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Quand la mystification devient une idéologie.


I Introduction.

     Cet article n'est que le complément logique et explicatif de notre article précédent :

http://www.artivision.fr/lettreouverteinternaute.html

     En effet la conclusion de l'article en question ne peut être vraiment comprise, que si l'on a auparavant intégré certains faits incontournables qui prouvent sans l'ombre d'un doute que l'on nous manipule outre-atlantique depuis des lustres.

II Genèse de l'affaire.

     Pour commencer procédons chronologiquement en présentant trois épisodes particulièrement saillants:

      Reprenons en premier lieu, surtout pour l'internaute qui ne l'aurait pas encore lue, sur notre site, l'affaire suivante :

a) La duperie du "désastre" de Pearl Harbor.

      Chacun sait, à peu près que Pearl Harbor est une base navale des États-Unis d'Amérique, située sur l'île d'Hawaii, près d'Honolulu dans le Pacifique et base, qui contenait près de 25 000 hommes, 230 avions et de nombreux bâtiments militaires.

     Le 7 décembre 1941 à 7h 49 exactement l'amiral japonais Nagumo lança une attaque aérienne ciblée sur Pearl Harbor qui fit des dégâts colossaux, et cela fut à l'origine de l'entrée des États-Unis, dans Seconde Guerre mondiale, sous les ordres du Président Roosevelt.

     Mais ce qu' il faut aussi savoir, c'est que les historiens ont démontré que les Services Secrets américains avaient bel et bien décodé le système secret de transmission des japonais et que par conséquent ils savaient parfaitement que ces japonais allaient les attaquer à Pearl Harbor ce 07 Dec. en question.

     Les sites qui évoquent cette affaire de décodage sont très peu nombreux. Lisons cependant ce que nous dit le site suivant, au sujet de la "déroute" de Pearl Harbor :

http://zm-fn.blogspot.com/2007/12/pearl-harbor-7121941-les-survivants-de.html

     " Cet événement provoqua l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale aux côtés des Alliés. Aux États-Unis, il est commémoré chaque année par la mise en berne du drapeau. Les historiens ont mis en évidence l’audace du plan de l’amiral Isoroku Yamamoto, le manque de préparation et les négligences américaines. On dira diplomatiquement que le rôle du président Roosevelt reste un sujet de polémique: les Services Secrets américains étaient parfaitement au courant de l'attaque, et seules d'anciennes unités avaient été laissées dans la base navale, et n'avaient jamais été alertées de l'attaque en cours de préparation. Les unités modernes - dont les 3 porte-avions de la flotte du Pacifique, étaient "étonnamment" absentes du port. En mer sans la protection de leur "groupe naval", et donc des vieux cuirassés, le contraire de toute logique navale.. Enfin, si il n'y avait que ça. Et le choc fut tel que tout le pays accepta de quitter la "neutralité" qui leur permettait de vendre des canons aux 2 camps (Liberty Ships aux Anglais, et aux Allemands de quoi fabriquer des torpilles pour couler les Liberty Ships...) et entra presque comme un seul homme dans la guerre qui déchirait la planète."

     Fin de citation

     Mais on trouve également sur le site :

http://www.marianne2.fr/Pearl-Harbor,-le-film-ou-l-histoire-se-met-au-garde-a-vous-_a29808.html

     " En décidant de consacrer un film à l'offensive surprise qu'ont menée les Japonais contre la base américaine de Pearl Harbor le 7 décembre 1941, Michael Bay s'attaquait à une page particulièrement controversée de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. S'il ne fait aucun doute, en effet, que l'empire du Soleil-Levant prépara dans le plus grand secret ce raid de cent quarante-cinq minutes qui permit d'anéantir pas moins de 15 navires et 188 avions, la Maison-Blanche ne fut peut-être pas aussi surprise que le veut la légende par cette réédition du coup de Port-Arthur en 1905 lors de la guerre russo-japonaise.

     Bon nombre d'historiens, ayant eu accès aux archives du Pentagone et à celles de Franklin Delano Roosevelt, ont en effet émis l'hypothèse que le président démocrate était, depuis des semaines, averti de l'imminence de l'opération japonaise, mais qu'il avait préféré enfouir dans un tiroir les rapports de ses services secrets qui avaient percé les codes nippons. Favorable à l'entrée en guerre de son pays contre les forces de l'Axe (Allemagne, Italie et Japon), il devait tenir compte de l'existence, aux Etats-Unis, d'un fort courant isolationniste dirigé par le sénateur Arthur Vandeberg et d'un lobby pro-allemand très puissant, dont les principaux représentants étaient l'ancien ambassadeur Joseph Kennedy et Charles Lindbergh.

     Pour neutraliser ses opposants, Roosevelt aurait décidé de garder secrètes les informations relatives à l'imminence de l'attaque japonaise, quitte à prendre quelques précautions, en faisant notamment quitter Pearl Harbor aux porte-avions, le fleuron de la flotte du Pacifique, dont la perte aurait pu avoir de très graves conséquences, et quitte à sacrifier quelques centaines de vies humaines. De fait, les anciens dirigeants du camp isolationniste, Arthur Vandeberg ou Hiram Johnson, sénateur démocrate de Californie, furent les premiers à se rallier à la Maison-Blanche et à faire une véritable ovation au président lors de son célèbre discours devant le Congrès le 8 décembre 1941.
"


     Fin de citation

     Donc une fois de plus, le commun des mortels, a été berné souvereinement, et par conséquent les dirigeants américains de l'époque, auraient alors laissé massacrer par les avions japonais, 2403 (chiffre du Quid 2002 page 693b) de leurs concitoyens, pour simplement justifier leur entrée dans le conflit de la deuxième Guerre Mondiale, et mettre ainsi ouvertement en branle leur industrie d'armement pour enrichir davantage les "marchands de canons", qui soutenaient évidemment en douce cette opération.

     Et donc, si chers aimables internautes, vous avez un des rapports de ces historiens sous la main, dans un ouvrage, pensez à nous, merci d'avance.

      Mais il es aussi peut-être utille de savoir qu'en fouillant dans nos archives, un certain jour, nous sommes tombés sur un vieil almanach Hachette de 1950 et nous l'avons alors feuilleté pour voir s'il ne s'y trouvait pas par hasard, une information utile et ce fut une bonne intuition. Ainsi nous vous en présentons la page 4 (au cas où certains internautes seraient intéressés par les rubriques qui s'y trouvent) et surtout une portion de la page 107, où nous sommes tombés sur une information classée dans "L'Année Politique Étrangère de 1948" :

  

     Donc en 1948, a été institué un tribunal international, qui a condamné à la pendaison le général japonais Tojo comme bouc émissaire, de l'attaque de Pearl Harbor du 7 Décembre 1941, avec cela va de soi, l'assentiment des USA. Nous avons mentionné plus haut le nombre de morts dû à ce fait de guerre. Cependant inversement, il est à remarquer, qu'à notre connaissance, qu'aucun tribunal international, n'a condamné un seul responsable américain, pour avoir lancé deux bombes atomiques en 1945 (donc 3 ans avant ce procès) le 6 Août sur Hiroshima et surtout en plus, sans justification, le 9 Août suivant, sur Nagasaki. 110 000 personnes furent tuées instantanément et des milliers d'autres par la suite, après toutes sortes d'horribles souffrances.

     Il existe même sur le Web, un site monté par le pilote Paul Tibbets, du B29 qui largua la première bombe atomique sur Hiroshima et site où il vend, sans remord aucun , des souvenirs de cette tragédie, et entre autres choses, une maquette de la bombe en question ...BBrrrrr.

     Que dire de plus dans cette lamentable conjoncture... sinon en rendant une fois de plus hommage à "La Fontaine" dans sa fable "Les animaux malades de la Peste" :

" Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir."

     Cependant le 8 Juin 2009, nous avons reçu la missive suivante, d'un ami internaute:

----- Original Message -----
From: Pierre P.........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Monday, June 08, 2009 8:37 AM
Subject: précisions

            Bonjour Fred

     Petites précisions sur les " décodages " des codes de la Marine Japonaise. Dans l'ouvrage "Pearl Harbor" de Walter Lord, Edition " J'ai lu" , numero A40/ 41, de 1963, on découvre que les Américains ont eu " la chance " de récupérer un cadavre d'officier de la Marine Japonaise, noyé, au large des iles Aleoutiennes , en 1940. Ils trouvérent le premier livre des codes de la Marine dans un sac sur lui. De là ils purent traduire le systeme d'encodage. Cela prit 2 ans ! Quand aux codes de l'Armée, ils n'y arriverent jamais ! A la fin de la guerre , l'Armée détruisit les grilles de codage avant l'arrivée des Américains sur le territoire Nippon .

     Ces codes resterent un mystère! Voila une petite précision sur la guerre "obscure" .

     Merci pour toutes vos recherches , cher Fred , et à bientôt .

                 Amicalement.

                 Pierre.


     Mais, nous avons encore , un document très significatif au sujet de Pearl Harbor.

     Voici une missive d'un internaute reçue le 21 Janvier 2010.

----- Original Message -----
From : Pierre T.......
To: fred.idylle@orange.fr
Sent:Thursday, January 21, 2010 9:14 PM
Subject:Concerne article "Quand la mystification devient ideologie"

          Cher Monsieur Idylle

     Bravo pour cet article , comme toujours très bien documenté .

     Une précision : Le plus célèbre pilote de chasse Français de la 2eme guerre mondiale  , " meilleur chasseur de France" j'ai nommé  bien sur  PIERRE CLOSTERMANN , soutient , dans les années 5O , la thèse que les USA savaient parfaitement à quoi s'en tenir au sujet des velléités d'attaque des Japonais , quelques heures  avant.......... Et il n'était pas le seul à le penser !

Vu dans son ouvrage "FEUX DU CIEL "

    Sincères salutations de P......., bonne continuation.

          Pierre T.....


      Pierre Henri Clostermann (né le 28 février 1921 à Curitiba au Brésil, décédé le 22 mars 2006 à Montesquieu-des-Albères, Pyrénées-Orientales), fut un aviateur français qui s'est distingué au cours de la Seconde Guerre mondiale. Surnommé l'« As des As » de la chasse aérienne française, il est fait Compagnon de la Libération avant de devenir un homme politique, un écrivain et un industriel français. Pour en savoir beaucoup plus :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Clostermann

      Nous avons sous la main l'ouvrage en question :


    En page 5, nous avons, d'abord, très apprécié ceci :


    Dans son Avant-propos page 7, nous dit alors :

    " En 1946 j'ai commencé à réaliser un, projet qui me tenait à cœur depuis 1940 : l'Histoire de la Guerre Aérienne.
    J'ai remué des centaines et des milliers de documents provenant des archives de la Luftiwaffe, de la Royal Air Force, des United 5tates Navy et Army Air Forces. J'ai lu pratiquement toutes les traductions de documents japonais réunis par le Pentagone à Washington, tous les ouvrages publiés en Amérique, en France, en Angleterre, en Suisse, en Italie et en Espagne...
    Déjà sont accumulés les fruits de quatre années de patientes recherches, et dans quelques mois
- si les événements le permettent - cet ouvrage sera prêt.
    Et c'est alors qu'arrivé presque au terme de ce travail, j'ai eu soudain conscience de l'orientation très grave imposée à l'historien de cette guerre par la forme même de la vaste documentation mise à sa disposition.
    Après avoir tout dépouillé, classé, fiché, rédigé, je me suis aperçu que de toute cette somme d'exploits individuels, de courage, de sacrifices souvent anonymes d'hommes de toutes races et nationalités, il ne reste finalement qu'une masse de papiers, de cartes, de photos, de chiffres et de statistiques.


    Mais voyons à la page 26, juste avant le chapitre consacré à Pearl Harbor, ceci:


    Nous avons mis en rouge les propos qui nous interpellent ici.

    Enfin en page 37, on découvre aussi :


    Monsieur Pierre Clostermann avait certainement pu découvrir, dans cette affaire de Pearl Harbor, bien plus qu'il n'en dit ici dejà, en 1951, à l'époque de la sortie de son livre "Feux du ciel".

      Mais le 24/03/2010, en recherchant une facture égarée dans nos dossiers, nous sommes tombés sur une revue espagnole de 1990, qui nous parle avec brio, de cette affaire de Pearl Harbor.

     Pour les puristes qui aiment remonter aux sources, voici donc déjà, la couverture de cette revue :


Et voici l'article en question en pages 40 et 41 :



     Mais voici notre modeste traduction, qui peut toujours être améliorée par un spécialiste :

PEARL HARBOR: LA TRAHISON QUI A CHANGÉ LE COURS DE L'HISTOIRE


Ce que le film ne raconte pas. 

 par Santiago Camacho 

     Les meilleurs effets spéciaux dans l'histoire du cinéma et d'un budget vertigineux sont certaines des caractéristiques de Pearl Harbor, la plus grosse Super production de l'histoire du film. Cependant, malgré ce , si spectacle maqnífique spectacle,  l'histoire ne fut pas exactement comme elle est présentée par les auteurs de ce film. En fait, la vérité est diamétralement opposée

     
La plupart des téléspectateurs de ce film seraient plutôt  surpris s' ils savaient que le gouvernement américain, et plus particulièrement son président, sont responsables d'une conspiracion qui se traduira par des milliers de victimes   inutiles chez les soldats américains.  Sur le point de fêter le 60 anniversaire de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, il pourrait être opportun de faire le bilan de ce que certains appellent "la mère de toutes les conspirations" .

     Dans les grandes lignes, on peut
 résumer ce qui s'est passé de la manière suivante :  Le Président Roosevelt voulait de toutes ses forces l'entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. Cette demande a été soutenue par l'élite anglosaxone  du pays et d'autres groupes de  pression. En Juin 1941, avec l'entrée de l'URSS dans la guerre, la Maison Blanche a commencé à craindre une expansion du communisme en Europe. En fait,  ce sentiment se fait jour dans une lettre à Churchill après la Conférence de l'Atlantique a tenu en 1941 : " L'intensité avec laquelle Roosevelt veut la guerre est impressionnante" .Cependant, il y avait un problème que  Président ne pouvait ignorer : La résistance à l'entrée en guerre  qui se répendait  parmi le peuple américain, de sorte qu'il lui aurait fallu  avoir  recours à un subterfuge pour entraîner le pays dans la course. On devait  à tout prix faire en sorte que l'Empire du Japon attaque les Etats-Unis, bien que ce qui troublait  réellement  Roosevelt soit Hitler. Le dictateur allemand, encouragé par la faiblesse apparente nordaméricaine et lié par les termes de l'accord de Berlin, aurait déclaré la guerre, dès que l'attaque japonaise aurait eu lieu. Roosevelt, comme nous, non seulement connaissait les intentions des Japonais pour attaquer Pearl Harbor, mais il a fait tout son possible pour que l'attaque ait eu lieu.

     
Pendant l'été de 1940, Roosevelt a ordonné la délocalisation de la flotte du Pacifique à l' est de la base aéronavale d' Hawaï. Son commandant, l'amiral Richardson, a vivement protesté et fait valoir que la flotte US stationnée à Pearl Harbor serait impuissante lors d' une éventuelle attaque. Après quoi il fut immédiatement destitué.  

     
En haut à gauche, Franklin D. Roosevelt la signature de la rupture des relations avec le Japon après l'attaque sur Pearl Harbor. Ci-dessus, l'une des couleurs peu Imaginer l'épisode tragique. 

     Le 7
 Octobre 1940, les Services Secrets de la Marine fournirent à  Roosevelt un mémorandum détaillant le processus d'obtention d'une déclaration de guerre par le Japon, y compris un embargo pétrolier.  Chacun des huit points contenus dans le présent document furent observés durant les mois qui suivirent. 

     Le 23
 Juin  1941 - le  lendemain de la déclaration de guerre de l'Allemagne contre l'URSS - Le conseiller présidentiel Harold Ickes lance le processus menant à l'embargo pétrolier contre le Japon. Le 18 Octobre, Ickes  notera dans son journal : - "Le Japon est notre porte d'entrée dans la guerre européenne."

      
Pendant ce temps, les Services Secrets US  ont réussi  déchiffrer les codes utilisés par les Japonais pour voiler leurs messages. Le Président reçoit une notification en temps opportun des rapports les plus importants interceptés. L'un d'eux , le 24 Septembre 1941, demandait au consul japonais à Honolulu  l'emplacement exact de tous les navires stationnés à Pearl Harbor. Malgré l'importance de ce message, le commandant de la base n'est pas informé.

     
Il est symptomatique de constater comment 60 ans après ces événements, le gouvernement américain refuse de déclassifier le contenu  des documents japonais interceptés à la date précédant  l'attaque. On peut supposer que son contenu pourrait indiquer comment les intentions japonaises étaient connues à l'avance par les Services Secrets US .

     
Le 25 Novembre 1941, Secrétaire à la Guerre Stimson écrit dans son journal: "Le Président pense que l'attaque aura lieu dans quelques jours. Malgré le risque encouru, qui permettrait aux Japonais de frapper les premiers, si vraiment on a envie d'obtenir le soutien du peuple américain, l'attaque  doit être de telle sorte que personne ne puisse douter de l'identité des agresseurs. "

     
Le même jour, comme en témoignent à la fois la Grande-Bretagne ainsi que les archives des services secrets du  Troisième Reich, Churchill avertit  le Président sur les États-Unis que la plus probable attaque japonaise aurait lieu pendant "la première semaine de Décembre". Le lendemain, Washington a ordonné aux porte-avions  Lexington et  Entreprise, qui étaient les unités les plus précieuses  de la Flotte du Pacifique, de quitter  immédiatement Pearl Harbor . Également ont été évacués de la zone  50 avions de combat, réduisant de moitié l'état déjà insuffisant de la défense aérienne. Ce même jour, le  Secrétaire d'Etat Cordell Hull , donne un ultimatum aux Japonais de quitter les territoires investis  en Chine et en Indochine. L' ambassadeur US à Tokyo commence à brûler des documents.

     
Le 29 Novembre, Hull commet une indiscrétion avec le journaliste de l'United Press Joe Leib et lui dit confidentiellement que Pearl Harbor serait attaqué le 7  Décembre . Sur le New York Times du lendemain de l'intervention japonaise, Leib,  écrit : " Nous nous attendons à l'attaque" .

     
Le 1er Décembre, le Bureau des Services Secrets de la Marine US  localise la flotte japonaise par l'intermédiaire de plusieurs rapports, provenant de diverses sources, à l' Est  d'Hawaï, se dirigeant en direction de l'archipel. Malgré l'importance de cette découverte, aucune action ne fut prise. Quatre jours plus tard, Roosevelt a écrit au Premier ministre australien: "Le Japon est un facteur à prendre particulièrement en compte. En quatre jours, nous saurons à quoi nous en tenir.

     
Le comportement de Roosevelt, le jour de l'attaque est aussi particulièrement important. Harry Hopkins, qui se trouvait avec le président quand il a reçu les nouvelles de l'attaque, a écrit qu'il avait exprimé "grand soulagement". Hopkins lui-même nous dit que la prochaine réunion du cabinet de guerre eu lieu dans un " une ambiance détendue, car il a été considéré que l'ennemi principal était Hitler et que le Japon nous avait donné l'occasion de lui faire face".
   Dans son discours devant le cabinet, Roosevelt a déclaré: "Nous avons des raisons de croire que l'Allemagne a promis que si le Japon nous déclare la guerre , elle en  fera de même. En d'autres termes, la déclaration de guerre du Japon entraîne automatiquement a. .." . A ce moment le président a été interrompue. Dans la matinée suivante, Roosevelt a donné des instructions strictes à son porte-paroles  Rosenman, qui montrent tout à fait  clairement  qu' Hitler a été la cible principale, car le public américain craignait  que la priorité à la guerre en vienne à se passer dans le Pacifique. 

     Celui qui a  
à juste titre le mieux décrit ce qui s'est passé en ces jours-là est l'historien Jonathan Toland : "L'entassement comique des erreurs, est totalement incroyable . Il n'a de sens, que s'il s'agissait d'une mise en scène, qui entraîne que Roosevelt était au courant des détails de l'attaque ".

Fin de la traduction .

     Rappelons à toutes fins utiles, que le commandant de l'US Fleet, l'amiral Richardson qui protesta lors du retrait des grosses unités de Pearl Harbor, en estimant que la flotte ne disposait plus assez de soutien logistique, fut remplacé vite fait par l'amiral Kimmel le 1er Février, date à laquelle l'US Fleet devient la Pacific Fleet.

     Voir pour plus de détails sur le site :

http://www.voltairenet.org/article12909.html

       C'est à vous alors, qu'il appartient désormais, de juger tout ceci, documents à l'appui.

    Il est à noter, que ces temps-ci, en Août 2010, où l'on voit des catastrophes se multiplier de par le Monde, (Canicules et incendies terribles en Russie, inondations massives au Pakistan, sécheresse et crise alimentaire au Niger etc..) certains responsables officiels , se sentent bien minuscules, devant ce déchaînement de la nature, et ils éprouvent alors un fort besoin de solidarité, comme en témoigne ce qui suit :

Les USA présents pour la 1ère fois aux cérémonies d'Hiroshima.


REUTERS 06.08.2010

    HIROSHIMA, Japon (Reuters) - Le Japon a commémoré vendredi le 65e anniversaire du bombardement d'Hiroshima par l'aviation américaine durant la Seconde Guerre mondiale en présence, pour la première fois, d'un représentant américain.
    Comme chaque année, la cloche a retenti à 8h15, heure à laquelle le bombardier Enola Gay a largué une bombe atomique sur la ville le 6 Août 1945, provoquant la mort de près de la moitié des habitants de cette ville qui en comptait alors 300 000, dont plusieurs milliers sur le coup.
    Des dizaines de milliers de personnes - rescapés, enfants ou responsables japonais et étrangers - ont observé une minute de silence sous un soleil brûlant.
    "L'urgence de l'abolition des armements nucléaires progresse clairement dans la conscience mondiale", a déclaré le maire d'Hiroshima, Tadatoshi Akiba.
    Les Etats-Unis ont envoyé pour la première fois un émissaire à cette cérémonie, nouveau signe de la volonté affichée par Barack Obama d'aller vers un monde sans armes nucléaires.
    "Pour le bien des générations futures, nous devons continuer à travailler ensemble à la réalisation d'un monde sans armes nucléaires", a déclaré dans un communiqué l'ambassadeur des Etats-Unis, John Roos.
    Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a lui aussi assisté à la cérémonie, ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait fait, et invité la communauté internationale à maintenir la dynamique du désarmement stratégique entretenue notamment par la signature au printemps de l'accord Start II entre la Russie et les Etats-Unis en vue de réduire leur arsenal nucléaire.
    Le Premier ministre japonais Naoto Kan a quant à lui assuré que son pays, seule victime d'une bombe atomique de l'histoire, jouerait un rôle moteur dans la suppression de l'arme nucléaire.
    Yoko Kubota, Grégory Blachier pour le service français.

b) La duperie de "l'assassinat" du Président Kennedy.

     Rappelez-vous, aussi que lors de l'assassinat du Président Kennedy le 22 novembre 1963, la commission Warren, voulant à tout prix nier, la manifestation évidente d'un complot, a tout fait, pour conclure qu'il n'y avait eu que trois coups de feu, et donc qu'il n'y avait eu qu'un seul tireur et un seul assassin : Lee Harvey Oswald. Pourtout des témoins ont dit avoir entendu 4 coups de feu, et il y aurait même eu des enregistrements que l'on s'est vite évertué à faire disparaître.

     Dans son numéro de Décembre 1964 , la revue Science&Vie, nous avait alors bien expliqué, que même avec 3 coups de feu,, d'après des rapports de spécialistes en balistique, que "Lee Oswald n'a pas pu tuer John F. Kennedy" :

     Voici quelques éléments de ce Science&Vie d'importance :

     Et en pages 112 et 113, on découvre ceci :


     Pourtant l'affaire a bel et bien été étouffée et classée sans suite, par les juristes américains bien en place, à l'époque, et on le sait, beaucoup d'autres affaires encore plus sordides, sont à l'ordre du jour, ces temps-ci.


     Mais cet article a justement pour objet, pour les puristes qui veulent plus de détails, d'en dire davantage en transcrivant ici les déclarations d'un membre des Services Secrets Britanniques, que l'on peut alors trouver dans le n° 32 de la revue Planète de Janvier-Février 1967:


      Et voila de quoi il s'agit :( Attention ce texte est comme un vrai polar. Il est un assez long et pour éviter la saturation , prière d'y aller, petit à petit par intervalles. Sautez tout si vous m'aimez pas les polars ).


     Et voila ce qu'on trouve en page 48 et suivantes :

La plus honteuse farce de l'histoire des États-Unis


Le bouc-émissaire de Dallas.


     Le 22 novembre 1963, à 12 h 29, le président John Fitzgerald Kennedy était assassiné en pleine rue à Dallas.

     Le 24 novembre 1963, à 11 h 23, son assassin présumé, Lee Harvey Oswald, était assassiné d'un seul coup de feu tiré à bout portant par un certain Jack Ruby.

     Lee Harvey Oswald mourut comme il avait vécu, ahuri, ne comprenant pas, bien que croyant comprendre. Car Oswald n'avait tué personne, ni le président des États-Unis, ni l'agent de police de Dallas, J.D. Tippitt, Oswald mourut sans avoir eu le temps de comprendre l'extraordinaire rôle de tout premier plan qu'on lui avait fait jouer dans l'histoire des États-Unis.

     Dans les heures qui suivirent la mort de leur président, des dizaines de millions de télé-spectateurs horrifiés et fascinés virent ainsi un homme en tuer un autre, car la mort d'Oswald avait été filmée. Ils furent surpris, car cela ressemblait peu aux tueries de cinéma.

     Mais pour ceux qui savent ce que c'est que de donner ou de recevoir ainsi la mort foudroyante, une certitude éclatait aussitôt: il ne s'agissait pas d'un meurtre, mais bel et bien d'une exécution!

     Alors, un peu partout dans le monde, les spécialistes se firent de nouveau projeter ce film, puis les autres bandes où figurait Lee Harvey Oswald. Il y en avait trois ou quatre sans importance: passages dans des couloirs encombrés de policiers et de journalistes dans une indescriptible bousculade. Mais il y en avait aussi deux très importantes : celle de sa mort et celle de la prétendue conférence de presse à laquelle la police avait coupé court.

Oswald ne fut jamais officiellement accusé de l'assassinat de Kennedy.


     A cette conférence de presse interrompue, sans doute parce qu'il parlait déjà trop, Oswald avait eu le temps de dire :

- Eh bien! j'ai été interrogé par le juge Johnston. Au cours de ce très court interro- gatoire, je me suis contenté de protester que l'on ne m'avait pas encore permis d'avoir un défenseur. Je ne sais pas du tout de quoi il retourne. Personne ne m'a rien dit, sinon que je suis accusé d'avoir tué un policeman. Je ne sais rien d'autre et je demande un défenseur.

- Avez-vous tué le président? demanda un des journalistes présents.

- Non. Et je ne suis pas accusé de cela, rétorqua Oswald. En fait, personne ne m'en a encore parlé officiellement. Des journalistes dans le hall me posèrent cette même question.

     A ce moment, la police emmena le suspect non encore interrogé et non encore accusé. Pour tout Américain ou pour tout Anglais, les accents d'Oswald ne trompaient pas: ou bien il était le plus grand acteur des temps modernes, ou bien il était innocent et complètement ahuri.

     Pour ceux qui savaient la vérité sur l'assassinat de Kennedy, il n'y avait plus de doute : avec un avocat, Oswald prouverait son innocence très rapidement; même. s'il y avait procès, aucune des preuves accumulées contre lui ne résisterait et il serait acquitté. II fallait donc qu'il disparaisse, et vite! En fait il n'aurait jamais dû être pris vivant et ces quelques heures de survie qui lui permirent de faire naître un doute, sinon de prouver son innocence sans même l'avoir clamée, furent si lourdes de menaces, si gênantes, qu'il fallut trouver quelque chose pour rassurer l'opinion, alors que tout aurait été classé s'il avait été abattu lors de son arrestation.

     A la demande du président Johnson, le Chief Justice - juge suprême de la plus haute cour des États-Unis - accepta, après un premier refus, de présider une commission d'enquête qui se mit aussitôt au travail. Alors que l'homme de la rue, satisfait, était persuadé que cette commission irait au fond des choses, ne laisserait rien au hasard pour faire toute la lumière, la commission s'était peu à peu fixé un but assez différent: celui de « réduire les choses à leurs justes proportions» et de « calmer les esprits » en établissant définitivement que Lee Harvey Oswald était bien l'assassin du président Kennedy, qu'il n'avait pas eu de complices, que c'était bien le geste d'un illuminé, donc qu'il n'y avait pas eu de complot!

     Deux ans après, la Commission Warren accoucha d'un rapport et d'une montagne de documents entassés en vingt-six volumes. La presse eut un ou deux jours pour les rédiger et les commenter; elle dut se contenter des grandes lignes. Le rapport fut toutefois mis en vente aux États-Unis, avec les vingt-six volumes. La vente atteignit à peine huit cents exemplaires! Et sur les huit cents acquéreurs, il est probable que bien peu ont eu et la volonté et la patience, non seulement de tout lire, mais d'étudier, de comparer, de décortiquer. Certains, pourtant, l'ont fait. Qu'ont-ils découvert? Un rapport qui se veut exact et précis dans les moindres détails, n'affirmant jamais que la vérité mais, hélas! pas toutes les vérités, procédé déjà ancien et connu du temps de Machiavel.

     Mais à force d'étudier, de comparer, de revoir documents, interrogatoires - incomplets- , ceux qui ont véritablement étudié à fond le rapport Warren y trouvent une tout autre vérité, ou plutôt deux vérités. La première est qu'il y eut bel et bien complot et que le président Kennedy est mort sous les balles non pas d'un, mais de plusieurs tueurs. La deuxième, qui découle inévitablement de la première, est qu'Oswald est innocent de tous les crimes dont on l'accuse, tant de l'assassinat du président Kennedy que du meurtre de l'agent Tippitt.

     Est-il nécessaire de dire que l'on savait tout cela dans certains milieux aux États-Unis et, bien entendu, dans les principaux services de renseignements du monde entier?

A Londres, on sait que Kennedy a été tué par trois tireurs d'élite.


     A Londres, bien avant que la Commission Warren commence ses travaux, le Foreign Office reçut un rapport très court de deux feuillets et demi de ce qu'il est convenu d'appeler en France l'Intelligence Service. C'était l'essentiel d'un rapport d'une vingtaine de pages. Scotland Yard qui s'intéresse toujours aux tueurs et à leurs méthodes, reçut un rapport beaucoup plus détaillé sur les points purement techniques de l'opération. Une copie fut classée dans les dossiers métalliques toujours secrets et que l'on ne peut consulter qu'à deux; une autre, avec cer- taines photos d'identité, fut remise à l'Aliens Department - service des étrangers - qui conserva les photos et rendit le rapport.

     Ce rapport en deux parties contenait toutes les précisions sur l'attentat qui avait coûté la vie au président Kennedy avec, en détail, la façon dont l'opération avait été montée. Alors que près de deux années plus tard, la Commission Warren devait conclure à la seule culpabilité de Lee Harvey Oswald, ce rapport précisait que le président avait été abattu par le tir conjugué de trois tireurs d'élite.

     La toute première balle, tirée de face, atteignit le président en pleine gorge. Presque aussitôt une deuxième, tirée de derrière, probablement de la fenêtre où Oswald était sensé avoir tiré, le frappa à l'épaule droite, à la base du cou et à quelques centimètres de la colonne vertébrale. Voulant doubler son coup, le même tireur atteignit alors le gouverneur du Texas, John Connally, qui se trouvait assis devant le président Kennedy. Cette balle traversa le corps du gouverneur Connally, lui brisa le poignet et, déviée, alla s'enfoncer dans la cuisse gauche.

     Une quatrième balle, tirée d'un petit remblai, effleura le crâne du président et alla ricocher et se désintégrer au bord d'un trottoir. Donné presque à la même fraction de seconde, mais cette fois de la gauche, par le tireur qui avait logé la première balle, le coup de grâce atteignit Kennedy à la tempe gauche et res- sortit en fracassant la tempe droite, enlevant un morceau de boîte crânienne de près de dix centimètres de diamètre.

     Ces balles, tirées par trois armes différentes, une carabine et deux fusils Mauser de haute précision, avaient été spécialement refaites en un alliage de plomb et d'argent, sans capot de cuivre, pour qu'elles finissent par se désintégrer et qu'en aucun cas, elles ne puissent être récupérées par la suite. C'est pourquoi les chirurgiens ne trouvèrent que des traces de métal, mais aucune balle.

     Une balle, cependant, fut trouvée sur un des brancards roulants qui avaient servi à conduire le président et le gouverneur en salle d'opération. Elle avait été placée là par un homme qui l'avait en poche depuis la veille et qui travaillait à l'hôpital.

     Très vite après l'attentat, les policiers trouvaient l'a arme du crime », une carabine Mannlicher-Carcano N° C 2 766, de 6,5 mm, équipée d'une lunette télescopique de fabrication japonaise. Près de la fenêtre du sixième étage du School Book Depositary Building - une bibliothèque scolaire -, les policiers ramassèrent trois douilles. Peu après, Lee Harvey Oswald, qui travaillait dans ce dépôt, était activement recherché. A peu près au même moment, un homme habillé comme Oswald à un détail près et lui res- semblant étrangement abattait, dans un autre quartier de la ville, un policier motorisé puis, tout en s'éloignant sans se presser, vidait le barillet de son revolver et laissait bien en évidence au bord du trottoir les quatre douilles correspondant aux quatre coups qu'il avait tirés pour tuer le policier.

     Un peu plus tard, la police convergeait sur un cinéma de Jefferson Boulevard, le Texas Theatre, où Oswald avait été signalé. Tout avait bien marché jusque-là et chaque coup de feu, chaque détail prévu par les conspirateurs avait été exécuté avec précision et à la seconde près. Malheureusement, ce fut un policier courageux et innocent qui pénétra le premier dans le cinéma. Au lieu d'abattre Oswald à vue, comme l'auraient sans doute fait la majorité de ses collègues, il se contenta de se ruer sur lui, de le désarmer et de l'arrêter vivant! Les douilles des balles qui avaient tué le policier Tippitt correspondaient bien à l'arme qu'il portait sur lui. Cependant les difficultés allaient commencer.

     Ici, remontons dans le temps, au tout début de l'affaire, un peu plus d'une année avant l'assassinat du président Kennedy.

La mort du président fut décidée en 1962, dans un hôtel du Missouri.


     Au printemps de 1962, un petit groupe d'hommes venus de différents coins des États-Unis et se composant de représentants de commerce, d'un secrétaire de politicien sans envergure, et de deux policiers privés, se retrouva dans un hôtel de Saint Louis dans le Missouri. Ils n'étaient à vrai dire que les porte-parole d'autres personnes, dont une au moins très connue. La mort du président John Fitzgerald Kennedy avait été décidée et ils avaient pour mission, après avoir tous changé d'emploi et même, pour certains, de ville, d'organiser l'exécution. Elle serait parfaitement comprise de certains milieux, mais il fallait aussi qu'elle soit réalisée de telle façon que, pour l'homme de la rue, elle paraisse l'oeuvre d'étrangers ou d'un illuminé. Le petit groupe réuni 'à Saint Louis devait donc monter l'opération.

     Deux « experts», deux anciens d'un service de renseignements, opinèrent pour l'illuminé plutôt que pour l'étranger. Une fois trouvé, il serait manoeuvré, mis en situation de bouc émissaire et d'avance toutes les pistes, toutes les preuves convergeraient vers lui. Une fois le coup réussi ou manqué, les organisateurs s'arrangeraient pour disparaître tandis que la police se ruerait sur la victime bien au point. L'un des experts, qui était californien, proposa comme bouc émissaire un certain restaurateur chinois de Los Angeles, connu pour ses opinions curieuses et aussi pour son adresse au tir, adresse qui lui avait permis de survivre un soir à la visite d'un racketter connu qui, lui, en était mort. Mais l'autre expert et les autres personnes présentes à la réunion de Saint Louis votèrent contre. Loin d'être fou ou illuminé, le restaurateur n'était pas homme à se laisser facilement manoeuvrer et, de plus, les milieux chinois de San Francisco et de Los Angeles qui ont leurs propres services de renseignements tout au long des côtes californiennes, auraient vite eu vent de quelque chose: or il ne le fallait à aucun prix. Et c'est ainsi que le deuxième~ candidat fut Lee Harvey Oswald, une tête de bois, un insa- tisfait plus ou moins raté, qui avait eu des démêlés avec la justice dans sa jeunesse et, plus tard, avec le F.B.I. et la C.I.A. car il était parti en U.R.S.S. avec l'intention de renier sa nationalité américaine. Une fois derrière le rideau de fer, il s'était aperçu que le communisme"n'était pas tout à fait ce qu'il avait rêvé et, après avoir épousé une jolie fille du pays, il avait tout simplement demandé à rentrer au bercail. I1 se disait toujours mar- xiste, mais marxiste non léniniste, ou marxiste trotskiste et il s'occupait vaguement d'un Fair Play for Cuba Committee - une association pro-cubaine -, ce qui permettait de le classer comme anti-Kennedy. Enfin, avant son départ pour l'U.R.S.S., il avait servi un certain temps dans les Marines - Fusiliers marins américains - où il avait appris le maniement des armes et fait beaucoup de tir; il avait même passé un test de « bon tireur». II habitait tout près de Dallas, un très bon endroit pour une telle affaire, mais, même si elle devait se dérouler autre part, il serait facile, une fois Oswald bien en main, de le déplacer au moment voulu. Oswald fut donc adopté à l'unanimité et les experts se mirent aussitôt au travail.

     Lee et Marina Oswald vivaient à Irving, une petite ville à une vingtaine de kilomètres de Dallas. Oswald qui allait de place en place travaillait alors dans une maison d'appareils photographiques. II fut renvoyé sous prétexte que ses connaissances en photographie étaient insuffisantes. Il ne fut nullement surpris, quelques jours après son licenciement, de recevoir la visite d'un agent qu'il considéra comme ceux du F.B.I. qui, depuis son retour de Russie, venaient régulièrement bavarder avec lui, parfois pendant des heures entières. Le nouvel agent qui vint le voir savait qu'il avait perdu sa place et s'offrit à lui en trouver une autre. A son retour -aux États-Unis, de bon gré ou non, Oswald avait dû faire certaines concessions, et le « nouveau » savait qu'il servait parfois de boîte à lettres et peut-être même d'indicateur pour certain service américain qui s'intéressait beaucoup à certaines allées et venues entre le Mexique et les États- Unis. L'homme proposa à Oswald une augmentation de l'allocation qu'il recevait chaque mois sous forme de billets de cinq dollars, tout au moins en attendant de lui trouver une autre place. Enfin, pour ne pas être vu trop souvent à Irving, il conseilla à Oswald de louer une boîte postale où il pas- serait de temps à autre pour le cas où il aurait à lui communiquer des instructions.

Pendant un an, un mystérieux individu donna des instructions à Oswald.


     C'est ainsi que le 9 octobre 1962, Oswald loua la boîte postale N° 2 915, à Dallas. Puis, son visiteur lui demanda un jour si, le cas échéant, il pourrait se faire adresser son courrier sous un autre nom et Oswald se souvint d'un certain Hidell qu'il avait connu dans les Marines et dont il avait gardé une carte.

     Le 20 mars 1963, Klein's Sporting Goods, un magasin d'articles de sport de Chicago, reçut une commandé d'un certain Monsieur A. Hidell pour une carabine italienne provenant de surplus de guerre qui était revendue très bon marché et équipée d'un viseur télescopique. Comme la commande était accompagnée d'un mandat de 21,45 dollars - environ 95 francs -, la carabine fut expédiée à monsieur Hidell, Boîte Postale 2 915, à Dallas. Le bon de commande et le mandat étaient de l'écriture d'Oswald.

     Le même jour, George Rose & Co., Inc., armuriers de Los Angeles, reçurent une com- mande et un mandat de 29,45 dollars - environ 130 francs - pour un revolver Special 38 Smith & Wesson. Le tout fut expédié à monsieur A.J. Hidell, Boîte Postale 2 915, à Dallas, Texas. Là encore, bon de commande et mandat étaient de l'écriture d'Oswald.

     Au début de mai le visiteur d'Oswald lui fit savoir que la boîte postale ne lui serait plus nécessaire. Oswald l'abandonna donc le 14 mai. Le même jour, elle fut reprise, cette fois au nom de A.J. Hidell. Il ne fallait pas qu'elle soit trop difficile à retrouver plus tard.

     C'est alors que parut à Dallas et dans les environs, un autre Oswald, un faux Oswald qui se fit remarquer dans les stands de tir et qui tirait bien, surtout à la carabine. Il. fut trop zélé et se fit un peu trop remarquer. Tous les témoins sont formels, cet Oswald-là n'est pas Lee Harvey Oswald. Le rapport Warren en fait état en passant, mais il est curieux de voir comme la Commission évita toute question et toute recherche de ce mystérieux Oswald.      Un peu plus tard, lorsque les détails de la visite du président Kennedy à Dallas furent connus, les préparatifs se précisèrent. En l'absence d'Oswald, Marina, sa femme russe, reçut la visite d'agents qui l'interrogèrent durement. I1 fallait la mettre en condition pour le jour où, alors qu'elle serait devenue veuve, on aurait besoin de son témoignage, et il fallait que ce témoignage fût tel qu'on le désirerait, car il serait primordial pour apporter les dernières touches à l'accusation contre Oswald.

     En octobre, lorsque furent mis au point les détails précis de la visite présidentielle, un léger changement de parcours, qui ne fut pas communiqué à la presse, fut décidé. Aucun membre de la Commission Warren ne semble s'être demandé pourquoi.

     Ce changement amenait précisément la voiture présidentielle à faire un léger crochet et à passer à l'ouest de la bibliothèque sco- laire où travaillait maintenant Oswald. I1 y aurait donc relativement peu de monde sur cette partie du parcours qui présentait tous les accidents de terrain favorables à un bon placement des tireurs et qu,i se trouvait tout à côté d'une gare de triage de chemin de fer où stationnaient et circulaient continuellement de nombreux trains de marchandises, pro- curant donc un parfait terrain de retraite pour les tueurs.

Ceux qui « manipulaient» Oswald avaient prévu qu'il serait tué.

     Pour Oswald, il fallait prévoir une fin rapide, afin que, officiellement tout au moins, l'affaire soit close et classée le plus vite possible. Mieux que le suicide, l'idéal eût été qu'il fût abattu par la police au moment de son arres- tation et, pour les « experts», cela ne devait pas poser un bien grand problème. Il suffisait qu'Oswald soit armé et, surtout, qu'il résiste. Pour plus de sûreté, cependant, on décida de sacrifier un agent de police qu'Oswald aurait abattu de sa propre main alors qu'il fuyait après l'attentat. Ainsi, les policiers lancés à ses trousses auraient toutes les raisons pour l'abattre à vue: venger leur camarade lâche- ment assassiné et éviter qu'il ne tue de nouveau en tirant le premier!

     Toute l'opération faillit être décommandée - et le cas était prévu - à l'arrivée du président Kennedy à l'aérodrome de Love Field. Après une pluie battante, le soleil venait juste de sortir. Comme il pouvait y avoir d'autres averses, la voiture présidentielle était recouverte de son dôme de plexiglas qui, tout en protégeant Kennedy des intem- péries, permettait à tout le monde de bien le voir. Mais le dôme avait aussi l'inconvénient majeur d'être prévu pour résister aux balles! Ce fut Kennedy lui-même qui signa son arrêt de mort définitif en exigeant que le dôme soit enlevé pour qu'il puisse être mieux vu.

     Et tout se passa comme prévu, bien que pas du tout comme le laisse supposer le rapport Warren puisque cinq balles au lieu de trois furent tirées et que les tireurs furent au nombre de trois. Ce que ne révèle pas non plus le rapport Warren est la façon dont, bien avant l'heure H, Oswald fut littéralement télécommandé.

     Au moment précis de l'attentat, alors que la fameuse carabine Mannlicher-Carcano- dont le viseur télescopique était si mal monté qu'il était impossible de faire mouche - était mise en place et que trois douilles percutées par elle étaient déposées à proximité de la fameuse fenêtre, Oswald à la cantine de l'immeuble mangeait un sandwich au poulet et buvait un Coca-Cola. A noter qu'il n'y eut que trois douilles parce que les tireurs ne devaient tirer chacun qu'une seule fois. Mais, croyant avoir manqué, ils tirèrent cinq fois en tout.

     Oswald ayant mangé du sandwich au poulet, des reliefs d'un sandwich semblable furent mis sur le rebord de la fameuse fenêtre, détail qui fut pratiquement passé sous silence par le rapport Warren puisqu'il n'y eut pas d'au- topsie immédiate du corps d'Oswald, comme on l'espérait.

     Oswald n'avait pas même fini son Coca lorsque quelqu'un vint le trouver, peut-être l'agent qu'il connaissait. On venait de tirer sur le président Kennedy au moment où il passait. Mieux valait qu'Oswald parte tranquillement car, connaissant son passé, la police de Dallas, qui allait certainement fouiller tous les immeubles du voisinage, ne manquerait pas de l'arrêter comme suspect. Oswald écouta sagement ces conseils ou peut-être même ces ordres. Vu tout ce qui pourrait se passer dans les heures à venir, il valait mieux qu'il soit armé car on aurait peut-être besoin de ses services et l'agent lui remit un Specia138 Smith & Wesson. Oswald ignorait, et pour cause, que cette' arme était celle qu'il avait commandée sans le savoir et que le percuteur était limé de façon particulière: même s'il tirait, la cartouche dans le canon ne serait pas percutée.

Oswald n'était pas même coupable du meurtre du policier Tippitt.

     Pendant ce temps, les douilles de quatre balles tirées par ce revolver avant que le per- cuteur ne soit limé se trouvaient dans le barillet d'un autre Special 38 que portait le tueur qui allait se charger d'assassiner un agent de police. Ce tueur avait sur lui un deuxième revolver dont il se servirait pour son forfait.

     Sauf la Commission Warren qui acceptait tout ce qui pouvait servir sa thèse, tous ceux qui ont tant soit peu étudié les rapports de police et les mouvements d'Oswald se sont toujours demandé pourquoi, en sortant sans encombre de l'immeuble où il était employé, il était parti à pied dans la direction contraire à sa destination. Tout devient clair lorsqu'on sait qu'il était télécommandé de façon à se trouver à certains endroits à certaines heures. On peut donc penser que c'est sur ordre qu'il marcha d'abord dans la mauvaise direction, puis qu'il prit un bus qui n'avançait pas et, enfin, pour rattraper le temps qu'il avait perdu sur l'horaire qui lui avait été imparti, un taxi. Et c'est sans doute aussi parce qu'on le lui avait ordonné qu'il se rendit au Texas Theatre, point probable de rencontre pour recevoir de nouvelles instructions.

     Donc, vers 13 h, heure convenue, un homme ressemblant à Oswald, habillé comme lui à un détail près, s'approcha de la voiture de l'agent de police Tippitt qui se trouvait à un coin de rue où il avait reçu ordre de se rendre. L'homme parla à l'agent qui sortit de sa voiture et en fit le tour, et comme il passait devant le capot, l'homme tira à bout portant, quatre fois. Puis s'éloignant tranquillement, il ressortit un revolver de sa poche - mais _pas celui avec lequel il avait tiré - et vida quatre douilles du barillet qu'il laissa tomber, bien en vue, au bord du trottoir. C'étaient celles percutées par le revolver qu'bswald avait à ce moment sur lui. Mystérieusement alertée, la police convergea sur le cinéma où Oswald était arrivé. Là, contrairement à ce que l'on avait espéré, un policier à qui on avait désigné Oswald s'approcha de lui; il demanda les papiers des spectateurs du rang devant lui puis, arrivé à la hauteur d'Oswald, il se retourna brusquement et se saisit de lui. Y eut-il lutte? On ne sait trop. Toujours est-il qu'Oswald sortit du cinéma avec les menottes aux mains, le visage meurtri, mais bien vivant!

     Les experts espérèrent un moment que tout s'arrangerait, mais lorsque, au lieu d'un imbécile ahuri, ils virent Oswald se défendre intelligemment en demandant très haut un défenseur de son choix, on comprit qu'il devenait un danger certain. Il fallait y parer et, pour cela, il s'agissait de le faire taire, à tout jamais... et vite!

Bob Kennedy et le président Johnson s'accordèrent pour un silence provisoire.


     On sait comment Jack Ruby pénétra sans difficulté aucune dans l'immeuble en état de siège d'où Oswald était sur le point d'être transféré à la prison de l'État et, ensuite, comment il fut tué d'une seule balle tandis que les policiers qui étaient sensés le protéger le tenaient, bras écartés, bien offert à l'estocade.


     Enfin le président Kennedy était mort et bien mort. Le gouverneur Connally survivrait à ses blessures, mais cela était sans importance. L'assassin désigné, Lee Harvey Oswald, était, lui aussi, enfin mort et bien mort. L'agent Tippitt était mort et bien mort, au champ d'honneur et en service commandé! Le patriote vengeur, Ruby, heureux d'avoir lavé l'honneur du Texas, déjà en prison, attendait les compliments et sa libération prochaine. Les experts pouvaient alors espérer que l'affaire allait enfin être classée et bien classée puisque, déjà, pour la grande presse américaine, donc pour le grand public, tout allait bien. Hélas! ce furent d'abord les corres- pondants étrangers, puis les journalistes étrangers, accourus de tous les coins du monde qui, les premiers, semblèrent se rendre compte que tout n'était pas milk and honey - lait et miel -, comme on dit là-bas. Et, très vite, des rumeurs se mirent à courir. C'est alors que le nouveau président et certains membres du gouvernement, dont Robert Kennedy, frère de l'ex-président, et ministre de la Justice, se réunirent en secret. Il fallait à tout prix, vu la situation politique extérieure, éviter le "danger certain de troubles qui, une fois déchaînés, pourraient vite aller jusqu'à la guerre civile»! Bob Kennedy hésita et accepta finalement la solution proposée sous condition que les comptes avec les assassins de son frère seraient quand même réglés dans un avenir proche.

     Le lendemain, le juge Earl Warren fut convoqué et refusa tout net de présider une commission d'enquête; il savait très exac- tement à quoi s'en tenir et, surtout, tout ce qu'il risquait de dévoiler au lieu d'« enterrer». Mais le président Johnson insista et, bien que très occupé, le juge Warren accepta finalement de diriger la commission de loin et de temps à autre, car il n'assista qu'à bien peu de ses réunions.

La commission d'enquête ne cherchait qu'à prouver la culpabilité d'Oswald

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     Alors commença une des plus belles et aussi, on doit le dire, une,des plus honteuses farces de l'histoire des États-Unis. Alors que la commission d'enquête avait carte blanche et les pleins pouvoirs pour mener sa tâche à bien, qu'elle pouvait nommer ses propres enquêteurs, entendre qui bon lui semblait, se faire ouvrir toutes les portes, tous les placards, tous les coffres, elle se contenta d'utiliser les seuls rapports et les seuls services des organismes existants, c'est-à-dire la police du Texas - qui avait surtout besoin de se blanchir -, le F.B.I. - Federal Bureau of Investigation et principal service américain de contre-espionnage -, la C.I.A. - Central Intelligence Agency ou service de rensei- gnements - et le Secret Service - police spéciale qui assure surtout la sécurité des personnalités.

     A commencer par la police, et à de rares exceptions vite réprimées, tous ces organismes s'efforcèrent surtout d'accumuler toutes les preuves possibles, imaginables et inimaginables, de la culpabilité d'Oswald. De son côté, au cours de ses interrogatoires et de ses études et enquêtes, la Commission faisait l'impossible pour ne trouver que trois coups de feu, puisqu'il n'y avait que trois douilles à la fameuse fenêtre, et que, de toute façon, il aurait été matériellement impossible à Oswald d'en tirer plus en si peu de temps. C'était là un point essentiel, car si, par malheur, on trouvait trace de plus de trois coups de feu, tout le beau château de cartes s'écroulait. Plus de trois coups de feu, cela voulait dire plus d'un tireur, donc, plus d'un assassin, donc complot!

     Une des grosses difficultés rencontrées par la Commission, peut-être la plus grosse, fut celle du rapport des médecins et chirurgiens qui avaient tenté de ranimer le président Kennedy et soigné le gouverneur Connally et de ceux qui avaient pratiqué l'autopsie de Kennedy un peu plus tard. I1 ne s'agissait plus là de témoins susceptibles de n'avoir pas bien vu ou entendu, essayant de se remémorer quelques secondes d'action foudroyante, mais de praticiens calmes, pondérés, connaissant parfaitement bien leur métier et ayant eu tout leur temps pour voir et examiner les victimes et leurs blessures. Cette difficulté fut contournée d'une façon très simple en définitive: on décida, pour gagner du temps, que les témoins interrogés par la commission d'enquête ne répondraient qu'aux questions posées et ne donneraient leur opinion que dans le cadre de ces questions. Ceux qui posaient les questions étaient tous des avocats ayant une grande expérience, et comme il n'y avait pas d'opposition sous forme de défense, pas de juge arbitre pour objecter ou poser d'autres questions, la Commission s'en tira sans trop de mal et réussit à faire admettre, ou plutôt à imposer, son point de vue et ses conclusions.

     Quant aux rapports d'autopsie, ce fut une autre affaire. Il y avait là non seulement des rapports catégoriques mais aussi des radio- graphies et des photos, en noir et en couleur, du corps du président défunt, avant et pendant l'autopsie.

Les radiographies du corps de Kennedy ont mystérieusement disparu.


     Il y eut de longs conciliabules avec les médecins et chirurgiens qui avaient pratiqué l'autopsie et, en fin de compte, à la suite d'un nouveau rapport d'autopsie, un seul d'entre eux fut convoqué. Les photos? Elles disparurent purement et simplement et furent remplacées par des dessins faits d'après les détails fournis par un seul médecin!
     Pour les autres témoins, c'était beaucoup plus facile; il suffisait de faire.le tri, de questionner ceux qui semblaient les plus valables, c'est-à-dire les plus utiles à la thèse voulue. Lorsque pourtant - cela arrivait - les témoins ne s'exprimaient pas tout à fait dans le sens désiré, la Commission déclarait qu'ils n'avaient pas bonne mémoire ou qu'ils n'étaient pas des témoins sûrs et, comme ce fut souvent le cas, décidait de ne citer que la partie utile de leur témoignage!

     Quant à Marina Oswald, le témoin sans doute le plus important pour la Commission, elle joua assez bien son rôle. Elle s'empêtra bien une ou deux fois, mais il y avait toujours quelqu'un pour venir à son secours au bon moment. Ainsi, elle certifia qu'elle avait vu prendre la photo d'Oswald tenant la fameuse carabine et portant en holster le fameux revolver Smith & M'esson, photo qui avait été montrée par la police à Oswald. Celui-ci avait souri en déclarant que c'était un montage. Ainsi, de rapport en rapport, de témoin en témoin, pendant des semaines et des mois, la Commission accumula vingt-six volumes de textes de toutes sortes et put conclure que seul Oswald était l'assassin du président Kennedy, qu'il n'avait tiré que trois fois, qu'il n'avait pas eu de complice et qu'il n'y avait pas eu de complot. En d'autres termes, le gouvernement acceptait de jouer le jeu imposé par les assassins en reconnaissant officiellement leur bouc émissaire. Le public était rassuré, pour combien de temps?

     Qui était derrière le complot? C'est assez évident, semble-t-il.

     Ce fut, avant tout, une affâire purement « intérieure » qui risquait, en effet, de pro- voquer destroubles graves et même sanglants. Ce fut une inutile folie puisque, même réussi, l'assassinat du président Kennedy ne donna aucun résultat appréciable; la politique raciale du gouvernement ne fut en rien changée, et bien qu'un président sudiste ait pris la place, il ne put ou ne voulut en rien modifier la politique de son prédécesseur.

     Bob Kennedy avait accepté le pieux mensonge au pays, puis l'odieuse farce du rapport Warren, mais sous certaines conditions, car il entendait bien que les véritables tueurs de son frère soient châtiés d'une manière ou d'une autre. Lorsque, plus tard, il rappela cette condition, il se trouva rapidement écarté du gouvernement. Bien entendu, il n'est pas de ceux qui abandonnent pour si peu et on sent très bien que, tôt ou tard, il reviendra pour frapper, non seulement à la base, les petits, les « experts», les tueurs - dont un a déjà payé, soit dit en passant - mais aussi pour frapper haut, très haut... à moins, qu'entre-temps, il ne périsse dans un quelconque accident de la route ou d'avion.


          GEORGE LANGELAAN.

          Fin de l'article.

c) 1969 : La "super duperie" du débarquement lunaire avec les Apollos.

      Dans notre article cité au debut : lettreouverteinternaute.html , nous avons démontré vers la fin, qu'au moins pour Apollo XVI la célèbre la photo NASA AS16-107-17446, était bien truquée et consistait en un montage grossier de divers plans photographiques, car on y trouvait une trace de roue d'un véhicule étranger, trace ne correspondant pas du tout à celle de la seule jeep (LRV), que l'on avait théoriquement déposée sur le sol lunaire. Il ne nous reste qu'à identifier clairement la trace de ce véhicle étranger, qui aux dernières nouvelles semble être celle d'une jeep Willys, véhicule très utilisé à l'époque dans l'Armée américaine.

      Et désormais, (nous l'avons dit dans l'article précédent), nous appliquerons strictement envers la NASA l'adage :

"Qui vole un jour un œuf, peut aussi voler un autre jour un bœuf . "

, ce qui signifie en clair, que si l'on a découvert qu'une photo d'une mission Apollo, est absolument truquée , alors il n'y a aucune raison que ne pas croire que les autres le soient aussi .

      Mais certains internautes pourraient, à juste titre, s'interroger sur les raisons qui ont poussé les mystificateurs à agir ainsi !

      Certaines réponses semblent être justement transcrites dans un texte qui vient, comme par hasard , de nous tomber sous la main .

      Voici donc le début du document en question :


      Voyons maintenant de quoi il s'agit vraiment (les couleurs sont de nous bien sûr) :

Retour vers la lune ? Pourquoi pas ?

Un bilan mitigé.

      Les missions Apollo dont il avait été fait état dans un premier article de ce journal ont permis de visiter notre satellite. Elles se sont terminées par la mission Apollo 17 qui fut d'ailleurs la seule à voir à son bord un équipage non strictement composé de militaires.

Un gouffre financier.

      Chaque mission Apollo a coûté au moins 500 millions de dollars, soit pour la course à la lune environ 30 milliards de dollars. Pour un tel prix, ramener en six missions 382 kg de cailloux, cela entraînerait pour des pays pauvres ou de moindre importance les remontrances sarcastiques de la Banque mondiale. A une époque où les Etats-Unis doutaient de leur leadership mondial, avec une société où la misère et la récession se profilaient à l'horizon des classes les moins favorisées, ce programme pharaonique était donc condamné.

Un résultat scientifique modeste.

      Aujourd'hui encore l'origine de la lune n'est pas élucidée malgré les missions Apollo.Tout au plus une nouvelle théorie (Le Big Splash) semble-t-elle en passe grâce à l'analyse des matérieux récoltés, de s'imposer par rapport aux trois précédentes.

      Mais tous ces résultats auraient certainement pu être obtenus grâce à des sondes automatiques. C'est d'ailleurs cette voie qu'avait choisi l'U.R.S.S., mais qu'elle n'avait pas menée à bien faute de la technologie informatique et électronique dont disposaient les Etats-Unis.

Une exceptionnelle opération médiatique.

      Le véritable succès est ailleurs, dans l'impact formidable de la démonstration éclatante de la supériorité technique et médiatique des Etats-Unis, vainqueur par K.O. de l'U R.S.S. dans la course à l'espace. Le Kremlin n'avait-il pas affirmé lors du vol de Youri Gargarine que "la preuve est faite que le socialisme est une meilleure base de lancement pour les véhicules spatiaux que le capitalisme". A partir de cette époque l'industrie spatiale de Î'U.R.S.S., malgré ses indéniables qualités, apparaîtra à tort ou à raison comme de moindre valeur que celle des Etats-Unis.

Des retombées économiques pour le pays.

      Si l'opération est un gouffre financier, elle aura permis à 20 000 sociétés et à 400 000 personnes de travailler durant de nombreuses années. Cet aspect peut sembler de pure intendance. II est peut être le plus important de tous, par son impact sur l'emploi. C'est, dans une société qui bannit en principe le gaspillage des ressources, un secteur de sécurité où le discours officiel n'a pas cours et d'où le libéralisme dur et pur est exclu.

Un pactole technologique.

      Les efforts de recherche nécessaires à la mise en place des rendez-vous en orbite lunaire ou terrestre, la mise au point des véhicules spatiaux, des lanceurs, le développement foudroyant de l'informatique et de l'électronique liées au programme ont eu des retombées inattendues tant dans le domaine civil d'ailleurs que militaire. En bref, les énormes moyens ont profité à terme à toute la machine de paix et de guerre des Etats-Unis. L'astronomie en tant que discipline scientifique a peu profité de ce pari. Les Etats-Unis ont pour leur part décroché la lune en s'obligeant à l'effort considérable de le gagner.

      Le programme ayant joué son rôle, il ne fut pas reconduit. Encore qu'actuellement nul n'est plus retourné sur la lune. Voici cependant qu'aujourd'hui on en reparle à voix feutrée. Quelles raisons pourraient bien militer dans ce sens ?

Aujourd'hui, une nouvelle approche.

      II y a de fait de bonnes raisons d'espérer aller sur la lune :

- La recherche scientifique.

      Grande absente des motivations profondes de la première course à la lune, elle ne manque pourtant pas d'intérêt.

- L'astronomie.

      Chaque lecteur de cet article, même s'il n'en connaît qu'imparfaitement les principes, sait que les télescopes servent à observer l'univers, tant visible que non visibles (étoiles, quasars, pulsars, ga- laxies, etc). Actuellement les ! plus grands télescopes sont ~ européens (La Cilla en Améri- que du Sud) ou des Etats- Unis. Ils bénéficient d'une technologie extraordinaire et sont situes dans des lieux exceptionnels où la pureté de l'atmosphère est maximum. II suffit pour s'en persuader de visiter La Cilla, avec une couche d'air très pure et peu turbulente. Pour éviter les filtres de l'atmosphère on a expédié dans l'espace un télescope sophistiqué, Hubble, dont les péripéties sont bien connues. Mais les télescopes terrestres de la génération à venir permettront, pour un moindre coût, une résolution encore meilleure. Toutefois, les limites des technologies actuelles ne sont pas loin : coût excessif des télescopes en orbite basse, limite de résolution bientôt atteinte par le matériel terrestre.

      Où donc aller ? Et pourquoi pas sur la lune? Elle n'a pas d'atmosphère, pas d'eau, pas de gaz carbonique, et sa face cachée est épargnée par les ondes nombreuses venant de partout. Les observations astronomiques, aussi éloignées qu'elles paraissent des qrandes théories cosmologiques, sont en effet la seule façon, avec la physique des particules, de trancher entre les hypothèses diverses sur l'univers et son histoire.

- L'astronautique.

L'astronautique n'est pas une science à proprement parler, mais elle y participe. C'est d'ailleurs une des principales bénéficiaires de la course à la lune. Elle est indispensable à la conquête de la planète Mars, pour laquelle se passionnent actuellement les nations les plus riches et les plus développées.

      Dans la perspective d'une exploration de la planète Mars, les coûts de carburant seront prohibitifs (voyage de plusieurs mois, tant à l'aller qu'au retour, lancement des vaisseaux à partir d'une orbite basse autour de la terre, etc). D'où l'idée d'utiliser la lune comme station spatiale avancée pour notre planète. Elle est un satellite naturel dont l'entretien ne représente pas un gouffre insurmontable (il suffit de se souvenir que les stations Mir et autres ont permis de mettre au point les conditions de vie dans l'espace). De plus, les lancements d'engins spatiaux à partir de la lune seront, en principe, considérablement moins onéreux, par le seul fait qu'avec une, pesanteur presque nulle comparée à notre vieille terre, la force d'attraction et donc la dépense de carburant seront bien moindres. D'où l'idée d'utiliser la lune comme base de lancement de missions martiennes.

- La planétologle.

      C'est une science très récente dont l'objet est l'étude "géologique" des planètes pour tenter de déterminer les conditions de création et d'évolution du système solaire. II s'agit d'une discipline très délicate dont l'étude passe bien évidemment par la recherche extraterrestre (i. E sur les autres corps du système solaire, par les Ovnis, bien évidemment)). Le corps le plus proche, c'est incontestablement la lune. Et seule une étude in situ approfondie permettra de déterminer sérieusement le processus qui a, ronduit à l'existence de notre nid commun.


      Fin de citation.

      Ce texte, qui n'est hélas pas signé, véhicule pas mal d'idées qui avaient cours, il y a 15 ans. On le sait, les idées ont évolué depuis, et il était sans doute utile d'avoir ce son de cloche pour mieux en déterminer désormais les contre-vérités.

      ARTivision a depuis des années, traité ce sujet dans de nombreux articles et en particulier à :


      Pour les internautes qui veulent en savoir plus, prière de consulter sur le sujet la vidéo :


, ou les 12 vidéos, qui s'enchaînent l'une derrière l'autre, et qui sont placées à :


      A vous donc de juger maintenant, tout cela ...

      Après ces trois duperies majeures (il y en a certainement d'autres plus secrètes), nous pourrions arrêter ici ces confidences et passer à autre chose. Mais le 9/06/09, nous avons reçu une information cruciale, qui nous a remis en mémoire, une autre affaire lamentable, que nous allons tout de même ajouter à notre article :

d) L'effroyable imposture du "11 Septembre 2001".

      Voici donc l'information en question :


Voltairenet.org
 Réseau de presse non-alignée

Les principaux titres de la semaine


41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11-Septembre

par Alan Miller | 9 juin 2009 

Plus de 40 citoyens états-uniens ayant travaillé pour différents services de Renseignement et de Contre-terrorisme ont sévèrement critiqué le compte-rendu officiel du 11-Septembre ; la plupart d’entre eux demandent une nouvelle enquête. Il est scandaleux que la majorité des États-uniens [et des populations des pays de l’OTAN] soient maintenus dans l’ignorance totale de leurs déclarations publiques, conséquence immédiate du refus des organismes de la presse comme des médias de masse de traiter cette question d’une extrême importance. La crédibilité de ces personnes et leur loyauté envers leur pays ne peuvent être mises en doute, ce que démontre les années de service passées à collecter et analyser l’information, à planifier, et à effectuer des opérations cruciales pour la sécurité nationale des États-Unis.

Ces 41 personnes ont travaillé pour le Département d’État, l’Agence de la sécurité nationale (NSA), l’Agence centrale de Renseignement (CIA), le Bureau fédéral d’investigation (FBI), l’Administration fédérale de l’Aviation (FAA), Le Bureau des douanes et de la protection des frontières ainsi que pour diverses sections de l’armée des États-Unis. Ils sont présentés ci-dessous en fonction du service pour lequel ils ont travaillé.




       Nous ne savons du tout ce que cache ce communiqué, ni si d'une manière ou d'une autre, il confirme le fait que de très nombreux sites démontrent clairement, que l'attaque des tours jumelles du WTC le 11 Septembre 2001, n'est pas du tout l'œuvre de terroristes audacieux quelconques, car ils n'auraient pas la capacité technique et organisationnelle de réussir un tel coup.Ceci ne peut être qu'une mystification montée par des gens très puissants qui ne reculent devant rien pour asseoir leur emprise négative sur l'Humanité.

      Le documentaire présenté, il y a quelque temps par la Chaîne Planète, Loose change two, nous présente certains éléments incontournables de cette conspiration. Vous pouvez encore découvrir ce documentaire sur le site :


      Si donc (ce qui est très improbable), vous n'avez pas encore vu ce film, calez-vous bien, dans votre fauteuil pour ne pas tomber à la renverse.

     le 7 Juillet 2009, nous sommes tombés par hasard (Hum...hum), sur la page 6 du quotidien "Le Monde", en date du Samedi 6 juin 2009, qui donnait des extraits du discours fait le 4 Juin à L'Université du Caire, par le président des Etats-Unis, Barack Obama :


      Ce discours comportait dit-on, près de 6000 mots, mais, à notre avis, il y eu 8 mots de trop, que nous soulignons en rouge dans la traduction suivante :


      Ces huit mots enlevés, le discours n'aurait rien perdu de sa force, et deviendrait alors : " ...n'en est pas moins puissante... La poursuite des actions violentes engagées par ces extrémistes contre des civils, a amené certains dans mon pays...."

      Ainsi exit... cette affaire très douteuse du 11 Septembre 2001.

      Mais si le Président Barack Obama, dont le discours a été minutieusement préparé, a osé parler de ce 11 Sept 2001, c'est que son entourage est absolument en combine avec ces Forces Négatives de l'Ombre, qui nous manipulent, au plus Haut Niveau. Point Barre.

       En conséquence, il ne faut pas du tout attendre, que ce Président, (malgré la sympathie que le monde lui accorde) nous fasse des révélations sur quoi que ce soit, qui mettent en relief la faiblesse des USA, vis a vis des Forces Cosmiques (aussi appelées par ARTivision les Dieux), qui nous surveillent depuis des lustres. ( Donc pas de révélatiohns, même minimes, sur les ovnis, sur la Terre creuse , sur les constructions sur la Lune, sur Mars ou ailleurs, etc ...).

       A bon entendeur Salut...

e) La plus grande dissimulation planétaire de tous les temps.

       Mais pendant que nous y sommes, pourquoi ne pas aussi parler, d'un sujet super tabou dans les sphères officielles et évidemment non encore enseigné dans nos universités. Ce paragraphe s'adresse en priorité à l'internaute novice qui découvre pour la première fois notre site et qui évidemment n'a pas encore pris connaissance d' un seul de nos 33 articles consacrés à ce sujet. Nous ne pourrons donc ici que vous présenter un très petit condensé de l'affaire.

      Disons déjà que le mot planétaire utilisé dans le titre précédent est à prendre vraiment dans son sens général, et qui englobe la planète Terre, mais aussi toutes les autres connues du système solaire.

      Pour entrer dans le vif du sujet, imaginons donc que Christophe Colomb et sa commanditaire Isabelle de Castille, aient décidé (ayant découvert par exemple des richesses inouies dans le Nouveau Nonde) , de cacher cela aux autres nations pour en tirer le maximun de profits. On s'en doute ce petit jeu ne pourrait durer très longtemps, car les autres nations auront vite fait de comprendre le manège de l'Espagne.

      Eh bien, cette dissimulation de la déconverte d'un grand continent, comme l'Amérique toute entière, représente un sacrilège plutot bénin, vis a vis de ce les gouvernements nous cachent actuellement.

      Comme nous croyons qu'il existe des êtres sensibles capables de saisir en passant, par la quatrième dimension ( notez bien la couleur fuchsia qui représente cette quatrième dimension si chère à ARTivision), nous allons ici même pour débuter ce paragraphe vous transcrire deux de ces messages très significatifs (pour nous évidemment), et par la suite nous présenterons des faits précis qui confirment ces messages.

PREMIER MESSAGE :

      Il convient en effet de le découvrir dans une bibliothèque ou une libraire à la page 194 de l'ouvrage extraordinaire de   "LE VOYAGE A SHAMBHALLA" (1986) par Anne et Daniel Meurois-Givaudan aux Editions Arista.

      On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif et poétique en plus :

            " Votre Terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés pour la sauvegarde de leur pouvoir
" .

     Nous invitons l'internaute qui se veut être un candide sur ce sujet de la Terre creuse, à bien s'imprégner des propos précédents, car ils sont à la base du cheminement d' ARTivision, qui a été essentiellement axé sur le dévéloppement pragmatique de ce passage.

     D'autre part, nous avons pris contact avec les auteurs de ce livre, et ils nous ont certifié qu'ils n'avaient rien lu à l'époque, comme ouvrage parlant des ouvertures polaires, ni d'ailleurs, nous le supposons le livre de Jules Verne intitulé " Voyages et aventures du capitaine Hatteras" ouvrage publié en 1866, et dont voici deux scannérisations d'une réimpression moderne :


, , où l'on voit bien, qu'il est précisé ceci, au Tome 2 :

" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe;
"
     Comme on le voit donc, tout cela est dit par Jules Verne, clairement, nettement et sans bavure.

      Donc alors que Jules Verne, dès 1866, parlait de cette affaire d'ouvertures polaires, nous , nous l'avons apprise qu'en 1972, quand une amie de la Métropole a eu la géniale idée, de nous envoyer le livre (actuellement pratiquement introuvable en France) de R. Bernard " La Terre creuse", paru chez Albin Michel en 1971 :


     Les internautes qui nous disent posséder ce livre dans leur bibliothèque font désormais partie d'un club de privilégiés dont les membres se comptent sur les doigts de la main. (Et on peut lire sur notre site quelque part que les autorités ont fait mains basses sur tous les exemplaires qui traînaient chez les libraires et bouquinistes de France non avertis ) .

      Evidemment, nous l'avons déjà dit, cette théorie n'est pas admise dans le cursus universitaire actuel et au contraire elle s'oppose catégoriquement, à notre connaissance actuelle de la composition interne de la Terre. Donc, la plupart des scientifiques officiels non recyclés sur l'histoire des phénomènes polaires, vont la rejeter impitoyablement .

DEUXIÈME MESSAGE :

"La thèse retenue par vos scientifiques n'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.
   Votre centre de la Terre est creux et possède son propre Soleil générateur de Vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre. Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central. L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central ....
"

       Fin de citation

        Tiré de la page 112 du livre de Soria "Les grandes Voies du Soleil", paru au Editions ARIANE en Avril 2001 .

               Dur, dur n'est-ce pas !!!, et nous avons pourtant, dû en couper une bonne partie.

       Il nous appartient ici maintenant de présenter certains éléments tangibles , confirmant tout cela.

a) Quand les satellites s'entrechoquent au-dessus de nos têtes.

       Le 10 Février 2009, les Services de Presse , nous ont appris que deux satellites, étaient entrés en collision à 800 km d’altitude, au-dessus de la Sibérie. le premier fut lancé en 1997 etait la proprièté de la société américaine de télécommunication Iridium. le second , nommé Cosmos-2251, fut mis en orbite en 1993 pour le compte de l’armée russe mais est devenu inactif en 1995, à la suite d'une panne .

       Voyons en détail tout cela, sur le site :


       " La collision cette semaine entre deux gros satellites, une première dans l’espace, a créé des nuages de débris qui se déplacent très rapidement et menacent d’autres engins spatiaux situés sur des orbites proches, ont annoncé jeudi des experts et des responsables russes.
       Le crash a eu lieu à 800km au-dessus de la Sibérie mardi entre un satellite russe destiné aux communications militaires et un satellite Iridium américain utilisé par des clients commerciaux mais aussi par le département de la Défense. Il s’agissait de la première collision à une très grande vitesse entre deux engins spatiaux intacts, selon la NASA.

       L’impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre, a précisé le responsable des Forces spatiales militaires de Russie, le général Alexandre Iakoutchine. Le satellite Iridium pesait 560 kilos et le Kosmos-2251 presque une tonne. Lancé en 1993, ce dernier est tombé en panne en 1995, a-t-il précisé.

       Dans un communiqué publié jeudi, la société Iridium a nié la responsabilité de l’accident.

       Igor Lisov, un expert russe de l’espace, a affirmé jeudi qu’il ne comprenait pas pourquoi les experts de la NASA et d’Iridium n’avait pas réussi à éviter cette collision: le satellite américain étant toujours actif, sa trajectoire pouvait être modifiée.

       Cela pourrait être un problème informatique ou une erreur humaine, a-t-il supposé. Cela pourrait aussi être dû au fait qu’ils prêtent attention seulement aux petits débris, et pas aux satellites défunts.”

       Igor Lisov a souligné que les débris pouvaient menacer un grand nombre de satellites situés dans des orbites proches, mais aussi une série de vieux engins spatiaux à propulsion nucléaire datant de l’ère soviétique, dans des orbites plus éloignées.

       Si une collision se produit avec l’un de ces satellites délabrés, l’émission radioactive ne menacerait pas la Terre, a-t-il assuré, mais les décombres en accélération pourraient démultiplier les risques pour les autres satellites.

       La NASA a expliqué qu’il faudrait des semaines pour mesurer l’ampleur de la collision, mais elle a affirmé, comme l’Agence spatiale fédérale russe, qu’il y avait peu de risques pour la station spatiale internationale et ses trois membres d’équipage.

       Il n’y a pas de danger immédiat, mais nous allons suivre avec attention la situation, a déclaré à l’AP le porte-parole du centre de contrôle de mission russe, Valéri Lyndine, soulignant que l’orbite de l’ISS avait été ajustée par le passé pour éviter les débris encombrant l’espace.

       Cet accident spatial ne constitue pas non plus une menace pour la navette spatiale qui doit être lancée le 22 février avec sept astronautes à bord, ont affirmé les autorités américaines.

       Le Réseau de surveillance de l’espace américain et les Forces spatiales russes suivent avec attention la trajectoire des débris, qui se déplacent, semble-t-il, à la vitesse d’environ 200 mètres par seconde.

       Au début de l’année 2009, environ 17.000 déchets générés par l’homme tournaient en orbite autour de la Terre, selon une estimation de la NASA.

       Les satellites Iridium sont très particuliers parce que leur orbite est basse et qu’ils sont très rapides. La plupart des satellites de communications tournent à des distances beaucoup plus éloignées de la Terre et sont distants l’un de l’autre, ce qui explique la rareté des collisions. AP


Fin de citation.

       Ce qui nous intéresse particulièrement dans cette affaire, c'est la trajectoire suivie par les débris issus de cette collision : Nous notons déjà avec soin que ; "L’impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre".

       Il se trouve justement que récemment nous sommes tombés à la renverse, ( merci encore à Super Hasard ), et découvrant dans la revue Science&Vie n° 893 de Février 1992, un article évoquant le même sujet, et dont voici le début en page 80 :


       Mais voyons un paragraphe particulier de cet article à la page 49 :

" Quelle est donc l'origine de ces débris? Plus de la moitié proviennent de fusées ou de satellites qui ont explosé accidentellement ou que l'on a délibérément fait exploser à cause d'un mauvais fonctionnement. Le reste est constitué de 102 étages supérieurs de fusée, séparés du satellite après mise en orbite de celui-cl, et de 150 satellites abandonnés. Dans l'espace, on trouve ainsi des objets de tout volume, de- puis des capots entiers de fusée jusqu'à des particules de peinture. Selon des données de 1987, 9096 de ces débris évoluent entre 200 et 2 OOO km d'alti- tude, dans les zones de grande circulation, avec des pointes à 600. 1000 et 1500 km.

       La première explosion en orbite fut celle de la fusée américaine Ablestar, le 29 juin 1961, deux heures après son lancement On en a dénombré 1 716 fragments supérieurs au millimètre et 271 supérieurs à 10 cm. La fusée Titan 3C-4, détruite le 15 octobre 1965, semble détenir le record pour les débris de plus de 10 cm, avec le chiffre de 477. Pour les débris supérieurs au millimètre, le record reviendrait à Ariane V16, le 11 novembre 1986, avec 2 330, dont 2 104 seraient encore en orbite à l'heure actuelle.
"

      C'est alors que la revue nous présente une simulation informatique de l'évolution, 4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :


      Nous serions curieux de découvrir cette simulation pour 2009 ! Mais ce qui frappe en priorité dans cette figure c'est que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre. Les rationnalistes endurcis trouveront bien sûr une explication vaseuse à cela. Mais il serait aussi bon qu'ils relisent avant, ce qui suit et qui est extrait de notre article Byrdsuite.html :

" VII Autre prolongement révélateur :

    En 1992 , nous avons eu le privilège de visiter "la Cité des Sciences et l'Industrie" à la Porte de la Villette à Paris et nous avons été surpris de constater à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par satellites, que ces derniers ne passaient jamais par les Pôles , mais circulaient tous à la limite d'un cercle précis entourant chaque Pôle.

    Le Samedi 7 Octobre 2000 en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous transmettons ci-dessous:

    En effet en 1993, nous avions enregistré une émission de RFO, produite par Jean Yves Casgha et intitulé "Science Frontière" et où Cathy Nivez a fait l'interview dans le cadre du magazine "C'est à dire" d'Ichtiaque RASOOL, alors Directeur de programmes concernant la géosphère et la biosphère à la NASA, professeur à l'époque à Paris, à l'Ecole Normale Supérieure et au Collège de France. Le programme "Global Change", qui revient par an, à environ un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des satellites à défilement, comme par exemple SPOT et NOAA, qui sont capables de repérer des détails détails de 10 à 20 m, satellites qui nous intéressent tout particulièrement dans cet article... Le film montré à cette occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement, et nous précise que les trajectoires de ces derniers "ne sont pas tout à fait polaires", termes exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir si "ces trajectoires ne sont jamais polaires ". Toujours est-il que le film nous présente la Terre entrain de tourner et le faisceau des trajectoires qui reste "étrangement tangent" au bord d'un "disque polaire d'un diamètre remarquable" .(Voir ci-dessous, deux images du film:)

  

   La question qui reste pour l'instant sans réponse, serait de savoir pourquoi, pas un seul de ces satellites, ne traverse diamétralement ce disque polaire, alors qu'il aurait tout intérêt à le faire et que de plus, sa trajectoire n'est pas soumise, elle, comme pour un avion, aux évaluations d'un altimètre ?

    Mais ce 04/01/2011, il serait peut-être utile, de vous présenter aussi les images suivantes :

    D'abord sur le site :

http://www.theshiftofconsciousness.info/hollowearth.html


    Et puis sur le site :

http://www.satmagazine.com/cgi-bin/display_image.cgi?1619247806



     Ou encore, sur le site :

http://www.newmediastudio.org/DataDiscovery/Hurr_ED_Center/Satellites_and_Sensors/Polar_Orbits/Polar_Orbits_fig3


     Ou enfin, sur le site :

http://www.nrlmry.navy.mil/~kuciausk/esis/body/weather_satellites/polar.html


    Pas mal, n'est-ce pas, cette étrange zone polaire, qui fait fuir les satellites.

VIII Autre information surprenante très spécifique en date du 28/03/06.


    La réponse à la question précédente, nous est venue de quelques paragraphes du super site concernant la Terre creuse :

http://www.oocities.com/marksrealm/under012.html

ou à sa copie à :
nwolibrary.com/nwolibrary/item/download/189

    Il est écrit : " The negative anomalies over the polar openings are so great that the U.S. has lost satellites over them. In the early 1960's when the U.S. was trying to put its first satellites into polar orbit, they kept losing them over the Arctic pole until they decided to put them into orbit on either side of the polar opening. When they tried to send their satellites over the polar opening, several satellite cones were lost because they followed the earth's curvature into the earth's hollow interior where they crashed. (SECRET OF THE AGES, p. 130 Brinsley Le Poer Trench Londres: Souvenir Press, 1974) "

    Que nous pourrions traduire bien modestement : " Les anomalies perverses concernant les ouvertures polaires sont si grandes que les Etats-Unis, y ont perdu des satellites. Au début des années 1960, alors que ce pays essayait de mettre ses premiers satellites sur une orbite polaire, ces derniers furent perdus au dessus du pôle arctique jusqu'à ce qu'on décide de faire passer ces satellites tangentiellement à l'ouverture polaire. Aussi longtemps que l'on a essayé d'envoyer les satellites au travers de l'ouverture polaire, plusieurs ogives de satellites ont été perdus parce ces derniers ont suivi, vers l'intérieur, la courbure de la Terre creuse, où ils ont été engloutis. (SECRET OF THE AGES, p. 130 de Brinsley Le Poer Trench Londres édité par Souvenir Press, 1974)

    Mais poursuivons voulez-vous, en français cette fois la suite :

" l'auteur Ray Palmer a écrit en 1959, "la preuve la plus récente qu'il y a quelque chose d'étrange aux pôles terrestres nous vient du lancement des satellites en orbite polaires. Les six premières des fusées lancées par les Etats-Unis de la côte de Californie furent des motifs de déceptions et d'etonnements. Les deux premieres, bien que les lancements firent parfaits, ont mal tourné à la dernière minute et bien que l'on croyaient q'elle suivaient la bonne orbite, elle ont échoué lors de leur premier passage complet autour de la Terre. Techniquement on pourrait dire, qu'elles ont emprunté la bonne orbite mais qu'en réalité, elles n'y étaient pas installées. Il s'est passé quelque chose et cela dans le secteur polaire....

    Les deux satellites suivants portaient des ogives semblables à celles dans lesquelles un futur astronaute aurait pu être placé en orbite. Dans chacune de ces ogives se trouvaient un émetteur de radio puissant, car l'ogive était de la taille d'une automobile et transportait de lourdes batteries. Il y avait aussi de puissants projecteurs ouvant être éclairés en temps voulu. La technique du largage du satellite devait s'opérer par un dispositif déclenché par radio quelque part au nord de l'Alaska. Une fois ouverte, l'ogive a perdu de l'altitude pour effectuer une révolution de plus sur son orbite. Arrivé sur le pôle son altitude fut assez basse ( calculs fait les spécialistes des fusées ) pour descendre au dessus d' Hawaii, et grâce à un parachute l'ogive amerirrait lentement , puis de gros avions en attente, iraient le repêcherait et l'emporterait prendrait dans l'avion avant qu'il n'ait plongé dans l'océan pour récupérer intact ainsi son important contenu, sans dégâts.

     Et voilà ce qui arriva : On n'a pas entendu les signaux radio puissants du tout, ni vu non plus aucun feux. Le radar, avec une longueur d'au moins 500 milles n'a absolument rien détectés. Chaque experimentation fut un échec complet parce qu'il n'y avait rien à faire pour la modifier...

     Chaque lancement était parfait. Les orbites finement déterminée à la bonne distance, la vitesse, ont été réalisée et suivie constamment à la trace etc.. A la fin l'ogive s' est détachée avec succès et cependant tout tourna au désastre tet le résultat fut la disparition complète et inexplicable de l'ogive...

    .... Ce peut-il que l'ogive soit tombée à l'intérieur de la Terre, de cette "terre de mystère" découvert par l'Amiral Byrd ? Où cette ogive a-t-elle pu s'éclipser? Si on regarde les pôles de la Terre sur les cartes d'aujourd'hui, comment des lancements successifs sur une orbite basse peuvent-ils donner le même résultat inexplicable ? - Cette disparition défie la raison, n'est-ce pas ?(Lands beyond the poles par Ray Palmer, publié par Gray Barker pp. 13-14)

    Aujourd'hui il n'y a aucun satellite ayant une orbite polaire passant directement sur les pôles. Ceux qui ont une orbite polaire passent tangentiellement au bord des ouvertures polaires, sauf deux. Il y a deux satellites qui ont été découverts sur une orbite polaire en passant directement sur les pôles. Ces satellites n'appartiennent à aucune nation connue sur la terre. Et ils diffèrent de nos satellites. Ces deux satellites mystérieux consistent en deux blocs de roche d'une taille d'environ 15 tonnes . (RAPPORT D'OVNI août 1977, p. 29)

    Il semblerait que ces deux satellites polaires "de roche" appartiennent à la nation à l'intérieur de Notre Terre Creuse qui sait comment faire pour que ses satellites compensent du manque de gravité sur les trous polaires. Ces satellites de roche ne peuvent pas être confondus à les météorites qui ont étté capturés sur une orbite polaire. Ce ci est est pratiquement impossible d'après un consensus de scientifiques sur l'éventualité de météores tombant naturellement sur terre. Et la possibilité de deux entrées pour la même orbite et leurs stabilisations est impossible sans une supervision intelligente.


A vous juger, une fois de plus, tout cela !

IX Autre information annexe.

   Le 14 Nov. 2000, nous avons enregistré sur la chaîne Tempo, la rediffusion de l'émission bien connue de Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner, "C'est pas sorcier", consacrée justement aux satellites de la Terre. Mais écoutons textuellement ce que nous dit Jamy au sujet du satellite SPOT, qui orbite à 830 Km de la Terre:

  "Comment le satellite SPOT, peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre SPOT ne passe pas au même endroit et peut ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."

  Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de cette déclaration, qui montrent comment on nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites connus passent par les pôles, et qu'ils balayent ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce genre d'émission est destiné à la jeunesse et qu'il ne faut pas lui demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les protagonistes, eux mêmes, de cette émission, ont été "initiés" à "cette affaire polaire" , vue plus haut.

  Nous attendons vos suggestions avec ferveur..." .

       Fin de citation.

       Pendant que nous y sommes, à propos des satellites, précisons qu'il y a aussi cette affaire de la photo de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication, un superbe disque noir, au centre de l'Antarctique :



       C'est alors qu'un certain internaute Fabrice c....., nous a interpellés sévèrement le 21 Mai 2006 pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

      De même cet internaute en découvrant aussi la présence de disques noirs sur pas mal d'images des régions polaires nord comme par exemple celles-ci découvertes au journal télévisé de 19/20, le Mercredi 04/10/06, de France 3 et sur le site http://info.france3.fr/index-fr.php :

    


, n'hésiterait pas une seconde à qualifier ces disques noirs, comme étant dus à " la limite de la couverture satellitaire..." habituelle.

       Pourtant cet internaute, si bien avisé sur la circulation des satellites de la Terre et d'ailleurs, est lamentablement resté muet, quand nous avons présenté dans un de nos articles cette photo assurément trafiquée du pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle on voit nettement fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait encore , cette obscure pastille ? A vous de juger une fois de plus cette contingence très insolite...

     Fin de citation.

b) Quand on redécouvre les somptueuses aurores polaires.


       Reprenons alors le passage important de la page 194 du livre d'Anne et Daniel Meurois-Givaudan :

            " ... La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles.
" .

      Autrement dit cette révélation s'oppose tout à fait aux déclarations des scientifiques actuels qui prétendent que ces aurores, sont simplement l'effet de la rencontre des particules du vent solaire avec le champ magnétique terrestre.

       Voici d'ailleurs ce que nous en dit la revue Science&vie1095 de Décembre 2008 :

  

       On voit alors que selon cet article qu'il n'y a que deux théories qui ont l'agrément des scientifiques et surtout que les mots manquent aux scientifiques pour "expliquer cette spectaculaire violence venue du ciel". Pas question que cette aurore spectaculaire, vienne de quelque partie que soit de la Terre. Point barre.

       Pourtant l'illustration présentée par cette revue, montre bien que l'intensité de la lumière se manifeste vers le bas donc tout près de la Terre et non du haut du ciel, comme cet article le précise :


       Autre exemple :



     Quelle suberbe luminosité n'est-ce pas ? Et cela stationne au pôle !!! C'est une aurore boréale que nous devons à la courtoisie du Dr Hallinan, et l' astronaute Overmeyer de la NASA .

      Soyons tout de même fair play, et présentons aussi le beau schéma d'explication des scientifiques concernant le vent solaire, qui vient chatouiller, la magnétosphère terrestre, pour produire les superbes aurores boréales et australes :


      Nous supposons alors que la mission Themis, lancée par la NASA en Février 2007, avait d'autres objectifs plus secrets qu'une ballade de satellites dans le flux solaire. Bref chacun est libre de croire ce qu'il veut en fonction de la nature des informations qu'il détient.

c) Quand il est question des ouvertures polaires.


      Mais pour avancer dans nos investigations analysons cette phrase du livre de l'américain Raymond Bernard ( qui en réalité s'appelait Walter Seigmeister ) cité plus haut .

      Il est en effet écrit entre autres choses :

- Que la Terre est creuse et n'est pas une sphère solide comme on le suppose communément, et que cette partie intérieure communique avec la surface par deux ouvertures polaires.

      Cette assertion était pour R. Bernard difficile à prouver à l'époque car il existait pas de photos connues venant de l'espace montrant les ouvertures polaires et en particulier une comme celle-ci qui prétend montrer le trou polaire nord :



      Nous ne savons pas si cette photo est un habile montage ou pas, (Certains n'ont pas hésité à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo . Nous avons tout de même osé placer cette photo dans nos articles Byrdalicesuite.html et à audelaGrandNord.html, évidemment pour inviter en douce les internautes curieux à en dépister d'autres éléments.

     Après quelques recherches nous avons appris récemment que cette photo aurait été captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui  a travaillé, il y a environ 10 ans, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

http://virtuellife.centerblog.net/20608-la-porte-interdimensionnelle-universelle
.

      Le 4 Aout 2004, nous avons obtenu d'un grand infographiste, un rapport détaillé sur les propriètés de cette photo et nous notons ici, une partie , de la conclusion de cet infographiste :

"     Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses..."


      Si cela s'averrait exact, nous serions là en présence d'un document exceptionnel  et inestimable.

      Nous n'avons pour l'instant hélas aucun moyen de certifier tout cela. Donc voila une affaire à suivre de très près.

      Cependant nous avons fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d’environ 12713 km et que sur la photo testée l’arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire nous donne 1494 km pour l’ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma présenté dans le livre "La Terre creuse", de Raymond BERNARD déjà cité :


      Mais nous verrons plus bas, que cette affaire de diamètre de l'ouverture polaire, nous réserve une bonne surprise.

      Nous avons aussi retrouvé la photo précédente camouflée par la mention "The Hollow Earth" :

>


, et en plus elle est en fond de page du site :

http://www.2012unlimited.net/hollow.html

      Cela prouve que certains Webmasters ont jugé utile d'apporter toute leur confiance à cette photo.

     Mais il se passe ces temps-ci des choses bizarres. Jetez par exemple un coup d'oeil à la photo qui suit et qui est tirée pourtant d'une revue d'informatique très connue. Il s'agit du Micro Hebdo n°568 du Samedi 11 Mars 2009 :



      Cette image nous rappelle étrangement, la précédente, n'est-ce pas ? Comme ARTivision ne croit pas du tout au hasard, nous nous demandons, si ce n'est pas encore un coup des "Maîtres" qui préparent le Temps des Révélations, et qui agissent télépathiquement dans les milieux les plus divers. Les bien-pensants vont là, encore se tordre de rire, mais voici quelques propos de Soria, qui pourraient confirmer tout cela :

" L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiques d'Urantia Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous. Ainsi, parmi les survols d'ovnis, quelques-uns sont imputables aux intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre évolution. Il n'est pas rare que les scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres, les aidant même en laissant des formules dans la matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société, contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d' ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point de rencontre conscient entre eux et vous. Seule votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle éventualité. Votre conscience sera touchée par des informations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et prophète Jules Verne vous a préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos tendances à vous accrocher aux lois actuelles "

     Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria Edition Ariane Mars 2002.

     Alors, Messieurs les bien-pensants riez toujours si cela vous chante... Mais ARTivision se gausse de vos rires , et poursuivra ses recherches sans faille.

      Mais R. Bernard aurait pu ajouter ici, à la phrase citée plus haut :" Il en est de même de toutes les autres planètes comme Mars, Venus, etc..", car en effet, il avait déjà à sa disposition plusieurs photos, (qu'il met d'ailleurs dans son livre) montrant les pôles de ces planètes qui brillent d'une manière très insolite.

     Il y a d'abord cette photo de Mars, où les astronomes avisés, se sont bien gardés à l'époque de se prononcer clairement au sujet de cette calotte polaire qui brille souverainement, alors que la région concernée est dans l'ombre :


      Nous insistons sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA (qui camoufle et vérouille absolument tout cela) , mais du télescope du Pic du Midi  en France.

      On sait que pour ARTivision, la cerise sur le gâteau est venue de l'image obtenue du satellite de Saturne nommé Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ) filmé en fin Juin 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :


     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces les premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque.

     Isolons alors le globe de couleur bleue et agrandissons le, quelque peu :



      Pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne et la France, que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle sud de Titan.

     On pourrait alors se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ? Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du pôle nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose :



     Mais, le 14 Janvier 2010, super hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :

http://saturn.jpl.nasa.gov/photos/?subCategory=10

, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...




     Fin de l'entrefilet.

     Pas mal du tout, n'est ce pas, cette explication officielle pour ce disque polaire nord si brillant ?, surtout si l'on sait que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit d'après les dires des savants officiels.

     En effet nous vous invitons alors à découvrir en page 44 ce qui est écrit dans le n° Hors Série de Mars 2008 de la revue Science-Vie que voici :



, et qui confirme ce qui précède :



     Vous avez bien noté le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan.

     Mais allons, voulez-vous, un peu plus loin :

     Sur le site officiel :

http://solarsystem.nasa.gov/planets/profile.cfm?Object=Titan

,on découvre alors aussi ceci :



     Et, où nous avons souligné en rouge la phrase suivante tirée du texte intitulé : Saturn: Moons: Titan :
"Because of the extremely cold temperatures typical of celestial bodies that are that far away from the Sun, the structure of Titan's chemical atmosphere is in a state of deep freeze" .
 
, que nous traduirons modestement, par "En raison des températures extrêmement froides typiques des corps célestes qui sont bien éloignés  soleil, la structure de l'atmosphère chimique de Titan est dans un état de gel profond. "
 
     Cette phrase ambigüe ne signifie-t-elle pas, en clair , que la température d'une planète dépend de sa proximité avec notre Soleil, ce qui est totalement à l'opposé de ce que nous dit Pomar dans notre article : Byrdalice.html

     Or la photo présentée dans ce cadre précédent avec ses traînées très blanchâtres, placées au centre de l'image, ressemble comme deux gouttes d'eau, à celle de Titan parue dans le n° 321 de la revue Pour la Science de Juillet 2004. Mais nous dit-on, dans cette revue, cette image elle, ne vient pas Cassini Huygens, et fut prise, il y avait un certain temps, depuis le télescope Keck de Californie. Voyez vous même :


     Bizarre, n'est-ce pas, que tout cela !!!.

     A vous donc de juger, une fois de plus ces ambiguïtés, que nous exposent ici, les bien-pensants officiels .

     Pour les puristes, qui aiment partir des sources, disons que nous avons aussi découvert dans le même site, saturn.jpl.nasa.gov/, l'image suivante à la page 21, accompagnée de la mention : "Red spot on Titan" :


     Curieux n'est pas ce nuage qui brille admirablement, tout seul, au sommet de la planète !!!

     Et aussi, il y a les images connues suivantes, à la page 32 :


     Et en noir et blanc en agrandissant :


     L'image centrale est très nette et en considérant la brillance du disque au pôle sud que met bien en relief la couleur noire, et il ne saurait non plus ici, (d'après ce qui précède), être question de la réflexion des rayons d'un pâle Soleil sur de la glace.

     Mais voyons plutôt, ce qu'on trouve écrit, sous ces trois images en noir et blanc :


     Nous avons alors souligné en rouge, le passage qui nous interpelle ici, et que nous traduirons toujours très modestement par : "Un brillant nuage de particules de méthane est apparent dans les trois images près du pôle sud. Ce nuage demeure permanent au travers d'une vaste gamme de couleurs et cela indique que les particules qui le composent sont imposantes par rapport à la brume typique de particules entourant la planète, ce qui suggère une atmosphère dynamique active près du pôle Sud."

    Voilà donc encore cette affaire de méthane, que nous avions trouvé sur plusieurs sites, comme par exemple celui là :



     On y découvre alors, ces propos :

Le 3 juillet 2004 : La surface de Titan

"La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètre il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."

     Mais voyons aussi, ce que nous dit la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004, comme tentative d'explication de ce disque brillant de Titan.


     Vous constatez donc que l'on qualifie, ici encore, avec une assurance notoire, ce disque superbement brillant de Titan de "champ de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus.(Voir notre article à Byrdsuite.html)

     Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, et savent très bien se passer le mot, dès que possible.

     Disons alors que, s'il s'agit vraiment "de nuages de méthane", ce dernier a dû être chauffé à blanc et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifié magnifiquement par les rayons d'un Soleil si éloigné...

      Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de cause ...

      Mais rappelez-vous, qu'il est aussi écrit plus haut, que cela " suggère une atmosphère dynamique active près du pôle Sud."

      Notons cependant, qu'il y a tout de même, une scientifique qui a vraiment été interpellée par cette atmosphère dynamique au pôle sud de Titan en considérant, sous un autre angle, le disque brillant qui s'y trouve, et scientifique qui elle, a évité de parler de méthane en la circonstance. En effet cela se trouve dans un article particulièrement intéressant du Journal "Le Monde" du 10/11/04, dont nous avons placé les éléments à :


      De cet article précédent, nous avons extrait surtout la phrase suivante qui a particulièrement retenu notre attention :

      " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. " "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Nous notons donc bien, la modestie de Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, qui dit qu'elle ne sait pas comment qualifier ce disque extrêmement brillant que l'on aperçoit au pôle sud de Titan.

     Voila donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte de nuage" (mais elle évite de parler de son extrême brillance) qui se présente sous la forme d'un vortex tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. Reste à savoir si cette scientifique a découvert dans les dizaines de photos qu'elle a pu obtenir sur Titan, que ce vortex était parfaitement immobile, ce qui posait alors une très grande énigme. On le saura sans doute un jour ! Patience donc, et c'est à vous desormais qu'il appartient de juger tout cela, documents à l'appui ...

    Il y a aussi cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars était alors au plus près de la Terre à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas non plus de la NASA, et était visible sur le site suivant  qui n'est hélas n'est plus fonctionnel et tout a disparu totalement.

 
     Dès le début de 2006, nous disions qu'il nous fallait donc tout faire ( Si un internaute ou un de ses amis pouvait en faire de  même de son côté, ce serait formidable)  pour contacter le Griffith Observatory afin de retrouver les références exactes de cette incroyable photo, qui est placée chez nous à :

    Il est bien aussi à remarquer qu'une telle photo, (à notre connaissance, mais un cas pourrait peut-être nous avoir échappé ), ne fut jamais diffusée dans les médias qui ont pignon sur rue et pour cause. Vous pouvez chercher dans revues spécialisées bien connues,  aucune d'entre elles n'a osé en parler, même à titre de curiosité, car leurs journalistes  n'ont aucune explication orthodoxe à présenter sur le cas de cette incroyable brillance du pôle sud de Mars. Alors il est préférable dans ce cas de se taire  et de fourrer la tête sous le sable comme l'autruche pour ne pas voir l'inexplicable.

     Mais le 30 Août 2010, Super Hasard est venu, à notre aide pour nous offrir sur le plateau d'argent, les caractéristiques tant recherchées depuis des années, de la fameuse photo .

     En effet, en tapant sur GOOGLE, entre guillemets :

http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html

, nous sommes tombés alors, sur le site de Merlin placé à :


, où il est écrit, en dessous de la photo :

Mars, Su 083103 - Griffith Satellite Observatory
Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

, ce qui signifie que cette photo de Mars, fut réalisée le Dimanche 31 Août 2003, par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

     Donc un Grand Bravo à Merlin, qui a eu à l'époque, avant la disparition du site, l'idée géniale de noter les caractéristiques de la fameuse photo en question. Toutes nos missives en direction du - Griffith Observatory - , sont demeurées sans réponse, sans doute parce que nous n'avions pas l'e-mail du Centre Principal.

     Mais Super Hasard a fait encore plus fort : En effet le 09/09/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute, la missive très importante suivante :

----- Original Message -----
From: S.. U...
To: fred.idylle
Sent: Thursday, September 09, 2010 5:02 AM
Subject: Cela pourrait très certainement (énormement) vous intéresser.

          Bonjour M Idylle,

     Comment vous expliquer ? Il existe un site de sauvegarde sur le net qui permet parfois de retrouver d'anciens sites disparus, c'est celui-ci :



     On peut y retrouver (parfois) certaines pages disparues.....

     J'y ai donc mis l'adresse suivante:
www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html
que vous donnez sur votre site.

     Voici le résultat :



     Veuillez cliquer sous "2004", il y a deux pages de cet ancien site, qui pourraient vous intéresser je crois....

     Mais vous connaissez peut être déjà ce site, veuillez alors ne pas tenir compte de ce mail.

           Très cordialement.

           S... U....

PS : Je tiens à m'excuser pour mon dernier mail, mais je n'avais plus d'ordinateur chez moi, j'en ai un nouveau depuis.


     Fin de citation.

     Comme c'est étonnant, c'est bien la page que nous recherchions depuis le début de 2006.

     Extrayons en, la partie qui nous intéresse :



     Une modeste traduction des 7 premières lignes (dont nous connaissons déjà une partie) donne alors ceci :

Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.

     C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.


      Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut.

     Nous nous posons alors la question, de savoir pourquoi un site aussi bien fait et aussi utile a pu disparaître aussi souverainement et pourquoi nous n'avons reçu aucune réponse aux adresses Griffith, que nous avions contactées ? Grâce à l'internaute S...U..., tout devient désormais plus pratique et explicatif. Bravo aussi donc, pour sa trouvaille et surtout pour son initiative en direction d'ARTivision.

     Le 26/09/2010, nous avons eu l'idée de rechercher le nom véritable de cette surprenante image de Mars sur le site en question, en cliquant sur l'image et puis ensuite sur Propriétés. Et non seulement nous avons trouvé son nom : Mars083103.jpg, mais en plus, nous avons trouvé aussi, en réfléchissant un peu, son adresse Web actuelle :


, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars:


     Comme on le voit, sur ARTivision chaque chose arrive, en temps voulu, n'est-ce pas !!.

     Cependant compte tenu de ces nouvelles données précises, il conviendrait de demander au moins à :

dans quelle revue scientifique ou autre, cette étrange photo, a pu être publiée ? Avis aux chercheurs et même aux amateurs qui s'interrogent vraiment sur tout cela ...

     D'autre part, nous avons reçu de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi cependant une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provient du site :

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante à celle-ci déjà placée sur une de nos pages :



     Mais pendant que nous y sommes, à cette affaire de pôles qui brillent, il nous semble utile de transcrire ici, un passage très important de notre article Byrdsuite.html :

      " En février 2005, plusieurs internautes vigilants, nous ont adressés l'information suivante tirée des sites :

Découverte d'un Point chaud inexpliqué sur Saturne :


    Des astronomes ont découvert sur Saturne un phénomène climatique encore inconnu dans le système solaire : il s’agit d’un vortex polaire chaud situé au pôle sud de la planète aux anneaux. Glenn Orton (JPL) et ses collègues ont repéré ce point chaud grâce au télescope terrestre Keck(du Mont Mauna Kea, à Hawaii) et attendent désormais les observations de la sonde Cassini pour mieux comprendre cette curiosité.

    Ces travaux sont publiés aujourd'hui dans la revue Science.

    Sur Terre, ces vortex se forment dans la stratosphère, au-dessus de l’Arctique et de l’Antarctique. La différence de température entre les hautes et les moyennes latitude crée un courant circumpolaire qui isole les masses d’air froides. En Antarctique ce vortex polaire contribue à la destruction de la couche d’ozone pendant l’hiver. Au pôle nord le vortex envoie de l’air froid sur le nord de l’Amérique.
    Que ce soit sur Terre, sur Jupiter, Mars ou Vénus, partout où ils ont été observés ces vortex polaires sont plus froids que l’air environnant. Sauf sur Saturne. Le pôle sud y est déjà particulièrement chaud – il est exposé au Soleil depuis 15 ans. Pourtant, à 30° de latitude du pôle les chercheurs ont repéré un point encore plus chaud.
    Il pourrait s’agir d’une concentration de particules absorbant la lumière du Soleil "coincée" dans la stratosphère. Cependant l’explication est insuffisante. Pour comprendre la formation de ce vortex les astronomes attendent le passage de Cassini et l’observation de cette zone par son spectromètre à infrarouge (CIRS) en mars et mai prochains.


Fin de citation

     Nous pensons alors que Cassini a eu largement le temps de photographier le pôle sud de Saturne et l'image suivante n'a rien de particulier qui puisse nous émerveiller :


    Cassini a-t-il mis, au bon moment, un filtre noir pour ne pas être "aveuglé" par une lumière trop génante venue du pôle sud de la planète? "

    Une fois de plus c'est un téléscope terrestre (ici celui de Keck à Hawaii) qui nous montre cette surprenante image, qui ne vient donc pas de la NASA.

     A vous donc de juger tout cela !!!

     En ce qui concerne, la luminosité des pôles des autres planètes, voir notre article :


     On trouve aussi dans le live de R. Bernard page 21, la déclaration :

- Que, suivant notre théorie d'une Terre plutôt concave que convexe à ses deux extrémités, le pôle Nord et le pôle Sud n'ont jamais été atteints pour la bonne raison qu'ils n'existent pas.

     Hélas ce n'est pas tout à fait vrai, car on pense actuellement que l'axe polaire de rotation n'est pas confondu avec l'axe passant par le centre des trous polaires comme l'indiquerait le schéma :



     Et donc il existerait bien des pôles géographiques Nord et Sud, (voir le bout des flèches bleues), juste sur le bord externe de la courbure et c'est cela que détectent les GPS de ceux qui sont fiers de montrer qu'ils sont arrivés aux pôles. (voir notre article :lettreouverteauPrinceAlbertII.html)

d) Quand on découvre l'existence d'une mer toujours libre de glace, dans les régions polaires.


     Mais revenons à la Terre creuse de R. Bernard :

     En page 101 et suivantes, R. Bernard , cite des passages de l'ouvrage surprenant de William Reed paru en 1906 aux USA : Fantômes des pôles :

 


Voici donc ce que nous dit alors Reed :

      " Beaucoup croient que l'océan Arctique est une étendue d'eau gelée. Pourtant, bien qu'il contienne de grandes masses de glaces flottantes et des icebergs, j'aimerais fournir au lecteur la preuve qu'il est en réalité une mer libre, facilement navigable, et que plus on avance vers le nord, plus la température s'élève.

      Outre des nuages de poussière et de fumée, on a observé aussi, en hiver, de nombreux brouillards. Si la Terre était la sphère solide que l'on dit, si l'Océan s'étendait jusqu'au pôle, où trouverait-on l'explication de ce brouilard ? Il est causé par de l'air chaud. De l'air chaud qui ne peut provenir que de l'intérieur de la Terre. Kane, un explorateur de l'Arctique, écrit : « Certaines observations semblent laisser supposer qu'il y a de l'eau loin dans le nord, et tout- au long de l'année. Les ciels d'eau assez fréquents, les brouillards, etc., que nous avons vus au sud-ouest au cours de l'hiver, confirment le fait.

     Dans les récits des explorateurs, de nombreux paragraphes sont consacrés à cette mer libre. Si une telle mer existe dans la région la plus septentrionale du monde, peut-on trouver une raison valable au fait que personne n'ait jamais atteint le pôle ? Les hommes qui avaient consacré tout leur temps, tous leurs efforts à cette tâche, qui parfois même y avaient sacrifié leur vie, étaient plus que désireux de réussir. Et pourtant, étrangement, ils échouèrent. Etait-ce parce que le temps devenait plus chaud, que la vie végétale et animale se développait plus abondamment ? Allons donc ! C'était tout simplement parce que le pôle n'existait pas.

     Nansen, qui probablement fut celui qui alla le plus loin dans le Nord, remarque dans son livre que c'était un étrange sentiment de naviguer ainsi sur une mer houleuse en pleine nuit, vers des terres inconnues, en pensant qu'aucun bateau n'était jamais passé par là. I1 souligne que le climat était relativement doux pour un mois de septembre. Plus il allait vers le nord, moins il voyait de ;lace. I1 écrit : « I1 y a toujours le même ciel noir devant nous, cela signifie que nous sommes en pleine mer. Chez nous, en Norvège, on est loin de se douter que nous filons droit vers le pôle sur une eau claire et limpide. Je ne l'aurais pas cru moi-même si quelqu'un me l'avait prédit quinze jours plus tôt. Et pourtant c'est la vérité !

     Trois semaines plus tard, Nansen note que l'eau n'est toujours pas gelée. « Aussi loin que l'on puisse voir, écrit-il, c'est encore et toujours la pleine mer. » Entre le 6 et 21 Septembre il ne trouva pas la moindre trace de glace, alors qu'il naviguait plein nord à une très haute latitude ".


      C'est cette affaire de mer libre, qui a été le plus longuement traitée sur ARTivision. Nous ne donnerons ici que quelques bribes de l'affaire :

      D'ailleurs pour mieux visualiser cette mer libre, jetez donc encore un petit coup d'oeil sur ceci où justement cette mer libre immense apparaît comme un fond bleu sombre :



     Enfin de compte, il semble que cette photo incroyable, résume bien ce qui précède et que nous déclare Nansen après environ de trois semaines de pénétration, plus au nord, de la zone polaire .

      Mais c'est l'Éditeur Hachette , qui en 1868, a publié du Dr I.I. HAYES, "La mer libre du Pôle." Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Reliure demi-basane violette, dos lisse.

      Le 04/07/09, l'ami internaute Etienne F , nous apprenenait que désormais on peut découvrir cet ouvrage en PDF sur le super site :


     et directement en PDF à :



     Pour tourner les pages, cliquer sur les petites flèches de droite ou de gauche du petit livre en haut.

     Mais on peut avoir aussi le texte brut en entier à :


     Nous n'avons pas le privilège de posséder l'extraordinaire ouvrage précédent , mais par une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto) en 1984, nous avons trouvé dans une vieille malle à 600 m de chez nous, un condensé de cet ouvrage de 1877 ( voir à ce sujet photos et textes de cet ouvrage à :Byrdsuite.html )

    Nous ne pouvons pas évidemment nous étendre ici , faute de place, sur les surprenantes révélations de cet ouvrage, mais pour terminer cette affaire , découvrons à la page 195, du livre de Hayes ceci :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

    
Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

      Ce qui nous interpelle dans cette affaire étrange, c'est donc son côté hautement paradoxal : Comment des gens sensés ont-ils pu inventer une telle histoire, si certains d'entre eux n'avaient pas vraiment découvert cette mer libre de glace et les oasis qui l'environnent dans les régions polaires, alors que tout un chacun s'attend logiquement à ne trouver dans ce coin, où les température sont extrêmes, que des vastes étendues neigeuses et glacées à perte de vue.

   A  notre avis, même un fou, ayant une imagination débordante, aurait du mal à élaborer une telle histoire. C'est comme si,  par exemple,  un jour vous découvrez, en sortant d'une forêt dense et équatoriale du Kenya, un lac gelé de plusieurs km2, sur lequel vous pouvez faire du patin à glace. Alors vous ne manquerez pas, c'est certain, de vous poser la question de savoir, quelle est l'origine de ce phénomène incroyable. Vous n'aurez pas beaucoup d'hypothèses pour vous venir en aide dans ce cas-ci : Soit, le classique micro-climat exceptionnel, soit l'action à distance d'un rayon réfrigérant extraterrestre. Il en a été de même, vous vous en doutez pour ceux qui ont été confronté avec cette affaire de mer libre inexplicable et , on ne parlait pas encore d'extraterrestres.

     Il y a aussi notre article très sélectif, qui nous parle de cette mer libre et qui est placé à :


     A ce sujet, il nous reste à découvrir d'autres dévéloppements annexes et tout aussi révélateurs. En effet nous serions aux anges, si un internaute à ses moments libres bien sûr, pouvait extraire du Web la moindre information sur :

- le Capitaine anglais Monson qui s'est approché à deux degrés du pôle Nord, pour y trouver une haute mer sans aucune glace (voir justement la photo à 4 flèches plus haut) .

- Un certain hollandais (à déterminer avec précision car hélas Buffon n'a pas cité son nom) qui a affirmé avoir été jusqu'au ras du pôle et qu'il y faisait aussi chaud qu'à Amsterdam en été.

- Sur un anglais nommé Goulden, qui mentionne dans un écrit au roi Charles II, l'affaire de deux vaisseaux hollandais qui auraient été jusqu'au 89° de latitude nord, et qui disent que là, ils n'avaient point trouvé de glace, mais une mer libre, ouverte et fort profonde.

- "Le recueil des voyages du Nord" , dont nous ignorons tout pour l'instant, sauf que le deuxième tome, fut édité à Rouen en 1716. Et toutes ces choses se passaient avant 1850 au moins.

    Cet ouvrage ressemble d'ailleurs étrangement à celui-ci dont on découvre ici les tomes 3 et 4 :



    Pour découvrir le tome 4, l'aimable internaute Leyla , nous signale que l'on peut le faire sur le site :


    Il est presque certain qu'à notre prochaine visite à Paris, nous filerons au plus vite à la Bibliothèque Nationale pour nous plonger dans les dix tomes de cet ouvrage. Hélas nous ne sommes pas prêts de nous rendre à Paris pour l'instant.

     Le 10 Septembre 2009, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Ludovic F...., la missive suivante :

From: Ludovic F......
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, September 10, 2009 4:57 PM
Subject: livre concernant le Pôle Nord.

            Bonjour Fred,
      En voulant en savoir plus sur Monson,, je suis tombé sur un livre entièrement scanné sur Google. C'est un livre en anglais, je n'ai fait que survoler quelques pages pour l'instant, mais je pense vraiment qu'il peut contenir des infos très intéressantes. Voilà le lien :


            Cordialement
            Ludovic.


      Fin de citation.

      Effectivement dans l'ouvrage de 1818 suivant :



      Nous découvrons alors en page 37, ceci :



      Une modeste traduction pourrait donner alors :

      " Le Capitaine Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland, a rapporté à Sa Majesté, que, étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de deux Hollandais à l'est de l'île d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se déterminèrent à aller plus loin vers le nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89 ° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais une mer libre et ouverte, et qui avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu l'agrément de tout un chacun. "

      Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver le nom de ces hollandais et surtout leurs journaux de bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques !!!

      A la page 101 de ce super ouvrage, nous trouvons aussi ce passage :


      Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :

       " Le célèbre Mr. Boyle,, à partir de ces exemples et beaucoup d'autres, a rejeté la notion longtemps admise que le pôle est l'archétype du froid. Le Capitaine Jonas Poole, qui en 1610 a navigué dans un vaisseau de soixante-dix tonneaux pour faire des découvertes vers le Nord, a trouvé un temps chaud au voisinage du 79 ° de latitude, tandis que les étangs et les lacs étaient débloqués, ce qui le mit, dans l'espoir de trouver un été adouci, et qui l'a amené à croire que le passage ( note du Webmaster : passage nordique généralement est-ouest ou ouest-est très recherché) pourrait être trouvé plus rapidement, en passant par le pôle de quelque manière que ce soit; et c'est pour cette raison que le soleil a donné une grande chaleur là, et que la glace était loin d'être aussi épaisse que ce qu'il avait rencontré à la latitude de 73 °. En effet, les Hollandais, qui prétendent avoir avancé à un degré du pôle, ont dit qu' il y faisait aussi chaud là que pendant l'été à Amsterdam. "

      Autrement dit, tout se tient, et Buffon , a eu certainement en mains, les mêmes sources que celles de cet ouvrage, car on y retouve les mêmes déclarations.

      D'autre part, est-il possible actuellement de savoir astronomiquement parlant, si le soleil de l'époque, aurait été capable dans la région de produire les effets calorifiques que l'on lui attribut si généreusement ?

      Affaire à suivre donc...

       Mais ce 19/09/09, voyons ce que nous dit ce passage à cheval sur le pages 102 et 103 :


      Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :

       " Comme preuve de cela, nous avons l'exemple d'un vaisseau qui était bloqué par la glace dans un des ports de la Baie de Hudson, et qui après le démantellement de la glace, fut relaché en mer bien que l'on soit à la Noël et pu rejoindre la région des Straits pratiquemenent sans rencontrer de glace, ce qui est surprenant dans la période de Mai à Juin, ce qui constitua un salutaire et rapide passage permettant de rejoindre son port d'attache. Toutes nos déclarations s'accordent au fait qu'à de très hautes altitudes, il y a moins de glaces. Barentz, quand son navire fut gelé à la Nouvelle Zemble, entendait le démantelement de la glace accompagné d'un bruit infernal venant de la déferlante mer du Nord, ce qui prouve qu'elle y est libre. L'immuable tradition des Samoïdes et des Tartares, qui vivent au-dela du Waycate, affirme que la mer est libre toute l'année au nord de la Nouvelle Zemble. Et, des gens connus de la Russie, la plupart partage la même opinion. Les déclarations de ces autorités ont certainement plus de poids, que de simples conjectures. "

      Pour compléter cette déclaration surprenante de Barentz sur la dislocation phénoménale de la banquise autour de son navire, au large de la Nouvelle Zemble, il serait sans doute utile de transcrire ces quelques lignes pages 108 et 109 du livre de Raymond Bernard, déjà présenté plus haut :

       " Les Raz de Marée.

       Reed
reproduit ici les descriptions qu'en ont faites les explorateurs. Descriptions parfois terrifiantes, où l'on voit d'énormes masses de glace se soulever à de grandes hauteurs et se briser dans un bruit terrible qu'on entendait parfois de très loin : « Des blocs géants tanguaient et roulaient les uns sur les autres, comme s'ils étaient bousculés par des mains invisibles, et ces énormes masses compressées faisaient entendre des craquements stridents qui glaçaient le sang dans les veines. »
      Selon Reed, la fréquence de ces puissants raz de marée semble exclure la possibilité qu'ils soient causés par des éruptions volcaniques sous-marines. La seule hypothèse à retenir, et que nous avons déjà envisagée plus haut, est que ce sont les icebergs qui, après s'être libérés de leur lieu d'origine, plongent dans l'Océan et créent ces terribles vagues de fond. "


      Mais ce 20/09/09, pendant que nous y sommes, faisons ici une certaine digression qui est tout de même en rapport avec la mer libre du nord.

      En pages 100 et 101, du livre de R. Bernard, on trouve aussi, concernant une affaire de neige colorée, de pollen, et de poussière noire circulant en abondance dans le bassin autour du Pôle nord, ceci :

       " William Reed, écrit à ce sujet.

       Si la matière qui produit la neige colorée est une substance végétale - ce que prouve l'analyse - substance qu'on suppose être du pollen, et si aucune plante, si aucune fleur ne peuvent croître logiquement dans le voisinage de 1'océan Arctique, alors cette substance végétale ne peut venir que de l'intérieur. Car si elle provenait d'un lieu plus éloigné à la surface de la Terre, on comprend mal pourquoi la neige ne serait pas colorée de la même façon ailleurs que dans le voisinage de l'ouverture polaire, ce qui n'est pas le cas.

      La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.

      Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?

      Divers explorateurs ont fait état de la présence de nombreuses roches et de blocs de pierres, trouvés encastrés dans les icebergs. Ces blocs de pierres ont été, soit projetés là par un volcan en éruption, soit charriés par les fleuves de l'intérieur. "


     Difficile à croire n'est-ce pas, Messieurs les sceptiques ? Voyez donc vous-mêmes ce que nous en dit l' ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des deux tomes de l'Édition d'origine.



    Et voila ce que nous dit page 101, Nansen, après être arrivé autour du 81° 18'de Lat Nord :



    Vous constatez que cette image, nous permet de faire d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle (sans doute celle de Jean-louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...A vous de juger.

      Mais il y a aussi cette affaire de tronc d'arbres flottant à la dérive sur cette mer libre du Nord :

      Page 118 de l'ouvrage de R. Bernard, on trouve aussi :

" Bois flottant, branches d'arbres portant des bourgeons verts, graines tropicales, oui on a trouvé tout cela dans les mers arctiques.

      A propos de ces graines tropicales Gardner écrit : " Elles viennent de l'intérieur de la Terre pourquoi ? Parce qu'elles apppartiennent à des arbres qui ne poussent que dans des climats très chauds et qu'on voit mal comment elles auraient pu parcourrir des milliers de kilomètres à travres le monde sans se désagréger"
. "

      Tout cela représente des faits clairs et nets que les chercheurs sérieux doivent absolument mettre en exergue, et faits qui ont été malheureusement occultés par les médias, qui ont pignon sur rue, et dont la mission est justement de nous informer sur les bizarreries de notre environnement. A vous de juger donc...

       Mais voici un dernier cas pour la route, venant toujours de l'ouvrage précité de 1818 , en pages 121 et 122 dans la partie consacrée aux récits de divers navigateurs :

  

      Notre modeste traduction devient alors :

       " Dans toutes mes conversations avec nos commandants, , je n'ai jamais manqué de leur demander quel itinéraire qu'ils prendraient pour atteindre les très hautes altitudes du Nord. Le résultat était alors qu'ils ne cherchaient jamais à l'atteindre en passant par l'ouest du Spitzberg, mais en filant vers le Nord en partant de la côte Ouest de la Nouvelle Zemble; Les raisons de Mr Baske et celles d'autres commandants furent :

1°) Que toutes les côtes Ouest des régions nordiques étaient pour la plupart, libre de glace à cause des vents et des marées venant principalemeent de l'Est, comme le prouve l'expérience.
2°) Que cette glace vient au départ des rivères du Tartare. Pour cela la mer ne gèle jamais, mais là elle est calme, et à la même période la neige tombe abondamment.
3°) Que près des "Seven Islands", les navigateurs ont souvent été confrontés à une houle énorme venant du Nord-Est, ce qui prouve qu'à cette époque, la mer n'est pas gelée à une considerable distance vers le Nord-Est.
4°) Que le bois flottant (Note du Webmaster: Nous venons justement d'en parler plus haut), ne pourrait pas venir de la région au nord du Spitzberg, car les mers situées entre le Nord de l'Asie et cette île, seraient gélées? Alors qu'une quantité importante de ce bois se dirige sur la côte Nord de l'Islande, et cela démontre que les courants viennent du Nord-Est.
5°) Que sur certains de ces arbres, les dessins axiaux sont très nets et la couleur du bois très vive, si bien qu'ils ne peuvent avoir été asssurément plus de six mois en mer.
6°) Que certains de arbres ont des bourgeons qui ne pourraient rester aussi frais, si ces arbres avaient séjourné une année dans l'eau salée.
7°) Que l'Est du Groenland a maintenant été exploré jusqu'au 79° de Latitude-Nord et que probablement il s'étend plus loin en direction du Nord Nord-Eest et que l'on présume être la cause du blocage de la glace entre la côte et le Spitzberg et la raison pour laquelle il n'y a jamais de houle de Nord-ouest ou nordique.
8°) Qu' en général tous les navires qui ont été une fois au 82° de latitude nord, ont rencontré très peu ou pas du tout d'obstructions dues à la glace. Et des discusions en plus aboutiraient à la même concusion. Il y a certains cependant qui auraient préféré faire une tentative de circulation entre le Spitzberg et la terre découverte par Mr Gillis. "


    Retenons, en fin de compte, de tout ce laius plutôt fastidieux , que chaque navigateur s'attend à découvrir au-dela du 82° de latitude nord, une mer particulièrement libre de glace, et sutout qu'il y flotte souvent de jeunes troncs d'arbres, portant des bourgeons encore frais.

    Autrement dit R. Bernard ( vu plus haut en page 118 de son ouvrage ) en parlant de bois flottant avec des bourgeons, et aussi plus haut, de houle fantastique en mer polaire, sait de quoi il parle, puisque ce livre étonnant de 1818, en fait état , tout à fait clairement.

      Mais ce 23/09/09, poursuivons la digression, nous découvrons avec contentement en fait que Marshall B. Gardner (mentionné juste ci-dessus et qui a été assurément l'un des inspirateurs de Raymond Bernard ) avait parlé de ce livre de 1818, dans son ouvrage de 1920 .

    Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage :

  


      En effet, à cheval sur les pages 247 et 248, on découvre ceci :



      Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :

       " Une vue générale de la vie animale dans l'Arctique.

     Rappelons en premier lieu au lecteur que ces oiseaux, animaux et fleurs des régions arctiques ne sont pas nouveaux, mais ont été là, depuis des temps immémoriaux. Nous avons vu comment cela ressort dans les ancestrales traditions des esquimaux. Quand nous y sommes arrivés tardivement, nous avons découvert ces animaux et ces plantes. Un témoignage précurseur de l'époque moderne, est celui qui a été recueilli par l'érudit, dont nous avons déjà fait mention, Mr Hon. Daines Barrignton, dans son ouvrage " On the Possibility of approching the North Pole". Il nous raconte pas seulement que le bois flottant dérive vers la côte nord de l'Islande, ce qui entraîne qu'il ne puisse venir que d'une portion de la région nordique, mais que parmi les troncs entiers d'arbres, on y trouva certains qui avaient encore des bourgeons, ce qui est absolument impossible, si ce bois a dérivé longuement venant des climats du Sud. Il est évident que quelques mois à peine dans l'eau salée, auraient détruit les bourgeons. Mais il y avait des arbres qui montraient des pousses fraîches. Et il mentionne plus loin, que des observateurs du Spitzberg ont toujours noté que pendant l'hiver, juste avant la période du couvage, les canards sauvages, les oies et autres oiseaux, s'envolent en direction du nord. Il y a aussi une lourde migration qui s'abat vers le nord.


      Fin de la digression.

      Mais voyons aussi cela, venu de ce périodique que notre ami Claude, nous a fait découvrir, le 1er Février 2010, sur le site :



      En réalité, ce périodique s'intitulait " Annales des voyages, de la géographie, de l'histoire et de l'archéologie " dirigés par V. A. Malte-Brun,...Éditeur : Challamel aîné (Paris) Date d'édition : 1866-1871.

      Jetons alors un coup d'oeil, aux pages 16 et 17 du tome 1 :

  


      Nous avons souligné en rouge, les paragraphes qui nous interpellent fortement. On voit alors que les informations évoquées dans ce périodique, se rapprochent grandement de celles vues plus haut et de celles qui ont déjà aussi été présentées en partie dans notre article :Buffon.html


      On note ainsi, qu'un capitaine de la Compagnie Hollandaise du Nord, affirma à l'époque avoir trouvé la mer libre, en se dirigeant droit au Nord et approcha à la distance de 2 degrés du Pôle, duquel il fit deux fois le tour. Ce capitaine avait coutume de raconter cela publiquement, et de prendre son équipage à témoin de ce fait. Mais, on peut toujours dire alors, que les mesures de ce capitaine, furent, à l'époque, très approximatives.

      Mais, plus connue, est l'histoire de ce que raconte Joseph Moxon, qui lors de sa visite en hollande en 1656, eu écho du fait qu' un capitaine hollandais, " homme très-respectable auquel il pouvait ajouter foi, qu'il avait navigué sous le Pôle, où il trouva l'air aussi chaud qu'il avait coutume de l'être en été à Amsterdam. Enfin le capitaine Gould, qui avait fait plus de vingt voyages au Groenland, dit au roi Charles II, qu'étant au Groenland vingt ans auparavant, il avait rencontré près de l'île Edges (1), à l'est de cette contrée, deux navigateurs hollandais qui résolurent, comme il ne paraissait pas de baleine sur ce rivage, de faire voile plus loin vers le nord ce qu'ils firent en effet; qu'ils étaient revenus quinze jours après, et avaient été jusqu'au 89° degré, où ils n'avaient vu aucune glace, mais une mer parfaitement libre, et des vagues aussi grandes que dans la mer de Biscaie."

      Comme il serait important et merveilleux qu'un chercheur des Pays Bas, puisse mettre la main sur le carnet de bord du voyage de ces deux navigateurs dont, hélas le nom n'est pas ici encore mentionné.

    Mais voyons aussi les pages 18 et 19 :

  

      Là encore, ce périodique, nous reprend les propos de l'explorateur Kane vus plus haut par nous, sous la forme plus complète et inouïe : " Les détails de Morton sur la mer libre concordent parfaitement avec les observation de notre parti. Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

      Enfin nous devons aussi noter, ce que les esquimaux proposent pour comprendre cette affaire : " Enfin si nous en croyons les rapports faits par des tribus Tchoukchtes du nord de la Sibérie à Wrangell, des bateaux chargés d'hommes partis d'une terre située au nord du détroit de Béering seraient venus aborder sur leurs côtes; il y aurait donc au nord-est de la Sibérie et dans la direction du détroit de Béering, une terre habitable par l'homme. Du reste, les contrées qui avoisinent le Pôle Nord sont, généralement, amplement pourvues de ce qui peut intéresser la vie de l'homme. "

      Les légendes des esquimaux concernant l'existence supposée d'une terre tropicale plus haut dans le nord, sont donc à rechercher avec la plus grande persévérence.

       Voila, maintenant, c'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui...

    Mais revenons un peu plus, à la Terre creuse de Raymond Bernard :

     Aux pages 65, et 66, nous pouvons lire ceci :

" Une découverte russe au pôle Nord.

    Un article très intéressant sur ce sujet a paru dans le numéro de mars 1962 de Soucoupes volantes, sous la signature de son rédacteur en chef, Ray Palmer. L'article est intitulé : « Le pôle Nord - Façon russe ». Il décrit les remarquables découvertes faites par les explorateurs russes dans l'Arctique. Ce papier porte le sous-titre suivant : « Les Terres mystérieuses des pôles : une preuve de plus - Deux cents ans d'exploration ont amené les Russes à une nouvelle conception du pôle et rendu désuets les anciens traités de géographie - Des faits géographiques indiscutables ! "

    En voici de longs extraits :

    « Beaucoup de lecteurs se souviendront des articles que nous avons publiés ici même sur le caractère mystérieux des zones polaires. Nous avons suggéré qu'il y a beaucoup plus " d'étendue " aux deux pôles qu'il est possible d'en voir sur un globe terrestre. Nous avons mis en lumière les vols étranges de l'amiral Byrd. Nous avons même avancé l'idée que la Terre est creuse et qu'il est fort probable qu'il existe des ouvertures géantes aux pôles donnant accès à l'intérieur. Nous avons souligné la grande discrétion dont font preuve les officiels concernant l'Arctique et l'Antarctique. Nous avons encore émis l'hypothèse que les soucoupes volantes pouvaient venir de cette contrée mystérieuse, à l'intérieur de la Terre....
"

    Et en pages 73 et 74 :

Des fragments d'inconnu.

    Palmer cite ensuite une déclaration faite par les explorateurs arctiques russes. Cette déclaration nous semble d'une grande portée. La voici : « L'exploration et la recherche ont montré qu'une grande étendue de la surface de la Terre - et par voie de conséquence de larges fragments d'inconnu - devrait, dans un proche avenir, élargir le champ des connaissances humaines. »

    Ces mots font un écho étrange aux paroles de l'amiral Byrd qui avait considéré la région transarctique, reconnue et découverte par lui, comme « le centre du Grand Inconnu ».


    Palmer commente ainsi la déclaration russe :

« Cette phrase est vraiment stupéfiante. Que veut-elle dire en réalité ? Elle veut dire que non seulement l'exploration, mais aussi la « recherche », ont montré l'énorme importance de la région polaire, ET que, par voie de conséquence (l'expression est significative) elles ont révélé un vaste domaine INCONNU. Inconnu, et dépassant même notre COMPRÉHENSION ACTUELLE. Mais il se pourrait bien que cet inconnu nous soit accessible dans un proche avenir. »

    Palmer poursuit :

    « Les Russes mettent aussi l'accent sur les larges perspectives de développement du bassin polaire. Or, suivant les conceptions actuelles, qu'est-ce que le bassin polaire ? Un océan de glace. Quelles perspectives de développement pourrait-on bien chercher et trouver dans ces masses de glace ? Il faut qu'il y ait autre chose. Et cet autre chose, c'est un vaste territoire inconnu qui reste à explorer et à développer. »
"

    Vous avez bien lu que «....Deux cents ans d'exploration ont amené les Russes à une nouvelle conception du pôle et rendu désuets les anciens traités de géographie - Des faits géographiques indiscutables ! »

    Il va de soi que nous implorons avec déférence, aux internautes écrivant le russe parfaitement d'avoir le curiosité de jeter un petit coup d'oeil sur Google sur les expéditions polaires russes des deux cents dernières années. Nous sommes absolument certains, qu'ils y trouveront des trésors littéraires fantastiques, dignes de faire rougir les meilleurs auteurs de Science Fiction.

    Mais pendant que nous y sommes, voici un petit plus concernant les internautes russes en question :

    Dans notre article : http://www.artivision.fr/affaireGiannini.html, nous découvrons l'extrait de la page 53 de l'ouvrage hors normes, intitulé "Mondes au delà des pôles" , paru en 1959 d' Amedeo Giannini :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois hélas encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. Nous demandons donc encore à tout internaute connaissant parfaitement le russe, de tout faire pour retrouver la trace et les écrits de ce Dumbrova. Cela est, on le devine bien, de la plus haute importance.

      Aux dernières nouvelles, notre amie Mériten , nous apprend que ce Dumbrova, ne serait pas russe, mais roumain, et s'appellerait plutôt Constantin DUMBRAVA (1898-1935). Voir le site :

http://www.romania-roumanie-magazine.com/voyageurs_explorateurs01.htm

     Toute personne pouvant obtenir la moindre information sur les expéditions polaires de ce DUMBRAVA, serait hautement bénie, cela va de soi, par ARTivision.

     Alors que nous avons découvert cette affaire de mer libre de glace , il y a seulement environ 37 ans (et évidemment pas dans un ouvrage scolaire), l'incomparable romancier Jules Verne , déjà cité, lui la connaissait depuis belle lurette :

      Voyons quelques passages où il parle de cette merlibre :

     Dans son ouvrage "les Enfants du capitaine Grant",, l'auteur nous dit au chapitre 9, page 80, de l'édition en livre de poche, ces mots: " - Bravo, mon ami répondit Paganel, et moi aussi j'aurai voulu savoir si le continent se prolongeait jusqu'au pôle, ou s'il existait une mer libre, comme le supposait Drake, un de vos compatriotes, mylord.".

     Dans son ouvrage Le Sphinx des glaces, l'on découvre encore au sujet de la mer libre du Pôle Sud cette fois dans l' Edition  Hachette   1981:

Page 153: " - Avant un mois, j'espère avoir retrouvé, au delà de la banquise, la mer libre signalé avec tant d'insistance par Weddell et Arthur Pym, et nous n'aurons plus qu'à naviguer dans les conditions ordinaires jusqu'à l'ilott Bennet d'abord,jusqu'à l'ile  Tsalal ensuite . Sur cette mer largement dégagée, quel obstacle pourrait nous arrêter, ou même nous occasionner des retards ?.."

Page 163:  "  ...Puis dès qu'il a disparu , c'est la longue nuit qui commence, nuit souvent illuminée par les irradiations des aurores polaires "....
 "A l'approche de ces contrées antarctiques, il serait demandé ce que cachait le voile nébuleux qui en dérobait la plus grande étendue...Y découvrirait-il des élément nouveaux dans le champ des trois règnes minéral, végétal, animal, des êtres d'une "humanité " spéciale, tel qu'affirme les avoir vus Arthur Pym?"
Page 180:  " - Sans doute , Monsieur Jeorling! Cependant, au delà de la banquise , c'est encore l'inconnu pour moi, comme pour tant d'autres  navigateurs !
- l'inconnu , ...  Non pas absolument, capitaine, puisque nous possédons les rapports très sérieux  de Weddel et j'ajoute, ceux d'Arthur Pym.
- Oui!... je le sais!..ils ont parlé de la mer libre...
- Est-ce que vous n'y croyez pas ?...
- Oui!... J'y crois!... elle existe et cela pour les raisons qui ont leur valeur...."


       Qui pourra dire encore que Jules Verne n'était pas un initié, tout au moins au sujet de ce qui se passe aux Pôles de la Terre, et concernant les mers libres de glaces dont, nous personnellement, nous l'avons déjà dit, sommes tombés à la renverse en l'apprenant, seulement en 1972, grâce à l'ouvrage de R. Bernard : La Terre creuse.

      Arrivés à ce stade de l'affaire des pôles vous ne manquerez pas de dire : " Pourquoi n'organise-t-on pas des expéditions suivies vers cette mer libre, avec tous ces navires brise-glace que possèdent nos gouvernements. ? "

      Evidemment cela a déja été fait, mais une chappe de plomb, est vite retombée dessus. Mais lisez plutot ceci, extrait de notre article merlibresuite.html :

Prolongement journalistique spécifique en date 27/05/03.


     Le 18 Mai 2003,, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante et les couleurs sont de nous, évidemment :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord.

            Bonjour Fred.

       J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre .Et vous qu'en pensez-vous ?

      v.........t.



 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.




Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40% depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


Fin du message

     En somme, ce communiqué (qui parle souvent de première fois montrant ainsi l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires), ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom, déja cité, " La mer libre du Pôle " de  J. HAYES publié, on le sait, dès 1868 et mer libre que, nous venons de le voir, Jules Verne et bien d'autres explorateurs américains, russes, français etc.. connaissaient depuis des lustres.

     C'est à vous maintenant qu'il appartient de savoir pourquoi une telle information, concernant ce James McCarty, est carrément passée à la trappe, dans tous les médias qui ont pignon sur rue.

e) Quand on apprend que les icebergs sont faits d'eau douce, qui vient de l'on ne sait où !


    On trouve aussi aux pages 77 à 80 du livre de R. Bernard :

     William Reed dit que le lieu où la force de gravité est la plus importante se situe environ à moitié chemin de la courbe. Et cette force est si intense à cet endroit que l'eau salée de la mer et l'eau douce des icebergs ne se mélangent pas. L'eau salée demeure à quelques dizaines de centimètres au-dessous de l'eau douce, ce qui permet d'obtenir de l'eau bonne à boire en plein océan Arctique. Incroyable, non ? Et comment expliquer que les icebergs soient formés d'eau douce et non d'eau salée ? Reed et Gardner ont leur petite idée là-dessus. L'un comme l'autre pensent que cette eau douce provient des fleuves qui arrosent les régions chaudes de l'intérieur de la Terre. Quand ces fleuves atteignent la surface polaire, beaucoup plus froide, ils gèlent et se transforment en icebergs. Ces icebergs se brisent ensuite dans la mer, produisant d'étranges vagues de fond qui ont étonné bien des explorateurs arctiques.

     Selon Reed et Gardner, la température à l'intérieur de la Terre est beaucoup plus constante qu'à l'extérieur. Elle est plus chaude en hiver, plus fraîche en été. Il y a des chutes de pluie, mais il ne fait jamais assez froid pour qu'il neige. C'est un climat subtropical idéal, à l'abri aussi bien de la chaleur étouffante des tropiques que des vagues de froid de la zone tempérée.

     Reed et Gardner prétentent encore que l'ouverture polaire nord est plus grande que celle du sud. Ils disent qu'il y a une terre de paradis de l'autre côté de la « Mammoth Ice Barrier » (La Barrière de Glace du Mammouth). Une terre qui ressemble fort à celle que survola l'amiral Byrd en 1947.

- Commentaire d'ARTivision :
Que dire de plus après ces superbes explications concernant l'eau douce, dont sont faits les icebergs. Seulement nous n'avons pour l'instant pas trouvé une seule thèse ou un seul petit rapport scientifique, qui explique le phénomène. Nous demandons donc avec déférence l'aide de tout internaute qui pourrait mettre la main sur de tels rapports officiels. Merci d'avance.

f) Quand on apprend que les mammouths congelés proviennent de troupeaux bien vivants, qui vivent à l'intérieur de la Terre creuse.


     Durant les mois d'hiver, des millions de mètres cubes d'eau douce en provenance des rivières intérieures de la Terre coulent librement à travers les ouvertures polaires et viennent geler à leur embouchure pour former de véritables montagnes de glace. Quand arrive l'été, d'immenses icebergs, longs parfois de plusieurs kilomètres, se détachent de cette banquise et flottent à la surface de la Terre


     A l'intérieur de ces icebergs, on a découvert, en parfait état de conservation, des mammouths et autres animaux monstrueux qu'on a cru être d'origine pré historique parce qu'on n'en voyait plus de semblables à la surface du globe. Certains d'entre eux avaient encore de l'herbe dans l'estomac, et même dans la bouche, prouvant qu'ils avaient été saisis brutalement par un froid intense.

     L'explication usuelle est la suivante : ces animaux préhistoriques habitaient la région arctique à une époque où celle-ci jouissait d'un climat tropical ; une brutale glaciation transforma soudain cette zone chaude à la végétation luxuriante en un désert de glace, et les animaux furent en quelque sorte congelés sur place, avant d'avoir pu fuir vers le sud. Les grandes réserves d'ivoire (provenant de défenses d'éléphants) découvertes en Sibérie et dans les îles du Nord sont expliquées de la même façon.

     Gardner, cependant, émet une théorie totalement différente. Théorie confirmée plus tard par l'amiral Byrd, qui observa au cours de son vol mémorable au-delà du pôle une bête énorme ressemblant de très près à un mammouth. Gardner affirme que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils.

     En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes.

     L'opinion scientifique est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe : la dernière glaciation quaternaire.

     C'est un pêcheur du nom de Schumachoff, habitant Tongoose, en Sibérie, qui, le premier, en 1799, découvrit un mammouth entier pris dans un bloc de glace. Il brisa le bloc à coups de hache, s'empara des défenses et abandonna la carcasse de viande fraîche aux loups. Plus tard, une expédition fut envoyée sur les lieux, et aujourd'hui on peut voir le squelette du monstreux animal au Musée d'histoire naturelle de Léningrad.


- Commentaire d'ARTivision :
Voici deux représentations artistiques qui expriment le fait, dont-il s'agit :

  

    Dans cette circonstance, il serait peut être utile de reprendre ici pour le novice, certains paragraphes de notre article Byrd.html :

    Début de citation :

    " Mais il y a de plus, cette affaire de mammouths, que l'on retrouve, de temps en temps, dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov découvert intact en 1997 (posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)
  

     Autre exemple: Dans son ouvrage publié chez A. Michel en Mai 1970, intitulé " Terre énigmatique", l'écrivain Peter Kolosimo nous relate page 19 :

     " Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année.      "

    Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue":

     " Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte  en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré  revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique;  soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement  été enveloppés, tout de suite  après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "

     Ces hallucinantes narrations de  Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont -elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ? A bon entendeur salut..."

      Cependant pour avoir un peu plus de détails sur cette affaire de mammouth congelé, tournons nous vers l'ouvrage suivant d' Immanuel Velikovsky : " Mondes en collision" publié chez Stock en 1976 , (mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès 1950)

:


     On sait que les théories d'Immanuel Velikovsky qui ont trait à des bouleversements planétaires, ont été sévèrement combattues, par les Universités qui enseignaient que la Terre s'était formé progressivement sans cassure brutale, donc sans catastrophisme. Et maintenant, on pense parfaitement que les dinosaures auraient été exterminés à la suite de la chute sur Terre d'un météore géant. Donc on admet implicitement "les boulversements planétaires" préconisés par cet audacieux Velikovsky.

     Nous avons aussi l'ouvrage "Les grands bouleversements terrestres" du même auteur, également publié chez Stock en 1982 et dernièrement la revue ésotérique "Le monde de l'inconnu", lui a rendu un hommage très mérité sur de nombreuses pages... dans son n° 305 :


     Mais, découvrons alors, ce que nous avons souligné en rouge en pages 22 et 23 de "Mondes en collision" :


     Mais il y a mieux :

     En page en page 24 du même livre, nous lisons :

      " Dans leur estomac et entre les dents on a découvert  de l'herbe et des feuilles non encore digérées.  Preuve  nouvelle de leur mort brutale. Des recherches ultérieures ont démontré que les brindilles  et les feuilles trouvées  dans leur estomac n'appartiennent pas  à des plantes  qui poussent dans les régions où moururent les animaux, mais  beaucoup plus au sud , à plus de 1 500 km de là . "

     De l'herbe et des feuilles non encore digérées dans la gueule de l'animal, et non totalement décomposés après 20 000 ans d'existence ? Très curieux tout cela n'est-ce pas ? A vous de juger document à l'appui !

     D'autre part, il semblerait d'après  Velikovsky, que les étranges informations que nous avons soulignées en rouge dans son texte, auraient été tirées des observations d'un certain D.-F Hertz dans B. Digby, dans son ouvrage The mammoth (1926), page 9. Nous demandons alors à tout internaute possédant ce livre ou un autre, parlant de brins herbes découverts dans la gueule de mammouths congelés, d'avoir l'extrême amabilité de nous en toucher deux petits mots. Merci mille fois d'avance.

g) Quand on fait un plongeon vertigineux, dans la notion de Vérité , attachée à cette planète Terre.


      Pour compléter ce qui précède nous pourrions parfaitement ajouter d'autres faits étranges qui se passent dans les régions polaires et que préfèrent passer sous silence les bien-pensants accrédités, que fréquentent souvent les médias qui ont pignon sur rue : ( vents polaires chargés de pollens colorés de bleu, de jaune, etc..., ou encore vents chargés de poussière noire abondante. Il y a aussi ces nombreux morceaux de bois flottant sur la mer libre venant dont on ne sait quelle forêt, ou encore ces rochers déposés comme par enchantement sur certains icebergs à la dérive, etc...) , mais pour terminer ce dossier déjà bien long, nous allons plutot faire un peu de philoosophie très terre à terre.

    En effet, analysons brièvement cette notion de vérité , que l'on aime, par exemple, souvent évoquer en philo au Bac :

     Série S 2008 :

" Y a-t-il d’autres moyens que la démonstration pour établir une vérité ?"

    On peut déjà dire que, tout dépend du niveau culturel de la démonstration de l'expérimentateur.

     Serie L 2007 :

" Pour accéder au vrai, suffit-il de s'en tenir aux faits"

    On pourrait dire aussi déjà ici que tout dépend de la connaissance des faits en question et de la manière avec laquelle, ils sont saisis ...

     Pour compléter ces admirables assertions, voici une missive que nous avons reçue il y a peu de temps :

     " ........Que l'on utilise la science ou la religion ou l'archéologie ou le témoignage d'une vieille dame, cela ne m'importe peu et seule la vérité m'intéresse. Prenez donc ceci comme un feu vert à toutes révélations aussi choquantes soient-elles concernant n'importe quel domaine. J'ai moi aussi découvert beaucoup de vérités qui sont inadmissibles pour le grand public, et elles touchent aussi bien la santé, que certains faits historiques ou des évènements actuels qui sont entrain de se produire. J'ai soif de vérité, vos révélations ne peuvent que me faire plaisir............" .

     Cet internaute parle beaucoup, on le voit, de la notion de vérité qui lui est chère.

      Nous voyons aussi là, que cet internaute est un bon humaniste et qu'il recherche comme ARTivision depuis près de 11 ans ce qui unit les humains, plutôt que ce qui les sépare.( Mais cependant, nous prions alors, le nouvel internaute qui entre dans ce site pour la première fois, de bien boucler sa ceinture, car il risque d'y avoir, à l'altitude où l'on va voguer, quelques fortes turbulences , dans ce qui suit ).

      Nous allons donc montrer ici que notre environnement est avant tout basé sur un monde où l'illusion se taille la part du lion, et justement notre article lancé le 14/08/08 en parle tant soit peu :


    Donc philosophiquement parlant, nous pouvons affirmer que c'est plutôt de l'audace démesurée que de croire que l'on puisse se détourner facilement de l'illusion. Certes avec une bonne intuition (mais cela n'est pas enseigné dans nos universités), on peut, à la rigueur, dépister la notoire désinformation, mise en exergue par les Conjurés de l'Ombre, mais vouloir maitriser l'illusion, comme certains matérialistes  le pensent,  est pure vanité, et il en est de même de l'appréhension que l'on pourrait avoir de la Vérité concernant une chose et qui reste elle aussi encore reliée à cette illusion.

    Voici donc un exemple classique :

    Prenons par exemple le prétendu débarquement sur la Lune (encore une illusion notoire). C'est dit-on le 20 Juillet 1969 exactement à 22h56, heure des Antilles que le nommé Neil Armstrong, aurait marché, le premier, sur la Lune, mais cependant en France métropolitaine,  il était le 21 Juillet à 4h 56 du matin.  Pour rester donc impartial et mettre tout le monde d'accord, les chroniqueurs de l'événement  ne devraient tenir compte que  du méridien de Greenwich   en parlant 21 juillet à 2h 56 GMT. 

    Tout cela nous prouve bien la relativité des choses dans ce monde, et que nos démontrations sont en rapport direct avec le système de référence
dans lequel , on est imbriqué.

    Mais allons encore plus loin maintenant, dans cette affirmation :

    On pourrait actuellement avec bien sûr, l'aide d'un puissant ordinateur, trouver les équations compliquées qui feraient de la Terre , un système  central de référence  vis à vis du Soleil,  de la Lune et des autres planètes. On pourrait ainsi parfaitement prévoir les diverses éclipses et autres phénomènes cosmiques et dire ainsi fièrement que nous avons rétabli avec bonheur le Géocentrisme prôné par Ptolémée du 2ème siècle après J.C, et dont le principal ouvrage intitulé l'Amalgeste restera, pendant près de 14 siècles, le recueil de référence pour les astronomes. Rappelons que Ptolémée était tout de même arrivé à prévoir certaines éclipses par la Théorie des épicycles, sortes de petits cercles décrit par  la Lune pendant qu'elle tourne autour de la Terre (et il  n'avait pas des ordinateurs à sa disposition) . Cette théorie du Géocentrisme fut combattue, on le sait, par  Copernic en 1543. Mais le 5 Mars 1616, l'Inquisition a mis à l'index le système de Copernic et a condamné sévèrement Galilée pour l'avoir mis en exergue dans ses écrits. A l'époque évidemment, ce Copernic ne disposait pas lui non plus d'ordinateurs pour élaborer  les équations en question .

    Qui donc à raison ? Et qui est dans le vrai ?

    Tout dépend, on le voit du centre de référence que l'on choisit. En prenant le Soleil comme référence les équations étaient bien  plus simples ( et encore Copernic n'avait pas pensé alors aux  orbites elliptiques) .
D'ailleurs notre Soleil est lui même en mouvement et se déplace dit-on, en direction de la Constellation du Sagittaire et on pourrait encore dans ce cas, trouver un autre centre de référence (en dehors de notre Soleil) qui pourrait rendre compte avec plus de précision des évolutions de notre planète Terre au cours des milliers d'années.

    C'est pour cela que le grand  Albert Einstein dans un ouvrage intitulé "L'évolution  des idées en physique" Edition Champ- Flammarion  1993 (réédition )  a fait cette déclaration étrange :  

  " La grande découverte de Copernic réside dans le fait qu'il a transporté le système de coordonnées de la Terre au Soleil. Mais, étant donné que le mouvement est relatif et qu'on peut se servir de n'importe quel système de référence, il n'y a pas de raison de donner la préférence à un système de coordonnées plutôt qu'à un autre."   

  Ceci nous amène donc  à penser que les systèmes politiques devraient mieux assimmiler cette notion fondamentale de relativité si chère à ARTivision

      De plus, nous pensons aussi enfin alors, qu'il n'existe aucune notion, ni loi politique ou autre, qui valent la peine que l'on tue pour elle, un être humain. (sous-entendu qui ne menace physiquement personne). Combien de gens sont morts pour la Royauté, pour l'Empire, pour la République, pour la Papauté, pour chaque dictateur de tout bord etc.. et que reste-t-il de tout cela maintenant ?

      De plus, nous avons souvent entendu ces derniers temps, le fait qu'un prisonnier après étre resté des dizaines d'années dans une geole, a été innocenté grâce à son ADN.

     Mais un entrefilet comme celui qui suit, est beaucoup plus rare, et il nous invite à être contre la peine de mort d'un humain qui surtout, crit son innocence...


   Et on sait alors que la sinistre Inquisition, en l'an de grâce 1600,  n'a pas hésité à brûlé vif, le philosophe Giordano Bruno  sur ordre du Saint-office , et comme vous le savez l'Eglise catholique ( bien qu'elle ait voulu réhabiliter récemment  Galilée des siècles après)  ,  ne s'est jamais empressée de se faire pardonner en canonisant, au moins ce Giordano Bruno .

        Donc, sur le site ARTivision , on commence à le savoir, il s'agit souvent de lire entre les lignes , car certaines  informations sont à double sens  et dépendent  du niveau culturel de son auteur. On sait d'ailleurs que ce niveau évolue en fontion du temps .

   En voici encore un exemple très historique frappant :
 
   Exemple sur le site :  http://pagesperso-orange.fr/poincare.et.la.relativite/  , on  présente ces propos très philosophiques :  La recherche de la vérité doit être le but de notre activité : c’est la seule fin qui soit digne d’elle  .
 
     C'est très bien dit, mais pratiquement, on découvre, par exemple, qu'à une époque, on croyait fermement comme vérité absolue :

Que la Terre était plate, fixe et le centre de l'univers.

Puis, on a dit qu'elle est ronde.

Puis on a dit qu'elle tourne sur elle même et autour du Soleil .
(et comme nous venons de le dire, Giordano Bruno, en a fait horiblement les frais).

Puis, on a dit qu'elle est aplatie au pôle, et donc qu'elle est un ellipsoïde de révolution.

Puis on dit, ces derniers temps, qu'elle est creuse, avec un petit soleil au centre.
(Ceci reste à démontrer clairement et ARTivision s'y évertue régulièrement )

Puis on dit désormais qu'elle est vivante , qu'elle inspire par le Pôle Nord et expire par le Pôle Sud.

(voir plus bas, notre incroyable cliché du Satellite ATS III).

................................et ce n'est sans doute qu'un début, car d'autres dimensions peuvent entrer en jeu ...........


     Donc pour ARTivision , il semblerait que la vérité est comme l'horizon, que chercherait à joindre un novice dans son bâteau. Il s'apercevrait, bien vite, qu'elle recule à mesure qu'il avance vers elle.

     Certains diront alors, qu'il existe des certitudes bien démontrées aussi bien comme le disaient nos parents que "deux et deux font quatre". C'est en effet vrai, mais toujours à un certain niveau, car chacun sait que nos ordinateurs eux n'utilisent pas dans leur calcul, le système décimal où cette vérité s'applique, mais le système binaire, qui ne connaît ni le quatre, ni même le deux , et cette assertion "deux et deux font quatre", se traduit dans ces machines par "10 et 10 font 100". Donc, même à ce niveau élémentaire, les choses ne sont pas si évidentes.

     Nous rappelons donc aussi à ceux qui n'auraient pas encore pris connaissance de notre article intitulé Byrdalice.html, le paragraphe très surprenant suivant qu'il convient d'ailleurs de bien lire et relire et extrait de l' ouvrage remarquable intitulé "Nos pensées créent le monde" de la journaliste scientifique Martine Castello et du polytechnicien Vahé Zartarian publié aux Editions R.Laffont dans la collection Nouvelles énigmes, nous lisons page 23 :

" Les Hopis, indiens habitants l'actuel Arizona aux USA, ont du temps une conception qui diffère radicalement de la nôtre.

    Ainsi ils n'ont aucune notion d'un temps s'écoulant de manière linéaire et continue et entraînant dans sa course tous les objet de l'univers, du passé au futur à travers le présent. Leur langage même est dépourvu de tout mot, expression, tournure grammaticale, conjugaison, ou quoi que ce soit d'autre faisant référence explicitement ou implicitement à ce que nous appelons le temps, ni au passé, présent et futur, ni à la durée, ni encore au mouvement (qui serait conçu comme déplacement et pas comme un processus de transformation globale). Pourtant la langue hopi est extrêmement riche et permet de rendre compte de tous les phénomènes observables dans l'Univers... les Hopis ne voient pas le monde en termes d'objets comme nous le faisons, mais en termes d'événements... ces événements appartiennent à deux catégories, "les manisfestés" et les "non-manifestés".
"

    Curieux ceci, n'est-ce pas ? Si vous voulez en savoir plus sur les Hopis que certains pionniers conquérants qualifiaient autrefois de sauvages , précipitez-vous sur l'ouvrage en question indiqué ci-dessus, et vous y découvrirez , bien d'autres choses intéressantes.

     Ces Hopis ont-ils pu élaborer un tel système, sans recevoir une initiation venue des dieux ancestraux dont parlent la plupart des mythologies ? A vous de juger ?

     Tout cela pour démontrer que ce que l'on croit être La Vérité, connue dans un temps, n'est qu'une copie d'une autre vérité plus traditionnelle, qui nous vient des temps anciens. La Théorie Unitaire de la Connaissance prônée actuellement par certains chercheurs et leurs calculs et démonstrations s'y rapportant, ne peuvent que nous mettre l'eau à la bouche et nous aiguiller sur des sentiers toujours plus énigmatiques et cosmiques. Mais croire que l'on peut dans notre petit univers à 3 dimensions (il y en a bien d'autres autour de nous qui ont aussi leurs lois ), que l'on puisse accéder à une vérité quelconque absolue actuellement, n'est qu'une illusion assurément.

      Pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.

     Tout cela serait considéré, comme de la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.... 

"Fin de citation"

    Mais, si dans le livre de R Bernard, nous avions découvert plus haut que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :


ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

A vous de juger, une fois de plus, tout cela !

    Mais en terminant il nous semble utile de transcrire à nouveau ici, cet incroyable paragraphe de notre article :Byrdsuiteplus.html :

      Début de citation :

XXII Tremblements de terre inexplicables dans les régions polaires.


     Le 11/06/08 , nous avons recus de notre ami Rodolphe D...., la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008 10:04 AM

          Bonjour Cher Fred,      Je t'ai envoyé un mail le Lun. 09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas du le recevoir, alors je réitère mon envoi.

     Voici un article qui risque de t'intéresser au plus haut point : Tiré du site Futura Science ce jour. Voici donc de quoi il retourne :


voir les photos à :



Des violents séismes en Antarctique... deux fois par jour

Énorme surprise des glaciologues :

     Avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
     A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
     Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.
     Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.
     Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment régulièrs et violents.
     Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière.
     Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.
     Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ?
     Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.

Saccades géantes…

     Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.
     Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ?
     Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
     Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace.
     Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
     C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.
     Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan.
     La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.


Fin de citation

     Que voilà une nouvelle qui me ravit, en effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !

     Pourquoi ?

     Parce que, ces tremblements géants, tous les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20 minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur !

     En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les 12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui varie avec le temps).

     Et là, on nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se déroule aux deux poles !

     Tout cela confirme donc très bien, cette histoire de Terre creuse qui fait tant rire les sceptiques.

     Peut-être commençeront-ils à changer de couleur à la lecture ce cet article ! ........

nbsp;    Hors les tremblements aux pôles, ne sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de la terre soit 4.5 miliards d’années !

     Ces tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles, toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées de par le monde, cela n’est il pas étrange !

     On le voit bien une nouvelle fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.

     Mais le fait est, que cela est tout à fait possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois !

     Donc les railleurs de tout bord, doivent revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.

     Très amicalement

     Rodolphe.


     Fin de sitation

     Merci donc mille fois à l'ami Rodolphe pour sa si aimable participation aux recherches d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient pas eu un écho retentissant, dans les médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi !

XXIII Découverte D'un lac insolite dans le sous sol de l'Antactique polaires.(Paragraphe en date du 21/02/2010)


     Le 17 Février 2010, nous avons eu le grand privilège de recevoir d'un nouvel internaute nommé Marco, la superbe missive suivante :

----- Original Message -----
From: Marco C..........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, February 17, 2010 6:40 PM
Subject: Un lac au sous-sol de l'Antarctique

          Cher Monsieur,

      J'ai à vous signaler un article qui concerne, à mon ressenti, l'actualité du sujet de la Terre creuse. Mais peut-être étiez-vous déjà informé du sujet. Il s'agit de l'article "Au pôle Sud, à la quête du lac mystérieux", publié dans le journal "Le Matin" du Dimanche 7 Février dont j'ai conservé un exemplaire. L'internet aidant, vous trouverez, encore accessible actuellement, l'article complet sur le site du journal à cette adresse :


     Dont voici le début, au cas où l'article disparaîtrait brusquement :



     
J'attire votre attention sur les passages suivants:

     "Posée sur un épais glacier, Vostok est à la verticale d'un des dix plus grands lacs d'eau douce du monde. Sa découverte, qui date des années 1960, et son exploration, sur le point de débuter, en font l'un des grands enjeux scientifiques de notre temps."

     "Mais quelques hasards confortent aussi l'hypothèse de la présence d'un lac. En 1963, par exemple, la mise à feu d'une tonne d'explosifs inutilisés provoque une forte oscillation latérale de la glace, «comme si nous nous trouvions sur une coupole vide à l'intérieur», racontent les témoins de l'époque. Le glacier semble reposer sur du vide ou du liquide. Quelques années plus tard, les expériences de radio-location entreprises avec les Britanniques confirment qu'un lac de 250 kilomètres de long, 50 de large et environ 500 mètres de profondeur moyenne se cache bien sous la glace. Près de trois fois le Léman."

     " Dès le milieu des années 1990 pourtant, le forage russe de la station Vostok, approchant lentement du lac, est parvenu dans des couches de glace où des bactéries saisies par le gel à la surface du lac ont été retrouvées. Surprise! Ces bactéries ne sont connues ailleurs sur la planète que dans les eaux chaudes et tropicales d'une température supérieure à 30 degrés. «Plusieurs indices montrent que des sources d'eau chaude doivent exister, explique le professeur Nikolai Vassiliev, le grand patron de la recherche polaire russe en visite à Vostok. L'eau filtre probablement à travers des circuits dans la roche et se réchauffe.» "

     "La valeur des échantillons est telle qu'aux plus noires périodes des années 1990, lorsque la Russie plongée dans le cauchemar n'était plus en état d'entretenir Vostok, les Américains acceptèrent de ravitailler leurs collègues russes en échange de quelques-unes de ces mystérieuses carottes glaciaires."

          (Je trouve plus qu'étonnant que seul un intérêt scientifique ait incité l'Amérique à aller jusque là...)

          Meilleures Salutations,

Marco C..........


      Bravo donc, à Marco, pour cette information de grande importance, car les sources d'eau chaude évoquées par le professeur russe Nikolai Vassiliev pourraient parfaitement provenir de résidus des fleuves coulant à l'intérieur de la Terre, dont le gros débit donne les icebergs faits d'eau douce, flottant en masse autour de l'Antarctique, et dont personne n'a pu nous montrer jusqu'à présent d'où ils provenaient. Voir notre paragraphe : " XXVI Un certain plus concernant la formation des icebergs en date du 18/10/07." à Byrd.html.

      A vous de juger, tout cela, documents à l'appui.

f) Quand on apprend que la Terre pourrait avoir une sœur jumelle, cachée derrière le Soleil. (Paragraphe en date du 26/07/09)

     Pour terminer ces affaires de dissimulations, nous allons faire ici état d'une légende si extraordinaire qu' elle ne pourrait susciter que dénégation, suspicion, voire dérision, chez tous ceux qui prétendent connaître notre système solaire et les planètes qui le composent. Mais comme le site ARTivision est avant tout, au départ, un site ésotérique dans le sens le plus profond du terme (Mais il n'a rien à voir avec l'occultisme) et comme ce terme "ésotérique" sera bientôt effacé de nos mémoires, parlons plutôt de vocation exotérique du site, car avec l'arrivée de l'Internet , nous savons que "Il n'y a rien de caché qui ne doivent être découvert, ni de secret qui ne doivent être connu." "Mathieu. X-26", une parole pourtant vieille de 20 siècles. Surprenant n'est pas ?

     Donc ce site ne néglige aucune source d'information, même si celle-ci, nous arrive par des voies non répertoriées par la science officielle( médiums, channels, etc...). Cette légende, jusqu'à présent très peu diffusée dans la littérature spécialisée, prétend que la Terre aurait une sœur jumelle ( nommée aussi l'Anti-Terre) , symétrique par rapport au Soleil et totalement invisible pour nous, en raison de sa révolution sidérale synchronisée avec la Terre.


     Les petits grains essayent seulement de donner une idée du plan de l'écliptique, dans lequel évolent les planètes du système solaire. Nous n'avons pas évidemment représenté ici, les planètes plus proches du Soleil que la Terre, comme Mercure et Vénus.

     Il va de soi, que si cette Anti-Terre existe vraiment, et que ses habitants viennent nous surveiller de temps en temps avec leurs ovnis, nos gouvernements n'ont aucun intéret, pour l'instant, à nous en révéler l'existence, comme ils nous cachent celle de la Terre creuse. Ce paragraphe s'adresse en priorité au nouvel internaute, qui n'a pas eu encore le privilège de lire notre article :

http://www.artivision.fr/Terresym.html (article s' agrandit constamment)

     Des circonstances surprenantes nous amènent en effet souvent à sortir des articles vraiment hors normes , qui doivent chagriner passablement les bien-pensants.

     C'est ainsi par exemple , que le 28/05/01 a démarré notre article, unique en son genre à l'époque, sur le Net français Terresym.html. Tout cela est parti des, à peu près seulement, 6 lignes ci-dessous, en feuilletant par hasard le petit livre de poche du grand ésotériste français Serge Hutin, intitulé "Hommes et civilisations fantastiques" paru chez l'Editeur J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue " L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238 :

  

     Cet ouvrage paru en début 1970, nous raconte pages 32 et 33, la chose surprenante suivante: " Selon une tradition orale, connue encore de certains alchimistes contemporains, il existerait une planète sœur de la nôtre, occupant par rapport au soleil une place exactement symétrique à la Terre; il est donc impossible de l'apercevoir, puisqu'il faudrait pouvoir regarder derrière la fournaise solaire elle-même. "

     Donc Serge Hutin prétend ( et hélas , il ne donne pas ses sources et nous aurions pu alors le contacter quand qu'il était encore vivant) que la Terre a une sœur jumelle bien réelle, symétrique par rapport au soleil qui nous la cache sans arrêt, car elle évolue à la même vitesse orbitale que nous. Le grec Philolaos ayant vécu environ cinq siècles avant j.C. , l'appellait , l'Anti-Terre . La question qui se pose est de savoir : comment ce grec a pu découvrir cela ?

     Les astronomomes et astrophysiciens ont, bien sûr, réagi vivement en disant que cette planète circulant sur la même orbite que la Terre en perturberait passablement les mouvements et on s'en apercevrait vite fait et bien fait. Donc que cela était impossible .

      Mais ce qu'ils ignoraient, c'est que cette planète pourrait avoir l'orbite suivante d'après l'ami Frendelvel :


     De cette manière les deux astres ont leurs vitesses momentanées constamment équivalentes et leur opposition reste parfaite. Et là du coté des astronomes et astrophysiciens ce fut le silence d'une pierre tombale.

     Certains novices en astronomie affirmeront très vite, qu'il est très improbable qu'une planète ait la même vitesse de révolution sidérale autour du Soleil que la Terre, et que cela serait plutôt miraculeux.

     Qu'il nous soit alors permis de donner d'abord l'exemple de la Lune qui possède ce que l'on appelle, une rotation obligée , ce qui signifie qu 'elle tourne sur elle-même, dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours. La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone, est que la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle .

    Or d'après des spécialistes que nous avons contactés (Voir notre article à l'adresse :
,
il y a exactement cinquante corps célestes , qui ont la même sorte de synchronisation que la Lune, c'est à dire qu'ils effectuent une rotation sur eux mêmes précisément dans le même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète respective, ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible (ce qui est généralement le cas), qu'ils montrent toujours la même face à la planète.

    C'est ainsi que l'on apprend ( Voir notre article à l'adresse :
que le satellite Titan de Saturne, a sa période de rotation sur lui même, égale à 15,95 jours, et que sa période orbitale autour de Saturne est exactement égale aussi à 15,95 jours. Autrement dit Titan n'a rien à envier à la Lune du côté de la synchronicité.

    De plus, il existe un autre couple exceptionnel du système solaire Pluton-Charon, encore plus extraordinaire dans son mouvement, car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement en 6,39 jours également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît totalement immobile dans le ciel, (alors que l'autre hémisphère ne le voit jamais), exactement comme le serait un satellite géostationnaire pour la Terre.

    Pas mal comme performance n'est-ce pas ?

    La revue "Science&Vie" dans son n° 1003 d'avril 2001, a publié un remarquable article de 23 pages intitulé : "le Hasard est-il vraiment le Maître de L'Univers?", mais cette revue a, , dans cet article, cependant "oublié" de nous exposer le cas de ce couple Pluton-charon qui pourtant défie les lois du hasard, en nous plongeant dans la plus grande perplexité, et surtout, qui apporte de "l'eau au moulin" de notre article sur "l'incroyable aventure de Rose C " dont l'adresse est à: http://www.artivision.fr/RoseC.html)

     Quant à savoir, si une sonde, a pu passer derrière le Soleil et a pu photographier cette TerreBis , il n'est point besoin de sortir de Science Po ou de Polytechnique pour imaginer que ceci a bien pu se faire sans que l'on nous en dise le moindre mot.

     Rappelez-vous le fait, qu' en Octobre 2000, la NASA a envoyé sa sonde Near, photographier l'astéroïde Eros, où l'on a découvert par la suite, de nombreuses structures bizarres, et en particulier, cette chose, qui est sur la photo Near-01325770921 placée sur le site que nous vous invitons à vite enregistrer, car il pourrait disparaître d'un moment à l'autre :

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/planetary/mission/near/near_eros_3.html
et avec un agrandissement d'environ 6 fois, on a :

 

     Or la NASA n'a jamais fait le moindre communiqué au sujet de cette structure pourtant très étrange, et de plus, ce n'est qu'au dernier moment que l'on a appris que cette sonde Near, s'était posée en douce, sur Eros au grand étonnement de chacun. Une mission comme celle-là se prépare pendant de très longs mois et l'on n'avait pas de raison, de nous en dissimuler, la finalité. Alors pourquoi tant de cachotteries de la part de la NASA ?

     Le 22/11/06 , en fouillant dans nos archives pour trouver un document égaré, nous sommes tombés très opportunément, sur le n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992, où nous avons découvert un remarquable article de Mr Guillaume Cannat, qui nous a fait beaucoup plaisir.

En voici le titre :


     Cette sonde enropéenne qui a quitté la Terre le 6/10/90 à bord de la navette Discovery, va survoler Jupiter à partir du 8 Février 1992 pour profiter du champ gravitationnel de la planète pour bifurquer hors du plan l'écliptique où circulent les planètes de notre système. Puis Ulysse foncera vers le Soleil et réussira ainsi à survoler ses deux pôles, et faire de nombreuses mesures du vent solaire et de son champ magnétique. Le magnifique schéma suivant, nous explique cette super "Odyssée d'Ulysse" :


     Cependant dans cet article, on peut lire page 23, ce paragraphe très explicite :

     " ...Jupiter et ses abords vont donc retenir l'attention du monde astronomique durant tout ce début d'année. Mais il ne sera pas possible d'admirer de nouvelles images de ce monde dont les volutes colorées ont été gravées à jamais dans les mémoires par les photographies des sondes Voyager : "Il n'y a pas de caméra à bord!", déplore Bent Pedersen. Cruelle absence pour ce chercheur d'origine danoise, venu en France pour apprendre le cinéma et devenu spécialiste de Jupiter. "Pourtant, ajoute-t-il, voir les images de ces mondes lointains, c'est un peu comme découvrir un film grandiose jusque-là censuré." Des contraintes financières et des choix scientifiques autres, ont exclu la présence de caméras. "

     Comme nous "regrettons" aussi, cette abscence de caméra et cela pour deux raisons :

a) On aurait pu peut-être mieux voir les superbes aurores polaires photographiées par le Hubble Space Telescope, en Janvier 1998:


b) Beaucoup plus utile, on aurait pu aussi peut-être aux abords du Soleil, jeter un coup d'œil derrière celui-ci, vers la position symétrique à la Terre, pour y entrevoir cette fabuleuse Anti-Terre (connue des anciens grecs), et dont nous parle notre ami José Frendelvel, dans son admirable ouvrage intitulé "l'Or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire".

    Le 06/12/06, nous avons reçu de José, le mot suivant :

----- Original Message -----
From:Frendelvel
To:idylle
Sent: Sunday, December 03, 2006 11:46 PM
Subject: Re: Article sur la lune

          Cher Fred,

     Je vois que tu es toujours en super activité.

.....................................
     ...........Pour Ulysse, oui, je pense comme toi. La trajectoire de cette sonde n'a pas été laissée au hasard. Comme je le dis dans mon livre, son orbite solaire a été bien combinée pour pouvoir observer Vulcain ( l'Anti-Terre ) générant l'anneau de poussière zodiacal dans l'orbite commune Terre-Vulcain. Pas la contre-lueur qui n'était pas sur son chemin.

          Bien amicalement,

          José



      Fin de citation

     Merci encore à José pour son remarquable schéma, illustrant cette extraordinaire épopée d'Ulysse.

       Et c'est à vous donc, qu'il appartient désormais, de juger tout cela ...

     Nous n'en dirons pas plus aujourd'hui sur cette affaire de l'Anti-Terre . Mais comme sur ARTvision rien ne se fait au hasard , sachez donc qu'à notre grand étonnement le 26/01/02 en cherchant tout autre chose nous sommes tombés sur un article exceptionnel de Nostra du savant atomiste très atypique Jacques Bergier sur cet incroyable sujet et article que nous avons placé à :


     Il est clair que les astronomes et astrophysiciens de l'époque en découvrant les arguments de Jacques Bergier ont préféré rester bouche bée.

     Quant à expliquer comment une telle chose cosmique est possible, c'est tout le Passé de notre Terre qui pourrait être à revoir au plus Haut Niveau . (Voir ainsi notre article cité plus haut : RoseC.html ).

      Mais le 2 Juillet 2010, nous avons découvert dans nos dossiers le n° 1063 du Science&Vie d'Avril 2006, qui nous présente un très intéressant article sur la découverte de la planète Vénus par la sonde Venus Express de l’ESA, qui quitta le 9 novembre 2005, le désert du Kazakhstan à bord d’un lanceur Soyouz-Frégate. Au terme d’un voyage de près de 400 millions de kilomètres, effectué en seulement cinq mois, la sonde a atteint le 11 avril 2006 sa destination finale, la planète Vénus.

     Voici donc le début de l'article :


      Mais nous avons aussi été très intrigué par l'encadré suivant :


     , et en analysant le cadre des trajectoires :


   ,on voit alors hélas qu'il y manque la position de la Terre au 11 Avril 2006 à l'arrivée de la sonde Venus Express à destination.

     On peut alors se demander, si cette sonde Venus Express a pu photographier l'Anti-Terre, à un certain moment de sa trajectoire.

     Plaçons déjà alors, dans ce croquis, la position qu'occuperait l'Anti-Terre au départ de cette sonde, le 9 Novembre 2005.

     Comme nous ne sommes pas astronomes, il nous reste à repérer sur le Web, un autre graphique plus complet qui montre où se trouvait la Terre, à l'arrivée de la sonde sur Vénus.

      Une fois de plus, Super Hasard, ne nous a pas laissé tomber, car sur le super site :


,nous avons trouvé notre bonheur :


     Nous avons ajouté, bien sûr, les mentions qui correspondent à l'Anti-Terre.

     Donc pas besoin de sortir de Polytechnique pour se rendre compte qu'en ligne directe Venus Express pouvait parfaitement photographier l'Anti-Terre le 11 Avril 2006 au moins (il y a assurrément d'autres positions favorables avant cette date) .

     Si la planète Mercure , n'est pas venue, juste à ce moment-là, jouer le trouble-fête, voici d'ailleurs, la mise en évidence, par des pointillés en rouge, de cette ligne directe, permettant à Venus Express d'apercevoir l'Anti-Terre:


     Cet accès visuel direct, d'une autre sonde, en exploration du cosmos, avec l'Anti-Terre s'est probablement répété plusieurs fois lors de divers lancements. Que les spécialistes qui voudraient aller plus loin dans cette fantastique affaire, veuillent bien se donner la peine de vérfier, nous, nous n'en avons pas les moyens.

     A vous de juger maintenant, tout cela.

III Conclusion finale.


     Le site ARTivision, pourrait en dire bien plus sur les mystifications que l'on nous impose, mais mieux vaut (pour éviter toute saturation inopportune) arrêter, ( comme il est dit dans le sujet de philo vu plus haut) là , " les démonstrations" en question. Puissent-elles cependant ouvrir un petit sentier dérobé, conduisant à un autre monde plus humain , plus solidaire , et surtout plus lumineux.

     Mais justement, ce 26 Juin, pour illustrer, une fois de plus, cette affaire de diverses dimensions qui nous environnent, il nous semble juducieux d'envisager ici les conseils qui suivent d'un Grand Maître :

Une fois qu'un poussin a émergé de sa coquille, ou un papillon de sa chrysalide,
il n'y a pas de retour possible, mais il y a un déploiement continu dans le Nouveau.

Laisse le déploiement être pour toi un processus qui se fait

jour après jour, heure après heure, minute après minute.

Ressens la jubilation et l'attente dans tout ce qui se produit.

Il n'y a jamais de moment ennuyeux dans cette vie si tu restes alerte;

il y a toujours quelque chose qui se passe.

Laisse-le se faire, et n'essaie jamais d'arrêter le progrès, mais accompagne le mouvement!

Tu dois le savoir, tout ce qui se déploie sera pour le meilleur

et pour la croissance et le bénéfice du Tout.

Trouve ce rythme de vie parfait et donne-lui ce que tu as de meilleur.

Coule avec lui, non contre lui,

car ainsi seulement tu trouveras la paix du cœur et de l'esprit;

et quand tu es en paix au-dedans, tu es ouvert et prêt pour que le Nouveau se déploie.

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 26 Juin, après adaptation d'ARTivision
.


    Il semble alors, comme nous l'avons évoqué plus haut en parlant d'un sentier dérobé , qu'il convient donc d'abord d'apprécier dès maintenant les beautés et la générosité de la Nature, et elle saura amplifier, toujours davantage, cette structuration transcendante de nos pensées d'aujourd'hui, pour mieux construire, ce que sera Demain.

          Idylle Fred

     Article mis en page le 07/06/09, et revu le 08/06/09, et revu le 10/06/09 , et revu le 11/06/09 , et revu le 17/06/09 , et revu le 18/06/09, et revu le 19/06/09, et revu le 24/06/09 , et revu le 26/06/09, et revu le 28/06/09, et revu le 05/07/09, et revu le 07/07/09 , et revu le 12/07/09, puis le 15/07/09, puis le 19/07/09, puis le 26/07/09, puis le 28/07/09, puis le 30/07/09, puis le 16/09/09, puis le 17/09/09, puis le 19/09/09, puis le 20/09/09, puis le 23/09/09, puis le 24/09/09, puis le 19/01/2010, puis le 20/01/2010, puis le 24/01/2010, puis le 13/02/2010, puis le 14/02/2010, puis le 18/02/2010, puis le 19/02/2010, puis le 21/02/2010, puis le 26/03/2010, puis le 20/05/2010, puis le 05/07/2010, puis le 08/08/2010, puis le 15/08/2010, puis le 02/09/2010, puis le 11/09/2010, puis le 27/09/2010, puis le 04/01/2011, puis le 17/01/2011, puis le 29/01/2011, puis le 12/10/2011, puis le 14/10/2011 , puis le 08/05/2012, puis le 04/06/2012, puis le 03/10/2013, puis le 06/07/2014, puis le 21/12/2014.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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