Greely Aldolphus Washington, explorateur américain né à Newburyport, Massachusetts 1844 et mort à Washinton en 1935. En 1879 un congrès international de géographie décida de synchroniser les efforts de découverte dans les mers polaires. Greely prit le commandement du Profeus et jeta l'ancre à l'entrée de la baie de Lady Franklin, où il se construisit un abri rudimentaire nommé " Fort Conger "
(Août 1881). Ses compagnons Barnard et Lockwood s'enfoncèrent vers le nord jusqu'à 83° 24' de latitude N., tandis que Greely explorait les terres de Grant et de Grinnell, reconnaissait la flore fossile déjà observée par Markham : couche de lignite, sapins et noisetiers.
Le désastre s'accomplit avec le naufrage du
Proteus. Ce fut le retour avec des moyens de fortune, et les affreuses souffrances du froid polaire et de la faim. En octobre, on n'était parvenu qu'au cap Sabine, où l'on se construisit une cabane de pierre. Les hommes moururent un à un. II n'en restait que sept dont Greely, lorsque le phoquier
Thetis les trouva sous leur tente.
" Greely se tenait sur ses mains et sur ses genoux; il avait de longs cheveux tressés en nattes; il ressemblait à un squelette, et toutes ses articulations étaient bulbeuses et enflées... "
" Venant après le désastre de Franklin, cette catastrophe couvrit les expéditions polaires d'un voile sinistre que les réussites ultérieures n'ont pas encore totalement achevé de dissiper " (Paul-Emile Victor).
Ce qui nous préoccupe dans cet ouvrage, ce sont évidemment les phrases qui pourraient
(notez bien le conditionnel), se rattacher à une quelconque
affaire des ouvertures polaires. Les spécialistes pourront s'ils le désirent en débattre en conséquense et ce paragraphe pourrait devenir, alors, révélateur en la circonstance. Notre rôle n'est ici que d'inscrire ce qui nous semble bizarre dans cette aventure.
Précisons enfin, que le chirugien de service de cette expédition, fut le français
Octave Pavy, dont on a vu l'extraordinaire conviction en l'existence d'une
"mer libre au Pôle Nord", dans notre article
merlibresuite.html.
Commençons voulez vous par ce feu d'artifice de mirages en forme de rayons lumineux et d'halo solaire et lunaires aperçu par l'équipe de Greely en Sept. 1881.
Page 61 à 62. " Avant de faire ses adieux aux habitants du fort, le soleil donna l'impression de se multiplier, grâce à ces nuages glacés qui produisent de si surprenantes apparitions, même dans nos régions tempérées, et qui créent sous le cercle arctique d'étourdissantes
illuminations. Les parhélies furent des phénomènes presque quotidiens tout au long du mois de septembre. Le 26, on vit
apparaître la partie supérieure de deux cercles irisés dont le
soleil occupait le centre et qui avaient vingt-trois ou quarante-six degrés. Sur la même horizontale que l'astre, et aux quatre points où cette ligne coupait les deux cercles, brillaient quatre
soleils réfléchis, presque aussi lumineux que le vrai. Tous les quatre avaient un disque presque exactement circulaire. Au-dessus du soleil, dans le même plan vertical, on en voyait encore deux autres, soit six en tout. Un peu plus tard on aperçut un halo
lunaire tellement semblable au précédent, à part l'éclat et les
teintes, que le même dessin put servir aux deux. Les nuages dont
l'intercalation produisait ces magnifiques phénomènes étaient si
rapprochés de la surface de la terre que 1'on vit distinctement se
profiler, derrière une portion d'un de ces cercles, une colline qui
n'était pas à un mille du fort. Un des sergents prétend même
avoir aperçu à la fin de la saison un faux soleil brillant sur la
muraille de l'observatoire météorologique, dont il n'était cependant séparé que par une cinquantaine de pas.
Ces belles observations montrent que les explorateurs du Pôle
vivent au milieu de ces nuages de glace que les grimpeurs vont
chercher au sommet du mont Blanc, et que les aéronautes poursuivent jusque dans les hautes régions de l'air.
Le lieutenant remarqua que le halo du 26 Septembre fut
immédiatement suivi d'une aurore boréale, comme s'il y avait entre ces phénomènes quelque mystérieux lien. "
Même pour des mirages, quel festival de formes et de couleurs n'est-ce pas ?
En tout cas c'est plutôt éblouissant. .
Et puis il y a cette affaire d'oiseau page 63:
" Le lieutenant Kislingbury avait profité des derniers rayons du
jour arctique pour observer un des plus curieux phénomènes zoologiques de ces régions : les ptarmigans (Lagopus rupestris), qui
ont dans l'été un plumage brun et noir, avaient pris pour ainsi
dire la livrée de la neige, et étaient devenus entièrement blancs."
Les
ptarmigans inconnus tout blancs, venaient-ils du même endroit que
les autres bruns et noirs très bien répertoriés.
Là est toute la question ?
Où l'on apprend qu'il fait plutôt froid dans le coin autour du 81 ° de lattitude nord pages 68 à 69 :
" Les minima polaires sont importants à connaître, parce qu'ils peuvent donner une mesure approximative de la terrible température qui régne dans le millieu céleste; En effet le rayonnement vers l'espace qui produit cet incroyable refroidissement. Le minimum observé sous l'abri pendant la saison de
1881-1882 fut de 52 °C au-dessous de zéro; le 3 février. Il est
donc probable qu'on ne s'écarterait pas beaucoup de la vérité en
fixant dans les environs de 60 °C celui que l'on pourrait observer,
en se plaçant dans les conditions les plus favorables à un
énergique refroidissement. Une expédition a montré la sagesse
de la pratique qu'ont adoptée les Groenlandais, qui couvrent de
neige, comme on le sait, la cabane dans laquelle ils se réfugient,
ou qui souvent se bornent à employer la neige elle-même pour
édifier les tanières dans lesquelles ils attendent la belle saison.
Dans une maison de neige où l'on n'avait jamais fait de feu, et à
laquelle on s'était borné à mettre une porte, la température ne
descendait pas en dessous de -27 °C pendant qu'à l'extérieur il
gelait à - 45 °C. La simple interposition de la couche d'eau soli-
difiée qui protégeait cette cavité avait donc empêché le thermo-
mètre de perdre dix-huit degrés.
Au milieu de la période des grands froids de février, qui coïncide, comme dans les régions tempérées, avec la présence d'un anticyclone, c'est-à-dire avec un maximum de pression barométrique, un sergent tua un lièvre, qui, très gras, avait trouvé par conséquent à brouter, comme les boeufs musqués, des touffes de
saxifrages cachées sous la neige. Le poil de cet animal, si peu
sensible au rayonnement, était fort long et aussi fin que des cheveux de femme. Il était d'un blanc de neige, excepté un petit
nombre de brins noirs qui pendaient au bout de chaque oreille et
donnaient une idée de son pelage d'été. Il faut que ces animaux
aient le sang d'une chaleur extraordinaire pour résister au froid
terrible qui domine autour d'eux. Loin de dormir comme les
marmottes ou les animaux hibernants, ils sont d'une étonnante
vivacité et font des bonds d'une grande étendue, sans que leurs
pattes de devant touchent le sol. Les traces laissées par un lièvre
que poursuivit inutilement un des sergents montraient qu'à chaque saut il avançait de quelque neuf pieds.
Vers la fin de Février, le sergent Brainard découvrit un arbre
pétrifié, placé à une hauteur de neuf cents pieds au-dessus du niveau de la mer, et qui peut être considéré comme un témoin irrécusable des richesses végétales de ce pays que des peuples
heureux habitaient peut-être à l'époque où des neiges éternelles
couvraient encore impitoyablement nos climats tempérés. Ce
monument de la gloire passée de la Terre de Grinnell sortait de
la neige sur une longueur d'un ou deux pieds. A la base, la section avait dix-huit pouces de diamètre, tandis qu'au sommet elle
n'en avait plus que cinq. Au niveau de la neige elle en avait
encore onze.
.....Le froid qui tue est le plus énergique et le plus savant de tous-
les embaumeurs. On sait que dans les banquises boréales on a
trouvé des cadavres de mastodontes pralinés de glace depuis des
milliers d'années et dont les chiens des Samoyèdes ont fait leur
régal. Le lieutenant employa donc ce procédé économique pour
la construction du garde-manger, lequel fut établi en plein air.
"
Gagner 18 degrés, rien qu'en plaçant la neige sur le toit d'une cabanne ou d'un igloo. Quelle leçon de science et de modestie devraient en tirer
Greely et ses compagnons devant le savoir empirique des autochtones Groenlandais.
Quant à
ce lapin bien dodu, qui circule dans cette région, où il fait plus froid que dans un congélateur et qui va se nourrir de touffes de saxifrages cachées en plus sous la neige
( Greely, le suppose et il reconnait même que cet animal doit avoir le sang d'une chaleur extraordinaire), que peut-on en dire de plus ? Quelle sacrée performance ne trouvez-vous pas ? Ne se serait-il pas plutot égaré de l'ouverture polaire où règne un climat plus doux à sa convenance?
Et puis, il y a aussi
cet arbre pétrifié, qui nous dira-t-on, comme
Nansen (voir plus haut) vient aussi de
"la Sibérie!!!"
Enfin comme
l'affaire de Jarkov vue à
Byrd.html, Greely nous parle sans sourciller des cadavres de mastodontes pralinés de glace si appétissants que
20 000 ans après, les chiens des Samoyèdes, s'en sont régalés et lêchés les babines.
Il existe encore bien d'autres bizzareries de ce récit. Mais voyons voulez-vous ces passages significatifs ...pages
80, 82, 83, 86, 95, 96, et 101
" Le 6 avril, le docteur se remettait en marche avec ses deux compagnons; bientôt il était surpris par un vent si violent que, dans
certaines parties du trajet, grâce à une sorte de vernis léger donné
par de jeunes neiges, le traîneau faisait voile et poussait les chiens
chargés de le traîner, sur une glace unie comme un miroir.
Le 10, la bise du sud-ouest soufflait avec tant d'impétuosité
qu'il fallut rester au campement pendant toute la journée. Le
soir, la température était devenue relativement douce, si bien
que Jens et Rice laissèrent la cabane de neige au docteur et
demandèrent la faveur de coucher à la belle étoile. (Note du webmaster : Quelle bouffée de chaleur inconnue et très opportune.)
A peine le docteur avait-il fait un demi-mille dans la direction du nord-ouest que Jens s'écria : « Mer! Mer! »
Ce n'était pas une fausse alerte. En effet, on voyait distincte-
ment une rue d'eau qui semblait partir du cap Joseph-Henry, et
qui marchait dans la direction du cap Hécla, en traversant la
baie de James Ross. Sa largeur était d'environ un mille seule ce n'était pas une ment à l'origine, mais elle allait en s'élargissant au-delà du cap, où elle prenait une direction boréale. (Note du Webmaster: Donc plein nord)
Les dernières tempêtes avaient détaché la banquise, de sorte
qu'elle semblait devancer les desseins du docteur et marchait
d'elle-même dans la direction qu'il cherchait à atteindre. Déjà
les roches voisines du cap Columbia devenaient plus distinctes.
En même temps on voyait naître vers le nord et vers l'est des
cumulus d'une forme particulière, qui, suivant l'opinion des
Esquimaux, indiquent la présence de vastes étendues d'eau
libre.
Pavy pouvait espérer que, sur les banquises voisines de
l'Océan, il rencontrerait quelques-uns de ces phoques qu'il avait
appris à chasser et à dépouiller avec une dextérité remarquable;
mais les instructions du lieutenant n'autorisaient pas le docteur
à se livrer aux hasards d'une navigation aussi dangereuse.
L'erreur du capitaine Nares était donc établie d'une façon
tout à fait indiscutable, authentique. De même que la mer libre
de Kane, la mer esclave de Sir George était une conception théorique, appuyée sur des observations incomplètes. La vérité se situait entre ces opinions extrêmes et si, pendant plusieurs
années consécutives, un steamer hivernait sur la côte boréale de
la Terre de Grinnell, un hardi navigateur trouverait certainement moyen de le guider vers le Pôle.
Au cours de cet étrange voyage, le docteur Pavy atteignit la
latitude de 82° 51' et eut, de plus, la chance de relever un fait du
plus haut intérêt. Jens poursuivit un phoque de l'espèce Hispida,
ce qui prouve que zoologiquement cette mer ne diffère pas sensiblement de celles qui s'étendent au sud du détroit de Robeson. Car le Phoca hispida ne s'y hasarderait pas, non seulement s'il n'avait des trous pour y venir boire de temps à autre l'air des
cieux, mais encore s'il ne trouvait pas, dans ces eaux si profondément enfouies sous les glaces et les neiges, des poissons à dévorer.
...Les hardis voyageurs avaient eu la bonne fortune de découvrir des traces d'animaux et même d'en poursuivre quelques spécimens vivants, ce qui pouvait leur permettre d'affirmer,
sous la foi du serment, que ces hautes latitudes ne sont pas
désertes, comme on le supposait jusqu'alors.
....En présence de cet océan inconnu dont il s'apprêtait à sonder les mystères, Lockwood reunit ses compagnons et tira de son sein une lettre du lieutenant : " Sergents, sous officiers et soldats disait Greely, j'ai décidé de vous donner une marque de l'importance que le gouvernement des Etats-unis attache à ce que son drapeau dépasse la latitude à l'aquelle l'expedition anglaise s'est élevée....." (Note du webmaster: C'est beau et majestueux la compétition entre nations... pour conquérir des étendues désertiques et des pics neigeux congelés. Hélas de nombreux hommes y laisseront leur peau )
...Dans ces explorations rapides, la position géographique se
calcule à l'aide de relèvements exécutés avec la boussole. C'est
en opérant de la sorte que Lockwood put se convaincre de la
parfaite exactitude des mesures prises par le lieutenant
Beaumont. Mais à peine était-il entré dans une région nouvelle
qu'il s'aperçut que son aiguille aimantée semblait n'avoir plus
de pouvoir directeur, elle paraissait affolée, comme si la puissance essentielle, fondamentale de la terre cessait brusquement. Son attraction mystérieuse quasi divine avait soudainement
éprouvé une sorte d'éclipse.(Note du Webmaster: Bizarre:Olaf Jansen et son père ne racontent pas autre chose de différent : Voir notre article SmokyGod.html)
Le brave officier était encore sous l'impression de ce désappointement lorsqu'il aperçut sur la glace une série de crevasses.Semblant lui promettre une lucarne, donnant sur l'océan glacé, une espèce de jour de souffrance par lequel il pourrait arriver à mesurer la profondeur des eaux, c'est-à-dire résoudre, pour la
première fois, un des plus intéressants problèmes de la géographie polaire. Lockwood eut beau attacher bout à bout toutes les cordes, toutes les lanières et même le fouet dont Christiansen se servait pour maîtriser les chiens, le plomb de sonde n'atteignit pas le fond; c'était un résultat fort imprévu à une si petite distance du rivage. En effet le tout formait une longueur de plus de neuf cents pieds.
Ayant ainsi épuisé inutilement toutes ses ficelles, Lockwood
se mit à retirer le plomb, dans l'intention de compter le nombre
de brasses, en prenant les mesures comme le font les marins en
pareille circonstance. Mais à peine avait-il commencé à ramener
la sonde, qui ne pesait pourtant que quelque six livres, que la
corde, qui avait près d'un pouce de diamètre, se rompit et disparut dans l'abîme. Il fut désormais impossible de tenter de nouveaux sondages.....(Note du Webmater : Nous avons dit plus haut qu'il fallait rendre grâce à Nansen, qui en 1895 est sans doute le premier explorateur, qui a mesuré la profondeur du bassin polaire nord entre 3300 à 3900 mètres )
...La grandeur et le nombre de ces fissures semblaient indiquer de puissants courants partant de la côte du Groenland, marchant dans la direction du sud, et qui ne pouvaient s'expliquer
que par des marées très considérables,( Note du Webmater :Il y a aussi l'explication de la poussée considérable des fleuves qui sortent par l'ouverture polaire et qui sont à l'origine des marées boréales et des icebergs) telles qu'on peut
s'attendre à en rencontrer dans de vastes bassins océaniques. On doit donc, jusqu'à un certain point, considérer cette admirable observation comme un argument sérieux en faveur de l'hypothèse qui réduit à de très modestes proportions les dimensions des terres polaires existant au nord du Groenland ou de celle qui suppose que le Pôle lui-même est au milieu d'un océan.
...Décidés à retourner en arrière, les voyageurs tirèrent de son
fourreau le drapeau américain que Mrs Greely avait brodé de
Ses mains. Une mesure de la hauteur des étoiles et du soleil
donna 83° 23' comme latitude extrême : ils avaient dépassé
Vlarkharn sur la glace de 3' et Aldrich au cap Columbia de 10', ce qui équivaut à seize milles.
Pour ceux qui veulent
en savoir plus sur
cet ouvrage très documentaire, et en saisir d'autres particularités, il est donc évident qu'il convient de se le procurer, car, si l'on sait lire entre les lignes, il en vaut vraiment la peine.
V Note finale très spécifique du Webmaster.
Il nous semble
alors utile ici, de préciser
une fois de plus, que
super Hasard, avait vraiment
fait des siennes, en
nous permettant très heureusement, de découvrir dans un article intitulé "
La conquête du Pôle Nord" de Mr
Philippe Nessann, du n°
115 d'Avril 1999 de la revue
Science&Vie Junior, nous a offert le grand bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous
l'admirable schéma très didactique de Mr
Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au
Pôle Nord.
Mais il va de soi, que
s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, les angles
Alpha, Bêta, et Gamma ne
correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma et donc que la position déterminée par l'explorateur
en sera automatiquement faussée sur le terrain. Il en résulte que
c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire que nous évoque notre
bien pratique schéma précédent de
la très artistique pomme, vue plus haut
(hélas un peu trop avachie), et que voici,
de nouveau :
Nous avons démontré dans
merlibresuite.html qu'en fonction de la courbure du trou polaire,
la mesure précise des angles,
Alpha, Bêta, et Gamma sera automatiquement faussée sur le terrain et donc ce
83° 23', est ici aussi sujet à caution que le sont bien d'autres mesures.)
Fred Idylle
Article mis en page le 24/09/04 , et revu le 17/10/04, puis le 19/10/04 , puis le 23/10/04, puis le 7/11/04, puis le 09/11/04, puis le 14/12/04, puis le 15/12/04, puis le 17/12/04, puis le 21/12/04, puis le 24/01/05, puis le 30/04/05, puis le 02/06/05, puis le 26/06/05, puis le 6/07/05, puis le 12/01/06, et puis le 05/03/06 , et puis le 13/01/08 , et puis le 06/05/08 , et puis le 09/05/08 , et puis le 13/11/2011, et puis le 22/05/2012, et puis le 01/09/2012, et puis le 30/03/2025, et puis le 05/04/2025.
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