découverte géographique la plus importante qui reste à faire dans ce monde.

    Mais cette phrase ressemble grandement à celle du nommé Amedeo Giannini mentionné dans son ouvrage de 1959, intitulé : "Mondes au-delà des pôles", qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :

  


    Mais voyez alors ce texte tiré des pages 13 et 14 du livre de A Giannini précité avec la phrase en question solignée de rouge :



     Et notre modeste traduction donne :

Le 28 Novembre 1955 " C'est la plus importante expédition dans l'Histoire du Monde" . Amiral Byrd avant son depart pour explorer une terre au dela du Pôle Sud . c'est donc pratiquement la même phrase mais en plus il y a le vocable "Géographique" qui donne à la phrase une portée plus pointue et de plus cette phrase avec le mot géographique était déjà du 31 Janvier 1947. l'information de Gianinni avait donc un certain retard. Nous n'avons pas encore hélas trouvé cette phrase dans un journal du 28 Nov 1955. Avis aux amateurs.

Poursuivons maintenant la traduction du texte du "The Portsmouth Times"

    Puis il y a cette déclaration inouïe de Byrd "I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" : "J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle".

    Ne trouvez-vous pas que cette autre déclaration, s'apparente énormément à celle que présente Gianinni dans le texte ci-dessus au mois de Février 1947 (la date n'est héla précisée) :

Février 1947 " J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".
Vice-amiral Richard E Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Hélas cette expédition de Byrd a dû être ultra-secrète, car nous n'avons pas trouvé un seul texte sur Google, qui en parle.

     Et donc, vu le pragmatisme (on l'a déjà dit souvent dans d'autres articles), et le souci de l'authenticité, qui règnent sur le site ARTivision pour appuyer ses recherches pointues, ce site préfère ne parler, que de faits tangibles, que chacun peut vérifier dans des documents dûment répertoriés dans les librairies et les bibliothèques. Ce site fait tout son possible pour que les détracteurs, ne le qualifient pas de site fantaisiste qui bavarde en l'air sans preuves , et à cause de cela, le site ARTivision, ne fait aucune publicité qui pourrait mettre en cause son intégrité.

     Il est donc impérieux, de mettre la main, sur une revue ou un journal quelconque, anglais ou français, qui a écrit cette phrase de Byrd, que nous répétons à dessein : " J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle(Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu.".

      Merci donc, mille fois, à l'internaute passionné, qui arrivera à se promener dans "The Library of Congress", ou dans une autre bibliothèque, et à mettre ainsi la main aux USA d'abord, puis au Canada ou ailleurs, sur au moins un journal ou une revue parlant de cette expédition, en Février 1947.

     Mais certains détracteurs diront que Gianinni pourrait alors inventer tout cela !!.

      On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Voici une silhouette plutot très rare de lui :


     Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet Amedeo Giannini dans nos articles suivants :



     Précisons cependant, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie fantasmagorique de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.

     Giannini, n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.

      En essayant de décortiquer son ouvrage ,"Mondes au-delà des pôles", très ardu à lire, il va sans dire, que nous n'avons pas pensé, une seule seconde qu' Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale, ce qui n'est pas du tout, le cas actuellement où n'importe quel infographiste détraqué qui veut se faire mousser sur le Web, sera capable d'inventer une fausse vidéo plus vraie que nature.

      Mais, il s'avère cependant que les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites (nous dit Giannini) de l'amiral Byrd, et aussi et surtout dit-il il y a la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique.

      Gianinni qui avait ses entrées dans les sphères officielles, nous dit en effet ceci en page 53 de son ouvrage :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel écrit en rouge:

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

     Comme vous voyez il faut être plutôt fortiche dans la perversité , pour inventer une telle histoire.

      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. Cependant, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s'est installé à New-York.

     Il va sans dire que nous demandons donc, très aimablement, à tout internaute qui connaît parfaitement le russe et le roumain , de tout faire pour retrouver la trace de la super déclaration précédente, dans les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une plus grande compréhension de notre planète, et même sans doute, de notre système solaire.

     Pour ceux qui croit encore que Gianinni avait beaucoup d'imagination, présentons la missive suivante :

      Le 06/10/2010, nous avons eu le plaisir de recevoir de notre ami canadien Sébastien C...., infatigable patrouilleur du Web, cette courte missive suivante qui vaut cependant son pesant d'or.

----- Original Message -----
From: Sebas C
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, October 06, 2010 9:11 PM
Subject: Hubert Wilkins.
http://news.google.ca/newspapers?id=NpUcAAAAIBAJ&sjid=KGQEAAAAIBAJ&pg=5124,375324&dq=hubert+wilkins+unknown&hl=en

          Bonne journée Fred .



         Et voici donc les images qui nous concernent ici :



Puis surtout:

Disons dès maintenant que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue, dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental, annonça la réception d'un messagge en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

     Nous pensons bien sûr qu'une telle information n'aurait presque aucune chance d'être diffusée telle quelle, dans un journal comme le New york Time, et autre journal du même acabit.

     Mais comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, voici maintenant un entrefilet du "Berkeley Daily Gazette", en date du 18 Novembre 1930 page 10, qui nous est tombé sous la main le 09/06/2013 , et dont voici l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=PPAp3RzCAaIC&dat=19301118&printsec=frontpage&hl=fr



     Et en fin de colonne, nous découvrons alorsla petite phrase hors normes suivante :

"He made the first airplane flight in the Antarctic on Novembre 18, 1926, and he was the first to discover new land, from an airplane", que nous pourrions traduire par "Il réalisa le premier vol en aéroplane dans l'Antarctique en 1928, et il fut ainsi, le premier à découvrir une nouvelle terre ".

     Notons que pour éviter les répétitions, nous avons traduit " from an aeroplane", simplement par "ainsi ".

     Mais revenons à cette affaire d' une terre nouvelle. Si le terme était au pluriel (new lands), certains détracteurs zélés, diraient vite, qu'il s'agit de kilomètres carrés de banquise et de déserts neigeux, qui sont effectivement des terres vides et inexploitées. Mais le journaliste, dit "to discover new land". Comme cela aurait été plus clair, s'il avait écrit : "to discover a new land". N'empêche que nous sommes ici invités à traduire, en invitant les spécialistes de l'anglais de nous donner leur précieux avis : "à découvrir une terre nouvelle" en gardant l'article qui pose problème. Selon nous cette absence d'article est voulue par les journalistes de L'Agence de Presse (non mentionnée ici ), car ces derniers se sont interrogés, longuement sans comprendre, sur le fait inouï qu'il puisse exister une terre nouvelle, dans une région toujours couverte de congères à profusion et à perte de vue, et où la température descend souvent nous l'avons déjà écrit plus haut, en-dessous de 50 degrés C ?

     Mais, en plus, on y apprend que Willkins fut " ..the first man to attempt to go under the ice of the North Pole in a submarine..." " le premier homme à tenter de pénétrer sous le Pôle Nord, à l'aide d'un sous-marin". Pour en savoir plus sur les péripéties dramatiques de cette affaire, prière de consulter notre article :

http://www.artivision.fr/Thalasso.html

    Mais quittons les péripéties surprenantes des expéditions de Sir George Hubert Wilkins, pour revenir à notre texte du "The Portsmouth Times" du 31 Janvier 1947.

On y trouve ensuite ce passage :



que nous pourrions traduire grosso modo : "quelle recompense ce serait, par exemple Si l'on y trouvait une grand étendue volcanique où une eau bouillante jaillirait du sol . Il y aurait là une formidable importance du point de vue biologique, géologique et géographique."

    Comme tout cela est bien dit, mais si l'on sait lire entre les lignes, cette déclaration n'est qu'une manière de noyer le poisson concernant ce nouveau continent non répertorié, existant au-delà du Pôle sud, car il existe déjà en Antarctique, des volcans actifs qui remplissent cette possiblité. En effet sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_volcans_d'Antarctique

,on découvre, un très long tableau donnant les volcans éteints et actifs , de toute la région polaire Sud. Nous avons sélectionné, les tout premiers continentaux :


    Et comme on le voit, l'Erebus et l'île de la Déception, sont aux premières loges, et ont de quoi satisfaire la saine curiosité des scientifiques, et donc à bon entendeur salut.

    Mais, Byrd, en savait bien plus sur cette zone volcanique éventuellement à geysers d'eau chaude, qu'il évoque si astutieusement, car voici un entrefilet surprenant du Milwaukee Sentinel, en date du 1er Fevrier 1947 page 6, venant du site :

http://news.google.ca/newspapers?nid=wZJMF1LD7PcC&dat=19470201&printsec=frontpage&hl=fr


Oh là la, on tombe à la renverse , puisque Byrd, ose affirmer qu'au-delà du Pôle Sud, il existe "un plateau", qui pourrait être plus haut que celui du Tibet et que le Pôle Sud lui-même, et qui serait ainsi à près de 10 600 pieds (près de 3500 m) sur ce plateau...

     Curieux n'est-ce pas tout cela !!!

     Mais, le lendemain, ce même journal nous sortait en page 8, à :

http://news.google.ca/newspapers?nid=wZJMF1LD7PcC&dat=19470202&printsec=frontpage&hl=fr

ceci :


    Et, on pourrait alors penser, que cette information, du 2 Février, est le prolongement de celle du 1er Fevrier. Mais hélas, il n'en est rien, et Byrd , ne nous en dit pas plus sur le Plateau sublime en question. Notons cependant, à la fin, que l'on nous reparle de ce terrain inexploré, et que cette affaire de terrain inexploré de l'Antarctique, que le mauvais temps, n'a pas permis de visiter, comme il faut.

    Mais pendant que l'on évolue au début de 1947, voyons encore cet erntrefilet en page 11, du 4 Mars, du Miwaukee Journal,, entrefilet que les spécialistes de la langue de Shakespeare auront vite fait de traduire bien mieux que nous :

Sur la page de Google :

http://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19470303&printsec=frontpage&hl=fr

, on trouve alors ceci :


    On voit alors d'abord que Byrd se trouve sur le navire bien connu le USS Mont Olympus, (on en reparlera), où il décrèta l'arrêt des opérations de l'Eastern Task Group (dont il avait le commandement ), et cela après 64 jours d' expédition. En bas de l'entrefilet, on apprend aussi que 200 000 miles carrés ( voisin de 518 000 km2) ont aussi été découverts autour de la Roosewelt Sea, et aussi une nouvelle péninsule sur la côte d'Ellsworthiand.

    On apprend aussi ici, chose curieuse que le Canada cherche à avoir rapidement des points de chute, dans la région sans doute pour mieux participer, à la fête australe, qui bat son plein, chez les initiés du coin ...

    Venons en maintenant à ce passage souligné en bleu et qui nous interpelle aussi grandement du "The Portsmouth Times", du 31/01/1947:


    Cette information curieuse placée presqu'à la fin du texte en question, est pourtant chose étrange, placée tout au début d'un autre article aussi très important, du "The Leader-Post" également du 31 Janvier 1947.Voyez vous-même :


et, on y lit alors aussi :


     Le titre surprend déjà : Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.

      Ah Ah...comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ?

Faisons ici en effet une petite digression :

     En effet, pour être fair-play , et contenter ainsi tant soit peu les puristes, nous allons présenter maintenant, un extrait d'un article tout à fait opposé à notre thèse et publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997. Pour l'auteur de cet article, l'affaire de la Terre creuse n'est qu'un fantasme relevant entièrement du mythe . Voyez vous-même :


     Puis à la page 68 on trouve ce passage :


     Pour ce Monsieur Serge Jodra, sans doute un astronome qualifié, auteur de l'article présenté ci-dessus, et qui met entre guillemets l'expression "mystère polaire", , il n'y donc rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre.

    Fin de la digression .

     Mais, revenons alors à notre passage du Leadear-Post, et à celui du Portsmouth Times, où Byrd laisse entendre qu'il espère découvrir si l'Antarctique est un continent unique, ou une masse coupée en deux .

     Pour ARTivision , il faut ici aussi, savoir lire entre les lignes, bien sûr.

     En effet d'abord, pour savoir si l'immense continent possède des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le magnifique dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



, où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m )
, capables de le séparer en divers portions, il fallait à l'époque ( maintenant on a des satellites et encore...), des centaines d'avions munis de radars puissants, pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain.

     Donc, cette affaire de continent coupé en deux sous la glace, est encore un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.

     Venons en ce 13/03/2014, à ce passage du même gabarit, presenté déjà plus haut dans l'article du Milwaukee journal du 7 Septembre 1933 :



dont la traduction avait grosso modo été : "... afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la Cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."

     La même conclusion que précédemment, s'impose alors ici, car pour sonder sous les glaciers de la Patagonie, de la Terre de feu, et de l'Antarctique,, et de plus sous la mer, et dans le fond du Passage de Drake, il faut des équipes superbement nombreuses et outillées, dont nedisposait pas Byrd en 1947 :

Visible sur le site http://fr.wikipedia.org/wiki/Passage_de_Drake

     Comment comprendre alors cette allusion, de Byrd , au fait que l'Antarctique puisse être la continuation de la Cordilère des Andes ? . Ceci pourrait-il alors être le fait, que Byrd, ait eu vent de l'existence des cartes de Piri Reis ?
     Mais faisons ici une deuxième digression :

     Nous sommes en 1947, et Byrd ne pouvait avoir sous la main, les divers ouvrages modernes parus bien après cette date, et ouvrages dont nous allons ici donner quelques passages :

     En effet voici justement un ouvrage de référence paru en français, en 1981, mais aux USA dès 1966, et que Byrd ne pouvait pas connaître :


     Nous devons de plus avouer ici que, c'est cette incroyable affaire des cartes de Piri Reis, qui fut l'une des principales clefs de voute, à l'origine de la création en Janvier 1997, du site ARTivision , et on verra plus bas pourquoi !

     Commençons, si vous le voulez bien, par le passage en page 15, du livre en question :


     Notons alors que Byrd, pouvait avoir eu en main cette publication du "Illustrated London News" du 27 Février 1932, intitulé "A Colombus Contoversy" ( Piri Re's Map), ou encore, il aurait pu lire aussi, entre autres ouvrages ceux-ci : "Turkish Interest in America in 1513 : Piri Re'is chart of Atlantic" ou encore "scotland in the portulant charts " Scottich Geographical Magazine XLII (1926).

     Voici maintenant, la fameuse carte de Piri Reis, qui montre clairement, qu'à un certain moment, L'Amérique du Sud était bien liée à l'Antarctique :


     Les cartes de Piri Reis découvertes, sont sur parchemin en couleur, enluminées et enrichies de nombreuses illustrations et de portraits de souverains de divers pays et les légendes sont en turc. Les spécialistes turcs, nostalgiques de l'époque faste de l'Empire Ottoman, se penchèrent sur ces cartes avec précaution et dévotion sans en tirer, pour cela, des conclusions notoires, mais ils en firent des reproductions qui furent dirigées de par le monde, vers les bibliothèques qui en firent la demande. Donc en couleur, c'est mieux :



    Mais, étant donnée l'importance de l'affaire, nous ne résistons pas au plaisir de vous présenter quelques passages de la Revue PLANÈTE n° 29 de Juillet-Août 1966 de Paul-Emile Victor et Arlette Peltant:

  


    Et pour le novice, qui n'a jamais entendu parler des cartes de Piri Reis , voici un petit plus :


    Enfin, si vous voulez rêver davantage, voici le Science et vie n° 516 de Septembre 1960, qui est épuisé, d'après la Rédaction de la Revue, et voyez vous-même ce document qui le prouve :



     Nous avions hélas perdu ce numéro à l'époque, en 1997, mais grâce à l'heureuse initiative de notre ami Jérôme Gorriz, nous avons pu le commander sur le Net et le recevoir le 21 Juin 2012.

     Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources d'un document important, et au cas où l'on apercevrait ce n° 516, de "Science et Vie", dans un vide-grenier quelconque, voici une photo de sa couverture :



     Et maintenant, voici le début de cet article extrordinaire :


et, nous ne résistons pas au plaisir, de vous présenter ces lignes remarquables, de l'article :



     Mais il faut aussi savoir, qu'à la fin de cet article, on découvre un court panorama d'énigmes archéologiques inexpliquées de l'époque, et énigmes qui le sont toujours de nos jours :



    Enfin rappelons aussi que dans ce Science et Vie n° 516 de Sept 1960 , il y a de plus, un article de 9 pages d'Aimé Michel sur les Soucoupes Volantes, et qui interessera certainement les puristes passionnés :


     Fin de la deuxième digression.

     Mais ce 14/03/2014, nous voilà arrivés à la fin du texte du "Portsmouth Times" du 31/01/1947, où l'on découvre ce passage très insolite :


     Traduisons approximativement cela :

    " L'amiral Byrd a appelé ces regions inexplorées au-delà du Pôle :"L'endroit le plus inaccessible de la face du monde"".

    Ce passage est un peu plus long dans le texte du The Leader Post egalement du 31/01/1947, vu également plus haut :


Que nous pourrions traduire grosso modo :

" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "

     Et nous voilà une fois de plus confronté à cette affaire d'inaccessibilité très difficile à comprendre ici .

     Mais, ce 24 Mai 2018, pour les puristes, voici une missive très intéressante, et aussi un autre son de cloche :

    Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:

----- Original Message -----
From: Christophe G.......
To: fred Idylle
Sent: Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject: Re: NEWS PAPER OF BYRD
     Cher Fred,

     Voici un petit exemple de ducuments officels du New-york times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.      Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...

source :

http://query.nytimes.com/search/query?query=admiral+byrd&srchst=p&d=&o=&v=&c=&sort=closest&n=10&dp=0&daterange=period&year1=1851&mon1=09&day1=18&year2=1980&mon2=12&day2=31&frow=0

     Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !

     Bien à toi.

     Christophe.

      En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors:


     Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge :

" Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible a la surface de la terre".

     Toujours cette affairede région inaccessible, et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.

     Pour expliquer tant soit peu, cette affaire inouie, le site ARTivision, va devoir monter nettement le niveau ésotérique, de cet article et nous demandons alors aimablement, au novice de bien attacher sa ceinture car à l'altitude où l'on va évoluer il risque d'y avoir de sérieuses turbulences.

      Pour commencer, il conviendrait sans doute de reprendre de notre article :

http://www.artivision.fr/FlyingSaucersDec59.html
     , le passage suivant :

     " Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd le 14 Juin 1947...

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite."


     En fin de compte, cette vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible.

     Or dans notre article : Byrd.html , nous notons aussi pour le pôle Nord, une aventure tout à fait semblable :

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation


    Là aussi, comme vous le voyez, le paradis en question fut bien perdu, et encore devint inaccessible.

     Il n'est donc pas interdit de croire, que Byrd ait parlé dans les médias de zone d'inaccessiblité, et que les chercheurs orhodoxes ont vite tenté de placer sur une carte avec une explication très banale, au sujet d'un Pôle d'inaccessibilité.

     Il n'est donc pas interdit de croire, que Byrd qui a parlé dans les médias de cette zone d'inaccessiblité, a ainsi induit chez les chercheurs orhodoxes le fait de tenter de placer sur une carte, avec une explication très banale, un soi-disant Pôle d'inaccessibilité, comme on le découvre, dans le Science&Vie n° 586 de Juin 1966:


     Et voyons maintenant la significations officielle de ces divers poles ;


     Mais, il y a aussi le fascicule déjà présenté plus haut, du National Géographic Magazine d'Octobre 1947 tel que

  

     Etant donnée l'importance médiatique de cette revue, pour les puristes voici la digitalisation pages 463 et 466 du texte placé à côté de la couverture .

Into Mystery Land Beyond the Pole.

     It had been one of the major objectives of the Navy to penetrate beyond the Pole into this "area of inaccessibility", the vastest unknown which remains in the world.

     When one speaks of "beyond the South Pole" the language is not entirely figurative. The Pole is, of course, by definition the farthest south possible to reach, but it hardly is a midway point towards what now must be the goal of Antarctic exploration-the interior of those millions of square miles which no eye has seen.

     When we were a few minutes beyond the Pole both planes turned to port and flew in a circle around it. This was, for me, the third nonstop flight around the world.

     At the Pole it seemed-and this is an impression subject to correction-that the sastrugi were smaller and less well defined than elsewhere. They may indicate that the South Pole itself is not a place of high winds, so characteristic of much of Antarctica.

     Below us the snow surface had a slight metallic sheen. Where the sun struck at angles it was tinged with gold. I dropped a cardboard box containing multicolored little flags of the United Nations. The symbolism should be obvious-the dedication of this goal of so much selfless heroism of the Norwegians and the British to the ideal of brotherhood among peoples.

     Then, on the back of my navigation chart, I printed a personal message to Fleet Admiral Nimitz in Washington. My hands were so cold I had difficulty holding the pencil.

     I wondered lately if this message could have been legible and examined the chart with a good deal of curiosity.

     I wondered if there would be any evidence of the giddiness which comes from lack of oxygen and the fumes of the alcohol which we were using every few minutes to keep the cockpit window clear of frost.

     What I wrote seems to have been entirely rational, although the message looks somewhat like the writing of a child who has just learned to print the alphabet. It read :

     "It is 13.47 G. A. T. [Greenwich Apparent Time].

     "As I write this, we are circling the South Pole. The temperature is 40 below zero. Our altitude is 12,000 feet. The Pole is approximately 2,500 feet below us. On the other side of the Pole we are looking into that vast unknown area we have struggled so hard to reach. We are dropping on the Pole the flags of the United Nations.

     "The young men with me join in sending to you and to the Secretary of the Navy our gratitude for giving us this opportunity for geographical discovery and great adventure. As this message is finished, we are heading into the unknown beyond the Pole. Warm regards from a cold place to you, Duke, and Forrest. There is no heat in the plane and it is chilly."

     The reference to Duke and Forrest was to Adm. De Witt C. Ramsey, Vice Chief of Naval Operations, and Vice Admiral Sherman, who had done so much to make the expedition possible (page 430)
".

     Et voici notre très approximative traduction (merci à l'internaute qui pourrait l'améliorer) :

Á l'intérieur de la Terre Mystérieuse, au-delà du Pôle.


     L'un des objectifs majeurs de la Marine, avait été de pénétrer au-delà du Pôle dans cette "au-delà du pôle Sud" le propos n'est pas entièrement figuratif. Le pôle est, bien entendu, par définition, le sud le plus loin possible à atteindre, mais il n'est guère qu'un point à mi-chemin vers ce qui désormais doit être l'objectif de l'exploration antarctique, à l'intérieur de ces millions de miles carrés que l'œil n'a jamais vu.

     Quand nous étions à quelques minutes au-delà du Pôle deux avions virèrent de bord et effectuèrent un cercle autour de lui. Ce fut, pour moi, le troisième vol sans escale autour du monde.

     Au pôle semblait-il, et c'est une impression à corriger on voit que les sastrugi (irrégularités topographiques tranchantes sur une surface de neige résultant de l'érosion causée par le vent ) étaient plus petites et moins bien définies que partout ailleurs. Ils peuvent indiquer que le pôle Sud lui-même n'est pas un lieu de vents forts, si caractéristiques d'une grande partie de l'Antarctique.

     En dessous de nous la surface de neige avait un léger éclat métallique. Là où le soleil frappait tangentiellement, il se rependait une teinte d'or. J'ai laissé tomber une boîte en carton contenant des petits drapeaux multicolores de l'Organisation des Nations Unies, pour symboliser évidemment, l'héroïsme désintéressé des explorateurs, tant des Norvégiens que Britanniques et pour glorifier l'idéal de fraternité entre les peuples.

     Puis, sur le dos de ma carte de navigation, j'ai imprimé un message personnel dédié à l'amiral Nimitz de la Flotte à Washington. Mes mains étaient si froides et j'avais du mal à tenir le crayon.

     Je me suis demandé alors, si ce message aurait pu être lu et si l'on aurait pu en examiner le graphisme,avec une bonne dose de curiosité.

     Je me demandais, si il n'y aurait pas eu une preuve d'étourderie, venant d'un manque d'oxygène et des fumées de l'alcool que nous avons utilisées régulièrement pour garder la fenêtre du poste de pilotage hors du gel.

     Ce que j'ai écrit semble avoir été tout à fait rationnel, bien que le message ressemble un peu à l'écriture d'un enfant qui vient d'apprendre à utiliser l'alphabet. On peut y lire :

     "Il est 13,47 G. A. T. [Greenwich Temps apparent].

     "Au moment où j'écris ceci, nous encerclons le pôle Sud. La température est de 40 en dessous de zéro. Notre altitude est de 12.000 pieds. Le pôle est d'environ 2500 pieds au-dessous nous. De l'autre côté du pôle, nous sommes à la recherche dans cette vaste région inconnue que nous avons pu atteindre de haute lutte. Nous avons projeté sur le pôle, des drapeaux de l'Organisation des Nations Unies.

     Les jeunes hommes se joignent à moi pour vous envoyer et à la Secrétaire de la Marine de notre gratitude pour nous avoir donné cette opportunité pour la découverte géographique et grande aventure. Comme ce message est terminé, nous nous dirigeons vers l'inconnu au-delà du pôle. A vous cordialement, à partir d'un endroit froid , Duke, et Forrest. Il n'y a pas de chaleur dans l'avion, et il est froid.
"

     La référence à Duke et Forrest était à l'amiral De Witt C. Ramsey, vice-chef des opérations navales, et le vice-amiral Sherman, qui avait tant fait pour rendre l'expédition possible (page 430).


     Fin de la traduction...


     Et, voici quelques commentaires sur ce texte : D'abord, il y a ce vocable du titre : "Terre mystérieuse" qui surprend, quand on l'applique à des zones en principe, totalement glacées et pleines de neige en abondance. Il faut vraiment avoir une imagination de poète virtuose, pour voir là, se présenter un mystère caractérisé, dans ces zones arides où (nous l'avons écrit souvent), la température frise souvent le - 50 ° .

     Puis il y a ces termes ambigüs "zone d'inaccessibilité la plus vaste inconnue qui reste du monde".

     Notons en passant, que ce Pôle d'inaccessibilité. figure en page 96, figure 10 de "L'Antarctique" d'André Cailleux chez "Que Sais-Je" n° 1249 P.U.F"):

  

     Il n'est donc pas interdit de croire, que c'est d'abord Byrd, ou , un de ses confrères, qui parlant dans les médias de zone d'inaccessibilité , ont pu inspirer certains géographes, l'envie de placer sur une carte ce fameux Pôle d'inaccessibilité. Point à la ligne...

     Pour nous éclaicir davantage les idées, il nous semble utile de présenter ici un document important, concernant le Pôle Sud, où pourtant il convient de savoir lire entre les lignes.

     En effet Super-hasard étant toujours à l'affût des pérégrinations du Webmaster d'ARTivision, il lui a fait mettre la main, il y a très peu de temps sur un vieux Paris Match de 1970, possèdant un dossier spécial sur le Pôle Sud.

    En relisant attentivement, ce 15/03/2014, ce dossier près de quarante quatre après sa sortie, voilà ce que nous y avons découvert :

     Ce dossier de 19 pages (du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970) est intitulé "Pôle Sud 70", a été élaboré par les grands reporters de l'époque Raymond Cartier, et Stéphane Groueff. Les principaux épisodes reliés au Pôle Sud y sont évoqués avec un grand réalisme.

    Après nous avoir parlé des premiers explorateurs du Pôle Sud, et en particulier du lieutenant de l'US Navy Charles Wilkes et du capitaine de vaisseaux Jules Sébastien Cesar Dumont d'Urville, du capitaine de phoquier anglais Weddell, le récit se poursuit ainsi, page 106 :

     "Celui qui sortit l'Antarctique de l'incertitude, qui le fixa dans la qéographie, est Sir James Ross. L'histoire de son voyage est une féerie au milieu des tragédies que sont si souvent les explorations polaires. Les deux solides navires de Ross, (Erebus et Terror), se frayèrent d'abord une route dans un pack assez lâche, puis, à l'émerveillement des équipages, la mer libre s'ouvrit à perte de vue devant les étraves. Quelques jours plus tard, une chaine de très hautes montagnes se dessina à tribord. Ross les longea, après avoir planté le drapeau britannique sur le rivage, au milieu d'une foule de pingouins médusés. Cinq cents milles plus au sud, au bord d'une mer toujours libre, un spectacle plus prodigieux encore sortit des flots. Un formidable volcan, que Ross appela l'Erebus, se couronnait d'un panache de fumée. Un autre, qui fut appelé la Terror, était assoupi dans le lointain. Un large chenal partiellement libre de glaces, auquel Ross donna le nom de son second, McMurdo, pénétrait encore plus profondément dans le sud. Ross s'y engagea et, sous le 76e parallèle, trouva enfin le terme de sa navigation fortunée : une falaise de glace de 150 mètres de haut, bleue et verte dans ses profondeurs insondables, entaillée à sa base par des cavernes où venait mourir l'eau engourdie par le froid. L'Antarctique, cette fois, était magnifiquement découvert.

    Puis il se passa une chose extraordinaire : cette découverte n'intéressa personne. Elle avait eu lieu en 1841. Pendant les 55 ans qui suivirent, l'histoire des explorations de l'Antarctique est une page blanche. Les phoquiers achevaient d'exterminer les phoques à fourrure. Les baleiniers ayant à peu près éteint la baleine franche s'attaquaient à la baleine à dents, au grand cachalot des mers du Sud. Mais ni les gouvernements, ni les sociétés savantes, ni les particuliers ne se souciaient de franchir la porte ouverte par sir James Ross, d'élucider le mystère du continent austral.
"

    Vous avez bien noté, nous l'espérons, cette affaire de mer libre au dela du 76 ° de latitude sud (Jules Verne connaiissait cette mer libre de glace du sud et on sait qu'elle existe aussi bien plus grande au pôle Nord) et cette histoire pas bien explicitée ici de cette falaise de glace de 150 mètres de haut, bleue et verte. S'agit-il d'une illusion d'optique ou vraiment de quelque chose de bien tangible. Les auteurs ne nous éclairent pas hélas sur ce détail important.

    Plus loin page 108, on trouve :

    "Au bout de trois semaines, ils virent se dessiner de grandes montagnes auxquelles une illusion d'optique prêtait, un manteau de forêts qu'on aurait dit dorées par l'automne. Ils choisirent pour les escalader un glacier étroit et raide dans lequel l'avance fut pénible, retrouvèrent l'horizontalité à 3 600 mètres d'altitude, crurent qu'aucun obstacle ne s'interposait plus entre eux et le pôle. Amundsen fit abandonner deux traîneaux et abattre les vingt-quatre chiens les moins robustes. " Ce fut dur, mais nous avions juré de ne reculer devant rien pour atteindre notre but. "

    Novembre s'achevait. Scott n'avait pas encore atteint le pied du glacier Beardmore. Ses tracteurs l'avaient lâché à quarante milles de sa base. Neuf poneys étaient morts et les autres s'épuisaient à vue d'oeil. Le fantasque climat antarctique faisait passer sur le Shelf une vague de chaleur, poussait le thermomètre jusqu'à 32° Fahrenheit, qui correspondent à zéro centigrade et la neige amollie rendait la marche extrêmement pénible.
"

    Cette fois, c'est l'augmentation surprenante de la température, qui étonne n'est-ce pas, mais hélas on ne nous dit pas à quelle latitude, on était.

    Mais il y a mieux page 110 :

    "Contrastant avec le pourtour marin, l'intérieur du continent est le domaine de la mort. Ou, plus exactement, de la non-vie.

    Cette stérilité de l'Antarctique, on la crut encore plus totale qu'elle ne l'est. Lors de mon premier voyage, on m'avait dit qu'en dehors de la péninsule antarctique, où végètent quelques lichens, la vie continentale n'était représentée que par une demi-douzaine de bactéries identifiées dans les vallées sans glaces voisines de McMurdo. Le catalogue s'est amplifié. On a découvert jusqu'à 480 kilomètres du pôle une algue microscopique et, vivant d'elle, le géant de l'Antarctique continental, un arthropode de près d'un millimètre de long !

    Fourmillement de la mer. Désert de la terre. Cependant, il arrive que la vie marine s'aventure vers le cœur totalement inhospitalier du continent. On a toujours trouvé des phoques momifiés à ces distances importantes des rivages, parfois à mille mètres au-dessus du niveau de la mer. Le docteur Wakefield Dort, de l'université du Kansas, a refusé l'interprétation suivant laquelle ces désespérés sont de vieux misanthropes allant mourir à l'écart de la foule. Ce sont, au contraire, de jeunes individus. " Nous en avons trouvé un, nous a-t-il dit, il y a neuf mois, sur la glace, au-delà des vallées sèches. Son corps était encore souple et du sang coulait encore de ses narines. II n'avait probablement pas plus d'un mois." L'hypothèse d'un bébé égaré, abandonné par sa mère, serait plausible si la trace n'était pas rectiligne, comme celle d'un être qui sait où il va.

    II restait une dernière surprise : Dort appliqua au cadavre tout frais l'épreuve du carbone 14. Elle témoigna que l'animal était mort depuis 700 ans! On ne sait pas pourquoi le carbone 14 est indigne de foi dans l'Antarctique.

    Le cas des pingouins est plus extraordinaire encore. Le 31 décembre 1957, l'expédition Ellsworth trouva une trace absolument rectiligne de pingouin empereur, se dirigeant vers l'intérieur du continent, à 450 kilomètres de toute étendue marine. Deux jours plus tard, le docteur Charles Bentley, releva une trace analogue et les excréments d'un pingouin Adélie dans la région de Byrd, à 360 kilomètres de la mer. De multiples observations ont été faites depuis lors. Or le pingouin ne vole pas. II marche en station debout ou glisse sur la glace en se servant de ses moignons d'ailes comme propulseurs. On se demande vers quels rendez-vous macabres se hâtent ces solitaires, si loin de leur milieu nourricier.
"

    Rendez-vous macabre, ou appel irrésistible d'un paradis ancestral enfoui dans mémoire instinctive de l'animal ? ( Ce paradis ne serait-il pas situé bien plus au nord des rivages habituels de ces animaux, autour du Pôle Sud ).

    Notez bien aussi, que le site ARTivision a aussi de très nombreux documents stipulant également le vol, au-delà du 82° de latitude Nord, de divers oiseaux vers le Pôle Nord : Voyez donc cette gravure du livre du Dr Hayes de 1877 "la Mer libre du Pôle":


,que nous avons la grande chance, d'avoir sous la main :



     Et en aquarelle en couleur, c'est mieux :


    A vous de juger une fois de plus, tout cela !!!

      Mais revenons maintenant à notre Antarctique, où l'on apprend par d'autres documents officiels, qu'il existe des zones particulières, ( nommées Oasis) , où la température est digne d'une zone tropicale, et dont on préfère ne pas parler dans les médias habituels, qui ont pignon sur rue . Voici par exemple d'autres entrefilets découverts récemment, et commençons, si vous le voulez bien, par cet entrefilet daté du 12 Février 1947, extrait du "Millaukee Sentinel" en première page sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?nid=wZJMF1LD7PcC&dat=19470212&printsec=frontpage&hl=fr


     Laissons aux spécialistes de la langue de Shakespeare, le soin de sortir une traduction convenable de ce texte important et contentons nous, modestement du début :

Des aviateurs voient des lacs internes avec des pics foncés.

Par ALton L. BLAKESLEE
Représentant du "Combined American Press"

A bord de USS Olympus Mount fev 11 (Ins)


     La découverte sur le sol glacé du continent Antarctique d'une remarquable "oasis intérieure de couleur pois vert boueuse" et de buttes sombres apparemment de terre nue, a été annoncée aujourd'hui.

   Cette découverte pourrait être une des plus importantes faites par l'expédition de la Navy

    40 miles (voisins de 66,3 km) d'une region de lacs surplombés de buttes coniques s'élevant jusqu'à 500 pieds ( voisins de 165 m ) coniques dans une zone completement vide de glace placée au voisinage de la Knox Coast par les aviateurs ddu corps expéditionnaire Ouest le "Tast group" par les avions de la Marine , Lundi. Le capitaine Robert Quackenbush chef d' équipe a déclaré: "La decouverte de lacs et de mornes ressemblant d'en haut à des langues de chocholat permet de supposer que la zone pourrait être suffisamment chaude pour supporter une installation humaine à l'année...etc ... "


     Dommage que l'on n'ait jamais plus entendu des échos de cette instalation d'humains dans le coin.

     Mais voici un petit plus ...du même journal mais du 3 Mars 1947, aussi en première page .


     Donc rebelote et là non plus aucun entrefilet stipulant une installation humaine dans ce coin au climat bien doux n'a jamais été annoncée. Mais il y a mieux ici on nous parle avec brio de "l'Oasis de Bunger", et nous n'avons pas encore trouvé un seul entrefilet précédent , où ce journal "Milwaukee Sentinel", nous parle de la découverte de cette "l'Oasis de Bunger" .

     Mais au long url de Christophe déjà présenté ci-dessus, il y a cette carte de l'expédition :

     Sous la carte, on découvre l'affaire d'une région couverte de mystérieux lacs, et dans les lignes qui suivent, c'est l'affaire de l'Oasis de Bunger, qui est évoquée, sans que l'on nous en dise beaucoup plus, que ce que nous connaissons déjà :


     Mais quelques jours plus tard, on nous en dira tout de même, un peu plus dans le document ByrdOASIS87720893.pdf suivant :


    Notre modeste traduction donne à peu près cela :

     " Oasis dans l'Antarctique.

     La découverte d'une seconde "oasis" dans l'Antarctique par des aviateurs performants de l'amiral Byrd semble confirmer le fait que le continent polaire sud n'est pas le simple étalage continu de zones congelées tel que le monde le conçoit. L'existence de vastes étendues de terre nue parsemées de lacs d'eau douce suggère la possibilité d'établir là, des colonies permanentes, à partir de laquelle les ressources minérales de ces régions accidentées, pourraient être exploitée pour le bénéfice de l'humanité. (Note du Webmaster: Hum, humm...Chacun sait que ce sont toujours les mêmes, bien assis dans la société, qui en profitent).

     Les oasis sont associées dans notre esprit à des palmiers qui poussent dans le désert. Inutile de dire,qu' il n'y en a aucun de ces oasis dans l'Antarctique. (Note du Webmaster :...Bien sûr, c'est le journaliste du New York Times qui parle, et non Byrd)...

     Mais dans l'un des lacs au moins, une trace de vie végétale a été trouvée. Ce lac est environné d'une la glace mince, dans son eau tiede vivent des algues et aussi on y trouve des cristaux minéraux. En effet, cette présence d'algues pourrait être l'origine de la couleur extraordinaire de ces lacs qui, lors de leur survol, donnait l'impression d'une illusion d'optique. Un hydravion se posa sur la surface d'un lac et a changé cette illusionen un fait surprenant explicable. Les lacs étaient là, non gelés. La zone autour d'eux était libre de glace, avec des plages assez larges pour accueillir des escadrons d'avions. Des affleurements coniques de roche rouge foncé ou rose s'apparentaient à de petits volcans. Tout le reste dans cette terre étrangère reste mystérieux et inexpliqué.

     Une expédition scientifique est maintenant sur le chemin de l' Oasis de Bunger. Peut-être qu'au retour des explorateurs Byrd, leur rapport affinera notre information. Il serait important de savoir si ces oasis sont alimentées par des sources chaudes ou s'ils sont simplement des zones ouvertes, comme des tranchées au travers d'un glacier. Cela intéresse le développement futur du continent sud, pour ses sources chaudes, et ses clairières volcaniques qui pourraient être en mesure de soutenir l'activité humaine toute l'année. Quelle que soit l'importance de ces oasis polaires insoupçonnée peuvent avoir, elles sont certainement les plus surprenantes découvertes de l'opération Highjump."


     Vous avez bien noté, que le journaliste du New York Times, a été subjugué par laprésence surprenante, des ces oasis dans une région de l'Antarctique où ( nous l'avons déjà écrit), le - 50°, est plutôt souvent de rigueur .

      A vous de juger, cette nouvelle approche de l'affaire, document à l'appui.

     Alors disons encore avec Louis Jouvet:

Moi, j'ai dit BIZARRE, BIZARRE ? COMME C'EST ÉTRANGE ...


     Mais, il y a bien mieux :

     En effet, pour le novice qui découvre ARTivision, par cet article, voici un certain plus, sur cette "oasis", dite de Bunger ou Benguer :

 

     En Mars 1960, justement nous l'avons déjà évoqué dans d'autres articles, la revue "Science et Vie" dans son n° 510, nous présentait un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer .( Notez bien l'écriture du mot avec un e ( ben à la place de bun), et un "u"de plus et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis ), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse, des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan (Voir la photo du "Science et Vie" 510):)
=



    Et il y a aussi cet encadré, où est bien mentionné l'Oasis de Benguer:


    Notons cependant que cette oasis de "Bunger", (sans "u" cette fois) est bien mentionnée, page 29, dans le paragraphe "les vallées sans glace" du "Que Sais-je" n° 1249, "l'Antarctique", édité en 1967 par "les Presses Universitaires de France", concernant l'Antarctique, sans aucune mention de la température qui y règne.
   

     Voilà donc, que l'on apprend, dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au Pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, rien de tout cela, ne nous a jamais plus, été montré, à notre connaissance, depuis, dans cette revue. À vous de juger.


     Mais ce 16/03/2014, le novice ingénu, nous dirait, à juste titre : " Ces articles de presse du "Portsmouth Times" du 7/09/2014, et du 31/01/1947, sont bien surprenants et ils m'interpellent grandement. Cependant avec tous ces satellites qui tournent autour de la Terre, on devrait assurément trouver des images de cette fameuse ouverture polaire sud, à laquelle vous faites allusion, depuis le début de cet article. "...

     Pour répondre, à cette judicieuse observation, nous dirons qu'effectivement, alors que pour le Pôle Nord, nous avons obtenu des images remarquables comme celle-ci, (bien sûr rejetée par les bien-pensants officiels):


, pour le Pôle Sud, nous sommes amenés à d'abord constater, ce que nous apprend la missive suivante, reçue le 19 Octobre 2012 :

From: Jean-Philippe.......
Sent: Friday, October 19, 2012 4:50 PM

To: 'Fred IDYLLE'
Subject: RE: Terre creuse et Lune

     Merci pour tes articles Fred, voici une image que tu dois connaître qui est tirée du site :

http://forum.planete-astronomie.com/planetes-partiellement-creuses-est-ce-definitivement-impossible-t1681-15.html


    Certains diront : « Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale » voir le site:

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9canique_spatiale

???

    Amitiés.
    JPh


     Nous avons déjà bien sûr, remercié vivement Jean-Philippe, pour sa si aimable contribution aux recherches pointues d'ARTivision.

    D'abord, pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :


    Nous avons attendu, depuis le 17/11/2012, dès la sortie de notre article : Larondedessatellites.html, que les fortiches en Math, ( et là, c'est le silence de la tombe), nous expliquent comment la formule ci-dessus présentée, pourra prendre en compte, le fait surprenant, que nous montrent clairement les images précédentes, à savoir que aucun de ces satellites ne passe au-dessus du Pôle Sud ( Il en est de même du Pôle Nord).

    Nous sommes maintenant presque certains, que la formule présédente, ignore totalement le phénomène polaire en question .

     Mais nous serions heureux d'apprendre par un spécialiste que cette formmule prend bien en compte le fait que nous montre l'image envoyée par Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent encore cette fois-ci, tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé.

       Mieux, ce disque semble se juxtaposer étrangement, à ce disque bien noir de l'Antarctique :


     Cette image provient, on le sait, de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sauf celle-ci :

    La légende qui présente cette photo est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire , n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir. (Bien sûr les détracteurs zélés, vous diriont, qu'il ne s'agit que filets neigeux ensoleillés)


    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication concernant sa présence très insolite à l'endroit en question.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

      C'est alors qu'un certain internaute Fabrice c....., nous a interpellés sévèrement, le 21 Mai 2006, pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

      Il arrive parfois que certains médias se jettent sur les images qui nous viennent de l'espace, sans même daigner nous expliquer leur caractère insolite.

Pour cette affaire de disques noirs qui apparaîssent en pleine région polaire, cet internaute blasé, Fabrice c....., pourrait aussi en découvrir la présence, sur les images du journal télévisé du 19/20, le Mercredi 04/10/06, de France 3 , et sur le site de l'epoque http://info.france3.fr/index-fr.php :

    


Evidemment cet internaute, n'hésiterait pas une seconde à qualifier ces disques noirs, comme étant dus à "la limite de la couverture satellitaire..." habituelle.

      De plus, l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi il s'agit :

  


      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire ("Ils décident de ce que nous devons croire et penser") de la couverture de sa revue, et formule qui s'applique parfaitement au contexte de notre article sur l'illusion, n'est pas ? :

" "Ils"décident de ce que nous devons croire et penser "

      Il nous reste maintenant à nous demander, (concernant, à la page 5 de la revue, l'entrefilet présenté ici sur la droite de la couverture), comment il se fait, que sur l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher. A vous de juger !!

      De même, il est bon de savoir que le 29/05/08, nous avons reçu de l'ami Jean-Carlo S... l'invitation à visiter le site : www.worldwidetelescope.org, où l'on peut télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images extraordinaires, dont celles-ci qui concernent la Terre :

    

     Comme on le voit, l'existence d'une pastille plutôt énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait aucunement représenter le pôle géographique en question. Alors que fait donc cette pastille ? A vous de juger!

     De même concernant cette fois-ci l'Arctique sur le site :

http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/

    On découvre alors, cette image avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internautes se sont aussi évidemment demandés la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une autre réponse:


    Vous avez bien noté, que le nommé Guilhem, donne sa prétendue explication, qui n'est qu'une réponse de normand, car il ne dit pas du tout, pourquoi aucun des satellites en question n'arrive pas à prendre la zone incriminée, en photo.

    Cependant, il est à noter que l'internaute Patrick C...... et le Guilhem en question, et bien d'autres inconnus qui ont jubillé, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté dans nos articles cette photo assurément trafiquée du Pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!!

    A vous de juger

     Mais ce 17/03/2014, quittons ces affaires de disques noirs insolites, qui nous prouvent indiscutablement, qu'au plus haut niveau, on nous cache, des choses inouies concernant les phénomènes polaires et démontrons ici que Jules Verne, était parfaitement au courant, des "ouvertures polaires" , et il reste aux historiens de trouver comment, il a pu le savoir alors que nous, nous n'avons appris cela, que vers le milieu de 1972 :

     En effet, c'est dès le 24/08/05, que nous avons reçu, de notre ami Michel. H, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Michel. H
To: fred.idylle
Sent: Wednesday, August 24, 2005 11:03 AM.
Subject: Re: Une affaire concernant Jules Verne... de la plus haute importance.

     Cher Fred,

     Je trouve votre courrier à mon retour de vacances.

     A première vue, il peut s'agir d'une info tirée de la lecture des " Voyages et aventures du capitaine Hatteras" , ouvrage publié en 1866, et dont voici deux scannérisations modernes :


     Les lignes importantes du chapitre XXIV intitulé : "Cours de cosmographie polaire" , ont été surlignées en jaune fluo :

     Amicalement,

     Michel Hertzog.


Voici donc ces lignes très importantes placées au tome 2 : Le désert de glace :

" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe; "
     Comme on le voit donc , c'est clair et net, sans bavure, ni spéculation psychologique imaginaire...

     Merci donc encore une fois à l'ami Michel. H, pour sa prodigieuse participation aux recherches d'ARTivision.

    Finalement, on découvre ici, que dès au moins 1866, que Jules Verne connaissait cette affaire de "trous polaires", alors que le Webmaster d'ARTivision, lui, n'a découvert cela, qu'en 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole, a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre intitulé "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible" livre qui est actuellement pratiquement introuvable dans les libraires même spécialisées :


Il f      Alors Messieurs les bibliothécaires et autres passionnés de l'œuvre de Jules Verne, si vous arrivez à trouver dans les dossiers conservés précieusement de ce grand écrivain une note montrant qu'il connaissait l'affaire des trous polaires, avant la publication de son célèbre ouvrage de 1864 intitulé "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE", alors vous casserez carrément le moule, en prouvant que Jules Verne a loupé le coche, comme l'a fait Jules Gay en 1873. Voir notre article :

http://www.artivision.fr/LaMerLibreduPoleNord.html

     Les internautes, qui nous disent posséder ce livre dans leur bibliothèque, font désormais partie d'un club de privilégiés, dont les membres se comptent sur les doigts de la main.

     Il va sans dire que Jules Verne n'avait aucun moyen de savoir si ces ouvertures polaires existaient bien (sauf en montant une expédition dans ces zones polaires), mais nous, avec nos satellites, nous le pouvons parfaitement...bien que la NASA et ses complices, s'arrangent sournoisement, pour nous en soustraire les preuves.

    Mais, il nous reste les déclarations de certains explorateurs polaires qui font foi et qui demontent qu'enqu'en très haut lieu, on nous cache des choses inouies :

     Pour les puristes, qui apprécient, à juste titre, les documents originaux, disons aussi que le livre très rare du Dr Raymond Bernard présentée ci-dessus, est la traduction de l'écrivain qui s'appelait en réalité Walter Seigmeister , qui est décédé le 10 Septembre 1965 :

  

     Rappelons aussi que cette affaire "d'ouvertures polaires", est parfaitement décrite dans l'ouvrage remarquable du très grand ésotériste français Serge Hutin, paru chez Albin Michel en 1976"Des mondes souterrains au Roi du Monde".

  


     C'est d'ailleurs dans ce super ouvrage, que l'on peut aussi lire, pages 169 et 170, ceci (les couleurs sont de nous, bien sûr) :

"...Il existe enfin et, sans nul doute, il s'agit là des légendes les plus curieuses, les traditions (si volontiers reprises par les auteurs fantastiques et de science-fiction) qui font état de mystérieuses civilisations qui existeraient à l'intérieur même de notre planète. Il nous faudrait rechercher alors toutes les traditions théosophiques sur l'Agartha. Mais on ne les trouve pas que chez les théosophes et occultistes contemporains. On retrace ce thème si étrange dans les légendes des Esquimaux.".

     Mais justement au sujet de ces Esquimaux, et toujours pour le novice ingénu, qui veut en savoir plus, nous l'invitons aimablement à découvrir ce passage très important, de notre article déjà cité : LaMerLibreduPoleNord.html

     Début de citation :

      " Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord. "Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster: il s'agit bien sûr du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes." (Note 14 du Webmaster : Nous voilà arrivés au passage le plus surprenant de l'opuscule de Jules GAY, et c'est ce passage qui nous a déterminé à mettre en ligne ce texte. Sans peut-être s'en rendre compte Jules Gay, anticipe et amplifie ici la phrase, très audacieuse vue plus haut du livre de Hayes ainsi énoncée : "les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue ..."

      Bien sûr ni Hayes, ni Gay ne pouvaient imaginer à l'époque qu'il ne sagissait pas que quelques îles éparses de la région polaire, mais bien d'un continent immense et intérieur à notre Terre. Cette affaire de légende superbement évoquée par Gay , nous invite aussi à en présenter une autre tout aussi curieuse : Voici un passage admirable page 150, du livre de 1971 de Raymond Bernard " La Terre creuse" déjà présenté plus haut :


      Le Webmaster du site ARTivision, qui aime retrouver la source d'un document, a cherché pendant prés de 40 ans, dans quel ouvrage R. Bernard avait trouvé cette incroyable légende concernant les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord pour indiquer leur origine...

      C'est ainsi que nous avons même commandé en, Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence l' ouvrage sorti, aux Editionx Flies France en 2006 :

  

      N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant l'affaite des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'Editeur, et même à l'auteur Maurice Coyaud dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi, selon nous, bien sûr, une prétention inégalée, de se croire être des as du savoir concernant les esquimaux...

      Récemment cependant, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de 1907, suivant :

  

      Et en page 180, on découvre alors :


     Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux " Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plus part des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "

     De plus donc, si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste de ses ancêtres en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même une légende transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui-même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du DR SENN qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à deux niveaux : "sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste". Le premier niveau est que l'esquimau a oublié effectivement pourquoi il pointe le doigt en direction du nord et le deuxième niveau, c'est le Dr Senn lui même, croyant que sa culture intellectuelle est plus achevée que celle de l'esquimau, ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de cette énigmatique Mer libre du Pôle. Il a donc, comme vous le voyez, loupé le coche, alors qu'il avait en main les attributs d'une énorme découverte ".


     Fin de citation :


     Mais, dans le livre de 1907, déjà cité ci-dessus, du Dr SENN, il existe, concernant la vie des esquimaux, un autre fait qui surprend grandement : Quand on demande à certains de ces derniers, où ils supposent que leur entité va après la mort, ils ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni le soleil du jour, ni les étoiles du soir, ni l'immensité du cosmos qui les environne, mais ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à l'intérieur de la terre, d'une bien autre manière que nos savants actuels, qui y placent on le sait, un torride redoutable feu central, fait de métaux en fusion. Mais lisez plutôt ce qui suit, extrait des pages 206 et 207 restructurées par nos soin :


     Et, voici donc notre modeste traduction :

Religion


      "La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.

      "Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."

     Fin de la traduction.


     Tout cela s'apparente, selon nous, bien sûr, à des réminicences ancestrales d'un passé millénaire, ayant trait à une époque bénie, où ces esquimaux vivaient à l'intérieur paradisiaque de la planète.

      En respect, pour ce peuple si valeureux, voici quelques vignettes de leurs silhouettes :

  

  

     Mais, il existe une troisième énigme, concernant les esquimaux, tout aussi surprenante...En effet, elle se trouve, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :

  

     Mais ce livre est sorti en premier en 1960, chez Gallimard, sous l'aspect :

  

     Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage "Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de notre intérêt, sans cesse croissant, pour le Passé prestigieux de notre Planète.

     Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé, pages 253 et 254, dans cet ouvrage 1972, et pages re-strcturées par nos soins:

  
1. New york Herald tribune du 11 Juin 1958.

     Nous apprenons donc ici, que l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le 11 Juin 1958 dans le New york Herald Tribune, s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :

" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.

- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe?

- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan

- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ...
"

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse, déjà hardie pour l'époque, de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.

      C'est alors que, Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent le passage le plus inoui, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :

" Or que dit le folklore esquimau ? Il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps , par des oiseaux métalliques géants "

     On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ont-ils pu puiser une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude, , ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de l'Institut vénérable Smithson, paru le 11 Juin 1958 dans le New York Herald Tribune, que se trouve ce passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).

      La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce New York Herald Tribune du 11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.

     Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité. Mais, nous qui avons découvert les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur ce passage surprenant. ARTivision , prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la Terre intérieure, vers les zones polaires, et l'on va vite découvrir pourquoi, dans d'autres documents.

    Mais, ces savants du XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas", et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage :

"Le Matin des Magiciens" pages 257-258

     Ces Savants du XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?

    Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant deux vimanas en mouvement , tableau, hélas dont nous ignorons l'origine :


    Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :
http://www.artivision.fr/aeronef.html

     Cette affaire d'oiseaux métalliques apparaît aussi, page 92, de l'ouvrage de Peter Kolosimo : "Not of this World" ( Souvenir Press Ltd, Grande Bretagne 1970)

    Il faut savoir aussi que cet ouvrage de P. Kolosimo, est en fait, la version anglaise de l'ouvrage intitulé "Archéologie Spatiale", paru en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :

  

    Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Et voici donc maintenant, la traduction du passage anglais précédent, concernant les esquimaux , et qui est en page 101 :


     Mais dans ce même livre de P. Kolosimo et toujours à la page 101 on trouve ceci qui constitue une quatrième énigme s'attachant à l'histoire des esquimaux :


     Nous avons déjà largement évoqué, cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:

http://www.artivision.fr/Greenarticle1923.html

    Ne trouvez-vous pas que cela fait beaucoup d'énigmes dans l'histoire de ce valeureux peuple esquimau, vivant durement et de manière très austère, dans ces régions arctiques, où le froid se taille la part du lion ?

    Mais revenons, ce 21/03/14, à notre étrange histoire d'inaccessibilité, et pour avancer grandement dans cette affaire (et nous invitons aimablement ici, le novice à bien s'accrocher aux murs), voici quelques bribes d'un texte présenté déjà dans notre article :

http://www.artivision.fr/VisionGlobale.html

    Début de citation :

"...Cette La Terre est également appelée "Terra", "Gaia" ou (particulièrement dans le passé) "Shan" dans l’univers, et est une des plus belles planètes qui existent. Elle est beaucoup plus ancienne que la plupart des scientifiques terrestres ne le pensent, parce qu’elle a également connu une phase gazeuse de centaines de milliards d’années.

La Terre est juste comme la plupart des autres planètes et lunes, creuse à l’intérieur. La croûte terrestre est épaisse d’environ 1 100 kilomètres, et la gravité réside dans cette croûte.

(Note n° 20 du Webmaster : Nous voilà arrivés au top du buzz mentionné dans le titre de cet article. C'est d'ailleurs cette affirmation qui nous a invité à écrire cet exposé.

Voyez alors ce schéma d'abord en anglais puis en français :

  
  


où l'on voit que l'auteur imagine que l'épaiseur de la croute terrestre est après traduction de 1300 km au lieu de 1100 km (voir plus haut dans l'article Vision Globale) donc une erreur de 18,18 % . Pas mal du tout pour un chercheur de 1920. En effet le schéma de gauche est tiré de l'ouvrage ahurissant de l'américain Marshall B.Gardner un habitant d'AURORA dans l'Illinois dont le livre est intitulé en français "Voyage à l'intérieur de la Terre" , où il parle du fait que la Terre est creuse, et qu'en plus, elle possède un soleil central, qui y entretient vies et civilisations.

    Voici donc une photo de l'auteur ( qui ne fut pas le premier à émettre cette incroyable hypothèse de la Terre creuse), suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage:

  

    Montrons aussi la première page, telle qu'elle apparaît dans l'original de 1920 publié par les Editions Eugene Smith Company à Aurora en Illinois et plaçons par la même occasion, la dédicace qui la suit:

  


    Traduisons modestement cette dédicace: "Dédicacé au progrès continu de la Science et au service qu'elle pourrait rendre à l'humanité".

     Comme vous le voyez, Gardner, avait en 1920, une entière confiance dans le dévéloppement de la science, pour confirmer son hypothèse. Hélas, il ne soupçonnait pas les agissements des Forces de l'Ombre, qui occultent au plus Haut Niveau, les informations qui pourraient prouver qu'il avait raison..

     Certains novices pourraient penser que dans une Terre creuse, toute matiére libre se précipiterait vers le centre de la planète. Rien n'est plus faux, car la pesanteur est fonction de la masse, et non du vide; et donc pour bien montrer que la force de la la gravité réside à l'intérieur de la croute terrestre, représentons en rouge cette sphère gravitationnelle :


    Fin de la note n° 20, et suite du texte Vision globale ).


    Il y a certains tunnels qui mènent de l’extérieur de la Terre vers l’intérieur. Aux deux pôles existe également une ouverture circulaire de plusieurs centaines de kilomètres dans la croûte, qui est visible sur les photos satellites (qui ne sont jamais rendues publiques).

(Note n° 21 du Webmaster : il n'existe presque pas de schémas montrant ces tunnels. En voici tout de même un, qui en présente deux ou trois, avec une faible légende explicative :

  


    On aperçoit effectivement, clairement, des tunnels qui permettent (comme pour les ouvertures polaires très visibles ici), de pénétrer à l'intérieur de la Terre, mais, on s'imagine aisément, que les entrées de ces tunnels, doivent être parfaitement camouflées, aux yeux du commun des mortels...

    En ce qui concerne l'ouverture polaire nord, il semblerait qu'il y ait eu au moins une photo statellite qui a pu échapper à la censure, et que le site ARTivision a présentée dès 2004, et que nous avions pu extraitre alors du site: http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui hélas n'existe plus. Voici cette superbe image :



qui, comme on le voit, est la portion supérieure, un peu plus inclinée, de la encore plus extraordinaire photo suivante , que nous avons pu obtenir, bien plus récemment.


    Notre ami de longue date, Frédéric, dont le super site est tel que :


,nous explique que cette photo, est extraite de la vidéo plutôt ancienne :


    La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" . Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à cette ancienne vidéo, n'est-ce pas !!!

    L'inclinaison de la photo de 2004 ci-dessus, s'explique par le schéma suivant :



    On voit alors que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord.

      Quand à cette affaire de mer libre du Pôle Nord, si souvent évoquée par des explorateurs polaires américains ou autres. Voir notre article clef :


pour mieux la visualiser, jetez donc un petit coup d'oeil sur ceci, où justement cette mer libre immense, apparaît comme un fond bleu sombre :



      Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules qui fleurisent en ce moment, sur la thèse de la Terre creuse que le site ARTivision, fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès Septembre 2000.

     Voyez-vous même :

   

     C'est en effet, d'abord dans son article sorti dès le 21/12/2000 :

qu' ARTivision a présenté en 2004, cet incroyable trou polaire vu juste au-dessus.

     Donc photo très surprenante se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23) : Cette image venait à l'époque, (nous,... nous n'avons rien à cacher, alors que ces opuscules eux, évitent soigneusement de parler d'ARTivision), on le sait, d'un site allemand http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui actuellement est remplacé par autre chose, tout différent. Voici donc, à nouveau, étant donnée son importance, cette photo étonnante qui prétend montrer le trou polaire nord de notre planète :





     Après quelques recherches, nous avons appris, il y a quelque temps déjà, que cette photo aurait été captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, (Certains n'ont pas hésité pour noyer le poisson gênant, sans aucune preuve, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo ). Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particulier le 21/04/04 à l'article:


où, le site ARTivision , a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue de cette image, faite par un infographiste qualifié :

      Voici donc ici, une partie, de la conclusion de cet infographiste, et conclusion que les protagonistes des opuscules précédents , ont dû prendre en compte (sans, nous l'avons dit, citer une seule fois le vocable ARTivision), pour oser présenter à nu, cette photo dans leur fascicule :

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

      Nous n'avons pour l'instant hélas aucun moyen de certifier tout cela. Donc voilà une affaire à suivre de très près.

      Cependant nous avons fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d'environ 12713 km et que sur la photo testée l'arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire nous donne 1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma déjà présenté plus haut :

  

      Ce schéma de gauche, disons le maintenant, est tiré de l'ouvrage incontournable et devenu très rare, de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru chez ALbin Michel en 1971, ouvrage pratiquement introuvable, même en librairie spécialisée, et dont nous avons placé à droite, la couverture.

    Mais, si dans le livre de R Bernard, ci dessus nous avions découvert plus haut que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :

ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace à demander au le collectif Soria formé de 4520 entités cosmiques, quel était, en fait, le diamètre des ""ouvertures polaires" que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes.

     Et voici la réponse personnelle, qui nous fut faite, et qui nous causa à l'époque une très grande émotion :

     "Ami de la Terre",

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expansion. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

     Pour ceux qui seraient encore sceptiques, voici en clair une autre déclaration du Collectif Soria, tirée de l' ouvrage de Mars 2002, aux Editions Ariane du Canada :

  

"...De façon à demeurer à l'intérieur de la Terre sans visiteurs provenant de la surface, il fut décidé que toutes les portes d'accès aux mondes souterrains seraient défendues par des gardiens. Ceux-ci font partie de l'humanité, de groupes ethniques. Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes.
"

     A vous de juger, une fois de plus, tout cela !

      Donc, tous les calculs vus plus haut, pour déterminer le diamètre des "ouvertures polaires" sont parfaitement dérisoires, car chose inouïe, ces trous polaires, on vient de le découvrir, s'ouvrent et se ferment, en fonction de la "respiration" de la planète ... affaire justement évoquée plus haut, par l'auteur de la vision globale en question, qui dit alors, que la Terre est vivante, et pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" :

      En effet, c'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979,


, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".

    Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence de Siragusa, qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.

    Et Mr Siragusa dira alors : "Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public".

     Tout cela serait considéré, comme de la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant cet incroyable cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait le Livre Jaune n°6 publié par les Editions Félix :(leseditionsfelix.com) (début 2000) et ouvrage qui a mis mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )



  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.... 

"Fin de citation de textes de l'article Vision Globale".

     Que celui qui a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, cherche donc à en savoir bien plus , dans les documents tangibles, qui ne demandent qu'à être sortis de leurs cocons...

III Conclusion.


     Pour encore mieux cadrer cette affaire d'inaccessibilité de la vallée des merveilles découverte en Juin 1947 au Pôle Sud, par l'Amiral Byrd , reprenons la fin de notre passage suivant, déjà vu plus haut :

     " ...Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite."

     Ce n'était pas du tout de la spéculation gratuite, comme le dit l'auteur de ce passage, qui n'avait sans doute pas eu, à l'époque en mains la photo incroyable déjà vue ci-dessus :


     En effet, il faut savoir que le passage en question est tiré d'un incontournable article de Mr Pascal Cazottes extrait du n° 21 de la revue Nexus; de Juillet-Août 2002, dont voici la couverture pour les puristes :



et article dont nous donnons seulement le début :



     Cependant en parlant de "sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice", l'auteur a certainement eu vent de la phrase inouïe parue dès Mars 2002 du collectif Soria et phrase que nous reprenons ici, étant donnée son importance :

     "...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes ".

      Monsieur Pascal Cazottes, pouvait aussi avoir eu en main l'ouvrage de Siragusa de 1979 (déjà présenté plus haut), où ce dernier parle en vrai précurseur de la dilatation du Pôle Nord.

     Ce n'est pas en effet, une information cosmique, que l'on trouve à tous les carrefours à portée de mains, et même l'ouvrage de Raymond Bernard, "La Terre creuse", publié en 1971, n'en parle pas. Mais lui, Mr Pascal Cazottes, en avait eu la remarquable initiation . En effet, dans le même article du Nexus n°21, de 2002,, il a écrit aussi cela :

     " D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro» qui vous expliqueront que les ouvertures aux pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses ouvertures ".

     Tout est clair, désormais Mr Pascal Cazottes était parfaitement au courant déjà, au moins dès Juin 2002, de cette affaire de dilatation des pôles et de territoire polaire inaccessible. A vous de juger...

     Mais ce 23/03/2014, le novice ingénu pourrait nous dire, à juste titre : " Vous affirmez que la contrée rigide, autour du Pôle sud, s'ouvre et se ferme périodiquement, et donc, cela devrait entraîner des tremblements de terre, fréquents dans la région. Comment se fait-il que l'on n'en parle pas dans les médias? "

     D'abord, il faut savoir que les informations sensibles, sont filtrées en haut lieu, avant d'être diffusées dans les médias qui ont pignon sur rue.

     Un exemple flagrant, nous vient alors à l'esprit par l'intermédiaire de cette incroyable missive en date du 11 Juin 2008 de notre ami Rodolphe D.... :

----- Original Message -----
From : Rodolphe D....
To : fred.idylle@orange.fr
Sent : Wednesday, June 11, 2008 10:04 AM

          Bonjour Cher Fred,

     Je t'ai envoyé un mail le Lun. 09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas du le recevoir, alors je réitère mon envoi.

     Voici un article qui risque de t'intéresser au plus haut point : Tiré du site Futura Science ce jour. Voici donc de quoi il retourne :


           oir les photos à :

http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/geologie-violents-seismes-antarctique-deux-fois-jour-15782/


Des violents séismes en Antarctique... deux fois par jour

Énorme surprise des glaciologues :

     Avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
     A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
     Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.
     Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.
     Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment régulièrs et violents.
     Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière.
     Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.
     Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ?
     Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.

Saccades géantes…

     Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.
     Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ?
     Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
     Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace.
     Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
     C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.
     Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan.
     La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.


     Fin de citation

     Que voilà une nouvelle qui me ravit. En effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !

     Pourquoi ?

     Parce que, ces tremblements géants, tous les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20 minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique , et qui n’ont jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur !

     En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les 12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui varie avec le temps).

     Et là, on nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se déroule aux deux poles !

     Tout cela confirme donc très bien, cette histoire de Terre creuse qui fait tant rire les sceptiques.

     Peut-être commençeront-ils à changer de couleur à la lecture ce cet article ! ........

nbsp;    Hors les tremblements aux pôles, ne sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de la terre soit 4.5 miliards d’années !

     Ces tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles, toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées de par le monde, cela n’est il pas étrange !

     On le voit bien une nouvelle fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.

     Mais le fait est, que cela est tout à fait possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois !

     Donc les railleurs de tout bord, doivent revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.

     Très amicalement

     Rodolphe.
"

     Fin de citation.

     Merci donc mille fois à l'ami Rodolphe, pour sa si aimable participation aux recherches pointues d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient pas eu un écho retentissant, dans les médias qui ont pignon sur rue. Il est alors désormais aisé de savoir pourquoi !

    Mais pour encore mieux éclairer tout cela, il importe ici de présenter aussi cette importante missive, que nous avons reçue le 01/03/2011 de l'aimable internaute Patrice K............. : (les couleurs sont d'ARTivision bien sûr):

----- Original Message -----
From: Patrice K.............
To: Fred IDYLLE
Sent: Tuesday, March 01, 2011 8:00 AM
Subject: Byrd

           Bonjour mon cher Fred.

     Je suis heureux de venir vous retrouver. Je viens de lire votre nouvel article, ce jour 1.03.2011, sur l'Amiral Byrd. L'article du New York Times que vous citez date donc du 18 Février 1947...Intéressant! :

     Remarquons alors qu'à cette date, L'Amiral Byrd en était à la fin de l'opération "High Jump". Gardons cela en mémoire...

     L'exploration en vue dont parle le New York Times n'a donc pas pu avoir lieu puisque Byrd a eu maille à partir avec des "engins" capables de passer d'un pôle à l'autre à des vitesses fantastiques (dixit sa déclaration au journal El Mercurio). Vous noterez que le New York Times observe un silence assourdissant sur cette opération High Jump qui était en cours...et qui tournait à la débacle. Comme vous le dites, au plus haut niveau on nous cache des choses inouïes. Et plus de soixante ans après, cet épisode n'est toujours pas déclassifié, pourquoi? Et pourquoi la courbure de la Terre aux pôles est... secret militaire? Décidemment Byrd a vraiment découvert "quelque-chose" qui inquiète, et c'est peu dire.

     Bonne continuation mon cher Fred, prenez soin de vous.

          Amicalement...Patrice.


     Merci donc à Patrice pour sa contribution aux recherches hors normes, d'ARTivision.

     Pour guider le jeune internaute qui entre pour la première fois dans ce site, par cet article, disons que l'extraordinaire affaire du El Mercurio évoquée par Patrice, est mise en exergue dans nos articles :

http://www.artivision.fr/ByrdMercurio.html
http://www.artivision.fr/ByrdDeseret.html

     Mais, pendant que nous y sommes, rendons fervent hommage à notre ami Jean Anne, qui, hélas, a quitté ce monde le 17/01/03, en extrayant, de son admirable article euxnousail.html dans ARTivision, ceci :

Début de citation :

" Dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND» embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit.  L'image suivante pourrait symboliser tout cela:

    Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des "équipages constitués de nombreux techniciens spécialisés" , fuyant l’occupation alliée en Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946, sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée "High Jump" se composant, en plus du navire amiral "Mount Olympus" de deux brise-glace le "Burton Island" et le "North Wind", les transports de troupes "Pine Island" et "Curritruck", les destroyers "Brownson" et "Henderson", le porte-avions "Philippine Sea" et quatre autres navires, « Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et le « Merrick », 4000 marines et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais...

    Le 5 Mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le "Mercurio",  une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: « C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre »  Il laissa aussi comprendre:  « Qu’il y avait « là bas» une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure ». Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947.. "

    Fin de citation du texte de Jean Anne.

     Pour compléter ce tableau, nous pouvons jeter un coup d'œil sur le site remarquable :

http://www.violations.org.uk/operation_highjump.html

qui en plus de détails très pointus sur l'histoire des "Secrets du Troisième Reich", présente aussi la liste de plus de 50 sous-marins allemands U-boats, qui ont disparu d'une manière inexplicable à cette époque. Voir donc l'appendix I, du volet "The antartic Enigma" du Live IV et aussi dans l'appendix II, la liste des 7 sous-marins, dont on est sûr qu'ils ont été coulés et où.

    D'ailleurs cet échec de l'expédition de Byrd de 1947, n'a pas manqué d'interpeller certains journalistes de l'époque, et par exemple, même la revue à vulgarisation scientifique "Sciences et Avenir" de Mai 1947, dans son n° 1, se pose aussi des questions à ce sujet. En voici d'abord une partie de la couverture de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm, ce qui dépasse de loin les capacités de notre scanner. :



     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:





     Vous avez donc bien noté que devant l'incroyable armada, mise en route par l'expédition de Byrd, une revue scientifique de 1947, se pose effectivement la question de savoir si cette expédition "n'avait pas d'autres visées non avouées".

    À vous de juger ces données supplémentaires, sur pièces ...

    En fin de compte ce 25/03/2014, quand on reprend tous les documents présentés, exposant ci-dessus cette affaire d'inaccessibilité dont par exemple, le document du New York Times du 18 Février 1947, ou celui du National Géographic Magazine d'Octobre 1947, ou celui du Science&Vie n° 586 de Juin 1966:

   

     Il n'est donc pas interdit de croire, que c'est d'abord Byrd, et/ou, un de ses confrères, qui parlant dans les médias de zone d'inaccessiblité, ont pu alors inspirer certains géographes ou assimilés comme des chercheurs orthodoxes, de vite tenter de placer sur une carte avec une explication très banale, cette affaire de Pôle d'inaccessibilité. Aux spécialistes en cartographie de répondre ...

     Mais ce 26/03/2014, revenons sur cette affaire de Jets assisted skiplanes, mentionnés dans notre "Portsmouth Times" du 31 Janvier 1947 et aussi le "Washington Reporter" , de la même date.

      Le 20/03/14, nous avons revu de l'aimable internaute Bernard, la missive suivante, dont voici seulement quelques éléments:

----- Original Message -----
From: Bernard
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, March 20, 2014 6:13 PM
Subject: Problème technique et informations sur le JATO

          Bonjour Fred !

     D'abord un petit problème technique.

................................................................

.............................................................

     Maintenant la partie intéressante, pour la page :


    Il est fait référence à des "Ski-Jet planes".

    En cherchant dans Google avec Navy DC3 R-4D, on trouve une référence à des "JATO" qui sont décrits en français ici :


    Et en anglais ici de manière plus complète:


    On trouve une petite histoire des DC3 de la Navy ici :


    Avec en particulier dans cette page un lien vers une photo des JATO ici:


........................................................................................

.......................................................................................

    Bonne lecture, tout de bon !

    A bientôt,

Bernard ............


    Fin de citation .

    Merci donc à Bernard pour ses précieuses informations, qui cela va de soi, doivent tourner autour de la date du 31 Janvier 1947, moment où les journaux présentés ci-dessus, en parlent :

    Voyons déjà ce que l'on peut trouver d'intéressant sur le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/JATO

    "Le Décollage assisté par réaction (de l'anglais, Jet-assisted take-off, JATO) est un système de moteurs-fusées qui permet de fournir une puissance supplémentaire lors du décollage d'un avion. L'autre désignation, plus précise, mais moins fréquemment utilisée, est décollage assisté par fusée (Rocket-assisted take-off, RATO)
    Les fusées JATO se présentent sous la forme de grosses bouteilles, généralement fixées sous les ailes ou sur les côtés du fuselage.

   



    Cas particulier, le Boeing B-47 Stratojet disposait d'un espace à l'arrière du fuselage pour monter 18 (puis 33) fusées dans un conteneur largable..

...Aux États-Unis, les premières fusées JATO ont été conçues par une équipe de chercheurs américains dirigée par Theodore von Kármán. Les essais commencèrent en août 1941 et, en 1942, la compagnie Aerojet Engineering Corp. fut créée pour fabriquer ces fusées en série.
"

    Fin de citation.

    Autrement dit Byrd pouvait parfaitement utiliser ce dispositif pour permettre, d'une part à l'avion de décoler plus facilement du terrain neigeux qui fraîne les déplacements, et d'autre part, pour gagner de la vitesse et du temps pour la mission délicate qu'il allait entreprendre au Pôle Sud .

    Voici maintenant, comment on installait, d'après le National Geographic Magazine, ces bouteilles rockets, sous un avion en 1957 :



    Et on en déduit qu'en 1947, l'amiral Byrd en installait certainement un peu moins, mais seule une photo de l'avion de Byrd, au départ pour l'Antarctique, pourra nous éclaircir ce point. A vous de juger une fois de plus, tout cela ! :

     Article mis en page le 09/03/2014, le 10/03/2014, le 11/03/2014, le 12/03/2014, le 13/03/2014, le 14/03/2014, le 15/03/2014, , le 16/03/2014, le 17/03/2014, le 18/03/2014, le 19/03/2014, le 21/03/2014, le 22/03/2014, le 23/03/2014, le 24/03/2014, le 25/03/2014, le 26/03/2014, le 27/03/2014, le 20/07/2014, le 21/07/2014, le 23/05/2018.


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