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Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.
Mais ajoutons une image en couleur, de plus :
J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?... Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
pour Jupiter, on a aussi :
Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)
image, qui est en plus animée, et visible sur le site, tel que
Alors Messieurs les gilets jaunes... si vous voulez
vraiment sortir de sentiers battus et augmenter vraiment, le poids de vos légitimes revendications... exiger aussi, que ceux qui nous gouvernent en douce, sortent en priorité l'affaire des mystères polaires, si bien présentée par ce journal extraordinaire, d'époque, "The Leader-Post" du 31 Janvier 1947, et dont voici à nouveau, le début :
et, vous découvrirez alors, que tout le reste viendra ensuite par dessus, en ces temps du retour, du nouveau Ciel et de nouvelle Terre qui semblent dès lors, poindre à l'horizon.
C'est à vous donc, qu'il appartient, une fois encore, de juger tout ce qui précède, documents tangibles et incontournables, à l'appui...
Mais ce, 15 Mars 2019, disons que concernant les faits polaires notoires, vus juste ci-dessus, concernant les planètes de notre Système Solaire, nous attendons encore avec ferveur,, les explications même dérisoires et ridicules ( du genre : ces lumières polaires ne sont que des sortes de paréidolies autrement dit, des phénomènes dus à une illusion d'optique), de ces messieurs protagonistes journalistes et rédacteurs zélés de la Chaine ARTE, et des autres consorts de même gabarit, tels que :
Mais, hélas, c'est le silence assourdissant du sépulcre mortuaire, qui nous glace la colonne vertébrale.
Mais rappelons aussi ici, pour ceux qui lisent les articles ARTivision, comme une bande dessinée pour adulte en mal de distraction, que ce site est surtout un site anti-suicide, qui contrairement à ce que pensent
certains internautes de passage,, n'est pas du tout un site réservé aux choses insolites et fantasmagoriques... Par
exemple, le site ARTivision pourrait parfaitement parler du côté
négatif qui concerne, les ovnis, les mutilations de bétail, les chupacabras, les
maisons hantées, les combustions spontanées des corps physiques de personnes,
etc.. (nous avons évidemment de nombreux livres et documents écrits
qui traitent de ces sujets, et nous aurions pu parfaitement dès 1997, parler de ces affaires
macabres), mais désormais ARTivision, oublie tout ce qui provoque
la Peur, chez l'interlocuteur et
ne recherche que le
Sublime, qui subjugue l'humain, et lui fait prendre conscience de sa
place effective dans
l'Univers., n'en deplaise aux rationalistes endurcis qui croient, dur comme fer, de l'être humain est le fruit du hasard sur cette Terre, dont nous avons montré, dans de nombreux articles, le Passé prestigieux.
Ces propos, ne sont pas des imaginations philosophiques de notre site, mais, ils sont axés sur de très nombreuses informations, comme celle-ci :
Revue "Ondes Vives" n° 99 Juillet 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.
L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite IV)
"DANS LES VAISSEAUX DE L'ESPACE"
par Georges ADAMSKI. Rencontre avec un Maître .
Retournant au salon, George aperçut un homme que tous écoutaient
avec respect et qui, à première vue, semblait très évolué (Par la suite Adamski apprit que cet homme avait dépassé l'âge de 1000 ans dans la présente incarnation. O.V).
Cet homme
lui dit :
"Mon fils, vous venez, de faire un petit voyage qui vous a tout de même permis d'apprendre beaucoup de choses à transmettre à vos compatriotes. Vous avez vu que l'espace est en constante activité, rempli de particules mobiles à partir desquelles toutes les formes viennent finalement à être. Il n'y a ni commencement ni fin. (Note du Webmaster : Bizarre, c'est exactement ce que dit le Maitre de Findhorn, si souvent présenté dans nos articles ). Les corps innombrables que vous
appelez planètes sont semblables à votre monde et beaucoup sont peuplées
et gouvernées par des formes comme vous-mêmes et comme nous. Certaines
sont à votre niveau, mais d'autres n'ont pas encore atteint ce degré de
développement. Comprenez que les mondes sont des Formes qui doivent
progresser depuis la plus petite jusqu'à la plus grande.
Chaque planète se meut en coordination avec d'autres planètes autour
du Soleil, en équlibre parfait, formant un tout que vous appelez SYSTÈME.
II y a 12 planètes dans un système. Douze systèmes tournent autour d'un
SOLEIL CENTRAL que certains nomment ILE-UNIVERS. Douze îles-univers
forment une vaste unité et ainsi de suite, sans fin.(Note du Webmaster : Sans doute tout cela devrait être aussi rapproché des 12 signes zodiacaux, des 12 méridiens du corps humain, et parait-il aussi des 12 spirales de l'ADN à découvrir)
Dans notre planète (Vénus) et sur d'autres de notre système, la forme
que vous appelez HOMME a avancé intellectuellement et socialement, à travers divers stages, jusqu'à un niveau inconcevable pour les Terriens.
Ce développement s'est opéré seulement en suivant les LOIS DE LA NATURE. Chez nous, nous disons que cette croissance se fait en suivant les Lois de La Toute Suprême Intelligence, qui gouverne le Temps et l'Espace.
Comme vous l'avez vu, nous voyageons dans l'espace aussi facilement
que vous traversez une salle. La traversée de l'espace n'offre aucune difficulté à ceux qui ont maîtrisé les lois dans lesquelles vivent et se meuvent
tous les corps : planètes et hommes pareillement. Vous avez une conception
erronée de la distance. Plus votre connaissance grandit, plus la distance
raccourcit. Il vous faut bien moins de temps aujourd'hui pour aller d'Europe
en Amérique qu'il n'en fallait il y a un siècle, et pourtant la distance est la
même. Il en sera de même, lorsque vous aurez appris les lois de l'Espace.
De même, sachez que tout être humain peut être aussi à l'aise dans une
planète que dans une autre, malgré les conditions différentes d'atmosphère,
d'altitude, de température etc... C'est une question d'acclimatation et de
temps. Concernant la situation de votre monde, non mon fils, votre planète
n'est pas la moins développée de 1
l'Univers. Elle est la moins développée de
notre système, mais dans d'autres systèmes, il y a des mondes qui n'ont pas
atteint votre niveau d'évolution. Il y en a aussi qui sont allés très loin dans
le domaine de la science, mais demeurés arriérés dans la compréhension
personnelle et sociale, même si l'espace a été conquis. Dans notre système,
les peuples des planètes, sauf ceux de la Terre, voyagent librement dans
l'espace, plus ou moins loin selon leur niveau, et certains peuvent aller dans
d'autres systèmes que le nôtre. Du fait que votre savoir de la vie et de l'univers, est très limité, vous avez de fausses conceptions, et par conséquent
peu de savoir sur vous-mêmes. Il est vrai que beaucoup d'entre vous ont le
désir sincère de s'instruire, et nous sommes disposés à aider dans ce sens,
ceux qui veulent bien nous accepter.
La première chose à réaliser est que les Extra-Terrestres ne sont pas
fondamentalement différents des Terriens, car le but de la vie est basiquement le même partout : L'EFFORT, LE DÉSIR DE S'ÉLEVER VERS QUELQUE
CHOSE DE PLUS HAUT. De même que dans vos écoles vous progressez de
classe en classe, d'école en école, vers une éducation plus complète, de
même l'homme progresse de planète en planète, de système en système,
vers une plus haute compréhension et d'évolution dans la progression universelle de service.
Vous, Terriens, êtes ligotés parce que vous appelez "TEMPS". A mesure que vous avancerez dans les voyages spatiaux, vous verrez combien cette notion se retrécira. Mais il vous faudra trouver de nouveaux mots. Ainsi vous appelez nos Scouts : SOUCOUPES VOLANTES. Mais nos Scouts ne VOLENT PAS. Nous annulons l'atmosphère par un procédé mécanique. Vous exprimez cela par : suppression de LA GRAVITÉ. Or nous supprimons la résistance de l'air. C'est pourquoi nos vaisseaux sont capables de virer à angle aigu et de se mouvoir à des vitesses qui vous étonnent. Nous pourrions vous dire beaucoup sur le contrôle de la gravité, connaissance qu'il est nécessaire de posséder pour la sécurité en quittant une planète ou en approchant d'elle (Voir à ce sujet Ondes Vives n°s 90 à 94 concenant Kraspedon ).
C'est avec joie que nous vous communiquerions ces données si vous
aviez appris à vivre dans la paix et la fraternité et pour le bien-être de
tous, comme dans d'autres mondes. Si nous vous donnions nos secrets,
vous construiriez des nefs spatiales armées pour aller conquérir les autres
mondes. Déjà certains groupes de Terriens font valoir leurs droits de propriété sur la Lune, pour en faire une base militaire. C'est pourquoi nos plus gros vaisseaux de l'espace ne viennent pas dans votre atmosphère. Nous ne
pouvons pas risquer la vie de milliers d'hommes qui voyagent dans ces
nefs ; tant que vous n'aurez pas une meilleure mentalité, il y aurait danger
pour nous.
Mon fils, notre but principal en venant à vous, est de vous avertir du
grand danger qui menace les Terriens aujourd'hui. Vos semblables accepteront les connaissances que nous leur transmettons par votre canal et par d'autres et ils seront sauvés, ou bien ils feront la sourde oreille et se détruiront eux-mêmes. Le choix vous appartient. Nous ne pouvons pas vous l'imposer".
Fin de citation.
Mais, voici un petit plus, tout aussi fantastique, où il est fait état du processus du
peuplement de la Terre..
Là encore, cet Adamski , contredit sévèrement l' opinion de la communauté scientifique.
Tiré de la page 105, de son livre de 1955, et dont voici la couverture d'époque en anglais :
, on trouve :
Mais, il y a encore plus fort, aux pages 92 et 93, où l'on peut
lire :
" A ce moment, Ramu, fut
interrompu par la serveuse qui vint remplir nos tasses de café chaud. Quand elle
fut partie, Firkon dit: «L'homme est une étrange
créature. Et cela est vrai où que vous le trouviez dans le vaste Univers. Bien
que la race humaine dans son ensemble préfère vivre en paix et en harmonie avec
toute la création, ici et là quelques-uns laissent croître leur égo personnel et leur agressivité et deviennent
avides d'assumer le pouvoir. Ceci peut arriver même sur nos
mondes, en dépit de l'enseignement qui conduit l'homme à vivre, en accord avec
les Lois
Divines» ".
Fin de citation.
Notons en passant, que ce n'est du tout là, le genre de discours utilisé par un affabulateur psychopathe, ou un gourou de secte, ou un barman, distributeur de hot-dogs et de coca-colas, comme ses inflexibles détracteurs, ( journalistes blasés, scientifiques académiques émules de la désinformation officielle ou encore certains auteurs qui ont oublié de se recycler en données ésotériques modernes et même des consorts ufologues célèbres comme un certain Aimé Michel..etc..), nommaient cet Adamski, qui vivait simplement aux abords du Mont Palomar, dans sa résidence en Californie..
Ceci n'est qu'une infime partie des informations en question. Pour en savoir vraiment plus, prière SVP de consulter notre page sortie dès le 03/10/2007 à :
Bien sûr, chacun est libre d'y croire ou pas, mais nous, nous avons depuis 1997, choisi notre camp dans la vision planétaire en question, de notre Système Solaire..
Mais, de plus, (nous l'avons déjà dit dans le premier volet), nous aimerions, maintenant, (et là, ses virulents détracteurs, se taisent lamentablement à ce sujet), que ces Messieurs, les psychologues, psychiatres et consorts bien-pensants de cette socièté en grand mouvement, puissent nous expliquer, par quelques mots pragmatiques et non fantaisistes, pourquoi ce fameux George Adamski, qui connaissait très bien les théories officielles, concernant la Lune et les autres planètes de notre système solaire, qui étaient diffusées dans nos universités a pris carrément le contrepied, des déclarations officielles à ce sujet...,et contre toute attente, il a horripilé les astronomes et consorts affiliés, en les carressant totalement à rebrousse-poil...
Nous allons donc, ce jour , enfoncer davantage le clou, en parlant d'un autre phénomène, totalement, lui aussi, occulté , par nos zélés bien-pensants zététiques :
Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent, cettemer libre du Pôle Nord, dont il est question, dans de très nombreux articles de notre site ?
Mais, il faut savoir aussi que dès 1908 est paru aux USA, l'exceptionnel ouvrage nommé "The Smoky God", (auquel nous accordons, un très grand crédit).
Ou encore, avec une courte explication :
Le navigateur norvégien, Olaf Jansen, en se dirigeant vers le Nord avec le sloop de pêche de son père, à une certaine période d'avril 1829, nous dit ceci :
que nous traduisons, très modestement :
Le site ARTivision, a d'ailleurs été, le premier du Web français, à traduire en amateur, l'ouvrage en question, et cela dès le 6 Avril 2001. Cet ouvrage surclasse de très loin, celui de Jules Verne, bien connu : "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" (1864)
La traduction se trouve à :
Et, nous voilà donc, en plein milieu, de cette affaire de La mer libre du Pôle Nord, niée actuellement par nos universités, mais longuement évoquée, par de très nombreux explorateurs des données polaires comme les nommés : Le Dr Elisha Kent Kane, le Dr Isaac Israël Hayes, le Comte de Buffon, Daines Barrington, Boiteau, J-p Bellot, Nansen, Greely, Hall, Edward Parry, Ingleflied, Jules Verne, Jules Gay, De Wrangell, etc...
Mais pour mieux saisir cette affaire, voici ce jour, le résumé des propos d' Isaac Israël Hayes, à son arrivée devant cette mer libre de glace au Pôle Nord :
On trouve alors ceci, aux pages 188 à 189 , de ce super ouvrage :
" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation.
Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici donc cette gravure sublime, représentant en page 190 bis, cette surprenante Mer libre du Pôle :
Il nous reste cependant, à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne les oiseaux, dont nous parlerons plus bas.
Et en couleur c'est mieux, grâce à la une petite contribution de notre ami Christian C....... qui réalise d'amirables aquarelles (Aquarelle et
voyage):
Mais tout cela aurait pu être classé dans le domaine de la Science-Fiction, s'il n'y avait pas eu au paravent, (le texte qui suit qui s'interroge au sujet de la mer libre en question ) du très grand explorateur, le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et un explorateur polaire du 19 e siècle.
On sait qu'il publia en 1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :
Et pour les puristes, voici en anglais, le paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des
observateurs de l'époque, devant ce phénomène
hors-norme de la mer libre du pôle.
Mais, pour lespuristes, qui aiment remonter aux sources d'une affaire, voici encore un autre document très significatif à cet égard, et venant du " The New York Times" du 21 Octobre 1871 :
Donc, juste au début, on découvre que : " le 20 Octobre .- Des Rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines...".
Tous ces gens qui affirment l'existence d'une mer libre de glace au Pôle Nord, ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale...
Disons aussi, que notre grand Maître du fantastique Jules Verne, était parfaitement au courant de cette affaire de la mer libre au pôle nord, que nous cachent si bien, nos gouvernements.
En effet, c'est l'aimable l'internaute, Renaud F......, qui nous fait découvrir que Jules Verne, parle clairement de "la Mer libre du Pole" , au chapitre 7, dans son roman : " Le pays des fourrures" , en ces termes :
" - Croyez-vous, monsieur Hobson, demanda Mrs. Paulina Barnett, que l'homme puisse jamais atteindre le pôle même ?
- Sans aucun doute, madame, répondit Jasper Hobson, l'homme, - ou la femme, ajouta-t-il en souriant. Cependant, il me semble que les moyens employés jusqu'ici par les navigateurs afin de s'élever jusqu'à ce point, auquel se croisent tous les méridiens du globe, doivent être absolument modifiés. On parle de la mer libre que quelques observateurs auraient entrevue. Mais cette mer, dégagée de glaces, si elle existe toutefois, est difficile à atteindre, et nul ne peut assurer, avec preuves à l'appui, qu'elle s'étende jusqu'au pôle. Je pense, d'ailleurs, que la mer libre créerait plutôt une difficulté qu'une facilité aux explorateurs."
Comme vous le voyez, Jules Verne, était parfaitement au courant de cette affaire de mer libre, dont on ne parle jamais dans nos écoles et nos universités.
D 'ailleurs, à propos de légende attachée cette fois, à la cartographie, en voici une très officielle, qui figure dans un livre qui était réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :
Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé justement une légende. N'est-ce pas ?
Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", (encerclée d'un trait vert pâle) alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace".
Mais pour les puristes qui aiment trouver les documents de base d'une affaire, étant donnée la multitude de documents présentés ici, ils vont être sans doute alors aux anges, en apprenant que c'est le 31 Mai 2012, que nous avons eu le grand bonheur, de recevoir de l'ami intenaute Phil du Temps de Paris, les 16 pages photocopiées, de l'ouvrage de 1873, d'un certain Jules Gay ( qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :"La Mer libre du Pôle Nord" :
Mais voici la missive en question :
From: Phil Du T.....
Sent: Thursday, May 31, 2012 7:09 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: De la part de Phil de PARIS !...
Bonjour de Métropole cher Fred !
Vous avez écrit :
Bonne lecture !
A bientôt Fred !
Avec tous mes encouragements et mes vifs remerciements pour votre travail !
Fin de citation
C'est ainsi que les 16 pages de l'ouvrage sont arrivées chez nous sous forme d'images, dont nous allons ici vous digitaliser sans crainte certains passages, car cet ouvrage a bien plus de 70 ans, et est donc tombé dans le domaine public.
Présentons d'abord le début, tel quel, en page 5 :
On voit alors déjà, que pour nous guider dans notre perception du sujet évoqué, le professeur Jules GAY nous présente d'emblée, à juste titre, ( très utiles pour les puristes) quelques ouvrages disponibles à son époque, et que nous rassemblons dans la liste suivante, en invitant alors les internautes qui pourraient retrouver ces ouvrages anciens, de bien vouloir, nous en toucher si possibe, deux petits mots :
- Histoire des deux voyages entrepris par ordre du gouvernement anglais, l'un par terre, dirigé par le Capitaine Frankling, l'autre par mer, sous les ordres du capitaine Parry, traduit de l'anglais. 1 Vol in 8, Paris Gide 1824
- Voyage à la recherche du passage N. O. pendant le années 1829 à 1833. par Sir J. ROSS, traduit de l'anglais par Defauconpret. 2 vol in 8 Paris 1835.
- Voyage dans les régions arctiques à la recherche du capitaine Ross en 1834 et 1835 Capitaine Back, traduit par Caseaux; 2 vol . In 8. Paris, Artus Bertrand 1836.
- Journal d'un Voyage aux Mers Polaires de J.-R. Bellot 1 vol In -12 Pérotin libraire Editeur 1866.
- La Mer polaire - De Lanoye - 1 vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage dans les glaces du pôle arctique - Hervé et De Lanoye - vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage of the Fox, in the Arctic seas - Mac Clintock - In 8 Londres 1859.
- Discovery of a N.-W. Passage by H.M.S investigator 1850-54 - Mac Clure - In 8, Edimbourg 1865.
- Stray leaves from and Arctis journal 18 Months in the Polar regions, - Osborne - in 8 Edinbourg 1865
- The polar Regions Richardson - in 8 Edimbourg 1861.
- Artics Explorations - Kane - in 8 Philadelphie 1857.
- Du Spitzberg au Sahara - Ch. Martin - in 8 Paris 1866.
- Esquisse physyque des îles Spitzbergen et du pôle Arctique - Ch. Grad - in 8 Paris 1866.
- Les voyageurs au pôle Nord - Desprez - in 8 Paris 1869.
- La Mer libre du Pôle . - Dr Hayes - trad. par Ferd de Lanoye, In 8 Paris Hachette 1868.
- Lettres écrites des régions polaires. - Lord Dufferin - trad. par Ferd de Lanoye in 8, Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Année géographique - Vivien de Saint Martin - Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Le Tour du Monde journal des Voyages. Paris Hachette ( Auteur et date non mentionnés).
- Le Bulletin de la Société géographique (n°s non mentionnés).
- Geograph Mittheilungen - Aug. Petermann -(date non mentionnée).
Mais allons vite, à l'essentiel qui se trouve au bas de la page 15, et au début de la page suivante, et nous y découvrons alors cette déclaration époustouflante de Jules Gay :
"... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster : il s'agit bien sûr, du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude, située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Fin de citation.
Etant donnée, l'importance
d'une telle déclaration, le Webmaster du site ARTivision, serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir l'origine russe, et l'ouvrage qui l'a publiée en premier.
Nous avons, bien sûr, écrit à de nombreuses associations et ambassades russes, afin de joindre un interlocuteur parlant français et russe, pour lui demander simplement, de découvrir dans quel ouvrage cet Amiral De Wrangel, a pu écrire, les phrases inouïes, qui précèdent, mais, hélas, nous n'avons jamais reçu, une seule petite réponse, depuis des années. Ah... si notre site s'écrivait ainsi :
, les réponses n'auraient pas manqué de pulluler. Autrement dit, dans cette affaire pourtant extraordinaire, c'est l'indifférence totale, qui a droit de cité et donc :
Mais, ne vous en faites pas, le Maître du Temps, saura bientôt reconnaître, à bon escient, ses limiers...
Mais pour les puristes, voici aussi ce que l'on peut lire en pages 14 et 15 :
" Au nord de la Sibérie, des résultals semblables ont été obtenus, et les explorateurs ont toujours trouvé la mer libre au-delà d'une ceinture de glace. adhérentes aux côtes " Au nord des îles de la Nouvelle Sibérie, par 76 degrés de latitude, dit Hedenstöm, on trouve un océan qui ne gèle jamais; même en Mars, je n'y ai vu que peu de glaces flottantes. " Le gouvernement russe chargea en 1819 le lieutenant, depuis amiral Wrangel (décédé en 1870), d'explorer les rives septentrionales de la Sibérie et de s'élever le plus possible au nord en taîneaux. Pendant trois années, Wrangel fit des efforts prodigieux pour s'élever ainsi vers le nord; chaque fois, il fut arrété par l'eau libre et obligé de regagner la côte en toute hâte, non sans courir de graves dangers, par suite de la faible épaisseur des glaces et de l'agitation de la mer, qui menaçait à chaque instant de rompre la crôute solide. En dernier lieu, en 1823, à 17 milles allemands de la terre, par 70° 51' latitude, M. de Wrangel étant monté sur le plus élevé des blocs de glace, "la mer ouverte s'étendait devant nous, à perte de vue", et nous dûmes abandonner le but que pendant trois ans, à travers des privations, des misères et des dangers de toutes sortes, nous nous étions efforcés d'atteindre. Le courant
était dirigé avec une vitesse de 4,3 milles à l'heure...Depuis, les baleiniers américains, particulièrement les capitaines Long et Rodger, se sont avancés fort loin dans cette mer libre, cette Polynia des Russes, vue par Hedensöm et Wrangel".
Tout ce qui précède, justifie n'est-ce pas à lui seul, les nombreux articles, où ARTivision, affirme l'existence effective de cette mer libre du Pôle Nord, que l'on nous cache depuis des lustes, en très Haut lieu ....
Aux dernières nouvelles, un très aimable internaute GR, nous indique que l'on peut désormais trouver le livre de Jules Gay en PDF à :
Finalement, ce fascicule de Jules GAY, est très important pour nous faire toucher du doigt les phénomènes polaires, que les médias de l'époque et même ceux d'aujourd'hui, ont évité soigneusement de mettre exergue, comme
par exemple, le fait que l'on ait trouvé dans la zone polaire boréale, beaucoup d'arbres qui flottaient dans la mer et qui étaient d'espèces inconnues, et le site ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches très prosaïques, sur cette affaire, qu'aurait pu et dû poursuivre Jules GAY, et là, nous devons hélas avouer, qu'il a vraiment loupé le coche, (comme beaucoup d'autres chercheurs), alors qu'il était arrivé tout près de la Sublime Vérité, qui éclatera inéluctablement, bientôt...
Mais, ce 18 Mars 2019, disons, comme le disent parfois les anglo-saxons : "Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), voyons alors dans la foulée, quelques autres données très significatives sur cette affaire ahurissante de la Mer libre du Pôle, que l'on a occultée en très haut lieu et pour une cause extrordinaire qui va être explicitée, bien sûr, clairement par ARTivision, sous peu.
Pour rester dans les faits historiques notoire presentons donc ici des faits concernants concernant ce grand naturaliste,dit Comte de Buffon déjà mentionné plus haut.
Il a en effet publié une somme culturelle de son temps intitulée "L’histoire naturelle générale et particulière" , en 36 volumes parus de 1749 à 1789, fut l'un des plus retentissants succès de librairie au XVIIIe siècle. Ouvrage décliné en anthologies plus ou moins richement illustrées, pour les grands et pour les petits, il y inclut tout le savoir de l’époque dans le domaine des sciences naturelles. Buffon fut élu le 23 Juin 1753 à l'Académie Française.
Voici donc le portrait de l'auteur et la couverture du livre en question :
La digitalisation de l'ouvrage faite par le super site :
, nous permet d'extraire des pages 215 à 220, les paragraphes très intéressants suivants (l'orthographe est d'époque, et les couleurs sont de nous évidemment) :
ARTICLE VI.
GEOGRAPHIE.
Page 215 et suivantes:
.....On trouve une grande quantité de ces glaces flottantes (les icebergs) dans la mer du nord, surtout à quelque distance des terres ; elles viennent de la mer de Tartarie dans celle de la nouvelle Zemble & dans les autres endroits de la mer glaciale. J'ai été assuré par des gens dignes de foi, qu’un Capitaine Anglois, nommé Monson, au lieu de chercher un passage entre les terres du nord pour aller à la Chine, avoit dirigé sa route droit au pole & en
avoit approché jusqu’à deux degrés ; que dans cette route il avoit trouvé une haute mer sans aucune glace, ce qui prouve que les glaces se forment auprès des terres & jamais en pleine mer ; ...
.... en sorte que si on vouloit encore tenter le voyage de la Chine & du Japon par les mers du nord, il faudroit peut-être, pour s’éloigner le plus des terres & des glaces, diriger sa route droit au pole, & chercher les plus hautes mers, où certainement il n’y a que peu ou point de glaces ; car on sait que l’eau salée peut sans se geler devenir beaucoup plus froide que l’eau douce glacée, & par conséquent le froid excessif du pole peut bien rendre l’eau de la mer plus froide que la glace, sans que pour cela la surface de la mer se gèle, d’autant plus qu’à 80 ou 82 degrés, la surface de la mer, quoique mêlée de beaucoup de neige & d’eau douce, n’est glacée qu'auprès des côtes. En recueillant les témoignages des voyageurs sur le passage de l’Europe à la Chine par la mer du nord, il paroît qu’il existe, & que s’il a été si souvent tenté inutilement, c’est parce qu’on a toûjours craint de s’éloigner des terres & de s’approcher du pole, les voyageurs l’ont peut-être regardé comme un écueil...
.... Cependant Guillaume Barents qui avoit échoué, comme bien d’autres, dans son voyage du nord, ne doutoit pas qu’il y eût un passage, & que s’il se fût plus éloigné des terres, il n'eût trouvé une mer libre & sans glaces. Des voyageurs Moscovites envoyés par le Czar pour reconnoître les mers du nord, rapportèrent que la nouvelle Zemble n’est point une isle, mais une terre ferme du continent de la Tartarie, & qu’au nord de la nouvelle Zemble c’est une mer libre & ouverte. Un voyageur Hollandois nous assure que la mer jette de temps en temps sur la côte de Corée & du Japon, des baleines qui ont sur le dos des harpons Anglois & Hollandois. Un autre Hollandoisa prétendu avoir été jusque sous le pole,
& il assuroit qu’il y faisoit aussi chaud qu’il fait à Amsterdam en été. Un Anglois <nommé Goulden, qui avoit
fait plus de trente voyages en Groenland, rapporta au Roi Charles II que deux vaisseaux Hollandois avec
lesquels il faisoit voile, n’ayant point trouvé de baleines à la côte de l’isle d’Edges, résolurent d’aller
plus au nord, & qu’étant de retour au bout de quinze jours, ces Hollandois lui dirent qu’ils avoient été jusqu’au 89me degré de latitude, c’est-à-dire, à un degré du pole, & que là ils n’avoient point trouvé de
glaces, mais une mer libre & ouverte, fort profonde & semblable à celle de la baye de Biscaye, & qu’ils lui
montrèrent quatre journaux des deux vaisseaux, qui attestoient la même chose & s’accordoient à fort peu de chose près. Enfin il est rapporté dans les Transactions philosophiques que deux Navigateurs qui avoient entrepris de découvrir ce passage, firent une route de 300 lieues à l’orient de la nouvelle Zemble, mais qu’étant de retour la Compagnie des Indes qui avoit intérêt que ce passage ne fût pas découvert, empêcha ces Navigateurs de retourner. Voyez le Recueil des voyages du nord, page 200...
Fin de citation.
Que dire de plus, sur le fait (comme nous le raconte si bien le comte de Buffon) qu'il existe bien, au delà d'une certaine latitude voisine du Pôle nord, une mer libre de glace inexplicable , et Buffon, nous invite donc paradoxalement en partant de l'Europe et pour rejoindre la Chine et le Japon par le passage nordique tant recherché de foncer droit vers le pôle, pour rejoindre la mer parfaitement navigable qui s'y trouve.
et pour les puristes, qui recherchent des documents d'origine, il nous vient à l'idée de présenter ici l'ouvrage de 1818, d'un certain Daines Barrington, que nous avons sous la main :
Et nous découvrons alors en page 37, ceci :
Une modeste traduction pourrait donner alors :
" Le Capitaine
Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland,
a rapporté à Sa Majesté, que,
étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de
deux Hollandais à l'est de l'île
d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se
déterminèrent à aller plus loin vers le
nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils
dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89
° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais
une mer libre et ouverte, et qui
avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux
navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu
l'agrément de tout un chacun. "
Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver la trace de la déclaration de ce Goulden, et bien sûr, aussi le nom de ces hollandais et
surtout leurs journaux de
bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques
!!!
A la page 101 de ce super ouvrage, nous trouvons aussi ce passage :
Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :
" Le célèbre Mr. Boyle, à partir de ces exemples et beaucoup d'autres, a rejeté la notion longtemps admise que le pôle est l'archétype du froid. Le Capitaine Jonas Poole, qui en 1610 a navigué dans un vaisseau de soixante-dix tonneaux pour faire des découvertes vers le Nord, a trouvé un temps chaud au voisinage du 79 ° de latitude, tandis que les étangs et les lacs étaient débloqués, ce qui le mit, dans l'espoir de trouver un été adouci, et qui l'a amené à croire que le passage ( note du Webmaster : passage nordique généralement est-ouest ou ouest-est très recherché) pourrait être trouvé plus rapidement, en passant par le pôle de quelque manière que ce soit; et c'est pour cette raison que le soleil a donné une grande chaleur là, et que la glace était loin d'être aussi épaisse que ce qu'il avait rencontré à la latitude de 73 °. En effet, les Hollandais, qui prétendent avoir avancé à un degré du pôle, ont dit qu' il y faisait aussi chaud là que pendant l'été à Amsterdam. "
Autrement dit, tout se tient, et Buffon , a eu certainement en mains, les mêmes sources que celles de cet ouvrage, car on y retouve les mêmes déclarations.
Et pour les puristes, voici encore cela placé sur le site
Les exemplaires du périodique en question, furent rassemblés dans les " Annales des voyages, de la géographie, de l'histoire et de l'archéologie ", ouvrage dirigé par V. A. Malte-Brun,...Éditeur : Challamel aîné (Paris) .
Jetons alors un coup d'oeil, aux pages 16 et 17 du tome 1 :
Nous avons souligné en rouge, les paragraphes qui nous interpellent fortement. On voit alors que les informations évoquées dans ce périodique, se rapprochent grandement de celles vues plus haut et aussi de celles qui ont déjà aussi été présentées en partie dans notre article : Buffon.html
On note ainsi, qu'un capitaine de la Compagnie Hollandaise du Nord, affirma à l'époque avoir trouvé la mer libre, en se dirigeant
droit au Nord, et il approcha à la distance de 2 degrés
du Pôle, duquel il fit deux fois le tour. Ce capitaine
avait coutume de raconter cela publiquement, et de
prendre son équipage à témoin de ce fait. Mais, on peut toujours dire alors, que les mesures de ce capitaine, furent, à l'époque, très approximatives.
Mais, plus connue, est l'histoire de ce que raconte Joseph Moxon, qui lors de sa visite en hollande en 1656, eu écho du fait qu' un capitaine hollandais, " homme très respectable auquel il pouvait ajouter foi, qu'il avait navigué sous le Pôle,
où, il trouva l'air aussi chaud qu'il avait coutume de
l'être en été à Amsterdam. Enfin le capitaine Gould,
qui avait fait plus de vingt voyages au Groenland, dit au
roi Charles II, qu'étant au Groenland vingt ans auparavant, il avait rencontré près de l'île Edges, à l'est de cette contrée, deux navigateurs hollandais qui résolurent, comme il ne paraissait pas de baleine sur ce rivage, de faire voile plus loin vers le nord ce qu'ils
firent en effet; qu'ils étaient revenus quinze jours après,
et avaient été jusqu'au 89° degré, où ils n'avaient vu aucune glace, mais une mer parfaitement libre, et des
vagues aussi grandes que dans la mer de Biscaie."
Comme il serait important et merveilleux qu'un chercheur des Pays Bas, puisse mettre la main sur le carnet de bord du voyage de ces deux navigateurs dont hélas, le nom n'est pas ici encore mentionné.
Mais voyons aussi les pages 18 et 19 :
Là encore, ce périodique, nous reprend les propos de l'explorateur Kane, vus plus haut par nous, sous la forme plus complète et inouïe : " Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Allez, voici encore un petit plus pour la route, qui se trouve dans le livre remarquable, de J.-R. BELLOT, que nous possédons, intitulé tel que :
Dans la préface, écrite en 1866, de ce livre, un certain Paul Boiteau, nous précise en page XIX, ceci :
Comme vous le voyez, ce Mr Paul Boiteau, parle clairement d'une mer libre de glace, au-delà du 80° de lattitude Nord. Point à la ligne ...
Cependant, il nous vient alors, l'idée de placer ici maintenant, la superbe phrase de Lionel Hubert dans son ouvrage : "les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :
Mais le site ARTivision, lui, poursuivra sans relache, sa quête d'une vérité inouïe, qui concerne l'humanité entière, et que l'on nous cache en Très Haut lieu, pour de vulgaires questions de prestige national, et de dérisoires sujets économiques et militaires.
Voilà, ainsi, ci-dessous, la preuve que nous ne nous tournons pas les pouces, de satisfaction dans l'état de notre situation actuelle et où nous avons essayé d'obtenir des renseignements sur ces hollandais en mission autour du Pôle Nord .
Mais ce 19 Mars 2019, nous allons dans le feu de l'action précécente, vous raconter une histoire fantastique, qui n'aurait pas manqué de plaire à notre grand Jules Verne sous la forme d'un roman autobiographique (Avis aux amateurs) .
Cette aventure, qui nous est arrivée, il y quelques années, est si insolite, (et dont nous en gardons précieusement toutes les preuves tangibles), que les rationalistes zélés et endurcis, auront cette fois-ci bien du mal à attribuer
cette aventure à l'effet d'une banale coïncidence aléatoire, si chère à leurs déductions habituelles, car le calcul des probabilités de la réalisation d'un tel événement devrait donner un résultat pratiquement nul.
Voici de quoi il s'agit : Le 19/12/72, nous avons fait l'acquisition ( la facture fait foi) d'une collection de quatre volumes d'une " Histoire Universelle des Explorations" éditée par la "Nouvelle Librairie de France", sise à Paris et dont le premier volume est sorti des presses le 15
MAI 1964.
Cet ouvrage, nous avait été proposé
par des représentants de l' Imprimerie
Nationale, à l'intérieur même
du collège où nous avions le privilège d'enseigner les Maths et la
Physique. Nous n'aurions probablement pas acheté cette collection qui
intéressait (nous le pensions vraiment alors), plutôt les enseignants en Histoire et Géographie si,(et
ce si est d'importance), l'on
ne nous avait pas promis à l'époque, la publication prochaine d'un
cinquième volume concernant "l'Exploration de l'Espace". Il n'en demeure
pas moins vrai, que nous n'avons jamais reçu ce 5ème volume, (et
nous ne l'avons jamais réclamé, ni nous n'avons pas non plus cherché à savoir s'il est bien sorti des presses). En effet la multitude
des informations que nous avons reçues, par la suite sur l'Espace
rendait superflue, la réclamation de ce 5ème volume.
Lorsqu'au début
de 1973, nous avons voulu vérifier les
extraordinaires affirmations contenues dans le livre surprenant de 1971, "La Terre Creuse"; de R. Bernard tel que :
nous nous sommes précipités, tout naturellement, sur cette "Histoire Universelle des Explorations", qui était toujours
dans sa boîte d'origine, pour constater en effet, que les derniers chapitres du quatrième volume, étaient justement
réservés aux explorations
polaires. Mais notre déception a été par la suite bien grande, car si l'on y parlait bien de
l'Amiral Byrd, pour des informations et des
manœuvres banales, rien, pas une ligne, ne parlait des découvertes extraordinaires de cet amiral, que nous avons mentionnées plus haut dans cet article.
Cependant, il y avait en
page 381, de ce quatrième volume, une certaine bibliographie : (Voir ci-dessous la photo d'une partie de cette bibliographie)
où nous avons découvert la présence
d'un ouvrage intitulé : "La Mer Libre du Pôle" de J.
HAYES édité à Paris en 1884, ouvrage qui, lui au moins, annonçait la couleur clairement concernant cette affaire de mer sans glace au Pôle.
Lors de nos visites en Métropole en 1975, 1977, 1983, nous avons cherché en vain cet ouvrage chez les bouquinistes de Paris et d'ailleurs et l'on nous disait partout que seule la Bibliothèque
Nationale de Paris, pourrait nous faire découvrir le
contenu de ce livre.
Mais, c'est en 1984, que nous avons rendu, à environ 600 m de chez nous, une visite de condoléances à notre
"oncle" (d'adoption), dont la femme venait de décéder. Après l'entretien de circonstance, nous allions prendre congé, quand nous avons remarqué que nous étions
assis sur une sorte de malle recouverte d'un épais tissu. C'est alors
que débuta, le dialogue le plus révélateur de cette affaire:
"Mais
Tonton C... Qu'est-ce qu'il y a en dessous dans cette malle" demandons
nous ? Cela faisait près de 40
ans (vous avez bien lu "quarante
ans "), que nous avions
l'habitude, accompagnés ou pas de notre mère, de venir de temps en
temps rendre visite à cette famille, et de nous asseoir à cet endroit,
sans jamais, nous poser cette question. Et la réponse fut : "Oh
de vieux livres qu'utilisaient tes tantes ou qu'elles ont obtenus aux
distributions de prix ".
La curiosité
aidant, nous avons demandé à l'oncle, l'autorisation de jeter un coup
d'œil. Et c'est avec joie que nous y avons découvert, nos premiers
livres scolaires de lecture, de morale, d'instruction religieuse, d'histoire et de géographie, de mathématiques etc...que nous avons eu un vif plaisir à feuilleter. Mais, entre autres choses, nous y découvrons aussi, un vieux
livre pourtant bien solidement
cartonné... et auquel il manquait les premières pages de l'introduction. Et en tournant les pages jusqu'au début du premier chapître, voilà la page incroyable que nous avons découverte :
Vous avez bien lu donc le titre incroyable, mais vrai : "La mer libre du Pôle".
L'introduction servant de préface (il en restait 13 pages numérotées en chiffres romains), était signée d'un certain J.Belin de Launay et datée du 24 juin 1870. En feuilletant ensuite le premier chapitre de l 'ouvrage, nous nous sommes aperçus, qu'il s'agissait bien d'une expédition montée par le Dr américain J.J. HAYES, et donc cet ouvrage était bien celui cité dans notre encyclopédie. Mais, il nous fut impossible d'en déterminer la date exacte de publication, car 18 pages manquaient de l'introduction et celles qui restaient donnaient cependant déjà, de précieux détails, sur certaines expéditions, réalisées par d'autres explorateurs, en direction de cette mer libre, nommée Polynia. La partie blanche de gauche est formée, des 18 pages photocopiées :
En effet, en 1992, lors d'une nouvelle visite à Paris, nous avons profité pour nous rendre à la "Bibliothéque Nationale de Paris" (size à l'époque à la rue de Rivoli), pour faire les photocopies des pages manquantes, et après bien des péripéties et 2 visites à cette Bibliothèque, nous avons réussi à les réaliser et c'est là, seulement, que nous nous sommes aperçus, que notre livre était daté de
1877, et qu'il était donc de 7 ans plus
ancien, que celui de 1884 présenté page 381 du volume 4 de notre encyclopédie.(voir ci-dessous la première page de ce livre en question de J. Hayes que nous avons réussi à photocopier à la Blibliothèque Nationale et nous présentons aussi les copies des "laisser passer", que l'on nous avait alors accordés à l'époque, pour entrer dans cette vénérable institution)
Nous
ne pouvons pas évidemment nous étendre ici, faute de place, sur les
surprenantes révélations de cet ouvrage, mais voyez tout de même les pages 176 et 177. très significatives telles que :
Mais, ce 21 Mars 2019, disons avec constance, que tout ce qui précède, nous montre bien que rien de ce qui se passe sur ARTIvision, ne peut être l'effet du hasard, que les irréductibles rationalistes zététiques croient être soumis à une fonction aléatoire d'évènements synchrones.
Mais nous l'avons déjà souvent expliqué, dans d'autres articles que cette planète est bien soumise à des cycles réguliers, et en particulier à celui qui arrive tous les 25920 ans d'après l'Einstein de l'ésotérisme humoristique français Jean Sendy. (Il y en a d'autres cycles plus longs, connus des Mayas )
Que ces rationalistes endurcis, le croient ou pas, nous avons souvent aussi exprimé ici , le fait que leur sournoise hilarité, se transformera vite en stupéfaction, quand ils découvriront, (si ce n'est pas encore le cas), l'entrefilet étonnant ci-dessous :
Ce communiqué de presse, n'est-il pas déjà, (s'il en était encore besoin de le dire), une première marche, vers les prémices de la découverte du fait, prouvant que la Nature, n'est pas du tout un concept soumis aux tribulations d'un hasard casuel, comme on veut nous l'enseigner, dans nos écoles et nos universités. Disons alors qu'ici, nous pouvons assurément appliquer l'adage suivant :
n'est pas la preuve de l'inexistence de cette chose".
Et donc, si les scientifiques n'ont pas encore prouvé qu'il existe une Intelligence Supérieure, qui anime et règle le Cosmos, cela ne prouve pas, qu'ils n'arriveront jamais à le démontrer. Point Barre...
Nous allons alors sortir, ce jour, un plus gros marteau, pour enfoncer davantage le clou de cette affaire occulte de la Mer libre de glace au Pôle Nord de notre planète, en faisant cette fois état, d'un fait extraordinaire contemporain qui nous a été rapporté dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute...
Remarque : Le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :
Pour le 19 Mars 2003 à :
Pour le 9 Janvier 2006 :
et aussi à d'autres dates).
En effet, c'est le 18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous,
évidemment) :
----- Original
Message -----
From : V... T...
To: Fred IDYLLE
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
= Bonjour Fred
Pas de glace au Pôle Nord
Philippe
Gauthier
Voilà donc, un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante, ce communiqué n'a pas eu, à notre connaissance un écho favorable, dans le contexte des télévisions, ayant pignon sur rue...(voir cependant plus bas, une revue célèbre qui en parle succinctement mais pas un film n'a été montré à la télé), alors que "l'expédition touristique", en question avait certainement des caméras à sa disposition n'est-ce pas !!! . Devinez alors pourquoi, une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe...
Ce communiqué montre bien, aussi, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur "La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain, Isaac Israël Hayes :
Cet ouvrage extraordinaire, a été publié en 1868, en France par l'éditeur Hachette, sous le titre "LA MER LIBRE DU PôLE" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Rappelons qu' Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester (Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881. Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.
Nous avons de lui, et on la vu plus haut, l'ouvrage condensé de 1877 (trouvé dans une vieille malle, à 600 m de chez nous) suivant :
Mais, au sujet du super communiqué de l'océanographe James McCarthy en date 21/08/2000
, vu juste ci-dessus, voici aussi ce jour, ( et pour être aussi tant soit peu fair-play), quelques infos supplémentaires, qui pourraient peut-être satisfaire, la prétendue soif de rigueur culturelle de ces bien-pensants zététiques qui ne croient, que ce qu'ils croient voir, avec leurs deux yeux pointus
Lizez donc ce paragraphe significatif de la page 114 de la célèbre revue, "La Recherche", n° 335 d'Octobre 2000, qui nous fut envoyé à une certaine époque, par notre ami internaute M.H :
" Des touristes en croisière ayant trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord, ( Il s'agit en effet de l'affaire en date du 21/08/2000 du brise-glace Russe vue plus haut et signée de Mr Philippe Gauthier), l'alarmante nouvelle fit le tour du monde. Du New York Times au Figaro, en passant par la une du magazine Time, retentit le roulement de tambour désormais familier :
"Oyez, braves gens, nous
vilains et représentants technophiles et productumanes, nous sommes en train de
changer de le climat de notre précieuse planète. D'urgence, il faut limiter la
consommation de pétrole, pour limiter les émissions de ces satanés gaz à effets
de serre, d'où nous vient tout le mal. Lester Brown, secrétaire perpétuel du
Worldwatch Institute, produisit son inévitable éditorial, pieusement reproduit
dans les colonnes du Herald Tribune :
"La découverte d'eau libre au Pôle Nord, apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la Terre fond, mais quelle fond à un rythme accéléré"
Le très austère
Financial Times, tança vertement les gouvernements occidentaux pour leur peu d'empressement à respecter leurs engagements de réduire les émissions de gaz carbonique.... "
Fin de citation
Merci mille fois à l'internaute, qui pourrait nous procurer, au moins un, des articles des médias mentionnés ci-dessus.
Comme vous le voyez, la mer libre du pôle, pourtant découverte par certains explorateurs depuis le 19e siècle, (voir le livre de 1857 du Dr Elisha Kent Kane; présenté plus haut), est totalement ignorée par les médias en question, et d'après eux, seul l'effet de serre, est responsable de cette mer libre de glace, par la fonte de la banquise.
Mais comme on le sait,
qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, parlons à nouveau de cette revue "La Recherche", qui en Octobre 2012, a publié un fascicule Hors série, n° 51, intitulé Les Dossiers de la Recherche, et où apparaît un article significatif, sous la plume de Mme Frédérique Rémi :
Ce n° 51 spécial de cette revue, va nous permettre d'accéder à un niveau de compréhension très philosophique, concernant la psychologie de la nature humaine.
En effet, dans cette revue, nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages, sur le célèbre naturaliste Buffon (1707-1788), dont nous avons parlé, le 18 Mars,
ci-dessus :
Voici donc, une partie du début du remarquable article de Mme Frédérique Rémy en question :
Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :
L'auteur reprend donc les affirmations connues de
Buffon, concernant le capitaine Anglais Monson qui, en se dirigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'histoire d'un hollandais, qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait, aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas, du nommé Goulden, (mentionné en pages 215 et suivantes du super ouvrage de Buffon), qui a recueilli le témoignage de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89e degré de latitude nord, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent quatre journaux de deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.
Malgré tous ces rapports maritines officiels, cette scientifique continue à croire que tous ces gens se sont trompés amèrement, et que la mer libre de glace n'existe pas. (Sans doute, a t-elle lu cette affaire d'effet de serre du n° 335 d'Octobre 2000, affaire vue plus haut, dans la même revue ).
Pourtant cette dame, avait certainement plus de moyens qu'ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède et que nous affirme Buffon, et bien d'autres navigateurs. Elle pouvait alors assurément, mettre ainsi la main, par exemple, sur les livres de bord , en question des hollandais, et aussi sur les déclarations osées du fameux Monson anglais, car à l'époque, on ne pouvait pas encore évoquer, la contrainte de l'effet de serre, pour expliquer la présence, de cette mer libre de glace, au Pôle Nord. Point à la ligne...
Cette scientifique, semble ignorer le fait, qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus éveillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire trafiquée du débarquement des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York le 11 Sept. 2001...etc... et il y a en plus, bien d'autres affaires, encore cachées...
Voir quelques unes de ces affaires, dans nos articles :
Cette scientifique aurait mieux fait d'écrire, dans sa chère revue en question, une explication significative du phénomène souvent présenté sur notre site concernant le satellite de Saturne nommé Titan, et que voilà à nouveau étant donnée son importance :
Disons à nouveau, pour les novices de passage sur ce site ARTivision, que si nous analysons de près, le disque blanc très brillant, au Pôle sud ( que certains prétendus scientifiques ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous, une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre, et en bleu...
, c'est encore plus net :
Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que, c'est cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant, de près de 300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus, et où l'on voit encore plus clairement, juste en-dessous la sorte réverbération en question, sur les couches de l'atmosphère de la planète, prouvant que cette extrême luminosité vient bien de l'intérieur de l'astre . (voir le bout de la flèche rouge).
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens, avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher, ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle sud de Titan. Point à la ligne...
Que celui, qui a bien lu ce qui précède, avec un esprit
curieux et analytique, en tire l'envie, de vouloir, en découvrir
davantage.
C'est pour cela, qu'il nous vient aussi, ce printanier 21 Mars, l'idée de présenter, cette nouvelle méditation, du très grand Maître de
Findhorn, qui va assurément, une fois encore, scier les jambes déjà branlantes, des très suffisants détracteurs zététiques et de leurs consorts intellectuels blasés, et engoncés dans leurs cocons bien feutrés... :
Le nouvel Âge est là !
Eveille-toi de ta somnolence
et contemple la merveille du temps présent
car tu vis une époque vraiment merveilleuse.
Vois le meilleur en tout événement
Attends-toi à des changements et va dans leur sens,
ne permets à rien en toi de les arrêter.
Ne crains jamais
le nouveau, I'inconnu.
mais risque-toi sans peur,
sachant que la Source est avec toi, toujours.
qu'elle ne te laissera jamais, ni ne t'abandonnera.
Reconnais-La en tout, et rends-Lui , l'honneur et la Gloire.
Sache que c'est dans I'Âge d'Or
que tu es en train de passer, alors ne t'inquiète pas,
et ne lutte pas contre les changements qui apparaissent.
L'heure la plus sombre vient avant I'aurore splendide.
L'aurore est là ;
elle vient en son heure juste,
et rien ne peut I'empêcher d'arriver.
La totalité, de l'Univers fonctionne dans ce rythme parfait,
alors pourquoi pas toi ?
Méditation pour le 21 Mars,
après adaptation d'ARTivision.
Dur, dur... à encaisser n'est-ce-pas !!! ce super buzz du Maitre de Findhorn, qui devrait inviter les cosmologistes et autres spécialistes des mouvements planétaires, à rechercher la présence permanente des vibrations de la Source en question, dans notre Univers, où les choses les plus extraordinaires peuvent arriver.
Peut-être alors, que ces spécialistes, pouraient mieux comprendre, l'action actuelle des gilets jaunes, comme d'ailleurs aussi, le récit incroyable, de notre amie de correspondance postale (dès le début l'année 2000) Rose C, dont le livre a été publié sous le titre
"Rencontre avec les Extra-terrestres" de ROSE.C, aux Editions du Rocher au début de 1979 :
Cette incroyable affaire, fut présentée à nos articles clefs, dès le 4/12/1999 :
Mais, ce 24 Mars 2019, certains détracteurs zélés, qui ont lu en diagonales, certains articles pointus d' ARTivision, nous diront avec une certaine condescendance :
Nous invitons alors, ces supers bien-pensants à revoir les photos officielles, suivantes de notre volet 2, qui montrent assurément, selon nous bien sûr, une manipulation informatique notoire :
, et maintenant, de plus près :
Que sont donc ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus du Pôle Nord. A notre humble connaissance, C'est du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être là, pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!
D'autre part, rappelons qu'ARTivision, a déjà évoqué cette affaire de circulation des satellites aux pôles de la Terre, dans nos articles :Les AliensSuite.html, et
Larondedessatellites.html.
En effet, c'est dans la revue bien connue Science&Vie n° 893 de Février 1992, que l'on trouve, un super article évoquant la trajectoire des multiples débris de satellites, orbitant autour de la Terre, et dont voici le début en page 80 :
C'est alors que la revue
nous présente aussi une simulation informatique de l'évolution, 4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :
Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo :
"la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".
Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :
Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (les couleurs sont de nous,
évidemment):
TITAN.
Un point lumineux récurrent.
La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.
Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.
Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?
Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...
Fin de l'entrefilet.
Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit...
Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008, suivant :
, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez bien, cela vous-même :
Alors, on se demande, comment ce faiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique, exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc, tout à fait, stupéfiant...
De plus, les scientifiques nous affirment que la température qui régne sur Titan doit avoisiner les -180° .
Mais les images suivantes de Titan :
ne présentent pas du tout un paysage glaciaire correspondant cette température de -180° , prônée par les savants, mais plutôt, à des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...
Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre. Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan, et de plus, le rayon réfléchi, tombe, pile-poil, en plein Pôle Nord de l'astre.
On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.
Mais Super-hasard, ces temps-ci, est encore monté au créneau, car, il nous a offert l'occasion de visualiser un documentaire justement concernant Titan, tel que :
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker,
Thomas, McFadden) |
Vous constatez effectivement, que dans l'entrefilet précédent, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante, qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroïde ? Aucune suggestion, ne nous est proposée.
" puis, dans la sphère creuse, on imagina l’existence de deux planètes, Pluton et Proserpine, et un air lumineux par suite de la forte pression qu’il éprouvait. "