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Quand ARTivision, fait un flashback de synthèse, sur les épopées polaires de l'explorateur américain, Richard Evelyn BYRD.


IIntroduction.

         Cet article est essentiellement destiné au novice ingénu, qui découvre à peine, le site ARTivision, et cela pour lui éviter ainsi, d'aller patrouiller trop péniblement, dans les arcanes informatiques de ce vieux site.

        Si nous avons décidé d'écrire, ce nouvel article, c'est d'abord parce que nous avons reçu, ces temps-ci, de notre ami de très longue date, Xavier T...., l'importante missive suivante : (les couleurs et la posice sont de nous, bien sûr)

----- Original Message -----
From: Xavier T.......
To: IDYLLE Fred
Sent: Tuesday, April 10, 2018 5:26 AM
Subject: Re: Du nouveau Hors normes sur ARTivision

             Bonjour Fred,

        Juste un petit mot pour te signaler, qu'aux Etats-Unis, il faut un permis pour filmer la Terre depuis l'espace. Elon Musk vient d'en faire les frais.

        Voir à cette adresse :

https://aphadolie.com/2018/04/08/pourquoi-spacex-a-coupe-son-direct-au-moment-de-filmer-la-terre/

        Ah! Ah! Ah ! C'est sans doute pour interdire de montrer les entrées de la Terre creuse !

     Amitiés,

           Xavier.


       Et voici ce que fut, en partie, notre réponse :

----- Original Message -----
From: IDYLLE Fred
To: Xavier T.......
Sent: Thursday, April 12, 2018 9:16 AM
Subject: L'affaire de SpaceX

       Très cher Xavier, Grand Témoin, des premiers balbutiements, du site ARTivision, à l'orée du Temps des Révélations...

       Un petit clin d'oeil, très pragmatique, des Tropiques.

       Je viens à l'instant de consulter, ton url :

https://aphadolie.com/2018/04/08/pourquoi-spacex-a-coupe-son-direct-au-moment-de-filmer-la-terre/

               Pour le cas, où ce site venait à disparaître, comme par enchantement, voici trois images, qui nous interpellent déjà assurément :


       Puis ceci :


puis finalement :


       Je trouve que les américains, sont bien gonflés, pour établir des lois, interdisant de filmer la Terre d'en haut, (ou peut-être, ils ne veulent pas que l'on filme leurs satellites-espions). La Terre appartient à l'humanité entière et, tout spationaute officiel ou pas comme Adamski ou Howard Menger, a le droit absolu d'en photographier, la structure externe.

        Donc cette interdiction, nous montre que les américains et les russes, leurs complices, cachent au plus haut niveau, d'extraordinaires secrets, qui, s'ils étaient brutalement révélés, bouleverseraient totalement l'équilibre déjà précaire, des hégémonies politiques, économiques et surtout militaires, de cette planète ..

        Le lanceur d'alerte Corey Goode et d'autres du même gabarit,, lachent ces jours-ci, des bribes des ces secrets cosmiques, mais ils n'apportent aucune preuves, même iconographiques, de leurs dires. Ils leurs suffiraient pourtant de décortiquer par exemple, cette incroyable image, sortie, on ne sait comment, des coffreforts de la NASA, et merci mille fois, à l'internaute qui pourra nous éclairer tant soit peu, sur la provenance de ce cliché, tout à fait hors-norme:



      Reste coupé, et fin de citation de la missive.


II Genèse de l'affaire.

      Tout ce qui précède, peut parfaitement se comprendre, quand nous exposerons, une fois encore, les étranges révélations, qui ont été faites par le très grand explorateur américain, Richard Evelyn BYRD, des régions polaires nord et sud.

     Mais, ce 14 Avril 2018, comme on le sait, qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, faisons ici une certaine digression, en présentant la missive suivante assez ancienne, et où il est question du sérieux, de certaines revues., et cela fera l'objet de notre premier focus :

Premier focus :ARTivision, dénonce ouvertement la prétention notoire de quelques lecteurs, à croire que certaines revues sont plus sérieuses, que d'autres.

     Mais lisons donc ce qui suit :

From:J...... C.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, July 21, 2003 4:01 AM
Subject: Pourquoi que du S&V comme source d'info ?
     Bonjour.

     Je suis tombé sur ton site en cherchant des informations fiables
sur la perception de l'environnement par les plantes. Je trouve le contenu du
site très intéressant, mais il y a un problème quand même.
     Jamais des sources sérieuses sont mentionnées (concernant au moins ce que j'ai vu). On ne voit que Paris-Match, Science & Vie, Science et Avenir... Que des journaux à sensations, qui désirent
bouleverser le monde par leurs articles. Alors il n'est pas étonnant
qu'on trouve ce genre d'articles ici. Mais moi ce que je cherche, c'est du sérieux, j'ai envie de
convaincre du monde et pas forcément des gens qui y croient déjà un peu, il
faut donc des sources que l'on peut prendre au sérieux. Et je suis désolé mais
Science&Vie n'a aucune valeur dans le monde scientifique, et encore moins Paris-Match.

    Cela me rappelle les gens qui ont voulu ou veulent toujours démontrer que le Pentagone
n'a jamais été attaqué par Ben Laden, ou que les 2 tours abattues étaient un prétexte
pour  la politique de Bush et que c'est pour ça que cela n'a pas été évité.
Les gens qui le démontrent le font très bien en sélectionnant les informations et du coup, on arrive à une fausse vérité.

      Finalement donne-moi quelque chose, un argument qui puisse montrer que ceci est du sérieux.
     Parce que vraiment tous tes thèmes sont tous des
plus extravagants, alors où est le sérieux dans tout ça ???

Jérôme C........


---- Original Message -----
De : FredIdylle
To : Jérôme C......

Sent: Tuesday, July 22, 2003 8:10 AM
Subject: Retour des tropiques: Pourquoi que du S&V comme source d'info ?

          Cher internaute

      Tout d'abord, ne connaissant pas votre âge et vu le mien qui commence à être assez avancé, je préfère pour débuter cette réponse, garder le vouvoiement plus protocolaire en fonction des informations très importantes que je vais vous transmettre. Puis plus, tard, le tutoiement viendra tout naturellement.

      Et surtout d'autre part je vous dirai d'emblée qu'en rentrant dans le site ARTivision , vous venez de faire inconscienment sans doute, une démarche tout à fait ésotérique, qui vous conduira sur des chemins hors normes qui ne font pas souvent l'objet de l'attention des médias qui ont pignon sur rue (Télévision, radios, revues à grand tirage etc..).

      Si vous êtes un scientifique de haut niveau, et si vous recherchez des informations pointues , au top et high-tech avec formules et graphiques mathématiques, vous perdrez assurément votre temps sur ce site ARTivision.


..............................reste coupé..........................

     Fin de citation

     Ce bouillant internaute, qui semble être un scientifique attitré, ayant un égo démesuré, concernant sa culture académique, oublie insidieusement, en passant, que les théories scientifiques ne sont valables, que pendant un temps limité.

      Par exemple, il n'y a pas, en effet, si longtemps, avant la découverte de la célèbre formule E=MC² d'Einstein, on admirait la théorie de la contraction du Soleil, proposée par le savant allemand, Hermann Ludwig von Helmholtz , qui dès 1854, supposait qu'il y avait transformation de l'énergie de gravitation en énergie thermique, et que le Soleil devait se contracter, par simple effet de l'attraction gravitationnelle vers son centre, et produire ainsi de la chaleur par compression des masses gazeuses.

     Eh bien, on le sait maintenant, cette superbe théorie, n' a vécu que, ( comme le dit si bien le poète François de Malherbe), l'espace d'un "matin".

      Donc tout est relatif dans ce monde, et le domaine de la Science, est lui aussi, fonction du niveau d'évolution de ses chercheurs dans le Temps et l'Espace. Le Vrai, (à un certain degré de connaissance de nos universités), est donc aussi impalpable que le Faux.

      Les lois que l'on applique à un moment donné doivent s'adapter aux découvertes nouvelles, pour s'y intégrer tant soit peu. Les révolutions culturelles sont difficilement acceptées par les mandarins, et des "martyrs", en font souvent les frais. L'histoire de la Science est criblée de cas de cette nature, d'où notre Deuxieme focus

Deuxieme focus :ARTivision, met en exergue le cas de Giordano Bruno brulé en l'an 1600 en place publique, sous l'ordre des senseurs ignares de la Sinistre Inquisition.

      Autre exemple, (mais ce Monsieur Jérôme C......nous dira, vite fait, qu' à cette èpoque, l'on n'était pas encore arrivé, au cursus, que l'on qualifie actuellement de scientifique) , le site philosophe et humaniste, Giordano Bruno, qui fut, on le sait aussi, brûlé en l'an de Grâce 1600, par cette la Sinistre Inquisition :

Dessin tiré du n°13 de la revue Maths&malices Sept-Oct 1993

    Ce dessin pourtant admirable, est incomplet, car les tortionnaires de l'Inquisition, ont en plus, traversé la langue du supplicié d'une tige métallique pour bloquer ses lèvres, et l'empêcher de hurler ses dernières volontés.

     ce Giordano Bruno, a été envoyé au bûcher, pour ses idées de la fin du XVIe, idées tout à fait admises actuellement, mais qui étaient hors normes pour son temps, car il affirmait tout simplement que l'univers était infini, et contenait sans doute des galaxies peuplées comme la nôtre.

    En effet , il n'est pas besoin actuellement d'être un docteur en philosophie, pour admettre, que s'il existe dans l'univers des soleils en plus grande quantité, que tous les grains de sable de la Terre, il est fatal qu'il existe encore plus de planètes, tournant autour de ces soleils, et donc qu'il existerait des sœurs jumelles à notre Terre par millions. Mais pour ARTivision, ces idées modernes de Giordano Bruno sont peut-être arrivée jusqu'à lui par l'intermédiaire d' une information onirique, dirigée par un Maitre de la quatrième dimension ou plus.

     Cependant en matière de lecture de revues , il nous semble ici utile, de mettre en exergue, le fait que, ce Monsieur Jérôme C...... s'intéressait à des informations concernant l'environnement des plantes et ainsi au développement de la vie sur cette planète, et que cela est donc pour lui, un bon tremplin pour accéder, à un niveau de conscience supranormal, qui fait que les savants admettent actuellement que La Nature, n'est pas livrée du tout aux caprises du hasard, comme certains penseurs se plaisent encore à le croire, et leur sournoise hilarité concernant l' Intelligence Cosmique, de cette Nature, se transformera vite en stupéfaction, quand ils découvriront, l'entrefilet ci-dessous, qui prouve, s'il en était encore besoin, que nous sommes, bien arrivés au Temps de la Grande Révélation :


      Comme on le voit ici, les Questeurs des Prix Nobel de Stockholm, viennent de nous démontrer superbement , le fait que les humains au lieu de s'entredéchirer entre eux, ont un rôle spécifique à jouer dans le Cosmos, (et cela confirme parfaitement les superbes recherches d'ARTivision, examinées dès le 08/06/1999) en son article clef :

http://www.artivision.fr/dimcos.html .

      En ce qui concerne donc les revues incriminées par ce monsieur Jérôme C...... disons que nous avons la grande opportunité ( et il comprendra un jour pourquoi) de posséder encore certains Science et Vie datés de  1952, tandis que pour Science et Avenir nous possédons le N° 1 d'Avril 1947 qui se pose justement des questions très judicieuses sur l'expédition extraordinaire de l'Amiral Byrd en Antarctique début Décembre 1946. D'où notre troisième focus : .

Troisième focus :ARTivision, énummère quelques revues faisant l'objet d'une consultation pragmatique, toujours bien explicitée, dans ses articles.

      Nous avons aussi en effet pas mal d'exemplaires des revues Ciel&Espace, La recherche, Planète, Science&vie Junior, Nexus , Occulture, L'Autre Monde, Le Monde de l'inconnu, L'inconnu, Ouranos, Trait d'Union, Ça m'interesse, Lumière dans la Nuit, Ondes Vives, ....etc... Nous avons aussi la chance de possèder. tous les exemplaires de la revue Nostra du n° 1 d'Avril 72 au n° 535 de Juillet 82 , et nous allons bientôt une fois encore rendre ici un hommage bien mérité à cette la revue NOSTRA, considérée certainement à l'époque par Monsieur Jérôme C......et par des astronomes blasés et autres bien-pensants intetellectuels, comme une vraie feuille de chou dérisoire, qu'ils auraient jetée immédiatement au panier, si par exemple, nous leur avions genttillement offert le n° 586 du 8 Sept. 1983 qui a publié une de nos lettres, avec en plus la photographie de la "superstructure", du Paris Match 1028.

      Mais plutôt que de parler en l'air, voici donc ici , la missive en question :


      Mais, justement à propos, ce désormais incontournable Paris Match 1028, où l'on découvre ceci :


      dont 2 agrandissements donnent :


et Paris Match 1028, que ce Monsieur Jérôme C......, n'aurait même pas ouvert, si , en 2003, nous lui en avions prêté un exemplaire, disons alors que cette revue Paris Match en question, qui sans doute avait signé un contrat d'exclusivité pour les photos d'Apollo, avec les dirigeants de l'Agence World Book Science Service, n'a été qu'un simple intermédiaire, dans cette affaire, qui aurait pris une toute autre configuration si l 'extraordinaire cliché en question, avait été publié à l'origine par une revue comme "La Recherche" ou "Sciences et Avenir". Il serait alors possible, qu'un journaliste très avisé de ces revues, découvre, alors il y a de cela, 49 ans (en 2018), cette superstructure très insolite de la face cachée de la Lune. Alors on suppose qu'il ferait tout n'est-ce pas, pour savoir ce qu'est cet immense truc, placé surtout, sur la face cachée de la Lune, et bien sûr, la NASA, aurait été obligée de vendre la mêche.,. et sans doute, la face du monde, en aurait été tout à fait bouleversée, car les anarchistes révolutionnaires et autres va-en-guerre jihadistes décérébrés, auraient plutôt envie de vivre en paix, avec leurs frères considérés ainsi qu'eux-mêmes, comme des quidams minables, par ceux qui nous gouvernent en haut lieu.

       Mais comme ce fut la revue people Paris Match ( ce n'est pas une critique, car à "chacun ses goûts" ), qui a publié en page 33, le truc inouï connu, aucun citoyen lambda très cultivé ou pas, ne s'est permis de scruter la photo en question, avant l'ami Michel Girard, imprimeur de son état, qui a découvert l'anomalie en fin 1993. D'où notre quatrième focus.

Quatrième focus :ARTivision, s'interroge amèrement sur le silence fait par les médias, à la suite d'un extraordinaire entrefilet publié en page 8 du Nostra n°405 du 10 au 16 Janv. 1980.

     Mais, voici donc l'entrefilet en question qui se trouvait déjà dans NOSTRA, 3 ans plus tôt, avant le le n° 586 du 8 Sept. 1983 cité plus haut :


      A notre connaissance, aucun des grands journalistes et autres éditorialistes de la Presse Française, qui se disaient à l'affût du bon scoop , n'a tenté de contacter au moins un, des scientifiques M.V. KELDITCH et A.P. VINOGRADOV, soviétiques de l'époque, pour éclaircir, noir sur blanc , cette extraordinaire affaire, qui ne circulait pas encore dans le grand public, comme c'est le cas maintenant, grâce à l'Internet...

     On se demande d'ailleurs, pourquoi des périodiques, à l'époque, haut de gamme, comme "le Monde" , "Science&Vie", "La Recherche", ..etc..., n'ont pas publié, ( à notre connaissance bien sûr, et nous publierons alors toute information à ce sujet), une seule ligne, sur cette conférence de presse scientifique soviétique. Il faut aussi remarquer que ce genre d'information venant des soviétiques, était chez Nostra, sous le regard scrutateur, du savant atomiste, Jacques Bergier, l'homme phénomène, qui était un lecteur rapide hors normes, et cela en plusieurs langues, dont le Français, l'anglais, le russe, l'espagnol, l'hébreu, le tchécoslovaque, le polonais, l'italien et deux ou trois autres langues encore. Donc côté russe, il avait certainement quelques amis fidèles, pouvant lui transmettre en "temps réel", des données sensibles, que les autres journalistes n'auraient pu saisir, qu'avec beaucoup de démarches.

      Et à bon entendeur Salut !!!

      Mais pour analyser plus avant, l'étrangeté des voyages polaires de Byrd , voici donc notre cinquième focus :

Cinquième focus :Quand ARTivision, remet en ligne les infos, concernant le voyage de Byrd en 1926

      Nos informations, sont alors tirées du site que nous appelons le GoogleOldNews, tel que son url est : https://news.google.ca/newspapers?hl=fr, que nous

      Pour bien situer le contexte de l'époque, voici déjà deux journaux qui nous décrivent l'exploit de Byrd en question :

    C'est ainsi que le 13/06/2013, nous sommes tombés en page 6, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=vf0YIhSwahgC&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

, sur cet entrefilet de l' Evening Tribune, en date du 24 Juin 1926:


     On apprend alors ici , que l'expédition de Byrd au Pôle Nord, a eu lieu le 9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition.(voir notre article :

http://www.artivision.fr/Byrdpolemique.html)

     Mais déjà, dès le 07/06/2013, nous sommes aussi tombés d'abord sur ceci à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=5N-NJrZHaHcC&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

     On découvre aussi cet entrefilet du The Daily Star en date du 24 /06/1926 :


     Et, il est est de même à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=4oLgDUE9yTUC&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

     Où l'on découvre alors cet entrefilet en page 7, du Biddeford Weekly Journal en date du 25/06/1926 :


     Concernant également l'épopée de Byrd au Pôle Nord le 9 Mai 1926, voici alors de même, un super article du Miami Daily News du 10 Mai 1926, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr

, et entrefilet, restructuré par nos soins, en d'autres colonnes, que celles présentées sur deux pages par journal en question :



     Notez bien SVP que ces 4 précédents journaux, ont tiré leur article de l'Agence très côtée à l'époque : Associated Press ...

     Mais, pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici donc en français, deux articles, que nous avons pu découvrir au sujet de Byrd :

     D'abord à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr


      On note alors d'abord que cette information vient de l'Agence "International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais l'Associated Press

     Puis voyons aussi l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

qui, avec une restructuration des colonnes par ARTivision donne :


     Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du Canada. En effet c'est le 22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français (chose très rare) venant du contexte de http://news.google.ca/newspapers? et imprimé à l'epoque dans la ville Woonsocket des USA. il faut savoir alors que Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du Rhode Island, qui comptait, il y a trente ans (en 1932) 40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme "La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de 1900 à 1934, et fut suivi de 1935 à 1942 par "l'Indépendant", également en français.

         Venons en maintenant à l'article clef, qui a fait, en 2013, un vrai TILT, pour ARTivision.

    En effet, c'est le 06/06/2013, que nous sommes alors tombés sur l'entrefilet du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

et entrefilet, (restructuré en d'autres colonnes par nos soins) :


     Chose très surprenante, le titre de ce journal, a dès lors totalement disparu de GoogleOldNews, placé, on le sait à : https://news.google.ca/newspapers?hl=fr. A vous de juger cette superbe incongruité .

    On pourrait alors traduire le titre de cet article, grosso modo, par :

"Ovation rendue à Byrd par la foule, à son retour au bercail ".


    Laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir de ce texte, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.

    Mais analysons plutôt, les phrases soulignées en rouge :


    Une traduction rapide, et peu fouillée, pourrait donner :

" Il y a de la terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir de la terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terre en pleine zone froide et glacée, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place dans le voisinage du Pôle Nord ", etc....

    Mais, pourARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations de Byrd dans nos articles :

http://www.artivision.fr/ByrdTrouvailesinsolites.html
et
http://www.artivision.fr/ByrdDilemmeLexical.html

et en particulier de l'histoire absolument fantastique du "Huitième continent superbement évoqué aussi dans ces articles", nous pensons alors que notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :

" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     Aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur avis...

     Mais comme on le voit, nous n'avons pas eu la chance de trouver, dans les articles des journaux qui précédent en anglais ou en français, la phrase très énigmatique de Byrd :

"There is land in the viciny of the north pôle " et consort ...

et pourtant ces article sont issus de la même Agence : Associated Press.

     La désinformation, voulue ou pas, était donc déjà effective en 1926... n'est-ce pas !!!

     C'est d'ailleurs pour cela, que nous osons, encore une fois, vous présenter ce passage extraordinaire, de Monsieur Jean Brun, tiré de l'hebdomadaire Nostra ( et on se moque bien sûr ici éperdument, des allégations péremptoires du sieur Jérôme C......) n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980. dont voici pour les puristes, la couverture importante :


      Et voici, le début de l'article, en page 15 :

     Selon cet article l' amiral Byrd, aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord :

    Début de la digression :

    L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences ,

        Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation.


     Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

Huitième focus :Quand ARTivision, sort de ses dossiers un incroyable document provenant du NOSTRA n° 52 concernant le voyage de Byrd au Pôle Nord.

     En effet, disons ce 17 Avril 2018, le texte du Nostra n°425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, présenté ci-dessus sous la signature de l'énigmatique Monsieur Jean Brun, qui pour une raison sans doute ultra secrète, n'a pas cité ses sources, n'était en fin de compte, qu'un court condensé, paru vers le 6 Avril 1972, d'un autre article bizarrement non signé, et paru dans la revue Nostradamus (ancêtre de Nostra)

 


        Nous allons donc devoir faire ici, une deuxième digression, qui consiste à présenter ici l'affaire du très mystèrieux n° 52 , de la revue Nostradamus de l'époque.

      Il faut d'abord savoir, que la revue "Nostradamus""L'hebdomadaire de l'actualité mystérieuse", (comme elle était présentée à l'époque) , avait le format (29;43), et dont le n° 1 (que nous possédons toujours) est du 13 Avril 1972, et elle a duré environ 10 ans jusqu'en Juillet 82. Elle s'est appelée Nostra à partir du n° 147 du 30 janvier 1975 format (20; 28) .

     Mais après le n° 51, il s'est passé une chose bizarre, que nous n'avons jamais pu expliquer. Si n° 51 et 53 étaient tout à fait normaux (format 29;43), nous n'avons jamais reçu le n°52, mais il est arrivé à l'époque une sorte d'ersatz du journal, de format plus petit (27;39), sans n° et sans date. Comme-ci la rédaction ou l'imprimeur avait eu un empêchement quelconque pour produire la revue normale. (Grève, rupture de stock etc..)

       Nous en avons déduit plus tard que cet ersatz représentait bien le n° 52 manquant, et que la date de sortie devait être le 6 avril 1973. Pour tester cette affaire, lors de notre visite à la Bibliothèque Nationale de Paris, en 1992, (voir pourquoi sur le document suivant et la page Byrdsuite.html )



, nous aurions dû, demander au préposé de la BN, d' aller nous chercher, ce n° 52, de la revue NOSTRA et surtout, bien noter son explication devant l'inexistence de ce n°. Hélas nous avons oublié de le faire. Avis à l'amateur...

      Fin de la digression.

      Mais d'une part, le format étant trop grand pour notre scanner, nous avons dû couper le document de couverture, et d'autre part, étant donnée l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, les convertures de ce n° 52 fictif ont été détériorées. Veuillez donc excuser, le manque de netteté des images que nous reprenons ici, étant données leurs importances :

 


      Mais ce qui nous a amené à parler de cette histoire, c'est que justement, ce n° fictif 52, possède un article unique en son genre, pour l'époque et article qui nous interpelle absolument quant aux sources qui ont servi à son élaboration.

      Mais voyez donc vous-même :





       Nous avons évidemment coupé la publicité de l'époque dans la deuxième partie de la feuille.

      Bien que les caractères soient encore lisibles sur ses deux images, pour ne pas vous fatiguer la vue, voici la digitalisation de ce document.

      " Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, n'avait jamais été aussi stupéfait. Le flegme légentaire des officiers de l'American Navy faisait place sur son visage à son étonnement qu'il n'avait pu contenir.

      Dieu sait pourtant qu'au cours d'une longue carrière d'explorateur polaire il avait subi de dures épreuves : il avait vu trop de ses plus fidèles compagnons, morts de froid et d'épuisement, immergés dans l'océan sauvage, une gueuse de fonte lestant leurs corps cousus dans une toile à voile, selon la séculaire coutume des matelots.

     Il avait supporté lui-même, jusqu'à l'inanition, la dure loi des expéditions en terres inhumaines loin des bases où la fraternité des amis aguerris réchauffait le cœur dans ce climat mortel.

     Mais là, avec deux quartiers- maîtres et un capitaine de vaisseau, il parvenait au bout de la surprise.

      - Je n'aurais jamais cru ça possible, Damned ! lança-t-il en jurant comme un vulgaire canonnier.

     De fait, même pour un marin américain que rien ne devrait étonner, il y avait de quoi être surpris.

     Richard Byrd venait de découvrir, au sein des glaces perdues au Pôle Nord, un véritable paradis terrestre !

     Depuis huit heures, il marchait sur la banquise, avec son équipe, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical.

     Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'équipe de pointe de l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, le spectacle était inoubliable. Sous les yeux de Byrd médusé et de ses compagnons ahuris, s'étendait une longue vallée étroite et profonde, couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace...

    D'un geste machinal, l'amiral consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra lentement dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth, placide et lourd comme ceux que l'on a rencontré en 1921 en sibérie centrale. Autour d'eux les gazouillis d'oiseaux et la stridence des cigales démontraient à l'evidence l'existence d'un climat subtropical.

    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    repartis sur la banquise, les explorateurs, un moment émerveillés, retrouvaient le grand silence blanc et la desolation du froid éternel. A leur retour, ils racontèrent leur découverte à leurs camarades restés au camp.

     Après une journée de repos tous voulaient retourner voir ce que l'amiral Byrd appela désormais le " paradis inconnu ".

    Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, dans la région même du pôle magnétique, il avait été impossible à l'ordonnance de l'amiral d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques.

    En effet dans cette region du globe terrestre , les boussoles deviennent folles et leurs aiguilles aimentées virevoltent sans jamais se fixer !

     Pendant des années dans son laboratoire de Boston, Richard Byrd, chercha à délimiter la position géographique de la vallée heureuse cachée au fond des glaces. Noatalgique du paradis perdu, il réalisa de nombreuses autres expéditions après s'étre entouré de toutes les précautions et de tous les détails qu'il jugeait indispensables..

    En 1929 il repartait de l'île Wrangel à l'estuaire nord de la Sibérie, avec la plupart de ses premiers accompagnateurs. Ce fut en vain.

    En 1936, sccompagaé d'Amundsen, il survolait sans résultat toute la banquise arctique avec les tout premiers hélicoptères. En 1947 encore, n'ayant pas perdu l'espoir de refouler â nouveau le merveilleux gazon du paradis polaire, il repartait avec un matériel ultra-moderne. Ce fut un voyage pour rien.

    Jusqu'en 1957, où il mourut brutalement d'un transport au oerveau, l'amiral américain n'a jamais retrouvé le paradis du fond des glaces...

    Et pourtant, sa découverte a été confirinée par un médecin de Los Angelès, le docteur Nephi Cotton. Celui-ci recueillit de l'un de ses patients un étrange récit. Le malade, habitant l'extrême nord de la Norvège, avait, avec un ami, entrepris une croisière en direction du pôle.

    Après un mois de navigation hasardeuse, entre les écueils et Ies icebergs, ils avaient atteint un pays où, selon leurs aifirmations, "la température était extraordinairement élevée" et "la flore était d'une richesse comparable à celle des pays tropicaux les plus fertiles".

    A plusieurs reprises, des expéditions quasi-clandestines furent organisées par des explorateurs norvégiens et anglais. Ce furent des tentatives stériles, car dans le voisinage du Pôle, les boussoles ne servent plus à rien et le hasard qui avait si bien servi Byrd n'a jamais consenti à aider ceux qui suivirent ses traces. Plus récemment et à trois reprises, les services spéciaux des grandes puissances du monde ont monté des explorations aussi couteuses que secrètes. Rien n'y fit. Au , désespoir des organisateurs, les barbouzes de l'ouest et de l'est sont revenues bredouilles.

    Le Paradis polaire garde jalousement son extraordinaire secret.

    Les survivants de l'expédition de 1926 rêvent encore de leur journée du 14 juin. Avec l'amiral Byrd, ils affirment qu'ils ne furent pas victimes d'un mirage ou d'une hallucination. Ils se bornent, devant l'incrédulité générale, à répéter qu'un jour on saura bien retrouver la vaIlée perdue...
"


    Fin de citation.


     Comme vous l'avez sans doute remarqué ce document est bourré de détails pointus que l'on pourrait vérifier (comme par exemple, le nom de l'ordonnance de l'amiral Byrd : le capitaine Peter Fitin). Mais il n'est pas signé, et il n'indique pas hélas les sources utilisées pour faire l'article.

    Ce document précise clairement, que Byrd et ses compagnons ont bel et bien monté des expéditions sans doute secrètes au Pôle Nord en 1926, 1929, 1936, et surtout ce que l'on ne savait pas du tout, en 1947.

    Comme on y parle de Services spéciaux de grandes puissance et de barbouzes, nous soupçonnons le fait que ce texte, proviendrait du savant atomiste Jacques Bergier, qui, on le sait, faisait partie des Services Secrets Alliés de la dernière guerre. Il a d'ailleurs écrit entre de nombreuses autres choses : Un Mémoire sur la détection électromagnétique des avions autour de 1939 et Le Manuel du parfait saboteur en 1943 .

     Mais, à part l'histoire du le docteur Nephi Cotton., et la photo de la Terre, qui sont directement tirées du livre de R. Bernard "La Terre creuse" (A. Michel 1971):


, où donc Jacques Bergier (ou l'auteur inconnu), a-t-il pu trouver ces informations (qui ne courent pas les rues), concernant l'expédition de Byrd en 1926 et surtout les autres ?

     Mais, vous le savez maintenant, une partie de cet article a été reprise 7 ans plus tard, par Jean Brun dans le Nostra n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980. (Voir plus haut)

     En conclusion une fois de plus, nous voyons qu'ici s'applique pafaitement l'adage : " L'habit ne fait pas le moine " , car en effet ce n'est absolumemt pas dans les revues bien assises et qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche", ou "Science&Vie"... etc... que l'on aurait découvert à l'époque, un tel document, que nous avons la chance inouïe, de posséder, (n'en déplaise au sieur Jérôme C....) , depuis 45 ans (en 2018) .

        Ce Monsieur si fier de sa notorièté culturelle scientifique, aurait d'ailleurs eu, un grand mal à expliquer les photos ci-dessous de la NASA du Pôle Nord où la manipulation informatique crève les yeux :



       Photo que nous avons trouvée, dès 2007 sur le site :

http://www.ruwenzori.net/earth/Earth_EMEA+Atlantic_1280x1024.html

     Mais qu'est-ce que peut bien être cette sombre sorte d'étoile de mer, au pôle nord ?

    Voyons cela, sous un autre angle :



    , et maintenant, de plus près :



    C'est très artistique et inouï à la fois...Que sont donc ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus du Pôle Nord. A notre humble connaissance, C'est du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être , pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!

     Mais, justement, concernant cette affaire, sur le super site qui suit :

http://www.youtube.com/watch?v=Z9SGRqiUrnU&feature=related

     , voilà, ce qu'on peut aussi y trouver :



      Mais, que veulent donc bien nous montrer, la superbe flèche rouge en question, et le cercle bien net, en son bout ?

    Mais, il y a bien mieu encore ...Lors d'un bulletin météorologique sur un Canal météo du Canada, notre ami Roger de la région, nous a envoyé, les images suivantes :

  


     Ce qui frappe l'observateur attentif, c'est le disque sombre qui apparaît au-dessus de la tête de la speakrine sur une carte de la région Arctique:

  


     Les éternels détracteurs, auront vite fait, de qualifier cela de leur illusion d'optique habituelle. Mais, dans les mêmes conditions, on découvre sur un site suivant, qui hélas n'est plus joignable (même sur Google) ceci :



     Merci à l'internaute, qui nous avait envoyé cette séquence vidéo, de nous contacter, s'il la retrouve ailleurs sur le Web.

         A vous donc de juger, tout cela, documents à l'appui...

         Mais ce 20 Avril 2018, quittons provisoirement l'affaire de Byrd au Pôle Nord de 1926 pour aborder son sur vol du Pôle Sud en 1929, et cela va faire l'objet de notre neuvième focus :

Neuvième focus :ARTivision, prouve que l'explorateur Byrd a découvert au Pôle Sud, une terre inconnue, presque simultanement à l'explorateur australien, Sir George Hubert Wilkins.

         Mais, voici des prémices surprenantes, qui nous mettent déjà, l'eau à la bouche :

      C'est, en effet, le 06/10/2010, que nous avons eu, le plaisir de recevoir de notre ami canadien Sébastien C...., infatigable patrouilleur du Web, la courte missive suivante, qui vaut cependant son pesant d'or ;

----- Original Message -----
From: Sebas C
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, October 06, 2010 9:11 PM
Subject: Hubert Wilkins.

          Bonne journée Fred .



         Et voici donc les images qui nous concernent ici :



Puis surtout:

Disons dès maintenant que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue, dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental, annonça la réception d'un message en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

     Nous pensons bien sûr, (n'en déplaise au sieur Jérôme C..., sigmatisé plus haut), qu'une telle information n'aurait presque aucune chance d'être diffusée ainsi, dans un journal comme le "New York Time", ou un autre périodique du même acabit.

      Merci à l'internaute curieux, qui découvrira d'autres articles concernant cette découverte du Capitaine Sir George Hubert Wilkins en question .

      Nous avons, de notre côté, découvert aussi, une superbe information, dans l'ouvrage intitulé : "Mondes au delà des pôles", d' Amedeo Giannini :

  

      On doit alors savoir d'abord, qu' Amedeo Giannini, était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Voici une rare photo de lui :


      Et en page 54, du livre précité, on trouve ce passage, tout à fait significatif :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu, et contentons nous d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois, hélas, cet Amedeo Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cet extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova.

     En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935), qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s'est installé à New-York.

      Mais, revenons à l'expédition de Byrd en 1929, et voyons maintenant, quelques articles qui en parlent :



     Cet entrefilet ne contient, on le voit que des descriptions normales classiques et rien n'y souligne une découverte quelconque d'une terre inconnue.

       Voici encore, pour les puristes qui, ( on le sait), aiment remonter aux sources d'une information, 3 autres articles, ( il y en beaucoup d'autres) , prouvant que Byrd a bien en 1929, survolé le Pôle Sud :




       Donc ces 4 articles précédents, il n'est nullement question de la decouverte au Pôle sud , d'une terre inconnue, et de plus n'avons pas eu la chance, de découvrir en Janvier 1930 (Il y en a peut-être), un seul texte de ces même journaux ou d'autres disant que Byrd, a découvert en plein Pôle Sud, une zone inconnue, ( comme on l'a vu plus haut), pour le Pôle Nord.

       Merci mille fois, encore à l'internaute béni, qui pourrait découvrir un tel texte, par exemple, à l'office même du "Miami Daily News", ou à la Bibliothèque du Congrès américain en Janvier 1930, ou juste après...

      Il ne faut pas oublier (nous l'avons aussi souvent exprimé) que Byrd, était un militaire de haut rang, et qu'il était évidemment astreint, à une stricte obligation de réserve, à laquelle il ne pouvait se soustraire, même à la retraite.

     Mais, voyons maintenant, si le voulez bien, la présentation du Milwaukee journal, qui consacre ses deux premières pages, à l'exploit de Byrd au Pôle Sud, et nous demandons aimablement à l'internauite vigililant, (puisque notre vieux PC de travail, ayant toujours Windows XP, ne lit pas bien les urls https://), de contrôler, sur les pages entières de ce journal, que nous n'avons pas hélas pu sortir dans leur globalité, le fait que l'on n'y parle pas non plus de cette affaire de terre inconnue, vue plus haut :



    Il serait aussi forminable, que l'on puisse trouver dans ce journal, entre 1er Décembre 1929 et le 7 Septembre 1933,, un article quelconque, parlant, même insidueusement de cette affaire de Terre inconnue découverte par Byrd, ou par Sir George Hubert Wilkins.

     En effet, nous avons été plus loin, dans l'exploration des articles de ce même journal, et voici alors, ce que nous y avons admirablement décourvert, dans le numero du 7 Septembre 1933 : ( Nous n'étions même pas encore né ), et placé à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

>

    Traduisons alors, grosso modo, le début :

"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"

L'amiral fait appel aux bons offices du Président.

L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.

    Mais analysons avec soin le passage suivant que nous extrayons de l'article en question :


    "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

Nous recherchons "nouveau continent"

    Byrd dit : " Nous espérons découvrir "nouveau continent", en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."

    On voit alors qu'apparait superbement ici, le vocable surprenant : "New continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du continent Antarctique, et nous allons vite voir, que ce raisonnement est archi-faux .

     Là, tout est clair, Byrd parle bien, d'un "Nouveau continent", et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela (as tropical as india), dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    
Et même le Président des USA de l'époque, T. Roosevelt , renchêrit en affirmant qu'il existe bien "une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré", et, s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace, il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!

    De très nombreux journaux ont aussi repris les mêmes expressions de l' Agence Associated Press , et par exemple :


     Traduisons aussi seulement le passage souligné en rouge, tel que ;


" Il espérait découvrir un nouveau continent dit-il en complément de celui qui existe déjà afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde.

     De nombreux vols seront entrepris vers une zone aussi vaste que les Etats-Unis et le Mexique réunis, dit-il
."

     Au sujet de cette affaire de découverte d'un "nouveau continent", les rédacteurs et consorts journalistes du journal en question, se sont assurément dits, qu'il s'agissait de cette zone immense effectivement non répertoriée, très glacée, couverte de neige et de givre à profusion, et où la température avoisine souvent les - 50 degrés Celsius. Un point c'est tout, et nous allons voir plus bas pourquoi ...

     Poursuivons aussi notre survol d'autres journaux de l'époque :

      Voici en effet le document, que nous a adressé l'ami canadien Sébastien dès le 16 Sept. 2010. à l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=PPAp3RzCAaIC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    Mais extrayons de même, de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:


    Traduisons alors grosso modo, ce passage qui aligne beaucoup de termes identiques à ceux vus précédemment. :

     " Byrd expliqua :

: "Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "

    Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.


    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié.

    Comme on le voit, on retrouve les mêmes expressions extraordinaires vues plus haut, même si l'on doit parfois, savoir lire entre les lignes, et l''expression "et chercher un nouveau continent" , nous interpelle ici bien sûr encore grandement,

    Mais restons donc à la date du 7 Septembre 1933 , et voici encore un article, du "Spokane Daily Chronicle" , et qui est formulé dans le même style, issu de l'Agence Associated Press, et placé à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=ddB7do2jUx8C&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    On voit aussi que , on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef et très surprenante "nouveau continent". C'est donc un article , qui vient confirmer parfaitement les précédents, comme celui là d'ailleurs, placé à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=ZuSUVyMx-TgC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    On y retrouve les mêmes expressions que précédemment : l'histoire "nouveau continent", et même cette fois, ( et cela est surprenant), on reprend deux fois l'affaire de la contrée aussi vaste que la superficie des USA et du Mexique réunis. Quand à l'affaire des liens manquants aux problèmes scientifiques, expliquons ici ce que cela signifie en douce. En effet Byrd, a découvert une immense zone tout à fait tropicale en plein Antarctique ( et il l'a aussi vue dans l'Arctique en Mai 1926 ), comme la Science, n'a pas encore de théorie pour expliquer cela, alors, Byrd croit pouvoir s'attacher à résoudre cette fantastique énigme, mais à l'époque en 1933, nous pensons qu'il n'avait encore mis le doigt sur la bonne solution, et même s'il l'avait trouvée, le Gouvernement américain lui interdirait de la révéler.

    Finalement, on en déduit qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient loin d'imaginer, la portée gigantesque de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Nous y reviendrons....

          Mais réglons de suite cette affaire vue plus haut, où Byrd, parle d'une une zone à explorer aussi grande, que les USA et le Mexique réunis.

    Voyons alors, les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :

Atlas du Monde chez Hachette 1996 ISBN 2.01.166807.7

     Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 = 11 487 264 Km2

     Comme on apprend sur le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de 14 107 637 km2, on voit alors que : 14 107 637 km2 -11 487 264 Km2 = 2 620 373 Km2, et donc autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le 23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :

Carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.

    Un internaute géographe pourra additionner, les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite, que le compte, n'y est pas. Donc pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

    D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine :


    Donc, sans même y ajouter le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.

    Mais il y a justement un cas où, en 1955, Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de 3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :


    Mais où donc Byrd, a-t-il pu découvrir ces 7 770 000 km² ? Surtout km² qui consistent en un territoire tout à fait inconnu des humains, et ce qui entraîne le fait clair et net, que le territoire occupé par autres nations, (voir plus haut), se réduit évidemment, comme une peau de chagrin...

    Alors, Messieurs les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix dans ces deux options :

-- Soit le vice amiral Byrd de l'époque, était tout à fait timbré, et un blagueur fini.

-- Soit, il a bel et bien pénétré, dès 1929, (cas dont il est question ici) , dans le vortex polaire sud, (nous en dirons bien plus, une autre fois), que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et vortex qui conduit, quand il s'ouvre, à l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment un immense continent à découvrir, possédant vies et civilisations très développées par rapport à nous.

     Alors Messieurs les rieurs sous cape, et autres palabreurs zélés, nous attendons avec ferveur vos commentaires à ce sujet bien pointu...

     Mais ce 22 Avril 2018, disons d'abord, que nous n'avons pas encore trouvé un seul journal à GoogleOldNews, parlant de l'expédition de Byrd en 1934 ou après, prévue ci-dessus, dans de si nombreux périodiques ( Merci mille fois à l'internaute fûté, qui en trouvera au moins un).

       Mais, il nous appartient ici, cependant ensuite, de présenter d'autres documents clefs, qui prouvent bien qu'il se passe bien des choses fantastiques, au niveau des pôles de cette planète,, n'en déplaise à cet "astronome ou écrivain" Serge Jodra, qui en 1997, qualifait tout cela de fantasme relevant entièrement du mythe, , et ceci fera l'objet de notre dixième focus :

Dixième focus :ARTivision, met au pied du mur, le sieur Serge Jodra, qui contrairement à Byrd, semble nier la présence d'un mystère polaire.

    En effet, c'est en Juillet 1997, que nous avons reçu la revue Ciel&Espace n° 326 :

, et en pages 66 à 67, on découvre ceci :


     Puis à la page 68, on voit que :


       Et, notez bien le passage, avec les guillemets :


et ces guillemets, signifient, pour lui, qu'il n'y rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre. Point Barre .

       Dommage que ce Monsieur Jodra, n'a pas eu en mains, au bon moment, ce super document (dont nous reparlerons plus bas ), et qui est bien la preuve de l'existence d'un mystère polaire :

     Dans son laïus, qui se veut sérieux, l'auteur Jodra, semble pourtant avoir volontairement oublié, de citer les travaux du mathématicien et astronome suisse Léonard Paul Euler (1707-1783) qui, (on le sait), a parlé le premier de cette affaire de Soleil central, au sein d'une Terre creuse à coque unique, et Mr Serge Jorda, ose citer Edgar Rice Burroughs, sans rien expliquer sur sa théorie, qui prouve que cet auteur ignorait lui aussi, les phénomènes polaires, car il fait son héro Tarzan, ( qui avec la série de ses romans les Pellucidar, aborde le thème de la Terre creuse) , entrer à l'intérieur de la Terre par une caverne spécifique du désert du Sahara.

     Il nous faut en effet savoir que, le texte d' Edgar Rice Burroughs, nous présente l'histoire de David Innes, ingénieur des mines, qui a accepté de financer la construction d'un excavateur de type nouveau inventé par son ami Abner Perry. Les deux hommes effectuent un test dans le désert du Sahara, et tombent dans le monde intérieur inconnu de Pellucidar. Donc il n'est pas du tout question ici du Pôle Nord. Voir le tome 1 sur le site à :

http://www.olphir.com/documents/0Burroughs-E.R---Pellucidar-1-1914-Au-coeur-de-la-Terre.pdf

     Mais ce Mr Serge Jorda, n'a pas eu, hélas, le grand privilège, comme nous d'avoir eu en main ( grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, hélas perdu de vue, quelques vignettes d'une BD réalisée, par le nommé Russ Manning , et concernant l'affaire du monde de Pellucidar).

     Ces vignettes sont parues en France, journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan , monter dans un Zeppelin pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable hélas en noir et blanc (Tout internaute qui pourrait avoir cela en couleur, serait bien sûr plus que béni) :

     C'est donc Russ Manning lui-même, qui autour de 1970, a imaginé cette affaire de voyage de Tarzan en dirigeable vers le Pôle Nord. Bravo à lui, car cela montre qu'il connaissait parfaitement, la théorie de la Terre creuse, et l'on va voir ci-dessous pourquoi...(Cette théorie, on le sait est parfaitement bien occultée dans notre enseignement scolaire puisque nous-mêmes, nous l'avons souvent dit, nous ne l'avons découverte qu' autour de 1972, après avoir pris lecture de l'ouvrage désormais incontournable sur le sujet de R.Bernard: La Terre creuse de 1971 ).

      En effet, voici donc, grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée, on le sait par Russ Manning ,






     Vous avez bien noté que dans cette BD, il est mentionné que Pellucidar se trouve au centre de la Terre que l'on peut y accéder, soit par l'insolite ouverture du Pôle Nord, soit à travers le seul autre chemin que Tarzan connaisse, c'est-à-dire une couche de 800 km de roche, (donc sans doute par des tunnels secrets connus de lui). Il y a aussi cette information qu' à l'ouverture polaire le brouillard est éternel à cause de la rencontre de l'air froid du Pôle et l'air chaud qui monte du centre de la Terre à travers un tunnel de 800 km :


     De plus on apprend que dans le trou polaire, il faut suivre une route en spirale car la boussole (le compas) est inutilisable :


      Mais il y a aussi le fait qu'à intérieur de la Terre existe un Soleil et que donc l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus et donc que le monde interne, est un monde sans horizon.


      Pas mal n'est-ce pas, cette imagination hors norme = de cet auteur !!!

      Cependant, si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques, nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste de la BD, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile de ce Russ Manning, qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage Fantômes des pôles :

 


et bien d'autres auteurs, comme par exemple celui en anglais de Raymond Bernard, dans son ouvrage incontournable de 1964 "The Hollow Earth":

  

deux ouvrages que Russ Manning , avait probablement lus...

     Á vous de juger tout cela...

     Mais nous avons aussi une autre BD, qui sans aller aussi loin dans l'audace de Russ Manning, a du tout de même dû puiser son inspiration, dans des couloirs d'un subconscient quelconque :

     Voici en effet, la couverture et quelques vignettes de la BD intitulée : "Le secret de l'Antarctique", d'Henri Vernes & Dino Attanasio, publiée par Claude Lefrancq en 1989, et qui est l'adaptation du roman homonyme "Le secret de l'Antarctique" du même Henri Verne, et publié par Marabout, en 1965 :




     Nous n'avons hélas pas le privilège de posséder ni le livre, ni la BD en question, et nous serions très heureux d'apprendre si l'auteur mentionne aussi la présence de mammouths. Merci à l'internaute béni, qui pourra nous fournir ce renseignement.

     Notez bien cependant d'une part, l'explication aberrante, qui justifie géologiquement la présente de cette zone tropicale en plein Pôle Sud, exactement comme celle qui a été apportée par le Science et vie n° 519 de Mars 1960, (A lire bien sûr, avec la plus grande attention), pour expliquer l'existence de l'oasis de Benguer, que nous présenterons, plus en détail, une autre fois...

     Tout cela nous interpelle tout de même, assez royalement, car à notre avis, en 1965, quand Henri Vernes a publié son roman, le survol aérien des deux pôles, faisait déjà l'objet une interdiction mondiale. Merci à l'internaute qui possède une information sur cette interdiction légale.

     A vous de juger...

     Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de nouveau continent, nous diront évidemment sans d'abord tourner leur langue sept fois dans son logement, que nous faisons une fixation lexicale, sur le mot continent, qui concerne seulement le territoire immense peu connu de l' Antarctique, qui est déja classé comme un véritable continent ...Point Barre.

    Ces détracteurs, oublient que le site ARTivision, a toujours en réserve des documents incontournables, prouvant ses extraordinaires affirmations :

    C'est ainsi que l'ami Sébastien toujours très entreprenant, du Grand Canada, nous dit que sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

    On découvre alors ceci sorti, Février en 1947:


     Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement, mais ce que nous devons révéler en premier lieu , c'est que le journal Palm Beach Daily News , en question a disparu, comme par enchantement, du site de GoogleOlNews, déjà présenté plus haut .

A vous de juger cette notoire incongruité...

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle " - soit : " un huitième continent."

     Plus bas en parlant du capitaine George J. Derek, Officier de la Marine US de 43 ans, accompagnant Byrd en Antarctique, Lee Van ATTA nous dit :

"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."


      Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule la croyance affirmée de Byrd, nous intéresse ici : un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!!

      Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd, parle d'un huitième continent qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer, (en quelques milliers de km) dans "l'ouverture polaire sud" ( On verra plus bas pourquoi, les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce vrai continent , qui s'étend à l'intérieur de la Terre. Point à la ligne ...

      Mais en terminant ce focus, introduisons ce jour, une note transcendante, du Grand Maître , souvent évoqué sur ARTivision, et note justement en date du 22 Avril :

     Combien de fois as-tu entendu la remarque
" comme le temps file! "?


Lorsque tu es plein de joie et de bonheur,
que tu donnes le meilleur de toi-meme,
que tu vis pour les autres,
et que tu as le souci du bien du Tout dans le cœur,
le temps file en effet et tu en apprécies chaque seconde.

Tu vis dans le temps,
mais il n'est pas nécessaire de le laisser devenir un fardeau et t'enfoncer.

Il y a du temps pour tout,
pour toutes les choses que tu veux faire,
parce que tu leur trouveras du temps.

Chaque personne a la même somme de temps.
mais c'est la façon dont tu l'utilises qui importe,
alors ne te plains jamais
de ce que certaines âmes ont plus de temps que d'autres.

Ne sois jamais esclave du temps,
mais fais-en ton serviteur.
Tu dois décider de ce que tu veux faire et puis t'y mettre

et tu verras que tu en as parfaitement le temps.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 22 Avril, après adaptation d' ARTivision.

      Voilà donc un texte, qui a dû certainement mettre très mal à l'aise, les bien-pensants affairistes et autres philosophes et consorts fervents adeptes de la prospective technologique débridée.

    Il est surprenant de s'apercevoir que de très nombreuses sources ésotériques, que nous ne pouvons détailler ici, nous redéfinissent, ces temps-ci, ce concept du Temps, et d'ailleurs, voici ce qu'en dit encore le collectif Soria, formé, on le sait, de 4520 entités cosmiques, en page 14, de son premier livre déjà présenté plus haut et qu'ici nous nous devons de représenter une deuxième fois :

 

    "Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps, il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent. Cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."

    
Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.

       Mais, ce 24 Avril 2018, disons que certains détracteurs irréductibles, vont vite aller se tordre de rire dans leurs petits coins douillets de cette société à la dérive, mais leur hilarité sera de courte durée, quand ce jour, ils découvriront, que dans ce même livre de Soria, précité juste au-dessus, (et publié donc, il y a près de 17 ans en 2018), en page 253, on trouve alors (Âmes sensibles s'abstenir ):

      " En vous penchant sur cette question l'esprit ouvert et le mental détendu, et en mettant vos schémas restrictifs de côté, vous trouverez une route semée d'indices à votre égard vous éclairant ainsi sur les bouleversements réservés. Les Mayas, la Civilisation égyptienne des premiers temps, la Civilisation tibétaine, les Aztèques et la Civilisation Hopi, ( Note 1 du Webmaster : Nous analyserons brièvement plus bas certaines caractéritiques de cette civilisations des Hopis), ont tour à tour été vos maîtres, vos dirigeants et vos coordinateurs de l'avenir de cette planète et de son futur...( Note 2 du Webmaster : Phrase très difficile à comprendre. Nous verrons plus loin, ce qu'il faut en dire) .

    ...Quand vos scientifiques cesseront de penser que l'évolution que vous connaissez à l'heure actuelle est la plus évoluée que votre planète ait connue, ils pourront enfin retrouver les indices réels des hautes civilisations qui ont vécu avec un savoir et une gloire allant au-delà de votre imagination. Leur manière de vivre était un choix conscient et pas plus barbare que celle de votre humanité actuelle, que nous pourrions qualifier de retardée mentale au vu des désordres importants dans votre organe de pensée et de compréhension. (Il est évident que nous n'accordons pas de tonalité péjorative au mot « retardé »)..

    C'est la Civilisation atlantéenne, de retour en grande partie sur le sol américain, qui vous leurre et cherche à s'imposer avec son mépris du respect de la vie des autres. L'excès de la soif de pouvoir de ces êtres, les a ramenés encore une fois sur leurs vieux rails. Leur technologie de ces temps anciens les a conduits à la destruction de leur pays, à la disparition de l'Atlantide ; mais s'ils ne prennent garde, ils réservent le même sort à l'Amérique.

    Nous leur lançons un avertissement sérieux et espérons ne pas voir la réalisation de cette réalité qui, malheureusement, est déjà en train d'être enregistrée dans l'éther de votre planête.

    J'aime cette Terre qui est un petit bijou dans l'immensité de cet Univers. Nous avons décidé qu'il était temps de vous entretenir de vos responsabilités par rapport à la vie de votre planète.

    Vos schémas mentaux, vos pensées, vos rires, vos souffrances, vos excès, tout cela se mêle pour intervenir sur les humeurs de la Terre. Vos humeurs sont les détonateurs des bouleversements physiques de votre planète. Nous avons envoyé des frères pléiadiens parmi vos enfants pour essayer d'intervenir dans le cours de votre histoire et tenter de mettre un terme à l'autodestruction dont font preuve ces entités très têtues et imbues de leurs personnalités.

    La tiédeur de vos prises de positions conforte leurs exigences; Vous mangerez du bœuf nourri aux hormones et des aliments transgéniques qui vous transformeront en passoires pour maladies commandées ! Si tel est votre souhait, cela sera une expérience douloureuse...

    Dédaignez toute la gamme de ces produits , mêmes s'ils sont à votre portée; ignorez les. Laissez-les dans les étales et les rayons de vos supermarchés...
"


        Et Soria, nous dit bien dans ce livre, que des Pléiadiens sont venus sur Terre, il y a des siècles,, pour tenter d'inverser la volonté destructrice de nos concitoyens. Cela prouve que toute notre Histoire humaine, est à revoir.

     Pour en savoir bien plus, priére donc de consulter sans hésitation, l'ouvrage en quesion...

    Que dire de plus, sur la civilisation atlante, si bien mise en exergue par le célèbre extralucide Edgar Cayce.

    Quant aux manipulations génétiques, pour accroître le rendement des aliments, nous en avons déjà vu les conséquences, même à court terme et heureusement les magasins dits bio, se developent continuellement. .

        Voyons maintenant quelques courtes informations, concernant les indiens Hopis, dont il est fait mension ci dessus, et qui vivent, dans l'actuel Arizona, et infos tirées de l'ouvrage remarquable intitulé "Nos pensées créent le monde", de la journaliste scientifique Martine Castello, et du polytechnicien Vahé Zartarian publié en janvier 1994, aux Editions R.Laffont en dans la collection Nouvelles énigmes:

  

     Nous lisons en effet, page 23 :

"Les Hopis, ont du temps une conception qui diffère radicalement de la nôtre.

    Ainsi ils n'ont aucune notion d'un temps s'écoulant de manière linéaire et continue, et entraînant dans sa course tous les objet de l'univers, du passé au futur à travers le présent. Leur langage même est dépourvu de tout mot, expression, tournure grammaticale, conjugaison, ou quoi que ce soit d'autre faisant référence explicitement ou implicitement à ce que nous appelons le temps, ni au passé, présent et futur, ni à la durée, ni encore au mouvement (qui serait conçu comme déplacement et pas comme un processus de transformation globale). Pourtant la langue hopi est extrêmement riche et permet de rendre compte de tous les phénomènes observables dans l'Univers. Cela signifie donc qu'ils font de la réalité un découpage complètement différent du notre dont découlent nos divergences sur le temps.... les Hopis eux, voient le monde non pas en termes d'objets comme nous le faisons, mais en termes d'événements... ces événements appartiennent à deux catégories, "les manisfestés" et les "non-manifestés".... "


Curieux ceci, n'est-ce pas !!!
Et si vous voulez en savoir plus sur les Hopis, précipitez-vous sur l'ouvrage en question indiqué ci-dessus, et vous y découvrirez, bien d'autres choses intéressantes.

     Ces Hopis, ont-ils pu élaborer un tel système, sans recevoir une initiation venue des dieux ancestraux, dont parlent la plupart des mythologies ?.

     Pour les puristes, qui veulent approffondir la découverte des Hopis, voici un tableau récapitulatif ( que nous a envoyé très aimablement notre amie notre amie Channa de Belgique), des principaux points de leur Tradition :


     Tout cela pour démontrer que ce que l'on croit être La Vérité, connue dans un temps, n'est qu'une copie d'une autre vérité plus traditionnelle, qui nous vient des temps anciens. La Théorie Unitaire de la Connaissance prônée actuellement par certains chercheurs et leurs calculs et démonstrations s'y rapportant, ne peuvent que nous mettre l'eau à la bouche et nous aiguiller sur des sentiers toujours plus énigmatiques et cosmiques. Mais croire que l'on peut dans notre petit univers à 3 dimensions (il y en a bien d'autres autour de nous qui ont aussi leurs lois ), que l'on puisse accéder à une vérité quelconque absolue actuellement, n'est qu'une illusion assurément.

      Disons aussi ce jour, qu'il nous faut encore monter le niveau des révélations concernant les déclarations de l'amiral Byrd, faites à partir des années 55 et suivantes, et cela fera l'objet de notre onzième focus :

Onziéme focus :ARTivision, présente une fois encore, un incroyable document, signé de Byrd en 1956, et un autre surprenant document, publié dans l'ouvrage "Sans Trace" de l'écrivain regretté Charles Berlitz.

       Mais, voici donc un document que Mr Serge Jorda, aurait pu avoir facilement dans ses dossiers, ce qui qui lui aurait évité assurément de parler inutilement de fantasme, à propos des régions polaires.

       Voici donc aussi, pour le novice ingénu, l'incontournable et stupéfiant article de l'amiral Byrd publié dans le Selection du Reader's Digest de Janvier 1956, revue sortie pour les USA à Pleasant ville N.Y et publié aussi pour le Canada, la Grande Bretagne, et l'Australie...etc..., et fascicule que nous avons eu la très grande chance, de trouver ici-même, en Guadeloupe, par le plus grand des hasards. Hum...Hum, la réalité est parfois très trompeuse, on le sait...

     Il y a en effet, pas mal d'années, en cherchant dans nos dossiers tout autre chose, nous sommes tombés, avec un vrai ahurissement, sur cette revue en français, dont voici aussi, pour les puristes, (qui pourraient avoir la chance inouïe, de la trouver dans un vide-grenier ou une brocante ), la photo de la couverture :

  

      Et voici, une image de la première page de l'article incroyable en question :


     Précisons aussi que, cette revue est arrivée dans notre bibliothèque, tout simplement après le décès d'une parente qui habitait à 100 m de chez nous.

     Et, dans cet article, il y a un passage hors-norme, de l'Amiral Byrd, qui s'exprimait avec des sous-entendus notoires.


      Reprenons alors volontairement cet incroyable texte :


      "
Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte...".

      Bien sûr, Byrd ne parle pas ici de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non "autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore "derrière le pôle". L'expression "au-delà du Pôle", nous l'avons souvent dit dans nos articles, nous fait plutôt penser à une contrée bien à part, et qui n'a pas, le mêmes particularités, que celles que l'on trouve autour du Pôle.

       Mais, comment peut-il exister, "au-delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?

      De plus, nous l'avons, déjà dit plus haut, Byrd, était un militaire de haut rang, et qu'il était évidemment astreint, à une stricte obligation de réserve dans les mots qu'il prononçait à tout un chacun.

     Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès début de 1956, mis aussi en alerte sur des événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...

     A vous de juger, tout cela... documents à l'appui.

    Rappelons aussi, (et nous l'avons déja exposé amplement plus haut), que dès 1929, donc pratiquement 27 ans avant 1956, Byrd avait survolé le Pôle Sud, et avait alors, participé à une incroyable émission de radio (disparue de la circulation), dont l'extraordinaire reportage, fut présenté aux pages 164 et 165 par l'écrivain célèbre Charles Berlitz. dans son ouvrage "Sans Trace" publié chez Flammarion en 1978

  

      Mais voyons donc ce récit incroyable:

      " Une curieuse légende s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929 . Elle a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion - rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement - sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. Cependant, la croyance populaire en ce curieux rapport se trouva ultérieurement renforcée par les phrases bizarres de l'amiral Byrd quant à "cette terre au-delà du pôle... centre du grand inconnu... ", et une remarque encore plus étrange, proférée en 1957, ayant trait à ce "continent enchanté dans le ciel, terre d'éternel mystère"...

      Le fait que bien des gens semblent se rappeler, ou croient se rappeler, l'émission tronquée apporte un mystère au cœur du mystère, non seulement sur la question de savoir ce que l'amiral Byrd a vu ou était censé avoir vu, mais aussi sur ce qu'il est advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule.

      La recherche de témoins auditeurs concernant cette émission controversée et presque légendaire est évidemment très difficile puisque tant de gens se la rappellent mais que si peu en ont un souvenir précis. A l'occasion de cette enquête, nous avons été particulièrement heureux d'enregistrer le témoignage d' Emily Ingram de Miami, journaliste judiciaire dont la profession a exercé la mémoire, a qui lui permet de se montrer très précise en évoquant les événements passés. Emily Ingram est une femme vive, à la nature enjouée, douée du sens de l'humour, qui poursuit avec brio sa carrière de journaliste. Le souvenir qu'elle garde du reportage de Byrd lors de son survol du pôle sud remonte à 1929, mais elle ne se rappelle pas moins l'incident de façon fort détaillée :

     "Nous habitions Boston à cette époque et mon père avait récemment acheté, un nouveau poste de T.S.F, qui comportait un haut-parleur en plus du casque d'écoute. L'amplificateur était encastré dans le mur et tout l'appareillage nécessitait une grande antenne. Je m'en souviens très bien parce que mon père tomba du toit en l'installant, mais il n'en réunit pas moins à faire fonctionner le poste.

     Ma mère s'intéressait particulièrement au reportage de l'amiral Byrd. On avait annoncé qu'il devait suivre le 70e parallèle jusqu'au-dessus du pôle et qu'il émettrait pendant le vol. Une fois le poste branché sur la station (un relais dc Boston) le haut-parleur commença à nous distiller l'émission. Il y eut beaucoup de parasites, puis la voix de l'amiral Byrd nous parvint. Au début, ce fut un récit classique, décrivant le survol des champs de neige et de glace. Puis, les parasites revinrent; ils s'intensifièrent et cessèrent subitement. Tout devint plus calme et la voix de Byrd nous parvint très nettement. Tout à coup, il dit :

     " Regardez! Vous voyez? 11 y a de l'herbe, là en bas.- une herbe drue... comme elle est verte!... il y a des fleurs partout... elles sont superbes... et regardez ces animaux... on dirait des élans... l'herbe leur arrive au ventre... et regardez!... il y a aussi des gens. Ils paraissent surpris de voir un avion." .

     Je me souviens qu'à ce moment, ma mère a lancé une boutade : « Je parie qu'ils ont aussi de longues oreilles! » Puis il y eut beaucoup de bruit et de parasites, et ce fut tout ce qu'on entendit jamais du programme. Impossible de le retrouver sur les ondes où de la musique succédait à la voix de l'amiral Byrd sans qu'on n'ait fait la moindre annonce.
     Jamais on ne nous expliqua ce qui s'était passé. Plusieurs de nos voisins avaient aussi écouté l'émission, mais ils n'en savaient pas plus que nous. On avait coupé la parole à l'amiral Byrd au beau milieu de son reportage. Je souhaitais vivement apprendre ce qui était arrivé et j'écrivis à la famille Byrd, en Virginie - vous savez, le sénateur - mais je ne reçus jamais de réponse
."

     Cette évocation d'une étrange émission, remontant à près de cinquante ans, souligne à quel point ce rapport radiodiffusé parut incroyable (ainsi qu'en atteste la réaction initiale de la mère d'Emily Ingram); il est donc possible que la station de Boston, sur un ordre officiel quelconque, ait préféré interrompre le reportage qui paraissait dénué de sens, en partie peut-être pour sauvegarder la réputation de l'amiral Byrd, et peut-être aussi parce que l'information était si insolite que la censure, ou tout au moins une diffusion différée, semblait s'imposer.
"

     Fin de citation.

      Que dire de plus, sinon qu'il est préférable de lire plus avant, le reste de tout cela dans l'ouvrage en question de Berlitz, qui a quitté ce monde le 18 Décembre 2003 à Tamarac, en Floride. Que Paix, et Lumière accompagnent (celui qui de son vivant fut un infatigable chercheur), dans la Haute Dimension, où il évolue en ce moment, et que sa joie, rejaillisse tant soit peu sur les terriens qui sont épris de la découverte d'une connaissance transcendante, pour que l'on puisse enfin, mieux vivre sur cette planète.

    Que celui, qui a des yeux pour voir, et un esprit curieux pour comprendre, s'interroge franchement sur tout cela, et surtout en tire, l'envie de vouloir en découvrir davantage.


    Mais ce 26 Avril 2018, ouvrons un douzième focus tout aussi surprenant :

Douzième focus :ARTivision, présente une fois encore, un autre incroyable document, concernant l'expédition de Byrd en 1947, et présenté par Monsieur Pascal Cazottes, dans le n° 21 de la revue Nexus de Juin-Juillet 2002:

       Mais, voici pour le puristes la couverture de ce n° 21 de la revue Nexus de Juin-Juillet 2002, au cas où, il le verrait dans un vide-grenier quelconque.



      Présentons aussi, à titre documentaire, le sommaire de ce fascicule désormais incontournable :



      On voit alors que, dans les pages 1 à 5, on parle de la Théorie de la Terre creuse, pour laquelle le site ARTivision, a déjà présenté près de 100 articles...

Barre.

     Voici donc, ce super article de Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons seulement, le début :


     Voyons d'abord ce texte préliminaire :


     Et au bas du texte, on découvre plus clairement :


    Les phrases en rouge, sont assez claires et significatives, pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? Mais voici encore quelques infos sur le génial mathématicien suisse Euler ( déjà présenté plus haut ), qui semble bien être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir conçu que la Terre pouvait, , être creuse avec surtout, un soleil central, tel que le découvrirent ( voir notre article à : SmokyGod.html ), les norvégiens (Olaf Jansen et son père), partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord.

:
    

    Selon nous, ce prodigieux mathématicien Euler, a dû recevoir, en temps utile, une inspiration bien calibrée, pour nous produire une si remarquable thèse, à son époque, et thèse qui n'est toujours pas admise dans nos universités, car elle remet en question, toute notre connaissance de la géographie et de la géodynamique de notre planète Terre, et même, la connaissance intime de notre Système Solaire...

    Nous émettrons cette audacieuse hypothèse, d'une inspiration, venue d'ailleurs pour Euler (et pour bien d'autres écrivains comme Jules Verne), et nous expliquerons cela plus bas...       Mais poursuivons la découverte de ce super article, de Monsieur Pascal Cazottes, où il y a surtout le passage suivant, en page 31, dont hélas, l'auteur ne donne pas les sources

     " ...Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd, le 14 juin 1947...

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite
.
"

      Plus bas, on trouve, aussi ces phrases très significatives, de Monsieur Pascal Cazottes :

      " D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro», qui vous expliqueront que les ouvertures aux pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses ouvertures ".

     Fin de citation

     Ce n'est pas, pour ARTivision, une spéculation gratuite, comme l'affirme plus haut l'auteur, puisque cette affaire de dilatation des pôles, nous a été confirmée personnellement, par Soria, et de plus, voilà ce que l'on trouve noir sur blanc , dans son ouvrage de Mars 2002, page 184, cité juste ci-dessus :

     "...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes ".

     En fin de compte, cette vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible à cause d'un phénomène totalement ignoré de nos savants.

     Cependant, en parlant de "sas", dont la porte aurait été ouverte au moment propice", l'auteur a certainement eu vent de la phrase inouïe vue plus haut et parue dès Mars 2002 du collectif Soria,

      Monsieur Pascal Cazottes, pouvait aussi avoir eu en main l'ouvrage de Siragusa de 1979, où ce dernier parle en vrai précurseur de la dilatation du Pôle Nord.

     Ce n'est pas en effet, une information cosmique, que l'on trouve à tous les carrefours à portée de mains, et même l'ouvrage de Raymond Bernard, "La Terre creuse", publié en 1971, n'en parle pas. Mais lui, Mr Pascal Cazottes, en avait eu la remarquable révélation .

     Tout est clair, désormais Mr Pascal Cazottes était parfaitement au courant déjà, au moins dès Juin 2002, de cette affaire inconcevable de dilatation des pôles et de territoire polaire inaccessible, et nous serions très particulièrement enchanté , qu'il veuille bien, dans un autre article, expliciter plus avant, l'origine de cette la théorie des «pro», à laquelle il a fait, si bien allusion.

     Il serait d'ailleurs très instructif d'apprendre, qu'il y a aussi une certaine fluctuation de l'ouverture polaire de Titan, qui se présente tel que :

  


     Nous ne terminerons pas la transcription de ce super texte de Mr Pascal Cazottes, sans ce petit clin d'oeil, à un film montrant des actualités de 1926 :


        Comme vous le voyez, ceci confirme les déclarations fantastiques, vues plus haut et dévoilées (sans qu'il en apporte les sources) par Mr Jean Brun .

      Aux dernières nouvelles, les recherches du Webmaster d'ARTivision, l'amènent à déclarer, que cette lectrice du magazine "Amazing Stories", s'appelait Miss Dorothy E. Graffin, et vivait à New York.

      Alors, Messieurs les journalistes et consorts blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non seulement, vous aurez gagné le Super Gros Lot, mais en plus votre nom sera désormais, sous peu de temps, cité, dans les manuels d'histoire de cette planète.

          Le témoignage surprenant de Miss Dorothy E. Graffin, est en effet, présenté dans le livre de l'écrivain anglais Alec Maclellan :

  

     Cette dame de New-York, dans une missive envoyée à l'écrivain F. A Giannini (déjà cité plus haut) , prétend avoir assisté à la projection d'un film à l'époque, où il y avait, la séquence dite des actualités :

" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues.

     Mais d'après ce qui suit, cette lettre aurait plutôt été envoyée à Ray Palmer, Directeur de la Flying Saucer's Review:

     En effet voici ce que l'on peut lire sur le site :

http://aliensandufos.forumco.com/topic.asp?TOPIC_ID=730

     "Magazine editor and publisher Ray Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from one of the magazine's readers: "Dear Ray Palmer,

     There still seems to be considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E. Graffin), and I, saw this in White Plains, New York.)

     Byrd narrated this film himself and EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS, WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a 'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,
".


     Et voici notre traduction approximative :

     "Éditeur de magazine et éditeur Ray Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées par l'amiral Byrd au cours de son vol 1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là, dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du magazine:

"Cher Ray Palmer,

     Il semble toujours y avoir une controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que BYRD a pris lors de son vol , et qui a été montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E. Graffin) et moi, avons vu ce film à White Plains, New York.

     Byrd commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que Byrd décrit comme une "MONTAGNE CHARBONNEUSE", étincelante de diamants ».

Cordialement,
"

    Fin de citation
.

      Comme vous le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de Ray Palmer apparaît cette extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...

      Quant au film en question, il existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre archiviste, qui mettra la main dessus, touchera bien plus qu'un gros lot de la loterie. Avis aux amateurs...

     Mais ce 28 Avril 2018, il nous appartient de présenter ce passage clef du super article, de Monsieur Pascal Cazottes, dans le n° 21 de la revue Nexus de Juin-Juillet 2002, où il est fait justement mention des Hopis et surtout du fait plutôt oublié qu 'étymologiquement, " le mot légende signifie "ce qui doit être lu " , et non ce qui relève de l'affabulation " :


     Voyons donc par exemple, ce que l'on découvre ce jour, dans une légende grecque, (hélas que l'on ne saurait datée), et qui prouve encore qu'au pôle Nord, il a bien existé, l'accès à une civilisation fantastique,les êtres qui y figuraient, vivaient des siècles...

      Et ceci, nous amème tout naturellement à plonger dans l'Antiquité grecque, où l'on parle du Dieu Apollon.

      Voyons d'abord ce que nous dit le Petit Dictionnaire Larousse de 1988, au sujet de cet Apollon:


     Plongeons donc très succinctement, dans cette affaire dite légendaire du Dieu Apollon, et remontons alors à ce Passé lointain, pourtant, bien plus extraordinaire que les bien-pensants, ne se l'imaginent et Passé lointain, si bien explicité par un Lord anglais, qui en réalité était le 8e comte de Clancarty, écrivain bien connu dans le milieu ufologique, car en 1960, il avait déjà publié à Londres "The Sky People" chez Neville Spearman :


, puis aussi en France, bien plus tard cet ouvrage, est paru, dans la collection de poche J'ai Lu, dès 1968 sous le n° A 252 :

  

        Mais, lisez plutot ceci, qui est formé, d'extraits tirés des pages 15 et 17 du livre en question de 1960 :


        On découvre là, que le Dieu grec Apollon se déplaçait dans un char de feu tirés par des cygnes, et on peut donc là, imaginer qu'il s'agissait d'un engin ressemblant à ce que l'on appelait aux Indes un vimana, ayant une forme de cygne, ou décoré avec des dessins en forme de cygnes.

       Mais où les rationalistes endurcis , vont une fois de plus sur mordre une amère poussière, c'est lorsquu'ils apprendront, que cet Apollon, allait régulièrement se resourcer dans une sorte d' Eden, situé, à notre plus grande stupéfaction, au pôle Nord.

     Sortons alors à nouveau de nos dossiers, cette affaire de l'Hyperborée de la mythologie grecque, qui nous interpelle aussi, grandement. (Voir aussi à ce sujet notre article :


qui met alors les points sur les Is , dans cette affaire)


      En effet, nous avons sous la main, en ce moment, ce petit fascicule :



       Et, voyons tout de suite, ce qui pouvait être lu, sur les grecs dans leur glorieuse tradition

    Pour être loyal, disons déjà, que pour faire plus condensé, nous avons recomposé les colonnes de ce texte :



    Nous avons bien lu, et même bien relu, les mots soulignés en rouge, de ce texte inouï.

     Mais, nous avons aussi reçu, il y a quelque temps, de Paris, de notre ancien élève Jean-François, le document suivant, tiré de cet admirable fascicule, qu'il est bien sûr, très préférable, d'avoir aussi en mains.


      Et justement en page 39, voilà ce que l'on peut y découvrir :


    Il ne nous reste, maintenant, qu'à nous poser la question cruciale :

" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

    De plus, on apprend que le dieu "Apollon " , rencontra les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse.

    Curieux n'est-ce pas !!!...Bien sûr, les psycho-sociaux, vous diront, vite fait, que cela n'est qu'un mythe, qui est à relier à l'imagination fertile de l'humain. Point à la ligne...

   En effet, cette affaire des hyperboréens, qui ne connaîssent ni la maladie, ni la vieillesse, est aussi, explicitement présenté, dans l'ouvrage surprenant, intitulé"Bêtes Hommes et Dieux", du Dr Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924, chez Plon, et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai Lu"A 202, dans la prestigieuse collection hélas disparue, "L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :

  

     Voici quelques bribes, des pages en question :

     « Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :

     "La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...

     ...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres, les herbes et les buissons se mettent à pousser; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète"».


Fin de citation.

      Avouons, que ces propos du Dr F. Ossendowski, surclassent de très loin, ceux des meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoops journalistiques sensationnels, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...

     Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos, et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature.

      Nous connaissons aussi cet adage venant du groupe des Cassiopéens :

"La Connaissance protège, l'ignorance expose au péril "

      Plus bas, on voit aussi qu'il est bien mentionné, le vocable suivant, très décrié par les bien-pensants actuels et leurs consorts intellectuels agnostiques blasés : La loi divine...

      Les bien-pensants souvent mentionnés ci-dessus, diront vite que cet adage ne concerne que les va-t-en-guerre qui tuent des humains pour satifaire leurs égos démesurés, ou bien, les ignorants des progrès de la médecine,, science qui fait de plus en plus de progrès pour guerrir nos maladies.

jour spécial, le Webmaster d' ARTivision, sans vouloir être plus royaliste que le Roi, et après avoir relu avec minutie, ce super entreflet de France-Antilles, déjà présenté plus haut (revoir l'affaire des Prix Nobel ) :


, pense que l' affaire du vieillissement, pourra être arrêté un jour, et il nous invite aimablement à très attentivement, les pages 79 et 80 de l'ouvrage "Ultimes Paroles", de l'incomparable "Baird T.Spalding", publié par Robert Laffont, en Juillet 1985 : (voir juste au-dessus les couvertures en question)

  

        Et que celui qui sait lire, ce qui apparaït clairement entre ces lignes...et qu'il s'interroge alors, sur le moyen, d'en savoir davantage...

      Mais, ce jour, analysons aussi plus avant, la phrase ci-dessous du Grand Maitre de Findhorn tirée de sa méditation très étonnante du 31 Janvier:

"En vivant pleinement et de manière splendide
dans l'éternel présent,
tu es toujours aussi jeune que le présent."


        On voit ici que le mot présent, est répété deux fois. Il y a sans doute une raison à cela !!. Et dans sa médiation du 11 Avril, il dira même ceci, qui ne manquera pas de mettre très mal à l'aise, nos éternels détracteurs et autres intellectuels blasés .

" Sois comme un tout petit enfant, libre et joyeux,

et vis dans l'éternel présent
"


    Il est surprenant de s'apercevoir que de très nombreuses sources ésotériques, que nous ne pouvons détailler ici, nous redéfinissent, ces temps-ci, ce concept du Temps, et d'ailleurs, voici ce qu'en dit aussi le Collectif Soria en page 14, de son premier livre :

 

     " Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent Cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."

      Dur... Dur, n'est-ce pas à encaisser, Messieurs les grands sceptiques, et autres intellectuels blasés ... Mais SVP, attachez... vite, vos ceintures, car le plus étonnant, est encore à venir...

      Mais le site ARTivision, a déjà démonté, dans d('='autres articles, que cette affaire est reliée à notre concept de la notion de la longévité de notre vie sur Terre, qui est fonction de la structuration de nos pensées, et cela n'est pas enseigné dans nos universités.

      Mais lisez donc SVP, ce qui suit, en page 37 du livre Telos :

  



      Et pour ceux qui pourraient croire, qu'il y a eu uue erreur dans l'impression de zéros, concernant l'âge actuel des Lémuriens, en page 10, on trouve aussi :

      " Le peuple fut informé par ses religieux que d'ici moins de 15 00 ans, ses terres seraient complétement submergées. L'espérance de vie étaient généralement de 20 000 ans à 30 000 ans, et l'on comprit que le nombre de ceux qui avait suscité ces conflits connaîtrait une fin apocalyptique ".

      Dur... Dur, n'est-ce pas à encaisser !!! ... mais le meilleur est encore à venir..., et c'est l'amiral Byrd, qui va justement, nous y conduire...

      Mais ce 30 Avril 2018, avant d'en dire plus sur les expdidions polaires de Byrd, il serait bon de présenter ici, la méditation du Grand Maître de Findhorn, (voir alorsFindhorn.html)), concernant notre comportement psychique, vis à vis des événements qui surgissent dans notre environnement. Ces conseils judicieux on le sait, sont tirés de l'ouvrage extraordinaire intitulé "Opening Doors Within" captés autour de l'année 1986, par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007 :

:
Pourquoi, dans cette vie, ne pas être un optimiste
qui attend toujours le meilleur,
trouve toujours le meilleur, crée toujours le meilleur ?

l' optimisme conduit au pouvoir;
le pessimisme conduit à la faiblesse et à la défaite.

Laisse le pouvoir de l'Esprit briller en toi et à travers toi,
et crée autour de toi un monde de beauté, de paix et d'harmonie.
Lorsque ton regard sur la vie est optimiste ,
tu élèves toutes les âmes autour de toi,
tu leur donnes espoir, foi et croyance en la Vie.

Tu verras toujours que
ce qui se ressemble s'assemble,

et que ton optimisme

engendrera l'optimisme
et fera boule de neige.

Il y a toujours de l'espoir dans la vie,
même si ce n'est, pour commencer, qu'une minuscule étincelle vacillante.

Si elle est entourée d'espoir et d'amour dans l'ambiance correcte,
cette minuscule étincelle s'embrasera;
et elle grandira et grandira jusqu'à ce que tu brûles
du feu de l'Esprit qui est inextinguible.

Une fois allumé, rien ne pourra
l'empêcher de s'étendre.

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (en français dès 1989).
Méditation pour le 27 Avril, après adaptation d'ARTivision.

     Fin de citation.

     Les bien-pensants et consorts intellectuels blasés, nous diront vite fait, que cette méditation ne fait que reprendre le thème évoqué dans les œuvres célèbres Candide et Zadig , de notre grand écrivain assez contestataire Voltaire du 18 e siècle, à savoir :

"Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles".


     Pourquoi pas !...

     Seulement voilà, le site ARTivision, retient avant tout, dans cette affaire, cette affirmation :

Tu verras toujours que
ce qui se ressemble s'assemble,


     Il est donc bon, de rappeler ici, que le Webmaster de ce site, aime à poursuivre sa quête du Graal de la Connaissance, toujours en solitaire, et on le sait bien, il n'appartient à aucun parti politique, à aucun groupement, ne rentre dans aucun forum, aucun réseau, ( pas de Twitter ni de Facebook..etc... ) et ne pratique aucune religion...

        Ce Webmaster, on le sait, aime à fouiller dans les vieux documents, qu'il a la très grande chance, de posséder, pour y trouver la preuve que le Passé de la Terre, fut bien plus fabuleux, que ne sauraient l'imaginer, nos meilleurs mentors de la Science-Fiction... ( et par exemple nous possédons le N° 1 de début Mai 1947, de la revue Sciences et Avenir , qui se pose justement des questions très judicieuses sur l'expédition extraordinaire High Jump de 1946, de l'Amiral Byrd en Antarctique, et nous parlerons de cela, bientot).

        Mais lisez plutôt aussi ceci, qui corroborre parfaitement les paroles vues ci-dessus, du Grand Maître de Findhorn , concernant ce qu'est la Vie, et ce que devrait être, notre compétence pour mieux l' appréhender:

Q u'attends-tu de la vie?
T'attends-tu au meilleur.
ou es-tu de ceux qui ont toujours peur que le pire arrive,
que les choses tournent mal ?
Si oui, tu mérites ce qui t'arrive,
car tu attires à toi ce que tu aimes
ou ce que tu détestes et crains.
Lorsque ta conscience est négative,
tu attires à toi la négativité comme un aimant attire 1'acier,
et tu te trouveras en compagnie d'âmes qui te ressemblent,
car qui se ressemble s'assemble.
Lorsque ta conscience sera d'amour,
quand tu seras débordant des joies de la vie
et quand ton cœur sera rempli de gratitude pour tous et tout,
tu te surprendras à attirer vers toi
les âmes heureuses, et joyeuses

qui irradient I'amour et la joie où qu'elles aillent.
Ta vie sera remplie de ce que la vie peut offrir de meilleur.
Pourquoi ne pas voir le meilleur en chaque situation ?
Visualise le meilleur
qui est attiré à toi maintenant.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 26 Décembre, après adaptation d'ARTivision.


      Mais, les amis du site ARTivision, savent que c'est exactement ce que vous avons révélé, dans notre conte mystico-ésotérique, en date du 10/05/03, et placé à :


     En voici, quelques bribes significatives :

Question du candide :

     " Une question me tracasse cependant : Si DIEU reste en contact permanent avec nous, pourquoi la vie nous abandonne-t-elle à un moment donné et pourquoi doit-on mourir ? DIEU lui, on le sait, ne meurt pas, et il est éternel. Pourquoi pas nous ? "

Réponse du Maître :

" Votre question est cruciale et, de nombreux philosophes et écrivains ont examiné ce sujet, dans de multiples ouvrages.

    D'une part, même si votre corps disparaît physiquement, votre esprit est lui, éternel et il saura vous trouver un autre corps en temps voulu, ne vous inquiétez pas. Nous ne pouvons aborder ici aujourd'hui cette notion de re-structuration moléculaire et psychique dans le Temps, du corps physique.

     D'autre part, il est écrit dans l'un de vos textes sacrés : Au Commencement était "le Verbe". Mais que signifie "le Verbe"? Tout ce qui existe dans l'univers est parti de la pensée de Dieu ( La Source) , de son "le Verbe" qui est la vibration première à la base de toute chose. Vos savants ont bien montré par exemple que le son est formé d'un ensemble de vibrations que l'on peut décomposer aisément. Ils ne vont tarder à découvrir que la pensée est aussi formée d'un ensemble de systèmes vibratoires très subtils qui agit directement sur son environnement matériel et matière qui est, somme toute, une condensation énergétique donc aussi vibratoire. Autrement dit tout vibre à différents niveaux dans L'univers. Si donc vous prononcez les mots de mort, de décrépitude, de déliquescence, etc.. vous allez créer un vortex vibratoire où ces concepts seront efficients et vous participerez à son évolution. C'est exactement ce qui se passe quand vous allez habiter dans un pays étranger et vivre au cœur même de ses ressortissants (et non pour y vivre à l'écart avec votre communauté habituelle) vous ne vous apercevrez même pas que vous prenez l'accent des autochtones et c'est quelqu'un d'autre qui vous le fera remarquer. Ce qui s'est passé c'est que votre corps tout entier et surtout vos cordes vocales, sont entrés en résonance parfaite, avec niveau vibratoire du système dans lequel vous êtes plongés. (Additif du Webmaster : Et au niveau cosmique, on voit bien là que : Tout ce qui se ressemble s'assemble)

    Il en résulte que vous subissez inéluctablement et tout ce qui est vivant également (les plantes, les amimaux) les contraintes vibratoires du milieu dans lequel vous évoluez et si le concept de mort, y a été construit et admis comme infaillible, vous l'assimiler et vous mourrez. C'est aussi simple que cela. Mais rien n'est plus difficile que d'éradiquer de votre langage et de votre civilisation des concepts et des images qui ont été érigés et galvaudés depuis des lustres, surtout maintenant que les moyens de diffusion de l'information sont très multiples. Vous pensez bien que ce n'est pas demain la veille, que vos radios, télés, journaux, etc.. supprimeront de leurs expressions verbales et iconographiques les notions de mort, de décrépitude de violence et d'agressivité tant physique que morale ...etc...

         De même tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut fuir toute information vous apportant des images montrant la Peur, la Haine, les crimes, les massacres, etc ..( Ce que hélas nos médias actuels s'évertuent à diffuser largement), en somme tout ce qui est négatif, vis à vis de l'Esprit d'Amour, vous pataugerez dans la violence jusqu'au cou et ce sera vous-mêmes, qui en serez responsables, en créant ce qu'on appelle un égrégore vibratoire de basse énergie ( Note du webmaster : certains l'appellent le Diable), qui vous réclamera toujours plus de sang.


        La Source vous a donné votre libre arbitre, ELLE ne saurait vous l'enlever, en vous promettant une punition quelconque. Votre seule punition, est celle que vous avez vous-même choisie. Mais rassurez-vous, vous avez encore le moyen d'agir sur cette situation ( Et il faut faire cependant très vite car le temps presse) en refusant d'accepter de regarder des films noirs et d'épouvante, de lire des romans funestes où règnent violence, crimes et exactions de toute nature, d'écouter de la musique qui déprime déjà les plantes, etc... (Utiliser un vérographe moderne ultra-sensible pour cela), alors et alors seulement, il vous sera peut-être possible de retrouver assez tôt, Paix et Sérénité , au sein d'un Âge d'Or retrouvé... "


    Reprenons aussi cependant, pour compléter ce qui précède, les paroles d'un autre très Grand Maître, exprimées dans l'ouvrage : "Nouvelles Révélations" de Neale Donald Walsch, publié aux Editions Ariane au premier trimestre 2003.

     Début de citation :

     - Les pensées enracinées dans la Peur produisent une énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.

     - Les pensées enracinées dans l'Amour, produisent une énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit...


     - Le secret de la Vie n'est pas d'avoir tout ce que la société actuelle par sa nature, nous porte à désirer, mais plutôt de désirer tout ce que l'on a en Soi et dont on ignore souvent la nature.


          Par exemple, si vous arrivez à projeter votre corps astral (celui qui, dans votre sommeil pendant que vous rêvez , voyage hors de votre corps physique) vous n'aurez plus besoin d'un poste de télévision pour aller visiter n'importe quel lieu sur cette Terre, mais aussi, et cela est plus merveilleux, n'importe quel lieu en dehors de la Terre.."

À bon entendeur, salut !...

       Mais terminons notre propos de ce 30/04/2018, par l'épilogue extraordinaire du petit livret de 1985, de 146 pages, n° ISBN 2-651157-918-8, suivant :

 

       En pages 120 et 121, on trouve alors :


       Et pour les puristes, qui aiment comme nous, à fréquenter les vide-greniers ou les brocantes, pour y trouver des livres rares, voici les couvertures de l'ouvrage clef, cité dans la note, en bas de page :

  

       Mais, voilà que nous arrivons, au 1er Mai 2018, et chacun le sait, date clef mondiale, et nous allons alors poursuivre ici, les étonnantes déclarations de l'amiral Byrd des USA, ainsi que celles tout à fait fantastiques du Grand Maître de Findhorn.

     Mais ce jour férié, il nous appartient de présenter d'autres textes, ayant trait à cette affaire incroyable de dilatation des pôles, évoquée ci-dessus par Monsieur Pascal Cazottes dans le n° 21 de Nexus.

     Pour ARTivision toutes ces affaires de dilatation polaire évoquées plus haut et cette histoire du Huitième continent découvert par Byrd, seraient sujettes à caution, si dès le Vendredi 13 Février 2004, nous n'avions pas reçu de notre ami du Canada Jean R....., l'incroyable photo de gauche suivante (Que nous avons complétée à droite) :

  


      Cette photo surprenante, qui prétend montrer de l'ouverture polaire Nord , aurait été parait-il, captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région.

      L'image de gauche a été bien sûr, étudiée en long et en large par un très aimable infographiste très qualifié,( qui a fait cette étude gratuitement), et qui en a déduit que ses caractéristiques étaient déjà pour l'époque exceptionnelles.

      Voici donc ici, une partie, de la conclusion de cet aimable infographiste.

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines, peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes . De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

     Fin de citation.

      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

      Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, (Certains n'ont pas hésité pour noyer le poisson gênant, sans aucune preuve, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo ). Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particilier le 21/04/04 à l'article:


     Cette photo se retrouve aussi , sans explication aucune, dans les trois opuscules suivants :

   

     Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23):

     Pour avoir eu l'audace de publier cette photo, ces opuscules ont dû, très certainement, tirer partie de l'analyse précédente de notre infographiste, mais, ils évitent soigneusement de le dire, et surtout de parler d' ARTivision. A vous de juger.

     Cette photo, apparaît aussi sous la forme camouflée par la mention "The Hollow Earth" :


, et en plus, elle était en fond de page, du site

http://www.2012unlimited.net/hollow.html

     Mais découvrons, alors les couvertures des ouvrages incontournables, de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru d'une part à gauche, chez ALbin Michel en 1971, et d'autre part, à droite, aux Editions Hades en 2017 :

  

     A gauche à la page 64, et à droite à la page 65, on trouve alors ce graphe, déjà vu plus haut :


Ø      On voit donc, que le diamètre de l'ouverture, est supposé être de 2300 km, ce qui fait, plus de deux fois la distance Nord-Sud de la France.

      Nous avons alors fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre, qui est d'environ 12713 km, et que sur la photo testée, l'arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm, un calcul élémentaire, nous donne 1494 km, pour l'ouverture et nous arrondissons alors à 1500 km,, ce qui est tout de même bien plus court, que les 2300 km, du schéma de la page 64, citée plus haut :

     Voyons maintenant, un autre son de cloche, tiré du site :

http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm

où l'on trouve, ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ), à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km, présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace jusqu'à demander personnellement, à l'entité transcendante Soria, (par l'intermédiaire de son channel Régine-Françoise FAUZE), quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires, que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expension. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

       Mais, nous l'avons déjà vu plus haut celà est aussi expliqué" clairement en Mars 2002 dans l'ouvrage intitulé "Voyage" Tome 3, aux Editions ARIANE en Mars 2002 ISBN 2-920987-58-5 du même Collectif Soria, et explication, que nous retranscrivons ici, étant donnée son importance/

     

     "...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes ".


     A vous de juger, une fois de plus, tout cela !


    Mais tout cela est encore confirmé par une incroyable missive que nous avons reçue le 11/06/08 , de notre ami Rodolphe D.... :

----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008 10:04 AM

          Bonjour Cher Fred,

     Je t'ai envoyé un mail le Lun. 09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas dû le recevoir, alors je réitère mon envoi.

     Voici un article qui risque de t'intéresser au plus haut point :

     Tiré du site Futura Science , ce jour. Voici donc de quoi il retourne et voir les photos à :


http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/geologie-1/d/des-violents-seismes-en-antarctique-deux-fois-par-jour_15782/


Des violents séismes en Antarctique... deux fois par jour

Énorme surprise des glaciologues :

     Avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
     A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
     Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.
     Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.
     Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment régulièrs et violents.
     Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière.
     Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.
     Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ?
     Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.

Saccades géantes…

     Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.
     Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ?
     Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
     Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace.
     Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
     C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.
     Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan.
     La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.


     Que voilà une nouvelle qui me ravit, en effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !

     Pourquoi ?

     Parce que, ces tremblements géants, tous les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20 minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur !

     En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci-dessus, la famause image clef avec les 12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui varie avec le temps).

     Et là, on nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se déroule aux deux poles !

     Tout cela confirme donc très bien, cette histoire de Terre creuse qui fait tant rire les sceptiques.

     Peut-être commençeront-ils à changer de couleur à la lecture ce cet article ! ........

nbsp;    Hors les tremblements aux pôles, ne sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de la terre soit 4.5 miliards d’années !

     Ces tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles, toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées de par le monde, cela n’est il pas étrange !

     On le voit bien une nouvelle fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.

     Mais le fait est, que cela est tout à fait possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois !

     Donc les railleurs de tout bord, doivent revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.

     Très amicalement

     Rodolphe.


     Fin de citation de la missive de Rodolphe.

     Merci donc mille fois à l'ami Rodolphe pour sa si aimable participation aux recherches d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient pas eu un écho retentissant, dans les médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi..!!

      Mais ce jour ferrié, reprenons le début de cet incontournable et stupéfiant article de l'amiral Byrd dans le Sélection du Reader's Digest de Janvier 1956 :


      Dans cet article, nous l'avons déjàvu plus haut, Byrd, nous parle de l'expédition célèbre "High Jump", 1947-1948 .

      Ce que l'amiral Byrd, ne dit pas ici, c'est que cette expédition avait un caractère militaire, et de nombreux internautes vont se demander, à juste titre, quelle en était la raison exacte ?

      Les éternels détracteurs et consorts intellectuels blasés, vont diront tout de suite, que c'était pour tester le matériel et le comportement des hommes, à des températures avoisinant les - 50 ° C . Point Barre...

       Allons donc plus loin, dans cette scabreuse affaire :

     En effet, c'est le 17 Aoôt 2014, que le Webmaster, du site ARTivision, a eu l'heureuse opportunité de tomber sur un entrefilet d'un journal canadien, placé sur Google à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=gYAb_yFic6IC&dat=19461113&printsec=frontpage&hl=fr

:

     Cet entrefilet venant de l'Agence bien connue, "Associated Press", concerne on le voit, une prochaine expédition dirigée par l'explorateur nord américain Richard E. Byrd, dont les exploits furent souvent évoqués, dans nos articles .

    Traduisons avec l'aide de notre amie Nicole, le texte en question :

     La Marine Américaine s'efforce de calmer les appréhensions des Soviétiques, concernant ses manœuvres en Antarctique.

     Les USA, se rendant compte de l'inquiétude des Russes concernant leurs manœuvres militaires dans l'Arctique, ont donc choisi l'autre Pôle (Note du Webmaster n°1 : donc l'Antarctique) aux conditions climatiques similaires pour effectuer des entraînements pour les navires et tester les armements dans des conditions d'extrême rigueur.

     Une déclaration donnant des détails sur la prochaine expédition en Antarctique, la définit comme étant "de nature essentiellement militaire" pour "preparer la Marine à affronter des conditions de froid extrême en vue d'opérations futures ". (Note du Webmaster n°2 : donc l'Antarctique : Ceci est déjà très bizarre. Pourquoi faut-il, maintenant, une opération militaire de la Navy en zone glaciale, alors que la guerre est terminée avec l'Allemagne et le Japon. Les soviétiques pourraient alors se dire à juste titre : "Ces américains ont-ils l'intention de s'entraîner au froid sibérien, pour nous y attaquer par la suite ?" )

     Le choix de la région du Pôle Sud pour entrainer le personnel de la Marine et tester les navires, avions et tous les matériels de guerre moderne a été dicté, entre autres choses :

1. Pour dissiper les craintes des Russes concernant des opérations proches de leur territoire

Pour assurer la confidentiallité


2. Pour garder secret, ce genre d'operation par le choix d'un lieu tres éloigné du reste du monde, dans la mesure du possible (Note du Webmaster n°3 : Pourquoi faut-il établir un secret sur le test de résistance au froid d'un matériel tout à fait classique. Test qui est d'ailleurs déjà élaboré dans les laboratoires et les bureaux d'etudes qui lancent le matériel en question. Ce secret sous-jacent réclamé, cache certainement une chose très spéciale ! )

     Toutefois, sous la direction technique de l'explorateur polaire confirmé Rear Admiral Richard E. Byrd , on ne peut pas dire que l'expédition, n'aura pas de témoins. L'Amiral Byrd a déclaré dans une conférence de presse que "les Russes avaient annoncé qu'ils allaient entreprendre une expédition polaire, mais nous n'avons pas beaucoup de détails à ce propos " (note du Webmaster n°4 : Autrement dit, on fait tout pour menager les susceptibiltés des Soviètiques, mais eux ne dévoilent pas un yota de leur manigance polaire. Voilà quelque chose qui nous plonge dans une grande perplexité. ).

    De plus, il reste peut-être encore des membres d'une expedition britannique, qui était sur les lieux, il y a 2 ans. Toutefois la base britannique se trouve a 1.500 miles du QG probable pour cette expedition navale - à l'endroit où se trouvait l'expédition Byrd en 1939-41 dans la Mer de Ross face à la Nouvelle Zelande.

Pas de revendication territoriale

     Les officiels ont été tres prudents en répondant aux questions touchant à une revendication territoriale officielle. Le Vice-Amiral Forrest Sherman, délégué en Chef des opérations navales a déclaré : "l'objectif premier est d'entraîner les unités navales, et tout conflit concernant des attributions de territoire ne serait qu'accidentel"

     Byrd déclara : " Cette nation ne revendique aucun territoire dans cette zone et ne l'a jamais fait jusqu'alors ".(Note du Webmaster n°5 : Cette déclaration nous surprend grandement, et à la fin de la traduction de cet entrefilet, nous produirons un texte qui prouve le contraire, quant aux revendications territoriales des USA sur l'Antarctique.)

    La question de savoir s'il s'agit de prospecter pour des matières premieres pour l'energie atomique - et des bombes - a été quelque peu soulevée pendant la conférence de presse.

Ce n'est pas une course à l'Uranium


     Byrd a déclare : "que ce n'est en aucun cas une course à l'Uranium " , mais l'Amiral a ajoutè "nous ferons des recherches de mineraux, et il s'avère que l'uranium en fait partie ".

     L'expédition comprendra 4000 personnes dont 300 scientifiques (intéressés par la science pure), y compris 23 scientifiques civils. . Les officiels de la Marine ont déclaré qu'il y aurait aucun savant nucleaire parmi eux.


     Quittons alors un peu alors, le Canada , pour voir un autre son de cloche donné par le remarquable " The Leader-Post", également en date du 13 Novembre 1946 :


     Une traduction rapide, nous dit pour le titre :

    Les Forces Armées des Etats-Unis annoncent leur intention de participer à l'Expédition polaire de Byrd.

     Comme vous le voyez ici, ce titre ne tient pas compte de l'humeur de soviètiques, mais on retrouve dans le texte la même phrase : " The United States awware of Russian's uneasiness over military manoeuvres in the Arctic has picked the other end of the earth for a frigid zone test of naval ships and weapons. " (Voir la traduction plus haut).

     Laissons ensuite aux spécialistes de la langue de shakespeare, le soin d'obtenir une meilleure traduction de ce texte qui ressemble assez au précédent . Rappelons cependant que c'est ce journal "The Leader-Post", qui, le 31 Janvier 1947, a publié justement un article tout à fait incroyable , concernant justement l'exploration du Pôle Sud, dont il est question dans les entrefilets précédents . A tire indicatif, nous vous replaçons ici cet incroyable document (déja présenté plus haut) :


      Le titre surprend déjà : Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir (contrairement à ce que prétendait (voir plus haut) le sieur Serge Jodra, dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997. ), dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini, n'est-ce pas ? Nous en dirons plus plus bas...

      Mais, chacun le sait désormais, nous sommes donc bien arrivés, à ce que certains appellent "la Fin des Temps messianiques", et que le Grand Maître de Findhorn appelle, le Nouvel Âge, comme il nous le dit si bien, ce 1er Mai :

     De grosses portes tournent sur de petits gonds.
Des événements extraordinaires partent de tout petits commencements.

La Source autrement dit le Très Haut te le dis,
ce qui a commencé à Findhorn d'une manière si modeste
grandira et se développera en un mouvement universel, planétaire;
une révélation deviendra une révolution.

Les chemins du Très Haut sont très étranges et merveilleux;
ce ne sont pas les vôtres.

Marche dans son chemin avec une foi et une confiance absolues,
et vois se deployer ses merveilles et sa gloire.

Le printemps du Nouvel Âge est là,
il éclate en une parfaite harmonie, beauté et abondance,
et rien ne peut l'empêcher.

Il y a un bon moment et une bonne saison pour tout, ,
et c'est maintenant le bon moment

et la bonne saison pour la naissance du Nouvel Âge.

Alors ne t'attarde pas sur le Passé, laisse tout ça derrière toi ;
et vois ce que le Très Haut a pour toi en ce magnifique jour nouveau.
Vois se réaliser toutes Ses merveilleuses promesses,
et rends grâce éternellement pour tout.

Maintiens toujours devant toi
la vision du nouveau Ciel et de la nouvelle Terre.


La petite voix: Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 1er Mai , après adaptation d'ARTivision.

        Et il nous faut rappeler  ici qu'Eileen Caddy, (décédée en Mars 2007), était la cheville ouvrière, de ce que l'on a appelé par la suite, les jardins de Findhorn. Pour en savoir plus, prière de consulter nos articles :
http://www.artivision.fr/Findhorn1.html
http://www.artivision.fr/Findhorn2.html 

        Mais; ce 04 Avril 2018, nous allons dans un un treizième focus ahurissant, démontrer que l'amiral Byrd a bien effectué, un voyage secret au Pôle Nord en 1929, puis en 1947 :

Treizième focus :ARTivision, présente une fois encore, la déclaration hors norme du Lord Anglais Brinsley le Poer Trench, certifiant que l'amiral Byrd a bien effectué, une expédition aux deux pôles en 1947.

        De nombreux sites de l' Internet, font état des vols aériens de Byrd aux deux poles, et l'on oublit souvent d'écrire que toutes ces informations ahurrissantes, sont d'abord tirées de l'ouvrage très surprenant ( déjà présenté plus haut), d'Amadeo Giannini, publié en 1959, et intitulé : "Mondes au-delà des pôles", et ouvrage, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :

  

     Mais qui était donc ce Giannini si souvent mentionné (sans aucune preuve appuyant ses dires), par les médias avides de scoops hors normes.

     Et voici en pages 13 et 14, le texte de Giannini, en question repris par de très nombreux écrivains :


     Et au chapitre 1, page 17, Giannini précise encore mieux, tout cela :


     Et notre modeste traduction du seul début du premier texte donne :

Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".Vice-amiral Richard E. Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Et, comme vous le voyez aussi, à notre plus grand regret, il n'est nullement mentionné, où l'on peut trouver cette surprenante déclaration de Byrd.

     De plus, on voit que, Giannini ne connaît pas du tout, la date exacte de cette expédition de 1947 au Pôle Nord . Reste à démontrer, qu'elle a bien eu lieu...et le site ARTivision va s'y atteler désormais

     Hélas, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947.. Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-Secrète. C'est pour cela qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis , une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd.

     Mais certains détracteurs, diront que Gianinni pourrait alors inventer tout cela !!.

      Au contraire, nous ne croyons pas du tout que Giannini, ait pu inventer une telle histoire. Il avait très probablement des amis militaires, qui lui ont refilé en douce, ces infos fantastiques en lui spécifiant expressément de ne pas en révéler la source militaire, et nous avons vu plus haut, que c'est dans son ouvrage qu'il parle aussi de Sir George Hubert Wilkins, en ces termes déjà traduits :



      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova qui fut en réalité Constantin DUMBRAVA.

     Mais, concernant le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, en plus de l'entrefilet vu plus haut, du SARASOTA HERALD ,Super Hasard, allait de nouveau nous faire marquer un grand coup, car voici un texte surprenant, qui a en plus, l'mage de la photo de Sir George Hubert Wilkins, et cela, sur un article du "Berkeley Daily Gazette", en date du 18 Novembre 1930, page 10, qui nous est tombé sous la main le 09/06/2013 au soir, dont voici l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=PPAp3RzCAaIC&dat=19301118&printsec=frontpage&hl=fr



     On retrouve alors, dans cet entrefilet, une phrase ambigüe (comme dans l'affaire vue plus haut, du Miami Daily News du 25 Juin 1926), sans l' article clef "a" devant "new land" . On a alors "...and he was the first to discover new land, from an airplane". Ce manque d'article est très génant, (et il va plus bas apparaître de nouveau). Cependant, compte-tenu du contexte, nous sommes amenés à traduire cette phrase par : "Et il fut le premier à découvrir une terre nouvelle, à partir d'un avion ", en imposant "l'article", qui cause un problème et en invitant les spécialistes de l'anglais, à nous donner leur précieux avis.

     Ce lapsus d'écriture, vient, selon nous, directement des reporters de l'Agence de Presse en question, (Agence hélas, non mentionnée ici ).

     Mais, en plus, on y apprend que Wilkins fut " ..the first man to attempt to go under the ice of the North Pole in a submarine..." " le premier homme à tenter de pénétrer sous le Pôle Nord, à l'aide d'un sous-marin". Pour en savoir plus, sur les péripéties dramatiques de cette affaire, prière de consulter notre article :

http://www.artivision.fr/Thalasso.html

     Reste à savoir, comment il peut exister une terre nouvelle dans cette zone terrestre glacée et lugubre de l'Antarctique, couverte de neige à profusion, et où la température on le sait, tourne régulièrement autour de -50 °, ou même moins.

     Précisons cependant, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie fantasmagorique de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.

     Giannini, n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.

      En essayant de décortiquer cet ouvrage très ardu à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seule seconde qu' Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas sur la rigueur morale.

      Mais, il s'avère cependant que les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites (nous dit Giannini) de l'amiral Byrd et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique.

    Donc, comme on l'a vu clairement plus haut, on sait que, dès le 25 Juin 1926, Byrd, avait déjà mis le pied dans le plat, dans une zone inconnue de la région polaire Nord, et donc il n'est pas impossible qu'il ait eu envie de retourner dans la région pour voir à nouveau, cette terre mystérieuse au-delà du Pôle Nord, et il est même étonnant, qu'il ne l'ait pas fait plus tôt ( avant l'expédition de 1947 en question, où l'on a pas encore trouvé, un seul journal qui en parle)

Mais notons cependant qu'en 1990, est apparu venant d'Australie, un texte en mauvais anglais, où Byrd transcrit une sorte de journal de Bord très suspect, d'un voyage plus que fantastique et qui aurait bien eu lieu, le 19 Février 1947, au Pôle Nord (Voir notre article sorti, dès le 21/12/2000, à : incroyjournalByrd.html )

       Mais, il se trouve que nous avons la preuve que Byrd, a bien concrétisé notre supposition ci-dessus : et il est même étonnant, qu'il ne l'ait pas fait plus tôt...

      Voici en effet, l'ouvrage de 1974 du Lord anglais Brisley le Poer Trench :

  

      C'est le 20 /03/2015, que nous avons eu le privilège de recevoir, cet ouvrage incontournable pour tout chercheur féru de la "théorie de la Terre creuse". Mais pour le Webmaster du site, ARTivision, il n'est plus question, d'une théorie, mais d'un fait  clair et net , que démontrent, nous l'avons déjà dit, près d'une centaine d'articles, axés sur des documents flagrants et tangibles.

      Et, voici pour les puristes, un petit plus, tiré du site :


     où l'on découvre alors :


    Vous avez bien noté, nous l'espérons que ce Monsieur Le Poer Trench était un Lord anglais, qui ne se serait pas permis d'avancer des déclarations tonitruantes, s'il n'en avait pas sérieusement vérifié les sources. D'ailleurs, on nous dit aussi, qu'il avait pris contact avec le pilote de la Royal Air Force Desmond Leslie, qui a écrit, on le sait,, un livre surprenant avec le nommé, George Adamski, si décrié par des ignares de journalistes et autres consorts éditorialistes.

     C'est donc, dans l'ouvrage cité ci-dessus de ce Lord, que nous avons découvert en pages 96 et 97, ceci :


     Et notre modeste traduction donne :

" Présentons le numéro n° 2, concernant Byrd .

     Palmer vit à Amherst, Wisconsin, États-Unis. Il a écrit que Nelsonville se situait à environ 3 miles (4,8 Km de chez lui, et là se situait maison de Lloyd K. Grenlie. Ce monsieur a vécu plus récemment à Green Bay, et il travaillait à l'Agence Fédérale de l'Aviation, avant sa mort, le 7 Juin 1970, Cependant, les membres de famille de Grenlie, était les voisins de Palmer. Selon Palmer, ce est important de savoir, c'est que Lloyd K.Grenlie était le l'homme- radio de l'expédition de l'amiral Byrd au pôle Nord en 1926, et il le fut aussi aux deux pôles en 1929.

     " On a catégoriquement nié que Byrd ait été aux deux pôles en 1929. Cette année-là un film d' actualités a pu être vu dans les salles de cinema d'Amérique, qui décrivaient les deux vols, et on y voyait des photographies d'époque de la " terre au-delà du Pôle (nord) avec ses montagnes, arbres , rivières, et un grand animal identifiés comme un mammouth"

      Aujourd'hui, ce film d'actualités n' existe apparemment pas, bien que des centaines de mes lecteurs se souviennent, comme moi, de ce court film. Ainsi, j'ai mon avis personnel au sujet ce court-métrage et aussi l'avis de l'homme radio qui alla avec Byrd dans cette terre au-delà du pôle, et qui a vu les enregistrements de ce film, concernant cette terre inconnue, inexplorée, dont actuellement on nie l'existence"(4 : Raymond A. PALMER reply to a reader 's letter Flying saucers Septembre 1970 )


     Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs du magazine se rappelaient avoir vu les actualités. "


     Alors Messieurs les journalistes, éditorialistes et consorts écrivains intrépides, si vous retrouvez des lettres écrites, de ce Lloyd K. Grenlie, quelque part, et qu'il y mentionne cela, vous aurez assurément touché le Gros Lot. A bon entendeur salut...

       Disons de plus, une fois encore, qu'il n'est pas besoin d'être un agrégé en philosophie, pour savoir que chacun situe son appréhension des choses et ses priorités, en fonction de ses préocupations immédiates. Mais il arrive souvent que quelques temps plus tard, (Il a fallu des siècles pour comprendre cette affaire des Elohim des textes bibliques), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que des futilités, qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution.

     Par ailleurs, qui se souvient (historiens mis à part) du nom des fameux correspondants de guerre (comme on les appelait pompeusement à l'époque ), et de leurs articles plutôt ciblés, concernant les théatres de conflits, de l'Indochine, du Vietnam, de l'Algérie..etc... Ils avaient aussi pris des risques notoires, pour nous informer sur le vif, des faits conflictuels de l'époque.

      L'ingratitude du Temps est passée par , n'est-ce pas ? Et vous auriez bien raison de le dire.


      Cela signifie inversement que tous ceux qui ont traité les propos de Byrd, comme étant, une succession de banalités, s'en mordront les doigts jusqu'à l'os, quand la Vérité, éclatera au grand jour...

       Mais ce 07 Mai 2018, revenons à l'expédition High Jump, qui d'après ce que nous dit plus haut le Edmonton Journal du 13 Nov 1946 , allait être une expédition de nature militaire :


et notre traduction était alors : Une déclaration donnant des détails sur la prochaine expédition en Antarctique, la définit comme étant "de nature essentiellement militaire" , pour "préparer la Marine à affronter des conditions de froid extrême en vue d'opérations futures ".

      Hum...Hum, des millitaires pour aller tester les conditions climatiques rigoureuses en Antarctique, alors qu'un petit contigent formé de scientifiques bien équipés d'appareils de mesure et de vêtements bien molletonnés, aurait bien suffi.... On nous prend donc ici, ainsi que les soviètiques en question de l'époque, pour des débiles mentaux !!

       Mais lisons plutôt, ce que nous apprenait, dès Juillet 2001 , notre grand ami Jean Anne ( qui hélas a quitté ce monde le 17/01/03.) et qui fut à une certaine époque, inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962, faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. En effet, cet ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe , pendant ces moments tragiques, a su inspirer confiance aux commandants allemands, de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences. Dans son article : euxnousail.html, il nous en dit un peu plus, sur l'éxpédition High Jump :

Début de citation ;

      " ...Dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND» embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit.  L'image suivante pourrait symboliser tout cela:

    Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des "équipages constitués de nombreux techniciens spécialisés", fuyant l’occupation alliée en Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946, sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée "High Jump" se composant, en plus du navire amiral "Mount Olympus" de deux brise-glace le "Burton Island" et le "North Wind", les transports de troupes "Pine Island" et "Curritruck", les destroyers "Brownson" et "Henderson", le porte-avions "Philippine Sea" et quatre autres navires, « Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et le « Merrick », 4000 marines et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais...

    Le 5 Mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le « Mercurio», ( Note du Webmaster ; Voici cet incroyable document :


dont nous reparlerons plus tard )


, une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: «C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre »

        Il laissa aussi comprendre : «Qu’il y avait "là bas" une civilisation avancée qui se servait, d’une technologie supérieure »

        Rappelons-nous que ces événements se sont passés en 1947.. "

            Fin de citation.


     Pour compléter ce tableau, nous pouvons jeter un coup d'œil sur le site remarquable :


qui en plus de détails très pointus sur l'histoire des "Secrets du Troisième Reich", présente aussi la liste de plus de 50 sous-marins allemands U-boats, qui ont disparu d'une manière inexplicable à cette époque. Voir donc l'appendix I, du volet "The antartic Enigma" du Live IV et aussi dans l'appendix II, la liste des 7 sous-marins, dont on est sûr qu'ils ont été coulés....

        Alors, Messieurs les détracteurs zététiques irréductibles et consorts intellectuels blasés, êtes-vous toujours d'accord avec le chroniqueur Serge Jodra, qui on l'a vu plus haut, dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace, de Juillet 1997, a écrit, à la volée, en mettant volontairement entre guillemets, l'expression "mystère polaire":


signifiant ainsi, qu'il n'y a aux pôles de la Terre qu'un fantasme, pour faire rêver les gogos.

    D'ailleurs, cet échec de l'expédition de Byrd de 1947, n'a pas manqué d'interpeller certains journalistes de l'époque, et en particulier ceux de la revue Sciences et Avenir, qui a dans les colonnes de son "n° 1", de début Mai 1947, (que nous avons la très grande chance d'avoir sous la main), nous offre, la preuve qu'il se passait en 1947, des choses bizarres en Antarctique.

      Voici donc d'abord, une partie de la couverture, de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm, ce qui dépasse de loin, les capacités de notre scanner:



     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:





     Vous avez bien noté nous l'espérons, que devant l'incroyable armada mise en route par l'expédition de Byrd, la revue Sciences et Avenir de l'époque, se pose effectivement la question de savoir si cette expédition " n'avait pas d'autres visées non avouées " . (À vous de juger sur pièces)

       Donc, depuis Mai 1947, selon nous bien sûr, les journalistes de Sciences et Avenir, avaient déjà en puissance, tout le loisir d'approfondir dans leur propre revue, les phénomènes insolites qui se passaient aux pôles de notre planète, pour en tirer, comme ARTivision, les extraordinaires conséquences qui s'imposent.

     A bon entendeur Salut... et que celui, qui a de bons yeux, pour pouvoir lire tout ce qui précède, en tire l'illumination logique, qui s'impose, et surtout, le désir latent, d'en savoir plus.



      Mais ce 09 Mai 2018 , avant de commenter le fameux document espagnol du 5 Mars 1947, élaboré, avec la complicité de Byrd, parle journaliste très côté Lee Van Atta, voyons d'abord dans un quatorzième focus l'article publié par ce même journaliste, dans le journal the Deseret News paru 2 jours plus tôt.

Quatorzième focus :ARTivision, présente deux preuves absolues et irrécusables, que le Vice Amiral Byrd a livré une bataille terrible en Antarctique, lors de son incroyable expédition High Jump de 1947.

Quand Byrd parle en 1947, d'une éventuelle attaque marginale, au travers des Pôles .


      Le 12/10/2010, nous avons eu le plaisir de recevoir de notre ami canadien Sébastien C.... du Canada, infatigable patrouilleur du Web, cette très importante missive suivante.

----- Original Message -----
From: Sebas C...
To: fred Idylle
Sent: Tuesday, October 12, 2010 6:56 PM
Subject: Re: Affaire Byrd

          Bonjour Fred
     Voici un autre lien très intéressant à propos d'un article sur Byrd et les risques de sécurité pour les USA en raison de l'expédition de 1947.

      En passant comme vous pouvez le voir, le sujet me passionne.

      Bonne soirée.

      Avec nos faibles moyens, nous avons regroupé, les éléments en question, du Deseret News de Salt Lake City, et on obtient alors ceci :


     Disons déjà que le terme Deseret d'après Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat_du_Deseret , provient de l'État du Deseret, qui était un état provisoire des États-Unis proposé en 1849 par les pionniers mormons, qui venaient d'être à l'époque installés à Salt Lake City. Cet état provisoire a existé de facto pendant deux ans, mais n'a jamais été reconnu par le gouvernement des États-Unis. Le nom dérive du terme "abeille à miel", mentionné dans le Livre des Mormons.

     Analysons donc, quelque peu, certains éléments de cet article après une modeste traduction :

Avertissement de Byrd au sujet d'attaques concernant les USA, par l'entremise des Pôles.

     L'interview exclusive suivante a été donnée par le Vice Amiral Byrd au correspondant de l'International News Service et du Deseret News , Lee Van ALLA, qui accompagnait l'intrépide explorateur dans sa quatrième et plus grande expédition dans l'Antarctique.

___________________

By Lee Van ALLA,

     A bord de l'USS Mt OLYMPUS de retour au Pays-(INS)

     Un immédiat et opportun effet concernant la sécurité américaine a été évoqué par le Vice Amiral Byrd aujourd'hui comme la plus importante issue de son historique programme de développement antarctique au Pôle Sud.

     Dans une exclusive interview à l'International News Service résumant les résultats de la plus grande expédition de la sorte de l'histoire, l'exotique leader de 4 expéditions de grande envergure dans la zone polaire inconnue révéla :

" La leçon que nous devons tirer du grand but de la mission d'exploration de l'Antarctique nous venons de terminer est le taux presque terrifiant de la vitesse à laquelle notre monde opère son rétrécissement.

     
L'isolation devient désormais impossible.

     Je formule verbalement un avertissement ferme à mes compatriotes américains quand je dis que nous ne pouvons plus nous vautrer dans des cocons et croire que l'éloignement soit la garantie de notre sauvegarde; que les océans et les pôles seront un no man's land, assurant toujours notre protection.
     Je crois que la pénétration et l'occupation par cette force d'expédition de la dernière grande frontière inexplorée, prouve de façon concluante que la distance qui nous en sépare, non seulement n'est plus le gage de sécurité que l'on suppose, mais que des géographiques no man's lands même ne puissent plus exister dans le monde.

     Une poignée d'anciens vétérans des régions polaires amenèrent près de 4 mille jeunes américains dans le froid et l'inconnu de l'Antarctique afin que ces nouveaux arrivants complètent l'exploration et les strictes exigences des climats sous zéro.

     
D'autres peuvent le faire..

     Aujourd'hui, tous, à part les trois hommes qui ont péri dans un accident d'avion, sont de retour au pays, chevronnés et formés sur la façon de fonctionner et de survivre dans l'Antarctique.

     Si nous l'avons fait d'autres aussi le peuvent et le voudront."


           l'Amiral Byrd a été franc et réaliste dans l'image de la situation mondiale qui s'est déroulée à lui dans sa nouvelle conquête du pôle Sud.

     Il a dit ceci :


"Ce ne sont pas des mots suscitant la peur, mais c'est une réalité amère que de constater que ce conflit, s'il devait à nouveau de se manifester, attachera vivement notre nation au-dessus d'un ou des deux pôles
.

     

      Images contrastées.

      Nous devons être attentifs et vigilants le long des frontières de glace qui sont les dernières frontières naturelles de défense contre une invasion humaine.

     Je peux réaliser peut-être mieux que tout autre homme ce que la machination à assaut du pole préfigure. Car dans l'action, j'ai pu faire des comparaisons surprenantes.

     Il y a vingt ans j'ai apporté deux navires et moins de 150 hommes ainsi que deux avions dans l'Antarctique lors de ma première expédition au pôle.

     Puis ce fut à la fois une grande et dangereuse aventure; une expérience rare.

     Et ici, après deux décennies plus tard, à tous égards, cette expédition fut d'une puissance de quinze fois plus grande, qui s'engouffra dans l'Antarctique et a terminé sa tâche en moins deux mois et qui s'en est allée à nouveau avec un plus grand record de la découverte géographique que nous étions en mesure d'atteindre au cours de deux périodes anuelles de refroidissement au pôle. .

     Et les hommes ont accepté de le faire, juste ainsi qu'une necessité routinière .

     Cette comparaison est évidente: Puisque la vitesse et les progrès semblent illimités, nous devons accélérer notre réflexion, notre planification, notre action et nos propres points de vue. Nous devons le faire maintenant car nous sommes à un carrefour important à la fois dans la science militaire et la survie planétaire.

     
Description de réalisations..


     
"Tout retard pourrait s'avérer désastreux."


     L'amiral Byrd examiné en détail les données géographiques de sa mission : Il a dit :

     "J'ai bien sûr, plaisir à noter les réalisations en cette expédition. Je crois que nous avons établi un nouveau record dans la prompte découverte.

     Nous avons prouvé que les machines en grand nombre peuvent surmonter la résistanse des obstacles naturels les plus redoutables et que les hommes en grand nombre peuvent être conditionnés à fonctionner avec une productivité remarquable dans les pires climats imaginables.

     La nature n'est pas toujours un ennemi facile à surmonter, comme nous avons appris jours après jour dans la terrible bataille du pack glacé de la mer de Ross, qui a précédé notre arrivée à Little America.

     
Les innovations utilisées.

      Jamais dans l'histoire des navires non protégés, n'ont rencontré et remporté un si écrasant enjeu sur la glace. Et je pense que c'est un bel hommage aux hommes et aux navires qui ont été victorieux.

     Je suis particulièrement impressionné par les innovations que nous a présentées cette expédition dans notre reconnaissance aérienne territoriale. Nous avons certainement déjà trouvé un moyen d'action pour l'utilisation du train d'atterrissage standard qui garantira que, normalement, bases aériennes peuvent fonctionner et bien fonctionner à partir de rien de plus que des champs de glace.

     Il s'agit d'une note basique de l'aviation mondiale, qui j'en suis certain, a une signification profonde.
"

Fin de la traduction.


     Que pouvons nous déduire de ce texte très ambigu et difficile à comprendre ?

     Il convient d'abord de remarquer que nous sommes en 1947, et les USA sont la première puissance mondiale, qui possède la bombe atomique pour faire reculer toute agression. L'Union Soviétique, ne fera éclater dit-on, sa bombe atomique que le 29/08/49. Alors on s'étonne grandement, que ce Vice Amiral Byrd, parle de menaces contre les USA, qui ne doivent plus se " vautrer dans des cocons et croire que l'éloignement, soit la garantie de leur sauvegarde; que les océans et les pôles seront un no man's land, assurant toujours protection de ces USA".

     C'est totalement incompréhensible... n'est-ce pas !!, d'autant plus que Byrd ajoute en plus, franchement :

"Ce ne sont pas des mots suscitant la peur, mais c'est une réalité amère que de constater que ce conflit, s'il devait à nouveau de se manifester, attachera vivement notre nation au-dessus d'un ou des deux pôles".

      Si plusieurs nations occupent effectivement l'Antarctique, et pourraient entrer en conflit avec les USA, que vient donc faire ici le Pôle Nord dans cette affaire soulignée par Byrd ?

     , nous voyons sans contestation aucune, que Byrd s'est trahi.

     Il veut donc faire ici allusion à la forte résistance militaire, venant d'une puissance inconnue, et résistance extraordinaire qu'il a subie en 1947, lors de son expédition High Jump, dans l'Antarctique.

     Le journaliste complice Lee Van ALLA, qui a participé à cette expédition, couvre lui même cette mystification de Byrd, en écrivant :

      "l'Amiral Byrd a été franc et réaliste dans l'image de la situation mondiale qui s'est déroulée à lui dans sa nouvelle conquête du pôle Sud.".

     Notez bien que Lee Van ALLA, parle de l'Amiral Byrd, alors que ce dernier n'est que Vice Amiral.

     D'autre part comment expliquer que les journalistes ou le redacteur en chef de ce journal The Deseret News, n' aient pas après un tel article (du 3 Mars 1947) , poussé plus loin les investigations polaires auprès de ce journaliste Lee Van ALLA qui en sait bien plus qu'il n'en dit. et donc Messieurs les chroniqueurs intrépides, toujours à l'affût du super scoop, ne pensez-vous pas, qu'il conviendrait de retouver au plus vite, les dossiers personnels de ce journaliste Lee Van ALLA, pour en savoir, un peu plus, sur toute cette très scabreuse affaire ?..

     A vous donc de juger tout cela, documents sous la main.


      Mais on le sait déjà, et il vaut mieux, le redire ici, cet article du Deseret News est sorti deux jours avant, un article en espagnol, de même nature, mais beaucoup plus corsé, et paru dans le journal El Mercurio de Santiago du Chili déjà présenté plus haut. et dont voici encore le texte en espagnol :



     Pour le novice ingenu disons d'abord que cet important document apparaît seulement en page 23 du journal "El Mercurio" de l'époque, ce qui prouve que la Direction lui avait accordé intêret très secondaire. Nous n'avons hélas pas d'information sur "la première page" de ce journal pour savoir, si au moins le nom de Byrd y était mentionné. et merci donc au genia internaute qui réussira à photocopier les éléments probants de cette affaire sur la première page de ce journal.

      C'est le 13 Avril 2004, que nous avons reçu la missive suivante d'un très aimable internaute, (les couleurs renforcées sont de nous évidemment) :

----- Original Message -----
From: Renaud L......
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, April 13, 2005 3:45 PM
Subject: El Mercurio.
     Bonjour,

     Merci de votre envoi. Je viens à l'instant de téléphoner au service des archives du journal "El Mercurio" en leur demandant de bien vouloir m'envoyer ce qui concerne l'Amiral Byrd dans leur n° du 5 mars 1947.

     Normalement je pourrai vous le traduire en Français. Ils ont l'air d'avoir un très bon service d'archives, ils m'ont dit que les numéros de cette époque sont sur microfilms, et qu'ils allaient me l'envoyer aussitôt. Je vous envoie ce mot pour que vous soyez au courant. Il y a quelques frais, je vous en informerai après.

     A très bientôt

     Renaud.


     Nous avons alors trépigné de satisfaction étant donné que depuis des années, nous avions recherché ce journal El Mercurio du 5 Mars 1947, dont il est fait mention dans les articles d'ARTivision suivants:



      Et nous avions, en effet même précisé dans le dernier de ces articles ceci :

      " Nous recherchons évidemment activement ce n° du 5 Mars 1947 du "El Mercurio" pour voir de nos propres yeux, cette incroyable révélation. Merci d'avance aux internautes qui pourraient nous aider dans cette recherche."

     Et nous avions aussi bien précisé dans "audelaGrandNord.html" : "(Evidemment nous sommes prêts à payer tous les frais nécessaires de photocopie et de timbres pour recevoir ce document important) ".

     Puis, ce même 13 Avril 2004, nous avons reçu ensuite, cette autre missive encore plus encourageante :

----- Original Message -----
From: Renaud L....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, April 13, 2005 6:54 PM
Subject: Réponse positive du Mercurio!

     Re, rebonjour!

     Je viens de recevoir la réponse du Mercurio. J'ai imprimé l'article, vous devez l'avoir de votre côté. Il devrait vous intéresser beaucoup ainsi que ceux, dont je suis (avec grande prudence) qui sont intéressés à élucider ces faits et leurs portées...


fin de citation

      Notre ami Renaud L. a bien voulu nous traduire ce texte en commençant par le titre :" L'amiral Richard Byrd signale l'importance stratégique des Pôles". A bord du Mont olympus en haute mer.

     Puis, analysons, voulez-vous, les informations étranges que nous découvrons dans le reste de ce document :

a) Une affaire "d 'avions" hostiles provenant des régions polaires.


      La traduction des trois premières phrases nous donne d'après Renaud L:""L'amiral Richard Byrd s'aperçu et rapporta qu'il est nécessaire aujourd'hui que les Etats-Unis adoptent des mesures de protection contre la possibilité d'une invasion du pays par des avions hostiles provenant des régions polaires.

"L'Amiral a dit ne pas vouloir effrayer personne, mais l'amère réalité est que s'il arrivait une nouvelle guerre, les Etats-Unis seront attaqués par des avions, qui voleront au dessus d'un pôle ou des deux pôles. Cette déclaration fut faite par l'amiral comme la récapitulation de son propre exécutif en tant qu'explorateur polaire dans un entretien exclusif pour l' International News Service"


     On constate alors ici, que le journaliste Lee Van ATTA  (utilise comme l'a bien dit Jean ANNE dans euxnousail.html : voir justement sa déclaration plus haut) le terme d'aviones. Encore faudrait-il savoir si Byrd, qui a dû répondre au journaliste en anglais, a bien utilisé ce terme d'avions ou le terme d'objets volants, comme le suppose Mr Eric E. Charon, (que nous n'avons jamais hélas réussi à contacter) sur sa page :



intitulé :
"How High Can You Jump? Operation "Highjump" & The UFO Connection"


où l'on peut alors lire :

     "On 5 March, 1947 the "El Mercurio" newspaper of Santiago, Chile, had a headline article "On Board the Mount Olympus on the High Seas" which quoted Byrd in an interview with Lee van Atta: "Adm. Byrd declared today that it was imperative for the United States to initiate immediate defense measures against hostile regions. Furthermore, Byrd stated that he "didn't want to frighten anyone unduly" but that it was "a bitter reality that in case of a new war the continental United States would be attacked by flying objects which could fly from pole to pole at incredible speeds". Interestingly, not long before he made these comments, the Admiral had recommended defense bases AT the North Pole. These were not "isolated" remarks... Admiral Byrd later repeated the each of these points of view, resulting from he described as his "personal knowledge" gathered both at the north and south poles, before a news conference held for International News Service"

    Et que mon ami canadien Robert Momer parfaitement bilingue a traduit ainsi ce texte anglais:

    "Dans son numéro du 5 Mars 1947 "El Mercurio" , journal de Santiago du Chili, publait un article intitulé "A bord du Mont Olympus des Hautes Mers " où Byrd fut interviewé par Lee van Atta: "L'amiral Byrd a déclaré aujourd'hui qu'il était impératif que les Etats-Unis prennent les mesures préventives nécessaires contre toute attaque qui pourraient provenir de "régions hostiles". L'amiral a déclaré qu'il ne fallait pas sombrer dans le pessimisme, mais plutôt admettre la réalité, si "amère" soit-elle. En cas d'une nouvelle guerre, le territoire des États-Unis pourraient être attaqué par des objets volants succeptibles de se déplacer d'un Pôle à l'autre, à des vitesses incroyables."

    Il est intéressant de noter que, peu de temps avant de faire ces déclarations, l'amiral avait recommandé l'établissement de bases stratégiques de Défense au Pôle Nord. Byrd ne s'en tint pas là. Plus tard il souligna, à maintes reprises, lors d'une conférence devant "L'International News Service" que chacun de ces points de vue provenaient de "connaissances personnelles" acquises tant au Pôle Nord qu'au Pôle Sud.


Fin de citation

     Commentaire à chaud du webmaster:

1°) Dans la première phrase, les termes "des avions hostiles provenant des régions polaires" ont disparu du texte anglais et ont été remplacés simplement par l'expression "régions hostiles". Cette simplification est très regrettable, car ce qui est important est justement que la menace soit localisée en "provenance des régions polaires". D'où l'intéret, comme vous le voyez, dans ce genre d'histoire d'avoir le document d'origine sous la main, et c'est lui, qui, justement, a permis l'élaboration de cet article...

2°) Dans la deuxième phrase, on découvre encore le terme "d'aviones", mais cette fois Eric E. Charon utilise le terme de by flying objects à la place du mot "aviones" du texte ci-dessus.

3°) On note la présente dans le texte anglais de l'expression " from pole to pole" (d'un pôle à l'autre) traduisant les mots espagnols "sobre uno a ambos polos". N'étant pas qualifiés pour juger, nous laissons aux spécialistes le soin de répondre.

4°) L'expression "à des vitesses incroyables" n'existe pas dans le texte espagnol et donc, on n'en déduit qu'Eric E. Charon n'a pas eu le texte d'origine sous la main, et l'a un peu infléchi à sa convenance.

5°) On peut alors supposer aussi que même si Byrd avait dit en anglais le terme "flying objects", le journaliste Lee Van ALLA pouvait-il à l'époque en espagnol, utiliser à la place "d'aviones", le terme en espagnol signifiant objets volants (sous entendu non identifiés, selon nous, bien sûr), que préconise Eric E. Charon ? Là est la question clef ?

     Hélas, on ne saura peut-être jamais ce qu'avait dit Byrd, à moins que l'on retrouve le texte de ses déclarations à International News Service.

    Il nous reste donc aussi à découvrir si l' International News Service, était une Agence de Presse ou un Institut ou encore autre chose. (Merci donc, mille fois, à l'internaute béni qui pourra nous en dire plus..)

    Ce terme, "flying objects", est repris, de la même façon, sur les sites :



Fin de citation .

      Donc, il est très probable que Lee Van ALLA, a sans doute modifié sur ordre de la Direction du Deseret News (ou c'est elle-même qui a adouci les termes de l'article paru le 3 Mars 1947), tandis que l'article paru dans El Mercurio le 5 Mars 1947, dans un pays lointain des USA, fut plus libre et plus décontracté.

    A vous de juger tout cela, documents à l'appui.

     Pour en savoir plus, prière SVP, de consulter notre article :


     Mais ce 13 Mai 2018,, nous nous devons, avancer ici l'explication de cette affaire donnée par le à un certain Corey GOODE, très grand lanceur d'alerte (en anglais Whistleblower), et dont les révélations incroyables, dépassent de loin les moyens d'investigation et le souci pragmatique du site ARTivision.

     Nous prions alors très aimablement, une fois encore, le novice ingénu, de bien s'acrocher d'abord aux murs avant la lexcture de ce qui suit, car à l'altitude où l'on va évoluer, il risque d'avoir pour lui, de très sérieuses turbulences...


Photo internet de Corey Google

       N'ayant aucun document (Photo, écrit déclassifié ou pas) prouvant les dires de ce Monsieur Corey GOODE, nous avons jusqu'à présent, éviter de trop parler de ses fracassantes déclarations.

       Cependant, ce jour, tirons du site :




Publié par Laurent Freeman le 22 Janvier 2018

       Le dénonciateur du Programme spatial secret,"Corey Goode" (alias GoodETxSG), a révélé des détails étonnants concernant des activités classifiées sur Mars et la Lune. Les plus troublantes sont ses révélations sur l'influence d'une civilisation secrète et dissidente NAZI qui a infiltré avec succès le système de sécurité nationale des États-Unis. Ses réponses expliquent en détail comment les activités secrètes des programmes spatiaux aux États-Unis et ailleurs dans le monde ont été cooptées par des forces et des institutions peu scrupuleuses qui privent l'humanité des bienfaits des secrets technologiques acquis au cours du siècle dernier.

       ............................................

       " Deuxième partie d'une série de réponses par courriel à des questions et réponses du 14 avril 2015, le dénonciateur du Programme spatial secret, Corey Goode révèle plus d'informations sur les bases secrètes sur la Lune et les programmes spatiaux militaires classifiés.

Q8. Quel groupe d'extraterrestres aida les nazis dans leur combat avec l'amiral Byrd en 1946/1947 et développa une présence hors du monde?

      Il y a eu l'aide de la Fédération Draco ainsi que d'un groupe que les NAZI ont été amenés à croire qu'ils étaient des ET (appelés "Arianni" ou "Aryens", parfois appelés "Nordics") mais qui étaient en fait une civilisation Humaine Ancienne de type "Civilisation de Rupture" de la Terre qui avait développé un Programme Spatial (appelé "La Flotte d'Argent") et créé de vastes bases sous les montagnes himalayennes (la plus grande au Tibet).

      Le premier vaisseau qu'ils construisirent utilisait des turbines Mercury, et les moteurs électro-gravité furent développés avec l'aide de ce groupe. Encore une fois, les NAZI et à ce jour beaucoup d'humains de la Terre qui sont en contact avec eux et d'autres les croient être des ET (à cause de leurs manipulations) alors qu'ils sont en fait des humains basés sur la Terre issus des anciennes civilisations ayant vécu une "Civilisation de Rupture".

      J'ai fortement évité de parler en profondeur des quelques civilisations terrestres anciennes qui ont des programmes spatiaux et des bases massives sur la Terre, la Lune et ailleurs dans le système Sol et d'autres systèmes Sol. Certains d'entre eux ont été extrêmement trompeurs et ont convaincu certaines personnes qu'ils sont des groupes d'ET qui sont là pour aider l'Humanité....

      ......................................................

      Corey a publié ses dernières informations en réponse à une série de questions qui lui ont été envoyées par courriel le 14 mai. Lors de précédentes sessions de questions-réponses par courriel, de forums publics et de son site Web, Cory a dévoilé les détails d'une alliance de cinq races extraterrestres appelée Sphere Alliance, dont trois avec lesquelles il a eu un contact physique direct lors de plusieurs réunions impliquant des délégués de différents programmes spatiaux secrets. Lors de ces réunions diplomatiques, il prétend avoir non seulement interagi avec des représentants de différents programmes spatiaux secrets, mais aussi avec des représentants de différentes civilisations extraterrestres, dont 22 ont contribué à l'évolution de l'humanité par leur génétique.

      Les réponses aux dernières questions ont été divisées en deux parties. La première partie (voir ci-dessous) commence par la connaissance que Corey a de ce qui se passe sur Mars. Il affirme s'être personnellement rendu sur Mars, et décrit avoir été témoin d'un certain nombre d'installations appartenant à un programme spatial appelé Interplanetary Corporate Conglomerate (ICC). La condition des travailleurs qu'il a vus dans ces installations de la CPI lui a fait soupçonner qu'ils étaient utilisés comme "travail d'esclave". Étonnamment, le conglomérat corporatif a autorité sur les installations militaires qui ont également été construites sur Mars par d'autres programmes spatiaux. La réponse de Corey selon laquelle une entité corporative gère essentiellement Mars en utilisant la main-d'œuvre esclave est assez troublante.

      Les informations révélées par Corey sont à la fois stupéfiantes et troublantes. Pour certains, cela peut sembler trop fantastique pour y croire. Pourtant, dans le cadre de ma propre vérification diligente des déclarations et de la crédibilité de Corey, je n'ai rien trouvé qui laisse croire qu'il ait l'intention de faire de fausses déclarations ou de tromper. Il croit sincèrement qu'il dit la vérité sur ses expériences passées en travaillant avec différents programmes spatiaux secrets. D'autres initiés se sont également portés garants de la participation de Corey à un ou plusieurs programmes spatiaux secrets, suggérant que ses allégations méritent, à tout le moins, une enquête sérieuse.

      Michael E. Salla, Ph. D.


      Que dire donc de plus devant tant de révélations fantastiques, qui surclassent l'imagination de nos meilleurs auteurs de Science-fiction ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés par une situation hors norme : No Comment..


       Cependant, Corey parle d'une affaire du passage d'un l'OVNI de Washington en 1952, alors que nous dans notre article :



, nous avions fait état d'un carrousel d'ovnis ayant survolé Washington entre les 19 et 20 Juillet 1952

       En effet du site :


, nous avons alors extrait, les images, très parlantes suivantes :

  

     Donc, il y a bien déjà, un début de vérité sous cette affaire d'ovnis de Washington, racontée par Corey Goode: Point à la ligne...

     Mais ce 15 Mai 2018, disons que nous n'avons pas réussi à trouver un seul texte officiel, stipulant qu'il est interdit de survoler en avion actuellement le pôle Sud et bien sûr aussi, le pôle Nord, et ceci va faire l'objet de notre Quinzième focus .

Quinzième focus :ARTivision, présente des documents incontournables, qui prouvent qu'il est interdit de survoler les pôles géographiques teresstres et Byrd devait bien savoir pourquoi !!

     Relisons alors ces quelques lignes de notre article clef :


     Début de citation :

      Disons aussi, que cette dame, savait également, qu'aucun avion, ni même aucun satellite. ne survole le Pôle Sud, et il en est de même, du Pôle Nord :

      Revoyons donc pour le novice ingénu , qui découvre à peine, par cet article, le site ARTivision, cette affaire insolite : :

      Concernant les avions, qui survoleraient le Pôle Nord, (Comme certains le prétendent), pour raccourcir les distances entre certaines villes de cette planète, voici un passage significatif, tiré de notre article, daté du 17/05/2012:


      Début de citation:

     " A la note 7, du Webmaster, on trouve alors :

     " Comme vous le voyez, le Contre-Amiral Lepotier, n'a pas écrit "et passent au dessus du pôle", mais bien ,"près du pôle". Il n'ignore pas en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui suit)...Il sait aussi que les autorités gouvernementales interdisent aux pilotes des avions militaires ou pas, le survol du Pôle Nord.


    Voyez donc cet entefillet d'un journal du Petit Parisien du 25 Avril 1958 :



    ou, avec un peu plus de détails :



    Ainsi en examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons, que ce trajet contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le survole jamais (Voir aussi une ancienne carte Air France ci-dessous).


    N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement au dessus du Pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique, car il y a aussi le gros risque de pénétrer dans le vortex polaire, et cela le Contre-Amiral Lepotier, le savait certainement déjà en 1952 " .

      Fin de citation .


      Helas nous n'avons pas de carte, montrant un quelconque survol en avion de la region du Pôle Sud .. Merci donc mille fois à l'internaute béni , qui pourrait nous en faire avoir une...

     Cette situation, va prendre une envergure tout à fait insolite, quand nous avons eu, la très grande opportunité, de visualiser un certain journal télévisé d'Octobre 2006. Voilà de quoi il s'agit :

     En effet, le Mercredi 04/10/06, nous avons eu l'opportunité de regarder le journal télévisé de 19/20 de France 3 retransmis par RFO guadeloupe de l'époque.
    Dans un volet relatif au déréglement climatique de la planète, un interlocuteur patenté a présenté sur un écran vidéo la calotte polaire nord. Mais ce qui nous a frappé d'emblée, c'est qu'il y figurait un super disque noir qui ne pouvait en aucume manière symboliser le le point fictif et géographique du pole Nord.
     Hélas nous n'avions pas capté sur DVD ces informations, et nous nous sommes précipités à l'adresse de l'époque:


     Pour retrouver ce volet sur les déréglements climatiques, mais malheureusement, nous n'avions pas à l'époque le logiciel pour capter les images du film, où figurait le disque noir. Le 6/10/06, nous en avons parlé tout à fait par hasard , à notre cousin Patrick, Directeur d'une école de langues, à Basse-Terre, qui nous a alors dit qu'il possédait un logiciel requis et qu'il allait nous envoyer les images en question.

    Merci donc une fois de plus à Super Hasard, et voici donc trois clichés parmi ceux que nous avons reçus :

    


    Que peut-on dire sur ces photos surprenantes ? Nous avions toujours cru que le pôle géographique était symbolisé par un point et non un disque. Sur la photo de gauche relative à l'année 2005, il aurait suffit de placer un petit point noir et tout à côté l'inscription bien visible, (en jaune par exemple), "Pôle Nord". Passons, on nous dira que le disque noir, c'était pour mettre en relief l'inscription. Mais pour 2006 on a carrément oublié de l'inscrire ce qui est plus étonnant.

     Certains internautes blasés, n'ont pas hesité une seconde à qualifier ces disques noirs, comme étant dus à "la limite de la couverture satellitaire...habituelle" , et on verra cela plus en détail plus bas.

      De plus, l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi il s'agit :



      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire suivante :

""...Ils"décident de ce que nous devons croire et penser "

      Il nous reste maintenant à nous demander, comment il se fait, que surl'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher. A vous de juger !!

      De même, il est bon de savoir que le 29/05/08, nous avons reçu de l'ami Jean-Carlo S... l'invitation à visiter le site : www.worldwidetelescope.org, où l'on peut télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images extraordinaires, dont celles-ci qui concernent la Terre :

    

     Comme on le voit, l'existence d'une pastille plutôt énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait aucunement représenter le pôle géographique en question. Alors que fait donc cette pastille ? A vous de juger!

----- Original Message -----
From: Didier B........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Tuesday, May 11, 2010 5:47 PM
Subject: Envoi d'un message :Une photo satellite du Pôle Sud : n°P-019-0049-5054.jpg


      Bonjour Fred ,

    Voici une photo satellite du pôle sud qui ne manquera pas d'intéresser tes lecteurs.
     En effet, vers le centre du continent antarctique, on distingue nettement une forme circulaire évoquant un cratere ou bien un trou vers le centre de la Terre. Je ne peux helas pas te donner la source, qui est asiatique d'apres les caracteres incrits sur l'image.

    Merci pour ton travail et bonne continuation.

        Didier B........

     Agrandissons donc ce disque insolite :


    Pour ARTivision, il ne s'agit pas bien sûr, d'un cratère gigantesque, ou d'un trou tout aussi immense, mais simplement d'une pastille de camouflage, qui cache au commun des mortels, des lumières qui lui seraient inexplicables.

     Mais sur le site déjà présenté plus haut :


,on découvre aussi, cette image de l'Arctique, avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internautes se sont évidemment demandés, la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une réponse :


     Et en voici, une autre, plus académique :

     En effet, le 21 Mai 2006, un certain internaute Fabrice C....., nous a interpellés sévèrement pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeeh.. oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

     Cette assertion péremptoire de l'internaute Fabrice C....., avait été initiée par cette affaire hallucinante, de la photo venant de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication, un superbe disque noir, au centre de l' Antarctique...

     Pour les puristes qui pourraient apercevoir ce n° de Science&Vie, dans un vide-grenier ou une brocante, voici la couverture de la revue en question :





     Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement, fuser clairement tout autour du disque des rayonnements lumineux surprenants".



    La légende qui présente cette photo ahurrissante dans le n° en question est simplement :

"L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire , n'est pas , par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit nous (l'avons montré plus haut), des faisceaux très lumineux sous-jacents, tout autour du disque noir.

    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au-dessus des pôles, (le satellite bien connu Spot non plus : voir l'affaire de Jamy Gourmaud, dans notre article: Byrdsuite.html), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

    Mais, cependant, il est à noter que l'internaute Fabrice C......, et le Guihem en question, et bien d'autres inconnus qui se sont gonflés de jubilation, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté, dans nos articles, cette photo assurément trafiquée, du Pôle Nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires.

     Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!!. Hélas nous n'avons pas reçu, une seule réponse même vaseuse, depuis des années, des prétendus rationalistes endurcis, concernant cette très étrange photo de Jupiter de la NASA.

      A vous de juger, une fois de plus, cette nouvelle incongruité, documents à l'appui...

      Mais ce 17 Mai 2018, certains internautes très sceptiques au sujet de ce qui précède, et en particulier sur le fait que nous avons écrit juste plus haut :

" ...ni même aucun satellite. ne survole le Pôle Sud, et il en est de même, du Pôle Nord"


      Ces sceptiques doivent savoir que le site ARTivision, garde toujours dans ses vieux dossiers, de quoi prouver ses dires, et confondre les éventuels zélés et zététiques détracteurs, bien assis dans leurs cocons feutrés, de cette société en pleine mutation.

     En effet, le 19 Octobre 2012, nous avons reçu, la très intéressante missive suivante :

From: Jean-Philippe.......
Sent: Friday, October 19, 2012 4:50 PM

To: 'Fred IDYLLE'
Subject: RE: Terre creuse et Lune

     Merci pour tes articles Fred, voici une image que tu dois connaître qui est tirée du site :



    Certains diront : « Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale » voir le site:


???

    Amitiés.
    JPh


     Nous avons déjà bien sûr, remercié vivement Jean-Philippe, pour sa si aimable contribution aux recherches pointues d'ARTivision.

    D'abord pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :


     Mais nous serions heureux d'apprendre par un spécialiste (et depuis 2012 c'est le lourd silence de la tombe qui prédomine), l'admirable fait, que cette formule prend bien en compte le fait que nous montre l'image envoyée par Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, encore cette fois-ci, restent tous, tangents à un disque de diamètre bien déterminé.

       Mieux, on voit aussi que ce disque semble presque se juxtaposer étrangement, au disque bien noir de l'Antarctique présenté plus haut et tiré du Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046 .

  

      A vous de juger, cette étrange coïncidence ...;

Cependant, des gens qui se disent cultivés, affirment pourtant encore que certains satellites, survolent allègrement les pôles :

    En effet le 14 Nov. 2000, nous avons eu le privilège d'enregistrer, sur la chaîne d'époque qui n'existe plus dans la Caraïbe, nommée Tempo, la rediffusion de l'émission bien connue de Messieurs Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner, "C'est pas sorcier " consacrée justement aux satellites de la Terre.

    Mais écoutons textuellement, ce que nous dit Jamy, qui actuellement anime l'emmission suivante :

réservée au grand punlic) , au sujet du satellite SPOT, qui à l'époque orbitait à 830 Km de la Terre:

  "Comment le satellite SPOT, peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre, SPOT ne passe pas au même endroit et peut ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."

  Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de cette déclaration, qui montrent comment on nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites connus passent par les pôles, et qu'ils balayent ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce genre d'émission est destiné à la jeunesse, et qu'il ne faut pas lui demander une grande précision.

     Reste à savoir, cependant, si les protagonistes, eux-mêmes, de cette émission, ont été "initiés", à "cette affaire polaire", vue plus haut.

  Nous attendons vos éventuelles suggestions ... car d'autre part, dès 1992, nous avons eu le privilège de visiter "la Cité des Sciences et l'Industrie" à la Porte de la Villette à Paris, et nous avons été surpris de constater, à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par satellites, que ces derniers ne passaient jamais par les Pôles , mais circulaient tous à la limite d'un cercle précis entourant chaque Pôle.

    De plus, on doit aussi savoir, qu'en 1992 , nous avons eu le privilège de visiter "la Cité des Sciences et l'Industrie" à la Porte de la Villette à Paris et nous avons été surpris de constater à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par satellites, que ces derniers ne passaient jamais par les Pôles, mais circulaient tous à la limite d'un cercle ou disque précis entourant chaque Pôle.

    Le Samedi 7 Octobre 2000 en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous transmettons ci-dessous:

    En effet en 1993, nous avions enregistré une émission de RFO, produite par Jean Yves Casgha et intitulé "Science Frontière" et où Cathy Nivez a fait l'interview dans le cadre du magazine "C'est à dire" d'Ichtiaque RASOOL, alors Directeur de programmes concernant la géosphère et la biosphère à la NASA, professeur à l'époque à Paris, à l'Ecole Normale Supérieure et au Collège de France. Le programme "Global Change", qui revient par an, à environ un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des satellites à défilement, comme par exemple SPOT et NOAA, qui sont capables de repérer des détails détails de 10 à 20 m, satellites qui nous intéressent tout particulièrement dans cet article... Le film montré à cette occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement, et nous précise que les trajectoires de ces derniers "ne sont pas tout à fait polaires", termes exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir si "ces trajectoires ne sont jamais polaires ". Toujours est-il que le film nous présente la Terre entrain de tourner et le faisceau des trajectoires qui reste "étrangement tangent" au bord d'un "disque polaire d'un diamètre remarquable" .(Voir ci-dessous, deux images du film du Pôle Sud)

  

   La question qui reste pour l'instant sans réponse, serait de savoir pourquoi, pas un seul de ces satellites, ne traverse diamétralement ce disque polaire, alors qu'il aurait tout intérêt à le faire et que de plus, sa trajectoire n'est pas soumise, elle, comme pour un avion, aux évaluations d'un altimètre ?

    Mais ce jour, il serait peut-être aussi utile, de vous présenter aussi, les images suivantes :

    D'abord sur le site :



    Et puis sur le site :




     Ou encore, sur le site :



     Ou enfin, sur le site :



    Pas mal, n'est-ce pas, cette étrange zone polaire, qui fait fuir les satellites.

       Mais il y a mieux encore :

      En effet, pour compléter ce qui précède, nous allons aussi évoquer ici ceci :

      Le 10 Février 2009, les Services de Presse , nous ont appris que deux satellites, étaient entrés en collision à 800 km d’altitude, au-dessus de la Sibérie. le premier fut lancé en 1997 etait la proprièté de la société américaine de télécommunication Iridium. le second , nommé Cosmos-2251, fut mis en orbite en 1993 pour le compte de l’armée russe mais est devenu inactif en 1995, à la suite d'une panne .

      La collision est décrite à l'époque, en détail, sur le site :


       Ce qui nous intéresse particulièrement dans cette affaire, c'est la trajectoire suivie par les débris issus de cette collision : Nous notons déjà avec soin que ; "L'impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre".

       Il se trouve justement qu'un jour béni nous sommes tombés à la renverse, ( merci encore à Super Hasard ), en découvrant dans la revue Science&Vie n° 893 de Février 1992, un article évoquant le même sujet, et dont voici le début en page 80 :


       Mais voyons un paragraphe particulier de cet article à la page 49 :

" Quelle est donc l'origine de ces débris? Plus de la moitié proviennent de fusées ou de satellites qui ont explosé accidentellement ou que l'on a délibérément fait exploser à cause d'un mauvais fonctionnement. Le reste est constitué de 102 étages supérieurs de fusée, séparés du satellite après mise en orbite de celui-cl, et de 150 satellites abandonnés. Dans l'espace, on trouve ainsi des objets de tout volume, de- puis des capots entiers de fusée jusqu'à des particules de peinture. Selon des données de 1987, 9096 de ces débris évoluent entre 200 et 2 000 km d'alti- tude, dans les zones de grande circulation, avec des pointes à 600. 1000 et 1500 km.

       La première explosion en orbite fut celle de la fusée américaine Ablestar, le 29 juin 1961, deux heures après son lancement On en a dénombré 1 716 fragments supérieurs au millimètre et 271 supérieurs à 10 cm. La fusée Titan 3C-4, détruite le 15 octobre 1965, semble détenir le record pour les débris de plus de 10 cm, avec le chiffre de 477. Pour les débris supérieurs au millimètre, le record reviendrait à Ariane V16, le 11 novembre 1986, avec 2 330, dont 2 104 seraient encore en orbite à l'heure actuelle.
"

      C'est alors que la revue nous présente une simulation informatique de l'évolution, 4 ans après en 1989, des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :


      Nous serions donc curieux, de découvrir cette simulation pour 2018 ! Mais ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre tout cela, n'est-ce pas !!. Les rationalistes endurcis, selon nous, auront bien du mal, à trouver, une explication même vaseuse, à cela...

      Mais, ce 18 Mai 2018, nous avons une raison particulière psychique de poursuivre cet exposé, et on en parlera plus bas.

       En attendant, il nous vient à l'idée compléter ce qui précède, par l'affaire inouïe, qui nous est venue à l'époque, de l'ESA (Europeen Space Agency), organisme qu alors, s' était attaché à cartographier le mouvement des blocs de glaces de la mer dans la zone arctique.

           En effet, le 8 Février 2013, nous avons reçu d'un aimable internaute nommé Thierry l..., l'invitation à visualiser les données du site suivant :


    Au cas où, cet url ne fontionnerait plus, prière de consulter alors le site :


       Mais, au cas où cette page de ESA venait à disparaître comme par enchantement, voyons en quelques bribes ...

      On y trouve alors en premier lieu ceci :



       Puis, un écran développant une importante vidéo, que nous ne savons pas hélas reproduire ici ( toute aide serait alors très appréciée) , et en dessous de la vidéo, apparaît ce texte :



    Texte que nous traduissons grosso modo :

"GlobIce: cartographier le mouvement de la glace de mer.

    14 Mars 2012.


    Un projet financé par l'ESA pour modéliser la dynamique de la glace de mer (banquise arctique) à l'aide de données radar archivées de la mission Envisat et ERS, a publié un premiers jeu de données, applicable pour les hivers arctiques de 2004 à 2011. La cartographie du déplacement des glaces de mer est un élément clé pour la recherche sur le climat.

    La glace de mer influe profondément sur les échanges de chaleur, d'eau et la vitesse acquise des fluides entre l'océan et l'atmosphère, et joue un rôle important dans la convection océanique et la formation des eaux profondes

    Le projet GlobIce qui coute 1.000.000 €, qu et i a débuté en 2005, avec un consortium de huit partenaires dirigés par l'University College London (UCL), mesure le mouvement des glaces de mer pour une utilisation dans la modélisation du climat et de la recherche.

    A l'appui du projet sur le climat et la cryosphère du Programme Mondial de Recherche, projet GlobIce valide le flux de la glace de mer et sa la déformation.

    Les images radar, du déplacement de la glace, captées à des intervalles de quelques jours, sont utilisées pour générer un grand nombre d'articles en haute résolution, utiles pour la recherche sur le climat, tels que les cartes marines donnant la vitesse de déplacement de la glace.

    Les produits de projet GlobIce fournissent de larges données sur la dynamique des glaces de mer de l'Arctique à une echelle de résolution dix fois plus haute que toutes les autres configutations actuellement disponibles, obtenues par satellites.

Sous l'image du globe , on peut lire : La dérive des glaces de mer en l'Arctique.
"

Fin de notre brève traduction.


    Ce qui nous interpelle ici c'est d'abord, le fait que l'on oublie de parler des icebergs et sans doute sont-ils compris dans le terme générique "glaces de mer en l'Arctique". Affaire à suivre...

    Cependant le 28/03/2013, nous sommes tombés sur la page de la revue Le Point, placée à :


    On y voit alors d'abord ceci :


    Puis cela de très important :



     Ah...ah, tout de même, il y a des icebergs qui se détachent du Pôle Nord, et qui diffèrent de ceux venant du Groenland. Mais certains rationalistes endurcis, pour noyer le poisson, diront vite fait : icebergs et blocs de glace de mer, c'est Kif-Kif... c'est blanc bonnet et bonnet blanc. Sauf, qu'ils oublient vite, volontairement de dire, le fait que les icebergs sont faits uniquement d'eau douce... A vous de juger.

    En deuxieme lieu , nous voyons avec un très grand étonnement que dans cette dérive de blos de glace de mer de la zone arctique en question , ces blocs se déplacent en évitant soigneusement une zone centrale très caractérisée . Voyez cela vous-même sur les photos suivantes extraites de la vidéo :





    Il est donc très curieux de voir que ces très nombreux "blocs de glace" , pendant une si longue période, se balladent en évitant soigneusement d'entrer dans le disque rouge suivant dessiné par nos soins :


et cela se passe en depit de la dérive habituelle de la banquise , dont nous avons fait état dans de très nombreux articles. Quelle explication, peut-on trouver à ce phénomène bizarre ?

    Mais cela nous fait aussi nous souvenir de ces images de l' Arctique où des disques noirs, sinon très colorés (voir plus haut) , y apparaisent comme par magie et ne sont jamais expliqués positivement. pour le novice ou le profane qui découvre le site ARTivision par cet article, voici encore, un échantillon très significatif, tiré de notre article :

    " Puis, sans explication, apparaît la carte du bassin polaire telle que :


     Mais, chose étonnante, une seconde image plus agrandie, est présentée, comme si le caméraman voulait nous dire en douce : "Regardez cela un peu mieux" , mais le narrateur est resté lui, muet comme une carte, à ce sujet :


      Et bien sûr, aucun des climatologues en question, n'a donné la moindre explication sur ce disque insolite , placé au cœur de la zone arctique.

     A vous de juger, ces surprenantes contingences.

     Mais avez-vous trouvé la conclusion qui s'impose dans cette affaire impensable des blocs de glace de la Banquise en vadrouille , et blocs qui pourtant évitent soigneusement de traverser une zone parfaitement déterminée par notre image au disque rouge , que nous vous présentons une fois de plus, tant elle est extraordinaire :


     Bravo donc alors à ces blocs de glace, qui par une solidarité transcendante, ont réussi à fuir une sorte de zone vamprique qui ne pouvait que leur être néfaste, et le grand acteur, que fut Louis Jouvet, pourrait encore nous dire ici, n'est-ce pas, comme on l'a déjà vu plus haut :

"BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? COMME C'EST BIZARRE..."


    Trève de plaisanterie, le site ARTivision, sait donc parfaitement ce qui s'est passé. Ce n'est pas une affaire de blocs de glace en vadrouille qui fuient la zone rouge, mais bien l'affaire des satellites (qui ont filmé ces blocs), et qui, on le sait, ne survolent pas la zone polaire discoïdale, vue ci-dessus , et donc ne peuvent pas photographier les blocs de glaces de ce coin. Point à la ligne...

      Mais, nous avons prolongé cet exposé ce 18 Mai 2018, surtout pour présenter une fois de plus, la méditation du Grand Maître de Findhorn, (voir alorsFindhorn.html)), concernant notre comportement psychique, vis à vis des événements planétaires actuels :

Fais à autrui ce que tu voudrais que l'on te fasse.
Prends du temps pour penser à cette loi
et puis qu'elle guide tes actes
au fur et à mesure que tu la mets en pratique,
tu verras que tout égoïsme et souci pour toi-même disparaîtront,
et ton amour pour tes compagnons humains prendra la première place.
C'est lorsque tu penses et vis pour les autres
que tu trouves la vraie liberté et le vrai bonheur.
Lorsque tu es dans cet état de conscience élevé, tout peut arriver,
car la vie peut couler librement sans aucune obstruction.
Refuse de voir l'obstruction; ne vois que des occasions!
Lorsque tu te trompes, remets-toi dans le bon chemin,
et apprends à travers toute chose.
Il existe une réponse à chaque problème;
cherche jusqu'à ce que tu l'aies trouvée.
Tu n'as jamais besoin de chercher en vain,
car si tu cherches chaque réponse avec diligence,
tu la trouveras sûrement,
Mais souviens-toi, n'attends jamais
que tout te tombe tout cuit dans la bouche
si tu ne joues pas ton rôle et si tu ne fais pas ce qui doit être fait,
La Source, aide toujours les âmes qui participent.

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 18 Mai, après adaptation d'ARTivision

      Mais alors bien sûr, il nous reste qu'à démontrer, que La Source, n'est pas une simple vue de l'esprit... Le Temps des Révélations, saura certainement bientôt, nous en dire plus..., et disons alors qu'ici, nous pouvons assurément appliquer l'adage suivant :

"L'absence de la preuve d'une chose,
n'est pas la preuve de l'inexistence de cette chose"
.

      Nous démontrerons cela clairement, quand nous reparlerons de la célèbre expérience de Michelson et Morley réalisée en 1887, et qui, a conduit les physiciens à mettre en doute, l'existence de l'Ether , qui était, on le pensait à l'époque, le support matériel des vibrations d'une onde lectromagnétique comme la lumière, ou tout au moins de son mouvement.

         Et donc, si les scientifiques n'ont pas encore prouvé qu'il existe une Intelligence Supérieure, qui anime et règle le Cosmos et son essence la Nature, cela ne prouve pas, qu'ils n'arriveront jamais à le démontrer. comme certains penseurs matérialistes et agnostiques se plaisent encore à le croire, et leur sournoise hilarité, concernant l' Intelligence Cosmique, de la La Nature, se transformera vite en stupéfaction, quand ils découvriront, l'entrefilet étonnant ci-dessous,


       Ce communiqué de presse, n'est-il pas déjà, s'il en était encore besoin, une marche, vers les prémices de la découverte du fait, prouvant que la Nature, n'est pas du tout un concept soumis aux tribulations d'un hasard aléatoire, comme on veut nous l'enseigner, dans nos écoles et nos universités.

        Mais il conviendrait aussi, dans le même ordre d'idée, de découvrir le super passage qui suit, et qui est tiré de l'ouvrage extraordinaire de Joseph Whitfield , ISBN 9.782880.580674, publié aux Editions Vivez Soleil en 1991, mais aux USA dès 1983 sous le titre : The Eternel Quest :

  

        Il importe aussi de savoir, que c'est à la suite d' une très forte intuition, que nous avons décidé, de commander ce livre, que nous avons reçu le 25/07/2012 :

    Voici donc, en page 185, le sublime passage en question :


     Comme cela est...tout à fait surprenant...n'est-ce pas !!!

    Mais il faut savoir que pour ARTivision, cette notion d'interdépendance des éléments qui constituent le vivant, ne recouvre pas du tout, une affaire de foi aveugle, mais plutôt une affaire de connaissance expérimentale...

    Cette assertion est basée sur les découvertes extraordinaires, révélées dans notre article hors normes, souvent évoqué sur ARTivision :


    L'article est intitulé "Intercommunications naturelles spécifiques chez les êtres vivants et retour à la dimension cosmique de l'humain ", et, dès Juin 1999, il avait mis l'accent sur des expériences extraordinaires prouvant la communication des plantes entre elles, des plantes avec animaux et des plantes avec les humains, et expériences qui auraient dû être répétées dans toutes les universités, car elles montrent incontestablement, l'unité du vivant et l'incommunication qui règnent entre ses éléments constitutifs.

    Mais au contraire, il est évident que ceux qui préfèrent "diviser pour régner", n'avaient aucun intérêt à diffuser ce genre d'expériences, qui pourraient grandement remettre en cause leurs moyens de pression sur les humains, qu'ils ont su si bien séparer par toutes sortes de combines.

        Il est alors bon de plus, de redire ici, (nous l'avons mentionné déjà, dans d'autre articles) pour ceux qui lisent en diagonales, les modestes articles du site ARTivision, que ce site, très particulier, ne cautionne, aucune confession religieuse, n'appartient à aucun parti politique, aucun groupement ou association quelconque, ne rentre dans aucun forum, aucun réseau, ( pas de Twitter, ni de Facebook...etc...), et son Webmaster, aime fouiller dans les vieux documents de ses dossiers, pour y trouver la preuve que "le Passé de la Terre" fut bien plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer, nos meilleurs auteurs de Science-fiction, et il dit alors un vrai bravo, à ceux qui ont de grands moyens, pour le démontrer.

       Mais il est peut-être aussi utile, de transcrire ici, ce passage de notre article :


" Chaque Univers a ses propres lois de la Nature, lois universelles et règles. Les lois universelles sont des lois divines qui s'appliquent toujours. Les règles universelles, cependant, reçoivent l'agrément de leurs habitants. Quelques-unes des lois universelles les plus importantes sont la Loi de l'Attraction, la Loi de la Grâce et la Loi de l'Harmonie. De plus, notre univers est caractérisé par la Loi du Libre Arbitre, qui signifie que chacun peut faire ce qu'il veut. "

      En effet, nous avons déjà vu plus haut, le fait que les savants commencent actuellement à admettent, que La Nature, n'est pas livrée du tout, aux caprices du hasard, ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que nous sommes, bien arrivés au Temps de la Grande Révélation :

       Et, pour avancer, tant soit peu, dans cette direction, prière de consulter le site :


    Que celui qui a un esprit curieux, s'interroge franchement sur le devenir de cette planète en mutation , et surtout, qu'il en tire, le désir de chercher, à en découvrir davantage.

       Mais, ce 22 Mai 2018, passons à notre de notre seizième focus.

Seizième focus :ARTivision, présente des documents incontournables, qui prouvent, chose très surprenante, que l'explorateur polaire Richard E. Byrd, a utilisé en Antarctique une sorte d'avion à réaction expérimental, monté sur skis.

      C'est en effet, le 6/03/2014, en cherchant tout autre chose, que nous sommes tombés, à l'url suivant :


sur cet article insolite de 1947, en page 18 :



     Géographiquement, c'est le site :https://www.google.fr/#q=portsmouth+usa+map, qui nous indique, où est située la ville de Portsmouth aux USA :



     Après un temps de stupéfaction ( car nous avions déjà exploré ce site sans voir cet article), notre surprise a encore pris de la vigueur, quand nous avons essayé de traduire l'expression "Ski-Jet planes"

     C'est alors, que notre grande amie Nicole (qui hélas à récemment quitté ce monde), est venue à notre secours en, nous écrivant ceci :

Traduction du titre du Portsmouth Times du 31.1.47:

     "Byrd s'active à la préparation de ses avions sur skis équipés de réacteurs".
ou --
     "Byrd s'active à la préparation de ses avions à réaction montés sur skis"

ce qui n'est pas très juste, car ce ne sont pas des avions standards, mais un bricolage fait par Air Force pour l'expédition -- en effet impossible d'atterrir sur la glace avec des roues donc il a fallu composer mais en meme temps permettre aux avions de voler à grande vitesse, ils ont donc rajouté des réacteurs. En effet la suite de l'article précise bien que ses avions sur skis étaient équipés de réacteurs. Je suis quand même étonnée , car c'est la 1ere fois qu'on parle de réacteurs: "jet-assisted ski planes" . Je ne pense pas qu'il existe en francais une formule consacrée à ce genre d'avion que je n'ai d'ailleurs jamais vu. Je voudrais bien vous préciser que l'avion sur skis de Byrd dont parle l'article du Portsmouth Times était "équipé" , de réacteurs pour doubler la vitesse de croisière par rapport à un avion classique. Il ne faut pas oublier que les avions dits "à réaction", à proprement parler ont seulement commencé à être construits pendant la guerre, et ils n'ont été mis officiellement en service commercial qu'en 1950. Auparavant c'était seulement le privilège des forces armées et pas pour le commercial. Donc on ne peut pas savoir si c'est un prototype d'un Jet qui a été équipé de skis pour l'expédition, ou si on a rajouté des réacteurs à un avion existant pour accroitre sa vitesse. Comme on ne sait pas au juste, il vaut mieux nuancer. L'article n'est pas très clair à ce sujet étant donne la concision nécessaire au style journalistique.

     Ensuite petit titre de l'article :"L'explorateur estime que ce vol polaire est d'une importance primordiale"."


     Merci donc mille fois à l'amie Nicole, pour ses magistraux éclaircissements, car nous nagions , dans une grande incompréhension.

     En effet, les journaux en date du 31 Janvier 1947, que nous connaissons déjà bien, comme par exemple le Youngstown Vindicator, le The Leader Post, le Lewiston Morning Tribune, le The Milwaukee Sentinel, le The NewBurgh News, le The Tuscaloosa News, n'évoquent pas cette affaire de Jet-assisted skiplanes, et seuls le Spokane Daily Chronicle, en parle, et aussi comme vous pouvez le découvrir ci-dessous, le The Washinton Reporter


     On voit donc, que tout à fait au début du texte, il est fait état également (hélas sans aucune explication), des jet-assisted skiplanes de Byrd, et que d'autre part, les étermels détracteurs, ne pourront pas dire que, c'est nous qui avons inventé tout cela, car ce texte est presque identique , à celui du " The Portsmouth Times" du 31/01/1947, que nous allons justement étudier.

      Cette affaire de roues d'avion remplacées par des skis, nous est présentée, succinctement, dans le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine, qui a publié à l'époque, un super article de 93 pages de Byrd :

  

      Avant de plonger plus avant, dans cet article du "Portsmouth Times" du 31/01/1947, rappelons aussi que ce même journal, nous avait déjà gratifiés d'un article tout aussi surprenant en date du 7 Septembre 1933, au même url:



      Traduisons ici, seulement le passage qui commence par "Asked why he was returning to the dreary Antarctique....", grosso modo par "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière ".

      Voilà un discours, bien surprenant, qui ne court pas les rues, et qui a déjà été étudié plus haut, avec les vignettes donnant la superficie des USA et du Mexique :

    Venons en maintenant à ce passage souligné en bleu et qui nous interpelle aussi grandement du "The Portsmouth Times", du 31/01/1947:


      Notons alors déjà ici, que pour sonder sous les glaciers de la Patagonie, de la Terre de feu, et de l'Antarctique, , et de plus sous la mer, et dans le fond du Passage de Drake, il faut des équipes superbement nombreuses et outillées :


     Comment comprendre alors cette allusion, de Byrd , au fait que l'Antarctique puisse être la continuation de la Cordilère des Andes ? Ceci pourrait-il alors être le fait, que Byrd, ait eu vent de l'existence des cartes de Piri Reis ?
     Nous sommes en 1947, et Byrd, pouvait certainement avoir eu sous la main un article de Février 1932, qui évoque ce sujet. (Voir plus bas).

      Voici cependant, un ouvrage de référence paru en français, en 1981, mais aux USA dès 1966, et que Byrd, ne pouvait pas connaître :


     Nous devons de plus avouer ici que, c'est cette incroyable affaire des cartes de Piri Reis, qui fut l'une des principales clefs de voute, à l'origine de la création en Janvier 1997, du site ARTivision, et on verra plus bas pourquoi !

     Commençons, si vous le voulez bien, par le passage en page 15, du livre en question :


     Notons alors que Byrd, pouvait avoir eu en main cette publication du "Illustrated London News" du 27 Février 1932, intitulé "A Colombus Contoversy" ( Piri Re's Map), ou encore, il aurait pu lire aussi, entre autres ouvrages ceux-ci : "Turkish Interest in America in 1513 : Piri Re'is chart of Atlantic" ou encore "scotland in the portulant charts " Scottich Geographical Magazine XLII (1926).

     Voici maintenant, la fameuse carte de Piri Reis, qui montre clairement, qu'à un certain moment, L'Amérique du Sud était bien liée à l'Antarctique :


     Les cartes de Piri Reis découvertes, sont sur parchemin en couleur, enluminées et enrichies de nombreuses illustrations et de portraits de souverains de divers pays et les légendes sont en turc. Les spécialistes turcs, nostalgiques de l'époque faste de l'Empire Ottoman, se penchèrent sur ces cartes avec précaution et dévotion sans en tirer, pour cela, des conclusions notoires, mais ils en firent des reproductions qui furent dirigées de par le monde, vers les bibliothèques qui en firent la demande. Donc en couleur, c'est mieux :



    Mais, étant donnée l'importance de l'affaire, nous ne résistons pas au plaisir de vous présenter quelques passages de la Revue PLANÈTE n° 29 de Juillet-Août 1966 de Paul-Emile Victor et Arlette Peltant:

  


    Et pour le novice, qui n'a jamais entendu parler des cartes de Piri Reis , voici un petit plus :


    Enfin, si vous voulez rêver davantage, voici le Science et vie n° 516 de Septembre 1960, qui est épuisé, d'après la Rédaction de la Revue, et voyez vous-même ce document qui le prouve :



     Nous avions hélas perdu ce numéro à l'époque, en 1997, mais grâce à l'heureuse initiative de notre ami Jérôme Gorriz, nous avons pu le commander sur le Net et le recevoir le 21 Juin 2012.

     Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources d'un document important, et au cas où l'on apercevrait ce n° 516, de "Science et Vie", dans un vide-grenier quelconque, voici une photo de sa couverture :



     Et maintenant, voici le début de cet article extrordinaire :


et, nous ne résistons pas au plaisir, de vous présenter ces lignes remarquables, de l'article :



     Mais il faut aussi savoir, qu'à la fin de cet article, on découvre un court panorama d'énigmes archéologiques inexpliquées de l'époque, et énigmes qui le sont toujours de nos jours :



    Enfin rappelons aussi que dans ce Science et Vie n° 516 de Sept 1960 , il y a de plus, un article de 9 pages d'Aimé Michel sur les Soucoupes Volantes, et pour en savoir plus sur Aimé Michel, prière de se reporter à notre article :


     Fin de la deuxième digression.

     Mais ce 14/03/2014, nous voilà arrivés à la fin du texte du "Portsmouth Times" du 31/01/1947, où l'on découvre ce passage très insolite :


     Traduisons approximativement cela :

    " L'amiral Byrd a appelé ces regions inexplorées au-delà du Pôle :"L'endroit le plus inaccessible de la face du monde"".

    Ce passage est un peu plus long dans le texte du The Leader Post également du 31/01/1947, déjà vu aussi plus haut :


, que nous pourrions traduire grosso modo :

" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "

     Et nous voilà, une fois de plus, confronté à cette affaire d'inaccessibilité, très difficile à comprendre ici.

     Mais, ce 24 Mai 2018, pour les puristes, voici une missive très intéressante, et qui est aussi, un autre son de cloche :

    Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:

----- Original Message -----
From: Christophe G.......
To: fred Idylle
Sent: Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject: Re: NEWS PAPER OF BYRD
     Cher Fred,

     Voici un petit exemple de ducuments officels du New-york times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.      Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...

source :


     Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !

     Bien à toi.

     Christophe.

      En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors:


     Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge :

" Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme " la zone la plus inaccessible à la surface de la terre" ".

     Toujours cette affaire de région inaccessible, et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.

     Pour expliquer tant soit peu, cette affaire inouie, le site ARTivision, va devoir monter nettement le niveau ésotérique, de cet article et nous demandons alors aimablement, au novice de bien attacher sa ceinture car à l'altitude où l'on va évoluer il risque d'y avoir de sérieuses turbulences.

     Nous avons en effet, déjà vu plus haut, les passages inouïs du n° 425 de la revue Nostra, de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980 concernant le Pôle nord, et aussi pour le Pole Sud, concernant l'expédition de Byrd en 1947, et présenté par Monsieur Pascal Cazottes, dans le n° 21 de la revue Nexus de Juin-Juillet 2002, où il est question d'un sas peut-être temporel, pouvant s'ouvrir ou se fermer épisodiquement .

     Il n'est donc pas interdit de croire, que Byrd qui a parlé dans les médias de cette zone d'inaccessiblité, a ainsi induit chez les chercheurs orhodoxes le fait de tenter de placer sur une carte, avec une explication très banale, un soi-disant Pôle d'inaccessibilité, comme on le découvre, dans le Science&Vie n° 586 de Juin 1966:


     Et voyons maintenant la significations officielle de ces divers poles ;


     Mais, il y a aussi le fascicule déjà présenté plus haut, du National Géographic Magazine d'Octobre 1947 tel que

  

     Etant donnée l'importance médiatique de cette revue, pour les puristes voici la digitalisation pages 463 et 466 du texte placé à côté de la couverture .

Into Mystery Land Beyond the Pole.

     It had been one of the major objectives of the Navy to penetrate beyond the Pole into this "area of inaccessibility", the vastest unknown which remains in the world.

     When one speaks of "beyond the South Pole" the language is not entirely figurative. The Pole is, of course, by definition the farthest south possible to reach, but it hardly is a midway point towards what now must be the goal of Antarctic exploration-the interior of those millions of square miles which no eye has seen.

     When we were a few minutes beyond the Pole both planes turned to port and flew in a circle around it. This was, for me, the third nonstop flight around the world.

     At the Pole it seemed-and this is an impression subject to correction-that the sastrugi were smaller and less well defined than elsewhere. They may indicate that the South Pole itself is not a place of high winds, so characteristic of much of Antarctica.

     Below us the snow surface had a slight metallic sheen. Where the sun struck at angles it was tinged with gold. I dropped a cardboard box containing multicolored little flags of the United Nations. The symbolism should be obvious-the dedication of this goal of so much selfless heroism of the Norwegians and the British to the ideal of brotherhood among peoples.

     Then, on the back of my navigation chart, I printed a personal message to Fleet Admiral Nimitz in Washington. My hands were so cold I had difficulty holding the pencil.

     I wondered lately if this message could have been legible and examined the chart with a good deal of curiosity.

     I wondered if there would be any evidence of the giddiness which comes from lack of oxygen and the fumes of the alcohol which we were using every few minutes to keep the cockpit window clear of frost.

     What I wrote seems to have been entirely rational, although the message looks somewhat like the writing of a child who has just learned to print the alphabet. It read :

     "It is 13.47 G. A. T. [Greenwich Apparent Time].

     "As I write this, we are circling the South Pole. The temperature is 40 below zero. Our altitude is 12,000 feet. The Pole is approximately 2,500 feet below us. On the other side of the Pole we are looking into that vast unknown area we have struggled so hard to reach. We are dropping on the Pole the flags of the United Nations.

     "The young men with me join in sending to you and to the Secretary of the Navy our gratitude for giving us this opportunity for geographical discovery and great adventure. As this message is finished, we are heading into the unknown beyond the Pole. Warm regards from a cold place to you, Duke, and Forrest. There is no heat in the plane and it is chilly."

     The reference to Duke and Forrest was to Adm. De Witt C. Ramsey, Vice Chief of Naval Operations, and Vice Admiral Sherman, who had done so much to make the expedition possible (page 430)
".

     Et voici notre très approximative traduction (merci à l'internaute qui pourrait l'améliorer) :

Á l'intérieur de la Terre Mystérieuse, au-delà du Pôle.


     L'un des objectifs majeurs de la Marine, avait été de pénétrer au-delà du Pôle dans cette "au-delà du pôle Sud" le propos n'est pas entièrement figuratif. Le pôle est, bien entendu, par définition, le sud le plus loin possible à atteindre, mais il n'est guère qu'un point à mi-chemin vers ce qui désormais doit être l'objectif de l'exploration antarctique, à l'intérieur de ces millions de miles carrés que l'œil n'a jamais vu.

     Quand nous étions à quelques minutes au-delà du Pôle deux avions virèrent de bord et effectuèrent un cercle autour de lui. Ce fut, pour moi, le troisième vol sans escale autour du monde.

     Au pôle semblait-il, et c'est une impression à corriger on voit que les sastrugi (irrégularités topographiques tranchantes sur une surface de neige résultant de l'érosion causée par le vent ) étaient plus petites et moins bien définies que partout ailleurs. Ils peuvent indiquer que le pôle Sud lui-même n'est pas un lieu de vents forts, si caractéristiques d'une grande partie de l'Antarctique.

     En dessous de nous la surface de neige avait un léger éclat métallique. Là où le soleil frappait tangentiellement, il se rependait une teinte d'or. J'ai laissé tomber une boîte en carton contenant des petits drapeaux multicolores de l'Organisation des Nations Unies, pour symboliser évidemment, l'héroïsme désintéressé des explorateurs, tant des Norvégiens que Britanniques et pour glorifier l'idéal de fraternité entre les peuples.

     Puis, sur le dos de ma carte de navigation, j'ai imprimé un message personnel dédié à l'amiral Nimitz de la Flotte à Washington. Mes mains étaient si froides et j'avais du mal à tenir le crayon.

     Je me suis demandé alors, si ce message aurait pu être lu et si l'on aurait pu en examiner le graphisme,avec une bonne dose de curiosité.

     Je me demandais, si il n'y aurait pas eu une preuve d'étourderie, venant d'un manque d'oxygène et des fumées de l'alcool que nous avons utilisées régulièrement pour garder la fenêtre du poste de pilotage hors du gel.

     Ce que j'ai écrit semble avoir été tout à fait rationnel, bien que le message ressemble un peu à l'écriture d'un enfant qui vient d'apprendre à utiliser l'alphabet. On peut y lire :

     "Il est 13,47 G. A. T. [Greenwich Temps apparent].

     "Au moment où j'écris ceci, nous encerclons le pôle Sud. La température est de 40 en dessous de zéro. Notre altitude est de 12.000 pieds. Le pôle est d'environ 2500 pieds au-dessous nous. De l'autre côté du pôle, nous sommes à la recherche dans cette vaste région inconnue que nous avons pu atteindre de haute lutte. Nous avons projeté sur le pôle, des drapeaux de l'Organisation des Nations Unies.

     Les jeunes hommes se joignent à moi pour vous envoyer et à la Secrétaire de la Marine de notre gratitude pour nous avoir donné cette opportunité pour la découverte géographique et grande aventure. Comme ce message est terminé, nous nous dirigeons vers l'inconnu au-delà du pôle. A vous cordialement, à partir d'un endroit froid , Duke, et Forrest. Il n'y a pas de chaleur dans l'avion, et il est froid.
"

     La référence à Duke et Forrest était à l'amiral De Witt C. Ramsey, vice-chef des opérations navales, et le vice-amiral Sherman, qui avait tant fait pour rendre l'expédition possible (page 430).


     Fin de la traduction...


     Et, voici quelques commentaires sur ce texte : D'abord, il y a ce vocable du titre : "Terre mystérieuse" qui surprend, quand on l'applique à des zones en principe, totalement glacées et pleines de neige en abondance. Il faut vraiment avoir une imagination de poète virtuose, pour voir là, se présenter un mystère caractérisé, dans ces zones arides où (nous l'avons écrit souvent), la température frise souvent le - 50 ° .

     Puis, il y a ces termes ambigüs : "zone d'inaccessibilité la plus vaste inconnue qui reste du monde".

     Notons en passant, que ce Pôle d'inaccessibilité. figure en page 96, figure 10 de "L'Antarctique" d'André Cailleux chez "Que Sais-Je" n° 1249 P.U.F"):

  

     Il n'est donc pas interdit de croire, que c'est d'abord Byrd, ou , un de ses confrères, qui parlant dans les médias de zone d'inaccessibilité , ont pu inspirer certains géographes, l'envie de placer sur une carte ce fameux Pôle d'inaccessibilité. Point à la ligne...

     Mais, ce 24/05/2918, nous voila arrivé à notre dix-septième focus :

Dix-septième focus :ARTivision, présente des documents incontournables, qui permettent d' aller plus loin dans cette affaire scabreuse de Pôle d'inaccessibilité..

     Disons alors, en passant que, le site ARTivision  est aussi ce que l'on peut appeler un CoBDES (Cosmic Background Data Explorer Site)  : Site d'exploration des informations de base, liées au Cosmos (notez bien la couleur fuchsia relative à la dimension 3 et surtout 4 et plus,  du Cosmos). et demandons encore au Grand Maître de Findhorn, de nous en dire un petit plus, sur tout cela :
     Sors de ton petit trou et élargis ta conscience, et réalise
qu'il n'existe pas de limite

Il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas voir plus loin qu'eux-mêmes
ou le groupe ou la communauté où ils vivent.


Ils sont tellement liés par des petites choses mesquines
qu'ils ont de la difficulté à grandir de quelque manière que ce soit.

C'est là que d'immenses changements sont nécessaires,

et au plus vite.

Ne sois pas satisfait uniquement par ce que tu peux comprendre,
mais sois prêt à aller plus loin, à oser aller là
où tu n'as plus pied et à faire ce qui est apparemment impossible.
C'est ainsi que tu progresses.

Accepte d'être étiré jusqu'à être sur le point de craquer,

et encore plus loin !

Vis aux confins de quelque chose de complètement nouveau.

Ne crains pas le nouveau et l'inconnu,
mais fais simplement un pas à la fois dans la confiance

et la foi absolues

en sachant que chaque pas te conduira
vers le merveilleux
ciel nouveau
et la merveilleuse nouvelle terre.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 24 Mai, après adaptation d'ARTivision.

      Dur... Dur, n'est-ce pas à encaisser !!! ce language très didactif et philosophique,, surtout si l'on sait lire entre les lignes, au sujet de cette affaire de limite inexistante, tant, (nous le supposons), dans l'Espace que dans le Temps ... , et de plus il faut faire vite car on doit se préparer dès maintenant, à l'arrivée du nouveau ciel et de la nouvelle Terre.

       Le site ARTivision, qui a démontré souvent, que nous sommes bien arrivé à la période du Grand Chambardement pychique et géologique de l'ère du Verseau (Chacun est libre bien sûr de s'esclaffer d'hilarité à cette annonce), mais il nous appartient ic,i que montrer par ce qui suit que certains détraqués, ont déjà, lamentablement loupé le coche, par leurs agissements stupides et dérisoires...




      


       Le scientifique Australien présenté ci-dessus, aurait mieux fait de s'inspirer de inégalable combat de Stephen Hawking, pour rester en vie, et faire de superbes découvertes, jusqu'à son dernier souffle.

       Concernant notre système solaire, ce scientifique australien, aurait sans doute, bientôt, pu découvrir, entre autre chose, par exemple, que cette affaire d'espace à plusieurs dimensions est largement évoquée dans l'ouvrage très surprenant, d' Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins nommé "Télos: Révélations sur la Nouvelle Lémurie", publié aux Editions Ariane en 2002 :

  

      Et en pages 114 et 115, on trouve ce passage si éblouissant pour nous :

      "Toutes les planètes possèdent des ouvertures aux pôles nord et sud. Nous avons migré par celles-ci et découvert notre petit "nid" à l'intérieur. Le cœur de la planète est si propre, si pur et si paisible, que depuis cette époque nous n'en sommes jamais sortis.

    Au cours des âges, nous avons amplifié et amélioré le réseau de galeries menant aux cités souterraines et à la surface, afin de faciliter les déplacements de nos concitoyens et des vôtres. Bien que les tunnels n'aient été que rarement employés par des voyageurs de chez vous, ils serviront prochainement, lorsqu'un nombre croissant d'entre nous se mêlera à vous et que nous nous rendrons mutuellement visite. La face externe de votre planète est donc parsemée d'entrées de tunnels conduisant à nos cités et à leurs agglomérations".

     Dur... dur, n'est-ce pas ces paroles surprenantes qui confirment noir sur blanc , les découvertes hors normes d'ARTivision. Point à la ligne...


      Allez, un petit plus pour la route, du novice, qui veut en savoir bien plus . En effet, aux pages 29 et 30, du même ouvrage, on peut lire ceci ;

      "Toutes les planètes sont creuses; autant celles de ce système solaire que de l'ensemble de l'univers. Naturellement, elles ne possèdent pas toutes une densité tridimensionnelle, mais elles sont toutes creuses à l'intérieur. La plupart sont peuplées de sociétés appartenant à diverses dimensions, surtout à la cinquième et au-delà. Bien qu'il y ait encore plusieurs astres tridimensionnels au sein de la création, ils comptent pour peu parmi ceux qui sont à cinq dimensions. Ils ne sont pas tous habités à leur surface, mais tous abritent des peuples à l'intérieur. Mars, en l'occurrence, contient une civilisation ascensionnée de la cinquième, dimension qui prospère en son centre, invisible et indécelable pour vos scientifiques. L'intérieur et la surface de Vénus portent aussi une population de la même dimension, qui s'apprête à passer à la sixième; l'humanité ne peut la déceler, ni par ses facultés sensorielles ni par ses instruments. Voilà pourquoi vos scientifiques en ont conclu que ces mondes sont inhabités et impropres à la vie.

    Les planètes sont créées par les Élohim, les architectes de la Création. Bien que chacune soit différente et douée d'un caractère unique, leurs écosystèmes internes et externes partagent une base similaire. L'architecture des planètes permet les déplacements à l'intérieur de leur structure... "

        Fin de citation

    Avouons que ce n'est pas du tout, ce genre de discours, que pourraient nous diffuser, les organes de Presse consacrés à l'étude de l'Espace, ni même les tabloïds, les plus tapageurs, et avides de scoops hors-normes...

        Oh la, là..., voilà que nous reviennent ces Elohim, si souvent aussi évoqués par l'ouvrage remarquable et incontournable de Brinsley le Poer Trench (Grand ufologiste et en réalité 8e comte anglais de Clancarty ), paru à Londres chez Neville Spearman en 1960, sous le titre, déjà vu plus haut, "The Sky People"


, puis aussi en France, bien plus tard cet ouvrage, est paru, dans la collection de poche J'ai Lu, dès 1968 sous le n° A 252 :

  

      On sait alors que cet ouvrage concerne surtout, l'Ancien Testament, où apparaît le terme clairement le terme Elohim, et, terme totalement occulté, dans toutes les Bibles connues, sauf deux qui sont d'abord celle de CHOURAQUI,(COL.Desclée de Brouwer 1974, placée ici à gauche), et aussi, celle de DHORME (COL. La Pléiade, Gallimard 1956, placée à droite),


     Mais pour être plus clair, voyons justement, les premiers mots de ces deux ouvrages ( Chouraqui à gauche et Dhorme à droite) :



      Voyons aussi, la version de Chouraqui et celle de Dhorme du fameux chapitre 6 de la Genèse et qu'il convient de lire et de comparer, avec la plus grande attention :



A bon entendeur salut !!

      Mais justement Mais, ce 27 Mai 2018, nous croyons, que c'est ici, le moment de sortir notre dix-huitième focus : Dix-huitième focus :ARTivision, s'interroge vivement sur la notion très philosophique, de l'écoulement du TEMPS, dans notre univers..

      En effet en ce qui concerne la manipulation du concept temporel, prière de bien s'accrocher à un solide siège, si l'on veut visiterl'ahurissante vidéo, suivante :


      Comme on le sait, qu'il faut battre le fer pendant qui'il est chaud, présentons alors la méditation transcendante, du Grand Maître de Findhorn, (revoir bien sûr Findhorn.html)), concernant notre comportement moral vis à vis des êtres humains de cette planète, et affaire qui préoccupe en ce moment, de nombreux gouvernements européens et consorts affiliés :

Peux-tu dire sincèrement que tu aimes tes compagnons humains,
que tu t'intéresses à eux, que tu les apprécies
et les connais comme ta propre famille ?

Ou te contentes-tu de les tolérer et trouves-tu que
c'est un véritable effort d'avoir à te frotter à eux ?

Tu ne peux pas dire que tu aimes La Source,
si tu n'aimes pas tes compagnons humains,

car ces relations sont tissées de manière si serrée
qu'il est impossible d'aimer l'une sans l'autre.

Passes-tu ton temps à choisir qui tu vas aimer
et qui tu sens qu'il te serait vraiment impossible d'aimer?

Il ne devrait y avoir aucune discrimination en amour,
car l'amour divin embrasse tout de la même façon.

Il voit toute personne à Son image et à Sa ressemblance,
peu importe
la couleur, la race, le sexe, la croyance ou la religion.

Il te faudra atteindre le point où tu pourras voir et comprendre

l'Unité de toute vie,

connaître ce que signifie vraiment la famille humaine, et connaître
La Source comme étant l'origine de tout.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 25 Mai, après adaptation d'ARTivision.

      Pas mal, n'est-ce pas que ce langage
(si l'on sait encore lire entre les ligne), et langage qui pourrait être appelé à résoudre les problèmes bien actuels de notre socièté bancale.

     Mais pour les "va-t-en-guerre" et autres révolutionnaires forcenés tueurs " de leurs frères de misère sur cette Terre, il est peut-être utile de rappeler ce qui suit, qui va faire l'objet de notre 19 e focus :

Dix-neuvième focus :ARTivision, expose clairement certains passages de l'ouvrage extrordinaire, intitulé "Rencontre avec les Extra-terrestres" de ROSE.C publié Editions du Rocher au début de 1979 ,

  

Et , nous avons eu quelques conversations téléphoniques en l'an 2000 avant son décès :

Voici donc une conversation de Rose avec un être venu d'ailleurs :

     -Vous avez l'air d'aimer les chiens, en avez-vous là-haut ? demanda innocemment Rose.

     -Tout ce que vous avez sur Terre, nous l'avons aussi, car ce sont leurs lointains ancêtres qui ont tout amené. Seulement tout est plus grand. Ainsi les chats ressemblent à de petits tigres et les arbres sont immenses . Même les hommes descendent d'eux...

     - Impossible! sur Terre, il n'y nulle part des hommes aussi grands que ceux là !

     - Mais parce qu'au fil des générations, tout a rapetissé .

     - Mais dans ce cas pourquoi avoir forcé des hommes à vivre dans un lieu qui les diminuait ? demande Rose en ironisant.

     - Cela n'a pas toujours été ainsi. Préparer cette planète à recevoir la vie n'a pas été aussi simple ! Il fallut ensemencer afin de créer, puis amener une atmosphère, puis amener des animaux et ce fut un travail de longue haleine. Ce n'est que plus tard qu'on déporta les hommes, car ces derniers n'étaient pas n'importe quels hommes ! Sur terre quand vous punissez les voleurs, les bandits, les assassins, vous les mettez soit dans des prisons, soit dans des bagnes, bref, en des endroits où sans liberté, les punis sont à la charge de la société laborieuse; Eux, ces géants qui nous ont envoyé, ils ont résolu le problème en aménageant une planète pour les punis. Ils les déportaient donc après qu'ils eussent été amputés d'une partie de leurs connaissances, ensuite ils les laissaient libres , n'étant à la charge que d'eux-mêmes. D'eux seuls dépendait alors leur survie. Vous descendez-de ceux là !

     Vexée d'apprendre qu'elle descendait de bagnards, Rose répliqua immédiatement "Vous aussi, il me semble": "Exact" fut la réponse.

     - Et tout cela n'est rien , le plus dur pour eux fut d'amener un satellite convenant à cette planète.

     - Un satellite, vous voulez dire une lune ?

     - Exactement, et ce ne fut pas si facile ! il y eu une erreur sans doute dans le choix de cette lune, car un jour en amenant une cargaison de punis, ils tombèrent sur des géants, trois plus grands qu'eux, et la flore et la faune avait subi elles aussi la même transformation. Beaucoup plus tard, le satellite s'écrasa sur la planète, et il s'écoula du temps, avant qu'ils puissent en trouver un autre qui convienne à la Terre; Ils le découvrirent pourtant dans un autre système solaire et le ramenèrent sur l'orbite où vous pouvez le voir aujourd'hui.


     Fin de citation

     Nous arrêtons ici la narration de cet incroyable aventure afin de ne pas subir les foudres de l'Editeur et surtout afin que vous cherchiez à vous procurer le livre de Rose C, si vous avez encore la chance de tomber dessus, car ce n'est pas le genre d'ouvrages que les médias aiment à mettre en exergue puisqu'il défie notre plus élémentaire logique.

     (Notons en passant que ce scénario de "la Terre bagne-cosmique" est décrit d'une manière quasi identique dans le livre de G. Adamski "Inside the Space Ships" de 1955 et traduit en français en Mai 1979 sous le titre "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace", chez M. Moutet. page 92)

       Curieux n'est-ce pas !!, le fait qu'Adamski, parle aussi de cette affaire de Terre, utilisée comme un bagne, par des entités très évoluées.

      Pour que le novice, qui découvvre très opportunément, le site ARTivision par cet article, et qui de plus, n'a jamais entendu parler du sieur Adamski, nous sommes alors obligés de présenter ici, l'ouvrage en question, qu'il convient d'avoir vite sous la main, pour en savoir bien plus....

      En effet tout cela est parfaitement clair, dans l'ouvrage français en question :


     Voici donc en français, en page 91 et 92, un premier passage en question :

     Puis, il a aussi ceci d'incroyable en page 92 :
       Et, enfin aux pages 92-93 voila l'histoire du bagne :


      Alors, à votre place, en ces Temps de Révélation, Messieurs les irréductibles gangsters de cette socièté à la dérive, il conviendrait assurément, de filer doux, tout doux... , si vous ne voulez pas vous retrouver, à l'âge des cavernes, d'une autre planète isolée, comme celle décrite dans missive suivante :

----- Original Message -----
From: Pierre Lux
To: Chantal ; Fred
Sent: Thursday, May 24, 2018 3:12 PM
Subject: L’existence d’une planète fantôme dans le système solaire se précise

.
L’existence d’une planète fantôme dans le système solaire se précise.
     ACTUALITÉ


     Soupçonnée depuis plusieurs années, la théorie de l’existence d’une neuvième planète du système solaire, jusque-là ignorée, prend de plus en plus d’épaisseur. Elle ferait le tour du Soleil… en 10 000 à 20 000 ans.

     Les scientifiques l’appellent planète 9, Jehoshaphat, Phattie ou encore planète X. Personne ne l’a jamais observée. Pourtant, de plus en plus d’astronomes sont convaincus de son existence. Une étude publiée il y a quelques jours semble même confirmer son existence : il y aurait bien une planète, d’une masse équivalente à dix fois celle de la Terre, pour un diamètre quatre fois plus grand, cachée dans le système solaire, bien au-delà de Pluton. Sa période de révolution (un tour complet autour du Soleil) serait de 10 000 à 20 000 ans, et elle serait 6 à 40 fois plus éloignée du Soleil que Neptune, l’actuelle planète la plus distante. Son orbite serait totalement différente du plan habituel, ce qui expliquerait qu’elle n’ait jamais encore été découverte.

     La planète 9 (orbite en orange) aurait une orbite totalement atypique et très lointaine, par rapport aux autres planètes du système solaire.

(Illustration : Caltech/R. Hurt/IPAC)
     C’est le très sérieux journal scientifique Nature qui avait, le premier, jeté un pavé dans la mare en 2014, en publiant l’étude de Chad Trujillo et Scott Sheppard, aux conclusions étonnantes : selon celles-ci, l’orbite de certains objets de la ceinture de Kuiper (une zone située au-delà de l’orbite de Neptune), pourrait être expliquée par la présence d’une planète massive encore inconnue.

Une orbite totalement inhabituelle

     Au départ, l’éminent Mike Brown et Konstantin Batygin, de l’Institut de technologie de Californie, se mettent en tête de démontrer le contraire, peu convaincus de l’existence d’une planète « cachée ». Mais tous leurs calculs les ont amenés à la conclusion, en janvier 2016, que cette planète existe bel et bien… Ils estiment sa probabilité à 90 %.

     La dernière étude sur le sujet, publiée le 14 mai, s’est intéressée à un « objet » rocheux, d’une taille à peu près comparable à Pluton, appelé 2015BP519 : il orbite autour du Soleil, mais à un angle très différent des planètes connues du système solaire. Les scientifiques ne s’attendaient pas du tout à trouver cet « objet », puisque leur étude devait au départ s’intéresser à l’observation de l’énergie noire dans l’univers.

     La planète 9 pourrait ressembler à cela, avec un aspect assez proche de Neptune.

(Illustration : Nasa/Domaine public)

     L’explication de cette orbite totalement inhabituelle serait l’attraction exercée par la fameuse neuvième planète. C’est, pour eux, la seule explication possible après plus de 1 000 jours d’observation et des extrapolations informatiques sur plusieurs milliards d’années. Dès qu’ils insèrent dans leurs modèles la fameuse planète 9, théorisée par Mike Brown et Konstantin Batygin… tout fonctionne.
« Une portée scientifique inégalée »
     « Ce n’est pas une preuve que cette planète existe, explique à Quanta Magazine David Gerdes, astronome à l’université du Michigan et co-auteur de l’étude. Mais je dirais que la présence d’un tel objet (2015BP519) dans notre système solaire renforce fortement l’hypothèse de cette neuvième planète. »
     L’étrange orbite de 2015BP519 correspond parfaitement aux hypothèses déjà formulées, un an plus tôt, par Mike Brown et Konstantin Batygin. Pour ce dernier, « une bonne théorie reproduit fidèlement les données observées, mais une grande théorie prédit les futures données ».
     Gregory Laughlin, astronome à l’université de Yale n’ayant pas participé à l’étude, également interrogé par Quanta, estime que « trouver une planète d’une masse de dix fois la Terre, dans notre système solaire, serait une découverte d’une portée scientifique inégalée ».
     Si plusieurs scientifiques restent sceptiques quant à l’existence de la planète 9, ou considèrent les données encore insuffisantes, James Lauer Green, chef de la division scientifique de la Nasa depuis le 1er mai, avait estimé dès 2016 que « les preuves de son existence [étaient] plus fortes que jamais ».
     Depuis plusieurs mois, quelques-uns des plus grands astronomes du monde ont les yeux tournés vers le ciel… à la recherche de la preuve définitive : l’observation de la fameuse planète 9, avec un télescope.


     Source : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/24730/reader/reader.html#!preferred/1/package/24730/pub/35565/page/4

         En fin de compte, comme le dit souvent, au novice ingénu, le Webmaster d'ARTivision : " prière SVP, de bien attacher votre ceinture car, on est en train de découvrir, ces temps-ci, que la réalité dépasse de très loin, la fiction. "

      Mais pour celui qui veut vraiment avancer dans ce dossier, nous l'invitons très aimablement à consulter ce qui suit :

----- Original Message -----
From: Pierre Lux
To: Fred
Sent: Friday, May 18, 2018 1:27 PM Subject: Inconscient collectif : Nous sommes tous reliés...


17 Mai 2018

Inconscient collectif : Nous sommes tous reliés...

       L’existence d’une conscience collective bientôt prouvée ? Peut-être, grâce à une expérience troublante menée dans le monde entier avec un petit appareil censé détecter les émotions de groupe. Enquête sur cette invention qui révolutionne nos connaissances sur le psychisme.
       C‘est une petite boîte en métal, qui n’a l’air de rien d’autre qu’une petite boîte en métal… Je pensais, en commençant mon enquête, me retrouver devant un superbe alambic fluorescent et tintinnabulant au milieu d’un bric-à-brac digne du cabinet d’un docteur Mabuse. Au lieu de ça, rien que cette petite boîte connectée, tout de même, à un ordinateur. Juste un ordinateur portable, tout simple et tout gris. Ce fleuron de la technologie, premier brevet industriel de la parapsychologie, ne ressemble à rien. Je fais comme le petit portable, grise mine. Et ça se voit. « Vous vous attendiez à quoi ? » J’explique à quoi.
       Mais il y a pire encore : cette petite boîte est faite pour fonctionner n’importe comment. Son cœur est un composant électronique conçu pour fabriquer du hasard… Pardon ? Ce n’est pas bien compliqué : lorsque vous prenez une paire de dés et que vous les faites rouler sur la table, vous fabriquez du hasard. Cet appareil fait la même chose, mais de façon bien plus sophistiquée : il débite à toute vitesse des suites de chiffres, au hasard. Gadget génial mais inutile ? Pas pour tout le monde. En tout cas, pas pour les chercheurs qui participent au Global Consciouness Project – le Projet conscience globale qui, paraît-il, est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine.

Notre esprit peut-il influencer le hasard ? :

       Tout commence à la fin des années 60, avec un physicien, Helmut Schmidt, alors directeur de recherche des laboratoires Boeing, aux Etats-Unis. Boeing, la fameuse firme d’aviation. Schmidt obtient l’autorisation d’utiliser son labo et ses compétences pour faire des recherches en parapsychologie ! Esprit éminemment créatif, il invente le premier « générateur numérique aléatoire », sorte de grosse caisse sur laquelle des ampoules s’allument au hasard. En essayant de deviner quelle ampoule va s’allumer, ce dispositif permet de faire des expériences de ‘voyance’.

       Encouragé par le staff de Boeing, le physicien perfectionne son invention. Il miniaturise la boîte, ajoute des rangées d’ampoules et change la règle du jeu : il ne suffit plus de deviner quelles ampoules vont s’allumer, mais d’essayer d’influencer par la force de l’esprit l’ordre dans lequel elles s’allument. Cet exercice de « psychokinèse » donne des résultats si étonnants qu’il provoque un certain émoi dans la communauté scientifique.

Capter les émotions d’un groupe. :

       Passons sur les vingt et quelques années qui ont suivi, pendant lesquelles ce générateur numérique a été testé des milliers de fois, et a servi d’outil de recherche dans tous les laboratoires universitaires de parapsychologie. Nous nous retrouvons en 1996 à l’université Princeton, toujours aux Etats-Unis. Cette auguste institution abrite le Princeton Engineering Anomalies Research, l’un des hauts lieux de la recherche américaine. Le professeur Roger Nelson, psychologue, s’intéresse à ces machines à fabriquer du hasard – qui n’en fabriquent plus par la force de l’esprit. Pour un psychologue, c’était faire preuve d’une nette ouverture, d’esprit justement.

       Un jour, il s’interroge sur la possibilité pour cet appareil d’être influencé non par une personne, mais par un groupe. Avec son fils Greg, informaticien expert en intelligence artificielle, il met au point une nouvelle version du générateur numérique, le générateur d’événements aléatoires, plus connu aujourd’hui sous le nom de Egg. Premières expériences en groupe. On réunit une trentaine de personnes dans une salle et on leur demande de chanter, de parler, de s’amuser. L’Egg, placé dans un coin, fabrique du hasard à tout-va : le graphique, semblable à un tracé d’électroencéphalogramme, qui s’affiche sur l’écran de l’ordinateur, reste plat. Sauf lorsque tout le monde fait la même chose en même temps, méditer par exemple. La machine réagit alors comme si elle « captait » l’état d’esprit du groupe : le graphique commence à dessiner une courbe. Intrigué, Roger Nelson propose une hypothèse : lorsqu’un groupe porte son attention sur un même événement, «l’esprit de groupe » devient cohérent. Donc, si l’Egg est placé dans le «champ psychique» de ce groupe, il est influencé par des émotions, comme le calme, la peur, la joie, la concentration.

La Terre entourée d’un champ psychique. :

       D’autres chercheurs, alertés par cette surprenante découverte, s’associent au projet. En 1998, une quinzaine de Egg sont envoyés à autant de scientifiques un peu partout dans le monde. Avec une intention bien précise : un événement déclenchant une puissante émotion collective peut-il être enregistré par toutes les machines simultanément ? Si oui, cela confirmerait l’existence d’un champ psychique planétaire, quelque chose qui ressemblerait à une « conscience globale ».

       Les premiers tests donnent des résultats immédiats. Ainsi, lors d’événements comme les funérailles de Lady Di, les appareils, qu’ils se trouvent aux Etats-Unis, en Chine ou en France, enregistrent des variations du champ psychique. Au cours des trois années qui suivent, le Global Consciouness Project prend une ampleur inespérée. L’appareil obtient un titre de propriété industrielle, une grande première dans l’histoire de la parapsychologie. A la fin de l’année 2002, le parc de Egg sera passé de quarante à soixante-quinze machines. Deux d’entre elles sont installées en France. Toutes sont reliées à l’ordinateur central du laboratoire de Princeton via Internet, qui enregistre automatiquement, heure après heure, les données recueillies par chaque ordinateur. Le fonctionnement de ce réseau pourrait être comparé à une électroencéphalographie de notre planète : chaque fois qu’un événement collectif se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus l’événement est fort et médiatisé, plus la fluctuation est importante.

       Le 11 septembre 2001, bien sûr, a fait crépiter toutes les machines et a fait monter les courbes vers des niveaux encore jamais atteints. Avec un détail que les scientifiques n’avaient pas encore osé souligner, même s’ils l’avaient déjà remarqué auparavant : sur les écrans des ordinateurs, les fluctuations de la conscience collective ont commencé la veille. Oui, la veille ! Notre champ psychique collectif aurait « perçu » l’événement avant qu’il ne se produise.

Nous faisons partie d’un Tout. :

« Avec cette expérience mondiale, nous sommes en train de démontrer d’abord que notre conscience n’est pas limitée à notre corps, mais semble s’étendre dans un espace beaucoup plus vaste. », explique Roger Nelson. « Ensuite, qu’il semble bien exister une conscience globale dont nous faisons partie. Scientifiquement, il y a encore beaucoup à faire pour que cette hypothèse soit validée à cent pour cent. La première conséquence de cette découverte, c’est qu’il faudra réviser nombre de dogmes scientifiques sur la nature de l’esprit, de la conscience, et même de la vie. La seconde est que, individuellement, elle permet de mieux comprendre que nous faisons partie d’un tout, que nous sommes tous reliés les uns aux autres… »

       Dernières nouvelles :
depuis quelques mois, un autre phénomène est également observé. « Les tracés de cette électroencéphalographie de la Terre sont en constante augmentation. », ajoute Roger Nelson. « Comme si la conscience collective était en train de s’éveiller. Ce qui peut correspondre au déclin de l’individualisme qui a prévalu ces dernières années au profit de la famille, du groupe, du collectif. Un sentiment que beaucoup commencent à ressentir ou à expérimenter, surtout à une époque où les catastrophes écologiques et les menaces politiques invitent à davantage de solidarité et d’intérêt pour le devenir de l’humanité. »

Jung. :

       C’est Carl Gustav Jung qui, au cours des années 20, a forgé le terme d’« inconscient collectif ». Il divisait notre inconscient en deux « territoires» : le personnel et le collectif. L’inconscient personnel est le produit des expériences propres à chacun de nous. L’inconscient collectif est né de toutes les expériences humaines depuis l’aube des temps. Il n’est donc pas uniquement la somme des inconscients personnels : c’est la mémoire psychique de l’humanité depuis sa naissance. C’est en lui que, tout au long de notre histoire, se sont cristallisés les symboles universels – que Jung a appelé les « archétypes»: le dragon, le héros, le cristal… Ils sont si forts que Jung avait pu prédire (in “Ma vie”, Gallimard, 2001) la dernière guerre mondiale bien avant qu’elle n’éclate parce que, en analysant les rêves de ses patients, il avait remarqué que Wotan – le dieu scandinave de la guerre – y apparaissait de plus en plus souvent.


Source : https://stopmensonges.com/inconscient-collectif-nous-sommes-tous-relies-2/.html

     Fin de citation.

     Finalement, on voit, dans tout ce qui précède, que le site ARTivision, avait bel et bien pressenti tout cela, en mettant en exergue dès le 08/06/1999, son article tout à fait hors norme, placé à :

     Mais de plus, les méditations du Grand Maître de Findhorn, disent souvent justement, que nous faisons tous partie du Grand TOUT, et par exemple pour le 25 Novembre, on trouve ceci :

Toute chose fait partie du Tout,
et tu fais partie de ce Tout.
Lorsque tu t'en rendras pleinement compte et que tu pourras 1'accepter,
tu ne ressentiras plus jamais la séparation.

................. reste coupé ...................................

     Et, il ne reste au novice ingénu, pour en savoir bien plus, de lire ou relire avec soin, l'ouvrage incontournable sur le sujet, et déjà présenté plus haut, et intitulé : "Nos pensées créent le monde", de la journaliste scientifique Martine Castello, et du polytechnicien Vahé Zartarian publié en Janvier 1994, aux Editions R.Laffont, en dans la collection Nouvelles énigmes:

  

       Mais, il se pourrait, qu'une partie de l'affaire en question, soit déjà dans l'ouvrage "Ultimes Paroles" de l'incomparable "Baird T.Spalding, publié par Robert Laffont, dès Juillet 1985 :

  
       Et voici en page 47, le texte en question, plutôt surprenant :


       A vous de juger, une fois de plus, tout cela, documents troublants à l'appui...

       Mais, ce le 21 Juin 2018 il est sans doute le moment de placer ici notre 20e focus :

Vingtième focus :ARTivision, s'étend prosaïque ment sur la notion de légende ou de mythe, de nos textes anciens et en particulier, aux légendes qui s'attachent à la civilisation des esquimaux .

      En effet, nous allons ici poursuivre notre exploration de la notion très philosophique de ce que l'on appelle appelle la légende,, mais le site ARTivision, fera là encore, appel à des documents historiquement péremptoires, que chacun peut trouver dans les bibliothèques officielles.

      Le thème soutenu par notre site, n'est absolument pas nouveau, et on pourrait même, avouer qu'il remonte avant J.C, car ce thème est relié aux travaux du personnage grec, tel que nous l'indique notre Petit Larousse en couleur de 1988 :


      C'est alors notre Sinbad des temps modernes, Robert Charroux, né Robert Grugeau le 7 Avril 1909 à Payroux et qui nous a quitté le 24 Juin 1978 à Vienne en France. qui a été l'un des premiers à lancer, ce thème en France, en 1963 :


ce que l'on appelle désormais le néo-évhémérisme ou aussi la théorie des anciens astronautes, et toujours contestée par les archéologues officiels, alors que l'exploration de notre environnement lunaire, et de celui de notre systéme solaire, confirme absolument cette théorie hors-norme.

    Cette théorie se retrouve aussi dans les ouvrages de Jean Sendy, dont l'un, très important, (on l'a déjà vu plus haut) , fut en 1968 :

  

    Il y a aussi, les ouvrages du tibétain Lobsang Rampa (toujours très critiqué par les journalistes ignares), dont voici quelques couvertures de son célèbre "Troisième œil " :

 
 


    Puis, il y a ceux de l'ami Guy Tarade, et aussi cela va de soi, ceux de Serge Hutin, d' Erich von Daniken, de Charles Berlitz, d'Andrew Tomas, de Brinsley le Poer Trench, ou encore de Maurice Chatelain (Ancien spécialiste de la NASA) ou de Pierre-Moatti (Ancien Préfet), de David Hatcher Childress , de Graham Hancock, et de bien d'autres...
qui furent, il n'y a pas si longtemps bien critiqués par les biens-pensants de l' intelligentsia universitaire.

       Voici; par exemple, un ouvrage de David Hatcher Childress, qui met vraiment les points sur les Is, en ce qui concerne la Technologie antique : Paru en anglais en 2000, sous le titre Technology of the Gods Adventures Unlimited Press, Kempton USA et qui en français, a été publié en 2004 par les Editions la Huppe :


        Tous ces auteurs, furent de puissants précurseurs préparant les Temps nouveaux, et ce sont eux, qui ont d'abord assumé, hélas, les critiques et rires sarcastiques des détracteurs d'antan, qui désormais adoptent un profil bas, vis à vis des découvertes cosmiques, comme celles qu'ARTivision, s'évertue (avec ses très faibles moyens déjà exposés plus haut), à mettre, petit à petit, en exergue.

        Mais, il n'y a pas que les Grecs qui nous obligent à plonger dans la mythologie de leur dieu Apollon. Montons alors tout à fait plus au nord;,et voyons ce que nous racontent les Esquimaux, qui ont réussi à s'adapter au climat très rigoureux de la zone polaire nord :

     Mais voici une autre affaire aussi curieuse, concernant les esquimaux . Nous n'avons connu cette affaire qu'en fin de 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible" (très difficile à trouver, et très cher sur Web) :



       Ces derniers temps, on peut trouver sur le marché, cet autre ouvrage en remplacement, publié aux Editions Hades en Sept.2017



       Mais, jetons alors un coup d'oeil très pointu, sur le passage admirable page 150, de ce suprenant ouvrage de 1971 :


       Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources avant traduction nous avons aussi dans notre bibliothèque l'ouvrage (où apparait cette curieuse légende) du DR Raymond Bernard paru en 1964 "THE HOLLOW EARTH ", the greatest geographical discovery in history, chez l'éditeur FIELDCREST aux USA :

  

       Et en page 17 voila le texte originel :

       Donc, tout est clair, il n'y a pas d'erreur de traduction et de transmission, dans cette affaire et comme pour le dieu Apollo, on est en demeure, de se poser la question :

       " Pourquoi donc, ce si valeureux peuple Esquimau, a montré justement le Pôle Nord, comme lieu de son origine, alors , (on le sait bien), que pour nos savants actuels, ce point est situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

        De plus, cela contredit tout ce qui est révélé académiquement par nos pontifes universitaires... (voir par exemple les documents et livres suivants) : :

  

     Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage "Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de notre intérêt, sans cesse croissant, pour le Passé prestigieux de notre Planète.

      Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972, (après pas mal de péripéties), pages 253 et 254, re-strcturées par nos soins:

  
      On découvre alors, que dans le New York Herald Tribune du 11 Juin 1958, que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google, que l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru dans le New york Herald Tribune, " s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "

      Ou encore dans l'ouvrage d'un certain archéologue des régions polaires :


    Ouvrage que nous avons découvert, lors de notre passage à Paris en Mai 2007, à la Libraire de l'Avenue 31 Rue de Lecuyer, Porte de Saint-Ouen.

    Cet ouvrage est paru aux USA, sous le titre "Ancient Men Of The Arctic" by J. Louis Giddings. publié en Juillet 1967 avec photographies , schémas de gravures et cartes, avec 391 pages et publié chez Alfred A Knopf.

    En feuilletant cet ouvrage dans la librairie, nous avions remarqué, qu'il s'y trouvait un chapitre parlant de "L'énigme de Esquimaux" , et c'est essentiellement cela, qui nous a déterminé à faire l'acquisition de cet ouvrage.

    Voyons donc ce que l'on nous dit en 1973 dans la préface de cet ouvrage, préface écrite par Jean Malaurie anthropogéographe, explorateur spécialiste des régions arctiques et administrateur chez Fayard de la collection "Civilisations du Nord".

    Voila donc en partie ce qui concerne l'origine de cet étrange peuple des esquimaux:

a) De l'origine des esquimaux et de la raison du peuplement des zones arctiques

    "L'Arctique pour le lecteur français, ce sont.., les Esquimaux. Les Esquimaux, toujours les Esquimaux. Pour les premiers chercheurs aussi. Et c'est très tard que l'on a saisi l'unité culturelle de cette civilisation originale qui se déploie sur un front de 15 000 kilomètres, de la Sibérie au Groenland. Civilisation surprenante à des latitudes où toute vie est un défi, et qui confond, par son unité et son ampleur. C'est l'espace civilisationnel le plus vaste du monde après celui occupé par les Arabes. Et l'on comprend qu'elle ait retenu la première attention des ethnologues, bien que leur effort de description et d'analyse ait souvent absorbé ceux-ci au point qu'ils en ont oublié le sens profond.

    D'où viennent-ils et pourquoi cette montée des hommes vers le pont ou le détroit de Béring ? Les traits mongoloides des Esquimaux ont conduit les premiers observateurs à conclure hâtivement (dès le XVIIIe siècle), qu'il s'agissait de peuples du nord de l'Asie - Toungouzes ou Chinois - repoussés par des tribus hostiles vers le Nord-Est sibérien, puis vers les steppes glacées américaines - les futures prairies - non occupées encore par les Indiens. Etc..."

    Mais un peu plus haut dans cette préface, on trouve aussi une raison concernant le peuplement des zones arctiques :

    "...Pourquoi cette poussée, cette obstination vers le Nord ? Parce qu'aux interstadiaires, c'est-à-dire aux périodes relativement tempérées des zones arctiques, les steppes, libres des glaciers, sont d'immenses prairies verdoyantes parcourues par un abondant gibier. Etc.... "

    Fin de la citation très partielle.


    Autrement dit, les régions arctiques actuellement si réfrigérantes ont été peuplées autrefois, quand la température était plus tempérée, parce qu'elles regorgeaient de nourriture.... Point à la ligne et n'en parlons plus...

    Bien sûr pour ARTivision, il y a bien mieux comme explication. Alors Messieurs les historiens des zones arctiques attachez SVP, solidement vos ceintures, car nous allons entrer dans une zone à très fortes turbulences...

      Le Webmaster du site ARTivision, qui aime retrouver la source d'un document, a cherché pendant prés de 40 ans, dans quel ouvrage R. Bernard avait trouvé cette incroyable légende, concernant les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord, pour indiquer leur origine...

      C'est ainsi que nous avons même commandé en, Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence l' ouvrage sorti, aux Editionx Flies France en 2006 :

  

      N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant l'affaire des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'Editeur, et même à l'auteur Maurice Coyaud dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi, selon nous, bien sûr, une prétention inégalée, de se croire être des as du savoir concernant les esquimaux...

      Mais, le 13/09/2012, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de 1907, suivant :

  

      Et en page 180, on découvre alors :


     Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux " Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "

     De plus donc, si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, préfère utiliser le même geste de ses ancêtres en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même bien une légende, transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du DR SENN, qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à deux niveaux : "sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste ".

     Le premier niveau est le fait, que l'esquimau a oublié effectivement pourquoi il pointe le doigt en direction du nord, et cela se comprend très bien.

     Le deuxième niveau, c'est le Dr Senn lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors il ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de cette énigmatique Mer libre du Pôle, dont nous parlerons plus bas. Il a donc, comme vous le voyez, loupé le coche, alors qu'il avait bien en main, les attributs péremptoires , d'une énorme découverte .

     Mais faisons ici une deuxième digression :

      Ils ont aussi, loupé le coche, ceux qui, comme René Guénon dans son ouvrage intitulé "Le Roi du Monde", publié en 1958 chez Gallimard, parle de ces affaires polaires de manière tout à fait symbolique, faisant partie de l'imaginaire collectif, ou pour ne pas le dire mieux, d'un fantasme séculaire. (Il est vrai qu'en 1958, il ne pouvait disposer comme nous, de photos satellites, mais il avait beaucoup d'autres moyens de se rendre compte, qu'il y avait vraiment un mystère concernant le Pôle Nord, et cela lui est passé sous le nez très malencontreusement).

     " D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".


      Confondre l'Olympe des grecs et l'Hyperborée, (mentionnée plus haut), c'est vraiment faire un amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce René Guenon, reconnaisse qu'à l'origine, la localisation de la fameuse "contrée suprême", d'après certains textes, aurait été primitivement polaire.

    Voyons maintenant un autre son de cloche, bien plus réaliste :

     En effet c'est le grand ésotériste français Serge Hutin, qui dans son petit livre de poche intitulé "Hommes et civilisations fantastiques" paru en 1970 chez l'Editeur J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue " L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238 :

  

nous dit, en page 44 et 45 ceci :


, cela prouve bien sûr que, Serge Hutin, était particulièrement informé sur ces mystères polaires, ( que certains auteurs, préfèrent ignorer, voir par exemple l'affaire Serge Jodra à notre article : PreuvesFlagrantes.html), car il connaissait, déjà en 1970 (avant la parution en 1971 du livre français), le livre en anglais de 1964 R. Bernard, (déjà présenté ci-dessus).

    Mais cet auteur, qui a bien compris l'énorme importance de cette affaire polaire, va nous en dire, bien plus, dans un nouvel ouvrage paru en 1976, tel que :


    Et là, en pages 46 et 47, il met carrément le pied dans le plat :



     Précisons alors que, ce n'est qu'en 1913, que l'écrivain américain, Marshall B.Gardner, un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de ce soleil central. En 1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.

    Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage, et qui vaudra sans doute bientôt, bien plus que son poids en or ...

  


      Mais ce 23 Juin 2018, disons aussi alors que le valeureux peuple Esquimau, a aussi dans son Passé, cette autre légende, qui nous interpelle grandement, et que nous avons déjà aperçue plus haut, à la fin de ce document recomposé par nos soins :

  
      On le sait déjà, que cette citation concernant des oiseaux métalliques, ayant transporté, il y a des lustres, les esquimaux, est extraite de notre exemplaire de poche, intitulé"Le Matin des Magiciens" de Louis Pauwels, et de Jacques Bergier, paru en France, en Décembre 1972 :

  

      D'abord, on voit que, les célèbres auteurs de cet ouvrage, se posent à juste titre, les questions relatives à la migration vers le Grand Nord, de ce peuple d'esquimaux, dont parle le New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question :

" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.

- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe?

- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan ?

- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ...
"

     
Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse, déjà hardie pour l'époque, de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.

     On voit aussi que, les auteurs en question, pourtant si précis d'habitude, dans leurs propos, ne nous disent pas, où ils ont pu puiser une si surprenante déclaration, du folklore esquimau, disant que : " ces tribus ont été transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "

     Mais, on peut aisément supposer que cela se trouve justement dans l'article de l'Institut Smithson paru New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question. Merci donc mille fois, à l'internaute béni, qui pourra trouver sur le Web, une copie de ce super article...

     Pour fignoler l'affaire, disons aussi que ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels, ironisent d'abord sur l'attitude qu'avaient les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité.

         Mais, nous, qui avons découvert les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur ce passage surprenant...

          Le site ARTivision, prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la Terre intérieure, vers les zones polaires, et l'on va vite découvrir pourquoi, dans d'autres documents.

    Mais, ces savants du XIXe, avaient certainement entendu aussi parler de descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés vimanas, et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage des pages 257 à 258 de notre livre de poche :

     Ces savants du XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens, de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?

    Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant deux vimanas en mouvement , tableau, hélas dont nous ignorons l'origine :


    Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :

       Mais, dans cette affaire, il nous fallait donc trouver au moins un autre ouvrage, révélant ce fait concernant des d'oiseaux métalliques transportant les esquimaux ...

    En fouillant, dans notre bibliothèque, nous sommes tombés très heureusement Hum, hum... , sur l'ouvrage intitulé en anglais "Not of this World" de Peter Kolosimo, dont la traduction est en français nommée : "Archéologie Spatiale", paru en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :

  

    Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Dans le livre de poche en anglais paru en 1970, on trouve en page 92, ce passage :


, et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :


       Mais, il existe une troisième énigme relative au folklore des esquimaux, et pour la mettre évidence, nous sommes obligés de revenir, à l'ouvrage important du Dr SENN, (non traduit hélas en français, et déjà présenté, plus haut : )


      En effet, dans cet ouvrage, on trouve aussi, un autre fait qui surprend, et qui concerne la vie des esquimaux :

      En effet, quand on demande à certains de ces derniers, où ils supposent que leur entité va après la mort, ils ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni le soleil du jour, ni les étoiles du soir, ni l'immensité du cosmos qui les environne, mais ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à l'intérieur de la terre, d'une bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent un torride redoutable feu central, fait de métaux en fusion ...

     Voici donc, un extrait des pages 206 et 207 restructurées par nos soins :


     Et, voici donc notre modeste traduction :

Religion


      "La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.

      "Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."

     Fin de la traduction.


     ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à des réminicences ancestrales d'un passé millénaire, ayant trait à une époque bénie, où ces esquimaux vivaient à l'intérieur paradisiaque de la planète...

      En respect, pour ce peuple si valeureux, voici quelques vignettes de leurs silhouettes :

  

  

      N'est-ce pas alors le moment, de replacer ici, notre amusante réplique, vue plus haut, et légèrement modifiée :

"Légende, vous avez parlé de légende ? Comme cela semble très... légendaire"

      Mais, ce 25 Juin 2018, voyons un dernier fait incroyable qui concerne une fois de plus, le Peuple des Esquimaux...

     Disons alors que, c'est le 31 Mai 2012, que nous avons eu le grand bonheur, de recevoir de l'ami intenaute Phil du Temps de Paris, les 16 pages photocopiées, de l'ouvrage de 1873, d'un certain Jules Gay ( qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :"La Mer libre du Pôle Nord" :



     Mais voici la missive en question :

From: Phil Du T.....
Sent: Thursday, May 31, 2012 7:09 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: De la part de Phil de PARIS !...

          Bonjour de Métropole cher Fred !

     Vous avez écrit :

"Merci d'avance à l'internaute béni, qui pourrait découvrir cet ouvrage quelque part."
     Et bien voilà, l'heure de la bénédiction a sonné ! Le texte va s'étaler sur plusieurs mails pour éviter les lourdeurs risquant d'entraver la correspondance entre nos deux adresses...

          Bonne lecture !

     A bientôt Fred !

     Avec tous mes encouragements et mes vifs remerciements pour votre travail !


     Fin de citation

     C'est ainsi que les 16 pages de l'ouvrage sont arrivées chez nous sous forme d'images, dont nous allons ici vous digitaliser sans crainte certains passages, car cet ouvrage a bien plus de 70 ans, et est donc tombé dans le domaine public.

     Présentons d'abord le début, tel quel, en page 5 :



     On voit alors déjà, que pour nous guider dans notre perception du sujet évoqué, le professeur Jules GAY nous présente d'emblée, à juste titre, ( très utiles pour les puristes) quelques ouvrages disponibles à son époque, et que nous rassemblons dans la liste suivante, en invitant alors les internautes qui pourraient retrouver ces ouvrages anciens, de bien vouloir, nous en toucher si possibe, deux petits mots :

- Histoire des deux voyages entrepris par ordre du gouvernement anglais, l'un par terre, dirigé par le Capitaine Frankling, l'autre par mer, sous les ordres du capitaine Parry, traduit de l'anglais. 1 Vol in 8, Paris Gide 1824

- Voyage à la recherche du passage N. O. pendant le années 1829 à 1833. par Sir J. ROSS, traduit de l'anglais par Defauconpret. 2 vol in 8 Paris 1835.

- Voyage dans les régions arctiques à la recherche du capitaine Ross en 1834 et 1835 Capitaine Back, traduit par Caseaux; 2 vol . In 8. Paris, Artus Bertrand 1836.

- Journal d'un Voyage aux Mers Polaires de J.-R. Bellot 1 vol In -12 Pérotin libraire Editeur 1866 .

- La Mer polaire - De Lanoye - 1 vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).

- Voyage dans les glaces du pôle arctique - Hervé et De Lanoye - vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).

- Voyage of the Fox, in the Arctic seas - Mac Clintock - In 8 Londres 1859.

- Discovery of a N.-W. Passage by H.M.S investigator 1850-54 - Mac Clure - In 8, Edimbourg 1865..

- Stray leaves from and Arctis journal 18 Months in the Polar regions, - Osborne - in 8 Edinbourg 1865

- The polar Regions Richardson - in 8 Edimbourg 1861

- Artics Explorations - Kane - in 8 Philadelphie 1857.

- Du Spitzberg au Sahara - Ch. Martin - in 8 Paris 1866.

- Esquisse physyque des îles Spitzbergen et du pôle Arctique - Ch. Grad - in 8 Paris 1866

- Les voyageurs au pôle Nord - Desprez - in 8 Paris 1869

- La Mer libre du Pôle . - Dr Hayes - trad. par Ferd de Lanoye, In 8 Paris Hachette 1868

- Lettres écrites des régions polaires. - Lord Dufferin - trad. par Ferd de Lanoye in 8, Paris Hachette (Date non mentionnée).

- Année géographique - Vivien de Saint Martin - Paris Hachette (Date non mentionnée).

- Le Tour du Monde journal des Voyages. Paris Hachette ( Auteur et date non mentionnés).

- Le Bulletin de la Société géographique (n°s non mentionnés).

- Geograph Mittheilungen - Aug. Petermann -(date non mentionnée).

etc etc ...


      Mais poursuivons donc maintenant, la digitalisation de quelques passages de cet opuscule :

      " Les bords de ce bassin polaire , de cette espèce de cuvette qui l'occupe l'extrémité Nord de notre globe sont maintenant connus. Les côtes de l'Asie ont été déterminées avec précision, depuis longtemps déjà, par les officiers russes. Quant aux côtes septentrionales de l'Amérique, elles ont été plus récemment décrites. Jusqu'en 1818, on n'en connaissait que les deux extrémités et un ou deux points intermédiaires. A partir de cette époque, les admirables voyages de Franklin et de ses émules, les Parry, les Ross, etc. ; puis à partir de 1845, les expéditionq envoyées â la recherche de l'illustre Franklin ont achevé le relevé de ces côtes sur l'immense étendue de 75 degrés en longitude. En méme temps, ont été parcourues et déterminées la plupart des îles qui forment l'archipel du nord de l'Amérique; les côtes occidentales du Groënland ont élé relevées, justlu'au 83° degré de latitude, par les Américains Kane et Hayes. Mais qu'y a-t-il au delà de ce 80" parallèle, qui, trois fois seulement, a été notablement dépassé par Parry, en 1827, par Kane en 1854, par Hayes en 1861 ?

     A cette question il est permis de répondre avec une probabilité équivalente presque à une certitude : Il y a une mer, libre au moins pendant l'été. Cette mer contient peut-étre quelques iles ; elle est entourée par une ceinture de glaces à peu près immobiles pendant l'hiver, qui se brisent en été, et dérivant rapidement vers le sud vont fondre dans les eaux chaudes de l'atlantique et du Pacifique."


     Fin de citation :

     Au bas de la page 15, et au début de la page suivante, nous découvrons alors cette déclaration époustouflante de Jules Gay :

     "... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster: il s'agit bien sûr du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."

     Etant donnée, l'importance d'une telle déclaration, le Webmaster du site ARTivision, serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir l'origine russe, et l'ouvrage qui l'a publiée en premier.

     Mais pour les puristes, voici aussi ce que l'on peut lire en pages 14 et 15 :

     " Au nord de la Sibérie, des résultals semblables ont été obtenus, et les explorateurs ont toujours trouvé la mer libre au-delà d'une ceinture de glace. adhérentes aux côtes " Au nord des îles de la Nouvelle Sibérie, par 76 degrés de latitude, dit Hedenstöm, on trouve un océan qui ne gèle jamais; même en Mars, je n'y ai vu que peu de glaces flottantes. " Le gouvernement russe chargea en 1819 le lieutenant, depuis amiral Wrangel (décédé en 1870), d'explorer les rives septentrionales de la Sibérie et de s'élever le plus possible au nord en taîneaux. Pendant trois années, Wrangel fit des efforts prodigieux pour s'élever ainsi vers le nord; chaque fois, il fut arrété par l'eau libre et obligé de regagner la côte en toute hâte, non sans courir de graves dangers, par suite de la faible épaisseur des glaces et de l'agitation de la mer, qui menaçait à chaque instant de rompre la crôute solide. En dernier lieu, en 1823, à 17 milles allemands de la terre, par 70° 51' latitude, M. de Wrangel étant monté sur le plus élevé des blocs de glace, "la mer ouverte s'étendait devant nous, à perte de vue", et nous dûmes abandonner le but que pendant trois ans, à travers des privations, des misères et des dangers de toutes sortes, nous nous étions efforcés d'atteindre. Le courant était dirigé avec une vitesse de 4,3 milles à l'heure...Depuis, les baleiniers américains, particulièrement les capitaines Long et Rodger, se sont avancés fort loin dans cette mer libre, cette Polynia des Russes, vue par Hedensöm et Wrangel".

      Tout ce qui précède, justifie n'est-ce pas, à lui seul, les nombreux articles, où ARTivision, affirme l'existence effective de cette mer libre du Pôle Nord, dont nous parlerons bientôt et que l'on nous cache depuis des lustes, en très Haut lieu ....

       Finalement ce fascicule de Jules GAY est très important pour nous faire toucher du doigt les phénomènes polaires que les médias de l'époque et même ceux d'aujourd'hui ont évité soigneusement de mettre exergue, comme par exemple, le fait que l'on ait trouvé dans la zone polaire boréale, beaucoup d'arbres qui flottaient dans la mer et qui étaient d'espèces inconnues, et le site ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches très prosaïques, sur cette affaire, qu'aurait pu et dû poursuivre Jules GAY, et là, nous devons hélas avouer qu' il a vraiment loupé le coche, alors qu'il était arrivé tout près de la Superbe Vérité, qui éclatera inéluctablement bientôt. En effet Jules GAY a eu le grand mérite de transcrire la déclaration de Mr de Wrangel, ( que nous n'aurions sans doute jamais connue), et qui donne la parole aux esquimaux Tchoukises, qui affirment dans leur tradition que des bateaux et des hommes sont venus chez eux, d'une île plus chaude, située au nord...

      Autrement dit, déjà en 1873, certains chercheurs comme Jules GAY, admettait qu'il pourrait y avoir au sein de cette Mer libre du Pôle Nord, des îles habitées inconnues.

      La démarche du site ARTivision est justement, de démontrer, documents à l'appui, qu'il s'agit bien plus que des îles disparates inconnues, mais plutôt, d'un immense continent , situé à l'intérieur de la Terre qui est creuse, quoiqu'en pensent les détracteurs zélés et autres intellectuels blasés , mais, continent révélé fantastiquement par l'amiral Byrd des USA, et ceci est parfaitement connu de nos gouvernements, qui le cachent au Monde entier, pour de vulgaires questions de politiques sécuritaires économiques, et surtout militaires.

      Mais, le Temps des Révélations est bien arrivé, et les Sbires des Forces de l'Ombre et leurs instigateurs, vont bientôt mordre la poussière, (poussière dont nous parlerons justement plus bas), afin que cette planète devienne enfin un havre de Paix et d'Harmonie " .

     Aux dernières nouvelles un très aimable internaute GR, nous indique que l'on peut désormais trouver le livre de Jules Gay en PDF à :


       Mais nous voici arrivés alors, à notre 21e focus :

Vingt-et-unième focus :ARTivision, sort les textes prouvant l'existence, d'une mer libre de glace, en plein zone polaire Nord.

      Voici donc, un petit plus, qui va bien nous éclairer sur ces mystères polaires si bien occultés par nos hauts dirigeants, et par exemple, voici, ce que nous dit au sujet de cette mer libre, le grand explorateur, le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et qui fut un très grand explorateur polaire du 19 e siècle.

    On sait qu'il publia en 1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :



     Et pour les puristes, voici en anglais, le paragraphe surprenant qui nous intéresse :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

    Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

     Alors chers détracteurs zélés et consorts intellectuels blasés de cette civilisation actuelle, sauf de dire que Dr Elisha Kent Kane, était plutôt timbré, nous attendons votre réponse de circonstance sur ce sujet...

     Tous ces gens ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale, et pour les puristes, qui recherchent des documents d'origine, il nous vient à l'idée de présenter ici l'ouvrage de 1818, d'un certain Daines Barrington, que nous avons sous la main :


     Et nous découvrons alors en page 37, ceci :


      Une modeste traduction pourrait donner alors :

      " Le Capitaine Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland, a rapporté à Sa Majesté, que, étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de deux Hollandais à l'est de l'île d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se déterminèrent à aller plus loin vers le nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89 ° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais une mer libre et ouverte, et qui avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu l'agrément de tout un chacun. "

    Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver la trace de la déclaration de ce Goulden, et bien sûr, aussi le nom de ces hollandais et surtout leurs journaux de bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques !!!

     Mais, pour ces mêmes puristes, qui aiment remonter aux sources, voici encore un autre document très significatif à cet égard, et venant du " The New York Times" du 21 Octobre 1871 :



      Donc, juste au début on découvre que : " le 20 Octobre .- Des Rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines...".

      A vous de juger ... une fois de plus, documents très prosaïques à l'appui ...

     Mais, ce 27 Juin 2018, comme disent parfois aussi, les anglo-saxons : "Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), nous allons faire état d'un fait extraordinaire contemporain qui nous a été rapporté dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute.

Remarque : Le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :

Pour le 19 Mars 2003 à :

Pour le 9 Janvier 2006 : et aussi à d'autres dates).


     En effet, c'est le 18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois, que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 % depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier



     Voilà donc, un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante, voici un communiqué n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue.... Devinez alors pourquoi, une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre bien, aussi, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur "La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain, Isaac Israël Hayes :


      Cet ouvrage extraordinaire, a été publié en 1868, en France par l'éditeur Hachette, sous le titre "LA MER LIBRE DU PôLE" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :


     Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester (Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881. Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.

      Nous avons de lui, l'ouvrage suivant :


, ouvrage de 1877, qu'en 1984, par une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto), nous avons trouvé dans une vieille malle à 600 m de chez nous. Comme il manquait, les 18 premières pages de la Préface, nous avons dû aller, en 1992, les photocopier à la BN de Paris. Ce livre, qui est un condensé du précédent, nous raconte de même l' émerveillement, de Isaac Israël Hayes, à la découverte de cette mer libre du Pôle Nord, ce qui a déplu amèrement, à l'explorateur français Paul Emile Victor.Voir notre article à ce sujet : AffaireP-E-Victor

     D 'ailleurs, à propos de légende attachée cette fois, à la cartographie, en voici une très officielle, qui figure dans un livre réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :




     Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé aussi justement une légende. N'est-ce pas ?

     Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", (encerclée d'un trait vert pâle) alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace".

      Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent, cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question, dans de très nombreux articles de notre site ?

     Mais, il faut savoir aussi que dès 1908 est paru aux USA, l'exceptionnel ouvrage nommé "The Smoky God", (auquel nous accordons, un très grand crédit).

  

     Ou encore, avec une courte explication :


     Le navigateur norvégien, Olaf Jansen, en se dirigeant vers le Nord avec le sloop de pêche de son père, à une certaine période de 1829, nous dit ceci :

"Devant nous et directement au nord, s'étendait une mer libre."...


      Le site ARTivision, a d'ailleurs été, le premier du Web français, à traduire en amateur, l'ouvrage en question, et cela dès le 6 Avril 2001. Cet ouvrage surclasse de très loin, celui de Jules Verne, bien connu : "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" (1864)

      La traduction se trouve à :



     Et, nous voilà donc, en plein milieu, de cette affaire de La mer libre du Pôle Nord, niée actuellement par nos universités, mais longuement évoquée, par de très nombreux explorateurs polaires comme Greely, Nansen, Hall, Wrangell, Edward Parry, Ingleflied, Jules Verne, Kane, (et on vient de le voir), Hayes ....etc...

      Mais pour mieux saisir cette affaire, voici ce 29 Juin 2018, le résumé des propos d' Isaac Israël Hayes, à son arrivée devant cette mer libre de glace au Pôle Nord :

    On trouve alors ceci, aux pages 188 à 189 : de ce super ouvrage

        " Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "

    et le 19 Mai 1861:

        " Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "

      Fin de citation

        Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici donc cette gravure sublime, représentant en page 190 bis, cette surprenante Mer libre du Pôle :



    Il nous reste cependant, à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne les oiseaux, dont nous parlerons plus bas.

    Et en couleur c'est mieux, grâce à la une petite contribution de notre ami Christian C....... qui réalise d'amirables aquarelles (Aquarelle et voyage):



         Mais, il se trouve que par une chance inouïe , ARTivision, a découvert dès 2004 , avec un grand ahurissement, une photo incroyable montrant, l'ouverure polaire Nord, et par la même occasion, on y voit aussi cette affaire de mer libre du Pôle, toujours niée également par nos doctes universités :


          Et, avec quelques unes de nos explications :


     Après quelques recherches, nous avons appris, il y a déjà quelque temps, que cette photo aurait été captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois, et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo, est un habile montage ou pas, Certains détracteurs, n'ont pas hésité pour noyer sans aucune preuve, le poisson gênant, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser une telle photo, même pour faire de la désinformation. Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particulier le 21/04/04 à l'article:


et, le site ARTivision, a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue de cette image, faite par un infographiste qualifié :

      Voici donc ici, une partie, de la conclusion de ce très aimable infographiste, qui en plus, l'a fait gratuitement :

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses... "


      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

    Mais les choses changent rapidement, car la photo en question se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules modernes, présentés ci-dessous :

   

     Les deux premiers de gauche, présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23) . Pour avoir eu l'audace de publier cette photo, ces opuscules ont dû, très certainement, tirer partie de l'analyse précédente de notre infographiste, mais ils évitent soigneusement de le dire, et surtout de parler d' ARTivision. A vous de juger.

      Disons aussi, que avons aussi retrouvé, il y a des années de cela, la photo précédente (à gauche), camouflée (à droite) par la mention "The Hollow Earth" :

  

, et en plus, elle était en fond de page, du site :


      Cela prouve, que certains Webmasters, ont jugé utile d'apporter toute leur confiance, à cette photo ahurissante.

      Cependant nous avons fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d'environ 12713 km et que sur la photo testée l'arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm, un calcul élémentaire nous donne 1494 km pour l'ouverture, et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma extrait du livre de 1971 de R. Bernard "La Terre creuse" :


    Mais, si dans le livre en question, ci-dessus, nous avions découvert que l'ouverture polaire avait environ 2300 km, de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :


ce schéma :



     Nous constatons là, (les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs), ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

     Pour en savoir bien plus à ce sujet, il faut savoir aussi, que le 29 Février 2004, nous avons personnellement, contacté Mme Régine-Françoise Fauze, qui est le channel de SORIA, afin de soumettre à son analyse, les deux photos en question déjà vues plus haut :

   


      Voulez-vous connaître la réponse de Soria, au sujet de cette différence de largeur dans les ouvertures polaires présentées ?

     Lettre personnelle adressée au Webmaster ARTivision :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La Terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expansion. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés: No Comment.

      Mais nous savons maintenant donc, que les "ouvertures polaires" s'ouvrent et se ferment en fonction de la Respiration de la Terre...

       Disons en passant, toujours au sujet de cette affaire de mer libre du Pôle, pour les amateurs de littérature fantastique, que nous devons aussi faire état ici, d'une information importante, que cachent sournoisement nos gouvernements, et que notre grand Jules Verne, connaissait également. En effet, c'est l'aimable l'internaute, Renaud F......, qui nous fait découvrir que Jules Verne parle clairement de "la Mer libre du Pole" , au chapitre 7, dans son roman : " Le pays des fourrures" , en ces termes :

     " - Croyez-vous, monsieur Hobson, demanda Mrs. Paulina Barnett, que l'homme puisse jamais atteindre le pôle même?
- Sans aucun doute, madame, répondit Jasper Hobson, l'homme, - ou la femme, ajouta-t-il en souriant. Cependant, il me semble que les moyens employés jusqu'ici par les navigateurs afin de s'élever jusqu'à ce point, auquel se croisent tous les méridiens du globe, doivent être absolument modifiés. On parle de la mer libre que quelques observateurs auraient entrevue. Mais cette mer, dégagée de glaces, si elle existe toutefois, est difficile à atteindre, et nul ne peut assurer, avec preuves à l'appui, qu'elle s'étende jusqu'au pôle. Je pense, d'ailleurs, que la mer libre créerait plutôt une difficulté qu'une facilité aux explorateurs.
"


      Comme vous le voyez, notre grand Jules Verne, était parfaitement au courant de cette affaire de mer libre.

      Mais, il y a bien mieux encore, car notre grand précurseur du fantastique, que fut notre célèbre Jules Verne, parle également, fait aussi extraoordinaire que cela soit, "des ouvertures Polaires".

     En effet, dès 1866, au moins, dans son ouvrage intitulé "Voyages et aventures du capitaine Hatteras", et ouvrage publié à cette date, Jules Verne, montre qu'il était au courant de cette affaire des "ouvertures polaires", (les guillemets, on le sait maintenant, ont ici, une très grande importance). Voici donc deux scannérisations d'une réimpression moderne de cet ouvrage :

  

, où il est précisé ceci au Tome 2 :

    Notons bien, en surbrillance la phrase qui fait vraiment TILT, dans le texte précédent :

"Enfin, de nos jours, on a prétendu qu'il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe; "

     Comme on le voit donc, tout cela est dit par Jules Verne, clairement, nettement et sans bavure....

      Notons cependant, que Jules Verne, ignorait l'affaire du Soleil central.

      Mais ce Premier Juillet 2018, voyons donc, comment Jules Verne, parle de la lumière spéciale (assurément pour lui, d'origine électrique), qu'il a découverte au centre de la Terre, qu'il décrit au chapitre XXIII dans son célèbre ouvrage de 1864 "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" , déjà évoqué plus haut :


      Donc il est clair, pour Jules Verne, qu'il ne peut s'agir de la lumière d'un Soleil interne, mais d'une lueur "triste et souverainement mélancolique"

      Alors Messieurs les spécialistes et lecteurs passionnés de Jules Verne, c'est le moment d'aller fouiller dans toutes les archives bien étoffées, de cet écrivain, que l'on conserve précieusement dans nos bibliothèques et autres musées, afin de consulter, le document remarquable, qu'il a eu en main, pour sortir sa phrase inouïe, vue plus haut en surbrillance, concernant cette affaire d'ouvertures polaires. Si vous ne trouvez rien, alors il se pourrait que Jules Verne, ait été vraiment directement inspiré, par des Maîtres Cosmiques, déjà évoqués plus haut.

     Mais remarquons alors que, "malgré la multitude d'engins spatiaux, qui tournent autour de notre planète, il est très rare de tomber sur une photo présentant à la fois les aurores boréales et autrales de notre planète et donc nous ne savions pas, (avant le 29 Mars 2017), si la photo qui suit, était ou non, un montage informatique " :


      De même, dans notre article :


, nous avions écrit :

      "...toutes les photos de la Terre, venant de la NASA par satellites, ont été mises sévèrement sous le boisseau

      Il y a cependant une, (si elle est démontrée authentique) qui a pu échapper à la censure :


     Merci mille fois donc à l'internaute, qui nous confirmera que cette photo extraordinaire, vient bien de la NASA.


      D'ailleurs, on doit savoir que cette surprenante photo, a déjà été montrée dans nos articles :


      Comme, il y a toujours un bon Dieu pour les canards sauvages, c'est le 29 Mars 2017, que nous avons eu le grand privilège de recevoir de notre amie belge, Chantal, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Chantal S............
To: IDYLLE Fred
Sent: Tuesday, March 28, 2017 11:27 AM
Subject: Re: Une affaire importante

            Bonjour Fred

      Voici le site de la photo, qui date du 14/11/2001
      https://apod.nasa.gov/apod/ap011114.html

      Il fait beau chez nous, pour le moment.

      ..............reste coupé .................

Chantal


Nous avons bien sûr, remercié vivement Chantal, pour sa si aimable participation aux recherches très pointues d'ARTivision...

Mais comme ce site peut disparaitre du jour au lendemain comme par magie, présentons rapidement de quoi il s'agit ;

 

Astronomy Picture of the Day

Discover the cosmos! Each day a different image or photograph of our fascinating universe is featured, along with a brief explanation written by a professional astronomer.

2001 November 14


Auroras Over Both Earth Poles
Credit:
Polar VIS, JPL, NASA

Explanation: Auroras in the north and south can be nearly mirror images of each other. Such mirroring had been suspected for centuries but dramatically confirmed only last month by detailed images from NASA's orbiting Polar spacecraft. Pictured above, a time-lapse movie shows simultaneous changes in aurora borealis, at the top, and aurora australis, at the bottom. A cloud of electrons and ions moving out from the Sun on October 22 created the auroras. The solar explosion that released the particles occurred about three days earlier.

Tomorrow's picture: Reduce, Reuse, Recycle


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Authors & editors: Robert Nemiroff (MTU) & Jerry Bonnell (USRA)
NASA Technical Rep.:
Jay Norris. Specific rights apply.
A service of:
LHEA at NASA/ GSFC
& Michigan Tech. U.

       Maintenant que l'on sait que cette étrange photo, vient bien de la NASA, la missive de Chantal devient alors l'une des plus importantes que nous avons reçue depuis 20 ans, car selon nous, elle confirme désormais totalement l'affaire de la Terre creuse, dont nous avons déjà parlée, dans près de 100 articles et ceci fait aussi l'objet de notre 22e focus .

Vingt-deuxième focus :ARTivision, sort les incroyables photos des pôles de Mars et de Titan, et photos que l'on évite soigneusement de présenter, dans les commentaires des médias actuels.

       La super photo présédente de la NASA confirme en effet, ce que nous disions, dans de nombreux articles; et en particulier à notre page :

       Debut de citation :

       " Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et observations qu'il a ensuite communiquées à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :

       La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, elle se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même, la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM Bière et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement au dessus de la planète." .


       Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars , déjà présentées sur notre site :


      Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux" , bien en relief, au dessus de la planète !!!

En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...



      Fin de citation...

     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provient du site :

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



     Pour noyer rapidement le poisson et continuer à faire comme l'autruche, en fourrant la tête sous le sable, les détracteurs irréductibles habituels, ont classé assurément tout cela, comme des illusions d'optique. Point Barre...

     Poursuivons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin de Sept 1902 , par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


     Ces images sont extraites, page 80 bis, de l'ouvrage incontournable de Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :

  

    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA,(qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à Los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935).

    Nous avions découvert à l'époque, cette sublime photo, sur le site suivant :


, (et site que nous n'avions pas, oh grosse erreur, enregistré à ce moment là), et site qui a hélas a totalement disparu du Web par la suite .

     Dès le début de 2006, nous avons lancé un appel, à nos amis internautes, afin que l'on fasse tout ce qui est possible, pour contacter le Griffith Observatory, et retrouver ainsi les références exactes de cette incroyable photo, qui était placée chez nous, à l'envers, telle que :

    Il est bien aussi à remarquer qu'une telle photo, (à notre connaissance, mais un cas pourrait peut-être nous avoir échappé ), ne fut jamais diffusée dans les médias qui ont pignon sur rue, et pour cause. Vous pouvez chercher dans revues spécialisées bien connues, aucune d'entre elles n'a osé en parler, même à titre de curiosité, car leurs journalistes ,n'ont aucune explication orthodoxe, à présenter sur le cas de cette incroyable brillance du pôle de Mars en question. Alors il est préférable dans ce cas de se taire et de fourrer la tête sous le sable comme l'autruche pour ne pas voir l'inexplicable.

     Mais le 30 Août 2010, Super Hasard est venu, à notre aide pour nous offrir sur le plateau d'argent, les caractéristiques ( que nous avions oubliées à l'epoque de noter) tant recherchées depuis des années, de la fameuse photo .

     En effet, en tapant sur GOOGLE, entre guillemets :

http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html

, nous sommes tombés alors, sur le site de Merlin placé à :


, où il est écrit, en dessous de la photo :

Mars, Su 083103 - Griffith Satellite Observatory
Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

, ce qui signifie que cette photo de Mars, fut réalisée le Dimanche 31 Août 2003, par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

     Donc un Grand Bravo à Merlin, qui a eu à l'époque, avant la disparition du site, l'idée géniale de noter les caractéristiques de la fameuse photo en question. Toutes nos missives en direction du - Griffith Observatory - , sont demeurées sans réponse, sans doute parce que nous n'avions pas l'e-mail du Centre Principal.

     Mais Super Hasard a fait encore plus fort : En effet le 09/09/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute, la missive très importante suivante :

----- Original Message -----
From: S.. U...
To: fred.idylle
Sent: Thursday, September 09, 2010 5:02 AM
Subject: Cela pourrait très certainement (énormement) vous intéresser.

          Bonjour M Idylle,

     Comment vous expliquer ? Il existe un site de sauvegarde sur le net qui permet parfois de retrouver d'anciens sites disparus, c'est celui-ci :



     On peut y retrouver (parfois) certaines pages disparues.....

     J'y ai donc mis l'adresse suivante:
www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html
que vous donnez sur votre site.

     Voici le résultat :



     Veuillez cliquer sous "2004", il y a deux pages de cet ancien site, qui pourraient vous intéresser je crois....

     Mais vous connaissez peut être déjà ce site, veuillez alors ne pas tenir compte de ce mail.

           Très cordialement.

           S... U....

PS : Je tiens à m'excuser pour mon dernier mail, mais je n'avais plus d'ordinateur chez moi, j'en ai un nouveau depuis.


     Fin de citation.

     Comme c'est étonnant, c'est bien la page que nous recherchions depuis le début de 2006.

     Extrayons en, la partie qui nous intéresse :



     Une modeste traduction des 7 premières lignes (dont nous connaissons déjà une partie) donne alors ceci :

Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.

     C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.


      Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut. Le télescope en effet, inverse les images ...

     Nous nous posons alors la question, de savoir pourquoi un site aussi bien fait et aussi utile , a pu disparaître aussi souverainement, et pourquoi nous n'avons reçu aucune réponse, aux adresses Griffith, que nous avions contactées ? Grâce à l'internaute S...U..., tout devient désormais plus pratique et explicatif. Bravo aussi donc, pour sa trouvaille et surtout pour son heureuse initiative en direction d'ARTivision.

     Le 26/09/2010, nous avons eu l'idée de rechercher le nom véritable de cette surprenante image de Mars sur le site en question, en cliquant sur l'image et puis ensuite sur Propriétés. Et non seulement nous avons trouvé son nom : Mars083103.jpg, mais en plus, nous avons trouvé aussi ( nous l'avons déjà écrit plus haut), en réfléchissant un peu, son adresse Web actuelle :


, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars :


     Comme on le voit, sur ARTivision chaque chose arrive, en temps voulu, n'est-ce pas !!.

     Cependant compte tenu de ces nouvelles données précises, il conviendrait de demander au moins à :


dans quelle revue scientifique ou autre, cette étrange photo, a pu être publiée ? Avis aux chercheurs, et même aux amateurs, qui s'interrogent vraiment sur tout cela ...

       Mais soyons aussi maintenant fair play, en donnant l'explication des scientifiques actuels et bien sûr de la NASA, qui correspond aux aurores polaires, observées sur cette super photo satellite :

Voici d'ailleurs, à ce sujet, ce que nous dit, la revue Science&vie1095 de Décembre 2008 :


       On voit alors que selon cet article, qu'il n'y a que deux théories qui ont l'agrément des scientifiques et surtout que les mots manquent aux scientifiques pour "expliquer cette spectaculaire violence venue du ciel". Pas question que cette aurore spectaculaire, vienne de quelque partie que soit de la Terre. Point barre.

       Pourtant l'illustration présentée par cette revue, montre bien que l'intensité de la lumière se manifeste vers le bas donc tout près de la Terre et non du haut du ciel, comme cet article le précise :


       Autre exemple tiré du site :



       Ou encore :



     Quelle suberbe luminosité n'est-ce pas ? Et cela stationne au pôle !!! C'est une aurore boréale que nous devons à la courtoisie du Dr Hallinan, et l' astronaute Overmeyer de la NASA .

Sur le site :


on découvre aussi :

  

     Là encore, on voit que l'intensité de la lumière se manifeste vers le sol, donc tout près de la Terre, et non du haut du ciel.

     Mais, présentons aussi ici, le beau schéma d'explication des scientifiques du Science&vie1095 de Décembre 2008, concernant le vent solaire, qui vient chatouiller, la magnétosphère terrestre, pour produire les superbes aurores boréales et australes :


      Nous supposons alors que la mission Themis, lancée par la NASA en Février 2007, avait d'autres objectifs plus secrets qu'une ballade de satellites dans le flux solaire. Bref chacun est libre de croire ce qu'il veut en fonction de la nature des informations qu'il détient.

     A vous de juger...

    Venons en maintenant, à l'explication hors norme, d' ARTivision, sur cette affaire d'aurores polaires

      Nous avons en effet, déjà écrit, dans de nombreux articles, le fait que le site ARTivision, est avant tout, un site Mystico - rationaliste, (mot que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et pour cela, il intégre pleinement ces affaires transcendantes surprenantes, que préfèrent vite oublier les rationalistes irréductibles et consorts intellectuels blasés...de cette société égarée.

     Disons alors que la première source mystique, qui nous a apporté, l'idée fantastique , de cette affaire impensable de Terre creuse, nous vient alors des pages 193 et 194, de l'ouvrage extraordinaire intitulé "LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista.     Venons en maintenant, à l'explication hors norme, d' ARTivision, sur cette affaire d'aurores polaires.

On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif, et poétique en plus :

     " Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique, dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir
. "


     Fin de citation

     Autrement dit, si nous comprenons plus avant ce texte incroyable c'est cette radiation cristalline du soleil intérieur qui est vraiment responsable de ces trainées lumineuses flambloyantes (appelées aurores boréales ou australes) qui apparaissent autour des pôles de la Terre

          Notre deuxième source transcendante nous vient maintenant, du Collectif Soria, formé de 4520 entités cosmiques, et source, qui est pour nous, une révélation extraordinaire , soulèvant déjà beaucoup d'émotion, même chez ceux qui auraient des affinités dites, mystiques :

     "La thèse retenue par vos scientifiques n'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.

   Votre centre de la Terre est creux et possède son propre Soleil générateur de Vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre. Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central.
L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central
.... " .

      Fin de citation
        Tiré de la page 112 du livre de Soria "Les grandes Voies du Soleil" , paru au Editions ARIANE en Avril 2001

     Que celui, qui a lu tout cela, avec attention, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout le désir latent, d'en savoir plus.

       Mais ce 03 Juillet 2018, nous avons sous la main, le texte du Maître de Findhorn, qui insiste une fois de plus ( voir notre article clef : Un-choix-Lumineux...), sur le fait que dans ce Monde chacun à son rôle à jouer, si petit soit-il comme chaque petite roue dentelée, d'une horloge mécanique, et cela, juste au moment voulu :

Harmonise-toi, trouve ta propre note,
et fait-la résonner haut et clair,
car tu fais partie du vaste orchestre de la vie .

Tu as un rôle spécifique à jouer,
alors n'essaie pas de jouer celui de qui que soit d'autre .

Cherche et trouve le lien et tiens y toi !

Lorsque tu apprendras à faire cela,

Tout ira très, très bien pout toi. ,

Ce sont les âmes qui cherchent à jouer la note de quelqu'un d'autre
qui se trouveront en disharmonie ave le Tout

N'essaie jamais d'être comme qui que se soit d'autre
ou de faire ce qu'un autre fait.

La Source ne veut pas que vous soyez tous identiques
comme des pois dans une gousse.

Elle a besoin de vous, tous différents,,
avec vos propres dons et qualités.

Un orchestre fait d'instruments identiques serait ennuyeux.

Dans l'orchestre, plus il y a d'instruments fondus ensemble
en une harmonie parfaite

plus le son qui en sort est riche et meveilleux



La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 3 Juillet, après adaptation d' ARTivision.


     Pour mieux comprendre, cette affaire de Source, il est préférable de relire, avec une grande attention, cet entrefilet qui prouve, que nous sommes, bien arrivés au Temps de la Grande Révélation :


     Voici donc, pour adoucir l'amertume des bien-pensants zététiques qui nous reprochent amèrement de ne faire état dans nos textes explicatifs, que de revues non côtées à la bourse du savoir officiel,(Voir la missive cassante et très caustique du sieur Jérôme C... à notre article lettre caustique Jérôme C), voici donc ce jour, et pour être aussi tant soit peu fair-play, quelques infos supplémentaires, qui pourraient peut-être satisfaire, la soif de rigueur culturelle de ces bien-pensants zététiques :

     En effet, voici très brièvement, un paragraphe significatif de la page 114 de la célèbre revue, "La Recherche", n° 335 d'Octobre 2000, qui nous fut envoyé à une certaine époque, par notre ami internaute M.H :

Sur une obsession collective.

    " Des touristes en croisière ayant trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord, ( Il s'agit en effet de l'affaire en date du 21/08/2000 du brise-glace Russe vue plus haut et signée de Mr Philippe Gauthier), l'alarmante nouvelle fit le tour du monde. (contrairement à ce que nous avons cru, il y a bien eu des échos) du New York Times au Figaro, en passant par la une du magazine Time, retentit le roulement de tambour désormais familier :

     "Oyez, braves gens, nous vilains et représentants technophiles et productumanes, nous sommes en train de changer de le climat de notre précieuse planète. D'urgence, il faut limiter la consommation de pétrole, pour limiter les émissions de ces satanés gaz à effets de serre, d'où nous vient tout le mal. Lester Brown, secrétaire perpétuel du Worldwatch Institute, produisit son inévitable éditorial, pieusement reproduit dans les colonnes du Herald Tribune :     "La découverte d'eau libre au Pôle Nord apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la Terre fond, mais quelle fond à un rythme accéléré"
     Le très austère Financial Times, tança vertement les gouvernements occidentaux pour leur peu d'empressement à respecter leurs engagements de réduire les émissions de gaz carbonique.... "


     Comme vous le voyez, la mer libre du pôle, pourtant découverte par certains explorateurs depuis le 19e siècle, (voir le livre de 1857 du Dr Elisha Kent Kane; présenté plus haut), est totalement ignorée par les médias en question, et d'après eux, seul l'effet de serre, est responsable de cette mer libre de glace, par la fonte des glaces du Pôle.

    Mais comme on le sait, qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, parlons à nouveau de cette revue "La Recherche", qui en Octobre 2012, a publié un fascicule Hors série, n° 51, intitulé Les Dossiers de la Recherche, et où apparaît un article significatif, sous la plume de Mme Frédérique Rémi :


    Ce n° 51 spécial de cette revue, va nous permettre d'accéder à un niveau de compréhension très philosophique, concernant la nature humaine.

    En effet dans cette revue nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages, sur le célèbre naturaliste Buffon (1707-1788), dont nous avons parlé, dans notre article :


    Voici donc, une partie du début du remarquable article de Mme Frédérique Rémy en question :


    Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :


    L'auteur reprend donc les affirmations connues de Buffon, concernant le capitaine Anglais Monson qui, en se dirrigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'histoire d'un hollandais, qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait, aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas, du nommé Goulden, (mentionné en pages 215 et suivantes du super ouvrage de Buffon), qui a recueilli le témoignage de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89e degré de latitude nord, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent quatre journaux de deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.

     Malgré tout cela, cette scientifique continue à croire que tous ces gens se sont trompés amèrement, et que la mer libre de glace n'existe pas, alors qu'elle avait certainement plus de moyens qu'ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède et que nous affirme Buffon, et mettre ainsi la main, par exemple, sur les livres de bord , en question des hollandais, et aussi sur les déclarations osées du fameux Monson anglais. Cette scientifique semble ignorer le fait, qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus éveillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York en Sept. 2001...etc..., et bien d'autres affaires encore cachées...

     Voir quelques unes de ces affaires dans nos articles :







..................................... etc ....................................

     Cette scientifique aurait mieux fait d'écrire, dans sa chère revue en question, une explication significative du phénomène souvent présenté sur notre site concernant le satellite de Saturne nommé Titan, et que voilà à nouveau étant donnée son importance :


     Si nous analysons de près, le disque blanc très brillant, au Pôle sud ( que certains prétendus scientifiques ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous, une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre, et en bleu... , c'est encore plus net :



      Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que, c'est cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant , de près de 300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus, et où l'on voit encore plus clairement, juste en-dessous la sorte réverbération en question, sur les couches de l'atmosphère de la planète, prouvant que cette extrême luminosité vient bien de l'intérieur de l'astre . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens, avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle sud de Titan... Point Barre .

      Cette Dame aurait aussi pu s'interroger sur la brillance du Pôle Sud de Saturne, jamais expliquée dans nos médias, si avides de scoops hors-normes :

  

     Alors, il faut savoir que le niveau du secret concernant cette affaire de mer libre de glace, reliée à celle de la Terre creuse, est au-dessus de tous les autres secrets, et, donc tout est fait, pour nous cacher la Vérité, sur cette affaire hors normes, et cette scientifique, montre ici, son obstination, à se laisser leurrer par ses pairs et consorts. C'est son droit le plus absolu.

      Cependant, il nous vient, l'idée de placer ici, la superbe phrase de Lionel Hubert dans son ouvrage : "les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :


"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"

      Mais le site ARTivision, lui, poursuivra sans relache, sa quête d'une vérité inouïe, qui concerne l'humanité entière, et que l'on nous cache en Très Haut lieu, pour de vulgaires questions de prestige national, et de dérisoires sujets économiques et militaires.

     Voilà, ainsi, ci-dessous, la preuve que nous ne nous tournons pas les pouces, de satisfaction dans l'état de notre situation actuelle et où nous avons essayé d'obtenir des renseignements sur ces hollandais en mission autour du Pôle Nord .


A bon entendeur salut...

      Alors amis d'ARTivision, il ne vous reste qu'à poursuivre les investigations, et à participer, par la même occasion, au Temps des Révélations, déjà, on le voit, bien amorcé.

      Mais ce 6 Juillet 2018, nous allons une fois de plus faire appel aux internautes qui maitrisent la connaissance du latin, et on va vite voir pourquoi ! Et cela va faire l'objet de notre 23e focus :

Vingt-troisième focus :ARTivision, fait état d'un vortex polaire nord, connu bien avant 1569.

        En effet, nous avons découvert, grâce à un très aimable internaute, un document exceptionnel de 1569, qui parle de l'existence d'un inconcevable vortex, au Pôle Nord.

     En effet, disons encore bravo à Super Hasard, qui a fait surgir, juste au bon moment, un texte en latin qui nous a fait a fait tomber carrément, à la renverse .

      C'est en effet, le 03/01/2013, que nous avons reçu la remarquable missive suivante :

From: Pierre .............
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...

     Bonjour Fred,

          Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...

     Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")


, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".

     Ce qui m'interpelle le plus, dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.

     La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!

     Les intra-terrestres eux-mêmes, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand !

     Même eux, puisque la "respiration", dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.

     Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement. (Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).

     La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...

     Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?

     Amicalement,

     Pierre.


     Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches plutôt pointues d'ARTivision.

     Nous avons alors, vite retrouvé, le n° 27 de la revue "Top Secret" d'Oct-Nov 2006, de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n° 27), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :

  


     L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".

     Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste du latin, puisse en dire plus, si cela lui plait :


      Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:

"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,

(note du Webmaster)

     Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569:

     Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique.

     J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...

     Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.

     Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.

     Voici la traduction du texte latin de la carte :

Sur la description ci-jointe du pôle Nord :

     Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.


          Pierre C.


     Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en rouge dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin de l'époque. (Merci mille fois à l'internaute passionné qui découvrira ce détail)

     Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon de cette nature au Pôle Nord. Il n'avait même pas eu vent de cette affaire de mer libre de glace autour du Pôle Nord, telle qu'elle apparaît sur cette extraordinaire photo, déjà présentée plus haut :



     Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569...

     N'empêche nous pouvons déjà constater que le message de ce texte latin a dû attendre des siècles, avant que nous puissons en comprendre la portée, et de plus, il a fallu attendre que l'on invente les satellites, pour en confirmer l'exactitude, ce que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres.

     Donc on voit que, chaque chose arrive à point nommé, dans ce monde que certains intellectuels blasés croient être livré à un hasard purement aléatoire.

     Nous pouvons même affirmer que si certains cosmologistes avaient eu le privilège de connaître ce document de 1569, ils n'auraient pas perdu, leur temps, à écrire des articles insignifiants. , comme il en est, de l'article dérisoire (déjà présenté plus haut) et publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997.

      Pour l'auteur de cet article, On le sait donc, un certain Serge Jodra, sans doute, un astronome officiel qui, du haut de son statut social, croyait devoir fustiger amérement l'affaire de la Terre creuse, en disant qu'elle n'était qu'un fantasme relevant entièrement du mythe .

      Mais justement à ce sujet, ce Monsieur, si fier de sa haute culture, aurait un mal fou à expliquer, le fait que le 26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de l'ami Sébastien du Canada, la missive importante suivante dont voici le début :

----- Original Message -----
From: sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd

          Bonjour Fred,

     J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le Pôle Sud en Février 1947.

Et voici l'url :

.....................suite coupée...........


     Merci mille fois encore, à Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches ARTivision.

     Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site :

     Le titre surprend déjà :

Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.


      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir (contrairement à ce que prétendait le sieur Serge Jodra), dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini, n'est-ce pas ?

     Mais ce Dimanche, 8 Juillet 2018, avant de nous plonger plus ouvertement dans cet article incroyable du "Leader Post" du 31 du Janvier 1947 que le siteARTivision, fut le premier à révéler en exclusivité sur le WEB français, disons qu'à côté du trou polaire incroyable, vu plus haut et que nous avons reçu dès le 13 Février 2004, de notre ami du Canada Jean R...... :


, nous avons eu aussi le grand privilège de recevoir de notre ami Frédéric de l'exagone dont l'url du site est à : , (http://ashtar.sheran.free.fr/ashtar-sheran.htm ), cette autre étonnante photo :


     Et Frédéric nous a alors expliqué que cette photo est extraite de la vidéo plutôt ancienne :


      Maintenant, juxtaposons nos superbes images vues plus haut :

  

      On voit alors que le schéma de droite est simplement incliné par rapport à celui de gauche. Cette inclinaison s'explique par les schémas suivants :

  

    On voit alors que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord et donc que l'axe des Pôles Géographiques en marron, ne se juxtapose pas à celui des Vortex polaires en vert.

       A vous de juger, une fois de plus, tout cela, documents à l'appui ...

     Mais justement à ce sujet, il se passe ces temps-ci, des choses très étranges. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant d'une revue d'informatique très connue. Il s'agit du Micro Hebdo n°568 du Samedi 11 Mars 2009 :



      Cette image, nous rappelle étrangement, celles n'est-ce pas, déja vues plus haut :

   

     Comme ARTivision, ne croit pas du tout au hasard, nous nous demandons, si ce n'est pas encore un coup des "Maîtres" qui préparent le Temps des Révélations, et qui agissent télépathiquement, dans les milieux les plus divers comme le suggère ci-dessous le texte incroyable de Soria ( âmes sensibles s'abstenir illico), et voila donc maintenant, le top du top, qui est un texte qui ferait assurément sans doute rêver, les meilleurs auteurs de Science-fiction :

     "L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiques d'Urantia Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous Ainsi parmi les survols d'ovnis, quelques-uns sont imputables aux intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre évolution. Il n'est pas rare que les scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres, les aidant même en laissant des formules dans la matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société, contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d' ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point de rencontre conscient entre eux et vous. Seule votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle éventualité. Votre conscience sera touchée par des informations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et prophète Jules Verne vous a préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos tendances à vous accrocher aux lois actuelles".

     Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria Edition Ariane Mars 2002.

      Mais, si vous savez lire entre les lignes, disons alors que le passage précédent nous montre, que les Maîtres, qui vivent très longtemps, interviennent depuis des lustres dans les affaires humaines, comme de plus si bien, l'illustre, le célèbre film "Retour sur Terre"de Star Trek 4, de 1987:



     Ceux qui ont eu le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de l'Enterprise, un vaisseau spatial du XXIIIe siècle, remonte le temps et débarque sur Terre en plein milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.

     Une fois de plus, le site ARTivision, peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction", et les Les bien-pensants et leurs consorts zététiques blasés vont là, encore se tordre de rire, bien inutilement, car quand la Grande Révélation, arrivera, ARTivision, brillera de ses plus beaux feux, mais eux, ils vont raser les murs le soir, pour que l'on ne pointe pas le doigt en leur direction, et que l'on ne les reconnaissent pas...

      Mais ce jour, il nous appatient maintenant de présenter ce qui suit qui est d'une très grande importance :

    En effet, de très nombreux sites, parlant des expéditions polaires de l'Amiral Byrd oublient, (peut-être, volontairement), de dire que toutes les informations ahurissantes concernant ces expeditions, sont tirées de l'ouvrage très surprenantd'Amadeo Giannini, publié en 1959, et intitulé : "Mondes au-delà des pôles", et ouvrage, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zonesarctique et antarctique de notre planète :

  

     Mais qui était donc ce Giannini, si souvent mentionné (sans aucune preuve appuyant ses dires), par les médias avides de scoops hors normes.

     Et voici en pages 13 et 14, le texte de Giannini, en question repris par de très nombreux écrivains :


     Et au chapitre 1, page 17, Giannini précise encore mieux, tout cela :


     Et notre modeste traduction du seul début du premier texte donne :

Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle(Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".Vice-amiral Richard E. Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Comme vous le voyez, à notre plus grand regret, il n'est nullement mentionné, où l'on peut trouver cette surprenante déclaration de Byrd.

     De plus, on voit que, Giannini ne connaît pas du tout, la date exacte de cette expédition de 1947 au Pôle Nord . Reste à démontrer, qu'elle a bien eu lieu...et le site ARTivision va s'y atteler désormais

     Hélas, jusqu'à présent, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947.. Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-secrète. Nous demontrerons plus loin que d'après le Lord Anglais Brinley Le Poer Trench que cette expédition au Pôle Nord en 1947 a bien eu lieu.

     C'est pour cela, qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis là... une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd.

     Mais certains détracteurs diront que Gianinni pourrait alors inventer tout cela !!.

      Au contraire, nous ne croyons pas du tout que Giannini, ait pu inventer une telle histoire. Il avait très probablement des amis militaires, qui lui ont refilé en douce, ces infos fantastiques en lui spécifiant expressément bien sûr de ne pas en révéler la source secrète. On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Bien que nous de soucrivons pas à sa délirante théorie de la continuité de l'univers physique, voici tout de même, une silhouette plutôt très rare de lui :


        Mais ce 10 Juillet 2018, comme on le dit souvent, qu'il "battre le fer, pendant qu'il est chaud" , disons alors que nous avons eu Mardi 12 Septembre 2017, la grande opportunité de visaliser le documentaire suivant :


       Pour en savoir plus; prière de consulter par exemple, le site (qui peut-être n'est plus opérationnel):


, où l'on découvre ceci :


        Dans ce documentaire, nous avons retenu en premier lieu, que le scientifique de service dans l'interview, nous a tout de même déclaré, que concernant Titan :
"La surprise de la communauté scientifique, fut de découvir que les pôles de cet astre, brillaient tout particulièrement".


        Hélas pour nous, la photo clef suivante, qui aurait pu, admirablement, illustrer cela , n'a jamais été, ni présentée, ni commentée :


      Et c'est là en effet, (nous l'avons souvent expliqué), que l' on voit clairement juste au bout de la flèche rouge, placée par ses soins, apparaître une sorte réverbération, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que cette luminosité du disque au Pôle Sud de l'astre, vient de l'intérieur.

      Nous allons donc ce jour, pour éviter spéculation dérisoire, remonter à la souce même de la NASA, et par la même occasion montrer, que cet organisme et ses sbires gouvernementaux, font à ce sujet, de la rétention intolérable d'information, sur une affaire cosmique qui concerne l'humanité entière...

      Disons alors que la photo précédente vient, chose curieuse, de la NASA en début Juillet 2004, et dont l'url du site est placé à :


     On découvre alors ceci d'abord justement en noir et blanc :


Et voici alors, un semblant d'explication de la NASA :


     En rouge, on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparaît au pôle sud des 3 images. .."

     Oh là ....un "un nuage de particules de méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de Km...

      Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de cause ...

     Puis, poursuivons maintenant en couleur, notre analyse, où l'on trouve aussi ceci :



     Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.

     Voyons cela de plus près maintenant, avec des couleurs toujours étonnantes :


     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre .

     On sait déjà que c'est le globle de couleur bleue, qui montre le mieux, le phénomène en question (voir les images agrandies plus haut).

      Nous avons longtemps cherché, dans de nombreuses revues et de multiples journaux, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan. Très peu d'explications logiques, nous ont été fournies. C'est ainsi que sur le site :

http://www.astro5000.com/Ephemerides/news.php?doc=cassinihug_1_2004


, on voit cette image :

et, l'on découvre aussi alors, ces propos :

Le 3 juillet 2004 : La surface de Titan

"La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètre il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."

     Mais voyons aussi, ce que nous dit la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004, comme tentative d'explication de ce disque brillant de Titan.


     Vous constatez donc que l'on qualifie, ici encore, avec une assurance notoire, ce disque superbement brillant de Titan de "champ de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus :


n'oublions et nous l'avons déjà montré plus haut, que Saturne, participe aussi au bal lumineux des pôles :
  

     Encore cette affaire de méthane dont la brillance nous interpelle grandement. Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, et savent très bien se passer le mot, dès que possible.

    A vous de juger, une fois de plus, tout cela, documents à l'appui.

     Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :

http://www.artivision.fr/LeMonde101104.html

     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi, faute de pouvoir mieux le qualifier -, qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du Pôle Sud de la planète ".

     Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît tout de même ici. Et l'astronome en question, dit bien qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud du Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image bleu, que nous replaçons volontairement ici, et dont le diamètre ,nous l'on dit plus haut, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :


      Voilà donc enfin, une astronome qui avoue que sur Titan, il y a bien une sorte vortex nuageux, tournant au Pôle Sud de l'astre, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique... A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi catégoriquement, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
http://www.aerov.jussieu.fr/themes/APACHE/CVs/Rannou/RANNOU.html

on trouvait alors en 2004 , cette image :



     Et aussi, ces propos surprenants :"Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là."

     Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...

     Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", mot que nous avons déjà évoqué plus haut....

     Donc, il y a bien un hic, dans cette affaire.

     Cette luminosité inexplicable d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien bien ici dans le cas où la science "interprète à la va vite, un fait à défaut d'en connaître sa structure véritable"

     Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront, que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans la catégorie des illusions d'optiques, si chères à leurs habituelles explications...

     Ce que ces détracteurs oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :

     En effet, le Webmaster, de ce site, a eu l'idée un jour, de se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ?

     Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du Pôle Nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose ou encore, que cela pourrait recevoir plus tard, une explication toute naturelle.



     Mais, le 14 Janvier 2010, Super Hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :

http://saturn.jpl.nasa.gov/photos/?subCategory=10

, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) , et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :

http://saturn.jpl.nasa.gov/search/?searchbox=Titan&category=Images

tel que l'on trouve ce montage :


     Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".

      Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même, qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis, voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...


     Fin de l'entrefilet.

      Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit.

     Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008 suivant, (déjà vu plus haut, sous une forme plus restreinte) :


, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez bien, cela vous-même :


    Alors, on se demande, comment ce faiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc stupéfiant, et ici aussi les mots choisis sont assurément très éloignés de la réalité des choses, comme le prétend notre sujet du Bac en question...

    De plus, les scientifiques nous affirment que la température qui régne sur Titan doit avoisiner les -180° .

      Mais les images suivantes de Titan :

  

ne présentent pas du tout un paysage glaciaire correspondant cette température de -180° , prônée par les savants, mais plutôt, à des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...

     Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre. Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan .

     On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.

     Pour en savoir plus, présentons maintenant, l'entrefilet suivant du France-Antilles paru le 29 Avril 2017 :


     Et retenons d'abord les mots importants suivants :


     On déccouvre alors ici, que les 127 survols de Titan, par la sonde Cassini, ont pris fin le 22 Avril 2017, date survenue, il y a peu de temps, on le voit....

     On s'étonne donc alors franchement, que dans ces 127 survols, déjà effectués, qu'aucune autre photo, du superbe vortex sud de Titan, n'est apparue dans les sites de la NASA, et dans les colonnes de la Presse spécialisée...!!!

     Que sont donc devenus, ces autres clichés fantastiques du pôle Sud de Titan, et photos qui, on le sait, nous interpellent, au plus haut point ?

     Il y a , bien plus qu'une anguille sous roche... n'est-ce pas !!!

     Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront pour noyer le poisson que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans la catégorie des illusions d'optiques, si chères à leurs habituelles explications...

     Ce que ces détracteurs et consorts zététiques blasés oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :

       Analysons donc plus avant, quelques photos de plus du fameux Titan, astre si souvent mis en relief par ARTivision.

       Voici pour commencer, une photo ce satellite de Saturne, Titan, que nous avait présentée, le "Figaro Magazine" du Samedi 13 Nov. 2004 :


      On voit alors que la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" en question, présente une luminosité remarquable, et, on nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan.".

      Voici encore une autre photo de Titan tirée du n° 415 du "Ciel&Espace" de Décembre 2004 :


     On apprend alors que, cette belle image de Titan ci-dessus, aurait été captée par Cassini Huygens, le 26 Octobre 2004, en passant à 1176 km de la planète. Cette photo ne semble pas très différente de la précédente ci-dessus, du "Figaro magazine", où la partie droite du globe de Titan brille d'une manière étonnante, pour un astre placé, si loin de notre Soleil. ( Nous n'avons hélas pas eu le bénéfice de découvrir sur un site de la NASA, ces images. Merci mille fois à l'internaute béni qui nous en trouvera, l'URL)

     On ose alors nous dire , que cette luminosité remarquable, vient aussi de notre soleil, qui fait ainsi briller admirablement, l'atmosphère de Titan. Mais revoyons donc, ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de la revue Science&Vie, de Mars 2008 suivant, que nous présentons à nouveau, étant donnée son importance :


     Relisons alors SVP, ce qui suit, avec un petit plus, où l'on nous dit bien, que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est, 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre :


    Alors, on se demande, comment ce faiblard flux, pourra, à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc stupéfiant, et le montage photographique suivant de Titan :


, (on l'a déjà dit plus haut), n'est, selon nous bien sûr, en aucune manière, un paysage glaciaire, mais plutôt, une zone désertique très chaude, comme celle que l'on trouve au Sahara... Et nous attendons avec ferveur les impressions notoires, des internautes intrigués, à ce sujet.

        A vous de juger tout cela...documents très prosaïques à l'appui...

       Mais, ce 14 Juillet 2018, jour de gloire nationale, n'est-ce pas ... il nous vient à l'idée de présenter ici, deux autres cas, concernant d'autres lumières polaires de deux astres, jamais expliquées par les cosmologistes officiels, qui aiment parader sur les plateaux des médias actuels :

      D'abord disons, qu'il n'y a pas bien longtemps, le site ARTivision s'est posé la question de savoir si, la superbe lumière bleutée issue du satellite IO de Jupiter, pouvait vraiment provenir d'un volcan en éruption ?

  


     Cette lueur ne serait-elle pas en fait, issue des rayons du soleil central de l'astre ?

       Voici d'ailleurs, une autre photo d'IO, où le faisceau lumineux n'est plus bleu, mais, là, il correspond davantage à des jets en projection, de gravas, sans doute incandescents, mais surtout, à des matières contenant beaucoup de poussières, de fumées et de souffre, pouvant être issus d'un volcan en éruption.



Comment donc expliquer, ces deux sortes d'images contradictoires ?



      Il y a donc bien, anguille sous roche,, et c'est à vous, qu'il appartient désormais, de juger cette affaire

      Venons en maintenant, à l'affaire tout à fait fantastique, de l'astéroïde CÉRÈS, affaire au sujet de laquelle, nous avons longtemps attendu, que les les irréductibles zélés détracteurs et consorts zététiques, de la théorie de la Terre creuse, s'expriment clairement ... Mais ce fut là, une fois de plus, un retentissant silence mortuaire.

       Cette affaire, nous est présentée, par les deux entrefilets suivants, très surprenants, à plus d'un titre :
    

Premier texte :


     Sur le site :


, on pouvait découvrir, fut un temps, alors ceci :



où, chose très surprenante, on ne voit aucune photo de Cérès. Pourtant en 2005, sur un autre site du Nouvel Obs , qui a disparu comme par magie, et que nous avions heureusement capté à l'epoque, on pouvait lire à l'époque, ceci, où figure alors une photo :

© Le Nouvel Observateur
 
La vraie nature de Cérès

Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète (9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
 
 

      L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.

De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses collègues.

Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.

Cécile Dumas
(09/09/05)

    Vous constatez effectivement, que dans l'entrefilet précédent, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante, qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroïde ? Aucune suggestion, ne nous est proposée.

    A vous de juger ce mutisme caractérisé.


    

Deuxième texte :


    Il y a aussi cet entrefilet, qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement . Il est daté du 13 Septembre 2005 :



    Vous voyez que là, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes disent qu'ils n'ont pour l'instant aucune explication à proposer, au sujet de cette tache blanche très lumineuse, qui apparaît sur les photos.

       Nous avons alors en début d'Octobre 2005, pousser l'audace, jusqu'à demander par l'intermédiaire de Mme Régine Françoise Fauze, qui channellise Soria, de nous en dire plus sur l'affaire, et le 13/10/05, nous avons été comblé par le fait, de recevoir ces fantastiques mots : " Quand la Science vient confirmer la vision transcendante de certains médiums... Nous vous apprenons très particulièrement que le noyau solaire de Cérès est de 71, 300Km, et il y aura d'autres découvertes...Donc affaire à suivre..."

     Nous avons évidemment imméditement fait un petit calcul, qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès, et de celui de la Terre de 12760 km. Donc toute proportion gardée, s'il elle existe, le diamètre du soleil intérieur de notre planète Terre, serait donné par l'expression : d = ( 960 x 930) / 12760 , et donc pour le diametre du noyau central de la Terre on trouve alors : 947, 69583...km. Pour simplifier, nous arrondissons alors à 950 km, ce qui est bizarrement très voisin du nombre de 960 km, avancé en 1920, par Marschall B.Gardner auteur de l'ouvrage :

  


      Avec le schéma surprenant à gauche en anglais, et à droite tiré du livre la Terre creuse en Français, on a :

  


    Mais pour certifier tout cela, il faudrait d'abord pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès, et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.

    Donc, dans cette affaire extraordinaire de Cérès, nous voyons que, dans ces entrefilets la question de la lumière étrange apparaissant à la surface de cet astéroïde, a embarrassé assurément certains observateurs qui ont préfèré comme dans le premier cas cité plus haut , de ne pas montrer l'image de Cérès, pour éviter d'expliquer la présence de ce disque lumineux qui nous éblouit et subjugue carrément.

     A vous de juger cette affaire, documents à l'appui..., et affaire qui prouve bien que cette histoire de planètes creuses, avec un soleil central , est très dure, même actuellement, à encaisser, et on fait tout pour l'éviter car aucun débat à ce sujet n'a jamais eu lieu sur un plateau de télévision quelconque.


    Mais ce jour de fête nationale, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", pour ceux qui doutent encore, voici tiré du site :


, une photo de l’astéroïde Cérès en question, le plus gros représentant dit-on, de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter:


     Selon le chercheur Christopher Russell : "Les scientifiques de Dawn peuvent maintenant conclurent que la luminosité intense de ces zones est due à la réflexion de la lumière solaire par un matériau hautement réfléchissant sur la surface, éventuellement de la glace."

    "Il reste maintenant à confirmer qu’il s’agit bien de glace", dira ce chercheur...

     De la glace, sur ce corps céleste aride sans atmosphère, et ni eau, ni air ? Et bien sûr on nous dira, que cette glace, viendrait du comète...

     Mais ARTivision, se tord de rire à cette explication, car ces lumières possèdent une configuration ayant de nombreux angles droits, qui en aucune façon ne sauraient être, l'effet du hasard...


    Mais il y a mieux : On a repéré "une sorte de pyramide", sur le sol, pourtant désertique, de Cérès , et les mêmes scientifiques diront, vite fait, qu'il s'agit d'un monticule tout a fait naturel :


    Nous attendrons sans doute longtemps encore, avant que, les astronomes, astrophysiciens et consorts assimilés, nous donnent une seule explication orthodoxe, des phénomènes étant à l'origine des configurations des structures précédentes bien étranges. N'est-ce-pas !! .

    Nous pourrions, (et nous l'avons déjà fait, dans de nombreux autres articles) , trouver ici, beaucoup d'autres structures insolites, qui prouvent de manière incontournable, qu'il existe sur la Lune et dans les environs, des artefacts prouvant, l'expression d'une vie assurément intelligente, (et nous montrerons plus tard, d'autres manifestations extraordinaires des extraterrestres en question), mais ces événements extraordinaires, qui sont, selon nous, par exemple, bien plus important que le passage une comète dans le ciel, ont été occultés et ainsi soustraits à la connaissance de l'Humanité entière (et le sont toujours), pour de vulgaires questions de prestige national, et de puissance technologique ou militaire, alors que ces événements portent en eux-même, la raison majeure d'unir cette Humanité, et d'en finir une fois pour toutes avec ces guerres dérisoires et calamiteuses, qui la déchirent depuis des siècles...

        A vous de juger tout cela...documents très prosaïques à l'appui... et à bon entendeur salut !!.


        Mais ce 25 Juillet 2018 , après quelques corrections orthographiques du texte, il nous vient, l'idée transcendante, de présenter, ici la sublime méditation du Très Grand Maître de Findhorn, qui nous en dit plus, sur notre comportement vis à vis, des événements proches qui s'amorcent déjà...

Voici le temps de construire,
de créer de l'unité et de l'harmonie,
de la paix et de l'amour,
de la globalité et de I'Unification.


Maintiens tout le temps dans ta conscience
ces pensées positives, constructives, créatives
et ne les laisse jamais s'en aller.

Vois-les vivre et vibrer,
et avoir leur essence en toi,
et contemple
 la vision du Nouveau Ciel
et de la
 nouvelle Terre ,
qui prennent forme et substance.


Laisse-la se déployer au-dedans de toi.

Si tu t'harmonises avec I'idée
du Nouvel Âge ,
et avec sa véritable signification,
il commencera à se déployer graduellement en toi;
tu découvriras que tu en fais partie
et qu'il fait partie de toi.


C'est une chose magnifique,
comme un géant endormi attendant de se réveiller:

lorsqu'il commencera à s'animer,
rien ne pourra arrêter son expression.

Il n'y a rien contre quoi se battre;
il n'y a pas de raison de lutter encore.

Apprends simplement à servir la Source,
et laisse Son
 plan parfait se déployer !  


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 25 Juillet, après adaptation d'ARTivision.

       Très curieuse cette méditation, n'est-ce pas... qui prouve parfaitement, que le Cosmos, n'est livré pas à des approximations très aléatoires, comme le pensent certains scientifiques et consorts philosophes blasés, mais, qu'au contraire chaque chose arrive donc à point dans ce monde cyclique...

      Quant à, ce qui constitue la Source, il serait peut-être, selon nous bien sûr, de bon ton, de considérer le récent entrefilet suivant, (déjà vu plus haut), comme étant, les prémices de sa découverte et de sa structure élémentaire :


      Mais ce 28 Juillet 2018, quittons domaine transcendant, évoqué ci-dessus, qui doit chagriner pas mal de bien-pensants et consorts intellectuels complaisants, bien enfouis dans leurs cocons feutrés du système, et redevenons très terre à terre (disons là, que nous allons là monter vraiment au charbon) , voire devenons très prosaïque, et présentons progressivement les éléments surprenants, du chapitre 14 du livre Secret Of The Ages du Lord anglais, Brinsley Le Poer Trench publié à Londres à Souvenir Press, en 1974.

  

      Dans cet ouvrage extraordinaire, nous découvrons en effet, que dès 1974, Brinsley Le Poer Trench évoque en page 88, pour appuyer sa thèse des phénomèmes polaires inexplicables parfois cités sur notre site.


      Et voici notre modeste traduction :

Des questions plus difficiles

      "ll y a beaucoup plus de questions qui ont besoin de bonnes réponses. Voici la question embarrassante numéro un.

      Pourquoi y a t-il tellement de poussière dans les régions septentrionales profondes de l'Arctique ?

      De nombreux explorateurs polaires ont trouvé cette poussière désagréable à souhait. Nansen se plaint amèrement à ce sujet.

      " Rentrons chez nous ! Qu'avons-nous à rester? Rien que de la poussière, de la poussière, de la poussière." (1 : Reed William : The Phantom of the Pole rechearch Edition page 126)

      La profusion de poussière dans l'Arctique, retenue dans de grands nuages, tombe sur les navires, qui se trouvent à l'endroit, et la neige devient toute noire.

      D'où vient toute cette poussière ? Il n'y a pas de volcans actifs dans l'Arctique !

      Reed a écrit: " La suivante interrogation, concerne les grandes quantités de poussières constamment trouvées dans l'océan Arctique. Quelles sont les causes de cette poussière ? Ce sont des éruptions volcaniques qui envoient rochers, appelés étoiles filantes: On ne demande pas de quoi est composée cette poussière ; Elle a éte analysée et on y trouve du carbone et du fer, censé sortir d'un volcan quelconque. (2: Reed William : The Phantom of the Pole, Rechearch Edition page 126)

      Je le répète: Où est ce volcan ? Il n'y en a pas dans le cercle Arctique. Cependant, s' il y avait un volcan brûlant à l'intérieur de la Terre, de grands nuages de poussière , passeraient travers l'entrée, et tomberait sur la neige pour la colorer d'un noir cauchemardesque."


       Puisque Brisley Le Poer Trench mentionne certaines déclarations de William Reed, concernant cette affaire de poussière noire, qui pullule dans le Grand Nord , voyons cela de plus près :

      C'est en effet dans son ouvrage de 1906 que cet auteur (qui entrera aussi bientôt lui aussi au Panthéon des auteurs ayant évoqué la possibilité que la Terre soit creuse), que l'on trouve cette affaire de poussière noire et même de rochers et de cailloux, qui traînent au dessus de icebergs et de la banquise autour du Pôle Nord.

 


    Au chapitre IX, et à la page 114, on trouve en effet ceci :



     Que, nous pourrions traduire grosso modo :

Quand on trouve des rochers sur et dans la glace.


" Les explorateurs de l'Arctique, se sont longtemps demandés pourquoi des rochers, des graviers et du sable, sont souvent présents au dessus ou encastrés dans des icebergs et sur la banquise.

     De nombreux écrivains, proclament que des rochers sont chariés par les glaciers,et s'y retrouvent en incrustation, et cela jusqu'à ce qu'un iceberg parte à la dérive et puisse rencontrer un autre, pour alors fusionner."


     Reed refuse cette explication simpliste des écrivains.

      Divers explorateurs ont fait état en effet de la présence de nombreuses roches et de blocs de pierres, trouvés encastrés dans les s. Ces blocs de pierres auraient été, soit projetés là, par un volcan en éruption, soit charriés par les fleuves de l'intérieur.

    Nous ne pouvons hélas, donner ici, les 8 pages de l'explication de Reed, qui se résume dans le fait qu'au bord de l'ouverture polaire, il y a des volcans en activité qui projettent rochers et cendres, sur les icebergs comme le montre cette gravure du livre de Reed :


     La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.

     Pour y voir plus clair, demandons encore Reed, tiré de son ouvrage 1906, cité juste au dessus ceci à la page 126 :



     Et grosso modo, notre traduction peut donner :

     "Imaginez la poussière comme quelque chose d'ennuyant au milieu de l'océan Arctique! Nansen dit: " nous avons passé ici des années les annèes, et qu'est-ce que cela nous a apporté ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière, que le premier vent disperse. "

     Quelqu'un qui ne croit pas que la Terre est creuse, pourra-t-il me dire d'où provient cette la poussière ? elle n'est pas un élément ou une marchandise qui s'accumule très vite sur la glace, ou en eau libre, et alors Nansen a dit : " Rentrons chez nous. Pourquoi resterons-nous ici davantage ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière. ".

     Si vous maintenez, le fait que la Terre est un solide plein, il n'y a pas de réponse à cette question embarrassante. Mais si l'on conçoit cependant qu'elle est creuse, et que la poussière vient de l'éruption d'un volcan situé à l'intérieur, le puzzle est facile à expliquer, sans mettre en cause une comète circulant à des millions de Km, et qui va disperser la poussière sur toutes les régions arctique et antarctique. Si la Terre se trouve être pleine, alors les gens peuvent se féliciter que cette poussière soit confinée principalement autour des pôles...
"

     Vous avez bien lu que Nansen se plaint amèrement de l'envahisement du flot de la cendre, qui l'invite à fuir et à regagner son logis.

     Mais voyons aussi alors ce que nous en dit l' ouvrage moderne intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996, d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des deux tomes de l'Édition d'origine.



    En page 101, on découvre ceci concernant Nansen, après qu'il soit arrivé autour du 81° 18'de Lat Nord :



    Vous constatez que cette image, nous permet de faire d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle (sans doute celle de Jean-Louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...et on évite adroitement là, de parler de la véritable abondance de cette chute de cendre envahissante, comme nous le dit plus haut Nansen.

     Mais, parlons aussi, pour completer tout cela tout cela, de l'ouvrage de J.R. Bellot de 1866, et intitulé :"Journal d'un voyage aux Mers Polaires" , où en page 29, on découvre aussi, la mention d'un iceberg d'une couleur tout à fait hors normes :

  


      Tout cela représente des faits clairs et nets , que les chercheurs sérieux doivent absolument mettre en exergue, et faits, qui ont été évidemment occultés, pour les raisons que l'on sait, par les médias, qui ont pignon sur rue, et dont la mission est justement de nous informer sur les bizarreries de notre environnement...

       Mais, ce 30 Juillet 2018, pour les incrédules et les outrés qui vont encore qualifier ce qui précède de pur roman à la Jules Verne, nous dirons que ce grand visionnaire est né le 8 Février 1828 et que 10 ans avant sa naissance, est paru en 1918, l'ouvrage d'un certain Daines BARRINGTON tel que :



      Et aux pages 121 et 122 , consacrées aux récits de divers navigateurs :

  ">

      Notre modeste traduction devient alors :

       " Dans toutes mes conversations avec nos commandants, , je n'ai jamais manqué de leur demander quel itinéraire qu'ils prendraient pour atteindre les très hautes altitudes du Nord. Le résultat était alors qu'ils ne cherchaient jamais à l'atteindre en passant par l'ouest du Spitzberg, mais en filant vers le Nord en partant de la côte Ouest de la Nouvelle Zemble; Les raisons de Mr Baske et celles d'autres commandants furent :

1°) Que toutes les côtes Ouest des régions nordiques étaient pour la plupart, libre de glace à cause des vents et des marées venant principalemeent de l'Est, comme le prouve l'expérience.
2°) Que cette glace vient au départ des rivères du Tartare. Pour cela la mer ne gèle jamais, mais là elle est calme, et à la même période la neige tombe abondamment.
3°) Que près des "Seven Islands", les navigateurs ont souvent été confrontés à une houle énorme venant du Nord-Est, ce qui prouve qu'à cette époque, la mer n'est pas gelée à une considerable distance vers le Nord-Est.
4°) Que le bois flottant (Note du Webmaster: Nous venons justement d'en parler plus haut), ne pourrait pas venir de la région au nord du Spitzberg, car les mers situées entre le Nord de l'Asie et cette île, seraient gélées? Alors qu'une quantité importante de ce bois se dirige sur la côte Nord de l'Islande, et cela démontre que les courants viennent du Nord-Est.
5°) Que sur certains de ces arbres, les dessins axiaux sont très nets et la couleur du bois très vive, si bien qu'ils ne peuvent avoir été asssurément plus de six mois en mer.
6°) Que certains des arbres ont des bourgeons qui ne pourraient rester aussi frais, si ces arbres avaient séjourné une année dans l'eau salée.
7°) Que l'Est du Groenland a maintenant été exploré jusqu'au 79° de Latitude-Nord et que probablement il s'étend plus loin en direction du Nord Nord-Eest et que l'on présume être la cause du blocage de la glace entre la côte et le Spitzberg et la raison pour laquelle il n'y a jamais de houle de Nord-ouest ou nordique.
8°) Qu' en général tous les navires qui ont été une fois au 82° de latitude nord, ont rencontré très peu ou pas du tout d'obstructions dues à la glace. Et des discusions en plus aboutiraient à la même concusion. Il y a certains cependant qui auraient préféré faire une tentative de circulation entre le Spitzberg et la terre découverte par Mr Gillis. "


    Retenons, en fin de compte, de tout ce laius plutôt fastidieux , que chaque navigateur s'attend à découvrir au-delà du 82° de latitude nord, une mer particulièrement libre de glace, et sutout qu'il y flotte souvent de jeunes troncs d'arbres, portant des bourgeons encore frais mais il y régne aussi en plus, une houle polaire fantastique, dont nous parlerons, une autre fois,.

    Autrement dit R. Bernard ( vu plus haut en page 118 de son ouvrage ) en parlant de bois flottant avec des bourgeons, sait de quoi il parle, puisque ce livre étonnant de 1818, en fait état, tout à fait clairement.

    Comme vous le voyez, cette affaire de bois flottés, nous a conduit sur des sentiers bien troublants, mais, ouvrez l'œil, car le plus étrange est encore à venir...

      A vous de juger tout cela, en connaissance de cause...

       Mais ce 31 Juillet 2018, nous allons aborder notre de notre 24e focus :

Vingt-quatrième focus :ARTivision, fait état de l'incontournable Vérité concernant les icebergs, jamais discutée dans la médiasphère, et pour cause, car les scientifiques, n'ont pas, la moindre explication, à nous fournir à ce sujet.

       Reprenons en effet, le paragraphe déjà vu plus haut, tel que :

" ...icebergs et blocs de glace de mer, c'est Kif-Kif... c'est blanc bonnet et bonnet blanc. Sauf, qu'ils oublient vite, volontairement de dire, le fait que les icebergs sont faits uniquement d'eau douce... A vous de juger. "

       Mais nous avons aussi déjà exposé ceci,venant de la revue Le Point, placée à :


    On y voit alors d'abord ceci :


    Puis cela de très important :



     Ah...ah, tout de même, il y a des icebergs qui se détachent du Pôle Nord, et qui diffèrent de ceux venant du Groenland.

      Plus significative, est cette vue, tirée du site :



     En effet, on y voit un énorme iceberg, dont on a du mal à expliquer la présence, car en effet, ce ne sont pas les maigres précipications du coin, qui pourraient engendrer de tels monstres, et il n'y a pas à l'intérieur de la banquise nord, de continent solide, ( comme par exemple le Groenland ), d'où pourraient se détacher ces surprenants icebergs.

Allons plus loin et lisons le début très sde notre article :


On trouve ceci de très significatif :

Du côté de l'explorateur Adolphus W. Greely.

      C'est le 13 Avril 2007, que nous avons eu le plaisir de recevoir par la poste l'ouvrage de 580 pagesd'Adolphus W. Greely, édité en 1889, par la Librairie Hachette, mais paru dès 1886 à New York chez Charles Scribner's Sons, sous le titre "Three Years of Arctic Service" :


a) Quand Greely préfère taire certaines choses.

    Mais déjà dans la préface de l'auteur, nous découvrons d'abord les propos suivants :

    " Depuis, la transmission au Département de la guerre de mes Rapports officiels, je n'ai épargné ni ma santé, ni mes forces pour préparer un livre qu'on me demandait de toutes parts : le ministre a bien voulu me permettre d'y reproduire les cartes, les dessins et les fragments de mon journal officiel.

    La plus grande partie de ce volume est basée toutefois sur mes notes personnelles :j'ai fait aussi de larges emprumts aux carnets très complets du lieutenant Lockwood et du sergent Brainard, les seuls, du reste, en outre du mien, qui aient été tenus quotodiennement pendant notre retraite vers le sud et le séjour à Camp Clay.

     De crainte que mes récits des merveilles de ces régions éloignées ne fussent taxés d'exagérations enthousiastes, je n'ai point osé reproduire la plupart des lignes écrite sous l'impression de phénomèmes qu'on accuse si souvent les voyageurs de peindre de couleurs trop vives.....
"


     Vous avez bien noté, nous l'espèrons, que l'auteur nous explique qu'il a pris un soin tout particulier, à minimiser ( et nous le regrettons vivement ), l'impact de certains phénomènes bizarrement décrits par d'autres explorateurs , et survenus dans la zone polaire en question.

    Voilà une chose qui ne manque pas de nous interpeller au départ, car c'est justement ces phénomênes " embarrassants", qui font l'objet de toute l'attention du site ARTivision. Pourrait-il s'agir, par exemple, d'aurores boréales exceptionnelles, d'oiseaux qui disparaissent pendant l'hiver, de vestiges de Mammouths dans le permafrost, de bois flottant sur la Mer Arctique dont la provenance est inexplicable..etc..?

    C'est donc en ayant en tête, toujours d'une manière sous-jacente, ces interrogations que nous allons pénétrer plus avant dans ces relations d'événements polaires décrits dans l'ouvrage cité plus haut et dans un autre dont on parlera plus tard.

.....................................................................................
c) Quand Greely nous parle d'icebergs.

     Mais quittons ce bref historique de Greely, où il nous parle encore des exploits de Bessels, de Bryan, Chester, Tyson, Budington, Nares, Stephenson , Aldrich, etc., et passons au texte même du livre de ce Greely, où l'on peut lire en pages 33 et 34, une description surprenante d'icebergs telle que :

    " ...La station elle-même est située sur un îlot de syénite, maigrement revêtu de sol et de gazon. Le point culminant en atteint à peine 30 mètres : pendant cette belle journée de juillet, (1882), les isbergues éparses sur le port étaient encore si nobreuses, que de là-haut nous en comptâmes plus de cent. Leurs énormes masses, dont l'éclatante blancheur tranche admirablement sur les teintes glauques de la mer, avaient souvent occupé, nos regards et nos pensées. Ces voyageuses aux ailes de neige ne sont général que des messagères de paix; mais, la veille nême, comme le navire entrait dans le port, la vaguelette soulevée par notre passage vint frapper paresseusement une superbe montagne de glace toute fouillée, toute sculptée en arches majestueuses, en tourelles rénelées, en colonnades grandioses, d'où jaillissaient des cascatelles. Cette si légère impulsion suffit pour détruire l'équilibre de l'isbergue; en quelques secondes le merveilleux édifice s'écroulait : la mer blanchissait d'écume sous la chute de myriades de débris; de tous côtés des vagues colossales la creusaient de leurs sillons. Nous tressaillions d'effroi au bruit formidable des détonations successives, tant la puissance irrésistible de cette fille des glaciers frappait de surprise les moins impressionnables d'entre nous. "

     Voici deux photos d'icebergs de l'ouvrage :

 

    On découvre d'emblée alors, le fait qu'à l'époque, en 1889, le traducteur considérait l'iceberg du genre féminin (et qu'il l'écrivait isbergue).

    D'autre part, on peut se demander si Greely qui, chose surprenante, considérait ces icebergs comme des "messagers de paix", et qui en admirait leurs énormes masses, et leur l'éclatante blancheur, savait qu'ils étaient faits d'eau douce. Aux historiens de répondre à cette épineuse question.

    D'ailleurs Greely, prétend aussi, comme beaucoup d'autres chercheurs actuellement, que ces icebergs sont "des fils de glaciers", alors que l'on a très peu de rapports photographiques montrant des icebergs se séparant de leurs masses glacières d'origine. A vous donc de juger tout cela pour l'instant tout ce langage particulièrement curieux.

    Fin de citation.

          Il nous appartient maintenant d'examiner ici, le très remarquable fascicule, de la revue de la revue "Sciences et Avenir"142 Hors série d'Avril-Mai 2005 :


    Tout ce qui précède concernant Titan, et en passant rapidement Mars, constitue selon nous bien sûr, un fait bien cadré dans le domaine scientifique, et qui pourtant ne figure pas dans les dix faits sélectionnés par la revue en question et près de 4 mois après, rien ne vient nous éclairer sur cette image, pourtant surprenante, de Titan :

Photo publiée par la NASA le 17 Déc. 2004

     Notons cependant que dans ce remarquable numéro spécial, de Sciences et Avenir, il y a en 7 e , position, un super article, où Mme Marie Noelle Houssais fait état d'une théorie prétenduement bien structurée, expliquant que "la dérive de la glace polaire", mise en évidence par Fridtjof Nansen en 1896, après une dérive de son navire le Fram durant 35 mois sur la banquise, est due, d'une part, au vent qui souffle dans le coin, et d'autre part à la force de Coriolis, bien connue et, nous dit-on, expliquée scientifiquement.

  

     Et pour les fortiches en Science, voici quelques éléments de cette théorie concernant la "force de Coriolis"

 


, et en couleurs, on découvre ceci :



     Tout cela serait super, si les chercheurs hors normes, Williams REED, et Marschall B.Gardner (voir le titre et la photo de leur ouvrage plus haut), eux, ne nous disaient pas (il y a plus de 100 ans pour Reed), que l' énorme dérive de la banquise ne peut venir que de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la Terre, et de plus, ces fleuves sont à l'origine de la création des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des "ouvertures polaires", où régne un froid terrible... Et c'est pour cela en plus que l'on constate que ces icebergs,.sont uniquement faits d'eau douce ....

     Si cela est vrai, il est donc déjà, de la plus haute importance, pour tout chercheur intéressé par cette théorie, qi'il puisse avoir sous la main une étude officielle, démontrant que les icebergs sont bien constitués uniquement d'eau douce. Avis aux amateurs....


        Mais chacun sait que le site ARTivision reste très pragmatique dans ses recherches, et il aime explorer, des pistes tangibles et vérifiables si possible.

     Voyons donc, ce que l'on peut trouver de très prosaïque, dans l'ouvrage suivant de notre ami Christiana Nimosus :

  

      Voyons donc ici, le cinquième point de cet ouvrage, en page 45 (les couleurs sont de nous évidemment):

"5. Tout proche des ouvertures des pôles Nord et Sud, les différences de température entre le climat intérieur et celui extérieur provoquent des vents glaciaux ainsi que des courants marins.

     On dit que les glaces des pôles sont formées d'eau douce. C'est probable, puisqu'il y a quelques années, l'Arabie Saoudite avait comme fabuleux projet "d'importer" du pôle Sud un gigantesque bloc de glace, un iceberg taillé sur commande qui aurait constitué une abondante réserve d'eau douce.(Ce projet n'a hélas, pu aboutir).

     D'après Reed et Gardner, l'eau douce qui compose la glace des pôles "provient des fleuves qui arrosent les régions chaudes de l'intérieur de la Terre. Quand ces fleuves atteignent la surface polaire, beaucoup plus froide, ils gèlent et se transforment en icebergs. Ces icebergs se brisent ensuite dans la mer, produisant d'étranges vagues de fond qui ont étonné bien des explorateurs arctiques" (d'après R. Bernard dans son ouvrage "La Terre creuse" chez Albin Michel 1971).
"

     Fin de citation...

     Revenons maintenant, à l'ouvrage de 1866, déjà cité plus haut, et intitulé :"Journal d'un voyage aux Mers Polaires" , où en page 29, on découvre alors :

  

     Vous avez bien vu, que dès 1850 au moins , l'enseigne de vaisseau français J-R Bellot, savait parfaitement que les icebergs étaient fait d'eau douce ( Malheureusement il ne dit pas comment il l'a su, et comme on le voit, chaque petit détail a son importance dans cette affaire, car en effet, par exemple s'il avait cité un ouvrage ou un rapport scientifique où il avait découvert cela, le site ARTivision aurait tout fait, même par vents et marées, pour retrouver le document en question ). Mais, on voit aussi que, ce Mr Bellot, croit comme beaucoup de bien-pensants actuels, que ces icebergs ne sont que des morceaux de glace, détachés au hasard, des glaciers de l'Arctique.

     Il nous semble alors judicieux ( même s'il s'agit de l'autre pôle), de reprendre ici, pour le novice, le paragraphe XXVI , de notre article clef de cette affaire : Byrd.html :

     Début de citation :

XXVI Un certain plus concernant la formation des icebergs en date du 18/10/07.


     Le Samedi 6 0ctobre 2007, nous avons eu le privilège de visualiser sur le Canal Sat, un volet de la Chaîne Voyage, consacré à l'Antarctique tel que :


     Après nous avoir présenté l'immense continent Antarctique, la narratrice d'une voix suave, nous explique que " Cette masse glacière de la taille d'un continent qui a persisté une éternité se fragmente désormais et se disperse en l'espace d'un instant. Le facteur d'évolution qui la retenait était la protection de la glace. Actuellement même les sections les plus larges se libèrent de la longue étreinte du pôle et ne font qu'accélérer leur fin. "

  


     C'est ainsi que l'on découvre des pans entiers de falaises de la calotte glacière qui s'effondrent dans l'océan en faisant des vagues gigantesques :

  


     Mais concernant "ces structures de glaces" qui plongent dans l'océan, la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...elles peuvent mesurer 175 km de long et 100 km de large, une fois détachées, peu d'entre elles dureront plus d'une dizaine d'années. Alors que d'immenses fleuves, abreuvent les autres continents, l'Antarctique se déverse dans la mer pour former une mosaïque d'icebergs ".

  
Noter bien qu'il ne s'agit pas d'une photo, mais d'un schéma en animation

  
Noter à droite, l'iceberg à la dérive, et le chemin parcouru en rouge par ce dernier.


     Puis alors la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...Près de 5000 icebergs naissent chaque été soit 6 fois plus qu'en Arctique, soit 640 km3 de glace lancés à la mer autour du continent. Des millions de tonnes de cubes de glaces s'accummulent à la surface de l'océan. ".

  


     Et nous terminons par ceci : "Mais ce n'est rien en comparaison avec leur masse immergée qui peut atteindre 450 m de profondeur. Les neuf dixièmes de l'iceberg sont immergés, et c'est en dessous que leurs répercussions sont plus spectaculaires ".

  


     Ainsi donc, même avec nos satellites puissants, ou avec Google , cette émission a été incapable de nous montrer la photo d'un seul des 5000 icebergs, entrain de se détacher du continent. Seul un dessin animé a pu servir à nous montrer cela. Noter cependant que la narratrice a tout de même évoqué, ( peut-être inconsciemment), "les immenses fleuves" des autres continents, en ignorant bien sur, ceux qui sortent par le trou polaire sud... Encore une, qui a loupé le coche, n'est ce pas !!!

     A vous donc de juger, tout cela...

      Mais, ce 02 Aoùt 2018, passons à une autre énigme polaire, qui a fait couler beaucoup d'encre et qui va faire l'objet de notre de notre 25e focus :

Vingt-cinquième focus :ARTivision, fait état du mystère des mammouths, découverts congelés avec dans la gueule, l'herbe de leur dernier repas .

    Mais pour bien appréhender cette très étrange affaire m reprenons alors, une partie du texte, vu plus hautm texte d' un article de Jean Brun publié par l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980. et ou BYRD aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord en 1926 .

    Voici donc quelques lignes de cet article :

"...A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.... "

    Fin de citation.


     Disons à nouveau, merci mille fois à tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur Jean BRUN (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé les éléments de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire.

     Enfin, il y a aussi le témoignage surprenant de Miss Dorothy E. Graffin, présenté dans le livre très criticable de l'écrivain anglais Alec Maclellan intitulé "The hollow Earth Enigma" :

     On y trouve cette affaire d'une dame de New-York, dans une missive envoyée parait-il à l'écrivain F. A Giannini ( affaire non citée nulle part par Giannini), qui prétend avoir assisté à la projection d'un film à l'époque, où il y avait, la séquence dite des actualités :

" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth ". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."

     L'auteur dit que l'existence de ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre de lettres de gens qui les avaient vues.

     Mais d'après ce qui suit cette lettre aurait plutôt été envoyée à Ray Palmer, Directeur de la Flying Saucer's Review:

     En effet, voici ce que l'on peut lire sur le site :


     "Magazine editor and publisher Ray Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from one of the magazine's readers:

"Dear Ray Palmer,

     There still seems to be considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E. Graffin), and I, saw this in White Plains, New York.)

     Byrd narrated this film himself and EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS, WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a 'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,
"


     Et voici notre traduction approximative :

     "Éditeur de magazine et éditeur Ray Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées par l'amiral Byrd au cours de son vol 1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là, dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du magazine:

"Cher Ray Palmer,

     Il semble toujours y avoir une controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que BYRD a pris lors de son vol , et qui a été montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E. Graffin) et moi, avons vu ce film à White Plains, New York.

     Byrd commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que Byrd décrit comme une "MONTAGNE CHARBONNEUSE", étincelante de diamants ».

Cordialement,
"

"Fin de citation.

      Comme vous le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de Ray Palmer apparaît cette extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...

      Quant au film en question, il existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre archiviste qui mettra la main dessus, touchera bien plus qu'un gros lot de la loterie. Avis aux amateurs.

     Mais présentons plutôt des textes officiels parlant de ces mammouths trouvés congelés par ci par là :

    Voici ce que nous lisons par exemple dans la revue le Point n° 1148 du 17 Septembre 1994 :



    Vous avez noté, nous l'esperons, l'expression :" émergent de temps à autre du permafrost de la steppe aussi "vivant" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur." - Pas mal n'est-ce pas comme allusion ?

      Nous avons eu la chance de découvrir sur Google l'url d'un site qui diffuse de nombreuses images :


    Mais c'est l'image n° 21 qui a retenu particulièrement notre attention. Cette image extraordinaire est très probablement un montage, mais c'est très bien fait :


     On y voit, un mammouth encastré dans un glacier et ayant une patte qui émerge du bloc de glace.

     Voici aussi une autre vue d'artiste, tirée du livre "A Journey to the Earth's Interior" de Marshall B. Gardner page 222 bis :


     De toute façon, ces images trafiquées sans doute, ne sont pour nous qu'un prétexte pour faire pénétrer plus avant dans les tenants et les aboutissants d'une histoire absolument fantastique, qui est reliée, nous le pensons fermement, à l'affaire du trou polaire nord vue plus haut.

     Mais voyons de plus près quoi il s'agit :

     Tout est parti de l'ouvrage d' Immanuel Velikovsky, intitulé : " Mondes en collision" publié chez Stock en 1976 , (mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès 1950) :


     On sait que les théories d'Immanuel Velikovsky qui ont trait à des bouleversements planétaires, ont été sévèrement combattues, par les Universités qui enseignaient que la Terre s'était formé progressivement sans cassure brutale, donc sans catastrophisme. Et maintenant, on pense parfaitement que les dinosaures auraient été exterminés à la suite de la chute sur Terre d'un météore géant. Donc on admet implicitement "les boulversements planétaires" préconisés par cet audacieux Velikovsky.

     Nous avons aussi l'ouvrage "Les grands bouleversements terrestres" du même auteur, également publié chez Stock en 1982 et dernièrement la revue ésotérique "Le monde de l'inconnu", lui a rendu un hommage très mérité sur de nombreuses pages... dans son n° 305 :


     Mais, découvrons alors, ce que nous avons souligné en rouge en pages 22 et 23 de "Mondes en collision" :


     Mais il y a mieux : En page en page 24 du même livre, nous lisons :

      " Dans leur estomac et entre les dents on a découvert de l'herbe et des feuilles non encore digérées. Preuve nouvelle de leur mort brutale. Des recherches ultérieures ont démontré que les brindilles et les feuilles trouvées dans leur estomac n'appartiennent pas à des plantes qui poussent dans les régions où moururent les animaux, mais beaucoup plus au sud , à plus de 1 500 km de là ."

     Il semblerait d'après  Velikovsky que les étranges informations que nous avons soulignées en rouge dans son texte, auraient été tirées des observations d'un certain  D.-F Hertz dans B. Digby, dans son ouvrage The mammoth (1926), page 9.

     Nous demandons alors à tout internaute possédant ce livre ou un autre, parlant de brins herbes découverts dans la gueule de mammouths congelés, d'avoir l'extrême amabilité de nous en toucher deux petits mots. Merci mille fois d'avance.

     Mais il est peut être utile de n'avoir pas qu'un son de cloche dans cette affaire de Mammouth congelé, et pour ceux qui n'ont pas encore lu notre article sur l'amiral Byrd , donnons ici quelques paragraphes du livre de Peter Kolosimo, publié chez A. Michel en Mai 1970 , et intitulé : " Terre énigmatique" :

  

     Cet auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Peter Kolosimo, nous relate page 19, ceci :

     " Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "

      C'est très curieux n'est ce pas?

      Dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue":

  

      Et on y découvre alors, ceci :

      "  Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte  en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré  revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique;  soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement  été enveloppés, tout de suite  après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "

     Ces hallucinantes narrations de  Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont-elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ?

      Si l'on pouvait donc mettre la main sur les rapports des laboratoires qui ont fait les analyses, ( à condition que l'on ne les ait pas jetés à la poubelle), on pourrait peut-être tomber sur  un petit détail ou un commentaire ,  très significatif

      Mais, chacun sait aussi , en plus que l'on retrouve, de temps en temps, des mammouths congelés dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov , découvert intact en 1997(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)

     Le 30 Avril 2012, nous avons eu le privilège que regarder un remarquable documentaire sur la découverte plus récente en Sibérie d'un autre bébé mammouth qui, nous dit-on souvent dans ce documentaire, est d'une "stupéfiante conservation", bien qu'il soit vieux de 40 000 ans:



    Mais il y avait aussi bien avant, l'émission Thalassa intitulée   "Dans le sillage des Mammouths", et qui est passée le 20/10/01 en Métropole et reprise par la suite en Guadeloupe sur la Chaîne Tempo,qui n'existe plus.

    Nous reprenons ici, quelques propos tirés du documentaire (joint à cette émission) de Pierre Fauque, Bernard Buigues et Jean-Charles Deniau concernant l'extraction en 1999 du sol des glaces sibériennes du  mammouth cité plus haut nommé Jarkov et documentaire que nous avions eu la chance d'enregistrer auparavant sous le titre "Mammuthus"
 

    Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence . La fosse  est profonde de 6m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits, il y a une drôle d'odeur . On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à son paroxysme . "C'est entrain de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est  très très forte. C'est de la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui proviennent d'un étant ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur la végétation aquatique à l'époque du mammouth."

fin de citation des commentaires du film  

     Notez bien  que dans le documentaire ci-dessus, l'on voit aussi un chercheur dégager du permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux. Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur, n'ont même pas disparu ? Mais de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, nous l'espérons, les termes dithyrambiques utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs: incroyable, inimaginable,   magique ,  très très spectaculaire,  etc.. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés.....Ah si un aimable internaute pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout deviendrait plus clair....

         L'explication serait d'après Gardner déjà cité: " que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."    

    C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.

   

    En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.

    Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994:

    "...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur...Dans l'île de arctique de Wrangel des chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de 4000 ans? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait signé le glas des mastodontes. Particularité: ces dents ont appartenu à des mammouths nains ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leur ancêtres du continent. Troublant, car sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivants...
    En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique, permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son dernier repas. Dans son cœur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont globules blancs et rouges se distinguent encore.
    A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire revivre le géant de la préhistoire.
"

    Vous avez bien noté, nous l'espérons, les termes vivants, troublant, état de conservation extraordinaire, coup de tonnerre, son dernier repas etc... qui montrent bien "la surprise" de l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth. Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."

    Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que les datations avancées dans les divers cas précédents auraient fait l'objet d'une déclaration de circonstance à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que le mammouth congelé vivait à une époque très proche de nous, et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths sur cette planète Terre ?

    Rappelez-vous les incroyables pressions subies par les scientifiques dans les deux cas suivants :

     Premier cas :

      1976, la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent prélevés par Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.

      Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent des feuilles de tabac, ce qui parait impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu être rapporté en Égypte via l'Europe que 2700 ans plus tard au retour de Christophe Colomb.

Deuxième cas plus grave:

     16 ans plus tard en 1992 une découverte toute aussi étonnante va avoir lieu. Svelta Balabanova une toxicologue de Munich, chargée d'étudier les drogues utilisées pour réaliser la momie vieille de 3000 ans, d'Enouctaoui (écriture non garantie), une prêtresse égyptienne, découvre alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie contient de grandes quantités de cocaïne et que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse en avait, elle même, consommée avant de mourir. Cette annonce fait l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit alors des montagnes de lettres, presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante, la coca , d'où l'on extrait la cocaïne, n'existait nulle part ailleurs, qu'en Amérique. Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse, car cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.

A bon entendeur salut...

     Terminons cette affaire de congélation brûtale inexplicable, par ce petit plus, digne de surprendre les plus blasés des quidams lambda :

     Cette information provient du Science et Vie d'Avril 1959 n° 499 :

     Voici de quoi il s'agit :


     Ce surprenant entrefilet est tiré de la page 33 d'une rubrique intitulée Le Monde en marche. Croyant à un poisson d'Avril, nous nous sommes précipités sur le n° 500 de Mai 1959, de la même revue, qui aurait dû nous avertir que cette information était un poisson d'avril, bien que ce n'était pas du tout le genre de la maison à l'époque. Nulle part dans ce n° 500, on ne parlait de cette affaire de baleine congelée. Nous y avons même trouvé, cette autre entrefilet, qui parle lui aussi, des baleines :


     Concernant l'affaire (qui seule nous intéresse ici) de la baleine congelée, nous n'avons pas souvenance, du tout, d'avoir à l'époque entendu une telle information (pourtant de taille) à la radio. Si vous l'avez entendue, Il est de la plus haute importance de nous le faire savoir. Nous avons déjà écrit à un organisme français du Spitzberg, hélas sans succès. Peut-être qu'un autre internaute béni, aura plus de chance, que nous.

     Même, en ces temps actuels certaines informations tombent et l'on n'a pas eu d'echo de cela quand l'événement a eu lieu. Voyez cette affaire de vol de roches lunaires, qui est restée sous le boisseau de la NASA, sans que les principaux médias en soient au courant...


     Il y a bien d'autres faits, de même nature, qui nous sont très bien occultés, et faits importants encore décrits par le livre jaune n° 6 suivant, un ouvrage, qui a mis très mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



Où l'on peut lire :

    "En 1799, le pêcheur sibérien Schumachoff fait une incroyable découverte, un squelette entier de mammouth, congelé dans un bloc de glace. Les loups avaient commencé à dévorer la viande qui dégelait. Le squelette a pu être sauvé, il est exposé maintenant au Musée d'Histoire Naturelle de St-Petersbourg. Les os de mammouth ne sont pas rares en Sibérie. Sur les bords de la Lena, on en trouve de des milliers. On explique leur présence par une glaciation qui serait apparue brutalement, il y a 20 000 ans. Mais il existe une autre explication, plus inattendue. Marshall B. Gardner, un écrivain américain, l'a proposée en 1920. Les mammouths seraient des animaux qui viennent de l'intérieur de la Terre, leurs cadavres auraient été charriés par les grands fleuves qui sortent de l'ouverture du pôle, et se seraient échoués sur les côtes sibériennes. On a trouvé toutes sortes d'animaux surprenants dans les glaces de la banquise : des hippopotames, des lions, des hyènes et des rhinocéros. La position géographique particulière de leurs tombes peut s'expliquer par le fait que l'axe de la Terre a pu être inclinée beaucoup plus à une certaine époque, et la région polaire aurait ainsi connu un climat tempéré ou même subtropical, à une certaine époque... "

       Mais, il y a encore mieux dans l'émission d'époque, intitulée "Le mythe du déluge" de la Chaine PlanèteSat telle que :


    Voyons, ce que ce documentaire nous dit au sujet des mammouths.

    " ....Dans le sol perpétuellement gelé de la Sibérie et de l'Alaska on trouve des millons d'ossements mélès ayant appartenu à des animaux qui ont péri dans un cataclysme. Le grand mammouth, n'a pas succombé aux chasseurs de la préhistoire, il a été fauché par une catastrophe naturelle.

  

    Au début du 20e siècle, des trappeurs sibériens découvrent le squelette d'un animal gigantesque. on le déterre, puis on l'analyse.

  

    Son estomac contient des restes de plantes poussant dans un climat tempéré. L'animal a été congelé à une vitesse qui dépasse les capacités des congélateurs les plus modernes.

    Ce dont on est sûr, c'est qu'il a 12000 ou 13000 ans, un grand froid s'est abattu sur la Sibérie, qui ne s'est plus jamais réchaufé depuis.

    L'énigme des mammouths congelés en quelques heures a suscité quantités d'annectotes. Certaines sont véridiques d'autres non comme celle des steaks de mammouth servis à ferbanks en Alaska. L'une des annecdotes probablement authentique est celle du baron Wrangel, un naturaliste russe du 19é sur l'ile qu'il découvre dans l'archipel aux ours du Nord de la Sibérie et à laquelle il va donner son nom. Le sable était retenu par des digues de défenses de mammouths et des ossements d'autres animaux disparus lors d'une mistérieuse catatrophe primitives.

    Ces extinctions de masse, cette terrible activité volcanique, la rapidité de la fonte des glaces, tout cela semble indiquer qu'une immense révolution climatique a eu lieu, il y a 12 000, mais la cause de cette révolution reste énigmatique.


    Arrêtons là notre transcription suprenante, bien que nous aimerions en dire plus. Vous avez noté le fait que l'on parle, à un endroit, de " L'énigme des mammmouths congelés, en quelques heures", et a un autre endroit plus haut "L'animal a été congelé a une vitesse qui dépasse les capacité de congélateurs les plus modernes. La question qui se pose là, dans ce discours, est de savoir s'il faut quelques heures à un congélateur moderne pour figer conplétement un amimal qui n'a pas même pas le temps d'avaler l'herbe qu'il a dans sa gueule ? Ne trouvez vous pas qu'il y là comme un hic ?

    Et puis pourquoi des amimaux qui ne vivent pas mélangés entre eux comme des antilopes, des bisons, des loups, d'énormes félins... se retrouvent tous vautrés les uns sur les autres dans une mort inexplicable ? Vivaient-ils dans un paradis terrestre où le carnivore jouait avec l'herbivore pour aller par la suite bras-dessus bras-dessous au même cimetière quand l'heure était arrivé, cataclysme ou pas?

    Tout cela, on le voit, nous interpelle et nous avons cherché sur quelques sites internets la réponse :


     Nous ne contestons pas que la Sibérie ait changé de climat à une époque donnée et que divers animaux y vivaient alors. Mais hélas en ce qui concerne la soudaineté du phénomène qui a frappé, par exemple le mammouth de la Beresovka, c'est le silence glacial, si l'on peut nous autoriser ce jeu de mot de circonstance. A vous donc de juger tout cela.

    Voyez aussi donc (dans ce même documentaire de La Chaine Planète), en effet ce qui est arrivé à l'archéologue Jean Steen-Mackintyre qui en 1966 découvrit un site au Mexique, possédant des outils en pierre et des ossements humains qu'elle fait dater par divers laboratoires, persuadée que ces objets avaient, au plus, 20 000 ans date voisine de ce qui est accepté officiellement. Mais le résultat de ces laboratoires surprendra tout un chacun, car les objets furent datés de 250 000 ans. :



Jean Steen-Mackintyre qui voulait s'en tenir aux résultats des datations fut discréditée et elle perdit son emploi, car le site fut fermé par les autorités...Plus tard on trouva en Russie un site analogue vieux de 300 000 ans ce qui donnait bien raison à l' archéologue déchue Jean Steen-Mackintyre. Malheur donc à ceux qui osent défier les pontifes...

    Voici d'ailleurs la dernière image, un peu plus élaboréee de ce documentaire vue plus haut de la Chaine Planète :


    Merci cette fois-ci à la revue Pour la Science de Avril-Juin 2004: Dossier Hors Série n° 43 : La vie au temps des mammouths :


        Mais, ce 4 Août 2018, exposons aussi cette info que nous connaissons depuis le mois de Mai 2007, et info que nous avait transmise notre ami canadien André D..., nous fait part de la découverte à cette époque, d'un autre bébé mammouth en Sibérie (comme le Jarkov de 1999, vu plus haut) , voir d'abord le site :


      Mais, selon André D..., il y a aussi le site :


      Nous y extrayons avec déférence ces propos :

Découverte d'un bébé mammouth congelé en Sibérie.

Par Jean Etienne, Futura-Sciences.

     Un bébé mammouth congelé, qui se trouve dans un remarquable état de conservation, a été découvert en Sibérie par un gardien de troupeau de rennes en mai dernier.

    Le spécimen, qui serait mort il y a environ 10 000 ans, affleurait du sol gelé de la péninsule de Yamal. Il s'agit d'une petite femelle âgée de 6 mois, qui pèse 65 kg pour une taille de 85 cm et une longueur de 130 cm. Seules la queue et les oreilles semblent avoir été rongées, probablement par des prédateurs, tandis que sa trompe, ses futures défenses et des touffes de poils au niveau des pattes sont intactes.

     La carcasse est actuellement gardée au froid dans la ville de Salekhard, et a reçu la visite du directeur de l’institut zoologique de l’Académie des sciences de Russie, qui s'est déclaré enthousiasmé par l'exceptionnel état de conservation de l'animal. Une équipe internationale comprenant entre autres le Français Yves Coppens et le Hollandais Dick Moll doit bientôt se rendre sur place afin de procéder à des études de biologie moléculaire et de génétique sur ce spécimen.


Fin de citation

     Vous avez bien noté que les touffes de poils au niveau des pattes, sont intacts après 10 000 ans. Curieux n'est-ce pas ? Mais, même si la datation au carbone 14, ou une autre méthode de datation, nous affirmait que ces touffes n'avaient pas plus (par exemple) de 500 ans, Croyez-vous que l'on va crier cela sur les toits, ou plutôt se taire implacablement ?

     A vous de juger, une fois de plus, ces détails surprenants ...


      Mais le 31/07/07, nous avons de nouveau reçu de notre ami artiste peintre André Julien, l'adresse du site suivant :


dont nous vous invitons à parcourrir minutieusement l'article intitulé : " Les mystères des mammouths congelés"

     Nous ne reprendrons pas entièrement cette page, pour ne pas subir les foudres du Webmaster comme cela c'était passé avec un site où régnait le vocable "spectrosciences" qui a été jusqu'à écrire à l'Afnic , pour faire fermer notre site, pour avoir reproduit un petit article sur les pôles de Saturne, pourtant simple traduction d'un texte avec photo de la NASA.

     Notons cependant ce passage extraordinaire :

"....Certains scientifiques, que d'autres qualifient d'un peu douteux, ont vite introduit la rumeur d'une disparition catastrophique des mammouths retrouvés. Immanuel Vilkovsky et Peter Kolismo en font partie. Leurs théories s'accordent pour un catastrophisme hors du commun : les mammouths seraient morts de froid en plein été, ils auraient été congelés instantanément.

     Les amateurs de mystère se sont accaparés ces théories et les ont même développées. Aujourd'hui certaines personnes sont rendues à penser que les mammouths ont été les victimes d'un choc brutal, reprenant à leur compte la théorie de la surfusion. La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé. Ce catastrophisme est encouragé par les tenants de ces hypothèses par l'état exceptionnel de conservation présumé des individus retrouvés....

     Comme le dit le proverbe, il n'y a pas de fumée sans feu, et le feu ici vient des récits des populations locales de Sibérie. Il n'est pas rare d'entendre ou de lire des récits qui insistent bien sur le fait que les mammouths retrouvés sont parfaitement conservés, si bien que leur chair est encore présente et comestible. Qu'en est-il vraiment ? Les paléontologues, qui étudient directement les mammouths gelés et donc qui sont les mieux placés pour en parler sérieusement tiennent un tout autre discours.

     Déjà, le terme de conservation exceptionnelle est relatif. Effectivement, on retrouve les parties molles de l'animal, chairs, estomac, etc. ce qui est tout à fait inattendu car ils sont morts il y a plus de 10 000 ans, en ce sens, c'est extraordinaire. Mais tout s'explique. Un tel état de conservation exige un ensevelissement rapide du cadavre de mammouth par des limons, boues et de l'eau qui gèle très rapidement pour sceller le sol, qui privé d'air devient un milieu de conservation privilégié car les attaques de bactéries ou autres insectes nécrophages sont très limitées....
"


      Dans cette affaire, nous avons l'impression que le journaliste a fait une synthèse très rapide, entre une interprétation du mot surfusion et la théorie de la Terre creuse, qu'il a certainement lu sur le Net (ne serait-ce que sur ARTivision), mais dont professionnellement il ne pouvait parler pour ne pas jeter le discrédit sur son journal. D'ailleurs on voit bien que cet article a été écrit rapidement à la volée, puisque ce journaliste n'a même pas pris la peine de vérifier l'écriture des noms Vilkovsky et Peter Kolismo , car il s'agit bien sûr (Il s'agit bien sûr d'd' Immanuel Velikovsky et et surtout de Peter Kolosimo, ce dernier ayant été largement mentionné plus haut.

      Donc on voit bien que ce communiqué évite soigneusement de parler de la théorie des ouvertures polaires, en parlant de surfusion, et on sait d'après ce que l'on a vu plus haut en parlant d'un certain mammouth que : "il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année "

      L'explication donnée dès 1920, la plus claire et déjà vue plus haut, serait on le sait, d'après Marshall B. Gardner : "...que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."

      Le mieux serait donc n'est ce pas, pour clarifier tout cela, que l'on découvre actuellement un bébé mammouth pris dans la glace d'un iceberg à la dérive et avec de l'herbe fraîche dans la gueule... On a bien le droit de rêver un peu, non...

        Le même jour, nous avons eu le plaisir de recevoir la missive suivante de l'ami Ludovic F :

----- Original Message -----
From:Ludovic F......
To: Fred Idylle [Fred Idylle]
Sent: Thursday, August 02, 2007 6:59 AM
Subject: Petite rectification sur la surfusion

      Bonjour Fred,

      J'aimerais apporter une petite rectification sur l'extrait de l'article du "journal du Net". En effet il est dit : "La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé".

      Ce n'est pas exact, cet article laisse entendre que les mamouths pourraient être dans de l'eau, donc à temperature normal, qui se refroidirait d'un seul coup pour geler. La surfusion ce n'est pas du tout ça. Le phénomène de surfusion à lieu dans les eaux particulierement pures, mais il ne s'agit pas du tout d'un refroidissement brutal, mais l'eau bien qu'étant, par exemple, à -10°c , reste à l'état liquide, on dit qu'elle est alors en état métastable. Il suffit d'une toute petite perturabtion pour que l'eau change d'état et se solidifie.
     Imaginons donc un lac en Sibérie a une température de -30° en etat de surfusion. Un mamouth approche, et au moment où il entre dans l'eau, elle passe de l'état liquide à l'état solide et il se retrouve instantanément prisonnier de la glace.

     Bien entendu, je ne fais que corriger la mauvaise explication de la surfusion. Cela ne me semble pas être une explication plausible car la surfusion ne peut avoir lieu qu'en hiver, donc aucune raison qu'on puisse retrouver des touffes d'herbes dans les pattes ou l'estomac.
     Cordialement.
     Ludovic F.....


      Merci donc à Ludovic F......pour cette explication très scientifique de la surfusion.

     Ce même jour nous avons aussi reçu cette missive intéressante :

----- Original Message -----
From:Patrick C.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr.
Sent: Thursday, August 02, 2007 10:21 AM
Subject: Les russes au Pôle

     Bonjour Fred!

     Quoi de neuf sous les tropiques!
     Voici ci-dessous une information qui devrait changer les dires sur le Pôle Nord :

J'attends tes comments!

P.C



L'expédition Russe.


      " Des explorateurs russes ont planté jeudi un drapeau de la Russie au fond de l'océan Arctique, à plus de 4.000 mètres sous le pôle Nord, au terme d'une expédition présentée comme pionnière et symbolique des velléités territoriales de Moscou sur l'Arctique et ses hydrocarbures. "

      Merci donc à Patrick C...pour cette surprenante info. Nous pensions que des accords internationaux avaient proscrit l'exploitation à des fins industrielles des zones arctique et antarctique. Mais dans la carte présentée, on parle aussi d'un message qui aurait été placé à 4000 mètres de profondeur. Quelle est la nature de ce message et à qui pourrait-il être destiné, à une telle profondeur ? Cela nous rappelle bien, l'affaire des messages déposés sur la Lune par de prétendus astronautes américains... Affaire à suivre donc de très près.

         Mais, ce 06 Juillet 2018, reprenons en partie ce que nous avions écrit plus haut, concernant la température qui régne sur Titan :

        Début de citation :

         "... De plus, les scientifiques nous affirment que la température qui régne sur Titan doit avoisiner les -180° . Mais, les images suivantes de Titan :

  

ne présentent pas du tout un paysage glaciaire correspondant cette température de -180° , prônée par les savants, mais plutôt, à des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela... "

     Fin de citation.

         Le site ARTivision, va donc hausser ici, le niveau de notre compréhension des choses, d'un échelon très significatif , et cela va faire l'objet de notre de notre 26e focus :

Vingt-sixième focus :ARTivision, explique, clairement, le fait que nos instruments de mesure sont construits, en fonction des lois admises dans le cursus universitaire.

      Pour éclairer très prosaïquement, cette affaire d'instruments mal adaptés, à une situation inconnue, présentons alors ici un article intitulé "La conquête du Pôle Nord", de Mr Philippe Nessann, du n°115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior.

       Dans cette revue dédiée aux jeunes lecteurs, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle, en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du Soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous, l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au Pôle Nord.


    Mais, il va de soi, que s'il existe au Pôle Nord une courbure de la Terre, vers son intérieur , (non enseignée dans nos universités), comme le montre cette extraordinaire photo (commentée par nos soins), déjà vue dans de très nombreux articles du site ARTivision :


alors, que les angles Alpha, Bêta, et Gamma, ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma du Science&Vie Junior, et donc que la position déterminée par l'explorateur, en sera automatiquement faussée sur le terrain par les instruments utilisés, où la courbure quasi sphérique est programmée.

      Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire, que nous évoque notre bien pratique schéma suivant, d'une pomme.

  

      (Bien sûr, ici la courbure est très exagérée)

       Ou encore cette carte, montrant la position du trou polaire :


  Autrement dit, ce qui précède nous montre que le disque représentant le vortex polaire, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord, car on pense actuellement ( http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm), que l'axe polaire de rotation, n'est pas confondu avec l'axe passant par le centre des vortex polaires, comme l'indiquerait le schéma :



     Et donc il existerait bien des pôles géographiques Nord et Sud, juste sur le bord externe de la courbure, et c'est cela que détectent les GPS, de ceux qui sont fiers de montrer qu'ils sont arrivés aux pôles.

      Il en résulte, très logiquement, que dans le cas cité, l'instrument utilisé pour mesurer la position du Pôle Nord (ou Sud), n'est pas conforme aux lois de l'environnement et, ne peut qu'induire en erreur, l'expérimentateur.. Il en est de même pour cette affaire de tempérarure sur Titan, qui dépend étroitement, de la nature inconnue du fonctionnement de notre Soleil, affaire que nous avons déjà développée, dans d'autres articles.

      D'autre part, pas besoin de sortir de Polytechnique, pour deviner que les photo suivantes, déjà présentées plus haut, ne sont que des piètres éléments de camouflage de "l'ouverture polaire", lorsqu'elle est opérationnelle... :



        Mais, voici pour le novice ingénu, encore un petit plus, concernant l'affaire.

      Dans ce même n°115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons été aussi cependant, bien agréablement étonné, de trouver, un médaillon en forme de tableau, où un artiste a représenté la mythique mer libre du Pôle :



    Voici d'ailleurs les quelques lignes de l'article qui en parlent, où l'on apprend d'abord, qu'un certain James Clark, neveu du navigateur John Ross a localisé le 30 juin 1931, un endroit de l'Arctique où l'aiguille de la boussole se dresse verticalement par rapport au sol :

    "...Il vient d'atteindre le Pôle Nord Magnétique et non géographique. Le premier, indiqué par une boussole, se situe au Canada. Il se déplace d'une dizaine de mètres par an en fonction du magnétisme terrestre. Le second est fixe : point du globe le plus au nord, il a pour latitude 90°. Entre les deux : 2000 km de distance et une sacrée différence de réputation. Car le pôle, le vrai, le sommet du monde, c'est le pôle géographique.

   Mais au fait, qu'y trouve-t-on exactement ? En cette seconde moitié de XIXe siècle, on n'en sait fichtrement rien. Est-ce un continent, comme au pôle Sud, ou une mer libre, comme le prétendent certaines légendes, ou encore un océan recouvert d'une gigantesque banquise ? Peu à peu, l'attention des explorateurs se détourne des passages du Nord-Est et du Nord-Ouest franchis en 1878 par le Suédois Nordenskjöld et en 1905 par le Norvégien Amundsen - pour se fixer sur le pôle
."

    Eh bien, apparemment, selon nous, le "on n'en sait fichtrement rien", s'applique encore de nos jours, et il semblerait justement qu' ARTivision, dans pas mal de ses articles, s'évertue à démontrer qu'en Haut Lieu, les satellites ont parfaitement tout vu, mais cela est devenu Ultra Top Secret , pour les raisons notoires souvent évoquées par notre site.

     Mais, comme disent parfois, les anglo-saxons : "Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), nous allons faire ici, pour terminer ce focus hors-norme, cette digression très assortie à notre propos :

     En effet, voici une reponse ciblée aux commanditaires blasés de l'émission de Radio de France Inter, qui est resumé dans l'entrefilet suivant :


un très aimable internaute, il y a pas mal de temps :

----- Original Message -----
From: Z... Jp
To: IDYLLE Fred
Sent: Saturday, August 13, 2016 7:40 PM
Subject: Re: Un clin d'oeil d'ARTivivision
           Bonjour Fred
     Merci pour les infos,
      Je suis en train de regarder sur Arté "la théorie du complot"
      Ils ont vraiment réponse à tout les historiens officiels !
      Les théoriciens complotistes (sic) sont des idiots MDR
      Longue vie à ARTivision et aux complotistes que nous sommes !

      A bientôt
      JPZ

      Mais chacun le sait, le site ARTivision, a toujours dans ses dossiers anciens, de quoi confondre l'intelligentsia sur-médiatisée et bien assise dans ses cocons feutrés, dans cette société en pleine mutation .. Il est presque certains que nos documents jamais commentés dans leurs colonnes journalistiques vont ici encore leurs faire courir des frissons le long de l'épine dorsale et il sera de même des certains détracteurs zélés et autres consorts intellectuels blasés qui vont pousser des grincements très acérés de leurs molaires....

      Commençons, si vous le voulez bien , par l'affaire dite conspirationniste par les détracteurs en question, de l'assassinat du Président Kennedy, le 22 novembre 1963 à Dallas..

     Rappelez-vous, que, la commission Warren, organisme juridique qui a étudié l'affaire, voulant à tout prix nier, la manifestation évidente d'un complot, a tout fait, pour conclure qu'il n'y avait eu que trois coups de feu, et donc qu'il n'y avait eu qu'un seul tireur et un seul assassin : Lee Harvey Oswald .

     Pourtout des témoins ont dit avoir entendu 4 coups de feu, et il y aurait même eu des enregistrements que l'on s'est vite évertué à faire disparaître.

     Dans son numéro de Décembre 1964 , la revue Science&Vie, (que l'on ne peut nullement caractériser de conspirationniste), nous avait alors bien expliqué, que même avec 3 coups de feu, d'après des rapports de spécialistes en balistique, que "Lee Oswald n'a pas pu tuer John F. Kennedy"...

     Voici quelques éléments de ce Science&Vie d'importance :

     Et en pages 112 et 113, on découvre ceci :


     Donc on voit bien ici que le site ARTivision applique strictement ici, l'adage : "qu'il vaut mieux ne pas être plus royaliste que le roi", et Messieurs les bien-pensants, qui évitent absolument de parler dans les médias, de cet incontournable article du Science&Vie de Déc.64 tourner alors votre langue 7 fois dans son palais, avant de bomber le torse, et de parler pour ne rien dire de bon sur cet assassinat.... Point Barre...

     Pourtant l'affaire a bel et bien été étouffée et classée sans suite, par les juristes américains bien en place, à l'époque, et on le sait, beaucoup d'autres affaires encore plus sordides, ont été à l'ordre du jour, après cela.

     Mais cet article ARTivision, a justement pour objet, pour les puristes qui veulent plus de détails, d'en dire davantage, en transcrivant ici les déclarations d'un membre des Services Secrets Britanniques, que l'on peut alors trouver dans le n° 32 de la revue Planète de Janvier-Février 1967:


      Et voila de quoi il s'agit :( Attention ce texte est comme un vrai polar. Il est un assez long et pour éviter la saturation , prière d'y aller, petit à petit par intervalle.


     Et voilà, ce qu'on trouve en page 48, et suivantes :

La plus honteuse farce de l'histoire des États-Unis.

Le bouc-émissaire de Dallas.


      Voir la suite à notre article clef :


      Bien sûr, nous attendons donc, avec ferveur, sur le sujet évoqué ci-dessus, les réponses claires et nettes, des propagandistes notoires des nombreuses émissions actuelles, sur cette affaire dite bien vite, par eux, conspirationniste...

     Dans le même contexte, est-il il encore besoin d'evoquer ici , l'effroyable affaire du 11 Septembre 2001, que les conjurés médiatiques des émisions actuelles (radios et télévions ), osent placer dans une théorie du complot bien adéquate, pour eux, afin de ne pas remettre en question la sérenité de cocons et intellectuels et sociaux .

      Pour mémoire, voici une superbe image tirée du livre de lecture de Sixième de Larousse 1977, montrant magnifiquement, les tours jumelles bien avant leur totale destruction et quelle superbe inspiration n'est-ce pas, a enveloppé ce photographe à ce moment là ?


      N'ayant aucune compétence technique, pour détortiquer les rapports professionnels, produits à l'occasion de cette affaire, disons seulement qu'il nous semble tout à fait impossible, que quelques terroristes, mêmes très outillés, aient pu détourner aux USA, le méme jour, dans la matinée, 4 avions gros porteurs de leurs destinations régulières, à la barbe des très nombreuses agences de renseignement...( FBI, CIA, NSA... etc...) ultra-Secrètes du Pays.

      De plus, on sait que La Tour 7 s'est effondrée toute seule, sans qu'aucun avion ne l'ait touchée, et de plus des pilotes d'avions très chevronnés ont déclaré à l'URL :


que l'exploit qui consistait à précipiter deux gros porteurs, sans aucun guidage électronique calibré, sur les tours en question, était un fait, tout à fait impossible. Et aux dernieres nouvelles, on parle de supers hologrammes, et qu'il existerait justement, des images, où l'explosion a eu lieu, juste avant l'impect de l'avion sur la tour, et voyez donc ainsi, cet entrefilet en page 15 de la revue TopSecret n°98 d'Août-Sept 2018 :

   

        Fin de la digression... Et à bon entendeur Salut!!!

       A suivre...

            Fred IDYLLE

     Article mis en page le 14/04/2018, et revu le 15/04/2018, et revu le 17/04/2018, et revu le 22/04/2018, et revu le 24/04/2018, et revu le 26/04/2018, et revu le 28/04/2018, et revu le 30/04/2018, et revu le 01/05/2018, et revu le 02/05/2018, et revu le 04/05/2018, et revu le 05/05/2018, et revu le 07/05/2018, et revu le 09/05/2018, et revu le 10/05/2018, et revu le 13/05/2018, et revu le 15/05/2018, et revu le 17/05/2018, et revu le 18/05/2018, et revu le 19/05/2018, et revu le 22/05/2018, et revu le 24/05/2018, et revu le 27/05/2018, et revu le 21/06/2018, et revu le 23/06/2018, et revu le 25/06/2018, et revu le 27/06/2018, et revu le 29/06/2018, et revu le 01/07/2018, et revu le 03/07/2018, et revu le 06/07/2018, et revu le 08/07/2018, et revu le 10/07/2018, et revu le 11/07/2018, et revu le 14/07/2018, et revu le 25/07/2018, et revu le 28/07/2018, et revu le 31/07/2018, et revu le 02/08/2018, et revu le 04/08/2018, et revu le 06/08/2018.

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