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Quand, la Chaine ARTE, zappe formellement les trouvailles d'ARTivision, concernant ses découvertes sur la Lune, et les déclarations hors-normes du célèbre Amiral Byrd.

Deuxième volet : Quand la chaine ARTE, jongue à ses dépens, avec le vocable "Huitième Continent", expression spécifique, utilisée par l'Amiral Byrd en Février de 1947.

      Revoyons, en effet cette expression dans le TVMag du 8 Janvier 2019, en question :


      Comme, nous ne croyons pas du tout au Hasard, nous allons accentuer nos investigations dans cette affaire jusqu'à ce que les protagonistes soient poussés dans leurs derniers retranchements, et qu'ils avouent, un jour, sous l'influence d' une force inexplicable, qu'ils ont lamentablement loupé le coche, que le site ARTivision, avait placé, juste devant leur porte.

    La sagesse populaire antillaise prétend que :

"Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup"

Ce, qui signifie que :

"C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes".


       Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi, s'appliquer à merveille, aux nombreux documents, plutôt rares, que nous allons présenter ci-dessous :

       Commençons si vous le voulez bien, par un document extraordinaire découvert dans le Nostra n° 425 du début Juillet de 1980, dont voici pour les puristes, la couverture importante :


      Et voici, le début de l'article, en page 15 :


et puis voici notre sélection ainsi présentée dans nombreux de nos articles :

     L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences , (d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980) aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.

    Début de citation :

        

Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation.


     Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

    Après son périple périlleux du 9 Février 1926, Byrd a-t-il pu vraiment, aller explorer le 14 Juin 1926, de visu et à pied, avec le capitaine Fitin et consorts, cette zone verdoyante aperçue en avion, ce 9 Mai. C'est à vous qu'il appartient donc de confirmer ou d'infirmer ce fait, tout en pensant que Monsieur Jean Brun, aurait tout aussi bien pu écrire là, un best-seller de la Science-Fiction, plutôt que d'inventer une telle histoire...

     Mais, le Webmaster d' ARTivision, a aussi son explication, concernant le fait que Mr Jean Brun n'ait pas voulu livrer, la source de son extraordinaire information ci-dessus. En effet il a pu la capter dans un document classé "Secret Défense", que lui aurait glissé entre les mains, le Sieur Jacques Bergier, grand éditorialiste de la revue NOSTRA, et savant atomiste français, qui on le sait, à une époque, faisait partie des Services Secrets, du pays. Donc, il n'était pas question que Jean Brun, puisse révéler cela. Point à la ligne...

     Pour les puristes qui aiment remonter aux sources, voici quelques articles, que nous avons sous la main, de ce Jacques Bergier, qui pourraient intéresser certains chercheurs, et parus dans la revue "Sciences et Avenir" des années 56 et 57 :

- n°111, Mai 1956, "Les travaux de Pontecorvo en URSS, pour découvrir l'anatomie du proton".
- n°112, Juin 1956, "L'oxygène atomique de la haute atmosphère, combustible des engins téléguidés de demain".
- n°114, aout 1956, "Quand l'industrie annexe l'alchimie".
- n°115, Septembre 1956, "Le 17 Septembre, la planète Mars ne sera qu'à 59 700 000 km de la terre".
- n°117, Novembre 1956, "Qu'est-ce que le feu ?".
- n°118, Décembre 1956, "Les dernières équations d'Einstein recèlent-elles les secrets de l'antigravitation ?".
- n°122, Avril 1957, "Les déchets des piles atomiques feront naître demain une radio-chimie".
- n°123, Mai 1957, numéro spécial "Les portes de l'an 2000", auteurs non différenciés (Pierre de Latil, Albert Ducrocq, Jacques Bergier, etc.) Présomption articles de JB : "Les hommes de demain raisonneront-ils avec des machines " et "Au-delà des usines sans hommes, la nation automatique".
- n°125, Juillet 1957, "La plus grande révolution de la physique depuis Einstein : le principe de parité s'effondre".
- n°128, Octobre 1957, "Des progrès décisifs dans la domestication de l'énergie H".

     Comme vous le voyez, ce savant ne se tournait pas les pouces à cette époque.

    Il nous appartient alors maintenant de présenter, une aventure très particulière, arrivée à l'amiral Byrd, mais cette fois, au Pôle Sud..

       L'information en question, est sortie dans le n° 21 de la revue Nexus de Juin-Juillet 2002...

      Bravo donc, à l'internaute, qui trouvera dans un vide-grenier, cet exceptionnel n° 21 de Nexus.

      Pour les puristes donc, voici aussi, la couverture de cette remarquable revue :


et dont voici à titre documentaire le sommaire :



où, l'on découvre un article concernant la Théorie de la Terre creuse, qui pour ARTivision, est parfaitement démontrée, noir sur blanc , dans près de 100 articles et des poussières ... Point Barre.

     Voici donc, ce super article de Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons seulement, le début :


     Voyons d'abord ce texte préliminaire :


     Et au bas du texte, on découvre plus clairement :


    Les phrases en rouge, sont assez claires et significatives, pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? On reste cependant bouche bée, en découvrant que c'est le génial mathématicien suisse Euler ( 1707-1783), (toute information à son sujet concernant un texte, où il affirme cette affaire de Terre creuse, serait la bienvenue), qui semble être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un soleil central, tel que le découvrirent ( voir notre article à :
SmokyGod.html ), les norvégiens Olaf Jansen et son père, partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord.

    Selon nous, ce mathématicien prodigieux, a dû recevoir en temps utile, une inspiration bien calibrée, pour nous produire une si remarquable thèse, qui n'est toujours pas admise dans nos universités, et thèse, qui remet en question toute notre connaissance de la géographie et de la géodynamique de notre planète Terre, et même la connaissance intime de notre système solaire.

    Si nous parlons ici de cette audacieuse hypothèse, d'une inspiration, venue d'ailleurs pour le prodige Euler (et pour bien d'autres écrivains comme Jules Verne), c'est d'une part parce que le site ARTivision, ne croit pas du tout, au banal Hasard, soumis à une simple fonction aléatoire, des rationalistes endurcis.

        D'autre part, nous allons une fois de plus nous référer, à l'incroyable texte (déjà présenté dans de nombreux articles ), dit transcendant, (venu d'une autre dimension supérieure à 3 ) qui suit, et texte qui ferait rêver sans doute assurément même, les meilleurs auteurs de Science-fiction :

     "L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiquesd'Urantia Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous Ainsi parmi les survols d'ovnis, quelques-uns sont imputables aux intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre évolution. Il n'est pas rare que les scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres, les aidant même en laissant des formules dans la matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société, contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d'ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point de rencontre conscient entre eux et vous. Seule votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle éventualité. Votre conscience sera touchée par des informations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et prophète Jules Verne, vous a préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos tendances à vous accrocher aux lois actuelles".

     Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria Edition Ariane Mars 2002.

      Mais, si vous savez lire entre les lignes, de l 'extrordinaire texte précédent, on peut imaginer alors que Jules Verne, et sans doute d'autres écrivains bien choisis, ont été contactés, en leur temps, soit par télépathie... soit directement par des missionnaires spéciaux de la Terre intérieure, pour préparer l'arrivée des découvertes extraordinaires, mises en relief actuellement, avec ses faibles moyens, par le site ARTivision.

      On pourrait en effet écrire un ouvrage en entier, uniquement sur le passage en question ( avis aux journalistes, aux éditorialistes et autres amateurs psychologues et philosophes des mystères de ce monde).

      Mais ce jour, nous allons encore monter le niveau de notre exposé. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant d'une revue d'informatique très connue. Il s'agit du Micro Hebdo n°568 du Samedi 11 Mars 2009 :



      Cette image, nous rappelle étrangement, celle-ci n'est-ce pas, déjà vue dans d'autres articles :



      Disons alors que les Maîtres, qui vivent très longtemps, interviennent depuis des lustres dans les affaires humaines, comme de plus l'illustre, le célèbre film "Retour sur Terre"de Star Trek 4, de 1987,


     Ceux qui ont eu le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de l'Enterprise, un vaisseau spatial du XXIIIe siècle, remonte le temps et débarque sur Terre en plein milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.

     Une fois de plus, le site ARTivision, peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction".

     Alors Messieurs les éternels détracteurs zététiques, si cela vous fait encore sourire sous cape, préparez-vous à raser les murs le soir, car tout cela sera révélé très bientôt.

      Mais, poursuivons la découverte de ce super article, où il y a surtout le passage suivant en page 31, dont hélas l'auteur, comme Mr Jean Brun, ne donne pas les sources...(Merci donc mille fois à l'internaute béni, qui pourrait nous dire, d'où est tiré ce texte inouï).

     " ...Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd, le 14 juin 1947...

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite.
"

     Fin de citation.


     En fin de compte, cette vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible...

     Cependant, en parlant de " sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice", l'auteur a certainement eu vent de la phrase inouïe, parue dès Mars 2002 du collectif Soria, et phrase que nous reprenons ici, étant donnée son importance :

"...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes"...

      Monsieur Pascal Cazottes, pouvait aussi avoir eu en main l'ouvrage de Siragusa de 1979, où ce dernier parle en vrai précurseur de la dilatation du Pôle Nord.

     Ce n'est pas en effet, une information cosmique, que l'on trouve à tous les carrefours à portée de mains, et même l'ouvrage de Raymond Bernard, "La Terre creuse", publié en 1971, n'en parle pas. Mais lui, Mr Pascal Cazottes, en avait eu la remarquable révélation.

     En effet, dans le même article du Nexus n°21, de 2002, il a écrit aussi cela :

     " D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro», qui vous expliqueront que les ouvertures aux pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses ouvertures ".

     Tout est clair, désormais Mr Pascal Cazottes était parfaitement au courant déjà, au moins dès Juin 2002, de cette affaire inconcevable de dilatation des pôles et de territoire polaire inaccessible, et nous serions très particulièrement enchanté , qu'il veuille bien expliciter plus avant, dans un autre article l'origine de cette la théorie des «pro», à laquelle il a fait, si bien allusion.

     Nous ne terminerons pas la transcription de ce super texte de Mr Pascal Cazottes, sans ce petit clin d'oeil, à un film montrant des actualités de 1926 :


      Aux dernières nouvelles, les recherches du Webmaster d'ARTivision, l'amènent à déclarer, que cette lectrice du magazine "Amazing Stories", s'appelait Miss Dorothy E. Graffin, et vivait à New York.

      Alors, Messieurs les journalistes et consorts blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non seulement, vous aurez gagné le Super Gros Lot, mais en plus votre nom sera désormais, sous peu de temps, cité, dans les manuels d'histoire de cette planète.

     " Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues.

     Mais d'après ce qui suit, cette lettre aurait plutôt été envoyée à Ray Palmer, Directeur de la Flying Saucer's Review:

     En effet voici ce que l'on peut lire sur le site :


     "Magazine editor and publisher Ray Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from one of the magazine's readers: "Dear Ray Palmer,

     There still seems to be considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E. Graffin), and I, saw this in White Plains, New York.)

     Byrd narrated this film himself and EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS, WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a 'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,
".


     Et voici notre traduction approximative :

     "Éditeur de magazine et éditeur Ray Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées par l'amiral Byrd au cours de son vol 1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là, dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du magazine:

          "Cher Ray Palmer,

     Il semble toujours y avoir une controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que BYRD a pris lors de son vol , et qui a été montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E. Graffin) et moi, avons vu ce film à White Plains, New York.

     Byrd commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que Byrd décrit comme une "MONTAGNE CHARBONNEUSE", étincelante de diamants ».

Cordialement,
"

"Fin de citation
.

     
Comme vous le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de Ray Palmer apparaît cette extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...

      Quant au film en question, il existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre archiviste, qui mettra la main dessus, touchera bien plus qu'un gros lot de la loterie. Avis aux amateurs...

       Mais ce 10 Février 2019, voilà que nous arrivons à la pierre angulaire, de notre propos, après avoir sorti ci-dessus, de notre "vieille marmite", deux expéditions, "très terre à terre" (hélas non référencées officiellement, et cela, pour des raisons inconnues) du grand Amiral Byrd, respectivement au Pôle Nord, puis au Pôle Sud.

       Pour avancer sur les sentiers très délicats de cette affaire cruciale,affirmons une fois de plus, que les déclarations hors normes, du grand militaire américain, Richard Evelyn BYRD, doivent êtres lues, avec une attention très soutenue.

       Rappelez-vous, que dans le premier volet, nous avions posé la question suivante (qui est restée évidemment, jusqu'à présent, sans réponse) :

       " Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

       Il semblerait que la réponse nous soit venue, dès 1926, des propos du grand militaire Richard E. Byrd, dans un article (que nous présenterons bien sûr, plus bas) du "Miami Daily News", en date du 25/06/1926.

        Pour les purites disons que, Richard E; Byrd, est né le 25 Octobre 1888 à Winchester, Virginie, et il est décédé le 11 Mars 1957 (à 68 ans) à Boston,

       Il a fait des déclarations inouies concernant les zones polaires, qu'il a explorées à diverses reprises, et déclarations que les bien-pensants actuels ont vite traitées légendes et d'hallucinations freudiennes.

        Nous allons donc ici, démontrer, noir sur blanc , que les paroles de Byrd doivent être épluchées, avec très grande minutie.

qu'il n'est est rien.....

        Commençons si vous le voulez bien par cette incontournable et extraordinaire ancienne interview de l'Amiral Byrd par la Chaîne NBC le 24 Juin 1955. (Nous avions 16 ans à l'époque) :


        Voici, alors ce que nous écrivions dès le dès le 01/08/2014, au paragraphe IV, de notre super article :

http://www.artivision.fr/EpopeeduTuscaloosaNews.html

      Début de citation. (Nous n'avons pas vérifié si les Urls cités, fonctionnent toujours et disons aussi que notre amie Nicole, n'est plus de ce monde et nous lui dédions, cet article en entier) .

Quand Byrd s'exprime vocalement dans une interview télévisée.


     C'est effectivement le 27 Juillet 2014, que nous avons reçu de notre ami canadien André, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: André J.......
To: Fred Idylle
Sent: Sunday, July 27, 2014 7:35 PM
Subject: Admiral Byrd
     Rare interview télé avec ton copain Byrd et espérons que ça pourra être traduit très bientôt.

http://ufosightingshotspot.blogspot.ca/2014/07/rare-tv-interview-with-admiral-richard.html

    Fin de citation .

     Pour ceux qui veulent en savoir plus, prière de consulter aussi les sites :

http://www.youtube.com/watch?v=tzWHqooAJtM#t=26

http://beforeitsnews.com/alternative/2014/07/admiral-byrd-there-is-never-before-seen-land-at-bottom-of-the-world-3000952.html

     Et voici quelques images de ce film remarquable :

    

     N'étant pas du tout familiarisé avec l'américain parlé, nous avons demandé à notre très aimable amie Nicole, de nous en dire un peu plus sur cette interview de Byrd, tout à fait rare et sans doute exceptionnelle.

     Et voici sa réponse :

----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Monday, July 28, 2014 11:48 AM
Subject: Interview Byrd

         Bonjour cher Fred,
       Même quand on parle et comprend couramment l'anglais, il est très difficile de suivre la video car Byrd n'articule pas bien, sa tête est tournée donc le micro n'est pas bien orienté - ils auraient au moins pu le cadrer un peu mieux - et avale la moitié des mots. Je trouve qu'il a l'air bien fatigué. J'ai bien réécouté la vidéo et effectivement au début, il dit:

"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole ."

       Vous avez parfaitement compris le début du texte et à part cette phrase d'introduction il n'en dit guère plus, car il enchaine avec des considérations parlant des progrès matériels permettant des explorations plus faciles, grâce à des technologies de pointe et des avions plus puissants etc. Il dit d'autre part qu'il organise en effet une expédition pour établir des bases au Pôle Sud (Little America), et ils reviendront en Avril. Je pense qu'i s'agit de l'Operation Deep Freeze en 1955-56. En effet, les préparations pour l'Année Géophysique 57-58, ont commencé à partir de Novembre 1955 pour se terminer en Avril 1956....

       ...Cette interview doit venir d'archives d'époque où les Etats n'avaient pas encore complètement essayé d'étouffer l'affaire, ou alors ils ont laissé échapper des documents involontairement (ou pas). Comme on dit: Nobody is perfect, on ne peut pas toujours tout voir, certains détails finissent pas faire surface. Comptons là-dessus.

       On peut quand même remarquer, qu'il ne semble pas en très bonne santé puisqu'il disparaît en 1957. La technique d'interview aussi semble pointer vers ces années-là. Ensuite il enchaine sur le fait que ce continent inaccessible, est un reservoir gigantesque de ressources minières en particulier charbon, uranium et autres minéraux qui suffiraient à approvisionner le monde moderne pendant très longtemps. Il parle aussi de la ruée mondiale vers le Pole Nord , qui est plus accessible sans autre commentaire, mais ne manque pas de faire remarquer que le Pole Nord (surface liquide) n'a pas le meme intérêt que le Pôle Sud qui est un continent.

       A mon avis il n'a pas voulu s'étendre sur sa vraie mission, probablement par prudence de toute évidence. Mais ses paroles sont bien là et ne prêtent pas à contestation. Donc apparemment il veut donner l'impression que ses expéditions n'ont pour seul but que la recherche de matières premières !!. On ne peut certainement pas lui reprocher sa prudence sachant à quoi il s'expose. Mais un fait est certain: cette vidéo apparaît un peu partout, de + en + de gens cherchent la vérité bien cachée mais un jour ou l'autre, elle sera officiellement dévoilée. Beaucoup de monde s'intéresse à la Terre Creuse , et un jour ou l'autre quelqu'un finira par apporter une preuve indubitable. Actuellement les populations mondiales sont sous pression médiatique pour des tas d'évènements montés en épingle sciemment pour occuper le terrain. Ce sont des manœuvres bassement politiques pour noyer le poisson. Si jamais on arrive à démontrer par a+b que la Terre est creuse, vous rendez-vous compte de la révolution qui s'attachera aux dogmes bien établis, car tout le monde va se demander... comment il peut y avoir un noyau solide dans une sphère creuse ? C'est bien là que le bât blesse, toute révélation contestant l'orthodoxie, révolutionnerait le savoir mondial et toutes les données pseudo-scientifiques qu'on nous a inculquées depuis notre enfance, et c'est pourquoi ils sont prêts à tout et freinent des 4 fers, pour empêcher cette révélation qui sonnerait le glas de leurs carrières et de leur crédibilité, donc une affaire de gros sous, car dans ce cas, ils ne pourraient jamais plus exercer.

       Peut-être que votre correspondant pourra vous donner plus de détails. J'apprécie beaucoup la suite de votre article en cours.

       Amicalement


       Fin de citation.


      Remercions donc d'abord ici, mille fois, notre amie Nicole, pour cette magistrale explication, qui s'applique admirablement à un document filmé d'une grande rareté, tout à fait incomparable, et où à l'époque, Byrd , osait encore avouer, l'existence d'une Terre inconnue en plein Pôle Sud :

"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole .",
, que nous pourrions traduire modestement par :

      "C'est qu'il y a une terre secrète, au-delà du Pôle sud, de l'étendue des USA, qui n'a jamais été observée par un humain quelconque" .

      Vous avez bien noté nous l'espérons fortement le "a", de l'expression "That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole ."

      C'est donc clair, net, et sans bavure... et, le site ARTivision, s'est efforcé de démontrer cela, dès Septembre 2000. A bon entendeur Salut...

      Nous allons maintenant sortir, les documents incontournables, dont on évite soigneusement de parler dans les milleux médiatiques officiels, comme ARTE, alors que le site ARTivision en parle depuis des lustes et voir les débuts de cela, dans son super article :

http://www.artivision.fr/ByrdDilemmeLexical.html

, dont voici, quelques éléments très significatifs, concernant les termes exacts, prononcés par l'amiral Byrd, dans un article du journal "Miami Daily News", en date du 25/06/1926, et tiré, à une certaine époque, du site GoogleOldNews :

          Mais, pour gagner un temps fou, et nous reposer un peu les méninges qui chauffent durement ces temps-ci, voici seulement, quelques bribes clefs (où chaque petit détail, a son importance) de l'article en question :

Début de citation :

     " Commençons donc par jeter un stric coup d'œil à l'article du "Miami Daily News", article, (restructuré en d'autres colonnes par nos soins), et placé pour les puristes,à l'époque, à l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

      Hélas cet l'url, a disparu comme par magie, du site en question. Heureusement que le WebmasterARTivision, était passé avant cette soudaine disparition ... Merci donc mille fois à l'internaute génial, qui nous retrouvera un autre url de cet article


    On pourrait déjà traduire le titre grosso modo, par :

"Ovation rendue à Byrd par la foule, à son retour au bercail "
.

     Avant de sortir nos dictionnaires et de demander à certains traduteurs automatiques du Web, de nous aider à mettre en français, au moins les deux premières colonnes, de l'image précédente, jetons, pour bien situer le contexte de l'époque, et pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici donc en français, deux articles, que nous avons pu découvrir au sujet de Byrd :

     D'abord à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr


      On note alors d'abord que cette information vient de l'Agence "International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais l'Associated Press .

     Puis voyons aussi l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

qui, avec une restructuration des colonnes par ARTivision donne :


     Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du Canada. En effet c'est le 22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français (chose très rare) venant du contexte de http://news.google.ca/newspapers? (que nous nommons GoogleOldNews) et imprimé à l'epoque dans la ville Woonsocket des USA.

     Il faut savoir alors que Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du Rhode Island, qui comptait, (en 1932) 40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme "La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de 1900 à 1934, et fut suivi de 1935 à 1942 par "l'Indépendant", également en français.

    Après ce survol du contexte de l'époque, revenons à Byrd qui a alors exprimé cette incroyable déclaration, que nous avons soulignée en rouge plus haut dans l'article du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, et qui est telle que :


     Soit donc :

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land in there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Pour bien cibler, le problème qui se pose, demandons d'abord au traducteur en ligne SYLTRAN placé à :

http://www.systranet.com/fr/traduction/

de nous traduire ces deux phrases en rouge :

     On a alors :

     "Il y a terre dans une proximité du Pôle Nord", dans la croyance de commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir terre dedans là quelque part, et je pense qu'il y a". Byrd a dit après avoir dit que sa recherche de l'envergure glaciale au-dessous de la machine n'a pas indiqué n'importe quel signe de vie.

     Bien que nous sachions que les traductions en ligne, méritent toujours quelques rectifications, nous voyons que ce traducteur Syltran, n'a su traduire le mot land, qui n'est pas ici précédé par un article, ou qui n'est pas écrit au pluriel (Lands). Ce traducteur, pour la première phrase, aurait dû écrire au moins, "Il y a des terres dans une proximité du Pôle Nord", ou encore "Il y a une terre, dans une proximité du Pôle Nord". Mais quelle est donc la bonne traduction ?

Comment choisir ? C'est ce qui justifie le titre de cet article : " Dilemme lexical..."

     Avançons alors progressivement, vers une solution de cette incroyable énigme.

     Nous avons en mains, trois dictionnaires qui disent que l'on peut traduire land par terre (sol), par terrains, par terres (biens propriétés et ici, il semble qu'il ne s'agit pas du tout, de cela), et enfin par pays.

     Mais, allons plus loin en digitalisant pour les purristes, d'abord les deux premières colonnes du texte du "Miami Daily News" en question, et laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.

     Voici déjà, la portion digitalisée du texte :

"RICHMOND,-Va, June 25. -      ((AP) - Commander Richard Evelyn Byrd, Virginia's modern hero, first to cross the north pole in an airplane, came home last night to receive the greatest ovation the old Dominion has accorded a son in many years.

     Several thousand persons jammed the railway station were the Richmond 1ight Infantry Blues and Richmond Howitzers formed a military escort for the returning conqueror. Gov. Harry Flood Byrd, a brother, led the official welcoming delegation.

     To thousands who filled the city auditorium, Commander Byrd recounted his adventures in the frozen north. He painted a word picture of his flight from Spitzenbergen to the top of the world, while on a screen, before the home folks' eyes, scenes of his exploits and labors were flashed.

     "There are the ones to whom the credit is due", he said several times as pictures showed, his comrades engaged in the hazardous task of floating the huge Fokker airplane on a raft through the ice floes. He also was lavish in his praise of Floyd Bennet another Virginian, who piloted the airplane on the trip to the North Pole.

     John Stewart Bryan, publisher of the News-Leader, introduced the Commander by recalling the exploits of the Byrd family. It was William Byrd who founded the tobacco industry in Virginia, he said, and William Byrd II, who chose the sites of Richmond and Petersburg.

     "One of the greatest miracles of all time was the flight to the pole by this descendants of the Virginia pioneer heroes," Mr. Bryan declared.

     The story of "America' s polar triumph" was unfolded by Commander Byrd in a detailed public description of the first f1ight to the north pole. The Arctic explorer was at home in the land he declared "The most wonderful event, made", and in the city founded by his ancestor, William Byrd.

     One of the largest crowds ever gathered under a roof in Richmond cheered the young Virginian. More than 4.500 persons jammed city auditorium, while nearly 2.000 stood outside and heard his voice carried by loud speaker. His address was under auspices of Richmond News Leader.

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land is there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Home among the people he knew Byrd grew intimate in his description of the flight. It was "we" as the naval officier told of the hardships of the expedition, the preparation for which he characterised as the worst of the job
".

    Fin de l'extrait anglais.

Voici maintenant la traduction de Google translate.google.fr, arrangée bien sûr par ARTivision du texte en question, en notant bien que Google a traduit "land" par "terres"

     "Commandant Richard Evelyn Byrd, héros moderne de la Virginie,le premier à traverser le pôle Nord dans un avion, est rentré hier soir au bercail et a reçu la plus grande ovation de la vieille Dominion a accordé un fils depuis de nombreuses années .

     Plusieurs milliers de personnes s'entassèrent à la gare quand le Richmond 1ight infantry Blues et le Richmond Howitzers formérnt une escorte militaire pour le vainqueur du Pôle. Le gouverneur Harry Flood Byrd, un frère, a conduit la délégation officielle de bienvenue .

     Pour des milliers qui ont rempli l'auditorium de la ville , le commandant Byrd a raconté ses aventures dans le Grand Nord . Il a peint une image de mot de son vol de Spitzenbergen au sommet du monde , tandis que sur un écran , sous les yeux des gens de la maison , des scènes de ses exploits et de ses travaux ont été projetées .

      " Il y a ceux à qui le crédit est dû" , a-t-il dit à plusieurs reprises alors que les images étaient montrées, ses camarades engagés dans la tâche dangereuse de faire flotter l'énorme avion Fokker sur un radeau à travers la banquise . Il adressa aussi un grand éloge à Floyd Bennet en autre citoyen de la Virginie, qui a piloté l' avion lors du voyage au Pôle Nord .

      John Stewart Bryan, éditeur du " News Ledear" a présenté le commandant en rappelant les exploits de la famille Byrd . C'était William Byrd qui a fondé l'industrie du tabac en Virginie, dit-il , et William Byrd II , qui a choisi les sites de Richmond et de Petersburg .

      "Un des plus grands miracles de tous les temps a été ce vol au pôle par ce descendant des pionniers héros de la Virginie ", a déclaré M. Bryan .

      L'histoire du "triomphe polaire de l'Amérique '' a été présentée de détail publiquement par le commandant Byrd, au sujet du premier vol au pôle nord . L' explorateur de l'Arctique de reour au bercail, a déclaré: "L'événement le plus merveilleux, a été réalisé ", et cela a a été dit dans la ville fondée par son ancêtre, William Byrd .

      Une des plus grandes foules jamais réunis sous un même toit à Richmond acclamèrent le jeune Virginien . Plus de 4.500 personnes envahirent l'auditorium , tandis que près de 2.000 étaient dehors et ont entendu sa voix, portée par haut-parleur. Son Adresse était sous les auspices de Richmond Nouvelles Leader.

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir des terres là quelque part, et je pense qu'il en est ainsi", affirma Byrd, après avoir dit que sa traversée de l'étendue de glace en dessous de la machine, n'a révélé aucun signe de vie.

     Au sein des gens qu'il connaissait, Byrd a poursuivi en détail la description de son vol. C'était à "nous", en tant qu'officier de la Marine, de décrire les difficultés de l'expédition, et de sa préparation, qualifiée de la pire, qu'il soit. "
Fin de la traduction de l'extrait.

     Vous avez donc bien noté, nous l'espérons, que Google, nous propose pour la traduction de la première phrase en rouge :

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terres en pleine zone froide et glacée et désertique , nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place dans le voisinage du Pôle Nord", etc....

    Mais là, ils ne nous apprennent absolument rien car chacun sait que la superficie de la zone polaire nord, à l'intérieur du cercle arcticle (latitude 66° 33'N), est immense et fait plusieurs fois la France, et donc par conséquent il existe on le sait effectivement de vastes étendues autour du pôle Nord, et il en résulte que l'explorateur Byrd, n'aurait absolument pas fait allusion ici à cette notoire acception, s'il ne voulait pas passer aux yeux de ses interlocutueurs pour un vrai débile mental.

    Non, il y a pour sûr, autre chose, à prendre en considération dans cette affaire.

    On doit alors se poser la question de savoir, si Byrd a effectué, une autre expedition au pôle nord ?

    Nous n'avons encore rien trouvé, sur le super site de Google déjà présenté : translate.google.fr

    Mais cependant, nous avons trouvé sur le site :

http://www.ascensionplanetaire.com/terre%20creuse/tcRichardEByrd.htm


, ce paragraphe très significatif :

"En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
    C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol.
"

    Hélas, nous ne pouvons pour l'instant confirmer ce paragraphe n'ayant encore pas pu mettre la main sur un document officiel, qui le prouve.

     Mais comme nous avons eu l'heureuse opportunité de tomber sur ce superbe entrefillet du "Miami Daily News" en date du 25/06/1926, nous avons pensé alors, que d'autres journaux devraient également parler, de cette information de l'Agence "Associated Press", autour de la même date .

    C'est ainsi que le 13/06/2013, nous sommes tombés en page 6, à l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=vf0YIhSwahgC&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

, sur cet entrefilet de l' Evening Tribune, en date du 24 Juin 1926:


     On apprend alors ici , que l'expédition de Byrd au Pôle Nord, a eu lieu le 9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition.(voir notre article :

http://www.artivision.fr/Byrdpolemique.html)

     D'autre part, et cela est très regrettable, on voit que, les phrases clefs déjà présentées :


, ne sont plus du tout mentionnées dans le texte en question. Autrement dit, une information capitale venant l'Agence "Associated Press", qui intéresse l'humanité entière, et qui a trait à la composition interne de notre planète, et même sans doute à la structure de notre système solaire , a été escamotée par des responsables inconscients et ignares de la diffusion de l'information dans leur région ( Mais évidemment ces responsables ne pouvaient le savoir à l'époque). Ceci est bien la preuve que de nombreux textes, nous venant du Passé, ont été trafiqués selon l'humeur et la droiture des transmetteurs, et par exemble, nous l'avons déjà écrit, sur lesquels, on a fondé toute notre civilisation judéo-chrétienne, et une grande partie de nos lois actuelles, ont été manipulés et trafiqués à profusion, et par exemple, le terme ELOHIM, qui se trouve noir sur blanc , dans le texte hébreu d'origine, a été galvaudé et traduit de très nombreuses manières, alors que la prudence la plus élémentaire, aurait été de ne pas le traduire. (Si dans un livre d'anglais de sixième, on lit la traduction suivante: "Monsieur Picwick a été en promenade avec son chien" , on conçoit alors parfaitement que le vocable Picwick n'ait pas été traduit... n'est pas) . Seules alors les traductions récentes, d'abord de CHOURAQUI,(COL.Desclée de Brouwer 1974), celle-ci toujours, et parfois celle de DHORME (COL. La Pléiade, Gallimard 1956), satisfont à cette mesure judicieuse :

      A bon entendeur Salut ...

    Mais pour ARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations qui vont suivre de Byrd, nous pensons alors que notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :

    " Il y a une terre, dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     Ce sera alors aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur avis...quand ils auront pris connaissance des incroyables documents que nous allons présenter ci-dessous.

         D'ailleurs, il y a aussi la possibilité, que Byrd ait bien prononcé le "a", mais que le Rédacteur en chef du journal ait décidé de le supprimer, car il ne comprenait pas lui-même la portée de la découverte de Byrd, et que, pour lui, il s'agissait nécessairement d'une zone glaciale très étendue du Pôle Nord. Point à la ligne...

    Mais quittons donc provisoirement l'environnement du pôle Nord, où il nous manque hélas des journaux qui parlent de l'expédition de Byrd, et passons à l'antipode le Pôle Sud, au sujet duquel nous avons sous la main, de très nombreux documents qui confiment que Byrd, a également trouvé au Pôle Sud, la même affaire de terres insolites, et affaire qui défit l'imagination des meilleurs auteurs de Science-Fiction.

     Commençons donc, si vous le voulez bien, Messieurs les journalistes avides de scoops hors-normes, par ce document que nous a adressé l'ami canadien Sebastien, dès le 16 Sept. 2010, et qui était placé à l'époque à l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=PPAp3RzCAaIC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

, on trouve alors ce document :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:


    Traduisons alors grosso modo ce passage :

     " Byrd expliqua :

: "Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "

    Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.


    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié.

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    Comme on le voit, ces expressions de Byrd sont déjà très claires , même si l'on doit parfois, savoir lire entre les lignes. L'expression "et chercher un nouveau continent", nous interpelle bien sûr grandement, mais nous y reviendrons plus tard. "

        Fin de citation

        Finalement ---chose très étrange--- ,  le site ARTivision, pense que les actuels gilets jaunes, en France, et dans les environs, sont les prémices annonçant l'imminence d'un grand déballage cosmique,  de notre Terre, et qu'en fonction  du super document journalistique incontournable, le  (Miamy Daily News du 25 Juin 1926), ces derniers ont donc exactement 93 ans de retard, dans leurs revendications essentielles.   

       Mais ce 12 Février 2019, disons que, nous avons trouvé de très nombreux journaux américains, qui reprennent le 7 Septembre 1933, les mêmes termes au sujet du prochain voyage de Byrd au Pôle Sud, comme le raconte ci-dessus le Berkeley Daily Gazette de l'époque

    Voici alors par exemple, un autre article venant de la "seconde Section" du "Spokane Daily Chronicle" , issu cette fois, de l'Agence Associated Press, qui est formulé dans le même style, et qui est placé à l'url :



    
On voit alors aussi que , on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef et très surprenante du "nouveau continent". C'est donc un entrefilet, qui vient confirmer parfaitement le précédent .

     Mais, Super Hasard , le 17/05/2013, a mis encore la barre, à un plus haut niveau, puisqu'il nous a placé sous les yeux, ce qui suit, également en date du 7 Septembre 1933 ( Nous n'étions même pas encore né ) :

     En effet sur le site :
https://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

     On trouve alors :


    Traduisons alors, grosso modo, le début :

"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"

L'amiral fait appel aux bons offices du Président.

L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.

    On voit alors que l'on retrouve ici, le vocable surprenant : "continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous ...


    "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis. Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre, dit-il, nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

Nous recherchons un nouveau continent .

    Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."


    Là, tout est clair
, Byrd parle bien, d'un nouveau continent, et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de l'Inde, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    Et même le Président des USA de l'époque, T. Roosevelt, renchêrit en affirmant qu'il existe bien une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace, il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!

        Finalement, on en déduit qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient déjà tout prêts d'imaginer la portée gigantesque, de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Ce n'est pas encore hélas, le cas, pour nos journalistes actuels.

       Nous allons maintenant analyser plus avant, l'expression déjà connue telle que :

" there is an aera there still unexplored as big as the United investigate States and Mexico combined."

" Il y a là une région encore inexplorée, aussi grande que les Etats unis et le Mexique réunis "

      Mais, pour mieux comprendre cette affaire concernant les USA et le Mexique réunis, voyez donc les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :

    Voyons alors, les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :

Atlas du Monde chez Hachette 1996 ISBN 2.01.166807.7

     Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 = 11 487 264 Km2

     Comme on apprend sur le site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de 14 107 637 km2, on voit alors que : 14 107 637 km2 / 11 487 264 Km2 = 1,2228...

     Autrement dit, compte tenu du vaste territoire de l'Antarctique déjà connu par Byrd, (et aussi occupé par de nombreuses nations), il n'y a pas la place en Antarctique pour un autre continent inconnu, aussi large, que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

         Donc, autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le 23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :

carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.

    Un internaute géographe pourra additionner, les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite, que le compte, n'y est pas. Donc pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

    D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine :


    Donc, sans même y ajouter le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.

    Mais il y a justement un cas où, en 1955, Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de 3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :


    Mais où donc Byrd a-t-il pu découvrir ces 7 770 000 km², surtout tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le fait clair et net , que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment comme une peau de chagrin ?

    Alors Messieurs les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix, dans ces deux options :

a) Soit, le vice amiral Byrd de l'époque était tout à fait timbré , et un blagueur fini.

b) Soit, il a bel et bien pénétré dans , le vortex polaire sud, que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et vortex qui conduit, quand il s'ouvre, à l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment un immense continent à découvrir, possédant vies et civilisations, très développées par rapport à nous.


        Mais, c'est encore Byrd, qui va surclasser de très loin, la chaine ARTE, au sujet de son affaire du "huitième continent", et donc, ne loupez surtout pas la suite...

      Mais ce 13 Février 2019, il nous importe aussi, de transcrire ici, les paroles du Maître de Findhorn, relatives à la date de 9 Février qui garde en ce jour, toute sa magnificence et qui nous ouvre un peu plus les yeux, sur tout ce qui se passe sur cette planète Terre en grande mutation :

Le nouveau Ciel et la nouvelle Terre sont ici et maintenant.

II s'agit de reconnaître et d'accepter ce qui arrive,
et d'élever ta conscience
de façon à être pleinement conscient de tout
ce qui se passe au-dedans et autour de toi.

Si tu ne perçois pas tout, cela ne veut pas dire que cela ne se fait pas.

Cela signifie simplement que tu l'as relégué à l'extérieur
par ta propre fierté et ton arrogance
qui t'ont rendu aveugle aux merveilles tout autour de toi.

continue à élever ta conscience,

Plus haut tu l'élèves, plus clairement tu peux voir la vérité,

et rien ne se met en travers pour en gâcher la pleine vision.

Une fois que tu as contemplé la merveille de cette vision,
fais-la descendre et vis-la;
qu'elle devienne partie de ta vie de tous les jours.

Si une vision n'est pas manifestée dans la forme,
elle ne devient pas réalité.

La Source
te dis de contempler Son nouveau Ciel et Sa nouvelle Terre

manifestés dans la forme, maintenant.

La petite voix : Eileen Caddy Le Souffle d'or (1989).
Méditation pour le 9 Février , après adaptation d'ARTivision.


Curieux n'est-ce pas ! cette affaire de nouveau Ciel et de nouvelle Terre qui semble s'ériger,
maintenant .


      Certes, ce maintenant , peut signifier des dizaines d'années, voire plus, pour Ce Maitre, qui d'ailleurs s'est exprimé pratiquement dans les mêmes termes le 1er Mai tel que :

     De grosses portes tournent sur de petits gonds.
Des événements extraordinaires partent de tout petits commencements.

La Source autrement dit le Très Haut te le dis,
ce qui a commencé à Findhorn d'une manière si modeste
grandira et se développera en un mouvement universel, planétaire;
une révélation deviendra une révolution.

Les chemins du Très Haut sont très étranges et merveilleux;
ce ne sont pas les vôtres.

Marche dans son chemin avec une foi et une confiance absolues,
et vois se deployer ses merveilles et sa gloire.

Le printemps du Nouvel Âge est là,
il éclate en une parfaite harmonie, beauté et abondance,
et rien ne peut l'empêcher.

Il y a un bon moment et une bonne saison pour tout, ,
et c'est maintenant le bon moment

et la bonne saison pour la naissance du Nouvel Âge.

Alors ne t'attarde pas sur le Passé, laisse tout ça derrière toi ;
et vois ce que le Très Haut a pour toi en ce magnifique jour nouveau.
Vois se réaliser toutes Ses merveilleuses promesses,
et rends grâce éternellement pour tout.

Maintiens toujours devant toi
la vision du nouveau Ciel et de la nouvelle Terre .


La petite voix: Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 1er Mai , après adaptation d'ARTivision.

.
        Et il nous faut rappeler  ici qu'Eileen Caddy, (décédée en Mars 2007), était la cheville ouvrière, de ce que l'on a appelé par la suite, les jardins de Findhorn. Pour en savoir plus, prière de consulter nos articles :
http://www.artivision.fr/Findhorn1.html
http://www.artivision.fr/Findhorn2.html 

      Mais, chacun le sait désormais, nous sommes donc bien arrivés, à ce que certains appellent "la Fin des Temps messianiques", et que le Grand Maître de Findhorn appelle, le Nouvel Âge, comme il nous le dit si bien, ce 1er Mai :

       C'est pout cela, que le site ARTivision, s'évertue dire souvent, que le "Temps des Révélations", est bien arrivé, et comme nous le révèle si bien le grand ésotériste Français nommé Jean Sendy :

  

     " Les descriptions de l'Age d'Or des idolâtres et celles des Temps messianiques des Hébreux, concordent sur un point fondamental :
          Quand on en sera là, nous rabâchent-ils depuis des siècles et des siècles, l'homme saura accomplir les actes attribués par les Mythes aux divers "dieux" , et aux Elohim par la Genèse.
" .

     Extrait de "Les temps messianiques", J'ai Lu A 381 page 33.

     Affaire à suivre donc ...et il ne nous reste qu'à mettre la main sur ces descriptions si étranges des idolâtres et des hébreux...n'est-ce pas !!!

     Quant à cette affaire de Source, évoquée plus haut par le Maître de Findhorn, le site ARTivision, l'appelle parfois "Le Très Haut" ou "la Matrice Cosmique" ...

     Les bien-Pensants, les mécréants de toute nature, et autres agnostiques irréductibles de la même veine, vont bondir de dépit et d'amertume en hurlant : "Trop c'est trop, tout cela n'est que du prosélitisme sous-jacent pour une religion non précisée. Encore une affaire de secte. Vite avertissons la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ( donc la MIVILUDES )...
.

     Ce que ces détracteurs zététiques ignorent, c'est que le site ARTivision, affirme aussi que nos savants, sont sur le point de découvrir cette matrice en question, qui prouve que les humains (qui souvent ne pensent qu'à s'entredéchirer, pour des broutilles), ont un rôle spécifique à jouer, dans le Cosmos, comme viennent de nous le démontrer les Questeurs des Prix Nobel de Stockholm :


      Comme on le voit, les recherches précédentes, des Prix Nobel en question, ne peuvent qu'être que les prémices d'une importante découverte, montrant qu'il existe bien la sorte de matrice énergétique intelligente déjà évoquée plus haut, par le Maitre de Findhorn, et matrice, qui relie tous les êtres vivants, de cette planète, et peut-être aussi, toutes les cellules organiques de notre Système Solaire...

        Mais, ce 15 Février 2019, nous voilà arrivés à la clef de voûte de cet article, qui consiste à épiloguer sur le vocable "Huitième continent", très maladroitement, utilisé par la Chaine ARTE, lors de son émission suivante, déjà présentée plus haut :


    En effet, pour ceux qui tout de même, douteraient de notre énigmatique propos, voici de quoi les mettre au pied du mur, pour plusieurs raisons... :

    En effet, sur le site de GoogleOldNews , on pouvait, il y a quelques temps, découvrir, à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

    Url, qui a lui aussi disparu comme par enchantement du site en question, on pouvait lire ce qui suit dont nous vous présentons pour une raison évidente, que le début :


     Nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."

     Donc ici, seule la croyance affirmée du Vice amiral Byrd. de l'époque, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, nous intéresse en premier lieu, car, en substance, ce dernier stipule à ce moment, clairement, l'existence "d'un huitième continent", qui pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition.

     Mais que signifie donc tout cela ?...

      Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd, parle d'un "huitième continent" qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pu pénétrer, (en quelques milliers de km) dans "l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre.

     Mais si nous utilisons d'une part, la super carte tirée de l'incomparable livre, de Marshall B. Gardner de (1920)

  


et aussi d'autre part, la carte extraite l'ouvrage désormais incontournable (actuellement pratiquement introuvable en France), de R. Bernard " La Terre creuse", paru chez Albin Michel, en 1971 :



      Voici donc ces deux shémas :

  


      On voit alors après quelques recherches que:

   Diamètre de la Terre : 12 756 km
   Superficie 510 065 700 km²
   Formule : 4 × p × R 2.
   Diametre Terre intérieure 12756 - 2600= 10156
   Rayon Terre interieure 10156 : 2 = 5078 km
   Superficie Terre intérieure : 4 x 3,1416 x 5078 x 5078 : 324038245,9776 arrondissons à : 324 038 246 Km2
   Superficie totale de la Lune : 37 895 642,64 Km 2 arrondissons à 37 895 643 km2
     Autrement dit, La Terre interieure, a 324038246 - 37895643 = 286142603 ... soit environ, 286 millions de Km2 en plus que la Lune, qui ne représente alors, sauf erreur, ( 1,169 %) soit 1,17 % de la Terre intérieure, qui est bien le "huitième continent", comme le préconisait le Vice amiral Byrd de l'époque ...


      Donc ce n'est pas la Lune, qui doit être un "huitième continent", comme le racontent les journalistes et les rédacteurs zélés, et autres propagandistes blasés de la Chaine ARTE, qui de plus, doivent maintenant, répondre à la question suivante, qui concerne aussi les psychologues, psychiatres, sociologues, géographes, et consorts intellectuels affiliés :

<      Comment expliquer brièvement, pourquoi le journal Palm Beach Daily News, en date du 9 Février 1947, que nous avions découvert dès le 23 Nov 2014, a entièrement disparu du portail GoogleOldNews, (https://news.google.ca/newspapers?), et qu'il en a été de même du journal Miami Daily News, en date du 25 Juin 1926, qui lui aussi avait, une déclaration fracassante de Byrd. ?

      Merci d'avance pour vos judicieux éclaircissements.

      Mais, par contre, on le sait déjà, grâce aux nombreux articles très pointus, du site ARTivision, que le Vice amiral Byrd de l'époque, rencontrera alors, lors de son expédition dite "High Jump" au Pôle Sud, une résistance hors-normes, et il s'en retournera hébété, au point de parler ensuite, de manière ambigüe, de menaces voilées et peu explicites, envers les USA, venant des deux pôles. Voir nos articles :

http://www.artivision.fr/euxnousail.html

http://www.artivision.fr/ByrdDeseret.html

http://www.artivision.fr/ByrdMercurio.html



      Et surtout l'article, où le lanceur d'alerte Corey Goode en dit bien plus :

http://www.artivision.fr/SuperFlashback-sur-EpopeesPolairesByrd.html

     Mais, qui fut donc ce Lee Van ATTA, qui savait tout ? C'est maintenant , qu'il faut chercher, des éclaircissements supplémentaires, n'est-ce pas ...!

    C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui, et encore merci à Super Hasard, de nous avoir permis de faire ici, un flash-back, toujours utile, sur les déclarations insolites de l'amiral Byrd, qui a quitté ce monde, rappelons-le à toutes fins utiles, à 68 ans, au soir du 11 Mars 1957.

        Mais, nous voilà ce 17 Février 2019 en demeure d'en dire bien plus encore sur cette affaire du "huitième continent", si mal interprétée, par ces Messieurs les journalistes et autres rédacteurs zélés, de la Chaine ARTE, qui n'ont jamais lu un seul article du site ARTivision, ou encore qui ont cru que son Webmaster était un gratte-papier, en mal de publicité dérisoire.

     Nous allons donc ce jour, "enfoncer le clou", plus profondement, et ainsi produire d'autres documents, tout aussi renversants que les précédents :

        Extrayons alors du fameux document fantôme du journal Palm Beach Daily News, en date du 9 Février 1947 ce passage :


      Notre modeste traduction, de la phrase en rouge, donne: " "La plus importante découverte géographique du vingtième siécle : Un huitième continent".

      Comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique, interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ?

       Ce que ne savent pas les touristes culturels novices de cette affaire, c'est que Vice amiral Byrd. de l'époque avait parlé de cette affaire d'énorme découverte géographique, 10 jours plus tôt, dans ce journal devenu grâce à ARTivision, aussi incontournable que les précédents:


Le titre surprend déjà :

" Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire " .

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir (contrairement à ce que prétendait le sieur Serge Jodra), dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini, n'est-ce pas ?

       Faisons en effet ici, une courte digression en incluant le passage suivant, tiré de notre article :


      "Donc on voit que, chaque chose arrive à point nommé, dans ce monde que certains intellectuels blasés croient être livré, à un hasard purement aléatoire.

     Nous pouvons même affirmer que si certains cosmologistes avaient eu le privilège de connaître ce document de 1569, ils n'auraient pas perdu, leur temps, à écrire des articles insignifiants., comme il en est, de l'article dérisoire publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997 .

      Pour l'auteur de cet article, un certain Serge Jodra, sans doute, un astronome officiel qui, du haut de son statut social, croyait devoir fustiger amérement L'affaire de la Terre creuse, en disant qu'elle n'était qu'un fantasme relevant entièrement du mythe, sortes de propos fantaisistes, que justement notre article actuel, remet ici en cause totalement. Voyez vous-même :


     Puis, à la page 68, on trouve ceci :


     Donc, on voit bien que ce Monsieur Serge Jodra, dans cet article tristement mémorable, intitulé "Terre creuse voyage au centre d'un fantasme", met volontairement entre guillemets (en page 68) l'expression "mystère polaire":


et cela signifie, pour lui, qu'il n'y rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien, dans son titre. Point Barre..."

     Fin de citation.

      Reprenons maintenant les détails du "THE LEADER POST", en question :

" Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire"

     Mais, c'est alors maintenant le moment, d'en dire plus sur cet article renversant du "The Leader Post" du 31 du Janvier 1947 :

     Traduisons encore quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.

     D'abord tout au début, on trouve " Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atterri à Little America jeudi, et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré, pour déterminer si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.

     Byrd dit que l'expédition de la NAVY sous son commandement, allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".


     Quel tissu de sous-entendus, Byrd, nous livre-là ? Il faut savoir lire entre les lignes, bien sûr.

     En effet d'abord, pour savoir si l'immense continent possède des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m )
, capables de le séparer en diverses portions, il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants, (en 1947, il n'y avait pas encore de satellites artificiels) pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc cette affaire d'îles à déterminer est un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.

     Puis il y a ceci :"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".

     Nous avons déjà explicité, ci-dessus, le caractère tout à fait déboussolant de cette phrase, qui a dû, à l'époque faire tomber carrément à la renverse , géographes, géologues et consorts intellectuels affiliés blasés du système académique connu.

     Mais, pour pouvoir analyser, plus avant, le document en question, faisons ici une deuxieme digression d'une grande inportance :

      En effet nous savons maintenant, que l''explorateur Byrd, a effectué au Pôle Sud, de nombreuses expéditions, entre autres en 1929, 1936, 1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites...

         Mais lisons avant tout ce super texte de Raymond Bernard, publié en 1971 chez Albin Michel, ( ouvrage déjà présenté plus haut) dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":


où tous les événements notoires sont clairement présentés, et où l'on parle aussi d'un autre explorateur australien Sir George Hubert Wilkins qui, comme Byrd aurait découvert au-delà du Pôle, une terre totalement inconnue.


         Bien sur nous avons souligné les phrases clefs de cette liste. On y reviendra bien sûr.

        Disons cependant pour les authentiques puristes, qui aiment remonter aux sources véritables d'un document, que cette superbe liste de R. Bernard, est tirée entièrement des pages 13 et 14 du livre de 1959 "Mondes au-delà des pôles", d'un certain Amedeo Giannini, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :

  


      On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Et voici donc juxtaposées, une partie des pages en question de ce livre :



      Notre modeste traduction du premier paragraphe donne :

Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".
Vice-amiral Richard E Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Hélas, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal américain quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947 (Mais un extraordinaire journal français du 6 Avril 1973 en parle).

     Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-secrète. C'est pour cela, qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis , une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd. Cette déclaration venait assurément de certains membres de la Navy, avec quiGiannini, était lié amicalement, et qui lui ont interdit de citer ses sources, ce qui milite bien sûr, pour leur authenticité.

     Voici donc, une des rares photos de ce Giannini :


     Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet Amedeo Giannini dans nos articles suivants :



     Précisons cependant, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie fantasmagorique de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.

     Giannini, n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.

      En essayant de décortiquer cet ouvrage très ardu à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seule seconde qu' Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.

      Mais, il s'avère cependant que les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites (nous dit Giannini) de Byrd, et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique.

     Hélas comme vous le voyez Giannini oublie de citer ses sources. Cela n'avait sans doute pas trop d'importance à l'époque, mais de nos jours c'est indispensable.

      Il ne précise pas du tout par exemple, où l'on peut découvrir la relation de cette incroyable découverte d'une terre au-delà du Pôle Sud, précisément ce 12 Décembre 1928, et c'est toujours ainsi dans son livre, où il parle de cette découverte. Donc si un internaute pouvait découvrir au moins l'entrefilet de l'Agence en question où l'on présente cette information, il aurait presque gagné le Gros lot dans cette affaire.

      Mais il y a mieux mieux. Voici un autre passage en page 53 :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.

     Nous demandons donc, avec une très grande déférence, à tout internaute qui connaît parfaitement le russe et le roumain, de tout faire pour retrouver la trace de la super déclaration précédente, et les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une plus grande compréhension de notre planète et même sans doute, de notre système solaire.

     Aux yeux égarés de nos éternels détracteurs, cette découverte faite en Antarctique par Sir George Hubert Wilkins, aurait pu passer pour de la très bonne Science-Fiction, si nous n'avions pas mis la main (aidé par notre bon ami canadien Sébastien), sur l'entrefilet remarquable, qui va suivre et qui confirme tout cela :



Puis surtout:


    Disons alors que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


    Et voici donc l'entrefilet en question :

     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un message en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

     Mais concernant le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, il y a bien mieux encore, car Super Hasard, allait de nouveau marquer un grand coup, et voici un texte surprenant, qui a en plus, l'mage de la photo de Sir George Hubert Wilkins, et cela, sur un entrefilet du "Berkeley Daily Gazette", en date du 18 Novembre 1930 page 10, qui nous est tombé sous la main le 09/06/2013 au soir, dont voici l'url :



     On trouve alors dans cet entrefilet, une phrase ambigüe sans, une fois de plus , l' article clef "a" devant "new land" . On a alors "...and he was the first to discover new land, from an airplane". Ce manque d'article est très génant, (et il va plus bas apparaître de nouveau). Cependant, compte-tenu du contexte, nous sommes amenés à traduire cette phrase par : "Et il fut le premier à découvrir une terre nouvelle, à partir d'un avion ", en imposant "l'article", qui cause un problème et en invitant les spécialistes de l'anglais, à nous donner leur précieux avis.

     Ce lapsus d'écriture, vient, selon nous, directement des reporters de l'Agence de Presse en question; (Agence hélas non mentionnée ici ).

     Mais, en plus, on y apprend que Willkins fut " ..the first man to attempt to go under the ice of the North Pole in a submarine..." " le premier homme à tenter de pénétrer sous le Pôle Nord, à l'aide d'un sous-marin". Pour en savoir plus sur les péripéties dramatiques de cette affaire, prière de consulter notre article :


     Reste à savoir, comment il peut exister une terre nouvelle dans cette zone terrestre glacée et lugubre de l'Antarctique, couverte de neige à profusion, et où la température on le sait, tourne régulièrement autour de -50 °, ou même moins.

     Fin de la deuxième digresion.


    Mais après cette importante digression, revenons à l'étude des termes insolites de notre "THE LEADER POST" , du 31 Janvier 1947:

     On y trouve alors, cette déclaration inouïe de Byrd :

"I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pole"

     Traduisons très modestemennt :

:
"J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle".

    Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration, s'apparente énormément à celle, présentée plus haut de Giannini que Byrd, aurait dite en Février 1947:

"J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)..."

, alors qu'ici il s'agit ici, maintenant d'une déclaration qui eu lieu avant un autre vol, vers le Pôle Sud, également en 1947 ?.

    Aux spécialistes de résoudre cette énigme saugrenue, et une fois de plus, c'est encore ici le moment, de reprendre la célèbre réplique, du grand acteur français, que fut Louis Jouvet, qui nous disait si bien, dans le film de 1937 "Drôle de Drame" de Marcel Carné :

BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? COMME C'EST BIZARRE...

            Plus loin, il y a aussi dans le texte incroyable de notre "THE LEADER POST" , du 31 Janvier 1947, ce passage étrange :


       Notre modeste traduction, donne alors :

" Byrd déclara qu'il était durement intéressé par la région non répertoriée qu'il espérait explorer. Il la qualifia de l'endroit le plus inaccessible de la face du monde, juste au delà du Pôle Sud, par rapport à l'emplassement de Little America "


       Revoilà donc cette affaire d' inacessibillité, que nous avons déjà traitée, dans notre article du 01/03/2011 :


       Mais, ce 19 Février 2019, pour les bien-pensants railleurs et cabotins, qui s'alignent encore sur les portagonistes zélés, de la Chaine ARTE, qui évitent soigneusement de répondre, à la moindre interrogation spécifique, du site ARTivision, voici un autre document irrécusable, qui explicite parfaitement le trouble soulevé, à l'époque par le fiasco notoire, de l'expédition "High Jump", au Pôle Sud, du Vice amiral Byrd, de l'époque...

      En effet nous allons demander, ce jour, à ces irréductibles détracteurs, cités plus haut, de nous expliquer, concernant cette fantastique affaire High Jump, pourquoi des scientifiques de haut niveau, se sont interrogés sur la vraie quintessence de son élaboration, et de son flagrant bide...

      Ainsi donc, même la revue à vulgarisation scientifique "Sciences et Avenir", de début Mai 1947 dans son n° 1, (que nous avons la très grande chance de posséder) , se pose aussi des questions très justifiées à ce sujet.

        Voici d'abord une partie de la couverture de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm, ce qui dépasse de loin les capacités de notre scanner :


     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:





     Vous avez, donc bien noté, nous l'espérons vivement, que, devant l'incroyable armada, mise en route par l'expédition de Byrd, la revue Sciences et Avenir de Mai 1947, se pose effectivement la question de savoir, si cette expédition "n'avait pas d'autres visées non avouées".

       Ainsi, les journalistes et les rédacteurs, socialement bien en vue, de la Sciences et Avenir, ( il y a de cela 72 ans en 2019), avaient donc, déjà en Mai 1947, tout le loisir d'approfondir, dans leur propre revue, les phénomènes insolites, (si souvent mis en exergue, par ARTivision...), et phénomènes, qui se passent aux pôles de notre planète, pour en tirer aussi les extraordinaires conséquences, qui s'imposent...

       Mais pour les puristes qui s'interrogent sur cette affaire d'armada, et n'ont pas le temps que plonger dans les nombreux dédales du site ARTivision, voici alors de quoi il s'agit, et qui est tiré de notre article :


       Mais lisons plutôt, ce que nous apprenait, dès Juillet 2001, notre grand ami Jean Anne ( qui hélas a quitté ce monde le 17/01/03.) et qui fut à une certaine époque, inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962, faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. En effet, cet ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe , pendant ces moments tragiques, a su inspirer confiance aux commandants allemands, de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences. Dans son article : euxnousail.html, il nous en dit un peu plus, sur l'éxpédition High Jump :

Début de citation :

      " ...Dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND» embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit.  L'image suivante pourrait symboliser tout cela:


    Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des "équipages constitués de nombreux techniciens spécialisés", fuyant l’occupation alliée en Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946, sous le commandement l’amiral Richard, Evelyn BYRD ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée High Jump se composant, en plus du navire amiral "Mount Olympus" de deux brise-glace le "Burton Island " et " North Wind", les transports de troupes, "Pine Island" et "Curritruck", les destroyers, "Brownson " et "Henderson" le porte-avions "Philippine Sea" et quatre autres navires "Cannistead ", "Capacan", "3Yancey", et le "Merrick ", 4 000 marines, et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais... "

       Fin de citation ...

        Rappelons aussi, que 5 Mars 1947, le journaliste Lee van Atta,, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, "El Mercurio", ( Note du Webmaster : voici cet incroyable document :)


, qui est une interview du Vice amiral Byrd de l'époque, au cours de laquelle il déclara, en substance :

«C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre »

        Il laissa aussi comprendre : «Qu’il y avait "là bas" une civilisation avancée qui se servait, d’une technologie supérieure»

        Rappelons-nous que ces événements se sont passés en 1947.

       Alors, Messieurs les journalistes et rédacteurs attitrés de la chaine ARTE et autres consorts intellectuels culturels blasés, c'est le moment de juger "sur pièces", bien sûr, tout ce qui précède ...

       Nous attendons aussi, avec ferveur, que vous puissiez (même si vous étes noyés en ce moment, par l'affaire corrosive et envahissante des gilets jaunes, en France, et dans les environs), que vous puissiez un jour béni, nous sortir une vidéo plus éclairante, que celles qui existent en ce moment, constatant, la présence sur notre planète, il des milliers d'années, des entités géantes, très technologiquement avancées, descendantes dit-on, académiquement, des Olmèques mexicains, telles que :


        En ce qui concerne la taille de ces géants à traits négroïdes notoires, (et qui étaient considérés comme des Dieux, puisque, l'on a jugé bon de leur ériger de colossales statues), en voilà une, qui est près de Véracruz, et qui pèse dit-on, près de 18 tonnes :


      La question à 1000 €, est désormais de savoir comment des êtres qui vivaient normalement en Afrique, (comme le prétend l'ouvrage "They came before Columbus" présenté plus bas ), sont arrivés là, au Mexique, bien avant le commerce appelé pudiquement " le commerce triangulaire", dit aussi esclavagiste ?

       Mais pour aborder, ce sujet extrèmement sensible, disons que tout commença, quand nous avons découvert, dans nos vieux dossiers, par le plus grand des hasards ( Hum, Hum!), la revue d'Octobre 1998, suivante :


      En feuilletant cette revue, nous sommes tombés en arrêt, à la page 43 suivante, où nous avons incrusté volontairement, l'inscription en rouge du bas :


      Certains détracteurs qui se disent cultivés, (engoncés dans leur fière culture officielle), vont encore se tordre de rire jusqu'à se rouler par terre, lorsque nous allons affirmer que des géants à trait négroides très caractérisés, comme encore celui là, placé à droite de la photo suivante :


venaient d'une manière quasi certaine, de l'Atlantide, avant sa disparition totale, il y a près de 12 000 ans.

      Mais en voici encore 3 autres :


      Cependant, ce qu'ils n'ont jamais appris dans leurs Universités, c'est que ces Atlantes avaient atteint un niveau de civilisation, bien plus évolué que le nôtre actuellement, et donc l'on trouvera obligatoirement, la trace de leur passage sur la Lune, sur Mars ...etc...

      Mais, si ces zélés détracteurs,, avaient d'une part, de bonnes lectures, ils se seraient aussi, d'autre part, assurément étouffés de stupéfaction, s'ils avaient eu la grande opportunité, de lire, dans le remarquable ouvrage de 2013, de Mr Guillaume Delaage, tel que :


, ce passage inouï, que l'on découvre aux pages 143-144
:



      Dommage que l'auteur, n'ait pas jugé bon, de nous en dire bien plus, sur cette affaire tout à fait hors-norme d'aviateurs, qu'il évoque si bien, au sujet de nos géants Olmèques en question, et géants dont les traces historiques sont désormais, pour ARTivision, irréfutables.

      Dans l'ouvrage qui suit :


"They came before Columbus" (ils étaient là avant Christophe Colomb), prétend que les africains se sont rendus en Amérique une centaine d’années avant Colomb.

      On découvre tout cela sur le site :


       Un ami nous disait alors récemment : "L’histoire officielle a du mal à accepter et digérer des arguments et preuves qui sont des vérités risquant de troubler l’ordre officiel et prédominant. Mais le Temps des révélations est bien arrivé, et nous en sommes tous les deux de modestes artisans ... "

      Puis, nous avons même aussi reçu notre grande amie belge, cet url qui est le PDF du livre en question :


Où, il est précisé que ces géants à traits négroïdes, sont arrivés près d'un siècle, avant Christophe Colomb, ce qui selon ARTivision, est archi-faux, et nous allons voir pourquoi, plus bas...

      Ce qu'ils oublient de dire, c'est que ces têtes sont casquées et sanglées comme des explorateurs en mission, et même, regardez bien l'oreille droite, et gauche de ces quatre têtes suivantes :

  

    En effet, sur l'oreille gauche des 2 premiers sujets, et l'oreille droite des deux derniers, apparaît nettement branché, une sorte d'appareillage très particulier :


      A quoi cet appareillage pouvait-il bien servir ? Ces explorateurs connaissaient-ils un moyen d'amplifier et de capter le son à distance ?

      Bien sûr, les archéologues officiels, vous diront que c'est simplement un dispositif pour tenir en place le casque. Point barre...

      Mais, disons aussi que, ce que ces archéologues officiels, éviteront aussi d'expliquer, c'est quelle usine à l'époque, aurait pu fabriquer ces casques aussi sophistiqués, dignes de designers et stylistes, des plus modernes ?

        Voyez-aussi la magnifique ciselure en creux, et coupée à angle droit, réalisée sur le casque de la 2e photo vue, plus haut :

  


      Mais ce que les pontifes des universités évitent à tout prix d'évoquer, c'est la question de savoir, avec quels outils sophistiqués, ces habiles ouvriers ont-ils pu, si finement, tailler ces blocs faits, d'une pierre très dure ?

       La science actuelle n'a aucune réponse à nous fournir à ce sujet.. (Et c'est pour cela qu'ARTivision, s'intéresse si profondément à cette affaire) , car même avec nos puissantes machines outils et nos ordinateurs modernes, on aurait un mal fou pour réaliser de tels exploits. Comment donc ces extrordinaires ouvriers s'y sont-ils pris ?


      On est certain que ces ouvriers n'avaient pas de burins en acier, et chose bizarre dit-on, ils ne connaissaient pas, la poulie, ni le treuil, ni la roue, et le site ARTivision a démontré que pour la roue...cela est faux... car on a trouvé de petits jouets, ayant des roues, dans certains tombeaux.

      Ce que l'on évite aussi de dire, c'est que l'on a trouvé certaines de ces têtes mexicaines profondément enfouies dans le sol, comme par exemple celles-ci :

    

       Etant donné, le profond enfouissement de ces sculptures, cela démontre, selon nous bien sûr, leur énorme ancienneté, et finalement, c'est le cas de dire ici, que la vérité au sujet de ces géants, sort donc du puits progressivement, comme il en est de même, pour les statues de l'île de Pâques, île, qui a dû faire partie, il y a bien longtemps de la fameuse la Lémurie, si bien évoquée on le sait, par le très grand médium, Edgar CAYCE.

  

      Ces admirables photos sont tirées du site :



       Pour le Webmaster d' ARTivision, nous le répétons avec obstination, ces géants ne pouvaient venir, que de l'Atlantide, juste autour 12 000 ans, quand ce légendaire territoire s'est brutalement enfoncé sous les eaux. Mais d'autre part, comme à notre connaissance bien sûr, on n'a pas encore trouvé de squelettes de ces géants dans le sol mexicain, c'est bien qu'ils sont partis ailleurs... Pourquoi pas sur la Lune, d'où étaient basés leurs ancêtres... et Lune, qu'occupent actuellement d'après Corey, leurs descendants, depuis des lustres.

      Mais faisons alors ici, une 3e petite digression :

       Pour les novices ingénus, qui découvrent actuellement le site ARTivision, présentons en effet, aussi ici, cette superbe boule de granit, découverte dans les jungles du Costa Rica, et exposée ensuite sur une place publique du pays :



      Mais c'est le célèbre l'explorateur suisse, Erich von DÄNIKEN, dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles", publié chez R. Laffont en 1971, ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322), qui nous a admirablement présenté ces artéfacts extraordinaire découverts dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.

    Vous avez aussi bien sûr, cette boule de 12 tonnes, que montre notre page d'accueil, et qui est analysée par le Dr Stirling et sa femme :


      Expliquons alors, très rapidement, le début du texte, placé au-dessus de l'image:


      Bien sûr, pour nous cette boule est artificielle et n'a pas du tout été exécutée de main d'homme par d'habiles artisans. Point à la ligne.

       Mais, si vous voulez en voir plus, analysez donc avec le Dr Smith cette magnifique courbure, d'une autre boule :



        Là non plus, on ne pourra pas nous dire, que se sont des artistes bricoleurs, qui ont réalisé ces boules si parfaites, avec les outils primitifs qui sont supposés, d'après nos universités, exister à l'époque.

      On trouve ces boules bien pleines, parfois au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et elles sont dispersées çà et là . Leur diamètre nous dit-on va de quelques centimètres, à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes (Voir à ce sujet la page 303 du livre de Gérard DEMARCQ :Les PARATERRESTRES Editions RAMUEL Juin 1997.)

      Ces boules admirables sont-elles un simple caprice de la Nature ? Concernant la boule étudiée ci-dessus , par le Dr Smith, nous rejetons sans réticence cette hyphothèse. Mais notons bien que nous savons, qu'il existe aussi des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan, ou même certains galets géants qui auraient roulé dans le lit d'une rivière durant des siècles, grâce à la puissance de l'eau, et qui pourraient approcher une forme presque sphérique

      L'auteur Erich Von DÄniken , nous précise surtout qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Landrover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques, et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement dit-il parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle, que cela valait la peine d'aller les filmer".

      En effet, il faudra bien se poser alors la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui étant donnée, leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels, et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle ?

      Mais, changeons maintenant de niveau, en prenant sur notre Page de Garde, , cette superbe photo, concernant les ancêtres très lointains des Incas :


Cette construction n'a à notre connaissance jamais fait l'objet d'un seul petit débat à la télévision et pour cause car mentors des Universités, n'ont jamais pu fournir une seule explication pleine de discernement logique, concernant la taille, l'ajustement et le transport des énormes pierres, formant de superbes murs, trouvés en Amérique du Sud,:

     La pierre placée derrière, la jeune femme (placée là, uniquement pour donner l'échelle et qui elle, fait environ 1,60 de haut) , mesure à peu près 5 m de large, et bien que l'on ne connaisse pas ici la profondeur, (merci mille fois à l'internaute béni qui pourrait nous la trouver), elle pourrait peser, plus de trois cents tonnes. Elle est, on le voit, formée de 11 angles d'ajustement. Comment a-t-on pu, non seulement déplacer un tel bloc, mais en plus le tailler et le polir de telle sorte qu'il s'ajuste (sans ciment bien sûr), si parfaitement avec les 7 autres blocs voisins, si bien que l'on ne puisse pas glisser une lame de rasoir, dans les jointures ? Les Incas n'utilisaient pas la roue, pas le treuil, ni la poulie, et n'avaient pas des burins en acier, et même s'ils en avaient, cette perfection est tout simplement époustouflante.

     Voyez aussi, cette photo extraordinaire, où figure un collègue (qui donne l'echelle), visitant en 1972 l'incomparable mur de Sacsayhuamán au Pérou, avec autre un ami, qui a pris la photo :


     Et voici, aussi ce celèbre bloc avec 12 angles d'ajustement ( le petit écolier donne l'échelle) :


     Hélas, selon nous bien sûr, ce petit écolier, ne trouvera actuellement, aucune maitresse (ou maître), capable de lui enseigner, comment ses ancêtres, ont réussi à réaliser une telle construction ! !

     Mais, il y a aussi cela :


     Voila, à Ollantaytambo au Pérou, à près de 2800 m d'altitude, on trouve ces pierres gigantesques, dont l'échelle nous est donnée par la présence du même collègue en 1972. La taille des pierres est si parfaite que l'on voit à peine la jointure rectiligne des pierre voisines. Comment a-t-on pu d'ailleurs, les transporter à une telle altitude, car les carrières sont très éloignées de là, dans la vallée ?

     Mais de plus, regardez bien la corniche ayant à peine 8 cm, de largeur qu'indique la fléche rouge. Cette corniche n'a pas été encastrée dans la pierre principale, comme on pourrait le penser, mais c'est la pierre qui a été rabotée tout autour de cette mince corniche, pour la mettre en relief. Vous voyez donc, le travail que cela a dû occasionner, et aucun ingénieur, ni architecte moderne, ne peut expliquer ce travail, car ces lointains incas, nous l'avons vu plus haut, n'utilisaient pas la roue, pas le treuil, ni la poulie,..et surtout pas des burins en acier, pour travailler une pierre aussi dure.

        Mais regardez aussi les 5 superbes pierres, placées encore plus haut, à gauche dans la même montagne, sur la droite du collègue:


      Comme tout cela est bien agencé, et en réalité, ce ne sont pas 5 pierres énormes, qui sont placées là-haut, mais 6 :

      En effet, un ami, hélas décédé actuellement, et de taille normale (1,70 cm), a pu grimper sur le flanc de l'une d'elles, ce qui fait que certaines d'entre elles, ont environ 5 m de hauteur :


     Et regardez bien alors, aussi la finesse extraordinaire de la jointure de ses énormes pierres :

    

     Alors donc, il faut se faire à l'idée, que les gens qui ont exécuté cette architecture fabuleuse, existaient bien avant ces incas, qui ont été terriblement "bayayés" par les conquistadors, car étant donné la puissance de la technologie, dont ils ont fait preuve, pour construire ces murs fantastiques, les espagnols auraient alors été vite lessivés en se mesurant à eux. Point Barre...

      Fin de la 3edigression.

     Alors, Messieurs les gilets jaunes, et consorts intellectuels bien intégrés dans cette socièté désabusée qui s'en va à vau-l'eau, ne soyez plus comme des quidams blasés qui cherchent à lire un DVD, avec un gramophone (de 1920 réservé aux disques de 78 tours), mais, il faudrait monter donc, un peu plus, le niveau de vos revendications, et vous obtiendrez bien plus que des miettes économiques, à savoir l'énergie gratuite, (utilisée depuis belle lurette, sur la Lune, ce que nous avons déjà démontré), et tout le reste... viendra ensuite par-dessus.

       Mais ce 21 Février 2019 pour les puristes, qui aiment discuter d'une affaire, en ayant des documents basiques, voici alors un autre document très important où l'amiral Byrd affirme aussi, qu'il a bel bien pénétré, en 1947, dans la région du Pôle Sud, dans une zone totalement inconnue de nos géographes.

    Ce document se trouve dans le Sélection du Reader's Digest de Janvier 1956, publié pour les USA à Pleasant ville N.Y et publié aussi pour le Canada, la Grande Bretagne, et l'Australie etc..., et revue que nous avons eu la très grande chance, de trouver ici-même, en Guadeloupe.

     Il y a en effet, pas mal d'années, en cherchant dans nos dossiers tout autre chose, nous sommes tombés, avec un vrai ahurissement, sur cette revue en français, dont voici déjà, pour les puristes, (qui pourraient avoir la chance inouïe, de la trouver dans un vide-grenier), la photo de la couverture :

  

     Faisons ici, une certaine et bien utile digression :

    En effet certains internautes qui s'affirment bien-pensants, et internautes ayant sans doute vécu, comme nous, les événements de Mai 68, en France, vous diront d'emblée :

"Oh là ...cette revue bourgeoise m'indiffère grandement".

        Le site ARTivision, a déjà déploré sévèrement, ce comportement dans certains de ses articles et en particulier dans NostraMystere.html, et nous précisons, une fois encore ici, que notre site , ne se préoccupe nullement, du prétendu caractère sérieux ou pas d'une revue, car somme toute, cela est très relatif dans le temps et l'espace, et ce qui est sérieux aujourd'hui, peut paraître totalement insignifiant plus tard. A bon entendeur salut..... et Point barre.

     Précisons aussi que nous n'étions pas du tout abonné à cette revue, et qu'elle est arrivée dans notre bibliothèque, tout simplement après le décès d'une parente qui habitait à 100 m de chez nous.

      Fin de la digression

      Et voici aussi donc, une image de la première page de l'article en question :


      Dans cet article, nous l'avons vu plus haut, Byrd, nous parle en page 8, de l'opération Deep freeze de 1955-1956, mais aussi plus loin, de l'expédition célèbre "High Jump", 1947-1948 , et opération qui, on le sait, a suscité à d'énormes controverses, et dont, nous reparlerons une autre fois.

      C'est alors, que Byrd, nous fait ici la déclaration tout à fait hors norme suivante :


      Relisons bien, avec une attention très soutenue, cet incroyable texte :
     "Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle, une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte...".

      Bien sûr, Byrd, ne parle pas ici de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non "autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore "derrière le pôle". L'expression "au-delà du Pôle", nous l'avons souvent dit dans nos articles, nous fait plutôt penser à une contrée bien à part, et qui n'a pas, le mêmes particularités, que celles que l'on trouve autour du Pôle.

       Mais, comment peut-il exister "au-delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?

      Il ne faut pas oublier (nous l'avons aussi souvent exprimé) que Byrd, était un militaire de haut rang, et qu'il était évidemment astreint, à une stricte obligation de réserve, à laquelle, il ne pouvait se soustraire, même à la retraite.

     Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès le début de 1956, mis aussi, en alerte sur des événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...

      Mais, reprenons, le début de cet incontournable et stupéfiant article de l'amiral Byrd dans le Sélection du Reader's Digest de Janvier 1956, en question : :


      Dans cet article, on avait déjà vu cela plus haut, Byrd, nous parle de l'expédition célèbre "High Jump", 1947-1948 .

      Ce que l'amiral Byrd, ne dit pas ici, c'est que cette expédition avait un caractère militaire, et de nombreux internautes vont se demander, à juste titre, quelle en était la raison exacte ?

      Les éternels détracteurs et consorts intellectuels blasés, vont diront tout de go, que c'était pour tester le matériel et le comportement des hommes, à des températures avoisinant les - 50 ° C . Point Barre...

             Le site ARTivision, on le sait, a toujours dans ses dossiers, de quoi mettre au pied du mur, les palabreurs de service, fervents occupants des plateaux de radios et de télévisions.

      En effet, c'est le 17 Août 2014, que le Webmaster, de ce site, a eu, l'heureuse opportunité de tomber sur un entrefilet, d'un journal canadien, placé sur Google à l'url :


:

     Cet entrefilet venant de l'Agence bien connue, "Associated Press", concerne on le voit, une prochaine expédition dirigée par l'explorateur Richard E. Byrd .

    Traduisons avec l'aide de notre regettée amie Nicole, le texte en question :

     La Marine Américaine s'efforce de calmer les appréhensions des Soviétiques, concernant ses manœuvres en Antarctique.

     Les USA, se rendant compte de l'inquiétude des Russes concernant leurs manœuvres militaires dans l'Arctique, ont donc choisi l'autre Pôle (Note du Webmaster n°1 : donc l'Antarctique) aux conditions climatiques similaires pour effectuer des entraînements pour les navires et tester les armements dans des conditions d'extrême rigueur.

     Une déclaration donnant des détails sur la prochaine expédition en Antarctique, la définit comme étant "de nature essentiellement militaire", pour "préparer la Marine à affronter des conditions de froid extrême en vue d'opérations futures ". (Note du Webmaster n°2 : donc l'Antarctique : Ceci est déjà très bizarre. Pourquoi faut-il, maintenant, une opération militaire de la Navy en zone glaciale, alors que la guerre est terminée avec l'Allemagne et le Japon. Les soviétiques pourraient alors se dire à juste titre : "Ces américains ont-ils l'intention de s'entraîner au froid sibérien, pour nous y attaquer par la suite ?" )

     Le choix de la région du Pôle Sud pour entrainer le personnel de la Marine et tester les navires, avions et tous les matériels de guerre moderne a été dicté, entre autres choses :

1. Pour dissiper les craintes des Russes concernant des opérations proches de leur territoire

Pour assurer la confidentiallité


2. Pour garder secret, ce genre d'opération par le choix d'un lieu tres éloigné du reste du monde, dans la mesure du possible (Note du Webmaster n°3 : Pourquoi faut-il établir un secret sur le test de résistance au froid d'un matériel tout à fait classique. Test qui est d'ailleurs déjà élaboré dans les laboratoires et les bureaux d'etudes qui lancent le matériel en question. Ce secret sous-jacent réclamé, cache certainement une chose très spéciale ! )

     Toutefois, sous la direction technique de l'explorateur polaire confirmé Rear Admiral Richard E. Byrd , on ne peut pas dire que l'expédition, n'aura pas de témoins. L'Amiral Byrd a déclaré dans une conférence de presse que "les Russes avaient annoncé qu'ils allaient entreprendre une expédition polaire, mais nous n'avons pas beaucoup de détails à ce propos " (note du Webmaster n°4 : Autrement dit, on fait tout pour menager les susceptibiltés des Soviétiques, mais eux ne dévoilent pas un yota de leur manigance polaire. Voilà quelque chose qui nous plonge dans une grande perplexité. ).

    De plus, il reste peut-être encore des membres d'une expédition britannique, qui était sur les lieux, il y a 2 ans. Toutefois la base britannique se trouve a 1.500 miles du QG probable pour cette expedition navale - à l'endroit où se trouvait l'expédition Byrd en 1939-41 dans la Mer de Ross face à la Nouvelle Zélande.

Pas de revendication territoriale

     Les officiels ont été très prudents en répondant aux questions touchant à une revendication territoriale officielle. Le Vice-Amiral Forrest Sherman, délégué en Chef des opérations navales a déclaré : "l'objectif premier est d'entraîner les unités navales, et tout conflit concernant des attributions de territoire ne serait qu'accidentel"

     Byrd déclara : " Cette nation ne revendique aucun territoire dans cette zone et ne l'a jamais fait jusqu'alors ".(Note du Webmaster n°5 : Cette déclaration nous surprend grandement, et à la fin de la traduction de cet entrefilet, nous produirons un texte qui prouve le contraire, quant aux revendications territoriales des USA sur l'Antarctique.)

    La question de savoir s'il s'agit de prospecter pour des matières premieres pour l'energie atomique - et des bombes - a été quelque peu soulevée pendant la conférence de presse.

Ce n'est pas une course à l'Uranium


     Byrd a déclare : "que ce n'est en aucun cas une course à l'Uranium" , mais l'Amiral a ajoutè : "nous ferons des recherches de minéraux, et il s'avère que l'uranium en fait partie ".

     L'expédition comprendra 4000 personnes dont 300 scientifiques (intéressés par la science pure), y compris 23 scientifiques civils. . Les officiels de la Marine ont déclaré qu'il y aurait aucun savant nucleaire parmi eux.


     Fin de la traduction de l'amieNicole.

       Hum...Hum, des militaires pour aller tester les conditions climatiques rigoureuses en Antarctique, alors qu'un petit contingent formé de scientifiques bien équipés d'appareils de mesure et de vêtements bien molletonnés, aurait bien suffi.... On nous prend donc ici, ainsi que les soviètiques de l'époque en question, pour des débiles mentaux !!

       A vous de juger, tout cela... documents à l'appui.

       Mais ce 23 Février 2019, disons que nous allons démontrer qu'en Février 1947, il y a bien eu aussi, un vol du Vice amiral Byrd de l'époque, au Pôle Nord, comme l'indique Giannini, dans son ouvrage déjà présenté plus haut, tel que :


, et dont la traduction, nous est donnée par le fameux livre de Raymond Bernard chez ALbin Michel en 1971 :


       C'est en effet le 10 Novembre 2000, nous avons reçu par la poste d'un très aimable internaute suisse, le "Carnet de bord", attribué, au Vice Amiral Byrd, et correspondant à sa célèbre expédition du 19 Février 1947. (voir notre article placé dès le 21/12/2000 à : http://www.artivision.fr/incroyjournalByrd.html )

      Voici donc les 4 premieres pages :

   >

  


et voici l'image d'une couverture significative, concernant ce mystérieux carnet de Byrd de Février 1947:


      On a dit alors que ce prétendu carnet de bord ( log en anglais) de l'Amiral Byrd, était apparu d'abord, en Australie en 1999, mais nous n'avons jamais pu en déterminer l'authenticité. D'autant plus que notre ami canadien Bob MOMER, parfaitement bilingue nous disait en Février 2004 ceci :

"Ce n’est certainement pas un homme comme l’amiral Byrd qui a écrit ce journal, car il est écrit dans un anglais douteux."

      N'étant pas plus royaliste que de roi lui même, le Webmaster d'ARTivision, a évité de parler de ce carnet de bord de Byrd, pendant des années...

       Mais comme la page transcendante placée à :


en parle plutôt positivement, nous sortons donc ce jour, quelques infos à ce sujet et on peut alors penser que les fautes de frappe en question sont dues à une mauvaise copie manuelle du texte secret d'origine, vite remis en place, dans un coffre fort bien caché.

      De très nombreux sites, ont aussi parlé de ce carnet de bord de Byrd de Février 1947, comme par exemple le site :

       Mais récemment, un ouvrage moderne qui présente une énorme découverte, faite dans des cavernes en Roumanie, et cachée au Monde entier, a aussi osé parler de ce journal de Byrd tel que :

  

  

       Mais, ce 26 Février 2019, disons que nous n'avons trouvé, qu'une seule source d'information du côté anglo-saxon, qui confirme cette expédition de Byrd en Février 1947, au Pôle Nord.

       Elle nous vient de l'ouvrage du très grand spécialiste anglais de l'archéologie spatiale, Brinsley Le Poer Trench, dans son ouvrage de 1974 :

  

     C'est donc, dans l'ouvrage cité ci-dessus de ce Lord anglais, que nous avons découvert en pages 96 et 97, ceci :


     Et notre modeste traduction donne :

" Présentons le numéro n° 2, concernant Byrd .

     Palmer vit à Amherst, Wisconsin, États-Unis. Il a écrit que Nelsonville se situait à environ 3 miles (4,8 Km de chez lui, et là se situait maison de Lloyd K. Grenlie. Ce monsieur a vécu plus récemment à Green Bay, et il travaillait à l'Agence Fédérale de l'Aviation, avant sa mort, le 7 Juin 1970. Cependant, les membres de famille de Grenlie, était les voisins de Palmer. Selon Palmer, il est est important de le savoir, c'est que Lloyd K.Grenlie était l'homme-radio, de l'expédition de l'explorateur polaire Byrd au pôle Nord en 1926, et il le fut aussi aux deux pôles en 1929.

     " On a catégoriquement nié que Byrd ait été aux deux pôles en 1929. Cette année-là un film d' actualités a pu être vu dans les salles de cinema d'Amérique, qui décrivaient les deux vols, et on y voyait des photographies d'époque de la " terre au-delà du Pôle (nord) avec ses montagnes, arbres, rivières, et un grand animal identifié, comme un mammouth"

      Aujourd'hui, ce film d'actualités n' existe apparemment pas, bien que des centaines de mes lecteurs se souviennent, comme moi, de ce court film. Ainsi, j'ai mon avis personnel au sujet ce court-métrage et aussi l'avis de l'homme radio qui alla avec Byrd dans cette terre au-delà du pôle, et qui a vu les enregistrements de ce film, concernant cette terre inconnue, inexplorée, dont actuellement on nie l'existence"


     Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs du magazine se rappelaient avoir vu aux actualités, le film zn question . "


     Fin de la traduction .


      Si donc Byrd a bien effectué deux vols en 1929 au Pôle Nord, d'une part, et au Pôle Sud d'autre part,, pourquoi ne ferait-il pas de même en 1947 ?

     Alors Messieurs les journalistes, éditorialistes et consorts écrivains intrépides, si vous retrouvez des lettres écrites, de ce Lloyd K. Grenlie, quelque part, et qu'il y mentionne cela, vous aurez assurément touché le Gros Lot. A bon entendeur salut...

       Disons de plus, une fois encore, qu'il n'est pas besoin d'être un agrégé en philosophie, pour savoir que chacun situe son appréhension des choses et ses priorités, en fonction de ses préocupations immédiates. Mais il arrive souvent que quelques temps plus tard, (Il a fallu des siècles pour comprendre cette affaire des Elohim des textes bibliques), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que des futilités, qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution.

     Par ailleurs, qui se souvient (historiens mis à part) du nom des fameux correspondants de guerre (comme on les appelait pompeusement à l'époque ), et de leurs articles plutôt ciblés, concernant les théatres de conflits, de l'Indochine, du Vietnam, de l'Algérie..etc... Ils avaient aussi pris des risques notoires, pour nous informer sur le vif, des faits conflictuels de l'époque.

      L'ingratitude du Temps est passée par , n'est-ce pas ? Et vous auriez bien raison de le dire.


      Cela signifie inversement que tous ceux qui ont traité les propos de Byrd, comme étant, une succession de banalités, s'en mordront les doigts jusqu'à l'os, quand la Vérité, éclatera au grand jour...

      Côté américain, nous avons aussi le fascicule :


    Et voici aussi la page 8, en négatif du début de l'article qui fait 14 pages sans compter l'Editorial.


où son Directeur Ray Palmer, fait allusion à un vol réalisé en 1947, par le Vice amiral Byrd , dessus du Pôle Nord, vol qui "apparemment", ne figure pas dans "L'Encyclopaedia Britannica", concernnant les voyages au Pôle Nord du Vice amiral Byrd de l'époque.

          Palmer a repris maintes et maintes fois, le fait que Byrd a bien survolé le Pôle Nord en 1947, et en citant des rapports complets de sources à la fois de radio et de journaux, Palmer a donc décidé de partir "à la pêche aux informations" , pour ainsi dire, afin d'y voir plus clair. ( se basant, sur le livre de Giannini F. Amedeo "Words beyond the Poles" Vantage Pres New York, 1959 )

     Il demeurait donc tout à fait possible, que le Vice amiral Byrd, ait bien exécuté deux vols polaires en cette année 1947.

      Disons aussi, pour les puristes qui aiment retrouver les éléments de base d'une affaire, qu'il existe un ouvrage qui fait état d'un film de Byrd tel que :

     Enfin, il y a aussi le témoignage surprenant de Miss Dorothy E. Graffin, présenté dans le livre de l'écrivain anglais Alec Maclellan :

  

     Cette dame de New-York, dans une missive envoyée à l'écrivain F. A Giannini, prétend avoir assisté à la projection d'un film à l'époque, où il y avait, la séquence dite des actualités :

" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues.

     Il va sans dire, qu'il est donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...

     Ces puristes ont aussi à leur disposition, une autre source d'information en la matière d'une revue française, qui a parlé egalement de ce film extraordinaire de Byrd :

      Voici donc, la couverture, de cette remarquable revue :


et dont voici à titre documentaire le sommaire :



où, l'on découvre un article concernant la Théorie de la Terre creuse, qui pour ARTivision, est parfaitement démontrée, noir sur blanc  , dans près de 100 articles et des poussières ... Point Barre.

      voici donc ce que l'on peut lire à la page 3& de ce super article sour la plume très éclairée de Monsieur Pascal Cazottes :

et concernant le film en question montrant les actualités de 1926 :


      On le sait maintenant, les recherches du Webmaster d'ARTivision, ont pu demontrer que cette lectrice du magazine "Amazing Stories", s'appelait Miss Dorothy E.Graffin, et vivait à New York.

      Alors, Messieurs les journalistes et consorts blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non seulement, vous aurez gagné le Super Gros Lot, mais en plus votre nom sera désormais, sous peu de temps, cité, dans les manuels d'histoire de cette planète.

     " Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues.

     Mais d'après ce qui suit, cette lettre aurait plutôt été envoyée à Ray Palmer, Directeur de la Flying Saucer's Review:

     En effet voici ce que l'on peut lire sur le site :


     "Magazine editor and publisher Ray Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from one of the magazine's readers: "Dear Ray Palmer,

     There still seems to be considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E. Graffin), and I, saw this in White Plains, New York.)

     Byrd narrated this film himself and EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS, WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a 'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,
".


     Et voici notre traduction approximative :

     "Éditeur de magazine et éditeur Ray Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées par l'amiral Byrd au cours de son vol 1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là, dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du magazine:

"Cher Ray Palmer,

     Il semble toujours y avoir une controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que BYRD a pris lors de son vol , et qui a été montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E. Graffin) et moi, avons vu ce film à White Plains, New York.

     Byrd commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que Byrd décrit comme une "MONTAGNE CHARBONNEUSE", étincelante de diamants ».

Cordialement,
"

     Fin de citation
.

      Comme vous le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de Ray Palmer apparaît cette extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...

      Quant au film en question, il existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre archiviste, qui mettra la main dessus, touchera bien plus qu'un gros lot de la loterie. Avis aux amateurs...

     Mais, le plus étrange nous attend au tournant, car c'est une revue française, qui va nous confirmer tout cela...

          En effet, ce 28 Février 2019, dernier jour du mois, nous allons ici, mettre vraiment, les points sur les Is, en vous présentant une affaire si extraordinaire, qu'elle ne peut, selon nous, avoir été élaborée, que dans un monde parallèle, axé sur autre dimension, comme celui d'Alice au pays des merveilles .

      En effet, nous allons sortir de nos dossier, un incroyable document, paru autour du 6 Avril 1973 provenant de la revue hedomadaire nommée à l'époque, Nostradamus, et concernant les voyages de Byrd au Pôle Nord.

     De plus, on découvre alors, que le texte, déjà vu au début de cet article, du Nostra n°425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, sous la signature de l'énigmatique Monsieur Jean Brun, (qui, on le sait, pour une raison sans doute ultra secrète, n'a pas cité ses sources), n'était en fin de compte, qu'un court condensé, de cette revue d'antan en question.

      Voivi donc, une petite partie,, de la couverture de cette revue :

 


       Le format étant trop grand pour notre scanner, nous avons dû couper le document de couverture, et d'autre part, étant donnée l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, les convertures de cette revue ont été détériorées. Veuillez donc excuser, le manque de netteté des images :

        Nous allons donc devoir faire ici, une petite digression, qui consiste à présenter, l'affaire du très mystèrieux n° 52 , de la revue Nostradamus de 1973 de l'époque.

      Il faut d'abord savoir, que la revue "Nostradamus""L'hebdomadaire de l'actualité mystérieuse", (comme elle était présentée à l'époque) , avait le format (29;43), et dont le n° 1 (que nous possédons toujours) est du 13 Avril 1972, et elle a duré environ 10 ans jusqu'en Juillet 82. Elle s'est appelée Nostra à partir du n° 147 du 30 janvier 1975 format plus petit (20; 28) .

     Mais après le n° 51, il s'est passé une chose bizarre, que nous n'avons jamais pu expliquer. Si n° 51 et 53 étaient tout à fait normaux (format 29;43), nous n'avons jamais reçu le n°52, mais il est arrivé à l'époque une sorte d'ersatz du journal, de format plus petit (27;39), sans n° et sans date. Comme-ci la rédaction ou l'imprimeur avait eu un empêchement quelconque pour produire la revue normale. (Grève, rupture de stock etc..)

       Nous en avons déduit plus tard que cet ersatz représentait bien le n° 52, manquant, et que la date de sortie devait être, le 6 avril 1973.

       Pour tester cette affaire, lors de notre visite à la Bibliothèque Nationale de Paris, en 1992, (voir le document ci-dessous, prouvant cette visite :)


, nous aurions dû, demander au préposé de la BN, d' aller nous chercher, ce n° 52, de la revue Nostradamus de l'epoque, et surtout, il aurait été utile de bien noter son explication de ce préposé devant l'inexistence de ce n°52 .. Hélas nous avons oublié de le faire. Avis à l'amateur...

      Fin de la digression.

      Mais ce qui nous a amené à parler de cette histoire, c'est que justement, ce n° fictif 52, possède un article unique en son genre, pour l'époque et article qui nous interpelle absolument quant aux sources qui ont servi à son élaboration.

      Mais voyez donc vous-même :





       Nous avons évidemment coupé la publicité de l'époque dans la deuxième partie de la feuille.

      Bien que les caractères soient encore lisibles sur ses deux images, pour ne pas vous fatiguer la vue, voici la digitalisation de ce document.

      " Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, n'avait jamais été aussi stupéfait. Le flegme légentaire des officiers de l'American Navy faisait place sur son visage à son étonnement qu'il n'avait pu contenir.

      Dieu sait pourtant qu'au cours d'une longue carrière d'explorateur polaire il avait subi de dures épreuves : il avait vu trop de ses plus fidèles compagnons, morts de froid et d'épuisement, immergés dans l'océan sauvage, une gueuse de fonte lestant leurs corps cousus dans une toile à voile, selon la séculaire coutume des matelots.

     Il avait supporté lui-même, jusqu'à l'inanition, la dure loi des expéditions en terres inhumaines loin des bases où la fraternité des amis aguerris réchauffait le cœur dans ce climat mortel.

     Mais là, avec deux quartiers- maîtres et un capitaine de vaisseau, il parvenait au bout de la surprise.

      - Je n'aurais jamais cru ça possible, Damned ! lança-t-il en jurant comme un vulgaire canonnier.

     De fait, même pour un marin américain que rien ne devrait étonner, il y avait de quoi être surpris.

     Richard Byrd venait de découvrir, au sein des glaces perdues au Pôle Nord, un véritable paradis terrestre !

     Depuis huit heures, il marchait sur la banquise, avec son équipe, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical.

     Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'équipe de pointe de l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, le spectacle était inoubliable. Sous les yeux de Byrd médusé et de ses compagnons ahuris, s'étendait une longue vallée étroite et profonde, couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace...

    D'un geste machinal, l'amiral consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra lentement dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth, placide et lourd comme ceux que l'on a rencontré en 1921 en sibérie centrale. Autour d'eux les gazouillis d'oiseaux et la stridence des cigales démontraient à l'evidence l'existence d'un climat subtropical.

    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    repartis sur la banquise, les explorateurs, un moment émerveillés, retrouvaient le grand silence blanc et la desolation du froid éternel. A leur retour, ils racontèrent leur découverte à leurs camarades restés au camp.

     Après une journée de repos tous voulaient retourner voir ce que l'amiral Byrd appela désormais le " paradis inconnu ".

    Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, dans la région même du pôle magnétique, il avait été impossible à l'ordonnance de l'amiral d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques.

    En effet dans cette region du globe terrestre , les boussoles deviennent folles et leurs aiguilles aimentées virevoltent sans jamais se fixer !

     Pendant des années dans son laboratoire de Boston, Richard Byrd, chercha à délimiter la position géographique de la vallée heureuse cachée au fond des glaces. Noatalgique du paradis perdu, il réalisa de nombreuses autres expéditions après s'étre entouré de toutes les précautions et de tous les détails qu'il jugeait indispensables..

    En 1929 il repartait de l'île Wrangel à l'estuaire nord de la Sibérie, avec la plupart de ses premiers accompagnateurs. Ce fut en vain.

    En 1936, sccompagaé d'Amundsen, il survolait sans résultat toute la banquise arctique avec les tout premiers hélicoptères. En 1947 encore, n'ayant pas perdu l'espoir de refouler â nouveau le merveilleux gazon du paradis polaire, il repartait avec un matériel ultra-moderne. Ce fut un voyage pour rien.

    Jusqu'en 1957, où il mourut brutalement d'un transport au oerveau, l'amiral américain n'a jamais retrouvé le paradis du fond des glaces...

    Et pourtant, sa découverte a été confirinée par un médecin de Los Angelès, le docteur Nephi Cotton. Celui-ci recueillit de l'un de ses patients un étrange récit. Le malade, habitant l'extrême nord de la Norvège, avait, avec un ami, entrepris une croisière en direction du pôle.

    Après un mois de navigation hasardeuse, entre les écueils et Ies icebergs, ils avaient atteint un pays où, selon leurs aifirmations, "la température était extraordinairement élevée" et "la flore était d'une richesse comparable à celle des pays tropicaux les plus fertiles".

    A plusieurs reprises, des expéditions quasi-clandestines furent organisées par des explorateurs norvégiens et anglais. Ce furent des tentatives stériles, car dans le voisinage du Pôle, les boussoles ne servent plus à rien et le hasard qui avait si bien servi Byrd n'a jamais consenti à aider ceux qui suivirent ses traces. Plus récemment et à trois reprises, les services spéciaux des grandes puissances du monde ont monté des explorations aussi couteuses que secrètes. Rien n'y fit. Au , désespoir des organisateurs, les barbouzes de l'ouest et de l'est sont revenues bredouilles.

    Le Paradis polaire garde jalousement son extraordinaire secret.

    Les survivants de l'expédition de 1926 rêvent encore de leur journée du 14 juin. Avec l'amiral Byrd, ils affirment qu'ils ne furent pas victimes d'un mirage ou d'une hallucination. Ils se bornent, devant l'incrédulité générale, à répéter qu'un jour on saura bien retrouver la vaIlée perdue...
"


    Fin de citation.


     Comme vous l'avez sans doute remarqué ce document est bourré de détails pointus que l'on pourrait vérifier (comme par exemple, le nom de l'ordonnance de l'amiral Byrd : le capitaine Peter Fitin). Mais il n'est pas signé, et il n'indique pas hélas les sources utilisées pour faire l'article.

    Ce document précise clairement, que Byrd et ses compagnons ont bel et bien monté des expéditions sans doute secrètes au Pôle Nord en 1926, 1929, 1936, et surtout ce que l'on ne savait pas du tout, en 1947.

    Comme on y parle de Services spéciaux de grandes puissance et de barbouzes, nous soupçonnons le fait que ce texte, proviendrait du savant atomiste Jacques Bergier, qui, on le sait, faisait partie des Services Secrets Alliés de la dernière guerre. Il a d'ailleurs écrit entre de nombreuses autres choses : Un Mémoire sur la détection électromagnétique des avions autour de 1939 et Le Manuel du parfait saboteur en 1943 .

     Mais, à part l'histoire du le docteur Nephi Cotton., et la photo de la Terre, qui sont directement tirées du livre de R. Bernard "La Terre creuse" (A. Michel 1971):


, où donc Jacques Bergier (ou l'auteur inconnu), a-t-il pu trouver ces informations (qui ne courent pas les rues), concernant l'expédition de Byrd en 1926 et surtout les autres ?

     Mais, vous le savez maintenant, une partie de cet article a été reprise 7 ans plus tard, par Jean Brun dans le Nostra n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980. (Voir plus haut)

     En conclusion une fois de plus, nous voyons qu'ici s'applique pafaitement l'adage : " L'habit ne fait pas le moine " , car en effet ce n'est absolumemt pas dans les revues bien assises et qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche", ou "Science&Vie"... etc... que l'on aurait découvert à l'époque, un tel document, que nous avons la chance inouïe, de posséder, , depuis 46 ans (en 2016) .

        Mais revenons à nos jurnalistes et rédateurs de la chaine ARTE, et consorts éditorialistes blasés du même gabarit, nous aurions été heureux qu'ils nous expliquent tant soit peu, les magouilles informatiques, réalisées sur les photos ci-dessous de la NASA du Pôle Nord



       Photo que nous avons trouvée, dès 2007 sur le site :


     Mais qu'est-ce que peut bien être cette sombre sorte d'étoile de mer, au pôle nord ?

    Voyons cela, sous un autre angle :



    , et maintenant, de plus près :



    C'est très artistique et inouï à la fois...Que sont donc ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus du Pôle Nord. A notre humble connaissance, C'est du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être , pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!

     Mais, justement, concernant cette affaire, sur le super site qui suit :


     , voilà, ce qu'on peut aussi y trouver :



      Mais, que veulent donc bien nous montrer, la superbe flèche rouge en question, et le cercle bien net, en son bout ?

Mais Toujours au pôle nord on troure aussi ceci :       En effet l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi il s'agit :



      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire suivante :

""...Ils"décident de ce que nous devons croire et penser "

      Il nous reste maintenant à nous demander, comment il se fait, que surl'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher. A vous de juger !!

        Mais côté, Pole Sud, les magouilles sont aussi flagrantes :

      En effet, le 29/05/08, nous avons reçu de l'ami Jean-Carlo S... l'invitation à visiter le site : www.worldwidetelescope.org, où l'on peut télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images extraordinaires, dont celles-ci qui concernent la Terre :

    

     Comme on le voit, l'existence d'une pastille plutôt énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait aucunement représenter le pôle géographique en question. Alors que fait donc cette pastille ? A vous de juger!

----- Original Message -----
From: Didier B........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Tuesday, May 11, 2010 5:47 PM
Subject: Envoi d'un message :Une photo satellite du Pôle Sud : n°P-019-0049-5054.jpg


      Bonjour Fred ,

    Voici une photo satellite du pôle sud qui ne manquera pas d'intéresser tes lecteurs.
     En effet, vers le centre du continent antarctique, on distingue nettement une forme circulaire évoquant un cratere ou bien un trou vers le centre de la Terre. Je ne peux helas pas te donner la source, qui est asiatique d'apres les caracteres incrits sur l'image.

    Merci pour ton travail et bonne continuation.

        Didier B........

     Agrandissons donc ce disque insolite :


    Pour ARTivision, il ne s'agit pas bien sûr, d'un cratère gigantesque, ou d'un trou tout aussi immense, mais simplement d'une pastille de camouflage, qui cache au commun des mortels, des lumières qui lui seraient inexplicables.

     Mais sur le site déjà présenté plus haut :


,on découvre aussi, cette image de l'Arctique, avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internautes se sont évidemment demandés, la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une réponse :


     Et en voici, une autre, plus académique :

     En effet, le 21 Mai 2006, un certain internaute Fabrice C....., nous a interpellés sévèrement pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeeh.. oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

     Cette assertion péremptoire de l'internaute Fabrice C....., avait été initiée par cette affaire hallucinante, de la photo venant de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication, un superbe disque noir, au centre de l' Antarctique...

     Pour les puristes qui pourraient apercevoir ce n° de Science&Vie, dans un vide-grenier ou une brocante, voici la couverture de la revue en question :





     Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement, fuser clairement tout autour du disque des rayonnements lumineux surprenants".



    La légende qui présente cette photo ahurrissante dans le n° en question est simplement :

"L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire, n'est pas , par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit nous (l'avons montré plus haut), des faisceaux très lumineux sous-jacents, tout autour du disque noir.

    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au-dessus des pôles, (le satellite bien connu Spot non plus : voir l'affaire de Jamy Gourmaud, dans notre article: Byrdsuite.html), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

    Mais, cependant, il est à noter que l'internaute Fabrice C......, et aussi le Guilhem en question, et bien d'autres inconnus qui se sont gonflés de jubilation, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont, lamentablement restés muets, quand nous avons présenté, dans nos articles, cette photo assurément trafiquée, du Pôle Nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires.

     Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!!. Hélas nous n'avons pas reçu, une seule réponse même vaseuse, depuis des années, des prétendus rationalistes endurcis, concernant cette très étrange photo de Jupiter de la NASA, et nous serions alors superbement satisfait, si les protagonistes intellectuels de la chaine ARTE, et des autres consorts affiliés comme par ailleurs ces messieurs dits astronomes, astrophysiciens et consorts cosmologistes béni-oui-oui de la NASA... voulaient bien nous en dire, deux simples petits mots... et, comme on le voit, les gilets jaunes ont encore du grain à moudre...pour pimenter leurs légitimes revendications...

      A vous de juger, une fois de plus, cette nouvelle incongruité, documents à l'appui...


       Ceci termine l'exposé de notre deuxième volet, sur, l'affaire ARTE, qui ne fait que commencer...

         Vous trouverez alors, le troisième volet, à l'adresse :


       A suivre...

                    Fred IDYLLE

     Article mis en page le 10/01/2019, et revu le 12/01/2019, et revu le 14/01/2019, et revu le 15/01/2019, et revu le 16/01/2019, et revu le 18/01/2019, et revu le 20/01/2019, et revu le 23/01/2019, et revu le 25/01/2019, et revu le 27/01/2019, et revu le 29/01/2019, et revu le 30/01/2019, et revu le 08/02/2019, et revu le 10/02/2019, et revu le 13/02/2019, et revu le 15/02/2019, et revu le 17/02/2019, et revu le 19/02/2019, et revu le 20/02/2019, et revu le 21/02/2019, et revu le 23/02/2019, et revu le 26/02/2019, et revu le 27/02/2019, et revu le 28/02/2019.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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