Hélas, ces infographistes
qui croient être malins, et dont certains sont toujours prêts à inventer des images bidonnées,
(Voir l'affaire du crayère bidon à l'article :
AstoundingMystery-of-the-WBSS-Agency.html), ont
là, fourré
carrément la tête sous le sable, exactement comme ceci :
Et ils
ont loupé lamentablement le coche, comme
beaucoup d'autres quidams, et
coche, qu'
ARTivision.fr, avait justement conduit devant leur porte.
Voyons maintenant de plus près
cette affaire du fameux cratère Copernic :
L'image de gauche est tirée de la page 564 du
Sciences et Avenir n°153 de Nov. 1959,
(déjà présenté plus haut) qui hélas ne spécifie pas clairement de quel télescope est tirée cette image, mais l'image de droite est tirée du fameux
Science&Vie d'Avril 1964 ( que tout astroarchéologue de vrait avoir dans sa bibliothèque et l'on va vite ci-dessous découvrir pourquoi ! ) . Cette revue elle, nous précise bien que
la photo du cratère Copernic en question , fut aussi prise, par l'observatoire du
Mont Wilson en Californie, observatoire très cher à notre site. Notons
cependant l'image de droite semble être la même que celle de gauche, qui est plus agrandie sur les bords :
Mais pour le novice qui decouvre à peine le site
ARTivision.fr, et pour le bienheureux qui le verrait dans une brocante, voici la première couvertue de cet incontournable
Science&Vie d'Avril 1964:
Pour le puriste qui aime à rechercher, la source d'un document, disons que dans ce n° 559 dans la rubrique
L'UNIVERS, figure un
article incroyable pour l'époque,
jamais repris ensuite dans ce magazine, et intitulé :
"Des lueurs étranges sur la Lune", Voici donc comment se présente le début de cet important article :
Pour en savoir davantage sur cet article, prière de consulter notre Article :
Cependant Il nous importe de présenter ici
ce passage inouï de cet article,
dont le thème n'a jamais plus été évoqué dans la revue en question :
Rien enfin n'empêche, d'imagininer - mais ici nous tombons quelque peu dans la science-fiction que les taches brillantes apparues aient eu une origine artificielle, témoignant de l'activité d'êtres intelligents à la surface de la Lune.
La vie n'a certainement pas pu se dévélopper sur notre satellite, mais si une expédition d'astronautes extraterrestres venus des espaces intersidéraux explorait le système solaire , on peut supposer que ces astronautes établieraient une base sur la Lune, ne serait-ce que dans le but d'étudiier la terre à faible distance sans être repérés. Dans un récent article sur les voyages intersidéraux publié dans la revue Planetary and Space Science, le très serieux astrophysicien américain Carl Sagan a froidement envisagé une telle possibilité, qui soulève cependant encore les plus grandes réserves chez la plupart des astronomes...
Comme on le voit, l'exploration de la Lune, nous réservera sans doute bien des surprises..."
Fin de l'extrait.
Inutile de préciser ici que
cette sublime
hypothèse, a été totalement assimillé dès
Juillet 1997 , par le site
ARTivision.fr qui
régulièrement découvre des preuves incontournables de sa validité.
Mais pendant que nous parlons de ces cratères, que l'on dit
météoritiques, ayant
"des projections radiales de poussière", comme
Copernic, voici aussi, par exemple,
le cratère Tycho, de 85 km de diamètre et qui possède aussi
ces rayures centrales :
Pour expliquer
ce phénomène extraordinaire, le site
ARTivision.fr, affirme que ce phénomène, n'a rien à voir, avec
l'éclaboussement radial causé au sol, par la chute d'une grosse météorite...
En effet voici
les deux premieres pages, de l'ouvrage très scientifique publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL, qui vivait alors en Angleterre:
et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251,
une sublime comparaison, à la même échelle,
du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment.
A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :
Nous avons surtout souligné en rouge que la photo de droite vient de
l'Observatoire français du Pic du Miidi .Le mot récent pourrait signifier une date entre 1967 et 1968.
Mais analysons plus en détail cette image du Pic du Midi :
analysons maintenant la structure bizarre placée à l'intérieur du cercle :
Et voici encore mieux :
N'empêche, qu'il faut vraiment,
vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit,
est tout à fait naturel :
Si l'on sait que
ce cratère Copernic mesure environ
93km, un calcul élémentaire donne
pour la largeur de l'engin excavateur, près de
12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à :
12 km. Comment donc il se fait,
qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu
dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues, jusqu'à la sortie du remarquable ouvrage du très grand chercheur et ami Alfred NAHON (hélas décédé en 1990)
: "La Lune et ses défis à la Science ", paru en 1973 aux Editions Mont-Blanc en Suisse.
Que c'est troublant, tout cela !!! A vous de juger, documents à l'appui...
Bien sûr,
aucune autre photo moderne de Copernic,
ne nous présente ce super engin excavateur, et nous formulons ici, le grand espoir
qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en
3 D,
cette super-structure, tout à fait
hors normes.
Cependant dans le
n°153 de "Sciences et Avenir" de Septembre 1959 que nous remontrons ici étant donnée son importance :
, on trouve à la page 565, cette image :
Cette photo ci-dessus, du
Sciences et Avenir, n'est pas hélas référencée et pourrait elle aussi, venir du
Télescope du Mont Wilson en Californie. Merci mille fois à l'internaute qui en déterminera la date de sortie.
Cependant, il semblerait que l'on y voit bien de manière très floue
le Truc de Copernic, vu plus haut, mais totalement déformé :
Le site
ARTivision.fr, pense alors que puisque la
la NASA a été créée en fin, Juillet 1958, et
que la photo du Pic du Midi, serait sortie autour de l'année 1968, donc 10 ans plus tard, il y aurait donc une magouille quelque part, à un certain niveau .
Aux spécialistes de l'espace, de nous en dire plus...
Il faut savoir aussi, que nous avons écrit le
19 Janvier 2018,
à l'Observatoire Midi-Pyrénées,, en passant par l'adresse :
yves.meyerfeld@aero.obs-mip.fr, afin simplement de savoir, quelle est, la date exacte de la sortie de la photo suivante :
photo présentée en 1969, dans
l'ouvrage très sérieux, bourré de formules mathématiques, de l'astronome Zdenek KOPAL Jusqu'a présent nous n'avons reçu aucune réponse . La courtoisie, n'est donc pas le point fort de cet organisme. Mais le Temps des Révélations saura mettre au pas, ceux qui croient à tort, être sortis de cuisse de Jupiter. Point Barre...
Mais revenons alors à
notre cratère Tycho, dejà présenté plus haut, que l'on dit
météoritiques, ayant
"des projections radiales de poussière", comme
Copernic.
Mais, nous avons vu juste au dessus,comment un
engin indiscutablement non naturel, était entrain
de "raboter" la partie droite du cratère Copernic. Nous en déduisons que cet engin évolue t sans roues et fonctionne de manière
antigravitationnelle avec
des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère,
des minéraux utiles aux occupants de la Lune.
( En parlant d'energies inconnues, ce n'est pas pour nous, une figure de style ,
car concernant le super lanceur l'alerte Corey GOODE, on a bien écrit sur la page :
à la fin d'un paragaphe :
" Ses réponses expliquent en détail comment les activités secrètes des programmes spatiaux aux États Unis..et ailleurs dans le monde, ont été cooptées par des forces et des institutions peu scrupuleuses qui privent l'humanité des bienfaits des secrets technologiquement acquis au cours du siècle dernier " )
Nous pensons alors que la poussière lunaire, peut donc s'y coller progressivement, et surtout s'y détacher en fonction des directions rectilignes empruntées pour le transport de ces minéraux.
Cela est à l'origine de la blancheur du cratère, et surtout c'est la raison des fameuses rayures blanchâtres, pas toujours concentriques qui s'étalent autour du cratère : Voyez donc l'image suivante
de Tycho, avec une rayure
bien décalée, passant loin du centre du cratère :
Rappelons que le
cratère Tycho, a près de 85 km de diamètre, et cela fait que le décalage observé de la rayure, est donc
très significatif , et ne peut être,
selon nous, une projection venant du point de chute, d'un météore quelconque.
Voici donc l' explication
hors normes que propose
ARTivision.fr, au sujet de
ces rainures blanchâtres visibles autour de certains cratères.
Si vous avez une meilleure explication du phénomène, soyez assez aimable de nous l'envoyer, afin que nous puissions la publier, dès réception....
Mais revenons
à notre affaire du cratère Copernic...
Mais voici encore
un petit plus, que l'on peut tirer de l'image déja vue plus haut, de la page 584, du n° 153 de Nov. 1959 de la revue
Sciences et Avenir :
En agrandissant on voit apparaître en haut à gauche, une chaîne de montagnes et pas loin en dessous, le cratère
Tobias Meyer, tel que :
Mais juste à côté de
Tobias Meyer, nous avons découvert , ce petit cratère traversé
diamétralement, par une sorte
"de pont ou de muraille" :
Notons en passant, que sur Google, on découvre que le diamètre de
Tobias Mayer peut être évalué à
30,5 Km,, alors le soi-disant
"le petit pont", aurait selon nous,
grosso modo, un diamètre voisin de
6 km. Merci mille fois à l'internaute
béni, qualifié pour ce genre d'évaluation, de nous de préciser cela .
Inutile de dire ici, qu'à notre connaissance,
qu'aucune revue d'astronomie ou même aucune sorte de revue médiatique affiliée, toujours avide de scoops atypiques,
n'a présenté cela, dans leurs colonnes habituelles. Il serait grand temps de le faire,
car le super déballage cosmique est imminent, et il n'est jamais bon
de prendre le train en marche sous peine, de glisser la tête première sur le ballast et les dures traverses, de la voie ferrée.
A bon entendeur salut..
Mais ce
18 Février 2018, nous allons faire état, d'un document exceptionnel prouvant une fois pour toute, que
notre Terre a au Pôle Nord, à un moment très particulier,,
le même aspect que celui de Titan, déjà présenté plus haut, et que voilà de nouvveau
Nous imaginons alors parfaitement
les grincements stridents de molaires et les cris d'ahurissements, des spécialistes officiels de l'étude de notre système solaire... Mais qu'ils n'avalent pas trop brutalement leur salive, car le plus étonnant est encore à venir ...
Mais pour aller de l'avant dans cette affaire, disons que c'est le Vendredi
13 Février 2004,
(Il y a donc juste, 14 ans et 4 jours),
que nous avons eu le grand privilège de recevoir de l'ami canadien
Jean RESTAYN,
(qui maitrise parfaitement la lanque allemande), l'importante missive suivante, dont nous vous donnons ici quelques passages clefs...
(les couleurs sont évidemment de nous;,bien sûr)
"Cher Fred,
Décidément vos articles Byrdalice et Byrdalicesuite et la théorie de la Terre creuse, nous enfoncent de plus en plus dans les profondeurs du sujet. Nul doute qu' à ce rythme nous serons bientôt rendus au centre de la Terre, d' ici peu de temps et je m' en félicite autant que vous.
C'est donc en ce sens que je vous fais parvenir ces quelques informations très anciennes et complémentaires sur ce sujet passionnant et qui sera bientôt une révélation, une apocalypse à lui seul.....
Il existe en langue allemande une série de livres que l' on qualifierait aujourd'hui de " channelés " écrit par un auteur du nom de Jakob Lorber (1800-1864).
Je joins une courte biographie malheureusement en allemand sur ce personnage fort intéressant.....
.......................................................................................................................................................................................
...Mais le plus intéressant, en ce qui concerne notre théorie de la Terre creuse , est qu' il en parle dans ses écrits (Erde und Mond - terre et lune :256 pages). Il la décrit comme un être vivant et respirant, tout comme la lune, creux à l' intérieur , inspirant l' énergie cosmique par le Pôle Nord, et expirant par le Pôle Sud, peuplé d' une civilisation très évoluée et aussi d' esprits.Tous ceci n' est pas en contradiction avec les articles de Byrdalice et de Byrdalicesuite, bien au contraire.
Le Soleil ( die naturliche Sonne - le soleil naturel : 320 pages)est également vivant, et ne dégageant aucunement la fameuse chaleur provenant de son soi-disant noyau en fusion.
Ce soleil serait notre mère à tous ( die Sonne - le soleil est féminin en allemand) et réunirait à lui seul tous les éléments contenu sur nos planètes. Lui aussi est peuplé d' êtres merveilleux....
....Le tout fut écrit par lui entre 1840 et 1864. Je recommande vraiment la lecture de ces très nombreuses pages. Elles sont édifiantes sous tous les aspects.
La Mythologie germanique est fondée sur la théorie de la terre creuse. Le royaume intérieur s' appelle AAGARD . Coincidence?
Rappellons ici que Mihkaël Omraam Aïvanhof dans ses nombreuses conférences parle aussi de la Terre creuse , et du Roi du monde, vivant en son centre. Il s' agit selon lui d' une synarchie. On pourrait la contacter par télépathie.
J' espère, cher Fred que vous pourrez présenter le cliché envoyé par mes soins montrant le si beau trou du pôle nord ...Elle est issue du site
allemand :
Amitiés
Jean
PS : Je vous écrirai prochainement un peu plus longuement sur nos Reichdeutsch, si vous le souhaitez bien sûr. des dizaines de pages peuvent être consultées sur cette histoire si l'on connait l'allemand, par exemple :
Fin de missive<BR>
Nous sommes restés bouche bée devant les nombreuses révélations que nous apporte cette missive en si peu de lignes.
Hélas le site en question :
http://www.pousada.ch/erde/pol.html, n'existe plus sur le web.
Merci mille fois à l'internaute béni qui aurait enregistré à l'époque ses informations.
Après quelques recherches, nous avons appris après, que cette photo aurait été captée par
un radio-amateur
d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque,
au
Centre Spatial de
Garchlingen ( Bayern )
et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région.
Mais maintenant présentons à nouveau,
ce fameux trou
à l'image de gauche suivante, que nous avons commentée à droite
L'image de gauche a été bien sûr,
étudiée en long et en large par un très aimable infographiste très qualifié,( qui a fait cette étude gratuitement), et qui en a déduit que
ses caractéristiques étaient déjà pour l'époque exceptionnelles.
Voici donc ici,
une partie, de
la conclusion de cet aimable
infographiste.
"Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement
régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son
intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points
immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.
Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul
de diffraction associé à un nuage de particules fines, peut donner ce
résultat en synthèse.
Mais vu la finesse des
détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes . De
plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à
créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge
aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra
parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement
sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont
beaucoup plus mêlées et diffuses... "
Fin de citation;
Si cela
s'averrait exact, nous serions
là, en
présence d'un
document
exceptionnel et inestimable.
D'ailleurs le Webmaster du site
ARTivision.fr, se pose
vraiment la question de savoir, si les rédacteurs des fascicules suivants :
n'ont pas justement
pris en considération la conclusion précédente de l'aimable infographiste en question, pour oser presenter dans leur fascicule, sans aucune explication, la superbe photo de gauche, vue ci-dessus et que voici à nouveau, étant donnée son importance :
Les deux premiers facsicules de gauche présentent la photo en noir et blanc
(respectivement page 16 et 52) et le 3
e,
bien plus agréable à voir en couleur,
(page
23).
Nous avons aussi retrouvé
cette photo camoufflée par la mention
"The Hollow Earth" sur le site :
http://www.2012unlimited.net/hollow.html
.
Mais ce site ne nous dit rien non plus d'où provient cette photo. Nous avons contacté en anglais
le
13/03/04, le Webmaster en question, pour savoir s'il savait quelque chose à ce sujet.Pas de réponse. Le 15/04/04, nous avons récidivé et enfin le 04 Mai 2004, nous avons eu la réponse suivante:
-
---- Original Message -----
From: Nick Armstrong
To: fred.idylle
Sent: Tuesday, May 04, 2004 7:53 PM
Subject: Hollow Earth
Hi Fred,
I am not sure of the origin of the Hollow Earth graphic, but I think it came from the video series and book "Legend of Atlantis"
Both of these are available from my catalogue at www.2012.com.au.
The videos were produced at my studio in Tasmania, Australia by a German producer
.
I am not sure where he sourced many of his graphics
.
I hope that is helpful.
regards
Nick
Nick Armstrong
2012 Unlimited
PO Box 157, North Hobart
Tasmania, Australia. 7002
Phone: 04 1988-2012
Phone: 03 62788422
Fax: 03 62788411
International +614 and +613
Email: 2012@2012.com.au
Web: www.2012.com.au
Fin de missive.
Donc tout cela nous vient d'Australie et comme vous le voyez, si vous connaissez un peu l'anglais, nous n'avons pas avancé beaucoup dans notre affaire qui est de trouver l'origine de cette photo extraordinaire publiée par ce
Nick Armstrong. Encore donc des recherches en perspective... et nous invitons les internautes intéressés à pousser aussi loin que possible les investigations.
Mais, beaucoup plus tard, pourtant nous avons aussi, par un heureux
hasard,
(que nous ne pouvons décrire ici), réussi à mettre la main, sur cette
étonnante photo :
Cette superbe photo nous a été envoyée notre ami de longue date,
Frédéric(
ashtar-sheran.htm), qui nous explique que cette photo est extraite de la vidéo plutôt ancienne :
On voit alors que, cette image est exactement la même que celle dejà vue plus haut, mais
elle a été redressée ...
Cette inclinaison, s'explique par le schéma suivant :
Où l'on voit alors, que le disque représentant
le vortex polaire en question,
ne se juxtapose pas juste au-dessus du
Pôle Nord, d'après le site
( http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm), il existe bien
un Pôle Nord géographique, tel que
l'axe polaire de rotation, n'est pas confondu avec
l'axe passant par le centre des trous polaires, comme l'indiquerait le schéma :
Quant à
cette affaire de
mer libre
du Pôle Nord, que nous avons mentionnée sur la photo de droite, elle a très souvent été évoquée par
ARTivision.fr, dans de très nombreux
articles dont :
Mais, toujours à l'intention de notre novice en question, et pour mieux analyser cette affaire, rappelons ici
les propos très poétiques de l'explorateur américain
Israel Isaac Hayes, dans l'ouvrage que nous avons le grand privilège de posséder, et intitulé
"La mer libre du Pôle" de
1877:
On trouve alors ceci, aux pages
188 à 189 :
" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation
Tout ce qui est raconté ci-dessus,
est superbement rassembléce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez
Hayes et son compagnon. Voici à nouveau
cette gravure sublime :
Il nous reste cependant,
à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne
les oiseaux, qui semblent venir d'en haut .
Grâce à une
petite initiative élémentaire, avec quelques
couleurs,
c'est bien mieux,
et le super bleu de
la mer libre, apparait
alors clairement :
Cette émotion toute naturelle, n'a pourtant pas plu
aux bien-pensants explorateurs modernes des pôles, comme un certain
Paul-Emile Victor.
(Voir notre article : http://www.artivision.fr/LaMerlibreduPoleNord.html)
Rappelons
au puriste , qui aime aller aux sources d'une information, qu'un aimable internaute qui se reconnaîtra facilement
Renaud F......, nous a fait découvrir, le fait important que notre célèbre écrivain du fantastique,
Jules Verne en parle clairement de
cette affaire de Mer libre, au chapitre 7, dans son roman
" Le pays des fourrures ", en ces termes :
" - Croyez-vous, monsieur Hobson, demanda Mrs. Paulina Barnett, que l'homme puisse jamais atteindre le pôle même?
- Sans aucun doute, madame, répondit Jasper Hobson, l'homme, - ou la femme, ajouta-t-il en souriant. Cependant, il me semble que les moyens employés jusqu'ici par les navigateurs afin de s'élever jusqu'à ce point, auquel se croisent tous les méridiens du globe, doivent être absolument modifiés. On parle de la mer libre que quelques observateurs auraient entrevue. Mais cette mer, dégagée de glaces, si elle existe toutefois, est difficile à atteindre, et nul ne peut assurer, avec preuves à l'appui, qu'elle s'étende jusqu'au pôle. Je pense, d'ailleurs, que la mer libre créerait plutôt une difficulté qu'une facilité aux explorateurs."
Comme vous le voyez,
Jules Verne était parfaitement au courant
(en plus des trous polaires : voir le premier volet), de
cette affaire de mer libre alors que nous ne l'avons sue qu'en
1972, quand une amie de la Métropole, a eu
la géniale
idée, de nous envoyer l'ouvrage incontournable et devenu très
rare, de
Raymond Bernard "La Terre creuse" paru
chez
ALbin Michel en
1971, ouvrage pratiquement introuvable, même en
librairie spécialisée, et dont voici la couverture:
Nous nous souvenons alors très
bien, que nous avions feuilleté cet ouvrage
à la Librairie Flammarion, Rue de la
République à Lyon, alors qu'il venait de paraître . Mais
hélas
nous n'étions pas encore prêts, pour en saisir les tenants et
les aboutissants. Ce n'était donc, que partie remise, et ce livre
est venu, plus tard, nous trouver chez nous, au moment voulu,
car rien ne se fait par hasard sur cette
planète comme le croient encore
les rationalistes irréductibles..
Ces derniers temps, on le sait déjà, on peut trouver sur le marché, cet autre ouvrage en remplacement du précedent , publié
aux Editions Hades en Sept.2017
Mais, voici une image très officielle et cartographique, qui figure dans un livre réservé
aux élèves de 6 éme, et publié en
1977 par
Fernand Nathan :
Vous avez bien noté, dans
la légende, que cette carte, place
le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la
"banquise permanente", alors que le site
ARTivision.fr, prétend démontrer que ce
Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace".
Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent cette
mer libre du Pôle Nord, dont il est question dans de très nombreux articles de notre site, et
cela sera pour une prochaine fois...
Mais, ce
21 Février 2018
, nous allons démontrer, que
les géographes et consorts concepteurs agrégés, de l'ouvrage de l'éditeur Nathan de 1977, cité ci-dessus, avaient assurément le moyen de connaitre le fait que
"banquise permanente", à laquelle, ils font état, dans leur ouvrage,
possédait, à un endroit particulier, une large mer libre de glace, mentionnée par de très nombreux ouvrages de géographie polaire.
Mais voici donc,
par eemple, ce que nous dit au sujet de
cette mer libre, le grand explorateur,
le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin
(28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et qui fut un très grand explorateur polaire du
19 e siècle.
On sait qu'il publia en
1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :
Et pour les puristes, voici en anglais, le
paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois,
l'incompréhension des
observateurs de l'époque , devant ce
phénomène hors normes de
la mer libre du pôle.
Alors
chers détracteurs zélés et consorts
admirateurs de la carte de Nathan ci-dessus, sauf de dire que
Dr Elisha Kent Kane était plutôt
timbré, nous attendons
votre réponse...
Mais disons également ici, qu'il y a aussi des chercheurs, dont nous possèdons certains ouvrages, qui, tout en n'étant pas des explorateurs, ont largement évoqué
cette mer libre du Pôle, dans
leurs investigations, comme
Buffon, Boiteau, Jules Gay, J-p Bellot, Jules Verne, Daines Barrington etc...
Tous ces gens ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec
la rigueur morale.
Mais, pour les
puristes, qui aiment remonter aux sources, voici aussi un document
très significatif à cet égard :
Donc, juste au début on découvre que :
" le 20 Octobre .- Des Rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines...".
A vous de juger ...
Nous devons maintenant ici,
stigmatiser à nouveau , l'explorateur Français
(mentionné dans le premier volet)Paul Émile Victor, qui a critiqué très sévèrement l'explorateur américain
Israel Isaac Hayes, au sujet
de cette mer libre. Voir alors cette
triste affaire, à notre article :
Ce
Paul Emile Victor, est décédé le
7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis
( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler), s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main, la missive extraordinaire en date du
18 Mai 2003 (mais hélas il n'était plus de ce monde), qui suit.
Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux
urls :
Pour le
19 Mars 2003 à :
Pour
le 9 Janvier 2006 :
et aussi à d'autres dates).
En effet, le
18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante
(les couleurs sont de nous,
évidemment) :
----- Original
Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
Bonjour Fred
J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
v.........t
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.

Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
<toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Philippe
Gauthier
|
Voilà donc, un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante qui n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue.... Devinez alors pourquoi, une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre bien, aussi, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur
"La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain,
Isaac Israël Hayes :
Cet
ouvrage extraordinaire, a été publié en
1868, en France par l'éditeur
Hachette, sous le titre
"LA MER LIBRE DU PôLE" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par
Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de
70 gravures sur bois et
de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester
(Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881.
Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.
Nous avons de lui, l'ouvrage suivant :
, ouvrage de
1877, qu'en
1984, par
une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto), nous avons trouvé dans une vieille malle à
600 m de chez nous. Comme il manquait, les 18 premières pages de la Préface, nous avons dû aller, en 1992, les photocopier à la BN de Paris. Ce livre, qui est un condensé du précédent, nous raconte de même l' émerveillement, de
Isaac Israël Hayes, à la découverte de cette
mer libre du Pôle Nord, ce qui
(on vient d'en parler), a déplu amèrement, à l'explorteur français
Paul Emile Victor.
Mais revenons aussi ce jour, ànotre fameuse ouverture polaire vue plus haut :
Nous avons alors, fait quelques calculs concernant
le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d'environ
12713 km, et que sur la photo testée l'arc de la courbure terrestre mesure
15,5 cm un calcul élémentaire nous donne
1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à
1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les
2300 km du schéma extrait du livre de
1971 de
R. Bernard "La Terre creuse" , déjà présenté plus haut :
Mais, si dans le livre en question, ci-dessus, nous avions découvert que
"l'ouverture polaire " avait environ
2300 km, de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :
ce schéma :
Nous constatons là,
( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord
(comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que
90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.
Nous avons alors poussé l'audace à demander au
collectif Soria, formé, on le sait, de
4520 entités cosmiques, quel était, en fait, le diamètre des
"ouvertures polaires", que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes.
Et voici la réponse personnelle, qui nous fut faite, et qui
nous causa à l'époque, une très grande émotion :
"Ami de la Terre",
L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La Terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expansion. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.
Au plaisir de l'échange.
Scientifique Soria.
Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.
On reparlera, une autre fois, de cette affaire de la
fluctuation, de
"l'ouverture polaire", où
les guillemets ont donc, on le sait, une très grande importance .
Disons aussi,
ce jour, que sur les photos de
la NASA, montrant
la zone polaire nord,
pas une, ne montre
cette mer libre autour du pôle.
D'ailleurs, voici quelques photos étranges et pourtant très significatives, que nous avons glanées, par ci et par là :
Voyons donc ce que nous avons trouvé à l'époque, concernant
des images satellites du Pôle Nord :
D'abord sur le site :
Mais qu'est-ce que peut, bien être
cette sombre sorte de toile d'araignée, au
Pôle Nord ?
Voyons cela, sous un autre angle :
, et maintenant, de plus près :
C'est
très artistique et inouï à la fois...Que sont donc ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus du Pôle Nord. A notre humble connaissance, c'est
du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être
là,
pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!
Mais, justement, concernant cette affaire, sur le super site :
, voilà ce qu'on y trouve :
L'emplacement
du trou polaire nord, est indiqué par la flèche rouge...
De plus, lors d'un bulletin météorologique, sur
un Canal météo du Canada, notre ami
Roger L...... de la région, nous a envoyé, les images suivantes :
Ce qui frappe l'observateur attentif, c'est
le disque sombre qui apparaît au-dessus de la tête de la speakrine, sur une carte
de la région arctique:
Les
éternels détracteurs, auront vite fait, de qualifier cela de
leur illusion d'optique habituelle. Mais, dans les mêmes conditions, on découvre sur un site suivant,
qui hélas n'est plus joignable (même sur Google) ceci :
Merci à l'internaute, qui nous avait envoyé à l'epoque, cette séquence vidéo, de nous recontacter, s'il la retrouve ailleurs sur le Web.
Nous pourrions arrêter
là,
cette ballade polaire, mais, nous avons aussi découvert sur la séquence vidéo, du super site suivanr : :
, ces images qui gagneraient à être aussi placées dans notre article :
articleARTEtc.html
Et aussi, d'après ce site, voici l'emplacement
du trou polaire nord, qui
est bien sûr ici masqué, et qui se trouverait tel que :
Mais, ce
23 Février 2018, nous allons tenter de trouver d'autres documents explicitant tant soit peu, cette affaire de fluctuation du diamètre des
"ouvertures polaires", et donc, tous les calculs vus plus haut, pour déterminer le diamètre
de ces
"ouvertures polaires" sont parfaitement dérisoires, car
chose inouïe, ces trous polaires, on vient de le découvrir,
s'ouvrent et se ferment, en fonction de la
"respiration" de la planète ... car
les Maîtres , le disent tous, que
la Terre est vivante. Elle
inspire par le Pôle Nord et
expire par le Pôle Sud.
Point Barre...
Mais poussons plus avant, l'investigation sur ce sujet :

En effet, cette affaire est aussi expliquée dans
l'ouvrage de
Mars 2002 intitulé
"Voyage" Tome
3, aux Editions ARIANE en Mars 2002 ISBN 2-920987-58-5 du
Collectif Soria, qui est formé
on le sait,
de 4520 entités
cosmiques, tel que :
"...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de
cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu
constater la dilatation des
pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes
".
A vous de
juger, une fois de plus, tout cela !
Mais, pour traduire, un peu mieux cette
affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à
"César, ce qui lui appartient" :
En effet, c'est déjà en
1979, que
Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ), a présenté page 193, dans le livre de
Victorino Del Pozo, publié par
COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979,
, l'image surprenante suivante :
Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus,
Mr Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que
" ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".
Il dit aussi dans le livre en question
"qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur, au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre".
(Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)
Rappelons aussi, que la photo ci-dessus, montrant
un trou noir inexplicable, fut présentée dès le
20 Mai 1972,
(d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence de
Mr Siragusa , qui eu lieu
à Paris,, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.
Et
Mr Siragusa dira alors :
"Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord, qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public".
Alors,
Messieurs les psychologues, psychiatres, et consorts intellectuels blasés affiliés, pouvez vous SVP, nous expliquer comment ce
Mr Siragusa, a pu être au courant
au moins 23 ans avant , la sortie de l'ouvrage de de 2002 de
Soria, (déjà présenté plus haut) de cette affaire de dilatation du Pôle Nord qui serait élastique... alors que personne, à notre connaissance, n'en avait fait état, au paravent. Nous attendons avec ferveur votre réponse...
Tout cela serait considéré, comme de
la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas
cet extraordinaire cliché :
Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris
en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune,
que le diamètre d'un certain trou ,
(qui n'est pas selon nous, axé sur le vrai trou polaire), n'est pas le même pour chaque photo.
De plus nous avons aussi reçu, le
11/06/08 , cette missive incroyable de notre ami
Rodolphe D.... :
----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008
10:04
AM
Bonjour
Cher Fred,
Je t'ai envoyé un mail le Lun.
09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas dû le recevoir, alors je réitère mon
envoi.
Voici un article qui risque de
t'intéresser au plus haut point :
Tiré du
site Futura Science , ce jour. Voici donc de
quoi il retourne et voir les photos à :
Des violents séismes en Antarctique...
deux fois par jour
Énorme surprise des glaciologues :
Avec une régularité de métronome, la
glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements
équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
A chaque craquement, le glacier avance de
quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des
sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un
gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein
de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais,
WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du
côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette
langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du
sud.
Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un
sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en
Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les
inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait
alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres
équipes avaient repérés au Groenland.
Mais dans
la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments
ont détectés, étonnamment régulièrs et
violents.
Deux fois par jour, les sismographes
enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de
magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville
entière.
Le terrible séisme qui a fait tant de
dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à
7,9.
Comment de telles secousses ont-elles pu
passer inaperçues jusqu'ici ?
Parce que ces
tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes,
expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en
quelques secondes seulement.
Saccades géantes…
Pour mieux comprendre les mouvements
de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la
Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS.
En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet
énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix
minutes, puis reste immobile durant douze
d'heures.
Quel est le déclencheur de ces
fracassants à-coups ?
Peut-être la rupture d'un
énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan
et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques
engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
Rien ne vient pour l'instant étayer cette
hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute
l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour
expliquer ces tremblements de glace.
Jusque-là,
la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu.
Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement
par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce
phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface
légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter
quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
C'est justement de cette manière que se
déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi
s'offrir du stick-slip.
Ces recherches
présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est
accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se
disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de
l'océan.
La vitesse à laquelle la glace coule
vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des
calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny
Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est
donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement
climatique.
Que voilà une nouvelle qui me ravit, en
effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !
Pourquoi
?
Parce que, ces tremblements géants, tous
les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20
minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont
jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur
!
En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures
varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les
12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui
varie avec le temps).
Et là, on
nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu
toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements
violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un
séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se
déroule aux deux poles !
Tout cela confirme
donc très bien, cette histoire de Terre creuse
qui fait tant rire les sceptiques.
Peut-être commençeront-ils à changer de
couleur à la lecture ce cet article !
........
nbsp; Hors les tremblements aux pôles, ne
sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de
la terre soit 4.5 miliards d’années !
Ces
tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles,
toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées
de par le monde, cela n’est il pas étrange
!
On le voit bien une nouvelle
fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est
impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.
Mais le fait est, que cela est tout à fait
possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois
!
Donc les railleurs de tout bord, doivent
revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte
d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.
Très
amicalement
Rodolphe.
Fin de citation de la missive de Rodolphe.
Merci donc mille fois à
l'ami Rodolphe pour sa si aimable
participation aux recherches d'ARTivision.fr, et que dire de plus, sinon que
l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient
pas eu un écho retentissant, dans les
médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi..!!
Disons d'autre part, qu'il est très difficile d'obtenir des photos satellites (non trafiquées) montrant le Pôle Sud. Mais Super Hasard, a bien voulu nous mettre sous le nez, cette incroyable photo de l'Antarctique :
Cette image provient, de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sur la présence de ce disque tout noir, au beau millieu de la photo, sauf celle-ci : "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"
Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication concernant sa présence très insolite à l'endroit en question.
Bien que l'on sache que cette photo est
une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu
devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)
Il va sans dire, que
cette gigantesque pastille noire, n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer
une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le
satellite Envisat, semble bien avoir,
quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des
faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour
du disque noir.
Les
éternels détracteurs zélés, ne manqueront pas de s'esclaffer vite fait, en disant :
"Toutes vos prétendues rayons lumineux ne sont que des illusions d'optique, venant du sommet des montagnes neigeuses".
Mais ce que
ces détracteurs semblent ignorer, c'est que le site
ARTivision.fr, a toujours en réserve,
des données irrécusables prouvant ses dires...
En effet c'est le
19 Octobre 2012, que notre ami
Jean Philippe, nous a envoyé cette photo mosaïque :
Cette image est tirée du site :
Certains détracteurs, ne manqueront pas de dire à ce sujet :
"Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale " voir le site:
D'abord pour
les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :
Mais, nous serions très heureux d'apprendre, par
un spécialiste,
(mais nous en doutons fortement), que
cette formmule prend bien en compte, le fait que nous montre l'image envoyée par
Jean-Philippe, à savoir que
les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé qui semble être du même calibre que le disque du Science&vie de Novembre 2004 vu plus haut .
A vous de juger tout cela, documents à l'appui...
Mais, il y a bien mieux encore, car dans la revue
Science&Vie n° 893 de Février 1992, il y a un article évoquant la trajectoire des multiples débris de satellites orbotant autour de la Terre, et dont voici le début en page 80 :
C'est alors que la revue
nous présente aussi une simulation informatique de l'évolution,
4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :
"L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur
la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités
physiquesd'Urantia
Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines
peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous Ainsi parmi les survols d'ovnis, quelques-uns
sont imputables aux
intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère
d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre
évolution. Il n'est pas rare que les
scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres,
les aidant même en laissant des formules dans la
matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société,
contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d'ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la
Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour
réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point
de rencontre conscient entre eux et vous. Seule
votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre
chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les
habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle
éventualité. Votre conscience sera touchée par
des informations révélant autant la vie stellaire que la vie
intraterrestre. Il est même possible que certaines portes
d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils
puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et
prophète Jules Verne, vous a
préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous
pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos
tendances à vous accrocher aux lois
actuelles. ".
Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria
Edition Ariane Mars
2002.
Mais,
si vous savez lire entre les lignes, de
l 'extrordinaire texte précédent, on peut imaginer alors que
Jules Verne, et
sans doute d'autres écrivains bien choisis, ont été
contactés, en leur temps, soit par télépathie... soit directement par des missionnaires spéciaux de la Terre intérieure, pour préparer
l'arrivée des découvertes extraordinaires, mises en relief actuellement,
avec ses faibles moyens, par le site
ARTivision.fr.
On pourrait en effet écrire un ouvrage en entier, uniquement sur le passage en question
( avis aux journalistes, aux éditorialistes et autres amateurs psychologues et philosophes des mystères de ce monde).
Mais ce
jour, nous allons encore monter le niveau de notre exposé. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant d'une
revue d'informatique très connue. Il s'agit du
Micro Hebdo n°568 du
Samedi 11 Mars 2009 :
Cette image,
nous rappelle étrangement, celle-ci n'est-ce pas, déja vue plus haut :
Disons alors que
les Maîtres, qui
vivent très longtemps, interviennent depuis des lustres
dans les affaires humaines,
comme de plus l'illustre, le célèbre film
"Retour sur Terre"de
Star Trek 4, de 1987,
Ceux qui ont eu
le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de
l'Enterprise, un
vaisseau spatial du XXIIIe
siècle,
remonte le
temps et
débarque sur Terre en plein
milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.
Une fois de plus, le site
ARTivision.fr, peut dire
ici, que
"la réalité surclasse souvent de très loin, la
fiction".
Alors
Messieurs
les éternels détracteurs zététiques, si cela vous fait encore sourire sous cape, préparez-vous à raser les murs
le soir, car tout cela sera révélé très bientôt.
Mais, poursuivons la découverte de
ce super article, où il y a surtout le
passage suivant en page 31,
dont hélas l'auteur
ne donne pas les
sources...(Merci donc mille fois à l'internaute béni, qui pourrait nous dire, d'où est tiré ce
texte inouï).
" ...Mais cette
découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd, le 14 juin
1947...
Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant
lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol,
ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après
avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal
s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth !
Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer
dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la
plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes
remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils
ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de
leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente
s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce
lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du
pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie,
il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de
notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la
porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait,
d'autre part, pourquoi le chemin ne put être
retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation
gratuite."
Fin de
citation. En fin de compte,
cette
vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible...
Cependant, en parlant de
" sas dont la porte aurait été
ouverte au moment propice", l'auteur a certainement eu
vent de
la phrase inouïe, parue
dès
Mars 2002 du
collectif Soria, et phrase que nous reprenons ici, étant
donnée son importance :
"...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette
Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu
constater la dilatation des pôles, qui sont
parmi les entrées des mondes internes"...
Monsieur
Pascal Cazottes, pouvait aussi avoir eu
en main
l'ouvrage de Siragusa de 1979, où ce dernier parle
en vrai précurseur de
la dilatation du Pôle Nord.
Ce n'est pas en effet,
une information cosmique, que l'on trouve
à tous les carrefours à portée de
mains, et même l'ouvrage de
Raymond
Bernard,
"La
Terre creuse", publié en
1971, n'en parle pas. Mais
lui,
Mr Pascal
Cazottes, en avait eu la
remarquable révélation.
En effet, dans le même article du
Nexus n°21, de 2002, il a écrit aussi
cela :
"
D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses
ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou
ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro», qui vous expliqueront que les ouvertures aux
pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de
l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une
explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses
ouvertures ". Tout est clair,
désormais Mr
Pascal Cazottes
était parfaitement au courant déjà,
au moins
dès Juin 2002, de
cette affaire
inconcevable de dilatation des pôles et de territoire polaire
inaccessible, et nous serions très particulièrement
enchanté , qu'il veuille bien expliciter plus
avant, dans un autre article l'origine de cette
la théorie des «pro», à laquelle il a fait, si bien
allusion.
Nous ne terminerons pas la
transcription de
ce super texte de
Mr Pascal Cazottes, sans ce
petit clin d'oeil, à un film montrant des actualités de
1926 :
Aux dernières
nouvelles, les recherches du Webmaster d'
ARTivision.fr, l'amènent à déclarer, que cette
lectrice du magazine
"Amazing Stories", s'appelait
Miss Dorothy E. Graffin, et vivait à New
York.
Alors,
Messieurs les journalistes et consorts
blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non
seulement,
vous aurez gagné
le Super Gros Lot, mais en plus
votre nom sera désormais, sous peu de temps,
cité, dans
les manuels
d'histoire de cette planète.
" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les
cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré
des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres,
les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de
gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce
film qui prouve que cette terre inconnue,
inexplorée, et actuellement non admise, existe." L'auteur
dit que l'existence de
ces actualités
filmées, a également été confirmée dans un certain nombre
de lettres de gens qui les avaient
vues.
Mais d'après ce qui suit, cette
lettre aurait plutôt été envoyée à
Ray
Palmer, Directeur de la
Flying Saucer's
Review:
En effet voici ce
que l'on peut lire sur le site :
"Magazine editor and publisher Ray
Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing
the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south
Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from
one of the magazine's readers: "Dear Ray
Palmer,
There still seems to be
considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South
Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody
ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and
which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon
after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E.
Graffin), and I, saw this in White Plains, New
York.)
Byrd narrated this film himself and
EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS,
WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a
'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,".
Et
voici notre traduction approximative :
"Éditeur de magazine et éditeur Ray
Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se
rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées
par l'amiral Byrd au cours de son vol
1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là,
dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du
magazine:
"Cher Ray
Palmer,
Il semble toujours y avoir une
controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et
ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais
mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que
BYRD a pris lors de son vol , et qui a été
montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps
après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E.
Graffin) et moi, avons vu ce film à White
Plains, New York.
Byrd
commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait
un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que
Byrd décrit comme une "MONTAGNE
CHARBONNEUSE", étincelante de diamants
».
Cordialement,"
"Fin de
citation.
Comme vous
le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de
Ray Palmer apparaît
cette
extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est
donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si
elles n'ont pas été jetées négligemment, à la
poubelle...
Quant au film en question, il
existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre
archiviste, qui mettra la main dessus, touchera
bien plus qu'un gros lot de la loterie.
Avis aux
amateurs...
Mais, ce
4 Mars 2018, c'est le journal
France-Antilles, qui va nous permettre de hausser, une fois de plus, le niveau culturel de cet exposé. En effet, lisons attentivement, ces deux documents :
Avant d'en dire plus, rappelons en passsant
au novice ingenu qui vient de découvrir notre site, que le terme
Aliens, contenu dans le titre de cet article est un terme
très générique, qui peut à la fois signifier :
- Les Dieux, de nos prétendues légendes dieux, qui ne sont que des authentiques extraterrestres venant d'autres galaxies
(malgré la reticence des savants actuels à admettre cela, bien que certains audacieux admettent le passage par des trous de ver),
- Les intraterrestres vivant au sein de notre planète qui est creuse,
- Les terriens, qui ont quitté la Terre, il y a des milliers d'années à la suite d'un cataclysme gigantesque,
- Les habitants des autres planétes de notre système solaire, car toutes les planètes de ce systeme solaire sont creuses et même parait-il, le Soleil...
Revenons alors à nos documents ci-dessus dont le premier et le second, ne sont encore que des manifestations d'individus décérébrés et totalement ignorants des secrets incroyables que nous cachent ceux qui nous gouvernent en haut lieu comme par exemple, cette
figure topologique totalement inexplicable officiellement, de
Miranda satellite d'Uranus, en forme
d'ovales très allongés et dont les structures évoquent incontestablement des champs de courses de chars romains à la "BEN HUR".
ou encore comme
cette gigantesque superstructure placée
sur la face cachée de la Lune, que nous avons présentée dans de très nombreux articles de notre site, et
que ne peuvent aucunement expliquer, Prêtres, Évêques, Archevêques, Pasteurs, Grands Rabbins, Mollahs, dirigeants Bouddhistes, et autres consorts confessionnels annexés, qui ne jurent que par des textes éculés et trafiqués...:
Cette superstructure,
on le sait,, à l'aspect d'un demi
porte-avions
et en arrondissant, de prés de
30 kilomètres de long et dont la partie centrale serait constituée
de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de
" flèche gigantesque".
Même nos scientifiques ne pourraient pas nous expliquer cela, et la revue intitulée :
"Monde Inconnu", en parle dans son
n° 390 de Février-Mars 2018 :
Alors Messieurs
les anarchistes révolutionnaires et autres va-en-guerre jihadistes décérébrés, qui tuent leur frères de misère de passage sur cette Terre, et qui ne savent pas, qu'ils sont considérés en haut lieu par ceux, nous gouvernent en douce,
comme des pions sur un jeu d'echec, et qui on le sait, cachent au monde entier, une
vérité inouie, et
gouvernants, qui nous assimilent ainsi à de véritables de minables minus, à mener par le bout du nez. demander donc
à vos zélés commanditaires et autres instructeurs agréés, et s'ils peuvent expliquer ce qui précède, et s'ils ne le peuvent pas,, tourner leurs, le dos, sans la moindre hésitation. Point barre... .
Voyons maintenant la troisième image extraordinaire du
France-Antilles du 3 Mars 2018, hélas quelque peu tronquée, et dont certaines colonnes ont été amenagées par nos soins.
Cette image, nous apprend,
sans la moindre ambigüité, que
l'être humain est d'une complexité et d'une adaptibilité incroyables. Son
ADN régit son comportement, bien plus qu'on ne se l'imaginait.
Il va sans dire que le comportement des jihadhistes cités plus haut, ou dans celui là :
qui raconte l'attentat perpétré à Manchester le 22 mai 2017, vers 22h 30, et que présente, le journal
"Le Monde", peut
parfaitement être dévié psychologiquement, en agissant sur leur
cursus culturel archaïque. En effet, l'on pourrait alors avoir dans ce cas
un résultat plus positif qu'actuellement, si l'on voulait vraiment appliquer les conseils indiqués plus bas, et souvent mis en exergue par le site
ARTivision.fr :
Ce site affirme,
une fois de plus, que
pour arrêter ces jihadistes, et autres consorts "va-en-guerre", qui ignorent assurément, entre autres choses ce qui suit,
et qui fut publié, par nos
soins, en Avril 1974, il y a déjà 44 ans, en 2018 :
Et voici le texte de présentation :
Comme nous sommes bien arrivés
au Temps des Révélations, ces conjurés, d'En Haut, n'ont donc que deux solutions pour neutraliser rapidement et très efficacement, les piètres vélleités, des révolutionnaires "
va-t-en-guerre" :
- Soit, avouer, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres par des entités très évoluées, qui nous considèrent comme des ninus batailleurs insignifiants...
- Soit, avouer aussi le fait que l'affaire Roswell, est authentique, et prouve clairement que d'autres êtres cosmiques, visitent la Terre depuis des siècles .
Le site
ARTivision.fr affirme,
preuves à l'appui, depuis des lustres que
ces deux faits extraordinaires, ont été
cachés à l'humanité entière, pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique, et donc pour satisfaire
les désirs de puissance des nations, alors que
la connaissance de ces événements, porte en elle-même, la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes,
avec ces guerres dérisoires qui la déchirent depuis des siècles ...
Pour mieux comprendre,
les tenants et les aboutissants de cette affaire,, faisons une fois encore ici,
importante digression :
Imaginons alors d'une manière
plutôt réaliste, qu'il n'y a pas bien longtemps, dans l'histoire du Nouveau Monde,
deux tribus amérindiennes voisines d'Amérique du nord,
( par exemple les Sioux et les Comanches), et ou même d'ailleurs, cela n'a aucune importance,
s'entretuent à l'époque de Christophe Colomb, à l'aide de flèches bien aiguisées et empoisonnées, pour une vulgaire et futile question de zone d'influence, et d'une infignifante limite territoriale.
C'est alors qu'arrivent,
à leur plus grande stupéfaction, ceux appelés au Nord, pudiquement
les pionniers, et au sud les
conquistadors, munis
de chevaux effrayants, de canons tonitruants, et de fusils qui tuent à de longues distances, et envahisseurs qui chassent sans remords les belligérants, dont nous venons de parler, pour s'emparer de leurs précieuses terres, faisant l'objet des litiges évoqués entre les deux tribus.
Que pensez-vous qu'il arriva ? Croyez-vous vraiment
que ces amérindiens vont continuer à se battre entre eux,
sous le regard cynique et amusé, de leurs envahisseurs ?
Nous pensons au contraire, que
ces deux peuples amérindiens vont vite s'unir pour faire front,
sans doute hélas d'une manière dérisoire, à
la nouvelle menace venue de l'Est, et menace qui, nous le savons maintenant,
sera l'une des plus graves atteinte à l'écologie mondiale (voir à ce sujet l'excellent article de A. DOROZYNSKI page 72 à 84 de la revue "Science&Vie" n° 892 de Janvier 1992, et intitulé "Le plus grand bouleversement écologique de l'Histoire").
Fin de la digression .
Mais, lisons aussi ,
une fois encore, cela, tiré de l'ouvrage
"Voyage " du
collectif Soria, formé, on le sait de
4520 entités cosmiques :
Ces derniers temps, nous avons été amenés à plusieurs reprises, à sortir de notre bibliothèque l'ouvrage de
Soria, vieux de 15 ans
(en 2017), ci-après , extrait des pages 185 et 186 :
"...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les
rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière
(Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des
Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à
quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres
mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette
Terre comme des retardés mentaux, à qui il faut cacher la vérité, de manière à ne pas les affoler. La population terrienne ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants ! Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des
autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez-vous
simplement oublié que vous pouvez exister sans cette
reconnaissance aliénante ?...etc... ".
Dur.. Dur... n'est-ce pas !!!, et l'on est quasi certain,
qu'aucun de nos médias actuels ne pourrait soutenir un tel langage...! Point Barre...
Donc finalement disons aussi... à bon entendeur salut.
Mais, ce
7 Mars 2018, disons encore que le premier livre
qui a osé parler de l'affaire incroyable tout à fait, du Paris Match 1028,, et qui normalement devrait
faire grincer les molaires des détractreurs psycho-sociaux et consoerts intellectuels blasés, qui continuent à fourrer la tête sous le sable, pour ne pas nuire, à leur petit confort intellectuel et social, est celui de notre ami
Alfred Nahon, hélas décédé de 1990, paru en Janvier 1983, et qui s'intitule
"Les Extra-Terrestres et les mutations mondiales de l'ère verseau", et qui fut édité par
Buchet-Chastel, et nous lui rendons ici hommage en publiant aussi sa photo :
Voici alors ce que vous pouvez trouver aux pages 159 et 160 de cet ouvrage de 1983 de Mr
A. Nahon :
" Paris Match, le 18 Janvier 1969 a publié une photo de la face cachée prise par Apollo 8 , et que j'ai sous les yeux. On y distingue clairement au sud-est d'une vaste région, une espèce de "super-structure" allongée, toute blanche, qui se détache nettement du paysage lunaire où elle se trouve . mon ami Fred IDYLLE .....dans le journal France-Antilles du 14 Février 1975 , écrivait " Dans le cas le plus dévavorable, nous avons estimé sa longueur à 26 km au moins... "
Pour
les puristes, qui veulent aller
aux sources, voilà, en mieux, de quoi il s'agit :
En effet, il y aura
un grand chambardement dans les médias, quand
les tenants et les aboutissants de
"l'affaire
du Paris Match N° 1028 "
éclateront au grand jour. Aucun journaliste et éditorialiste de
profession n'a jusqu'alors
ni révélé, ni même, nous le pensons,
rêvé
un jour d'avoir à dévoiler une telle affaire. Mais comme le dit si bien un texte sacré bien connu :
" Il n 'y a rien de caché
qui ne doive être un jour découvert, ni de secret qui
ne doive être connu .".
( Voir donc à ce sujet l'article sur "les Mystères de la Bible" à bible.html).
Voici à titre indicatif, au cas où vous le voyez dans une brocante, la couverture de cet incroyable
PARIS MATCH 1028:
Mais, ce qui nous réconforte ici, est de savoir que ce grand chercheur et ami, que fut
Alfred Nahon, a eu le temps de découvrir, l'ouvrage qui lui donne entièrement raison, paru
16 ans plus tôt avant son décès en 1990, de l'écrivain
Patrice Gaston, intitulé
"Disparitions Mystérieuses", et paru chez
R. Laffont en Janv. 1974 dans la prestigieuse collection
"Les énigmes de L'univers" :
Et voici, un bref aperçu de la
page 232 :
" Les savants n'ignorent pas que la Lune est habitée, qu'une activité fantastique s'y déroule depuis des lustres, que parmi les milliers de photos qui ont été prises de son sol, il en est qui sont "la" preuve d'une d'une vie sur le satellite. Mais la NASA se tait. Sans doute attend-elle qu'on lui donne le feu vert pour faire - publiquement - des révélations. Ainsi, la conquête spatiale prendra-t-elle sa véritable dimension...."
Ce n'est pas,
à avis, la conquête spatiale qui aurait pris une autre dimension, si la NASA avait parlé, mais c'est
toute l'humanité qui aurait pris un autre visage...sans doute plus fraternel, et certains conflits à revendications militaires, commerciaux; et souvent religieux... n'auraient plus de raison d'être.
Disons donc aussi Bravo, à l'Editeur
R. LAFFONT, pour avoir osé publier en
74,
(cela fait déjà 43 ans, en 2017), une
déclaration aussi fracassante, qui pourtant aurait dû inspirer davantage
les détractreurs psycho-sociaux et consorts intellectuels blasés, qui continuent ainsi à fourrer la tête sous le sable :
pour ne pas nuire, à leur petit confort intellectuel et social...
C'est donc pour cela, que le
ARTivision.fr, va devoir, une fois de plus, sortir pour le novice ingénu les images
d'Eros, dont certaines ont déjà été présentées au premier volet. Ces images sont très diffcille à rejetter, par ceux qui comme l'autruche qui préfèrent s'étouffer petit à petit, en plongeant la tête sous le sombre sable de leur aveuglement :
En effet c'est, le
14 février 2000, que la sonde américaine
Near se satellisait à 355 km environ de
l'astéroïde 433 Eros, un rocher d'environ
33 km de long dont la masse volumique est de
2,4 gramme par cm3 et dont on nous dit bien que les instruments de la sonde y ont noté la présence de plusieurs types de roches dont du
pyroxène et de l'olivine des minerais à haute teneur en fer.
Nous avons en effet, on le sait, eu le grand bénéfice de découvrir dans nos dossiers, une revue merveilleusemment illustrée, qui est le
Science&VieJunior n°139 d'Avril 2001 que voici :
On découvre alors dans cette revue, un
super schéma,
qui montre bien,
la complexité de l'exploit qui a présidé à la descente finale de la sonde
NEAR de la NASA, sur l'astéroïde
EROS :
Cet atterrissage inouï et inespéré, qui eu lieu le
12 Février 2001.
Et, chose très bizarre, cette descente de
Near sur Eros, a été anoncée par
la NASA,
au tout dernier moment, comme si cette manœuvre, n'avait pas été préparée de longue date, alors que cela doit être prévu, de très nombreux mois avant le lancement.
Que signifie donc ces cachotteries notoires de la NASA ? Avait-on, déjà les photos d'Eros, avant l'arrivée de la sonde Near ?
A vous de juger...
Voici donc encore
un petit plus pour la route qui est
une preuve incontournable que nous cachent,
en Haut Lieu,
les conjurés gouvernementaux et leurs sbires lêche-bottes :
voici donc quelques vues
d'Eros,
que tout un chacun pouvait à l'époque consulter :
Mais regardons de plus près :
On découvre alors qu'il existe de nombreuses zones
d'une blancheur notoire inexplicable, et on decrouvre ici des rayures ayant des
barres parallèles coupant à angle droit un axe central. Mais il semblerait que cette blancheur cache parfois
(comme le montre la flèche de gauche de la photo précédente et avec une loupe bien sûr c'est encore mieux) des formes très régulières
(sortes blocs parallèles et orthogonaux)
Nous aimerions connaître l'explication des spécialistes sur
la nature du phénomène qui est à l'origine d'une telle érosion du sol de cet astéroïde, où rappelons le, il n'y a sur
Éros, ni air, ni eau, ni vent, ni volcan, etc..
Nous avons trouvé cependant une tentative d'explication de quelques spécialistes en vulgarisation astronomique :
En Avril 2000, la revue
"Ciel & Espace" dans son
n°359 publiait d'excellentes photographies de ce rocher, et en voulant commenter ces rayures insolites du cratère précédent, elle nous dit ceci :
" Dès le 14 Février cette image du pôle d'Éros a montré des détails d'une trentaine de mètres . On y voit en particulier, à l'intérieur d'un gros cratère de 6 km de diamètre, des rainures parallèles qui sugèrent la présence de strates . C'est l'indice que l'astéroide est issu d'un corps différencier bien plus important ".
Donc si nous savons lire entre les lignes, cela signifie
qu'Éros ne peut qu'être qu'un fragment d'un beaucoup plus gros rocher, détruit probablement par
une collision gigantesque avec un autre corps céleste, et cela aurait été la raison de la présence de
ces strates géologiques sur Éros. Le problème est que ces
prétendues strates paraissent
d'une fraîcheur inouie.
A vous de juger tout cela...
De plus, la présente sur Éros de
nombreux cratères indiquerait une probable ancienneté de ce rocher, qui étant donnée sa petitesse pose donc
bien des problèmes.
Il existe ainsi des dizaines de photos d' Éros présentant
ces zones extrêmement blanchâtres où l'on pourrait aller de suprise en surprises
Par exemple regardons la photo suivante :
En haut à droite de l'image, nous observons
un complexe de structures ayant des segments à supports parallèles et orthogonaux et tout cela juxtaposé avec
des trous parfaitement alignés.
Voyons maintenant cette autre image d' Éros :

Il ne nous reste qu'à attendre aussi que l'on nous explique la nature du phénomène capable que créer dans l'espace, sur un rocher en forme d'haricot plein de rondeurs,
une topographie aussi structurée.
Au mois de
Décembre 2000, la revue
"Ciel & espace", a sorti son n° 367, en spécifiant qu'il était
"exceptionnel", car il représente, nous dit-on le
"journal du siècle en Astronomie". Cependant à la page 88, une photo
d' Éros prise le
26 Octobre 2000, à 7 km d'altitude, par la sonde américaine Near,
(qui, la revue le précise surtout bien, a réalisé des prises de vue avec grand un luxe de détails), mais, où l'on ne voit, chose surprenante, qu'un terrain presque uni sans aucune des rainures et anomalies extraordinaires relevées plus haut et qui pourtant font partie de
"ce luxe de détails" que nous aimerions bien voir de plus près.
Voir l'image suivante:
A vous d'en tirer
les conclusions judicieuses qui s'imposent.
D'ailleurs voilà pourtant une autre image
bien plus signficative , que celle qui précède :
Il y a aussi ces
fameux blocs tout blancs, nommés
"boulders" qui se dressent verticalement sur le sol uni
d' Éros :
Les nombreuses photos d'Éros , disponibles sur le site précédent, vous permettront d'en savoir un peu plus, mais voyons cependant, la photo suivante, où nous avons placé des flèches pour mieux localiser
certaines structures étranges et très significatives.
En effet si vous scrutez le bout
de la flèche n°1, vous apercevrez une structure
très insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant elle est surprenante, ainsi que d'autres structures qui se trouvent en bout
de la flèche n° 2, un complexe très extraordinaire de structures où règnent un bassin étrange ayant des angles droits et jouxtant un ensemble de blocs insolites presque cachés hélas par l'ombre formée dans grand cratère.
En suivant la crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent aussi très nettement deux formations insolites formés de blocs très structurés avec bords apparemment parallèles. Le rocher en bout de la flèche n° 5, lui, par la projection de son ombre au sol, nous montre qui a une forme très géométrique.
Il y a bien plus à voir dans cette image
(comme certains bassins rectangulaires ou presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous laissons le soin de découvrir par vous même . Des agrandissements fidèles et un traitement informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici , très utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres. Avis aux amateurs.
Le 8 mai 2001 nous avons reçu du spécialiste en traitement photographique
Yves V........ du canada l'agrandissement suivant :
Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus,
n'ait jamais été montrée en 3D par la NASA et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc à
Yves V.................. pour sa remarquable contribution aux recherches plutôt pointues
ARTivision.fr.
Jetons maintenant un coup d'oeil sur le site de l'ami
Christian Macé à :
Vous y découvrirez cette
très étrange sphère dans un cratère
d'Éros :
Photo NASA de l'astéroïde ÉROS :
au fond du cratère, une sorte de bloc
sphérique rocheux.
Bien sûr
les détrateurs endurcis auront vite fait de nous dire que sur Terre, on peut trouver des blocs de roches qui ressemblent à des sphères, quand on les regarde d'en haut,
et qu'il n'y a pas de quoi en faire un plat.
En effet, en agrandissant cependant, l'image en question, on découvre ceci :
Nous ne comprenons pas d'ailleurs, que jusqu'à présent, aucuun spécialiste de la 3D n'a pas eu encore l'idée de nous présenter cette roche en relief.
A vous de juger.
Voici à nouveau maintenant une image d'Eros déjà vue au premier volet et qu'il convient de vite enregistrer, car elle pourrait disparaître à n'importe quel moment :
 Cette image est tirée du site :
, cette l'image extraordinaire
Near 20000501:
C'est le
30/05/2001, nous avons reçu de notre ami internaute
Philippe S.........., tirée,
à l'époque , du site:
où l'on voit au fond, d'une petite excavation,
une forme très bizarre et très structurée, que les sceptiques auront bien du mal à justifier, par l'explication habituelle d'une érosion naturelle issue de phénomènes dont l'existence dans la région reste problématique. L' agrandissement, nous donne ceci :
Notons en plus, que
cette forme surprenante, présente des
blocs verticaux à bords parallèles.
Le site
ARTivision.fr met alors
ici , chacun
( écrivains, journalistes, savants officiels) au
pied du mur, et ils seront bien obligés un jour, de ne plus
faire comme l'autruche et
de tirer la tête sous le sable, pour analyser enfin ce
fait implacable et très dérangeant de notre environnement.
Notons en plus, que cette forme surprenante, qui présente des blocs verticaux à bords parallèles. D'après
Roch Saüquere Directeur de la revue
Top Secret, selon les commentaires de la NASA : ce rocher blanc au fond du cratère devrait mesurer
45 mètres. Faut-il encore y ajouter, 45 m, pour le bloc fin qui se déboîte en dessous ?
Aux spécialistes de répondre !!
Nous attendons vos suggestions...
Le
15 Octobre 2003, nous avons eu le grand privilège de recevoir de l'ami canadien
Yves Vaillancourt (déjà présenté plus haut) le super message suivant, ayant trait, à l'étrange structure ci-dessus d'Éros:
Sent: Wednesday, October 15, 2003 3:50 PM
Subject: Éros Structure
Bonjour Fred.
L'adresse permettant d'obtenir une image
mieux définie de la structure d'Éros n'est pas fonctionnelle.
J'ai donc récupéré directement de ton site l'image en question et je suis tout même arrivé à des
résultats probants.
Si toute fois tu pouvais me faire parvenir un fichier de
plus haute définition,
alors il serait possible d'aller plus loin au niveau
précision.
Ce qui veut dire, moins d'interprétations subjectives. Je n'avais pas
encore fait la modélisation de cette structure, cependant c'était dans mes
projets, ton courriel m'a donné le coup d'envoi !
La modélisation
géométrique est basée sur une perspective dite « cavalière » ou
« isométrique ».
Elle fut possible suite à une observation minutieuse,
basée sur 3 éléments distincts d'observation :
1-Schématisation de la
structure suite à la réduction maximal du flou. Le reste est fait mentalement de
manière subjective.
2-La forme des ombres est très révélatrice. En effet,
c'est grâce aux ombres qu'il est souvent possible de reconstituer une structure
en 3D.
Dans la revue « Science et Vie » de ce mois-ci, il y a un
article très intéressant à cet effet.
3-Les jeux d'ombres et de lumières,
plus la dénivellation du terrain.
Cette projection géométrique n'est en
fait, qu'une interprétation possible du réel. Par contre, mon expérience de la
schématisation et la qualité des détails observés me permettent d'estimer que
cette interprétation schématique n'est probablement pas très loin de la
réalité.
À bientôt
Yves
P/S: En passant, le dernier « Ciel et espace »
mentionne que la structure hexagonale que j'ai remarquée sur Io, est un lac de
lave.
Yves Vaillancourt
Designer, spécialiste en traitement
d'images.

Fin de message
Nous adressons nos vifs remerciements à
Yves, pour ce travail remarquable.
Mais revoyons l'image clef :
au travers du site :
Où sont clairement inscrits les mots suivants :
" Numerous craters and boulders as small as 8 meters (26 feet) across dot the landscape. The large, rectangular boulder at the upper right is 45 meters (148 feet) across"
Notre modeste traduction serait alors :
" De nombreux cratères et blocs rocheux atteignant à peine 8 mètres ( 26 pieds de large), agrémentent le paysage. La largeur du bloc retangulaire sur le côté droit en haut à droite est de 45 m (148 pieds)" .
Si donc la largeur supérieure du bloc, mesure
45 m d'après la NASA, et a sur notre photo imprimée,
1,5 (mm), la longueur du bloc mesurant
5 mm sur notre image, on en déduit que cette structure bizarre, mesure en long, flèche comprise :
(45x5)/1,5=150 donc 150 m.
Nous avons aussi vu, dans le premier volet, qu'un autre courageux infographiste, nous a envoyé le
29 Mai 2010, du
Service de Création de son entreprise spécialisée dans la
3D , les vues modélisées suivantes
(légèrement différentes de celles de Yves V...........)
Et en tenant compte du relief et du bassin dans lequel est placée la structure, on a aussi :
Merci donc, mille fois, au Webmaster de cette entreprise, d'avoir accepté de nous structurer en
3D, cette
surprenante image d'Eros qui pour
ARTivision.fr et représente
une structure absolument artificielle. Point à la ligne...
Que celui, qui a de bons yeux, pour analyser tout cela, en tire les illuminations, logique, historique et cosmique qui s'imposent, et surtout, le désir latent, d'en savoir plus.
Mais, comme chacun le sait, nous avons alors ici, le plaisir de rappeler
au novice ingénu, que le site
ARTivision.fr
est un site
Mystico -Rationaliste, et donc
demandons une fois de plus
au Grand Maître de Findhorn,
(voir alorsFindhorn.html)), de nous en dire un peu
plus sur notre comportement en général, qui explique ce qui précède, et propos qui sont extraits, on le sait, de l'ouvrage
"Opening Doors
Within"publié en
1986, par
Eileen
Caddy, décédée en
Mars
2007 :
En effet au
27 Février, on trouve ceci :
Le site
ARTivision.fr, essaye donc
avec ses faibles moyens plutôt archaïques, dans la mesure du possible,
d'éviter de se comporter comme l'oiseau en cage en question.Et à bon entendeur salut...
Allez, voici un petit plus, qui nous vient justement de ce jour
le 7 Mars :
La volonté de La Source et marche dans
Ses chemins et La glorifiant.
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (en français dès 1989).
Méditation pour le 7 Mars, après adaptation d'ARTivision.fr.
Fin de citation.
Mais, ce
8 Mars 2018, disons ici, une fois encore, la maxime célèbre des anglo-saxons prudents :
"Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), et à la suite immédiate de ce qui précède, avouons, qu' il ne nous reste,
n'est-ce pas, qu'à démontrer, que
La Source, n'est pas
une simple vue de l'esprit... Le Temps des Révélations, saura certainement bientôt, nous en dire plus..., et disons alors qu'ici nous pouvons assurément appliquer l'adage suivant :
"L'absence de la preuve d'une chose,
n'est pas la preuve de l'inexistence de cette chose".
Et donc, si les scientifiques n'ont pas encore prouvé qu'il existe
une Intelligence Supérieure, qui anime et règle
le Cosmos, cela ne prouve pas, qu'ils n'arriveront jamais à le démontrer. Mais lisez donc
Messieurs les rationalistes et consorts agnostiques irréductibles,
l'entrefilet surprenant, plutôt récent en 2018, suivant :
Ce communiqué de presse, n'est-il pas déjà,
s'il en était encore besoin,
une marche, vers les prémices de la découverte du fait, prouvant que la Nature, n'est pas du tout un concept soumis aux tribulations d'un hasard aléatoire, comme on veut nous l'enseigner, dans nos écoles et nos universités.
Mais il conviendrait aussi,
dans le même ordre d'idée, de découvrir le super passage qui suit, et qui est tiré de l'ouvrage extrordinaire de
Joseph Whitfield , ISBN 9.782880.580674, publié aux Editions
Vivez Soleil en
1991, mais aux USA dès
1983 sous le titre :
The Eternel Quest :
Il importe aussi de savoir, que c'est une très forte
intuition , qui nous a invité à commander ce livre, que nous avons reçu le
25/07/2012 :
Voici donc, en
page 185, le sublime passage en question :
Comme cela est...tout à fait surprenant...n'est-ce pas !!!
Mais il faut savoir que pour
ARTivision.fr, cette
notion d'interdépendance des éléments qui constituent le vivant, ne recouvre pas du tout, une affaire
de foi aveugle, mais plutôt
une affaire de connaissance expérimentale...
Cette assertion est basée sur
les découvertes extraordinaires, révélées dans
notre article hors normes, souvent évoqué sur
ARTivision.fr:
L'article est intitulé
"Intercommunications naturelles spécifiques chez les êtres vivants et retour à la dimension cosmique de l'humain ", et, dès Juin
1999, il avait mis l'accent sur
des expériences extraordinaires prouvant
la communication des plantes entre elles, des plantes avec animaux et des plantes avec les humains, et expériences qui auraient dû être répétées dans toutes les universités, car elles montrent incontestablement, l'unité du vivant et l'incommunication qui règnent entre ses éléments constitutifs.
Mais au contraire, il est évident que ceux qui préfèrent
"diviser pour régner", n'avaient
aucun intérêt à diffuser ce genre d'expériences , qui pourraient grandement remettre en cause
leurs moyens de pression sur les humains, qu'ils ont su si bien
séparer par toutes sortes de combines.
Il est alors bon de plus, de redire ici,
(nous l'avons mentionné déjà, dans le premier volet) pour ceux qui lisent en diagonales, les modestes articles du site
ARTivision.fr, que ce site,
très particulier, ne
cautionne,
aucune confession religieuse, n'appartient à aucun parti politique, aucun groupement ou association quelconque, ne rentre dans aucun
forum, aucun réseau, ( pas de Twitter, ni de Facebook...etc...), et son Webmaster, aime fouiller dans les vieux documents de ses dossiers, pour y trouver la preuve que "le Passé de la Terre" fut bien plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer, nos meilleurs auteurs de Science-fiction, et il dit alors un vrai bravo, à ceux qui ont de grands moyens, pour le démontrer.
et ce 8 mars 2018 et demandons une fois de plus
au Grand Maître de Findhorn comment réagir en face des velléités
débridées de ce Monde :
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or .
Méditation pour le 8 Mars, après adaptation d'ARTivision.fr.
Fin de citation.
Finalement, pour résumer tout ce qui précède, il nous vient, l'idée de placer ici, la superbe phrase de
Lionel Hubert, tirée dans son ouvrage :
"Les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"
Mais ce
16 Mars 2018, voici
un témoignage qui semble irrécusable (bien que l'on sache qu'il existe des infographistes félons), concernant la présence
d'Aliens, dans notre système solaire, et témoignage extraordinaire qui nous a été envoyé par
notre ami Alain N....
, très grand initié à la science ésotérique, et dont le site, d'une très grande richesse, est placé est à :
Mais lisez alors ceci :
Et veuillez ensuite, plonger svp, dans la vidéo :
Et présentons alors seulement,
( par défaut de place et de moyens), les deux images suivantes,
qui confirment tout à fait, les très nombreux articles, que nous avons déjà sortis, sur l'affaire des Aliens de Roswell...
Maintenant venons en à la preuve de ce que presente
le super Wistleblower ( Lanceur d'alerte du web ) Corey Goode dejà présenté plus haut et qui parle à Q21, des
"Anciens Batisseurs", de
la Lune sur le site, déjà vu plus haut :
Ce qui va vous être presenté ci-dessous, est
une exclusivité mondiale du site
ARTivision.fr, jamais contestée, ni même présentée par aucun média quelconque,
même ceux les plus tapageurs, et avides de scoops hors-normes...
Toute cette affaire est partie, du fait que le Webmaster
ARTivision.fr, a découvert dans sa bibliothèque, il y a quelques années déjà de celà,
tout à fait par hasard...Hum, hum..., un ouvrage de vulgarisation en Astronomie, où apparaissent des structures tout à fait insolites, dans le Cratère Rutherford de la Lune, et strutures qui ont été neutralisée sur toutes les autres photos de la NASA.
Cet ouvrage, que nous possédons dès 1973, porte le titre
"Des Astres, de la vie et des Hommes" de l'americain
Robert Jastrow, et il fut publié en
1972 par
les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :
Et à la page 86 de cet ouvrage on découvre cette image
Et si nous agrandissons, la partie encadrée, on obtient en
page 87:
Mais voyons cela de plus près :
Jetons maintenant un rapide coup d'oeil sur
le grand cratère Clavius, où nous apercevons une étrange configuration dans le petit
cratère Rutherford (61 ° S, 9 ° W).
Et voici maintenant un agrandissement de la zone cerclée de rouge :
Selon nous bien sûr, on y découvre,
une profusion des formes géométriques spéciales avec de nombreux blocs à bords parrallèles et à angles droits. Tout cela ne laisse,
aucun doute, sur le caractère artificiel des structures, que l'on y voit, , et cependant
Mr Jastrow, n'y fait nullement allusion dans son ouvrage.
A vous de juger tout cela ...
Cet ouvrage qui est paru en anglais
dès 1967 , est très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, et est intitulé alors
"Red Giants and White Dwarfs", de
Robert JASTROW, chez
Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .
Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par
The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:
En
page 109, on trouve alors bien sûr, la même image, et en l'agrandissant, on a :
La flèche rouge
nous indique que le complexe très structuré de
Rutherford est toujours là. Il y a une sorte d'obélisque surélévé sur une
plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque (flèche bleue) qui semble en suspension sur du vide.
pusique son ombre, apparaît en-dessous de son extrémité. Notons toujours à droite de cette arche, de
nombreux blocs à bords parallèles ou
orthogonaux.
Surprenant n'est-ce pas!!!
Nous avons imprimé l'espace en question :
, et mesuré en mm, les deux cratères
Clavius et Rutherford :
Comme les resultats dépendent de l'agrandissement choisi, les mm sont remplacés par un peitit
u.
On voit ainsi que, selon la prise de nos mesures, si d'après le site :
le cratère
Clavius messure
225 km de large, notre Rutherford mesurerait alors : (225X26)/110= 53,1818, et avec l'imprécision de nos mesures, nous arrondissons volontier à 53 km bien que le site en question, nous donne pour
Rutherfurd (en anglais) :
75 km.
Avec nos mesures approximatives, nous en déduisons alors, pour l'arche qui donne
5 mm sur notre image imprimée, et Rutherford
15 mm : (53 x 5 )/ 15 = 17, 66 soit arrondi 17 km pour
l'arche en question :
Donc en conclusion,
cette arche est gigantesque, et ce ne sont pas des entrepreneurs minus, qui l'ont érigé n'est-ce pas.!!!
Nous avons même poussé l'audace, à commander la version plus récente de
1990, du livre de
Robert Jastrow, et aussi intitulé
"Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles, dont plusieurs en couleur
( le cratère Rutherford, y est aussi ingnoré totalement) , telle que :
Et, en
page 119, on y trouve aussi ceci, de déjà vu :
La photo ci-dessus est de l'observatoire du
Mont Wilson, et remonte à plus de
40 ans, à l'époque où
personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune,...
Ce négatif doit bien dormir quelque part et
il faut absolument le retrouver,, car Monsieur
Robert Jastrow doit être très agé
(s'il est encore de ce monde), et lui il connaît certainement, où a été archivé ce négatif.
Si donc l'on pouvait mettre la main sur
le négatif, utlisé par l'auteur et l'Editeur pour publier cette photo de la Lune dans l' ouvrage en question, on pourrait agrandir tout cela, comme il faut pour en savoir bien plus.
Le site
ARTivision.fr, n'est pas resté inactif à ce sujet :
D'abord, nous avons contacté
les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6
e, éditeurs
en 1972 en français du livre, de
Robert JASTROW, intitulé alors
"Des Astres, de la vie et des Hommes". Et nous avons fait chou blanc. Ils n'ont jamais eu en main ce négatif et de plus, ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse ,
(qu'ils ont obligatoirement connue), de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.
C'est alors que, nous avons ensuite eu l'idée de demander à notre ami londonien
Eric Barkian, de se charger de contacter l'Editeur américain
Harper and Row, pour savoir s'il avait gardé
par chance, ce négatif.
Voici la missive que nous avons reçue de lui :
----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"
Cher Fred,
Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.
Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition HarperCollins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.
Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.
Il me restait, comme vous l'aviez vous meme suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.
Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.
L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final a ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.
A bientot donc.
Eric.
Comme vous le voyez,
Maître du Temps, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme certains éditorialites et
groupes médiatiques qui ont pignon sur rue dans cette socièté. Ils préfèrent donc fuir les reportages conduisant à la découverte
d'une dimension plus cosmique de notre humanité. En voici un exemple parmi tant d'autres :

En effet, plusieurs
Chaînes de Télévision, n'ont-elles pas, il y a quelques temps, dépêché jusqu'aux USA, des
"super envoyés spéciaux", pour retrouver les méfaits
d'un habile escroc, qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens, pour faire ensuite,
la Une des journaux à sensation, bien que l'on sache que ce genre d'émission pourrait très modestement, servir aussi à avertir les gens encore crédules qui ont pourtant déjà été mis en garde par la presse et la radio ? N'y a-t-il pas, n'est-ce pas, bien plus de sujets importants, à monter en épingle, que cette affaire d'escroc, dans ces temps difficiles de la planète ?
A vous de juger !
Donc, les journalistes, les astronomes et consorts écrivains, plus éditeurs, qui ont eu en main le livre
de Jastrow en question
n'ont absolument rien vu concernant ces structures fantastiques de ce petit cratère Rutherford, , placé on le sait , à la page
87 du livre en français, et cela accrédite encore parfaitement la superbe phrase de
Lionel Hubert dejà vue plus haut :
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"
Mais, comme il n'est jamais bon d'avoir un seul son de cloche
( bien que cette fois notre cratère Rutherford apparait ici, dans 3 ouvrages de 3 éditions différentes, que nous possédons ), nous devons une, fois encore, remercier vivement
Super Hasard, pour nous avoir permis de mettre la main,
sur une autre image, ne venant pas de la NASA, du cratère Rutherford.
En en effet, en feuilletant, un peu plus avant, cette même revue
(déjà mentionnée plus haut) , de
Science&Vie d'Avril 1964, dont étant donnée son importance, nous vous donnons une fois de plus, la couverture :
En arrivant alors, jusqu'à à la page 69 de cette revue, devenue incontournable pour
ARTivision.fr,
nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas
très superbe, il est vrai, mais assez
significative, de, devinez de quoi... du
cratère Rutherford, et qui de fait, a été mentionné dans nos articles
et voici l'image en question :
En effectuant une petite comparaison, voilà ce que cela donne :
Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas !!!
Peut-être aussi qu'un aimable internaute parlant l'anglais couramment, pourrait-il obtenir une autre photo de
Rutherford, d'un autre observatoire astronomique
(par exemple celui du télescope terrestre Keck du Mont Mauna Kea, à Hawaii. Nous avons écrit pour cela par envoi postal, à l'Observatoire en question. Peut-être, un jour aurons-nous une réponse, voir les pages en question placées à :
mais, nous n'y croyons plus du tout...
ou encore le Grand Télescope des Canaries,
GTC) . Nous refusons évidemment toute photo venant de la
NASA, surtout par la sonde
Clémentine.
En effet, dans notre article :
http://www.artivision.fr/Nasatangible.html,
notre ami Frendelvel astronome amateur, nous a présenté, entre autres images, une photo de
Rutherford prise en
1964 par la sonde américaine
Clémentine, et voici ce que cela donne,
(Le cratère Rutherford est encerclé en rouge).
A moins que cela soit dû
à un jeu de lumières parasites, qui annulle tout relief notable, nous voyons clairement que ces deux photos de
Rutherford sont totalement différentes de celle de
Jastrow vue plus haut.
Le vendredi
3 Octobre 2014, nous avons reçu
de notre amie très vigilante et super médium Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), les photo de Rutherford prise à l'époque par
Clémentine, et aussi par la
sonde lunaire LRO :
Puis concernant la
sonde lunaire LRO :
Jamais on ne voit le pilier central et surtout la fameuse arche, si bien caractérisée .
Cela n'a rien à voir, n'est-ce pas avec
la photo de Clémentine. Voyez plutôt :
A vous de juger
ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.
Nous avons alors, encore ici,
une preuve absolue, que l'on
se moque majestueusement, de nous.
Alors, pensez-vous que la
NASA soit encore crédible ?
D'autre part, nous avons découvert, par hasard, dès le
22/02/02, une autre photo de
Clavius prise par un télescope de 305 mm Schmidt-Cassegrain :
Bien que l'intérieur de Rutherford soit malheureusement dans l'ombre,
le bout de la flèche fait apparaître cependant une structure bizarre, jointe à une flèche pointue, qui on l'a vu, ne semble pas être du tout apparente sur les photos de la sonde Clémentine.
En terminant, cette
affaire Rutherford, nous avons une petite
pensée pour le regretté
Stanley Kubrick, dont l'admirable film
"2001 L'odysée de L'espace", nous a fait rêver en son temps. Or le scénario de ce film est d'
Arthur C. Clarke (membre de
l'Académie Astronautique, inventeur des
satellites artificiels, prix kalinga de
vulgarisation) qui avait imaginé,
comme par hasard, que c'était justement
dans le cratère Clavius (qui on l'a vu, englobe presque entièrement Rutherford), que l'on avait découvert
un monolithe en forme de
parallélépipède, signe du passage sur
la Lune, d'une civilisation très avancée.
L'auteur a pourtant choisi, ce cratère
parmi des
milliers d'autres. Comme
le Hasard, fait bien les choses, ne trouvez-vous pas ?
Pour
les puristes, disons aussi que
A.C. Clarke, avait déjà parlé dès
1948, de
cette pierre noire,
(sorte de balise cosmique prouvant le passage sur la Lune d'êtres très évolués) dans une
"nouvelle" (qui a précédé son livre), et qui était intitulée
" La sentinelle". Nous avons eu le privilège de pouvoir découvrir cette
nouvelle en entier, dans la revue
hélas disparue,
Planète N° 32 du
Jan-Fév. 1967.
Mais avant de clore cet exposé prouvant sans aucune ambiguïté que l'on nous a trompé au plus plus
Haut Niveau, et avant de prendre quelque repos bien mérité, nous ne résistons pas, une fois encore, à soumettre à votre grande sagacité, les propos,
tout à fait hors normes,, en date
justement du 16 Mars, du
le Grand Maître de Findhorn, où il n'hésite pas
à remetttre les pendules à l'heure, pour Les Temps Nouveaux, qui approchent à grands pas :
Qu'il ait aucun sentiment de compétition entre vous.
Quand vous prendrez conscience que
chacun a un rôle spécifique à offrir au Tout
cet esprit de compétition disparaîtra,
et vous pourrez vous détendre et être vous-mêmes.
Comme la vie devient plus simple
quand tu cesses d'essayer d'être quelque chose que tu n'es pas !
Tu as ton rôle à jouer dans le Tout ,
alors joue-le au mieux de tes capacités.
Le Très Haut vous dit de vous aimer les uns les autres.
Le fais-tu ou, par simple tolérance,
te donnes-tu des excuses en disant
qu'il y a certaines âmes avec lesquelles tu ne peux pas te fondre,
vu que vous êtes à des lieues l'une de l'autre ?
Vous êtes tous les bien-aimés du Très Haut ,
et plus vite vous en prenez conscience,
mieux ce sera, car vous êtes tous sous Son regard,
et Son amour coule vers chacun de la même manière.
Lorsque vous pourrez aussi accepter le fait,
que vous faites Un avec Lui,
vous pourrez accepter que vous faites Un, les uns avec les autres.
La petite
voix : Eileen
Caddy. Le Souffle
d'or (1994).
Méditation pour le 16 Mars , après
adaptation d'ARTivision.fr
Curieux n'est-ce pas, que ce langage qui s'oppose à tout le contexte de notre civilisation moderne, dont la maxime habituelle semble être :
"Otes-toi de là, que m'y mette"
Mais notez bien que, l' on a déjà pu supprimer, dans nos écoles maternellee et les autres petites classes, certaines notations d'élèves, pour ne pas trop traumatiser nos bambins ...
Alors, Messieurs les fidèles fervents des joutes militaires, culturelles, ou sportives, les Jeux olympiques ou autres quelconques compétitions, entre les humains si fiers de les exiber, cela vous branche toujours ...
Mais,
pour ceux qui continuent à rire sous cape en pensant que tout cela, ne sont
que des niaiseries et des foutaises, pour mieux comprendre, ce qui précède, lisez plutôt
ce qui suit :
Extrait des pages 186 et 187 de "L'Être Solaire" de Soria, Edition Ariane Juillet 2002.
Comme on le voit la situation est loin d'être
cool sur cette planète.
Cela semble désormais très clair n'est-ce pas!!! , aucune
notion de compétition, ne doit s'installer entre les hommes, et briser ainsi le contexte
de l'Amour véritable entre eux. Vous pensez-bien, que
ce n'est pas demain la veille, que nos sociétés actuelles,
accepteront cette idée.
Mais
ce 21 Mars 2018, bien que nous ne sommes pas astrophysiciens et que nous ne pouvons confirmer l' affaire du
Temps cyclique terrestre, mentionné ci-dessous, nous allons cependant, en dire deux mots et les spécialistes s'exprimeront alors, s'ils le désirent :
En effet, beaucoup de gens, ont sans doute entendu parler de
L'ére du verseau, que nous abordons en ce moment. Mais pour résumer cela, on doit savoir que
l'axe de la Terre fait un tour, sur lui-même tous les, environ
25920 ans d'après les travaux de
l'ésotériste français
Jean Sendy, qui a publié
en 1968, chez
Julliard, cet ouvrage vraiment
hors normes :
Le site
ARTivision.fr, démontre dans de très nombreux articles, que
c'est ce savant, grand maître de l' humour ésotérique, Jean Sendy, qui a amplement raison, car à notre avis, nous l'avons déjà dit plus haut, aucun actuel dignitaire religieux, ( prêtres, évêques, pasteurs, grands rabbins, Mollahs, et autres consorts confessionnels ), ne peut expliquer la présence sur notre satellite, de cette gigantesque construction d'environ 30 km de long :
Et pour voir encore mieux :
On l'a aussi montré ci-dessus, que cette très étrange affaire, vient d'être publiée dans le n° 390 de Février-Mars 2018 de l'excellente revue intitulée : "Monde Inconnu, et elle avait aussi été publiée, il y a 44 ans
, en 2018, par
la revue ufologique Ouranos,
n° 11 en Avril 1974.
Mais
Jean Sendy, nous dit aussi, que ce tour de
25920 ans, s'achève ces temps-ci, et pour certains occultistes, il paraît que nous basculons alors dans le
Temps des Révélations, où l'on ne pourra
plus cacher grand chose aux communs des mortels....
Mais voyons cela plus en détails :
L'Axe Nord-Sud de la Terre, lorsque celle-ci tourne autour du soleil , n'est pas perpendiculaire au plan de rotation, mais il est incliné d'un angle voisin de
23°,26 . Cet axe ne reste pas immobile et fait un tour complet qui dure
25920 ans (ce chiffre varie un peu chez d'autres auteurs: 25800 pour certains, et 25868 pour d'autres ), période que l'on a divisé en
12 ères de
2160 années, chacune portant le nom d'un signe du Zodiaque
(voir schéma ci-contre) .
Notre
Ère du Verseau qui suit
celle des poissons, durera
2160 ans, comme la précédente.
Mais, comme
25920/360 = 72 ans, on découvre qu'il faut donc
72 ans pour voir le Soleil se déplacer de
1°, à l'équinoxe de printemps, le
21 Mars. C'est ce que l'on appelle, le déplacement
du point Vernal.
( Plus académiquement, on apprend que ce point Vernal, est un des deux points de la sphère céleste où l'équateur céleste et l'écliptique se croisent). Le
21 Mars 1950, certains ésoteristes pensent que
le point vernal est passé, de
l'ére des Poissons, en
Verseau. Il aura avancé d'un degré seulement
le 21 Mars 2022.
Ce phénomène est appelé
la préccession des équinoxes, et il parait
chose incroyable que
les sumériens, ont inscrit ce phenomême sur leurs tablettes en écriture cunéiforme, il y a
- 2500 ans, environ avant notre aire.
72 ans pour repérer
1 degré de déplacement, du
point Vernal, il fallait donc être
très fortiche pour découvrir cela. Bravo donc aux
sumériens initiés....Mais
comment ont-ils pu trouver cela ? C'est là encore une façon de démontrer empiriquement que
le Passé de la Terre est beaucoup
plus fabuleux, que l'on ne saurait jamais l'imaginer et que ces sumériens ont bien hérité de la connaissance
de Maîtres antérieurs initiateurs .
Mais pour assimiler tout cela en
ces temps du renouveau, il nous faut d'abord harmoniser
nos vibrations corporelles, avec celles que nous prodigue
la Nature, de toute éternité, et pour cela,
restons Zen, et branché en continu, sur les vibrations harmonieuses du Cosmos, et en commençant déjà par écouter
celles qui viennent du plus profond de nous-mêmes, de
cette merveille extraordinaire que constitue
le corps humain, proprement dit.
Il va sans dire que pour faciliter notre contact avec
la Nature et plus, nous devons fuir absolument toute
information négative, qui génère
la Peur et la Haine, en refusant d'accepter de regarder
des films noirs, d'épouvante, et autres thrillers à frissons, de lire des
romans noirs où règnent violence, crimes et exactions de toute nature, et aussi d'écouter de la musique et des sons
qui dépriment déjà les plantes, ..etc...
alors et alors seulement, on pourrait peut-être ramener sur cette Terre,
Paix et
Sérénité, au sein d'un
Âge d'Or retrouvé, et d'un
Amour véritable entre les humains.
Soyons plus précis encore et expliquons
cette affaire ésotérique, de
l'ére du Verseau que nous venons d'aborder, et qui implique
un changement total du contexte vibratoire de la planète Terre et de ses occupants :
En effet, progressivement, on découvre que sur
ARTivision.fr, la notion de
quatrième dimension, est de rigueur et que
l'intuition personnelle est de mise,
( hélas, cela ne s'apprend pas dans nos écoles publiques), ce qui en fait un site
tout à fait singulier,
où rien ne se fait par hasard ...
Les éternels détracteurs, vont enccore se tordre de rire, mais ils feraient mieux de relire, ceci déja publié sur notre site et rappelons que
Le Très Haut s'appelle aussi La Source .
Rien n'est
le fruit du hasard.
Il y a un dessein et un plan
parfaits
sous-jacents à toute vie,
et tu fais partie de cette globalité ;
tu fais donc partie de ce dessein et de ce plan
parfaits.
Lorsque tu vois d'étranges choses se
passer
et que tu te demandes pourquoi elles
t'arrivent,
prends du temps pour voir
comment tout cela s'articule,
et tu verras qu'il y a une raison à toute
chose.
Les raisons peuvent te
surprendre,
mais sois prêt néanmoins à les
accepter
et à apprendre au travers
elles,
et ne lutte pas contre
elles.
La vie devrait se dérouler sans
effort.
Une fleur ne lutte pas pour s'épanouir au
soleil,
alors pourquoi devrais-tu lutter pour t'épanouir
par la grâce de l' amour
infini du Très Haut
?
Si c'est le cas, cela vient de toi,
et cela ne fait pas partie
de Son dessein et de Son plan parfaits pour
toi.
La simplicité est Son sceau, alors
garde la vie simple.
Reste
sans cesse en contact avec Lui,
et regarde-toi te déployer dans Son
amour.
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (1994).
Méditation pour
le 30 Mars, après adaptation d'ARTivision.fr
Mais terminons avec ces trois pages du petit livret de 1985, de 146 pages, n° ISBN 2-651157-918-8, suivant :
En page 104 et 105, on trouve alors
Comme ce langage nous étonne n'est-ce pas !!!
Mais, ce 21 Mars, voici le super buzz, qui va tout simplement scier les jambes déjà branlantes, des très suffisants détracteurs zététiques et de leurs consorts intellectuels blasés et engoncés dans leur cocons feutrés... :
Le printemps est là!
Le nouvel Âge est là !
Eveille-toi de ta somnolence
et contemple la merveille du temps présent
car tu vis une époque vraiment merveilleuse.
Vois le meilleur en tout événement
Attends-toi à des changements et va dans leur sens,
ne permets à rien en toi de les arrêter.
Ne crains jamais
le nouveau, I'inconnu.
mais risque-toi sans peur,
sachant que la Source est avec toi, toujours.
qu'elle ne te laissera jamais, ni ne t'abandonnera.
Reconnais-La en tout, et rends-Lui , l'honneur et la Gloire.
Sache que c'est dans I'Âge d'Or
que tu es en train de passer, alors ne t'inquiete pas,
et ne lutte pas contre les changements qui apparaissent.
L'heure la plus sombre vient avant I'aurore splendide.
L'aurore est là
elle vient en son heure juste,
et rien ne peut I'empêcher d'arriver.
La totalite, de l'Univers fonctionne dans ce rythme parfait,
alors pourquoi pas toi ?
La petite voix : EileenCaddy. Le
Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 21 Mars,
après adaptation d'ARTivision.fr.
Dur, dur... à encaisser n'est-ce-pas !!! ce super buzz, qui devrait inviter les cosmologistes et autres spécialistes des mouvements planétaires, à rechercher la présence permanente des vibrations de la Source en question, dans notre Univers, où les choses les plus extraordinaires peuvent arriver. Peut-être alors, que ces spécialistes pouraient mieux comprendre,
le récit incroyable de notre amie de correspondance postale (dès le début l'année 2000) Rose C, dont le Livre a été publié sous le titre
"Rencontre avec les Extra-terrestres" de
ROSE.C, aux
Editions du Rocher au début de 1979 :
Cette incroyable affaire, fut présentée
à nos articles clefs, dès le
4/12/1999 :
Mais ce
27 Mars 2018, il nous semble utile d'ajouter ici, un autre passage très significatif, en priant aimablement,
une fois de plus,, le néophyte ingénu, de bien s'acrocher aux murs, car à l'altitude où l'on va évoluer, il risque d'avoir pour lui,
de très sérieuses turbulences...
En effet, bien que l' extraordinaire histoire de
Rose C, a dû déjà contrarier de nombreux penseurs bien calfeutrer dans leurs cocons bien académiques et aussi spirituels à souhaits, nous allons
une fois de plus,
(compte-tenu des tragiques événements arrivés récemment), mettre mettre au pied du mur, ceux, qui détienent les rênes du pouvoir et qui préfèrent garder le mutisme d'une carpe qui navigue dans une eau trouble, où sa vision est déjà très limitée.
Commençons alors, par les informations suivantes tirées de
Google :
Une fusillade dans un lycée en
Floride fait plusieurs victimes
www.lefigaro.fr/.../01003-20180214ARTFIG00393-une-fusillade-en-cours-
dans-un-lycee-en-floride.php
14 févr. 2018 ... Un tireur s'est introduit,
ce mercredi, dans un lycée de Parkland, en Floride,
fréquenté par
quelque 3.000 élèves. Le bilan provisoire serait d'un mort et au ...
Aux
Etats unis vous avez plus de chance de perdre vos enfants dans une
fusillade scolaire que dans un attentat. Le gouvernement Trump/pence
ne ...
Fusillade en
Floride : la rage d'une lycéenne contre Donald Trump
...
www.lepoint.fr/.../fusillade-en-floride-la-rage-d-une-lyceenne-contre-donald-
trump-18-02-2018-2195881_3241.php -
18 févr. 2018
... Depuis la fusillade qui a fait 17 morts dans un lycée
de Floride, le président
américain est resté coi sur la prolifération
des armes aux États-Unis. Une
survivante de l'attaque l'a pris à
partie samedi et a dénoncé avec force ses liens
avec la NRA, principal lobby
américain des armes. « À tous les
hommes ...
Mais ce que l'on sait moins, car les médias n'ont pas jugé, bon de s'étendre là-dessus, c'est aussi que
le 21 Mars 2018 :
Autrement dit,
certains quidams totalement timbrés préfèrent s'inspirer des actions stupides d'autres quidams encore plus fêlés, pour que l'on parle d'eux dans les dérisoires médias actuels. Mais quittons les USA, pour voguer plus près de nous;
dans cette affaire terroriste, qui eu lieu en France,
le Vendredi 23 /03/2018 ::
www.francesoir.fr/.../attentat-pres-de-carcassonne-gendarme-beltrame-egorge
-par-terroriste-lakdim
-
il y a 14 heures
... Après l'horreur de l'attentat perpétré à Trébès, près de
Carcassonne (Aude) est
venu le temps de l'hommage et de l'enquête.
L'hommage notamment au
lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, le gendarme qui a
pris la place d'une otage
dans le supermarché où s'était retranché Radouane
Lakdim vendredi ...
Attentat près de Carcassonne: le
point à 13h sur l'attaque terroriste ...
www.francesoir.fr/.../attentat-pres-de-carcassonne-le-point-13h-sur-attaque-
terroriste-du-supermarche-trebes
-
il y a 3 jours
... Tireur se revendiquant de l'Etat islamique, bilan provisoire,
intervention en cours:
voici les toutes dernières informations disponibles
sur l'attentat en cours dans un
supermarché de la petite commune de
Trèbes, tout près de Carcassonne dans l'
Aude, ce vendredi 23. Suivez
l'évolution de la situation
en ...
Et voici plus de détails :
et la suite du bas à gauche devient :

Vous avez bien lu, nous l'espérons,
cet aphorisme séculaire et récurent, "C'est le même Dieu que nous adorons entre musulmans, chrétiens et juifs"
Hélas le site
ARTivision.fr s'est fait pendant dejà
21 ans (en 2018) , un
strict devoir de démontrer que cet aphorisme est totalement faux, car, il n'est plus besoin de sortir de l'école Polytechnique, pour s'apercevoir que
( par exemple) , le
Dieu de l'Ancien Testament , n'est qu'un transfuge, sur le tard,
des Elohim... dont le nom
très mal traduit figure bien dans le texte en question, et que par ailleurs chacun peut l'affirmer et le vérifier, que
Le Maître Jésus n'a jamais écrit nulle part, que
l'Elohim de l'Ancien Testament, était son père spirituel, (que d'autres nomment la Source ou le Très Haut... ,
dont il rejette d'ailleurs a priori, et assurément, la
" loi du Talion", car il affirme clairement :
"Vous avez appris qu'il a été dit :" œil pour œil , et dent pour dent ". Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant... " Matthieu V-38.
Ceci n'est-il pas bien l'application de la théorie de la
"Non Violence", si chère au
Mahatma Gandhi, et théorie
qui a fait parfois ses preuves ?
Mais disons aussi que
Dieu de l'Ancien Testament,, que l'on a aussi appelé
YHWH, Iavhé, Yahveh, Jéhovah, Adonaï, Êternel, le Seigneur, El shaddaï, the Lord... etc... , n'était en fait
qu'un ancètre bien terrestre , de ces
les dieux sumériens à peine présentés dans notre premier volet ,
(voir l'adresse au début de cet exposé), et qui aimait décimer les peuples, qui ne faisaient pas partie
de la communauté très sélective, qu'il avait choisie, et sur laquelle, il pratiquait
un eugénisme sévère : voir notre article très significatif:
Donc pour en revenir aux attentats précédents que les autorités n'arrivent pas à circonscrire par leurs classiques et dérisoires manœuvres, seules nous restent, les options
claires et nettes
,
déjà présentées plus haut, et que nous explicitons encore volontairement ici, sachant que nous sommes bien arrivés
au Temps des Révélations, et que les conjurés d'En Haut qui tirent sournoisement les ficelles, n'ont donc désormais que deux solutions, pour neutraliser rapidement et très efficacement, les piètres velléités, des révolutionnaires "va-t-en-guerre" :
- Soit, avouer, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres par des entités très évoluées, qui nous considèrent comme des ninus batailleurs insignifiants...
- Soit, avouer aussi le fait que l'affaire Roswell, est authentique, et prouve clairement que d'autres êtres cosmiques, visitent la Terre depuis des siècles .
Le site
ARTivision.fr affirme,
preuves à l'appui, depuis des lustres que
ces deux faits extraordinaires, ont été
cachés à l'humanité entière, pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique, et donc pour satisfaire
les désirs de puissance des nations, alors que
la connaissance de ces événements, porte en elle-même, la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes,
avec ces guerres et tueries dérisoires, qui la déchirent depuis des siècles ...
Mais, comme
le hasard, Hum Hum ..., fait toujours bien les choses sur
ARTivision.fr, il se trouve que
le Dimanche 25 Mars à 18 h 05 locales, nous avons revu l'épopée
du télescope Hubble, voir l'image de gauche, émission que nous avions aussi suivie
le Lundi 12 juin 2017, voir l'image de droite :
Mais pendant que nous y sommes, parlons un peu plus
d'Hubble...
Nous devons d'abord avouer que
les prétendues images époustouflantes, des galaxies
d' Hubble, comme par exemple, cette image surprenante, que l'on a bien voulu appeler
"l'œil de Dieu":
, ne nous
font ni chaud ni froid, car les grands manipulateurs de ce télescope ont été incapables
(par suite des ordres qu'ils ont reçus d'en haut), de nous montrer
certaines images de la Lune, bien plus proches de lui que celles du
lointain Cosmos, et images qui posent problème, comme par exemple, celle que nous avons découverte dans le cratère
Rutherford (ou
Rutherfurd en anglais) (61°S; 9°W),
(placé sur le bords du grand cratère Clavius), dont nous avons déjà parlé, ci-dessus.
Mais voici tout de même une fois encore de quoi il s'agit étant donné son inportance :
La photo ci-dessus est nous le savons de
l'observatoire du Mont Wilson en Cafifornie et remonte à plus de
50 ans, à l'époque où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune et
Robert Jastrow en publiant son livre en
1967, n'y a probablement rien vu de saillant. Nous, nous y voyons dans
le cercle rouge,
( qui entoure, à peu près, Rutherford),
une profusion des formes géométriques spéciales, et il y a aussi
des angles droits partout dans la zone en question, qui ne laissent aucun doute, sur
le caractère artificiel des structures que l'on y aperçoit, et seuls
les irréductibles détracteurs, vont fourrer encore la tête sous le sable, pour ne rien y voir de particulier.
Mais en jetant un nouveau coup d'œil sur l'ouvrage incontournable de notre ami, hélas décédé en 1990,
Alfred Nahon,
"La Lune et ses défis à la Science ", paru aux
Editions Mont-Blanc en 1973 .
Nous avons alors, revu les images suivantes, de la formation lunaire dite
Rima Hyginus qui, pour nous, est aussi étrange, que celle de Rutherford :
Mais alors, nous nous sommes demandés si
Hubble, avait éventuellement photographié cette configuration lunaire très remarquable,
Rima Hyginus ?
De ce fait, nous avons soumis à
Google la proposition suivante :
"Une seule photo de Hubble de Rima Hyginus sur la Lune"
Hélas,
la seule photo demandée, s'est présentée comme suit, sur le site :
.
Mais regardez alors les trois photos en bas à gauche:
Il y a bien sûr la seule image
de Rima Hyginus, à droite mais surtout il ya juste à côté (comme c'est bizarre notre affaire de structure découverte page 33 dans le Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969 et comme le hasard fait bien les choses n'est-ce pas
Visualisons alors de plus pres cette topograhie
de Rima Hyginus d'après le site ;
.
Des fleuves de lave qui ont causé ces structures si insolites !!! Comme ces fleuves ont dû se contortionner curieusement, pour nous offrir ceci :
ou encore :
Que celui, qui a lu ce qui précède, avec un esprit
curieux pour comprendre, s'interroge franchement sur tout
cela, et surtout en tire l'envie, de vouloir en découvrir
davantage.
Mais ce
30 Mars 2018, nous allons
(s'il en était encore besoin, malgré tous les témoignages irrécusables montrés ci-dessus), fournir d'autres preuves irréfutables montrant que les coujurés d'en-haut, cachent au monde entier le fait que notre système solaire est assurément visité et exploté par des entités utilisant une technologie bien supérieure à la nôtre et que
ces entités Aliens préfèrent ne pas mettre le pied ( comme ils le faisaient autre fois), dans la fourmillière débridée et toujours confiltuelle et coupe-jarret actuelle.
Nous allons en effet, reprendre ici une affaire très significative montrant que certains journaliste prèfère de loin fourrer la tête sous le sable que de révéler une information succesptible de les sortir brutalement de leurs cocons bien feutrés dans cette société branlante :
Commençons ce jour, si vous le voulez bien, pour
le novice ingénu, qui découvre à peine ce site
ARTivision.fr, et pour lui éviter ainsi d'aller s'égarer, dans les arcanes informatiques de ce site, voici déjà un paragraphe où apparaisent, des nivellements inexplicables, caractérisés sur
l'astéroïde 253 Mathilde, photographié à environ
1200 km de distance , la fin du mois de
Juin 1997, par la même sonde spatiale
NEAR-Shoemaker.
L'astéroïde
Mathilde, aurait pour dimensions
50 × 53 × 57 km et le cratère noir à peine visible vers le bas aurait
10km de large :
Cette photo a été présentée à l'époque sur le site :
http://www.solarviews.com/eng/mathilde.htm
A vous de juger, une fois de plus, cette affaire.
Voyons de même ici,
des tranchées extraordinaires inexplicables et caractérisées sur Ganymède. le plus gros satellite de Jupiter, visité par la sonde
Galileo, lancée en
Octobre 1989 :
Les images suivantes concernant
Ganymède, sont tirées de la revue
"Ciel & Espace" n°
340 de Septembre 1998:
L'explication de la revue sur ces deux images précédentes
est assez surprenante, pour que nous ne nous privions pas du plaisir de vous la transcrire:
Première image de gauche : " Bolides en rafale : une comète happée et brisée par le champ gravitationnel de Jupiter, s'est sans doute abattue sur Ganymède pour laisser cette chaîne de treize cratères, baptisée Enki Catena "
Deuxième image de droite : Ganymède, " un océan formé d'une croûte, mélange de glaces et de silicates. Cette croûte n'est qu'une succession de terrains sombres , très fracturés, et de terrains brillants plus jeunes, séparés de façon assez nette par des bandes claires; On cherche encore à comprendre dans le détail, les mécanismes de cette transformation "
Vous avez bien lu,
on ne connait pas encore les mécanismes de formation de ces structures: Quant à la comète qui se brise en heurtant le sol, et cela, en créant
une succession rectiligne de cratères imbriqués, dont le dernier en haut est presque carré...
"Bravo Super-Hasard, tu nous combles de joie...".
D'ailleurs si vous voulez bien voir ce site
d'Enki Catena , vous pouvez vous reporter,
en rebelote, aussi à la même revue plus récente
Ciel & espace n° 400 de Septembre 2003, où l'on trouve en page 46 l'explication suivante:
" Enki Catena, une série de treize cratères, forme une chaîne à la surface de Ganymède. Elle résulte de l'impact d'une comète déchiquetée en au moins treize morceaux sous l'effet du champ gravitationnel jovien, peu avant sa collision".
Vous avez noté, nous l'espérons
le ton affirmatif de cette explication, où il est toujours question
de la comète morcelée en 13 morceaux à l'approche de Jupiter, et morceaux qui ont bien voulu se précipiter sur Ganymède en ligne droite parfaite pour donner
ces cratères à formes géométriques très structurées et où , si on les analyse à la loupe, on voit pulluler les angles droits. Comme vous le voyez,
en cinq ans donc
aucun progrès n'a été fait pour
tenter une approche plus logique de l'explication de l'édification de cet exceptionnel site de Ganymède.
A vous donc de juger...
Mais voici encore
un certain plus concernant
Ganymède :
Sur le site
http://system.solaire.free.fr/asteroide.htm , on découvre dans une présentation d'un chapitre consacré aux astéroîdes, le beau cadre :
Nous avons sans doute
mal cherché, car nulle part sur la page en question, nous n'avons trouvé quel astéroïde était représenté dans ce cadre
(comme si cela était génant de le dire).
Nous avons alors trouvé sur
Google le site :
http://www.astrosurf.org/rceleste/expGALILEO.htm qui nous apprend que le
22 Mai 2000, c'était la sonde
GALILEO qui survolait la plus grosse Lune du système solaire :
Ganymède :. Nous admettrons donc, dans ce qui suit, que nous sommes encore sur ce corps céleste
Ganymède :. Analysons donc de plus près cette image :
Aucune érosion habituelle et connue, n'étant possible dans dans la région en question, on aura bien du mal, à expliquer la totologie extraordinaire qui s'y trouve... n'est-ce pas !!!
Venons en alors maintenant, toujours pour
notre novice ingénu,, à cette affaire extraordinaire du
Paris Match , qui s'est permis dans son
n° 287 de
Septembre 1954,
(sans doute le premier article sur les soucoupes volantes de la revue),
de parler de la découverte d'une nouvelle route construite sur la Lune, sans jamais nous montrer sa photo, qui pourtant intéresserait l'Humanité entière.
Dans
ce Paris Match, incontournable pour les passionnés des affaires d'ovnis, on découvre
des témoignages inouïs, et surtout
un laïus très favorable au sieur
Adamski, qui était peu connu en France à l'époque, et donc pas encore
villipendé par les rationalistes de tous bords, qui se disaient fermement cartésiens.
Les anti-soucoupistes et consorts intellectuels blasés actuels, devraient
lire avec une attention toute soutenue,
ce passage très surprenant, de l'article, en
page 63 :
Rappelons,
à notre novice en question, que le
Major Donald E. Keyhoe, a travaillé à
USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis), et qu'il a dirigé pendant 13 ans, le
NICAP:
(Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens). C' est donc l'un des chercheurs
les plus documentés sur le phénomène des Ovnis, et
dont l'autorité est mondialement reconnue.
On s'étonne alors, que les reporters Paris Match, de l'époque ( peut-être que l'on ne l'appelait pas encore à l'époqueune revue People et qu'elle n'appliqu'ait pas encore la devise "Le poids des mots" et surtout "Le choc des photos" ), n'aient pas bougé,
le petit doigt, pour retrouver chez
les astronomes en question,
un seul cliché de cette route lunaire construite récemment disait-on, à l'époque. Voilà le genre de preuve
qu'un journaliste patenté, doit obligatoirement se procurer. C'est exactement comme si une météorite était tombée sur un arbre du
Zoo de Vincennes, et avait calciné cet arbre, et que le journaliste s'était contenté du récit d'un visiteur pour raconter l'affaire, sans se rendre sur place pour photographier l'événement. Il serait n'est-ce pas
inadmissible que l'auteur de l'article agisse ainsi. Alors pourquoi ne nous a-t-on pas montré,
dans ce super Paris Match n°287, cette route lunaire si significative ?...
Disons déjà que le fait que nous utilisons le vocable
people, pour
la revue Paris Match, n'est pas du tout une critique, car
à chacun ses goûts qui correspondent à son niveau d'évolution.
En effet, en fouillant dans nos dossiers, le
23/05/2012, nous sommes tombés sur une missive d'un ami internaute
Joël B....., datée du
30 Juin 2002, où il nous présentait une photo de
la Lune extraite du site
Cassiopaea de
l'an 2000,, et photo qui prouvait sans
l'ombre d'un doute, que les autorités gouvernementales cachaient la vérité au sujet de
la Lune, à savoir que notre satellite fait depuis des lustres, l'objet de travaux que l'on pourrait qualifier en termes bien
terre à terre, de
"Génie Civil":
La piste rectiligne fait près de
29 km de long sur
1,7 km de large. Cette piste est courbée à gauche comme le serait une crosse de Hockey. Voici d'ailleurs, en vert, la forme générale de la structure :
On distingue d'ailleurs, très nettement,
une figure insolite, en forme de
F, qui apparaît sur la gauche du tracé rectiligne :
Donc voilà un
document extraordinaire de la
NASA, qui date d'avant
l'An 2000, et qui n'a fait l'objet
d'aucune discussion , dans les
revues d'Astronomie, qui ont pignon sur rue, et encore moins de débats télévisuels de
prétendus journalistes et consorts, souvent à l'affût du
moindre scoop d'actualité.
Ces anciens journalistes de Paris Match, s'ils avaient été plus curieux, ils auraient aussi,
un peu plus tard, après la sortie de leur
super n° 287 de Sept 1954 s'intéresser davantage à la
Lune , et poursuivre leurs investigations, en découvrant,
de superbes informations sur le sujet, dans
la revue très avant-gardiste, des
années 61 et suivantes :
Et dans ce
n° 41 de
Juillet- Août 1968, en
pages 17 à 26, ils auraient découvert ceci,
(les colonnes sont de nous) :
Et, ce n'est qu'une petite partie de l'article en question. Il aurait déjà été n'est-ce pas,
très surprenant, que tout cela ait été imaginé par
un esprit pervers, alors que
l'Internet, n'existait pas à l'époque.
Maintenant, comme nous le dit ce
n° 41 de Planète, de
Juillet-Août 1968, il ne nous reste qu'à prouver que cette
preuve inouïe, non présentée par
les journalistes distraits ou égarés, du
fameux Paris Match n° 287 de Septembre 1954, pourrait justement être, la
la brèche découverte le
6 Mai 1954 par le professeur
Frazer Thompson de l'Université américaine
de Tulane, dans
la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune d'où partait une longue bande é et rectiligne large d'environ
trois cents mètres, et ressenmblant à
une super autoroute ou
à une piste d'envol. L' internaute
possédant des images de télescope de cette brèche, dans
le cratère Piccolomini ( hélas, il y a plusieurs cratères qui portent ce nom), serait bien sür,
le béni des cieux, s'il pouvait, nous envoyer une image de cela :
Bon courage pour la recherche, et merci d'avance..
Aux dernières nouvelles, grâce à l'initiative de
notre amie Channa de Belgique, nous avons pu retrouver,
la première parution de cette photo sur le Web, à l'adresse superbe suivante :
Et voici l'image, et le début du texte qui l'accompagne :
Un grand merci au
site magique :
http://archive.org/web/, qui nous a permis de retrouver l'origine de cette photo qui porte le nom de
landstrip.jpg .
Les puristes, pourront donc chercher sur
Google images de quel dossier de la NASA, cette image est sortie. S'ils ne trouvent rien, c'est que cette affaire a éte classée au niveau
Top secret, pour que le commun des mortels ne se pose pas,
les questions cruciales requises.
N'empêche qu'
ARTivision.fr, a publié cette photo, il y a déja environ 16 ans,
(en l'an 2018), et
les journalistes et tous bords et autres consorts éditorialistes blasés, n'ont pas sorti à ce sujet,
le moindre petit texte, d'autant qu'il aurait été pratiquement impossible à l'époque, à un infographiste quelconque, de trafiquer une telle photo de la Lune, sans que cela se voit.
A vous de juger une fois de plus,
la piètre fuite notoire, de nos responsables astronomes et consorts intellectuels blasés , devant
cette extraordinaire réalité...
Terninons alors cet exposé, par
ce rappel cosmique du Grand Maître de Findhorn déjà présenté plus haut... et méditation oh combien significative en ces Temps de Révélation :
Rien n'est le fruit du hasard
.
Il y a un dessein et un plan
parfaits
sous-jacents à toute vie,
et tu fais partie de cette globalité ;
tu fais donc partie de ce dessein et de ce plan
parfaits.
Lorsque tu vois d'étranges choses se
passer
et que tu te demandes pourquoi elles
t'arrivent,
prends du temps pour voir
comment tout cela s'articule,
et tu verras qu'il y a une raison à toute
chose.
Les raisons peuvent te
surprendre,
mais sois prêt néanmoins à les
accepter
et à apprendre au travers
elles,
et ne lutte pas contre
elles.
La vie devrait se dérouler sans
effort.
Une fleur ne lutte pas pour s'épanouir au
soleil,
alors pourquoi devrais-tu lutter pour t'épanouir
par la grâce de l' amour
infini du Très Haut
?
Si c'est le cas, cela vient de toi,
et cela ne fait pas partie
de Son dessein et de Son plan parfaits pour
toi.
La simplicité est Son sceau, alors
garde la vie simple.
Reste
sans cesse en contact avec Lui,
et regarde-toi te déployer dans Son
amour.
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (1994).
Méditation pour
le 30 Mars, après adaptation d'ARTivision.fr.
Les éternels détracteurs, vont enccore se tordre de rire en lisant tout cela. Mais le dernier à rire, ne sera peut-être pas, celui que l'on pense... et alors
Advienne que pourra, et qui vivra verra...
Prolongement révélateur manifeste (en date du 10/04/2018)
Avec tout ce qui précède,
les détracteurs irréductibles, adulateurs thèses tordues officielles niant ouvertement la présence des Aliens,dans l'environnement terrestre, sont déjà assurément, pour le Webmaster d' <ARTivision.fr, placés au pied du mur qu'ils vont bientôt raser de près le soir pour que l'on ne les montre pas du doigt en plein jour.
Mais justement, comme rien ne se passe par hasard, sur ce site, il nous semble utile de reprendre ici le préambule significatif, que nous venons de présenter (le 08/04/18), dans notre article suivant :
Voilà donc, de quoi il s'agit :
"Nous pourrions bien sûr approffondir ici les propos insolites du très grand lanceur d'alerte (en anglais Whistleblower)
Corey GOODE que l'on peut trouver à l'url très connu :
http://stopmensongesCoreyGoode1 , où les puristes peuvent lire :
On découvre par exemple, ceci où il répond à une huitième question :
Q8. Quel groupe d'extraterrestres aida les nazis dans leur combat avec l'amiral Byrd en 1946/1947 et développa une présence hors du monde?
Réponse de Corey Goode : Il y a eu l'aide de la Fédération Draco ainsi que d'un groupe que les NAZI ont été amenés à croire qu'ils étaient des ET (appelés "Arianni" ou "Aryens", parfois appelés "Nordics") mais qui étaient en fait une civilisation Humaine Ancienne de type "Civilisation de Rupture" de la Terre qui avait développé un Programme Spatial (appelé "La Flotte d'Argent") et créé de vastes bases sous les montagnes himalayennes (la plus grande au Tibet).
Le premier vaisseau qu'ils construisirent utilisait des turbines Mercury, et les moteurs électro-gravité furent développés avec l'aide de ce groupe. Encore une fois, les NAZI et à ce jour beaucoup d'humains de la Terre qui sont en contact avec eux et d'autres les croient être des ET (à cause de leurs manipulations) alors qu'ils sont en fait des humains basés sur la Terre issus des anciennes civilisations ayant vécu une "Civilisation de Rupture".
J'ai fortement évité de parler en profondeur des quelques civilisations terrestres anciennes qui ont des programmes spatiaux et des bases massives sur la Terre, la Lune et ailleurs dans le système Sol et d'autres systèmes Sol. Certains d'entre eux ont été extrêmement trompeurs et ont convaincu certaines personnes qu'ils sont des groupes d'ET, qui sont là pour aider l'Humanité.
Mais, on a aussi plus bas :
Le dénonciateur du Programme spatial Secret, "Corey GOODEd" (alias GoodETxSG), a révélé des détails étonnants impliquant des activités classifiées sur Mars et la Lune.
Le plus troublant, sont ses révélations sur l'influence d'une civilisation NAZI secrète délinquante, qui a réussi à infiltrer le système de sécurité nationale des États-Unis.
Ses réponses vont dans le détail, à savoir comment, des activités du programme secret de l'espace, aux États-Unis et dans le monde, ont été infiltrées par des forces et des institutions sans scrupules, qui dénient à l'humanité, tous les avantages des technologiques secrètes acquises, au cours du siècle dernier.
Dur.. Dur... n'est-ce pas !!!, et l'on est quasi certain, qu'aucun de nos supers médias télévisuels actuels, n'aurait le courage lancer un débat à ce sujet... et medias qui seront tous avides à en débattre, dès que la Révélation, pourtant proche, se fera jour... Point à la ligne...
Le site ARTivision a parlé dans ARTivision.frde la civilisation de l'Atlantide (et de bien d'autres), qui nous ont précédés sur cette planète, (voir par exemple notre article clef, en date du 24/12/2014 : CaviardageNASA.html), où il est écrit,
noir sur blanc
:
" Ici, ARTivision.fr, doit apporter une petite précision : Les extraterrestres qui nous surveillent depuis des siècles, n'ont pas nécessairement, les étranges silhouettes, que nous présente l'image ci-dessus, mais ils auraient plutôt notre apparence. En effet, disons, qu'il y a plus de 12 000 ans, qu'une civilisation très avancée, "l'Atlantide" , avait pris naissance sur Terre. Mais, elle a été balayée par un gigantesque cataclysme et son continent a sombré dans l'Océan Atlantique (Voir notre article : bimini.html). Cependant, il y a eu des rescapés priviliégés, (comme toujours dans ces cas là), qui se sont installés sur notre satellite, et aussi quelque part "ailleurs" (voir nos articles très étranges concernant l'Amiral Byrd des USA). Ils possédaient en effet, déjà à l'époque, des moyens de locomotion plus modernes que les nôtres ( A ce sujet, voir par exemple à titre documentaire, la "lecture" d'Edgar CAYCE ( n'en déplaise aux intellectuels récalcitrants et blasés actuels), n° 2157-1 du 27 Mars 1940), et ils continuent donc à utiliser actuellement comme nous, des minerais et des métaux pour évoluer ". Et à bon entendeur Salut ..."
Fin de citation.
Si nous avons repris ce qui précède, c'est d'abord pour exposer cette superbe pyramide lunaire :
et qui est tirée de la page :
Mais ensuite, c'est aussi, parce que notre ami de très longue date au nom si "prédestiné", Pierre Lux, nous a transmis récemment, le message suivant, dont voici juste le début (Les couleurs et les polices sont de nous bien sûr) :
----- Original Message -----
From: Pierre Lux
To: Fred Idylle
Sent: Sunday, April 08, 2018 4:58 AM
Subject: photos
Des photographies de la NASA montrent qu'il y a des "Pyramides" à la surface de la Lune
Avril 07, 2018
Des informateurs aux scientifiques et même aux anciens astronautes, de nombreuses informations sur la Lune ont été divulguées au public ces dernières années. Des photographies de la NASA qui ont été sécrétées montrent qu'il y a des "Pyramides" à la surface de la Lune.
Beaucoup sont d'accord sur le fait que le monde doit savoir une fois pour toutes la vérité sur l'existence de structures pyramidales spectaculaires sur la surface lunaire. Les théoriciens du complot s'accordent à dire que pendant de nombreuses années les agences spatiales et les grandes puissances de notre monde sont restées silencieuses sur la vérité derrière les structures extraterrestres sur la lune. Heureusement, un groupe d'anciens ingénieurs de la NASA a publié une série d'images qui exposent les mystères incroyables derrière les structures supposées à la surface du satellite naturel de la Terre.
... Voir la suite des images, à la vidéo :
et la suite du texte à :
Comme on le voit ici, il s'agit d'une photo d'une forteresse lunaire très structurée et qui est voisine d'une autre construction qui a été trè maladroitement caviardée d'une couleur blanche très lumineuse :
Mais pour clore ce jour, cet exposé, il ne nous reste qu'à présenter quelques éléments de l'ouvrage remarquable de notre ami Alfred Nahon ( hélas décédé en 1990) intitulé: "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc 1973, en Suisse :
On y decouvre on le sait, à la figure 29 ceci :
On y voit clairement un engin excavateur qui triture le sol lunaire (voir la structure très insolite au centre du cercle) , sur un contrefort du cratète Copernic , déjà bien raboté, n'est-ce pas, sur sa droite .
Mais, parmi les surprenantes images de cet ouvrage, extrayons aussi celle-ci tout a fait extraordinaire, n°41
Mais, dans ce même livre, l'ami Alfred Nahon, nous avait aussi présenté une structure très bizarre, découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye, et figures 23 et 24 on a : :
Il faudrait vraiment être de mauvaise foi, pour affirmer que cette structure est tout à fait naturelle, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion d'optique.
Allons plus loin, car on est aussi en demeure de se demander pourquoi, la NASA n' a-t-elle pas envoyé des sondes speciales aux bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?
En effet, en Août 1967, la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), nous l'avons dit, à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires de la figure 27:
Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m . Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?
D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse 6 fois moins sur la lune ), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et vie de Mars 1968 N° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".
Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé" juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé" en même temps de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:
Nous pourrions bien sûr, vous présenter de très nombreuses autres photos du sol lunaire, prouvant qu'il y règne une notoire activité, de nature, disons, "industrielle", mais cela risquerait de devenir trop assomant ou indigeste, pour le lecteur.
(Cependant le 08/05/09 , nous avons reçu de l'internaute, Gabriel les bons mots suivants:"... je suis à nouveau plongé dans votre dernier article sur la Lune et je viens d'avoir un tilt sur une image que j'ai pourtant déja vue maintes fois :
En la regardant tout à l'heure, j'ai noté soudain que les irrégularites dans la trace laissée derriére ce mobile, suggèrent étrangement un deplacement correspondant à une marche pédestre. Veuillez noter la disposition en quinconce des trous apparaissant dans les empreintes. Il semblerait que cet engin dispose, soit de jambes, ce qui m'étonnerait un peu, soit par contre d'un système de chenilles à multipattes du genre de ceux qui sont développés dans des Centres, tel que la célèbre NASA and co.
Bien amicalement depuis le continent : Gaby " )
Nous avons nous-mêmes explicité certains phénomènes lunaires très surprenants dans trois lettres, parues dans le journal France-Antilles, et dont vous pouvez découvrir la première parue dès le 14 Février 1975, dans notre article plutôt corsé :
En effet, il faut savoir que La Lune n'est pas morte, comme on pourrait le croire. Des phénomènes lumineux insolites, ont été aperçus à sa surface depuis très longtemps. Au cours des trois derniers siècles et en 1971, on notait près de 1500 cas de taches lumineuses brillantes, et de changements temporaires, nommés pudiquement phénomènes transitoires, par les spécialistes, (TLP :Transient lunar phenomenon), qui ont été notés sur la surface lunaire, dont plus de 200 concernent,la seule région du cirque d'Aristarque.
Voici donc un extrait du super article venant de la revue Science&Vie d'Avril 1964, dont voici la couverture :
Cet article est issu de la rubrique L'UNIVERS, et est intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :
Et voici le début du texte en question : (les couleurs sont de nous évidemment)
"Flagstaff (Arizona) le soir du 29 octobre 1963, peu avant la tombée de
la nuit.
Deux astronomes de l'Observatoire
Lowell, James A. Greenacre et Edward Barr, dont le travail de routine
consiste à prendre des séries de photographies de la Lune en vue de l'établissement de la grande carte lunaire
au 1 millionième de l'U.S. Air Force,
venaient de pointer vers notre satellite
la célèbre lunette de 60 cm d'ouverture au moyen de laquelle P. Lowell, puis E. C. Slipher, tentèrent
autrefois de percer les secrets de
Mars. Ils examinaient, l'oeil à l'oculaire, la région tourmentée des cratères Hérodote et Aristarque et de
la grande crevasse sinueuse au fond
large et plat appelée vallée de Schroter. Leur intention était de comparer
certains détails de cette région à ceux
qui sont portés sur la carte. L'atmosphère au-dessus du désert de
l'Arizona était assez agitée, rendant
les images bouillonnantes, mais elle
devint progressivement plus calme et un oculaire grossissant 500 fois fut
adapté à la lunette.
C'est alors - il était 18 h 50 - que
l'attention de Greenacre fut attirée
par deux taches lumineuses de couleur rouge orangé tout à fait insolites, situées à 45 km l'une de l'autre, sur les sommets de deux monticules
voisins de l'extrémité méridionale de
la vallée de Schroter. La tache la
plus petite mesurait 2,7 km de diamètre, et la plus grande, de forme
ovale, 2,7 km sur 9 km environ. Au
cours des deux minutes suivantes,
les deux taches devinrent ensemble
extrêmement brillantes, et Greenacre,
stupéfait, appela son collègue afin
qu'il puisse à son tour observer et
confirmer le phénomène. Les taches
étaient toujours visibles trois minutes plus tard (c'est-à-dire à 18 h 53) lorsque Greenacre, qui avait repris l'oculaire, découvrit une troisième tache
brillante, de couleur rose, recouvrant
sur une vingtaine de kilomètres
l'arête méridionale du rempart d'Aristarque. A 19 heures, les deux premières taches avaient perdu leur éclat initiale et leur couleur était devenue
rouge rubis sombre. Dix minutes plus
tard, elles avaient disparu, tandis
qu'on distinguait encore faiblement
la troisième tache, laquelle cessa à
son tour d'être visible à 19 h 15. Aucune caméra photographique n'étant
fixée à la lunette, il fut impossible d'obtenir des clichés.
UN MOIS A L'AFFUT
Vingt-huit jours plus tard, le
27 Novembre 1963, la région d'Aristarque se présentait dans des conditions d'éclairage similaires et nos
deux astronomes, qui n'avaient pas
cessé de surveiller la Lune depuis
l'observation précédente, mirent une
fois de plus l'oeil à l'oculaire. Leur
espoir ne fut pas déçu. A 17 h 30, une
tache allongée rou&e rubis apparaissait, cette fois encore, sur l'arête du
rempart d'Aristarque, mesurant 22 km
de long. Greenacre et Barr n'étaient
plus seuls : ils s'étaient fait accompagner sous la coupole par Fred Duggan et par le Dr John S. Hall, Directeur de l'Observatoire Lowell. Ce dernier, ayant constaté le phénomène,
téléphona immédiatement à son collègue Peter Boyce qui disposait, à
quelque distance de là, du grand télescope Perkins de 1,75 m d'ouverture,
et lui signala qu'un phénomène coloré insolite était visible sur la Lune
dans la région d'Aristarque, sans lui
donner d'autre précision. Boyce découvrit immédiatement la tache rouge
allongée et en confirma la position. Les minutes passaient et la tache
était toujours visible. Des clichés en
noir et blanc furent obtenus. Ce n'est
qu'à 18 h 50 que la tache disparut : le phénomène avait duré 1 h 1/4 .
Les flèches indiquent où apparurent les lumières et leurs dispositions
"I1 n'y a pas de changement sur la
Lune". Cette vieille assertion, professée jusqu'à ces dernières années
par l'immense majorité des astronomes professionnels, se révèle quelque peu erronée et il apparait au contraire que notre satellite pourrait
bien être le siège de phénomènes lumineux passagers assez fréquents.
Quelle est l'origine de ces lumières?
Nul ne le sait. Est-ce le sol qui, en
certains endroits, est recouvert de
cristaux réfléchissant sélectivement
les rayons solaires par le jeu des lois
de la réfraction ? S'il en était ainsi,
les taches observées auraient dû passer par les différentes couleurs de
l'arc-en-ciel, et tel n'est pas le cas.
S'agirait-il alors d'émissions de gaz,
rendus luminescents par le rayonnement ultra-violet solaire ? Un argument de poids en faveur de cette
hypothèse est apporté par la célèbre
observation spectrographique de Kozyrev, dont nous parlerons en détail
plus loin. Mais quelle pourrait être
l'origine de ces émissions ? On a supposé qu'il s'agirait de la mise au jour
de poches gazeuses occluses dans la
roche lunaire, sous l'effet d'impacts
météoritiques, ou encore de la volatilisation de la matière des météorites
elles-mêmes. Mais par quel miracle
alors le cirque d'Aristarque aurait-il
été, à deux reprises, le siège de tels
impacts, répartis d'ailleurs sur une
bande de 20 km de longueur épousant
très exactement l'arête même de ses
remparts ? Ajoutons que, dans le
vide (la Lune, ne l'oublions pas, ne
possède aucune atmosphère), le libre
parcours moyen des atomes et des
molécules est infini : si une bouffée
gazeuse était émise au voisinage du
sol lunaire, elle se dissiperait très
rapidement dans l'espace et cesserait
bientôt d'être visible. Dans le cas
présent, il faudrait donc admettre un
renouvellement continu de l'émission
des gaz pendant une durée assez longue (plusieurs dizaines de minutes) ;
il faudrait admettre également que
chacune des taches lumineuses était
produite par plusieurs sources d'émission assez rapprochées, de façon à
expliquer en particulier la forme
extrêmement allongée et la grande
dimension des deux lueurs observées
sur Aristarque ; enfin, il faudrait supposer que ces émissions de gaz furent
déclenchées, au méme moment, par
un même processus, puisque les
trois taches lumineuses du 29 Octobre
1963 présentèrent des variations d'éclat
concomitantes.
Tout cela fait penser, soit à une
activité interne (tectonique ou volcanique), soit encore à une action calorifique du rayonnement solaire sur le
sol de la Lune, produisant un dégazage des roches après la longue nuit
lunaire (il est peut-être significatif
à cet égard que les quatre lueurs
observées prirent naissance, aussi
bien le 29 octobre que le 4 novembre,
un peu moins de deux jours après
le lever du Soleil sur la région
d'Aristarque).
Rien enfin n'empêche, d'imagininer - mais ici nous tombons quelque peu dans la science-fiction que les taches brillantes apparues aient eu une origine artificielle, témoignant de l'activité d'êtres intelligents à la surface de la Lune.
La vie n'a certainement pas pu se dévélopper sur notre satellite, mais si une expédition d'astronautes extraterrestres venus des espaces intersidéraux explorait le système solaire , on peut supposer que ces astronautes établieraient une base sur la Lune, ne serait-ce que dans le but d'étudiier la terre à faible distance sans être repérés. Dans un récent article sur les voyages intersidéraux publié dans la revue Planetary and Space Science, le très serieux astrophysicien américain Carl Sagan a froidement envisagé une telle possibilité, qui soulève cependant encore les plus grandes réserves chez la plupart des astronomes...
Comme on le voit, l'exploration de la Lune, nous réservera sans doute bien des surprises..."
Fin de l'extrait
En ce qui concerne le côté brillant de certaines structures de la Lune, signalons aussi que le 22 Mars 09, nous avons reçu une missive très intéressante de l'aimable internaute Mike, qui nous invitait à prendre connaissance de la superstructure suivante découverte il y a déjà quelques temps, dans cratère Copernic de la Lune ( 9.3° N, 19.25° W / Eastern Oceanus Procellarum, Mare Insularum). En effet nous avons été particulièrement surpris de découvrir ceci :
et en agrandissant un peu :
Et cette structure très
étrange est visible dans les vidéos :
Pour la suite, il ne nous reste qu'à souhaiter qu'un intrépide infographiste, veuille bien nous traduire en 3D cette si étrange configuration. Donc alors, comme disent les anglosaxons restant dans l'expectative, Wait and see !
Mais, ce 11 Mai 2018 dans la droite ligne de cet article, il nous appartient de vous présenter cet étrange e-mail, très significatif reçu récemment :
----- Original Message -----
From: Pierre L........
To: Fred
Sent: Sunday, May 06, 2018 7:54 AM
Subject: Stupéfaction ... ..
Cher Fred,
Voici encore une preuve, que ces gens ne sont jamais allés sur la Lune !
Amitiés,
Pierre.
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Stupéfaction : La NASA abandonne une simple mission d'exploration lunaire
Publié par wikistrike.com sur 4 Mai 2018, 09 : 41am
Catégories : #Astronomie - Espace
Les scientifiques de la Lunar exploration analysis group (LEAG) sont restés bouche bée devant l’annonce du chef de la NASA, Jim Bridenstine, de ce qui semble être l’arrêt d’un programme sur lequel ils travaillent depuis une dizaine d’années et qui devait aboutir à la construction d’un module destiné à explorer les zones polaires de la Lune. Il leur a quand même fallu quelques jours pour comprendre ce qui leur arrivait. Ils ont exprimé leur désarroi dans une lettre adressée à Bridenstine : « Nous comprenons maintenant que le (programme) RP a été annulé le 23 avril 2018 et que la mission prendra fin d’ici la fin de mai. […] Cette action est perçue à la fois avec incrédulité et consternation par notre communauté», lit-on dans la lettre.
A quoi s’attendre d’autre de la part de la NASA ? Depuis les années bénies de 1969 à 1972 au cours desquelles le monde entier était inondé d’images sautillantes sur fond de décors « lunaire », la NASA n’a eu de cesse de chercher à transformer ces images en réalité. Peut-être, à l’époque, dans un contexte d’euphorie et de grandes percées technologiques où tout semblait possible, pensaient-ils que ce serait une entreprise aisée et que ce ne serait qu’une question de temps pour transformer un récit fictif en réalité. Ça n’a malheureusement pas été le cas. D’année en année, les programmes et les projets se sont succédé sans aucune avancée permettant d’espérer retrouver les jours heureux où l’Homme allait se balader sur la surface lunaire comme d’autres vont à la plage.
Après avoir repoussé indéfiniment ses programmes habités, la NASA en est maintenant réduite à repousser ses projets de simples explorations lunaire par des robots. Là encore, nous tombons dans l’un de ces paradoxes auxquels la NASA nous a habitués : Ils seraient capables d’envoyer des robots explorateurs sur Mars et sur d’autres planètes lointaines, mais la Lune leur pose des difficultés insurmontables. Sacrée Lune ! Et pauvre NASA, condamnée maintenant à courir après un récit désormais inscrit dans les livres d’histoire et qu’il faut faire tenir debout coûte que coûte.
Avic – Réseau International
En ce qui concerne le site ARTivision.fr, disons que nous pouvont reprendre ici les très nombreux exemples illustrant ce que ci-dessus commentateur de "Avic – Réseau International", suggére de façon très voilée, à savoir que les spationnantes en question n'étaient pas du tout sur la Lune, mais dans un centre de simulation notoire bien terreste. Pour faire très court, voici donc quelques images tout à fait significatives à ce sujet qu'ARTivision.fr a presentée en exclusivité sur son site il y a de cela plusieurs années, et images souvent extraite du site remarquable ;
Commençons, si vous le voulez bien, par cette photo apparemment toute simple :
AS17-146-22365.jpg
Là , une petite explication s'impose : En effet, nous aimerions ici savoir si les astronautes utilisaient, une perche de plusieurs mètres de long, pour déposer le petit appareil nommé gnomon, soi-disant destiné à donner l'échelle de la photo et servir pour l' étalonnage des couleurs. On voit en effet, ici, qu'il n'y a aucune trace de pas à ses pieds. Comment a-t-on fait pour mettre en place ce gnomon ?
Mais venons en mainrenant à cette affaire incontournable de jeep lunaire, qui ne laisse aucune trace sur le sol :
AS15-85-11470Rouespasdetraces1.jpg
AS15-90-12218rouesanstrace.jpg
AS15-82-11062Rouespasdetraces4.jpg
ApolloXVIdessindesroues.jpg
AS17-143-21933jeepsanstracesderoues.jpg
, et aussi cette autre photo : AS17-133-20342 :
AS17-133-20342LRVsanstracesderoues
AS17-133-20342LRVaucunetracesderoues.jpg
Pour être encore plus crédible, nous nous baserons sur les affirmations péremptoires, de la revue Ciel&espace n° 391 Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:
Et en feuilletant donc cette revue, vous découvrirez un surper un dossier central détachable de 8 pages, consacré à "l'exploit", d'Apollo 17...
Mais brûlons les étapes et arrivons d'emblée au point crucial de l'histoire... Voici donc déjà les pages 8 et 9 de la revue en question :
On voit là, les nombreuses évolutions accomplies par les prétendus astronautes et leur Jeep, nommée officiellement le LRV (Lunar Rover Vehicule). ...
Puis, nous arrivons, à cette dernière image clef concernant Apollo 17, de la revue en cause :
Cette photo porte le n° AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur le site quasi officiel? déjà présenté plus haut :
Mais pour les puristes, voici donc le bouquet... (qui est aussi une exclusivité d' ARTivision), et qui n'a jusqu'à présent pas reçu la moindre explication, de ces Messieurs astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de NASA...


Notons d'abord ici, que le site
ARTivision.fr, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu
lors de la première sortie des
"astronautes".
Donc, on devine que les
"spationautes",
d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des
"km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du
LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel.
Comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et
ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec
un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre
de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué
l'apparence du sol lunaire. Mais,
on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est
le très petit détail qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...
Point barre...
Mais venons-en maintenant à la photo présentée, dans le texte de ci-dessus de l'
"Avic – Réseau International":
:
Cette photo se trouvre, dans nos dossiers dans le
n°367 de Déc. 2000 de la revue
"Ciel & espace", et disons que cette image qui est l'une
des photos les plus surprenantes des missions lunaires. Elle est pourtant présentée, dans cette revue,
sans aucune explication, concernant les anomalies qui s'y trouvent. On aperçois aperçoit là, parait-il,
"l'astronaute" ,
Conrad d'Apollo 12 , circulant sur le sol de
l'Océan des Tempêtes,, les bras chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire de près de 200kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Reoilà donc cette photo du
"Ciel & espace"en question :
Comme vous pouvez le remarquer cette photo présente
une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère lunaire et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit, pour se débarrasser du problème.
Mais il y a en plus du Soleil, sur cette prédédente photo extraordinaire de la Lune,
la présence de deux autres sources lumineuses,
totalement inexpliquées, qui ont eu pour effet
de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire des américains, et sur les "cachotteries de la NASA".
Certains diront vite, que c'est un defaut du développement de la péllicule de l'époque chez les photographes de la revue . Mais il faut savoir que l'on découvre aussi, cette même photo, sur le site quasi officiel vue plus haut sous le n°
AS12-46-6806 :
Il y a de cela des années, nous avions cru, que
ces disques lumineux qui accompagnent
"le soleil" , de cette photo, étaient
des ovnis espions.
Mais,
certains internautes avisés, diront aujourd'hui, que cela prouve simplement que
Conrad,
n'était pas sur la Lune , et que cette photo a été prise dans
un centre de simulation du Névada ou ailleurs aux USA ...Point à la ligne...Et les disques lumineux en question, ne sont que
des reflets des projecteurs sur des surfaces brillantes du site.
Point Barre...
Mais, le
25/05/2014, en cherchant dans nos dossiers,
tout autre chose, nous sommes tombés sur
ce dossier Spécial Lune, de 18 pages du
Paris Match n° 1076 de Déc. 69, dossier que nous avons cru, avoir perdu depuis des années.
Voici le haut du document :
Voyons alors, les pages 66 et 67, de ce document. Nous avons rétréci, la partie centrale des deux pages en question, car elles dépassent de loin les capacités de notre petit scanner:
On voit, alors que
les deux sources lumineuses bizarres vues plus haut, en plus du Soleil,
ont été gommées page 66, comme
par enchantement, sur la même photo en couleur de ce
Paris-Match n° 1076.
Alors, bravo , tout de même à la revue
"Ciel & Espace", d'avoir eu le courage de nous montrer
ces sources lumineuses très insolites, et pourtant bien gênantes, puisque le
"choc des photos", si
bien prôné, par la revue
Paris Match en question, n'a pas été assez puissant, pour que cette célèbre revue, veuille bien, nous montrer clairement et audacieusement,
ces lumières, identiquement à ce que la NASA,, nous a sorti...pour Apollo 12, en Nov 1969...
Une fois de plus, c'est à vous, qu'il appartient de juger tout cela, documents très prosaïques, à l'appui...
Donc est-il encore utile ici, de dire que beaucoup de journalistes, éditorialistes, et autres consorts chroniqueurs zélés,
ont lamentablement loupé le coche de cette affaire lunaire, en ignorant de plus, le fait, qu'en
plein système moderne, analysé par toutes sortes
de médias prétendus évéillés, on nous a
parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme
par exemple,
l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune, (dont on vient justement, de présenter ci-dessus, certaines prémices), l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York en Sept. 2001... etc..., et bien d'autres affaires,
encore cachées...
 Pour l'affaire
Pear Harbor :
Voir quelques unes d' autres affaires dans nos articles :
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Fred IDYLLE
Article mis en page le 08/11/2017, et revu le 10/11/2017, et revu le 12/11/2017, et revu le 13/11/2017, et revu le 15/11/2017, et revu le 17/11/2017, et revu le 19/11/2017, et revu le 21/11/2017, et revu le 22/11/2017, et revu le 25/11/2017, et revu le 27/11/2017, et revu le 07/01/2018, et revu le 09/01/2018, et revu le 12/01/2018, et revu le 14/01/2018, et revu le 18/01/2018, et revu le 20/01/2018, et revu le 22/01/2018, et revu le 24/01/2018, et revu le 27/01/2018, et revu le 29/01/2018, et revu le 31/01/2018, et revu le 02/02/2018, et revu le 04/02/2018, et revu le 06/02/2018, et revu le 08/02/2018, et revu le 16/02/2018, et revu le 18/02/2018, et revu le 21/02/2018, et revu le 22/02/2018, et revu le 23/02/2018, et revu le 27/02/2018, et revu le 28/02/2018, et revu le 02/03/2018, et revu le 04/03/2018, et revu le 07/03/2018, et revu le 08/03/2018, et revu le 16/03/2018, et revu le 21/03/2018, et revu le 27/03/2018, et revu le 30/03/2018, et revu le 01/04/2018, et revu le 11/05/2018, et revu le 28/05/2018, et revu le 02/11/2024.
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