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Quand, la légende rejoint la réalité...

I Introduction.

     En mettant un peu d'ordre dans divers documents nous sommes tombés récemment sur des articles qui vont alors nous permettre une brève synthèse de la théorie de la Terre creuse, théorie vraiment hors normes, au sujet de laquelle nous avons déjà publié plus de 70 articles.

II Genèse de l'affaire.


    Commençons, si vous le voulez bien, par cette photocopie d'un article très important de Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons seulement le début :



et article publié dans le n° 21 de la revue Nexus de Juillet-Aout 2002, dont voici la couverture :



     et voici le sommaire, où nous avons souligné en rouge l'article en question :



D'autre part plus bas, nous analyserons aussi certains points du n° 83 de Nov-Dec 2012 tel que :



On y trouvera alors ceci :



    En relation avec le sujet de notre article, on peut alors présenter ces lignes du n° 21 de Nexus :



    Vous avez donc bien noté qu'à l'origine, le mot légende signifiait "ce qui doit être lu".

    Mais comme l'auteur, nous parle entre choses des grecs. Voyons tout de suite, ce qui pouvait être lu sur les grecs dans leur tradition .

    Pour être loyal, disons déjà, que nous avons recomposé les colonnes de ce petit fascicule :



tel que :



    Après avoir bien lu, les mots soulignés en rouge, il ne nous reste, une fois de plus à nous poser la question cruciale :

" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis" justement au Pôle Nord qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

    De plus, on apprend que le dieu "Apollon rencontra les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse". Curieux n'est-ce pas !!!, d'autant que Billie Faye Woodard, ce Colonel, viré de l'Armée US, instruit dans la Zone 51, et qui aurait visité, sous l'instigation de l'Armée de son pays, l'intérieur de notre planète, nous révéle les mêmes choses inouies : Voir alors nos articles :

http://www.artivision.fr//BillieFayeWoodard.html

http://www.artivision.fr/BillieFayeWoodardTelephone.html

    Notons aussi, que nous avions déjà parlé des hyperporéens dans un article intitulé "Quand on parle en Russie de l'Hyperborée" et placé à :

http://www.artivision.fr/Hyperboree.html

     A vous de juger...

    Mais, il appartient ici à ARTvision d'avancer une explication concernant ce "Paradis", où les dieux grecs allaient se resourcer. Des spéci l alistes en mythologie mondiale, des historiens aguerris, des docteurs en littérature, des anthropologues affirmés, des psychologues et consorts, trouveront des dizaines d'explications,( sauf la bonne), au fait que pour atteindre ce paradis des grecs, il fallait prendre la direction du Pôle Nord. La bonne explication, bien que fantastique en elle-même, est qu'il existe assurément un vortex au Pôle Nord, qui permet d'accèder à l'intérieur de la Terre et le voilà en image :


    Notre ami de longue date, Frédéric, dont le super site est tel que :

http://ashtar.sheran.free.fr/ashtar-sheran.htm

,nous explique que cette photo, est extraite de la vidéo plutôt ancienne :

http://www.dailymotion.com/video/x9mgp5_hollow-earth-15-battle-of-armageddo_webcam

    La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" . Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à cette ancienne vidéo, n'est-ce pas !!!

     Mais dès 2004, nous avions pu extraitre du site: http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui hélas n'existe plus, cette image :



qui, comme on le voit, est la portion supérieure, un peu plus inclinée, de la superbe photo précédente.

    Cette inclinaison s'explique par le schéma suivant :



    On voit alors que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord.

      Quand à cette affaire de mer libre du Pôle Nord, si souvent évoquée par ARTIvision, pour mieux la visualiser, jetez donc un petit coup d'oeil sur ceci, où justement cette mer libre immense, apparaît comme un fond bleu sombre :



      Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules qui fleurisent en ce moment, sur la thèse de la Terre creuse que le site ARTivision fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès Septembre 2000.

     Voyez-vous même :

   

     C'est d'abord dans son article sorti dès le 21/12/2000 :
http://www.artivision.fr/Byrdalicesuite.html

qu' ARTivision a présenté en 2004, cet incroyable trou polaire vu juste au-dessus.

     Donc photo très surprenante se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23) : Cette image venait à l'époque (nous,... nous n'avons rien à cacher, alors que ces opuscules eux, évitent soigneusement de parler d'ARTivision), d'un site allemand http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui actuellement est remplacé par autre chose, tout différent. Voici donc cette photo étonnante qui prétend montrer le trou polaire nord de notre planète :





     Après quelques recherches, nous avons appris, il y a quelque temps déjà, que cette photo aurait été captée parun radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, auCentre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

http://virtuellife.centerblog.net/20608-la-porte-interdimensionnelle-universelle
.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, (Certains n'ont pas hésité pour noyer le poisson gênant, sans aucune preuve, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo ). Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particilier le 21/04/04 à l'article:

http://www.artivision.fr/lettreouverteauPrinceAlbertII.html

où, le site ARTivision , a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue de cette image, faite par un infographiste qualifié :

      Voici donc ici, une partie, de la conclusion de cet infographiste, et conclusion que les protagonistes des opuscules précédents , ont dû prendre en compte (sans, nous l'avons dit, citer une seule fois le vocable ARTivision), pour oser présenter à nu, cette photo dans leur fascicule :

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

      Nous n'avons pour l'instant hélas aucun moyen de certifier tout cela. Donc voilà une affaire à suivre de très près.

      Cependant nous avons fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d’environ 12713 km et que sur la photo testée l’arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire nous donne 1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma :


      Schéma tiré de l'ouvrage incontournable et devenu très rare, de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru chez ALbin Michel en 1971 ouvrage pratiquement introuvable, même en librairie spécialisée, et dont voici la couverture:


      Mais, tous ces calculs sont parfaitement dérisoires, car chose inouïe, ces trous polaires, paraît-il, s'ouvrent et se ferment, en fonction de la "respiration" de la planète ...

     Que celui qui a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, cherche donc à en savoir bien plus , dans les documents tangibles , qui ne demandent qu'à être sortis de leurs cocons...

     Pour le novice rappelons alors l'historique de tout cela concernant notre bonne planète Terre. En effet on découvre, par exemple, qu'à une époque, on croyait fermement comme vérité absolue :

Que la Terre était plate, fixe et le centre de l'univers.

Puis, on a dit qu'elle est ronde.

Puis on a dit qu'elle tourne sur elle-même et autour du soleil .

( Le philosophe Giordano Bruno, en a fait horriblement les frais, à cause de la sinistre Inquisition, quien l'an de grâce 1600,  n'a pas hésitéà le brûler vif,  sur ordre du Saint-office voir les images dans notre article :FlyingSaucersDec59.html

Puis, on a dit qu'elle est aplatie au pôle, et donc qu'elle est un ellipsoïde de révolution.

Puis on dit, ces derniers temps, qu'elle est creuse, avec un petit soleil au centre.

(Ceci reste à être démontré clairement et ARTivision s'y évertue régulièrement )

Puis on dit désormais qu'elle est vivante , qu'elle inspire par le Pôle Nord,
et expire par le Pôle Sud.

(voir notre article incroyable en date du 15/06/2011, à :
http://www.artivision.fr/AtlantideGodard.html
)

................................et ce n'est sans doute qu'un début .............................

    Nous pourions reprendre l'exemple précédent en ce qui concerne le Soleil, et ce serait toutaussi surprenant, et cela ferait  tomberencore plus le novice , à la renverse.

     Mais découvrons un peu plus, l'excellente prose de Mr Pascal Cazottes dans ce n°21 de Nexus :





    Les phrases en rouge sont assez claires et significatives pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? Sauf que le génial mathématicien suisse Euler, semble être le premier à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un soleil central tel que le découvrirent les norvégiens Olaf Jansen et son père, partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord. Voir notre traduction lancée en exclusivité, dès le 6 Avril 2001 à :


    Nous n'allons pas bien sûr, exposer ici les 5 pages de cet excellent travail de Mr Pascal Cazottes, mais tout de même nous ne résistons pas au plaisir de vous transmettre ceci déjà présenté dans notre article : FlyingsaucersDec59.html:

     " D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro» qui vous expliqueront que les ouvertures aux pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses ouvertures ".

     Et pour illustrer encore mieux, cette étrange affirmation, nous découvrons aussi cela en page 31 :

     " Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd le 14 juin 1947. En effet, ce jour-là, alors qu'il survolait une nouvelle étendue où la glace semblait régner en maître, quelle ne fut pas sa surprise lorsque se présenta soudain devant lui une longue vallée étroite et profonde, exhibant une végétation à la richesse tout à fait remarquable. De plus, un soleil généreux semblait dispenser en pennanence ses rayons bienfaisants à cet authentique paradis perdu.

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite."


     Nous remercions vivement la revue Nexus et surtout Monsieur Pascal Cazottes de nous offrir la propice occasion de formuler ici, ce nouveau paragraphe.

    Nous invitons donc ici dès lors, le néophyte qui entre pour la première fois, dans ARTivision par cet article, à bien attacher sa ceinture, car à l'altitude où l'on va voguer maintenant, il risque d'y avoir de très fortes turbulences.

     En effet, tout cela serait considéré, comme le dit Monsieur Cazottes , comme spéculation gratuite , s'il n'y avait pas cet extraSize=8 cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ?

Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une pho --> par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique

Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....

"Fin de citation"

    Mais, dans le livre de R Bernard, mentionné plus haut, on trouve on le sait, ce schéma déjà aussi présenté :


et, on découvre là, que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre. Mais, nous avons aussi découvert sur le site :

ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

      On résume, alors tout cela en disant désormais, que notre planète Terre est une "entité vivante"
, qu'elle inspire par le Pôle Nord, et expire par le Pôle Sud.

      Pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo :


,publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :

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    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".

    Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation).

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien. Voir alors notre article :

     Comment Siragusa avait-il pu obtenir ces photos jamais vues dans la presse à l'époque? En sortant la photo en question, lors de la conférence du 20 Mai 1972 à Paris, il a déclaré : " Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord, qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public ".

    Curieux que tout cela, n'est-ce pas !! A vous de juger, documents à l'appui....

      Mais reprenons ici, la fin du texte de Mr Pascal Cazottes, où il nous parle d'une légende célèbre d'Asie centrale : L'Agartha...

Début de citation :

L'Agharta


     Pour en terminer avec nos mythes et légendes, lesquels font très certainement appel à notre mémoire collective, il nous faut encore parler de l'incontournable Agartha. Essentiellement connu par les bouddhistes d'Asie Centrale, le royaume d'Agartha se présente comme un gigantesque dédale de souterrains et de cavernes parcourant le globe tout entier. Refuge des peuples provenant des continents perdus de MU et de l'Atlantide, l'Agartha aurait vu se développer la plus grande civilisation qui n'ait jamais existé sur terre et n'existera sans doute jamais. Foyer de progrès, d'intelligence et de sagesse, ce monde souterrain abriterait d'immenses bibliothèques de pierre contenant toute la connaissance de l'univers. L'Agartha a une capitale, Shambhalla, et un souverain, le Roi du Monde. Ce dernier, doté de pouvoirs inconnus aux hommes de la surface, maîtriserait toutes les forces de l'univers. Il lui arrive parfois de faire quelques brèves apparitions dans notre monde. À chaque fois, des miracles ont jalonné son chemin (des paralytiques se sont mis à marcher, des morts ont été ressuscités, etc.). Lors de sa dernière apparitions en Inde, il montait un superbe éléphant d'un blanc immaculé, était lui-même de blanc vêtu et tenait dans sa main droite une pomme d'or surmontée d'un agneau. (Note n° 1 du Webmaster: l'auteur fait référence ici à l'ouvrage très surprenant du Dr. Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924 chez Plon et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai lu" dans la prestigieuse collection hélas disparue " L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :

  

     Voici quelques bribes, des pages en question :

     " Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :

     "La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...

...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres , les herbes et les buissons se mettent à pousser ; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète
""

Fin de citation

      Avouons que ces propos du Dr Ossendowski surclassent de très loin les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoop journalistique, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...

     Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature .

     Mais peut-on imaginer que cette civilisation veuille bien un jour, prendre un contact officiel avec les nations de la Terre extérieure, ce qui semble en effet inévitable vu le délabrement que nous offrent les affaires terrestes de ce moment....A vous de juger..., et suite du texte de Mr P. Cazottes
.

     Les accès à l' Agartha sont bien cachés et gardés par des forces inimaginables, de sorte que seuls quelques rares initiés peuvent y pénétrer, comme ces lamas ayant atteint la sagesse absolue. Ce qui nous amène naturellement â penser au Tibet, terre, aujourd'hui martyre, qui a vu naître les plus anciennes traditions sur le fabuleux royaume souterrain, et dont le sous-sol serait occupé par Shambhalla, véritable cité de lumière. Le Roi du monde est, bien entendu, le lieu de prédilection pour parvenir jusqu'au sein de l'Agartha. Cependant, des passages ,existeraient également en Égypte, en Irlande, en Islande, dans le désert de Gobi et dans la forêt vierge d'Amazonie. Alors, rêve d'un monde meilleur ou réalité insaisissable, l'Agartha hantera sans doute encore longtemps l'imaginaire humain.

Aucune certitude


     Ainsi que nous venons de le voir tout au long de cet article, la terre creuse n'est pas un sujet facile à traiter. Ses facettes sont multiples et les preuves font cruellement défaut. De sorte qu'aucune certitude ne puisse être définitivement acquise dans un sens comme dans l'autre. Tout n'est ici qu'affaire de conviction ou de croyance. En ce qui me concerne, je serais enclin à penser qu'il existe bel et bien «quelque chose» sous nos pieds. Je ne sais pas si notre terre a la forme d'une sphère creuse dont la cavité serait occupée pzu un hypothétique soleil, mais j'ai le sentiment qu'une si riche mythologie sur le monde souterrain n'aurait pas pu se développer dans le monde entier, comme elle l'a fait, s'il n'y avait pas eu, au départ, quelques éléments tangibles laissant imagine- que... D'autre part, il existe quelques témoignages troublants concernant des rencontres avec des êtres semblant avoir élu domicile dans les entrailles de la terre. Ainsi, celui de la baronne de Beausoleil, savante du XVIIe siècle et experte en minerais, qui nous dit avoir vu, un jour, dans une mine de Hongrie, à 500 toises de profondeur, "des petits nains, de la hauteur de trois à quatre paulmes, spectres épouvantables à ceux que l'expérience dans la descente des mines n'a pas encore assurés". À contrario, des hommes à la peau blanche et de très grande taille auraient été vus en plein c œur de la forêt amazonienne, sortis de je ne sais quel souterrain. Et voilà qui vient encore compliquer notre affaire. Un homme, cependant, avait peut-être su y voir clair. Je veux parler de Jules Verne, décédé au début du XXe siècle. Cet écrivain de génie qui avait si bien décrit, dans son ouvrage "De la terre à la lune", la conquête par l'homme de notre satellite naturel, 104 ans avant que Neil Armstrong n'y pose le pied, (Note n° 2 du Webmaster: nous avons démontré sur ARTivision que pratiquement, toutes les photos montrant les évolutions des américains sur la Lune, sont manifestement truquées. A vous d'en tirer les conclusions qui s'imposent : En effet le site ARTivision, fut l'un des premiers sites, dans son article daté du 30/04/2000 :


sur le Web français, à parler de ces bizarreries découvertes dans les photos de la NASA, puis est venu aussi le livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux publié aux Editions Carnot en Décembre 2000, et dont le site est à : http://lheureux.free.fr/

     ARTivision a publié ensuite, de nombreux articles traitant de ce même sujet :

     Mais, bien avant l'arrivée de l'Internet, on doit savoir c'est que, d'abord, un américain même, qui a tout dévoilé, à ses risques et périls dès 1976. En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD.

  

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     Bill Reid Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'est un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo. Son ouvrage, on s'en doute n'a jamais été traduit en français, et est tout simplement le précurseur incontestable, qui avait déjà à l'époque flairé le Gigantesque Bluff , à l'égard de l'Humanité entière, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les fusées "Apollo" et les "LEM".

     Hélas aucun éditeur français, n'a eu le courage de traduire cet ouvrage et les gogos de toute nature par exemple comme ceux si fiers de leurs revues d'astronomie, comme cette revue Ciel&Espace et consorts ont continué jusqu'en Octobre 2012, à nous radoter les exploits que furent pour eux, les débarquements lunaires d'Apollo 11, à Apollo 17 : (voir notre article : http://www.artivision.fr/France-Antilles27Aout2012.html, daté du 09/09/2012 ) , et désormais les protagonistes des chaînes de télé ayant pignon sur rue, ont maintenant un gros travail à faire pour se recycler dans la connaissance de cette intolérable supercherie, et ils sont encore très réticents à admettre le fait inouï que la NASA les a abusés lamentablement.

    Fin de la note n° 3, et suite du texte du de Mr Pascal Cazottes)


, avait fait preuve là, et pour le moins, d'une intuition sans faille. Se pourrait-il qu'il en fut de même dans son livre "Voyage au centre de la terre", écrit en 1864, soit seulement un an avant celui sur l'épopée lunaire ? Je laisserai au lecteur le soin de répondre à cette dernière question.


Fin du texte de Mr Pascal Cazottes.

(Note n° 4 du Webmaster: Jules Verne sans avoir imaginé comme Euler (un siècle avant, presque) qu'au centre de la Terre, il y avait un Soleil, en savait bien plus, qu'on ne le pense sur la constitution probable de l'intérieur de notre planète, car notre grand Maître de la Science Fiction, savait effectivement en plus, une chose extraSize=8 , que les savants actuels ignorent toujours :

    En effet dans son ouvrage " Voyages et aventures du capitaine Hatteras" , ouvrage publié en 1866, et dont voici deux présentations modernes:

  

et, dans le chapitre XXIV intitulé : "Cours de cosmographie polaire", on trouve au tome 2 Le désert de glace ceci :

"Enfin, de nos jours, on a prétendu qu'il existait aux pôles une immense ouverture, d'où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l'intérieur du globe; "
     Comme on le voit donc , c'est clair , net , et sans bavure. Donc, dès au moins 1866, lors de la sortie de son livre précité, Jules Verne en savait plus que nous, sur les ouvertures polaires, alors que le Webmaster d'ARTivision, lui, n'a découvert cela, qu'en 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre déjà présenté plus haut "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":

     Notons que Jules Verne aurait pu s'inspirer dans son roman, VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE ( de 1864) au sujet du soleil central (qu'il a ignoré) et placé à l'intérieur de notre bonne vieille Terre, de cet ouvrage publié d'abord en anglais puis en français en 1821 :



      Cet ouvrage est d'un certain Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin, ouvrage en 3 volumes édité à Paris par les libraires Caillot père et fils. Pour en savoir plus, voir svp, notre article :Byrdalice.html .

    Mais, il nous appartient aussi ici de présenter sur la pointe des pieds, une extraSize=8 déclaration reçue par un fidèle ami, dont les recherches sur le sujet sont pousées. Cette déclaration lui est venue d'une amie astrophysicienne, dont nous ne pouvons dévoiler ici le pays d'origine, et dame qui prétend qu'elle a vu :

"des rapports officiels qui stipulent du passage vers l'intra-Terre aux pôles avec des photos "terrestres et satellites "

    Que dire de plus sur tout cela, sinon de parodier la célébre réplique : "Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre" par celle-ci :

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire"

    Fin de la note n° 4, et suite du texte du de Mr Pascal Cazottes)


    Précisons aussi que ce texte de Mr Pascal Cazottes se termine par cette Webographie :


    Rappelons alors, que notre article dont l'url est cité en troisième position sur la liste précédente, est totalement obsolète, et doit être remplacé par la page:


    Mais, si nous avons aussi reproduit la publicité qui accompagnait en la page 33, la fin de l'article de Mr P. Cazottes, ce n'est pas pour faire de la frime, mais c'est surtout pour mettre en évidence cette déclaration inouïe, qui se trouve dans les pages 193 et 194 de cet ouvrage extraSize=8 intitulé"LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif, et poétique en plus :

     " Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir
. "

     Mais pour être fair-play , et contenter tant soit peu les puristes, nous allons présenter maintenant, quelques extraits d'un article tout à fait opposé à notre thèse et publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997. Pour l'auteur de cet article, l'affaire de la Terre creuse n'est qu'un fantasme relevant entièrement du mythe . Voyez vous-même :


     Puis à la page 68 on trouve ceci :


     Dans son laïus qui se veut sérieux, l'auteur semble pourtant avoir volontairement oublié de citer les travaux du mathématicien et astronome Euler qui , (nous l'avons vu plus haut) a parlé le premier de cette affaire de Soleil central au sein d'une Terre creuse à coque unique, et l'auteur de l'article ose citer Edgar Rice Burroughs sans rien expliquer sur sa théorie. En effet Edgar Rice Burroughs, (dont le celèbre Tarzan est bien connu), avec la série de ses romans les Pellucidar, aborde le thème de la Terre creuse avec un réalisme surprenant qui aboutit à l'ouvrage : Au cœur de la Terre en 1914.

     Voici donc grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée sur ces Pellucidar, par Russ Manning , et on sait que ces vignettes sont parues journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan monter dans un Zeppelin pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable :

     Vous avez bien noté nous l'espérons, que dans cette BD, il est mentionné que Pellucidar se trouve au centre de la Terre, et que l'on peut y accéder, soit par l'insolite ouverture du Pôle Nord, soit à travers le seul autre chemin que Tarzan connaisse, c'est-à-dire une couche de 800 km de roche, (donc sans doute par des tunnels connus secrets de lui). Il y a aussi cette information qu' à l'ouverture polaire les compas sont inutilisables et aussi qu'au trou polaire, le brouillard est éternel à cause de la rencontre de l'air froid du Pôle et l'air chaud qui monte du centre de la Terre à travers un tunnel de 800 km. Et puis il y a le fait que l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus. Il y même un schéma montant le soleil de Pelucidar et chose surprenante, son satellite nommé Bhodes. Mais si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste du roman, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile d'Edgard Rice Burroughs qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage "Fantôme des pôles" (voir à ce sujet notre article audelaGrandNord.html) que Rice Burroughs avait probablement lu...Á vous de juger tout cela !!!

     Mais revenons à la page 68 de l'article du Ciel&espace n° 326. Nous avons aussi souligné en rouge la phrase : " Si le thème de la Terre creuse appartient à présent au domaine de la science fiction.." . Ceci prouve que l'auteur a définitivement classé cette affaire de Terre creuse dans la science-fiction. Les expéditions de Byrd, et des autres explorateurs ayant découvert une mer libre au Pôle Nord, il ne connaît pas. Les oasis d'eaux libres, les polynias, les températures qui augmentent à proximité du pôle, s'expliquent vite fait, par des considérations thermodynamiques. Point Barre.

     D'ailleurs, il met entre guillemets l'expression "mystère polaire", ce qui veut dire qu'il n'y pas rien de mystérieux au pôle sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre. D'ailleurs dit-il aussi "les pôles ne sont-ils pas la porte vers l'infra-monde et ses démons ?", comme le dirait, ont pu le penser, bien des religions, qui y placent l'Enfer.

     Et voici le bouquet final de l'article :


      Arrêtons là, voulez vous ce tissu de banalités, mais nous avons tout de même préféré présenter ici, l'image d'un vortex ( Hé oui, il y en a au moins un, ici), relatif à l'aventure d'Arthur Gordon Pym d'Egar Poe, et surtout cette phrase sublime finale soulignée en rouge : "La science, mon garçon, est faite d'erreurs, écrit-il, mais d'erreurs qu'il est bon de commettre, car elle mènent peu à peu à la vérité" .

     Et que l'auteur en prenne lui-même de la graine.

     En ce qui concerne la Vérité, ARTivision, pense qu'elle est donc comme la ligne de l'horizon que chercherait à joindre un novice dans son petit bateau. Il s'apercevrait, bien vite, qu'elle recule à mesure qu'il avance vers elle.

    Voir à ce sujet nos articles :



    Cet article du Ciel&espace n° 326, est de Juillet 1997, et nous pensons son auteur aurait pu découvrir à l'époque, comme nous l'avons fait, cette photo très énigmatique du Pôle Nord :



    Ce document de la NASA, nous l'avons personnellement obtenu en 1975, des mains de l'Agence USIS qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait aussi une photo mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication . On aimerait bien savoir pourquoi ?... Et l'auteur de l'article du Ciel&Espace n° 326 en question pourrait bien aussi y trouver matière à s'in terroger plus longuement...

III Quand les esquimaux, nous en disent bien plus.


    Il nous appartient maintenant, de nous pencher sur la Tradition, qui nous vient d'un peuple courageux vivant à l'intérieur profond du Cercle polaire.

    Commençons voulez-vous par l'ouvrage intitulé en anglais "Not of this World" de Peter Kolosimo, et en français "Archéologie Spatiale", paru en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :

  

    Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Dans le livre de poche en anglais paru en 1970, on trouve en page 92, ce passage :


,et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :


     Nous sommes alors partis à la recherche de l'origne, éventuelle, de cette si surprenante déclaration.

    Et nous avons trouvé alors que cette citation apparaissait dans l'ouvrage célèbre "Le Matin des Magiciens" de Louis Pauwels, et de Jacques Bergier, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :

  

     Mais, ce livre célèbre, est sorti à l'origine en 1960, chez Gallimard, sous l'aspect :


      Nous n'avons pas, hélas, le privilège de possèder cet ouvrage de 1960, et nous avions demandé, avec déférence, à l'internaute qui a la chance de l'avoir, de nous en scannériser si possible la deuxième couverture, afin que nous puissions lire le texte qui s'y trouve. Le matin même du 8/11/2011, l'aimable et fidèle internaute Pierre L, (que nous remercions ici vivement), nous a envoyé ceci :


     Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage "Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de notre intérêt, sans cesse croissant, pour le Passé prestigieux de notre Planète.

      Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972, (après pas mal de péripéties), pages 253 et 254, re-strcturées par nos soins:

  
On découvre alors que dans le New york Herald tribune du 11 Juin 1958 que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google, que l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le 11 Juin 1958 dans le New york Herald Tribune, " s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "

Cette thèse officielle a aussi été déjà présentée notre article :

, concernant l'origine des esquimaux, et thèse tirée de l'ouvrage intitulé : "10 000 ans d'histoire Arctique" de J-L Gidding de 1973).

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :

" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.

- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe?

- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan

- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ...
"

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse, déjà hardie pour l'époque, de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.

      C'est alors que, Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent le passage le plus inouï, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :

" Or que dit le folklore esquimau? Il p arle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "

     On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels, ont-ils pu puiser une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude, , ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de l'Institut vénérable Smithson, paru le 11 Juin 1958 dans le New York Herald Tribune, que se trouve ce passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).

      La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce New York Herald Tribune du 11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.

     Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité. Mais, nous qui avons découvert les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur ce passage surprenant. ARTivision , prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la Terre intérieure, vers les zones polaires, et l'on va vite découvrir pourquoi, dans d'autres documents.

    Mais, ces savants du XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas", et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage :

"Le Matin des Magiciens" pages 257-258

     Ces Savants du XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?

    Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant deux vimanas en mouvement , tableau, hélas dont nous ignorons l'origine :


    Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :

      N'est-ce pas alors le moment, de replacer ici, notre amusante réplique, vue plus haut :

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire"

    Mais il y a d'autres légendes concernant les Esquimaux.

     Dans l'opuscule de 16 pages de 1873, intitulé "La mer libre du pôle Nord" de Jules Gay :



     on découvre ceci :

      Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices l'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises, m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord sont venus sur leurs côtes..."

    Nous voilà arrivés au passage le plus surprenant de l'opuscule de Jules GAY, et c'est ce passage qui nous a déterminés à mettre en ligne le texte en question dans la page :


    Faisons alors ici une petite digression:

    Sans peut-être, s'en rendre compteJules Gay, qui connaissait les ouvrages de Kane et de Hayes (Puisqu'il les cite au début de son opuscule), anticipe et amplifie ici la phrase, très audacieuse suivante du livre de Hayes ainsi énoncée : " ...les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être que ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue ..."

      Bien sûr ni Hayes, ni kane, ni Gay, ne pouvaient imaginer à l'époque qu'il ne sagissait pas que quelques îles éparses de la région polaire, mais bien d'un continent immense et intérieur à notre Terre. Cette affaire de légende superbement évoquée par Jules Gay, nous invite aussi à vous présenter ce passage superbe du livre que publia Kane en 1857, et ouvrage que l'on peut trouver sur le site :



     Et pour les puristes, voici le paragraphe surprenant déjà en anglais :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

    Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

     Alors chers détracteurs zélés ou mieux zététiques et autres scientifiques blasés qui ne cherchent pas à en savoir plus sur cette affaire génante de mer libre , sauf de dire que Dr Elisha Kane et aussi le Dr Isaac Hayes, étaient plutôt timbrés, demandez-vous pourquoi plus près de nous, a contrario, Neil Armstrong, après sa prétendue descente sur le sol lunaire, est devenu pratiquement comme un ours en cage, et nous invitons vivement le novice, à analyser avec le plus grand soin, les quelques lignes suivantes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:


et dans l'article concernant LaMerLibreduPoleNord.html, cité un peu plus haut, on peut lire aussi surtout :

    " Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes (et cela n'a pas du tout plu, au nommé Paul Émile Victor ) , voici que pour Neil Armstrong décédé le 25 Août 2012, qui, dans une situation encore plus extraSize=8, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage d'outre-terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant, que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités... "

Fin de la digression...

     Mais voici une autre affaire aussi curieuse, concernant les esquimaux : Jetons alors un furtif coup d'oeil, sur le passage admirable page 150, du livre de 1971 de Raymond Bernard " La Terre creuse" déjà présenté plus haut :


      Le Webmaster du site ARTivision, qui aime retrouver la source d'un document, a cherché pendant prés de 40 ans, dans quel ouvrage R. Bernard avait trouvé cette incroyable légende, concernant les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord pour indiquer leur origine...

      C'est ainsi que nous avons même commandé en, Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence l' ouvrage sorti, aux Editionx Flies France en 2006 :

  

      N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant l'affaire des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'Editeur, et même à l'auteur Maurice Coyaud dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi, selon nous, bien sûr, une prétention inégalée, de se croire être des as du savoir concernant lecontent="WebEXpertEditor 6.0"> s esquimaux...

      Récemment cependant, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de 1907, suivant :

  

      Et en page 180, on découvre alors :


     Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux " Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "

     De plus donc, si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste de ses ancêtres en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même une légende transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du DR SENN qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à deux niveaux : " sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste ".

     Le premier niveau est que l'esquimau a oublié effectivement pourquoi il pointe le doigt en direction du nord , et le deuxième niveau, c'est le Dr Senn lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors il ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de cette énigmatique Mer libre du Pôle. Il a donc, comme vous le voyez, loupé le coche, alors qu'il avait en main, les attributs d'une énorme découverte .

     Mais faisons ici une deuxième digression :

      Ils ont aussi, loupé le coche, ceux qui, comme René Guénon dans son ouvrage intitulé "Le Roi du Monde", publié en 1958 chez Gallimard, parle de ces affaires polaires de manière tout à fait symbolique, faisant partie de l'imaginaire collectif, ou pour ne pas le dire mieux, d'un fantasme séculaire. (Il est vrai qu'en 1958, il ne pouvait disposer comme nous, de photos satellites, mais il avait beaucoup d'autres moyens de se rendre compte, qu'il y avait vraiment un mystère concernant le Pôle Nord, et cela lui est passé sous le nez très malencontreusement).

     " D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité Size=8, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".


      Confondre l'Olympe des grecs et l'Hyperborée, (mentionnée plus haut), c'est vraiment faire un amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce René Guenon, reconnaisse qu'à l'origine, la localisation de la fameuse "contrée suprême", d'après certains textes, aurait été primitivement polaire.

    Voyons maintenant un autre son de cloche, bien plus réaliste :

     En effet c'est le grand ésotériste français Serge Hutin, qui dans son petit livre de poche intitulé "Hommes et civilisations fantastiques" paru en 1970 chez l'Editeur J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue " L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238Quand La légende rejoint la réalité... ONT> :

  

nous dit, en page 44 et 45 ceci :


    On voit que, Serge Hutin était particulièrement informé sur ces mystères polaires, car il connaissait déjà en 1970 le livre en anglais de R. Bernard, non encore publié en français (Il le sera l'année suivante en 1971). Dommage qu'il situe l'aventure de Byrd en Alaska alors qu'elle a eu lieu, aux abords, de la région en rouge de notre carte déjà connue :



    Mais cet auteur, qui a bien compris l'énorme importance de cette affaire polaire, va nous en dire, bien plus, dans un nouvel ouvrage paru en 1976, tel que :


    Et là, en pages 46 et 47, il met carrément le pied dans le plat :



     Précisons alors que, ce n'est qu'en 1913, que l'écrivain Marshall B.Gardner, un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de ce soleil central. En 1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.

    Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage que nous avons aussi le privilège de posséder :

  


    Et c'est pour en savoir encore bien plus sur tout cela, qu'ARTivision, a publié déjà, près de 90 articles, sur ce sujet si ahurissant.

    Il y a même, des gens qui ont loupé aussi le coche, quand après avoir eu en main l'ouvrage de R. Bernard, la Terre creuse de 1971, sont vite partis le revendre pour de la menue monnaie, et c'est ainsi que nous avons pu en trouver un, à Paris chez Gibert Jeune, en 1977, pour seulement 11 F, pour le parain de notre fils qui cherchait cet ouvrage depuis 2 ans.

    Cet inconnu, qui a revendu son livre, pour une bouchée de pain l'aurait certainement gardé, si deux années plus tard, il l'avait encore, et s'il avait pu aussi découvrir, les quelques lettres ci-dessous de la revue Nostra, concernant la "Théorie de la Terre Creuse". La revue Nostra,, quand elle avait alors le privilège d'exister, nous instruisait souvent sur ce que bien d'autres revues préféraient taire. (Remarque: à l'époque, on écrivait OVNI à la place d'ovnis, et nous avons mis, comme à notre habitude en relief, les mots clés, selon nous bien sûr, de ces lettres)

Nostra en Avril 1979 , et qui a été publiée en début Mai 1979 :

LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.

    Recevant votre revue depuis parution, j'ai lu avec un vif intérêt l'article du n° 363 de fin Mars 1979 de M.J.L. Bérault sur “l'Agartha”, la cité souterraine qui abriterait les “Maîtres Inconnus” du Monde. Le lama Lobsang Rampa, cité dans cet article a effectivement prouvé son haut degré d'initiation, puisque dans un livre publié à Londres en 1971 et intitulé “Feeding the flame”, il annonçait déjà la prochaine destitution d'un président des Etats-Unis, événement impensable, avant l'affaire du Watergate qui allait précipiter, on le sait, en 1974, la chute du Président Nixon.
    Ce Lama affirme de plus que cette cité souterraine de l'Agartha appartient à un autre monde immense, non encore découvert par nous, mais situé à l'intérieur de la Terre, qui est creuse et possède un soleil central, qui y entretient vies et civilisations, (voir “Crépuscule” J'ai Lu )
    D'ailleurs dans votre article paru dans le n°283 d'Avril 1977, le regretté Jacques Bergier (qui paradoxalement ne croyait pas aux O.V.N.l.) présente cette thèse de la “Terre creuse” comme très possible étant donné que les photos prises par satellites des pôles de la Terre sont frappées d'un “top secret” mondial .

  Pourtant la revue “Science et Vie” annonçait dans son n° 510 de Mars 1960 la découverte en plein Pôle Sud. Le livre du Docteur Raymond Bernard paru en 1971 chez Albin Michel, pratiquement introuvable et intitulé “la Terre Creuse” donne davantage de détails sur cette oasis, ainsi que sur l’Agartha et les trous situés aux pôles et permettant d’y accéder.
    Bergier, affirme également qu'un homme d’affaires anglais Mr Mc Donald aurait fondé à Londres en 1961 une société des partisans de la “Terre Creuse”. Connaissez-vous l'adresse de cette société et existe-t-il en France une société analogue ? Cette thèse mériterait en effet que nous puissions en étudier le pour et le contre, si fantastique qu'elle paraisse cependant.
F.I. (Guadeloupe)

Réponse de NOSTRA n° 369 du 8 Mai 1979 à notre précédente lettre.

    "Nous n’avons plus entendu parler de cette société depuis l’article de Jacques Bergier et, à notre connaissance, aucun mouvement identique n'existe on France. Il n’en reste pas moins que cette théorie de la Terre creuse compte toujours de nombreux partisans et que le mystère n'est pas près d'être élucidé."

Deuxième lettre d'un lecteur qui répond à la nôtre:

    LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.

    C’est avec un peu de retard, que j'apporte mon témoignage dans la conception de la Terre creuse qu'un lecteur de la Guadeloupe, dans le n° 369 de Nostra, a si brillamment évoqué. J'espère que ce lecteur n'a pas eu d'ennuis suite à cet exposé, car par ordre des services officiels, il y a un “top secret, sinon beaucoup de personnes disparaîtraient de la surface pour aller à l'intérieur de notre bonne vieille Terre, trouver la paix. C'est d'ailleurs de cette même Terre intérieure que viennent les O.V.N.I, surveiller le dessus, car l'homme n'est pas sérieux et se détruit lui-même, Ces O.V.N.I., d'ailleurs, se déplacent le plus simplement du monde, leur système de rotation serait basé sur le principe du gyroscope. Ils viennent donc de l'intérieur de la Terre. J'aimerais connaître d' autres partisans de ce phénomène qui sera tôt ou tard découvert des habitants de l'extérieur.
    J'espère vivre assez longtemps pour voir cela. De toute façon, si une guerre mondiale se déclare tôt ou tard, il n'y a que dans cette Terre que certains privilégiés pourront sauvegarder leur existence.
c.l. (Paris)

Réponse de Nostra-- N°384 du 15 Août 1979.

    "Vous n'êtes pas le seul , en effet, a exprimer une si totale croyance en cette théorie de la Terre creuse. Mais d’autres la réfutent pour des raisons qui seraient trop long d’exposer. Nous espérons pouvoir un jour, faire le point des recherches."


    Nous avons beaucoup regretté par la suite, de n'avoir pas pris contact, il y a déjà, hélas, des lustres, avec ce Monsieur c.I. de Paris, qui a l'air d'en savoir beaucoup plus qu'il n'en dit. Avec un peu de chance, quelqu'un qui le connaît, ou lui même, s'il est toujours vivant, pourrait découvrir notre site et nous contacter. C'est d'ailleurs en partie aussi, pourquoi nous avons aussi décidé d'écrire aujourd'hui cet article, car le temps presse, désormais.

Troisième lettre d'un autre lecteur:

LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE

    Dans le n° 425 de votre revue (du 29 mai au 4 juin 1980), un article de Mr Jean Brun fait état de la découverte, faite par l'amiral Byrd, en 1926, d'une “Oasis de l'Arctique”, découverte faite à pied, en marchant sur la banquise.
Mais M. Brun ne mentionne pas les deux expéditions de Byrd, faites en avion, l'une en 1947au-delà” du Pôle Nord, l'autre en 1959 “au-delà” du Pôle Sud. Les temps “au-delà” ayant une signification spéciale, clairement explicitée dans l'article de Serge Hutin publié dans le n° 3 du “Grand Albert”.
    Ce dernier article se réfère à la théorie de “la Terre creuse”, titre d'un ouvrage fort intéressant de Raymond Bernard (Albin Michel, 1971), actuellement retiré de l'édition en France, et fort difficile à avoir aux USA (titre américain "The Hollow Earth", l969, University Book). Car ce sujet est tabou aux USA, comme les OVNI, d'ailleurs, selon R. Bernard. Cela a d'ailleurs été confirmé par Jacques Bergier qui, en 1977, a bien voulu me communiquer l'adresse de la Société Mac Donald qui, en Angleterre, s'occupe de ces questions, J'ai adressé à ce dernier une lettre, mais sans réponse, malgré un rappel.
    Avez-vous, aujourd'hui, quelques nouvelles informations, de votre côté, sur ces importants sujets ?
M. R.N. (Le Chesnay) Union théosophique.


Réponse NOSTRA n° 428 du 19 au 25 Juin >

    "Hélas non, nous n'avons rien appris de nouveau sur ces sujets depuis qu'ils ont été traités dans “Nostra”. Mais il est évident que nous publierons immédiatement toute information qui pourrait nous parvenir."

Quatrième lettre d'une autre personne :

"La Terre Creuse"
    Quelques mots m’étonnent dans l’article sur le "6 ème continent l’Antarctique", non parce qu’il pourrait être un vestige de l’Atlantide, mais parce que vous dites: “Contrairement à l’Arctique qui est pour l’essentiel une mer gelée..” N’avez-vous pas lu “La Terre Creuse” de Raymond Bernard introuvable aujourd’hui ? j’aimerais tant le retrouver ! N’avez-vous jamais fait des articles sur l’Arctique ou sur des possibilités que l’intérieur de la Terre était habité ?
M.D. (Paris)

Réponse de Nostra n° 473 du 6 Mai 1981.

"Nous avons à plusieurs reprises évoqué ce problème dans Nostra , notamment Jacques Bergier dans le n° 263."

    Nous aimerions également, évidemment, que cette dame nous contacte sur le Web, si elle est toujours de ce monde.

Fin de la deuxième digression ...


    Mais revenons, si vous le voulez bien, à notre affaire d'Esquimaux.

    Dans l'ouvrage de Serge Hutin, présenté plus haut "Des mondes souterrains au Roi du monde", on trouve, en page 50, cette extraSize=8 révélation :


L'ouvrage de Paul Emile Victor "Banquise" serait sorti en 1939 chez Grasset, et a été réédité en 1946 sous la forme :


     Cependant il convient ici de citer quelques éléments d'une missive très importante que nous avons reçue d'un aimable internaute le 13 Janvier 2014 :

-----Message d'origine-----
De : D..................
Envoyé : lundi 13 janvier 2014 16:19
À : fred.idylle@orange.fr
Objet : Votre dossier BYRD Dilemne Lexical


           Bonjour M. Idylle,

     Avant tout et puisque nous sommes encore à la période des v?ux, je vous adresse tous mes v?ux de bonne et heureuse année 2014 et vous souhaite de réussir à poursuivre encore toute cette année vos enquêtes et vos recherches passionnantes.

     Vos articles et dossiers m'interpellent depuis plusieurs années, notamment ceux de la Terre Creuse, car j'ai lu beaucoup de livres et de récits d'aventures sur les régions polaires depuis 30 ans. Je suis par ailleurs de formation scientifique.

     Dans votre dossier "ByrdDilemme Lexical" (que j'ai consulté fin décembre 2013), vous demandez à vos lecteurs des infos sur le livre "BANQUISE" de Paul-Emile VICTOR (PEV). Il se trouve que je possède ce livre en édition originale de 1939:


     J'ai donc fait la recherche pour vous par rapport au livre de Serge Hutin qui cite PEV en disant "ils sont grands, ils sont terribles, ceux de l'intérieur". Je me demande si Serge HUTIN n'a pas cité ce texte de mémoire car on ne trouve pas exactement le même texte dans le livre BANQUISE, mais c'est tout de même très approchant. Ces phrases sont issues d'un chant de duel entre hommes du Groenland où PEV a vécu. Les pages 65 et 66 du livre sont tout à fait intéressantes à ce sujet. Toutefois, officiellement, les hommes de l'intérieur sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis) et pas de "l'intérieur de la Terre".

     Regardez cependant la page 69 du livre BANQUISE, car elle me semble encore plus intéressante :


Elle concerne la « Légende des peuples ». On y parle des « Timertsit », mot inuit qui signifie « les gens qui voyage DANS l?intérieur ».

J?ai surligné en jaune les lignes qui me semblaient les plus importantes, mais je n?ai peut-être pas tout vu dans ce chapitre...

Quoiqu?il en soit, si cette modeste contribution peut vous aider dans vos recherches d?indices, j?en serais très heureux.

Je vous souhaite bon courage dans vos recherches.

Bien sincèrement

D......................


     Nous avons bien sûr remercié à cette époque, grandement l'internaute D.................., pour sa si aimable participation aux recherches pointues d'ARTivision.

     Une question se pose alors ici : Comment le très grand ésotériste français Serge Hutin a pu ecrire dans son livre ce qui précède concernant les esquimaux, sans avoir en main le livre de P.E.V. en question (bien sûr il aurait aussi pu le consulter à la Bibliothèque Nationale de Paris) ? C'est pratiquement impensable !! Y a-t-il eu deux tirages particuliers de cet ouvrage en 1939, ou bien pire encore, le manuscrit d'origine de P.E.V. qu'aurait consulté Serge Hutin, a-t-il été modifié à la première impression ? Voilà une autre énigme à laquelle nous aimerions bien, avoir la solution...

     N'empêche que là, Paul Emile Victor, a lui aussi agi, comme le dr SENN, "loupé le coche", malgré le fait qu'il ait noté cette incroyable expression des esquimaux, de “l’Oasis de Benguer” où la température dépassait 25° et où vivaient des oiseaux ONT COLOR="#FF0000">( Les gens qui voyagent dans l'intérieur) à ne pas confondre avec " les hommes de l'intérieur qui sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis)".

     En effet ARTivision, a découvert, qu'il a descendu impitoyablement en flèche Isaac Hayes, pour ses "épanchements lyriques", concernant la Mer libre du Pôle. voir à ce sujet notre article :


    Tout ce qu'ARTivision, a bénévolement réalisé, depuis la découverte en 1972, de l'ouvrage incontournable de Raymond Bernard "La Terre creuse" (dont nous avons pourtant critiqué certains défauts, dans notre article : RaymondBernardouvrageTC.html), c'est ce Monsieur Paul Emile Victor, qui aurait pu et dû l'entreprendre, et avec des moyens au moins dix fois supérieurs...


    Paul Emile Victor est décédé le 7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis ( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler) s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main, la missive extraSize=8 en date du 18 Mai 2003 (mais hélas il n'était plus de ce monde) qui suit. Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :

Pour le 19 Mars 2003 à :

Pour le 9 Janvier 2006 : et aussi à d'autres dates).


     En effet, le18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soitdisparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


     Fin de citation

     Voila donc un fantas bgcolor="#FFFF00" tique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante qui n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue... Devinez alors pourquoi une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre ainsi bien, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires
, et, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom, de l'explorateur américain Isaac Israel Hayes (1832-1881), qui nous raconte son émerveillement à la découverte de cette mer libre du Pôle Nord. Voici quelques éléments de l'ouvrage suivant de 1877, que nous avons sous la main :

  

     Si donc les observateurs modernes mentionnés dans ce communiqué sont tombés à la renverse à la découverte de cette mer libre, celle-ci, était connue depuis des lustres par Jules Verne et par bien d'autres explorateurs américains, russes, français etc...

     A bon entendeur salut !!!.

     Mais revenons à nos chers esquimaux dont on parle aussi, à propos d'une disparition très mystérieuse, dans leur communauté.

     Nous, avons aussi en effet, cette énigme non résolue, soulignée par P. Kolosimo dans son livre de 1971, déjà cité, en page 101 et pour les puristes, ceci se trouve en page 92 du livre anglais en question.

  

Et voici, de quoi il s'agit :


     Nous avons déjà largement évoqué, cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:


      Pour tenter de résoudre cette énigme, on peut déjà placer ici, une partie de notre traduction d'amateur du livre, "The SmokyGod", placé par ARTivision, dès le 6 Avril 2001 en exclusivité, sur le Net Français, à l'url :


     Voici donc cette tranche du texte en question :

    "On était autour du premier Septembre , (1829 : rappel du Webmaster) plus de cinq mois, nous l'avons calculé, après avoir fait nos adieux à Stockholm. Subitement nous eûmes, une peur bleue, en entendant dans le lointain le chant de certaines personnes. Tout de suite après nous avons aperçu un énorme bateau qui descendait la rivière, droit dans notre direction. Ceux qui chantaient à bord formaient un chœur puissant dont l'écho se répercutait d'une berge à l'autre de la rivière comme mille voix, remplissant l'univers entier d'une vibrante mélodie. La musique d'accompagnement était exécutée sur des instruments à cordes qui ressemblaient assez à nos harpes.

    Nous n'avions jamais vu un si grand bateau, et si différent en matière de construction.

    À ce moment précis, notre sloop se trouvait au calme et pas loin du rivage. Le bord de la rivière, était couvert de belle façon, d'arbres gigantesques de plusieurs centaines de pieds de haut. Il nous semblait être aux abords de quelque forêt primitive qui sans aucun doute, devait s'étirer loin à intérieur.

    L'immense embarcation, fit une pause et presque immédiatement après, une barge fut déposée sur l'eau et six hommes de stature gigantesque, se sont rapprochés de notre petit sloop. Ils nous ont parlé dans une langue étrange. Nous avons deviné, cependant, à leur manière d'agir qu'ils n'étaient pas inamicaux. Ils ont parlé entre eux un bon bout de temps, et l'un d'entre eux fut pris d'un fou rire énorme, comme si notre vue était devenue pour eux, une étrange découverte. L'un d'entre eux a examiné scrupuleusement notre boussole qui a semblé les intéresser tous, bien plus qu'aucune autre partie de notre sloop.
"

    Se pourrait-il, que ces esquimaux aient été emportés à l'intérieur de la Terre par un bateau de même nature que celui décrit dans ce Smoky God ?

    Voici d'ailleurs deux images tirées du livre en anglais correspondant :


     A gauche, on voit la découverte du Soleil brumeux par les norvégiens Olaf Jansen et son père, à bord de leur petit sloop, et à droite on voit les géants, qui receptionnent les deux norvégiens, dans leur immense bateau.

    Mais pour les puristes, qui trouveraient que notre traduction laisse à désirer, voici une autre traduction plus professionelle, extraite de l'ouvrage publié en 2007, par notre amie canadienne Ischaia :


    Edité par les Éditions Saint-Germain-Morya au Québec ...

     Rappelez-vous aussi cependant, le témoignage de surprenant de l'amiral Wrangel mentionné dans l'opuscule de Jules GAY : "La mer libre du pôle Nord" de 1873, tel que :

      "Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants, de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises, m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes, venus d'une île plus chaude située au nord, , ont abordé leurs côtes. " ".

     On pourrait déjà penser, que nous avons trouvé suffisamment d'énigmes concernant le mystère du Pôle nord, dans l'histoire de ce valeureux peuple esquimau vivant durement et de manière très austère dans ces régions arctiques où le froid se taille la part du lion. Mais il y a encore mieux...

     Voici en effet autre chose sur les esquimaux, que nous confie Jules Gay, dans son surprenant opuscule sui :

    " Lors du premiervoyage de Ross et de Parry, en 1818, ces navigaleurs entrèrent en relations avec les Esquimaux de la baie Melville. Tous se refusèrent à croire que les navires venaient du sud.

"De ce côté, disaient-ils, tout était glace; il n'y avait d'hommes que dans la direction du nord, où étaient leurs demeures, et d'où ils étaient descendus sur cette côte pour pécher des narvals". Plus tard, Ross retrouva chez les Esquimaux de la presqû ile de Boothia-Félix cette même croyance à un climat plus doux et à une eau libre dans le nord.

    Tel est l'ensemble des preuves qui nous paraissent établir l'existence d'une mer libre, au moins pendant l'été, autour du pôle Nord. Si quelques-unes de ces preuves, prises isolément, peuvent paraître insulfisantes, il nous semble que leur réunion ne peut guère laisser de doutes sur l'objet que nous avions en vue
".

En conclusion on voit ici que Jules GAY reprend ses arguments principaux en faveur de la Mer libre, mais une fois de plus, son subconscient l'invite à insister sur des détails hors nomes que la communauté scientifique de son temps, a volontairement mis sous le boiseau, à savoir, que (revoir notre article :LaMerLibreduPoleNord.html), d'une part dans ces détails, il y avait cette affaire de beaucoup d'arbres flottés d'espèces inconnues. Jules GAY aurait dû ici, nous en dire plus à ce sujet, et nous avons dans l'article en question déjà parlé de bourgeons verts et de la fêve d'Entada... Mais où Jules Gay marque tout de même, des points, que l'on ne trouve pas ailleurs, sauf chez les Russes , à savoir (on l'a vu juste au dessus), que des bateaux et des hommes seraient venus d'une île plus chaude située au nord, acoster sur les rivages des esquimaux, et cela n'est-ce pas ne peut être attribué à l'imagination très peu fertile, des naturels de ces rivages.

     Mais il existe un autre fait qui surprend et qui concerne la vie des esquimaux : Quand on demande à certains de ces derniers, où ils supposent que leur entité va après la mort, ils ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni le soleil du jour, ni les étoiles du soir, ni l'immensité du cosmos qui les environne, mais ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à l'intérieur de la terre, d'une bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent un torride redoutable feu central, fait de métaux en fusion. Mais lisez plutôt ce qui suit tiré de notre ouvrage déjà présenté plus haut :



     Voici donc, un extrait des pages 206 et 207 restructurées par nos soins :


     Et, voici donc notre modeste traduction :

Religion


      "La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.

      "Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."

     Fin de la traduction.

     ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à des réminicences ancestrales d'un passé millénaire , ayant trait à une époque bénie, où ces esquimaux vivaient à l'intérieur paradisiaque de la planète.

      Rendons donc ici hommage, à ce peuple si valeureux des esquimaux, qui lorsque, l'on sait lire entre les lignes de leur Tradition, nous montre qu'il existe surtout, un très grand secret, ...caché à l'Humanité entière, par nos scélérats de Gouvernements, qui vont bientôt mordre la poussière à ce sujet, car le Temps des Révélations est bien arrivé, et ARTivision s'évertue à le montrer régulièrement. Ce secret est celui qui dépasse de loin tous les autres, et tout le reste à côté, paraît être bien dérisoire. Donc les principales recherches du site ARTivision, concernent désormais, le sujet des "ouvertures polaires" (Notez bien les guillemets qui ont une grande importance), et celui de la Terre creuse.

     Voici donc quelques silhouettes furtives de ce peuple, si courageux et méritant :

  

  

A vous de juger, une fois de plus tout cela, documents à l'appui ...

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire".

IV Quand la légende (à l'origine ce qui doit être lu), prend une forme très contemporaine, qui s'oppose aux dires des scientifiques actuels.


     A propos de légende, en voici une très officielle et cartographique, qui figure dans un livre réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :




     Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé justement une légende. N'est-ce pas ?

     Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace". Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question dans de très nombreux articles de notre site.

     Revenons alors à notre affaire de légende où, comme on le voit tout de même, il faut "savoir lire entre les lignes".

     Le 26 Octobre 2012, nous avons eu le privilège de recevoir de notre fidèle et passionnée amie Monique, de très nombreux documents anciens et nous sommes tombés en arrêt, devant celui-ci de 2 pages :



      Hélas nous n'avons pas pu déterminer sur le moment, de quelle revue ou journal, étaient extraites ces deux pages. Mais plus tard, en tapant le mot "Engels", dans notre moteur de recherche Windows, nous sommes tombés sur notre article :


Où, Super Hasard, nous a conduit à découvrir le site :


, qui présente justement le texte des deux pages en question, sauf deux paragraphes...

     Nous avons découvert ainsi que les deux pages ont été publiées par le n° 0 du magazine Morphéus en Novembre-Décembre 2003, soit un an après l'admirable texte de Mr Pascal Gazotte, du magazine Nexus n° 21, étudié plus haut.

     Nous passerons à grands pas, sur l'historique présenté dans la première page ci-dessus, en regrettant vivement de ne pas y trouver, le nom (déjà vu plus haut) du génial mathématicien et astronome suisse Léonard Euler (1707-1783), qui semble être le premier à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un Soleil central. Il y a aussi bizarrement le paragraphe qui dit qu'en "1913 présente un petit mécanicien de l'illinois a présenté sa conception de la structure de la terre...." . Il semble alors de l'auteur de l'article ignorait ou a voulu ignorer, que ce mécanicien ne pouvait êt re autre que l'écrivain Marshall B.Gardner, un habitant justement d'AURORA dans l'Illinois, qui publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de d'un soleil central. On sait d'ailleurs aussi qu'en 1920, ce mécanicien réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire. Cet "écart" sur ce mécanicien nous semble alors très curieux. D'autre part dans un article d'un niveau aussi élevé, il eu aussi été préférable de ne pas gaspiller son temps, pour parler de la théorie ridicule du nommé Cyrius Teed...

Laissons tomber donc cet historique peu clair, et plongeons tout de suite dans le vif du sujet :

Contradiction des théories actuelles


     L'astronomie enseigne que tout est parti du big-bang. (Note n° 5 du Webmaster : Mais certains scientifiques prétendent actuellement remettre en cause cette hypothèse du Big Bang. Voyez vous-même :


     On voit donc , que les dogmes les plus ancrés de la Science, peuvent à un moment donné, battre de l'aile, et celui de la Terre pleine, va lui aussi bientôt voler assurément en éclats. Fin de la note n° 5, et suite du texte de K.H. Engels )


Dans le bouillon originel, tous les éléments étaient répartis de façon régulière. Par les forces d'attraction, des "boulettes", nos planètes se seraient formées dans le bouillon. La physique enseigne, en outre, que de grandes concentrations de masse donnent des densités de masse importantes, car la matière est comprimée.

     Selon cette thèse, les grands objets célestes devraient avoir une densité supérieure aux petits objets, parce qu'à l'intérieur la pression est plus grande. Cependant, une observation plus poussée des planètes de notre système solaire nous montre le contraire.

     En effet dans notre système solaire les petites planètes ont en moyenne une densité 5 fois supérieure aux grandes planètes.

     Jupiter a 900 fois le volume de la Terre, mais soi-disant une densité de 1,8 grammes/cm3, la Terre, ayant quant à elle une densité de 5,5 grammes/cm3. La théorie actuelle de formation des corps célestes est donc contredite par ces données.


Les tentatives d'explication de ce non sens.


     Parce que c'est également un non-sens pour les astronomes, on affirme que les grandes planètes sont faites de matériaux plus légers. Malheureusement, il n'y a pas de preuves pour cette affirmation, et il est difficile de concevoir que certaines planètes comme la Terre aient attiré des matériaux plus lourds, alors que Jupiter se serait "spécialisé" dans des matériaux plus légers. Dans le bouillon originel, nous dit-on, tout était réparti de manière uniforme.

     La Terre ne peut pas retenir l'hydrogène à cause de sa masse qui est trop faible. Il se dilue dans l'univers, c'est ce que disent les scientifiques. Jupiter serait composée en grande partie d'hydrogène, à cause de sa faible masse.

     Là aussi nous voyons deux comportements très différents. Il n'y a que l'hydrogène, disent les scientifiques, qui puisse être retenu par les grandes planètes, additionné aux éléments que l'on trouve sur Terre. L'hydrogène devrait donc constituer la majeure partie de la masse de Jupiter. Mais les astronomes prétendent que l'hydrogène ne constitue qu'une faible part de l'atmosphère de Jupiter. Le gaz devrait donc se trouver à l'intérieur de cette planète.

     Étrange: les grandes planètes ont dans leur noyau des éléments très légers (l'hydrogène), les plus petites comme la Terre ont les éléments les plus lourds.
(Note n° 6 du Webmaster : Mais pendant que l'on est dans le coin parlons aussi de Saturne. En effet sur le site :


, on peut peut lire ceci de très classique : " La densité moyenne de Saturne est ainsi de 0,7 ; en d'autres termes, plongée dans une piscine imaginaire remplie d'eau, Saturne flotterait à la surface comme un ballon. Cela suggère que Saturne est, à l'instar de Jupiter, formée des éléments constitutifs de la nébuleuse solaire primitive, c'est-à-dire surtout d'hydrogène et d'hélium ". Mais il se trouve que dès le début des années 80, notre bonne amie parisienne Colette Cyril Lefèvre, qui étaient en correspondance avec les amis du célèbre et très villipendé George Adamski, nous avait confié un texte dactylographié exposant un voyage d'Adamski, qui eu lieu, le 26 mars 1962, en direction de Saturne, où il assista à une conférence où prenaient part, 12 Maîtres Comsiques. Voulez-vous un petit échantillon du début du voyage et du paysage aperçu ?


     Ce texte d'Adamski, n'avait jamais été publié nulle part, et il est intitulé : "My trip to the Twelve Counsellors Metting that took place on Saturn" in Mars 1962, et alors nous avons contacté à ce sujet " la Fondation Adamski : G.A.F Internationnal/Adamski Fondation. P.O.Box 1722-Vista, CA 920085 USA" dont le site est à :


     Cette Fondation nous avait alors déconseillé en 2007 de publier ce voyage, sans doute par peur du tollé général que cela allait causer à l'époque . Mais le Temps des Révélations est bien arrivé, car justement le 27 Mai 2011, nous avons reçu, un message de l'Observatoire des Parasciences, dont l'url est catmartmail@gmail.com, et qui nous avertissait de la récente publication des ouvrages suivants :

  

     C'est dans le deuxième fascicule "les Inédits" que l'on trouve ce voyage d'Adamski sur Saturne.. Dur dur, n'est-ce pas!!! Donc nous aurions dû suivre notre intuition et dès le début du site ARTivision, publier ce voyage qui n'aurait pas manqué déjà à l'épôque, de faire grincer des dents, les détracteurs et autres debunkers zélés ou zététiques.

     Voici donc, en plus clair, le début du voyage en question:


     Il ne semble pas alors qu'Adamski soit entré dans un Sauna d'hydrogème et de d'hélium n'est-ce pas !.

Pour ceux qui veulent en savoir plus, sur cet incomparable Adamski, prière de consulter nos articles :



     Cette Dame Colette Cyril Levèfre était aussi en correspondance avec Lobsang Rampa, et nous a confié avant son décès en 1988, deux missives de ce dernier. Voir notre article Rampa.html

     De plus, cette Dame, nous a aussi fait part en Nov 1979 d'une portion de lettre d'une de ses amies, lettre qu'elle a reçue en 1971, et concernant justement le sujet de "La Terre creuse" :

     Et voici ce que cette amie lui disait :

- J'ai lu avec bonheur "la Terre creuse" de R.Bernard, et je l'ai fait connaître autour de moi, mais je n'ai rencontré que "scepticisme" et "indifférence", sauf pour une personne amie d'un médecin navigateur qui est allé jusqu'à l'entrée du centre de la calotte glacière formant entrée d'un tunnel et où il n'a pas osé s'aventurer plus loin, car il y faisait sombre. Mais, là, il y avait rencontré de la végétation et de la vie animale, son grand étonnement....
     Mais, puisqu'il faut battre le fer quand il est chaud et comme l'on parle ici de cette affaire surprenante de la Terre creuse, et de Lobsang Rampa, il est peut-être utile maintenant de préciser, pour le lecteur qui entre la première fois dans le site ARTivision, quelques éléments du sujet en question, révélés par le livre suivant, de Rampa :

  


     Lobsang et son maître, sont entrain d'explorer un long tunnel extraSize=8, sorte d'épine dorsale de la planète, taillée dans le roc à l'époque de l'Atlantide...

      " Lobsang, me dit mon guide, il y a sur cette terre de nombreuses choses que les gens ne comprennent pas ; il y a également des choses à l'intérieur de la terre, car, contrairement à la croyance commune, la terre est en fait creuse, et il existe une autre race de gens vivant à l'intérieur de cette terre. Ils ont atteint à un plus grand développement que nous, et il arrive que certains d'entre eux sortent de la terre dans des véhicules spéciaux".

     S'arrêtant, il désigna l'une des étranges choses sur les peintures, puis poursuivit : "Ces véhicules sortent de la terre et volent autour d'elle afin de voir ce que font les gens, et pour s'assurer que leur sécurité n'est pas menacée par ceux qu'ils appellent les concurrents".

     Je pensai que l'intérieur de la terre était un lieu bien étrange où vivre ; il devait y faire affreusement sombre, et j'y aurais eu très peur, moi à qui il faut le réconfort d'une lampe dès que vient l'obscurité. Mon guide sourit et dit, comme s'il avait deviné ma pensée : " Mais, Lobsang, l'intérieur de la terre n'est pas obscur ; ils ont un soleil, un peu comme le nôtre, mais plus petit et beaucoup plus puissant. Ils sont beaucoup plus intelligents que nous. Mais dans le futur, vous apprendrez beaucoup de choses sur les passage conduisant au monde intérieur. Nous pensons qu'il a été scellé par les ouvriers du monde intérieur afin de préserver leur civilisation lors du déluge qui frappa cette terre. Nous croyons que si ceci était ouvert, je veux dire si nous pouvions l'ouvrir, les gens nous assailliraient et nous écraseraient pour avoir osé violer leur intimité. Nous, lamas de rang supérieur, sommes souvent venus en ce lieu pour essayer, par la télépathie, de communiquer avec ceux en dessous. Ils ont reçu nos messages, mais ils se refusent à avoir quoi que ce soit à faire avec nous ; ils nous disent que nous aimons la guerre, que nous sommes aussi ignorants que des enfants qui essaieraient de faire sauter le monde ; ils nous ont dit, par télépathie, qu'ils avaient l'œil sur nous et qu'ils interviendraient s'ils jugeaient nécessaire de le faire. Nous ne pouvons aller plus loin : ceci est la fin, c'est la ligne de séparation entre deux mondes".

     Nous espérons que l'éditeur nous pardonnera cette incursion dans le texte du livre en question et souhaitons qu'il ne prenne pas ombrage du fait que nous y avons extrait ces phrases si importantes pour la suite de notre article.

      Vous avez bien noté, nous l'espérons, qu'à l'époque les gens de l'intérieur, refusaient de prendre contact avec nous, car notre mentalité n'excède pas celle des enfants ignorants, jouant à une sorte de Monopoly militaire, où règnent agressivité et violence.

     Mais les choses ont changé et les Maîtres de la Confédération Galactique, ont décidé d'agir en accord avec les gens de l'intérieur, pour remettre à zéro, les compteurs de cette planète Terre. Donc patience, et ouvrez l'œil...

      Il n'est pas besoin en effet d'insister sur le fait que les conflits armés pullulent sur cette planète et certains sont même arrivés à croire qu'en se suicidant et en tuant en même temps, des dizaines de personnes, ils vont pouvoir être adulés et choyés dans l'au-delà. Il ne savent pas que leur prétendu sacrifice de kamikazes, et leur désir absolu de vengeance, dans quelques années très proches, seront considérés comme ayant été, totalement vains et inutiles.

     Disons en passant, et nous l'avons déjà spécifié dans d'autres articles du site ARTivision, que ce site devrait être considéré comme un site anti-suicide, car ne dit-on pas souvent, "Aux innocents les mains pleines", alors qu'en fonction des incroyables découvertes de ce site, à ceux qui mettent fin à leurs jours délibérement sans vouloir attendre un peu que la Révélation proche arrive, on devrait dire : "Aux innocents les mains vides". En voilà deux qui n'ont pas eu la chance de connaître ARTivision avant de commettre leur forfait :



     Nous avons bien sûr, supprimé la photo de la jeune fille, pour ne pas augmenter encore le chagrin et l'amertume, de ses proches.

     Les Âmes des deux protagonistes en question, doivent désormais comprendre, peut-être mieux que nous , la phrase du Grand Maître, qui sera explicitée davantage, plus bas :

Tu es dans le monde, mais tu n'es pas de ce monde
I1 est inutile de laisser les façons d'être du monde t'enfoncer.

     Quant à ceux, qui voudraient immiter sans réfléchir longuement, ces protagonistes, il ne nous reste qu'à leur dire : À bon entendeur salut...

     De plus certains internautes ont du mal à assimiler le fait que l'on est, que des minus, vis à vis ces peuples évolués, qui ne veulent pas ouvertement intervenir dans nos scabreuses affaires.

     En Avril 2005, un internaute nous disait :

     "A vrai dire la théorie de la Terre creuse me revient sans arrêt à l'esprit et j'essaie de la fuir, mais je n'y arrive pas vraiment; elle est tellement merveilleuse ! Par contre elle porte tellement de conséquences si elle vraie, qu'elle en est effrayante. Cette révélation va bouleverser le monde, quand les preuves seront là. "

     Que penser de tout cela ? A notre avis, seule la peur de l'inconnu et, de ce qui remet en question notre savoir intime, peut distiller cette notion d'angoisse évoquée par cet internaute au sujet de cette théorie de la Terre creuse.

     Si les habitants de l'intérieur, beaucoup plus évolués que nous, voulaient nous envahir et nous imposer leur système de vie, ( comme dans le style du livre et du film "La guerre des mondes"), il y a longtemps qu'ils l'auraient fait. Mais tout au contraire, il faut savoir que vu, (nous l'avons déjà dit) notre agressivité à tous les niveaux et notre attitude conquérante, belliqueuse et guerrière, ils ont hésité des siècles avant de nous contacter. Mais, il est désormais, Grand Temps que tout cela change, pour que cette Terre retrouve, la Paix et l'harmonie et enfin l'âge d'Or, dont parlent justement nos légendes.

     Pour nous, la découverte d'un monde nouveau de sagesse sous nos pieds ou même sur la Lune ne peut que nous réconforter en des lendemains meilleurs. Mais encore faudrait-il que nos gouvernants vendent la mêche, mais ils préfèrent évidemment le statut-quo, où ils savent nous mener efficgens de la terre intérieure. Venez, maintenant, acement par le bout du nez.

    Fin de la note n° 6, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Du non sens à l'absurde..


     Pour le Soleil, c'est encore plus fou : il doit être énorme et très léger (densité: 1,4 g/cm3) . À cause de sa faible densité, on pense qu'il doit s'y produire une fusion d'hydrogène. C'est un non sens, car le soleil devrait avoir dans son noyau les éléments les plus lourds. Comment peut-il y avoir une fusion d'hydrogène, qui est un des éléments les plus légers? Comme le soleil a un poids trop faible, les scientifiques affirment qu'il est fait à 98 % d'hydrogène et d'hélium, alors que nous savons que tous les corps célestes doivent être faits des mêmes matériaux, comme ils viennent tous du même bouillon.

     On prétend que le soleil a une force d'attraction 28 fois supérieure à celle de la Terre. Un centimètre cube de la surface du soleil pèserait donc 28 fois plus qu'un centimètre cube de la surface de la Terre, alors que sa densité est quatre fois moins importante. Et tout cela doit être du gaz. Comprendra qui pourra !


(Note n° 7 du Webmaster : Cette affaire folle et incroyable du Soleil, a déjà été évoquée plusieurs fois par ARTivision, et on en a déduit alors, que la surface du soleil qui ne serait pas du tout brûlante. Pour expliquer cela reprenons l'exemple simple suivant :

      Voici le schéma de fonctionnement d'une loupe convergente :

>

     Un primitif vivant au fin fond de l'Amazonie, qui serait déjà surpris, en voyant qu'en plein jour que l'on peut allumer un feu avec cette simple loupe, il serait encore plus étonné de découvrir qu'après l'arrivée de la flamme dans les brindilles de bois, que la loupe est parfaitement froide.

     Cette analogie avec la loupe, va nous permettre à un niveau bien supérieur, de comprendre ce qui se passe du côté du Soleil.

     On sait en effet, que l'axe de l'équateur et celui de l'écliptique sont inclinés l'un sur l'autre de 23° environ et, il en résulte que le pôle n'est plus le point où la lempérature est minima. Pour mieux visualiser tout cela, empruntons à l'ouvrage "Astronomie et l'exploration spatiale", publié à Hachette Jeunesse en juillet 1985, le schéma suivant, que nous avons un peu modifié:



     Mais, ce qui est rarement expliqué dans les manuels scolaires, c'est qu'étant donné que la Terre ne décrit pas exactement un cercle autour du Soleil, mais une ellipse, on découvre alors que la distance de la Terre au Soleil est environ de 147 millions de kilomètres au mois de Janvier, et est de 152 millions de kilomètres au mois de Juillet, et autrement dit le Soleil est, paradoxalement, plus près de la Terre en hiver, qu'en été, de 5 millions de Km . Le site :

http://fr.vikidia.org/wiki/R%C3%A9volution_de_la_Terre_autour_du_Soleil

, nous illustre schématiquement tout cela admirablement :


Et on voit bien là, que la Terre est plus proche du soleil en hiver, qu'elle ne l'est en été.

     Dans les sphères officielles, on explique ce phénomène justement par l'inclinaison de 23 ° de l'axe de la Terre par rapport au plan de l'écliptique et qui fait que les rayons du soleil sont toujours obliques par rapport à l'axe de rotation de la Terre. Et, pour ARTivision, cela est très discutable...

     Si donc le soleil était une boule de feu émettant chaleur et lumière en direction de la Terre, son action aurait certaimement augmenté grandement en avançant de 5 millions de Km de sa cible. Des maquettes à l'échelle, et des simulations informatiques, le démontreraient sans doute.

     Mais , si vous tenez à avoir une explication non officielle de ce surprenant phénomène, alors accrochez vous solidement aux murs car cela peut-être vous déstabiliser fortement:

     Nous avons en effet, sous la main, l' ouvrage extraSize=8 d'un certain "contacté ", nommé Howard Menger, aussi célèbre que le fameux Adamski, et ouvrage intitulé : "Mes amis les hommes de l'espace", dont voici la couverture :


paru aux Editions DERVY-LIVRES en Juillet 1965 , (voir à ce sujet, l'article de notre ami Joël Baran à : http://www.artivision.fr/Howardmenger.html) nous lisons page 220, la phrase suivante qui témoigne bien de la grande modestie de l'auteur et qui raconte là, un voyage qu'il aurait fait dans un vaisseau spatial de ses amis :

     " Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant."

     Surprenant n'est-ce pas !!! surtout pour quelqu'un qui n'avait rien des qualités d'un astrophysicien. Rappelons que cet Howard Menger, a produit dans son livre, des photos de la Lune, dont voici une, qu'aucun spécialiste n'a pu expliquer jusqu'à présent :

aitement dans le coin supérieur gauche, une portion du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à la Lune...

     Mais voyons maintenant l' explication qui est présentée par un certain Maître cosmique nommé Pomar, et explication placée à notre article : Byrdalice
telle que :

     "Il y a aussi un autre fait qui contribue à démolir les théories scolastico-scientifiques grâce à la giration de la Terre autour du Soleil, vous avez l’été lorsque vous êtes au point le plus éloigné du Soleil, et l’hiver quand vous en êtes au plus près. Pour justifier anomalie votre science a émis l'hypothèse de l'obliquité des rayons et de la durée des jours. Cela est vrai, mais en fait, c'est dû à l'action des rayons obscurs qui viennent du soleil. S'il en était autrement, l'énorme accroissement de température que la Terre devrait subir au périhélie ne pourrait expliquer le retour cyclique de votre pâle et froid soleil des journées d'hiver. Je chercherai plus tard à vous confirmer le principe que je viens d'exposer : plus grande est la densité des stratifications atmosphériques traversées, plus grande est la chaleur des rayons. Comme toute autre planète, votre Terre, dans son mouvement de rotation autour de son axe, doit entraîner la rotation de l'atmosphère qui prend de ce fait un aspect parabolique. Elle se dispose donc sous une forme ellipsoïde avec le petit axe superposé à celui de la Terre. Il s'ensuit que le rayon solaire traversant l'équateur trouvera une plus grande épaisseur atmosphérique et par conséquent produira plus de chaleur qu'aux pôles. Voilà pourquoi la zone équatoriale est brûlante alors qu'en zone polaire règne la glace. En conclusion il faut se convaincre de l'erreur de vos savants qui font du Soleil ce distributeur d'énergie, une gigantesque pile infernale, qui devrait être aussi la cause des valeurs hyperboliques de la température des étoiles.

     Ceci est une autre théorie bâtie par vous, terriens, avec vos fausses convictions qui amènent des conclusions inexactes , à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "


     Certains détracteurs, diront vite, que nous n'avons jamais lu cela, dans un texte faisant autorité... Alors ARTivision dira : Lisez plutôt ceci:

From: Phil ........
Sent: Wednesday, October 10, 2012 6:38 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: Du Soleil froid...

    Bonjour Cher Fred,

    Votre article quant au Soleil froid est fascinant. Sauf erreur de ma part, il me semble que Fulcanelli n'a pas été mentionné...

    En effet, dans "Les demeures philosophales" Tome 1, l'auteur écrit des choses à propos du Soleil froid...

    Etes-vous au courant ?

    Si cela vous intéresse, je vous scanne la page concernée.

    A bientôt Fred.

    Phil


    Nous avons remercié vivement Phil , pour cette affaire de Soleil froid (que nous ne connaissions pas), du Grand alchimiste Fulcanelli.

     Voici donc quelques lignes des pages 50 et 51, de l'ouvrage en question :



Renversant n'est-ce pas !!!. Mais saisissons la balle en vol, et lisez aussi ce qui suit, qui est tiré de notre article :


    Voici en effet, une photo du satellite de Saturne, Titan, que nous a présentée, le "Figaro Magazine" du Samedi 13 Nov. 2004 :


      On voit alors que la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" en question, présente une luminosité remarquable, et, on nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan". Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008 suivant :


, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez cela vous-même :


    Alors, on se demande, comment ce flaiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc stupéfiant , et les images suivantes de Titan :

  

ne présentent pas du tout, des paysages glaciaires correspondant à une température de

OLOR="red" size=6>-180°
, comme les scientifiques de la NASA l'affirment, mais plutôt, des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...

    Fin de la note n° 7, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Explications par la Théorie des corps creux.


     Ce sont bizarrement les plus petits corps célestes qui ont la plus grande densité: les fragments de la ceinture d’astéroïdes ont une densité qui va jusqu'à 8 g/cm3.

     Tout cela a un sens si on part du fait que les corps célestes sont creux à l'intérieur. Les astéroïdes et les planétoïdes ne le sont pas. Ils sont des fragments d'une planète ancienne et donc logiquement des corps solides. Nous voyons bien qu'un morceau du lapin en chocolat pris tout seul n'est plus creux. On peut vérifier la théorie des corps célestes creux dans un laboratoire.

     En faisant tourner du gaz dans un piston, il se forme au centre un espace sans particules, le début d'une cavité.

(Note n° 8 du Webmaster :, l'auteur aurait pu nous fournir ici, un schéma explicatif n'est-ce pas!!! Mais nous, de notre côté, nous pouvons imaginer aussi, une expérience qui serait faite par les astronautes en apesenteur, qui auraient emporter dans l'espace un récipient d'eau, (ou aussi par exemple, de glycérine), pouvant former, en apesanteur une boule d'eau d'environ de 20 cm de diamètre, que l'on mettraiten giration sur elle-même, et là, nous serions curieux de voir, si, d'abord la région des pôles s'applatit effectivement progressivement, puis si, aux deux pôles, on ne verrait pas deux petits vortex se former. Enfin, si après cela, on ne verrait pas au centre de la boule, apparaître petit à petit un vide notoire . Voir le schéma suivant :


     Les astronautes ont peut-être fait déjà cette expérience, qui est restéeévidemment ultra-secrète.

    Fin de la note n° 8, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    C'est la force centrifuge qui en est responsable, elle pousse les particules les plus lourdes vers l'extérieur.Si le gaz est fait d'éléments différents, ils se répartissent selon le poids spécifique de chaque élément.

     Karl-Heinz Engels montre que toutes les planètes doivent être creuses, selon l'histoire de la genèse de l'univers communément admise. (Note n° 9 du Webmaster : Le site ARTivision n'est pas un site scientifique, mais essentiellement ésotérique, c'est-à-dire qu'il a effectivement parlé de la vacuité intérieure des autres planètes, en passant par des messages transcendants, autrement dit, des messages venant d'entités évoluant dans des dimensions supérieures à 3. Chacun est libre de croire ou non, à ces messages, mais le site ARTivision, dont les recherches sont essentiellement basées sur une "intuition toujours renouvellée", croit à ces messages après recoupement entre eux. Nous avons déjà plus haut évoqué le message incroyable qui dit que toutes les planètes sont creuses, et message qui se trouve aux pages 193 et 194 de cet ouvrage extraSize=8 intitulé"LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. Mais, voici autre chose de transcendant, tiré de l'ouvrage "La Quête éternelle", d'un certain Joseph Whitfield :

  


    "...La planète Terre contient plus de secrets que l'homme n'ose en rêver. Ce que je vous dis maintenant est seulement l'un de ces grands secrets. Vous vous rappelez que Prime Nova racontait â Victor que le Soleil était creux, comme toutes les planètes. De grandes civilisations existent à l'intérieur de la Terre. Je ne vais pas vous parler d'elles maintenant, mais sachez qu'en plus de cet espace sous Terre, l'écorce terrestre abrite aussi de grandes cités civilisées..."

Fin de la note n° 9, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    Tout le monde admet que les planètes se sont constituées à partir de nuages de gaz en rotation qui se sont refroidis lentement. Toutes doivent avoir un noyau solide et lourd. Parce que l'on part du fait que la pression doit être plus grande au centre et que les connaissances sur les tremblements de terre n'ont pas pu prouver ce noyau solide, on prétend que le noyau des planètes est fait de plasma. C'est de la matière qui est si chaude et dont les atomes sont si denses (ils n’ont plus d'enveloppe d'électrons) que les lois de la physique n'ont plus de valeur. Cela tombe bien, car on n'est pas en mesure d'expliquer les phénomènes que l'on rencontre par des théories connues...


Feu nucléaire du Soleil et de la Terre.


     À propos du plasma, que personne n'a pu démontrer sur terre ou sur une autre planète, Engels dit la chose suivante: "Dans le soleil, il y aurait une fusion nucléaire, alors que sa densité est très faible. Les atomes d'hydrogène ont donc beaucoup d'espace.

     D'un autre côté, le noyau de la Terre doit être fait d'éléments plus lourds tels que le fer et le nickon y voit parfel, qui sont si denses qu'ils n'ont plus d'enveloppe. La probabilité que les atomes se rencontrent est beaucoup plus grande pour la Terre que pour le soleil, car les atomes y sont déjà compressés, donc, la probabilité d'une fusion nucléaire est plus grande.

     Si le soleil est une réacteur à fusion nucléaire, la Terre devrait en être un beaucoup plus puissant, elle aurait donc dû disparaître depuis longtemps dans un feu d’artifice nucléaire"
.


(Note n°10 du Webmaster : A prxt/javascript" src="http://www.i-services.com/membres/compteur/compteur.php?uid=30454&sid=11748&idcpt=117855&opos de cette affaire de plasma, voici, ce que nous en pensons alors dans notre article cité déjà plus haut : CieletEspaceSept2012enquestion.html.

     " Le 5/07/10, nous avons eu aussi le bénéfice de découvrir dans la même Grande Surface du coin, la revue Science Magazine26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :


      Extrayons-en alors quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:


      Puis il y a :


     et voici enfin encore l'image inouie en question :


      Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons de notre Soleil arrivent à percer sans problème, une atmosphère plus de 12 fois plus épaisse que la nôtre (1200 km au lieu de 100km), ensuite, ces rayons vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère. Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle encore plus extraSize=8 du Pôle Sud

     

     Fin de la note n° 10, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)
"

Omission de la force centrifuge.


     Revenons aux nuages de gaz en rotation : d'après Engels, la science a oublié la force centrifuge dans ses théories sur la genèse des planètes. Sans force centrifuge il n'y a pas de gravitation. Et l'interaction de ces deux facteurs crée nécessairement des corps creux. La gravitation réunit les particules, les plus lourdes sont poussées vers le centre. Elle a un effet de tri de l'extérieur vers l'intérieur. La force centrifuge pousse toutes les particules lourdes vers l'extérieur. L'effet est inverse. Il doit donc se former une cavité au centre. La combinaison de ces deux forces antagonistes induit l'apparition d'une coquille solide, dont les particules les plus lourdes sont déposées là où les deux forces s'annulent. La densité diminue en s'éloignant de ce centre, d'un côté vers la surface; de l'autre, vers le noyau qui est vide. L'objet qui en découle est creux à l'intérieur. Fragile comme une boule de sapin de Noël...

Carte des pôles classée Secret Défense .


     Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ?

     C'est pourquoi, Il ne faut pas s'étonner de la difficulté à se procurer des cartes du Pôle Nord. Dr. Rosner, responsable de la Faculté de Géographie de Tübingen, en Allemagne, a reconnu que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait partie des secrets militaires. Même la cartographie de l'océan Arctique, effectuée par les sous-marins atomiques, est protégée par le secret-défense. (Note n° 11 du Webmaster : En ce qui concerne cette affaire de sous-marins atomiques, nous avons eu l'occasion d'en parler dès le 02/12/2012 dans notre Article :


où il est précisé : " Vous avez bien lu plus haut : LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.. Donc L'homme propose, et cependant c'est le Maître du Temps qui dispose

.      Pas un seul de ces cargos sous-marins, si bien décrits plus haut, n'a vu le jour alors que le monde du commerce est très puissant, et n'hésite pas une seconde pour faire valoir ses droits. Certains diront vite fait, que la technologie n'était pas encore au point dans le temps qui a suivi cet exposé du sieur Georges Lacoste, ou que cela n'a pu se réaliser pour d'autres raisons économiques non connues etc...

     Le site ARTivision, pense que nos progrès en Informatique et consorts,, namp;cache=0&position=center&read_only=0"> ous auraient vite permis de surmonter les difficultés inhérentes à la construction de ces cargos sous-marins. Mais ARTivision affirme aussi, que le passage sous le Pôle de nombreux sous-marins"était bien trop dangeureux ", pour que l'on s'y risque, à cause bien sûr du vortex polaire, qui s'y manifeste à certains moments.
"

      A vous de juger, une fois de plus, tout cela !!!

     Mais on voit alors que ce passage parlant du remplacement du satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, a déjà été exposé en partie plus haut, et nous reprenons ici, à dessein, cet extraSize=8 cliché composite, qui a échappé à l'élimination, et qui donne raison au sieur Siragusa, présenté largement ci-dessus :


    Aux spécialistes de répondre, mais nous, pour l'instant, il ne nous reste qu'à dire, comme les Anglo-Saxons embarrassés, devant une situation hors normes : NO COMMENT.

    Fin de la note n° 11, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


     En tant que particulier, il est difficile voire impossible, de se procurer des images des pôles. Quand Lamprecht a voulu acheter une carte de l'Antarctique auprès d'une entreprise sud-africaine spécialisée, l'ordinateur lui a répondu que ces cartes n'étaient pas disponibles, étant sous le sceau du secret-défense.

     La raison est simple. Le Pôle Sud a également une ouverture vers le centre de la Terre. Des vents chauds et des courants s'échappent en direction de l'océan polaire.


(Note n°12 du Webmaster : En effet s'il est certes difficile d'obtenir des photo satellites montrant le Pôle Sud, pour l'instant nous allons nous contenter de cette photo mosaïque, que nous a envoyée le 19 Octobre 2012, notre ami Jean Philippe :


    Cette image est tirée du site :


    Certains ne manqueront pas de dire à ce sujet : "Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale " voir le site:


    D'abord pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :


     Mais nous serions heureux d'apprendre, (mais nous en doutons fortement), par un spécialiste, que cette formmule prend bien en compte, le fait que nous montre l'image envoyée par Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé.

       Mieux, ce disque semble se juxtaposer étrangement, à cet autre disque, "bien noir", de l'Antarctique :


     Cette image provient, on le sait, de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sauf celle-ci :

    La légende qui présente cette photo est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire, n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir.


    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication concernant sa présence très insolite à l'endroit en question.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis     Et plus loin on trouve finalement :

à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

      C'est alors qu'un certain internaute Fabrice c....., nous a interpellés sévèrement, le 21 Mai 2006, pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

      Il arrive parfois que certains méd ias se jettent sur les images qui nous viennent de l'espace, sans même daigner nous expliquer leur caractère insolite.

      Ainsi cet internaute blasé, Fabrice c....., en découvrant aussi la présence de disques noirs sur pas mal d'images des régions polaires nord comme par exemple celles-ci découvertes au journal télévisé de 19/20, le Mercredi 04/10/06, de France 3 et sur le site http://info.france3.fr/index-fr.php :

    


, n'hésiterait pas une seconde à qualifier ces disques noirs, comme étant dus à "la limite de la couverture satellitaire..." habituelle.

      De plus, l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi il s'agit :



      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire ("Ils décident de ce que nous devons croire et penser") de la couverture de sa revue, et formule qui s'applique parfaitement au contexte de notre article sur l'illusion, n'est pas ? :

" "Ils"décident de ce que nous devons croire et penser "

      Il nous reste maintenant à nous demander, (concernant, à la page 5 de la revue, l'entrefilet présenté ici sur la droite de la couverture), comment il se fait, que sur l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher. A vous de juger !!

      De même, il est bon de savoir que le 29/05/08, nous avons reçu de l'ami Jean-Carlo S... l'invitation à visiter le site : www.worldwidetelescope.org, où l'on peut télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images extraordinaires, dont celles-ci qui concernent la Terre :

    

     Comme on le voit, l'existence d'une pastille plutôt énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait aucunement représenter le pôle géographique en question. Alors que fait donc cette pastille ? A vous de juger!

     De même concernant cette fois-ci l'Arctique sur le site :


    On découvre alors, cette image avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internautes se sont aussi évidemment demandés la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une autre réponse:


    Vous avez bien noté, que le nommé Guilhem, donne sa prétendue explication, qui n'est qu'une réponse de normand, car il ne dit pas du tout, pourquoi aucun des satellites en question n'arrive pas à prendre la zone incriminée, en photo.

    Cependant, il est à noter que l'internaute Patrick C...... et le Guilhem en question, et bien d'autres inconnus qui ont jubillé, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté dans nos articles cette photo assurément trafiquée du pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nett ement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!! A vous de juger

     Rappelons qu'ARTivision, a déjà évoqué cette affaire de circulation des satellites aux pôles de la Terre, dans nos articles :mystifications.html, et Larondedessatellites.html, où d'abord, on trouve une image surprenante réalisée par ordinateur donnant la trajectoire de tous les débris de matériels lancés à l'époque dans l'espace terrestre :


    Ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer également, tangentiellement à un disque, ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre. Les rationnalistes endurcis, trouveront bien sûr une explication très vaseuse à cela.

    D'autres gens, qui se disent cultivés, ont affirmé en public, que certains satellites, survolent allègrement les pôles :

    En effet le 14 Nov. 2000, nous avons enregistré sur la chaîne Tempo, la rediffusion de l'émission bien connue de Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner, "C'est pas sorcier", consacrée justement aux satellites de la Terre. Mais écoutons textuellement, ce que nous dit Jamy au sujet du satellite SPOT, qui orbite à 830 Km de la Terre:

  "Comment le satellite SPOT, peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre, SPOT ne passe pas au même endroit et peut ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."

  Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de cette déclaration, qui montrent comment on nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites connus passent par les pôles, et qu'ils balayent ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce genre d'émission est destiné à la jeunesse, et qu'il ne faut pas lui demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les protagonistes, eux-mêmes, de cette émission, ont été "initiés" à "cette affaire polaire" , vue plus haut.

    Fin de la note n° 12, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Constitution de la planète Terre.


     La planète Terre loin d'être une boule de feu en fusion recouverte d'une fine couche de magma refroidi serait donc un corps creux à double système tectonique. Une tectonique de surface que nous connaissons tous et une tectonique de la couche interne.

     La Terre serait donc constituée de 2 sphères imbriquées l'une dans l'autre séparées par la matière la plus dense à savoir le magma (au point d'équilibre de la gravitation et de la force centrifuge).



(Note n°13 du Webmaster : Pas besoin de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir que la zone d'équilibre bleu foncé entre la force centrifuge et la force centripède, sur le schéma précédent est tout à fait imaginaire et ne peut exister, car elle entrainerait des flottements et des glissements perpetuels entre les deux zones des coques terrestres qu'elle sépare et rendant la vie impossible à l'intérieur comme à l'extérieur , ou tout bougerait sans arrêt.

     Mis à part, le discours officiel qui veut que la pression interne de notre planète, fait circuler le magma dans les couches supérieures de la coquille terrestre, ce magma provenant du centre de la Terre, nous n'avons trouvé qu'une seule explication, plus ou moins acceptable (qui a trait à la soupape d'une cocote minute (un autocuiseur) qui se met à tourner et à siffler quand la pression interne est trop forte). Cette explication, est celle qui nous vient de l'entité transcendante Ramtha , dans son livre intititulé "la Redécouverte de la perle de la Sagesse Ancienne     "....Ceci est un " :
     Comme ce texte, est très confus, nous avons traduit en langage plus clair, et les onomatopées propres et habituelles de Ramtha , ont été enlevées.

" Les gens de l'intérieur, qui sortent à la surface de la Terre, le font pour analyser la coquille extérieure de leur demeure et voir comment elle se comporte. Ils sont alors très inquiets, car il y a eu des explosions à l'intérieur de la Terre, dans les mers , et dans l'atmosphère. Comprenez-vous que les explosions faites dans la terre, sont ressenties dans leurs cieux. Ce que l'on appelle des volcans, et des zones de tremblements de terre
en surface, sont des points de compression élaborés par vos frères de l'intérieur , dans des lieux où les énergies accumulées peuvent être libérées, afin d'éviter que leur royaume ne soit détruit. Les choses sont ainsi. Force et vapeur et énergie, y sont relâchées. Il doit y avoir un lieu où l'énergie est atténuée de sorte que si ce lieu est externe l'énergie ne pourra pas se diriger vers l'intérieur, et ceci évitera l'effondrement des structures internes. D'où la raison des manifestations qui ont lieu ces temps-ci à la surface externe de la Terre
. "


    Dur.. Dur.. n'est-ce pas!!! A vous de juger.

    Fin de la note n° 13, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    Le double mouvement tectonique engendre une énergie en partie diffusée dans le cosmos mais en partie concentrée au cœur du corps creux, sorte de surplus énergétique à même de créer des conditions favorables à la vie à l'intérieur de la planète.

La Notion de Haut et de Bas.


     Si vous affirmez à un enfant français que les chinois marchent la tête à l'envers en dessous de ses pieds, il croira à une blague, ne parvenant pas à comprendre un tel phénomène. La notion de haut et de bas est une question d'échelle. L'homme est trop petit pour percevoir la convexité de la planète.

(Note n°14 du Webmaster : Rappelez-vous les propos que tenait autrefois (à une époque pas si éloignée), un partisan de la thèse de la Terre plate, qui affirmait ceci : "La Terre ne peut être ronde car les gens des antipodes tomberaient dans le vide". Bien sûr, il ignorait que la loi de gravitation, autrement dit que la pesanteur collerait, ces gens des antipodes, comme lui à la terre ferme. Donc pour lui la normalité était que la Terre ne pouvait être que plate. Pour certains orthodoxes, la Terre actuellement ne peut être que pleine car si elle était creuse, les gens de la couche intérieure, tomberaient vers le centre de la planète. Voici un schéma que propose le Dr Raymond Bernard pour expliquer que c'est l'inverse. Les gens de la surface intérieure sont aussi plaqués au sol, par la pesanteur venant du sphéroide coloré en rouge sur le schéma suivant :


Ce schéma est bien sûr, tiré du livre américain de 1920 :

  


de Marschall B.Gardner déjà présenté plus haut tel que :

  


    A vous de juger, documents à l'appui...

    Fin de la note n° 14, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    La relativité du haut et du bas est identique pour des hommes marchant sur une surface concave à l'intérieur d'un corps creux,      c'est aussi une question d'échelle.


L'Hypothèse d'une vie Intraterrestre.


     Si les conditions d'une vie intra-terrestre sont réunies selon cette théorie, elles sont cependant très éloignées des conditions de vie en surface. Le biorythme doit être fondamentalement différent car cette vie est plongée dans une éternelle lumière sans alternance jour/nuit. La constitution biologique, cellulaire, diffèrent nécessairement, la notion d'espace et de temps diverge de nos conceptions formées en surface. Ce monde interne est un paradigme totalement étranger à notre conditionnement culturel. En d'autres termes, il est impensable...

(Note n°15 du Webmaster : L'auteur de cet article ne croit donc pas du tout à la possibilité d'une vie organisée à l'intérieur de la Planète. Dommage qu'il n'avait pas encore lu à l'époque de fin 2003 l'ouvrage incontournable "The Smoky God"de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson paru en 1908, et que nous avions pourtant traduit en amateur déjà dès le 6 Avril 2001 :

  

    Et notre traduction se trouve à : http://www.artivision.fr/SmokyGod.html

    Et, il y est bien précisé que le soleil brille la journée pendant 12 heures et s'estompe, en paraissant comme la Lune, pendant les 12 autres heures. Ce n'est donc pas un soleil de même nature celui de l'extérieur, n'en déplaise à certains détracteurs zélés qui auraient voulu qu'il en soit ainsi. Même son de cloche environ, dans l'ouvrage plus ancien, déjà vu plus haut, et qui est d'un certain Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin :



ans notre article : http://www.artivision.fr/TerrecreuseSVJDec2000.html

    "Et voici notre réponse en date du 2/03/01 :

     " Je n'ai aucun moyen de savoir si ce soleil intérieur est structuré comme celui que nous connaissons à l'extérieur, et si ses radiations ont les mêmes effets que le notre. Le concept que certains appellent "La Nature" et que d'autres, par" l'architecte de l'univers", et d'autres encore par bien d'autres noms, comme la Source, ou Le Très Haut, nous surprendra toujours. Des êtres vivants réussissent à évoluer dans des conditions les plus épouvantables et certains même comme les lucioles par exemple sont capables de fabriquer de la lumière froide, avec des cellules que nous n'avons pas réussi encore à faire se reproduire isolément en grand nombre car cela remplacerait avantageusement nos moyens nocturnes d'éclairage ( Voir aussi plus bas l'affaire du Poisson-phare)...

....     A la recherche d'une certaine  information spatiale  dans nos archives, nous sommes tombés en arrêt ce 26/02/02 devant un encadré remarquable du n° 187 de la revue NOSTRA en date du 5 Nov 1975, que nous vous transcrivons ci-dessous intégralement :

( TEL-AVIV )
LES SECRETS DU POISSON-PHARE

     Son nom scientifique est " photoblepharon palpebratus". Mais les plongeurs qui peuvent admirer cet étonnant spécimen de la faune océane l'appellent plus simplement , "le poisson-phare". Il est long de sept centimètres environ et ses eaux de prédilection sont celles du golfe d'Elath, en lsraël. Non content d'émettre une très forte lumière, il présente la particularité d'en diriger le faisceau à son gré, comme s'il s'agissait d'un projecteur.
     On a surtout insisté, jusqu'ici, sur son aspect féerique. Mais les époux Morin, professeurs de l'Université de Los Angeles, sont allés plus avant dans les investigations et voici ce qu'ils nous révèlent â son sujet.
           - Le « phare » est un organe en forme de haricot placé juste sous les yeux et porteur de bactéries luminescentes. Le poisson l'utilise pour se procurer sa nourriture. Parfois, de véritables bancs se forment, pour balayer le fond de la mer d'une nappe de lumière extrêmement brillante où apparaissent les petits crustacés convoités.
           - Le même phare est un moyen de défense. Le poisson éblouit et aveugle ses adversaires, lesquels s'enfuient, au comble de la terreur.
     Certains pêcheurs ont capturé des poissons-phares et les ont placés en aquarium. Il leur devenait possible de lire le journal, en pleine nuit, rien qu'en se tenant à un mètre de la vitre protectrice.



      Fin de l'entrefilet encadré.

      Que dire de plus devant cette ingéniosité de la Nature à créer toujours, de quoi nous émerveiller chaque fois un peu plus et n'est-il pas imaginable de croire que, si elle a été capable de réaliser un tel phénomène, il ne lui serait pas, selon nous, plus difficile, d'en créer un autre, en la matière d'un soleil placé au centre de la Terre, dans le cas, ( Et il reste aux scientifiques à le démontrer) que cette dernière serait creuse? Qu'en pensez-vous ?

    Donc seuls les privilégiés comme Olaf Jansen et son père Jens,



qui ont pénétré dans ce Monde intérieur pourraient nous analyser ce phénomène et tenter de le décrire et encore faudrait-il qu'ils soient des scientifiques munis d'appareils adéquates et non de simples pêcheurs comme Olaf Jansen et son père , qui n'avaient pas les connaissances requises pour cela.

    Mais, il est bon ici de rappeler ici, les sublimes paroles du Maître Pomar, dont avons simplement présenté plus haut, le nom :

       "...qui amènent des conclusions inexactes, à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "

    Mais il y a encore bien mieux en ce qui concerne la vie sur les autres planètes. Cependant nous invitons les novices, à bien s'accocher aux murs car, ce qui suit, va casser le moule, et pourtant cette information date déjà d'Avril 2001:

    En effet, en plus de la page 112 très explicite, de cet ouvrage :


où l'on trouve ceci :      "La thèse retenue par vos scientifiquesn'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.

   Votre centre de la Terre est creux et possède son propre Soleil. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre.Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central. L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central .... "

        Mais en plus, il y a en pages 121 et 122, (et mieux vaut ne pas être soumis à de fréquents vertiges), car on y trouve alors : "L'utopie réside dans l'idée de croire que la vie ne peut se manifester qu'à l'extérieur de votre planète. Cette réalité représente le dernier maillon des niveaux de vie de votre Terre. Chaque plan possède ses terres, ses paysages, ses mers intérieures, ses soleils. Vous êtes le dernier maillon qui ignore l'existence des autres et ne peut pas encore bénéficier volontairement et consciemment des contacts de ces humanités. Vous avez toujours préféré croire que les interventions des Ordres élevés venaient du ciel.

    Oui, les Pléiadiens et d'autres viennent du ciel, mais les Ordres de la Fraternité blanche, les Melchizédek, l'Ordre du Soleil de Jade et d'autres, viennent de l'intérieur de votre Terre. En portant votre regard vers l'intérieur de vous-mêmes, vous trouverez cette réalité. Quand, dans d'autres livres, nous vous parlions des sept corps des planètes, nous ne faisions pas allusion à une vie extérieure à ces corps, mais bien à une vie intérieure.

    Quand une planète arrive à son terme, toutes les humanités se retirent. Reste en dernier la civilisation extérieure. Quand celle-ci se retire à son tour, c'est l'annonce officielle de la fin de cette planète.

    Vos scientifiques vous diraient : "Mais il n'y a pas de vie sur la surface de telle au telle planète !" N'oubliez pas que ces planètes n'ont pas la même qualité vibratoire que la vôtre et que ce n'est pas parce que vos yeux humains n'y ont pas repéré de vie, qu'il n'y en a pas !

    Votre sphère est constituée de sept manifestations ou corps intérieurs et extérieurs. Chaque niveau possède sept réalités qui demandent à être découvertes. Chacune vous fera explorer le son et la couleur dans toutes les tonalités (les sept couleurs fondamentales et les différentes notes musicales). Vous n'en avez pas fini avec cette planète !
"

Fin de citation...et bien sûr , No Comment...

    Fin de la note n°15, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Pôle: Zones militaires interdites .


     Cette théorie de la Terre creuse devrait être facilement démontrable. Des expéditions aux pôles comme les fit l'Amiral Byrd, devrait confirmer ou infirmer cette théorie. L'Amiral Byrd confirme cette réalité prétendant être passé à l'intérieur de la planète. (Note n°16 du Webmaster : L'auteur fait ici allusion au prétendu Carnet de vol de Byrd apparu à la fin des années 1990 concernant le vol de ce dernier du 19 Fevrier 1947. Notre canadien Robert Momer parfaitement bilingue nous disait à l'époque que le style de ce texte ne semble pas du tout correspondre au "verbe" d'un homme cultivé comme le Vice amiral Byrd.

Il n'en reste pas moins vrai que Cette aventure du vice Amiral Byrd est si extraordinaire, que l'on pourrait facilement, faire un rapprochement avec l'aventure, bien connue, d'Alice au pays des merveilles que nous devons au mathématicien et écrivain britannique Lewis CAROLL en 1865. Nous savons en effet, qu'Alice est plongée dans ce roman, par un concours de circonstances, dans un monde fantastique où rien ne se passe comme on pourrait le supposer. Il en a été de même, on le sait déjà, pour le vice Amiral Byrd, qui a pénétré dans un univers si insolite qu'il défie l'imagination la plus échevelée


     C'est le 10 Novembre 2000, nous avons reçu par la poste d'un très aimable internaute suisse (que nous avons hélas perdu de vue car il est peut-être décédé depuis), le " Carnet de bord ", attribué au vice Amiral Byrd de l'epoque et correspondant à sa célèbre expédition du 19 Février 1947 (Voir notre bibliographie à biblioterrecreuse.html)

     Et voici les deux premières pages de ce journal de bord ou carnet de vol de Byrd :

  


     On note cependant dans ce texte, des allusions verbales germaniques en provenance du peuple souterrain, et par exemple le mot "au revoir" et peut-être encore le "léger accent" des hôtes de Byrd ou encore peut-être le mot "Flugelrads" qui signifient "machines volantes" ou "navettes aériennes".

     Nous avons fait une modeste traduction de ce texte étrange,(où Byrd dit avoir vu un Mammouth vivant), que nous vous livrons à la page :

     Mais, ARTivision, préfère de loin, aller fouiller dans les revues ou journaux de l'époque, pour y trouver des propos hors-normes incontoleil générateur de Vieune affaire de soleil qui dérange grandement les Byrd, tel que cela, est exprimé dans ce qui suit :

    Le 21 Septembre 2010, nous avons reçu du grand ami canadien Sébastien C......, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :


   &nbs">ARTivision
est un site ésotérique strictement personnel de :
p;    Amitiés
        Sébastien


    Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, voici le document en question :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:


Traduisons alors grosso modo ce passage :

" Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié..

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

    Rappelons ici un autre texte plus récent, où Byrd s'est exprimé d'une manière tout à fait analogue :

    En effet Byrd s'exprime en Janvier 1956 dans le n° du Selection du Reader's Digest, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique", que nous avons le privilège de possèder :

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, il nous parle de l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     " Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà" et non "autour" du pôle. Le même raisonnement utilisé plus haut et concernant des étendues glacées et neigeuses très caractérisées, s'applique donc aussi ici. Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (mrple">bien-pensants. Rappelons donc ici notre déclaration d ais là, on le sait, Bryd évoque l'opération High Jump de 47-48)
, et il reprend pratiquement la même phrase. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933 pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz Fred.IDYLLE - (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inoui, à la fin de notre article :


Nous pourrions bien sûr produire d'autre doocument qui prouvent que l'amiral Byrd à bien été confronté à une réalité qui dépasse de loin les ecrits des meilleurs auteurs de science fiction. Il ne nous reste à ARTivision que de mettre la main sur ce qui suit, où il est ecrit :

    " Janvier 1956: " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du pole Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle". Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 Février 1956.
    Notons avec soin le terme "au-delà" (déjà explicité plus haut), et non "au-dessus, ou derriére" utilisé, une fois de plus, par l'amiral Byrd.

    Il nous faut alors, bien sûr, retrouver absolument, au moins un journal américain ou canadien, ou autres, qui a publié, le 13 Février 1956, ou les jours suivants cette incroyable déclaration, de l'amiral Byrd. Merci d'avance à tout chercheur enthousiasmé par cette tâche capitale .

Un grand bravo déjà à l'internaute qui touchera pratiquement le Gros Lot et découvrant le journal ou la revue qui a publié ce qui précède.

    Il est est de même pour ce qui suit : Mars 1956 :"La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire ". Vice-amiral Byrd le 13 Mars 1956 à son retour du Pôle Sud."

    Faudrait alors pouvoir fouiller, dans les journaux en question, à partir du 13 Mars 1956, et les jours suivants...

    Rappelons aussi enfin, que c'est dans le LIFE



du 25 Mars 1957 que nous avons trouvé cette phrase sublime de Byrd en anglais:

"that enchanted continent in the sky, land of everlasting mystery."


et qui traduite donne :

"ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère!"

     Mais il nous appartient de rappeler ici, ce qui suit, pour ce Monsieur Serge Jodra, sans doute un astronome qualifié, auteur de l'article étudié plus haut du "Ciel et espace de Juillet 1997", et intitulé "Terre creuse voyage au centre d'un fantasme" et qui met entre guillemets l'expression "mystère polaire", ce qui veut dire qu'il n'y pas rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre.

     En effet, le 26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de l'ami Sébastien du Canada, la missive suivante dont voici le début :

----- Original Message -----
From: sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd

          Bonjour Fred,

     J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le pôle sud en Février 1947. (voir fichier joint)

Et voici l'url :

.....................suite coupée...........


     Merci mille fois encore, à Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches d'ARTivision.

     Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site :

bsp;Le titre surprend déjà : Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ?

     Traduisons quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.

     D'abord tout au début, on trouve " Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atterri à Little America jeudi, et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré, pour détermi COPY RIGHT 1997
ner si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.

     Byrd dit que l'expédition de la Navy sous son commandement allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".


     Quel tissu de sous-entendus, Byrd nous livre là ? Il faut savoir lire entre les lignes, bien sûr.

     En effet d'abord, pour savoir si l'immense continent possède des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m )
, capables de le séparer en diverses portions, il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc cette affaire d'îles à déterminer est un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.

     Puis il y a ceci :"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde". Comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ? .

    Puis il y a cette déclaration inouïe de Byrd : "I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" : "J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle". Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration, s'apparente énormément à celle que Byrd, aurait dite plus haut en Février 1947 (le jour n'étant pas hélas précisé), et concernant le Pôle Nord : "J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)...", alors qu'ici il s'agit du Pôle Sud, le 31 janvier 1947. Aux spécialistes de résoudre cette énigme saugrenue : BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? COMME C'EST BIZARRE...

    Plus loin, il y a aussi cette affaire d' inacessibillité que nous avons déjà traitée dans notre article :


    Affaire à suivre plus tard.

     Tout cela nous amène à croire que, ce sont encore Ray Palmer et Raymond bernard, qui nous en donnent l'explication :

     "Le 13 Janvier 1956, nous apprenons ce qu'il en a été réellement. A cette date, les rapports de l'US Navy parlent de l'atteinte d'un point à 4300 km au-delà du Pôle Sud. La distance totale fut réalisée sur une zone terrestre. "

      Le site ARTivision cherche bien sûr, (nous l'avons déjà dit plus haut), avec une ardeur inégalée, comment trouver au moins un, journal qui a publié ces rapports.

     Plus bas, on trouve aussi, "I'd like somebody to get intothat vast unknown area on the other side of the pole " he said.

Cette affirmation de Byrd est superbe et très explicite: " J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette immense zone inconnue, au-delà du Pôle"... Que dire de plus ici sinon que Byrd vient là de mettre le pied carrément dans le plat. Que ceux qui veulent encore le dédouaner concernant sa découverte extraordinaire et la considérant comme tout à fait banale, continuent à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, jusqu'à ce qu'ils soient bientôt balayés par le souffle puissant des révélations incontournables qui approche.

     Et pour terminer nos phrases soulignées on a ceci :

" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "

     Et nous voilà arrivés à cette affaire de zone inaccessible, mentionnée au début de cet article...

alors un autre son de cloche :

    Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:

----- Original Message -----
From: Christophe G.......
To: fred Idylle
Sent: Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject: Re: NEWS PAPER OF BYRD
     Cher Fred,

     Voici un petit exemple de documents officels du New-York Times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.

     Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...

source :


     Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !

     Bien à toi.

     Christophe.

      En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors:

     Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge : " Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible a la surface de la terre".

     Toujours cette affaire de région inaccessible et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.
     Puis, il y a cette carte de l'expédition :

     Sous la carte, on découvre l'affaire d'une région couverte de mystérieux lacs, et dans les lignes qui suivent, c'est l'affaire de l'Oasis de Bunger, qui est évoquée, sans que l'on nous en dise beaucoup plus, que ce que nous connaissons déjà :


     Mais quelques jours plus tard, on nous en dira tout de même, un peu plus dans le document ByrdOASIS87720893.pdf suivant :


    Notre modeste traduction donne à peu près cela :

     " Oasis dans l'Antarctique.

     La découverte d'une seconde "oasis" dans l'Antarctique par des aviateurs performants de l'amiral Byrd semble confirmer le fait que le continent polaire sud n'est pas le simple étalage continu de zones congelées tel que le monde le conçoit. L'existence de vastes étendues de terre nue parsemées de lacs d'eau douce suggère la possibilité d'établir là, des colonies permanentes, à partir de laquelle les ressources minérales de ces régions accidentées, pourraient être exploitée pour le bénéfice de l'humanité. (Note du Webmaster: Hum, humm...Chacun sait que ce sont toujours les mêmes, bien assis dans la société, qui en profitent).

     Les oasis sont associées dans notre esprit à des palmiers qui poussent dans le désert. Inutile de dire, qu' il n'y en a aucun de ces oasis dans l'Antarctique. (Note du Webmaster :...Bien sûr, c'est le journaliste du New York Times qui parle, et non Byrd)...

     Mais dans l'un des lacs au moins, une trace de vie végétale a été trouvée. Ce lac est environné d'une la glace mince, dans son eau tiede vivent des algues et aussi on y trouve des cristaux minéraux. En effet, cette présence d'algues pourrait être l'origine de la couleur extraordinaire de ces lacs qui, lors de leur survol, donnait l'impression d'une illusion d'optique. Un hydravion se posa sur la surface d'un lac et a changé cette illusion en un fait surprenant explicable. Les lacs étaient là, non gelés. La zone autour d'eux était libre de glace, avec des plages assez larges pour accueillir des escadrons d'avions. Des affleurements coniques de roche rouge foncé ou rose s'apparentaient à de petits volcans. Tout le reste dans cette terre étrangère reste mystérieux et inexpliqué.

     Une expédition scientifique est maintenant sur le chemin de l' Oasis de Bunger. Peut-être qu'au retour des explorateurs Byrd, leur rapport affinera notre information. Il serait important de savoir si ces oasis sont alimentées par des sources chaudes ou s'ils sont simplement des zones ouvertes, comme des tranchées au travers d'un glacier. Cela intéresse le développement futur du continent sud, pour ses sources chaudes, et ses clairières volcaniques qui pourraient être en mesure de soutenir l'activité humaine toute l'année. Quelle que soit l'importance de ces oasis polaires insoupçonnée peuvent avoir, elles sont certainement les plus surprenantes découvertes de l'opération Highjump."


     Vous avez bien noté, que le journaliste du New York Times, a été subjugué par la présence surprenante de ces oasis dans une région de l'Antarctique où le - 50°, est plutôt souvent de rigueur .

      A vous de juger, cette nouvelle approche de l'affaire, documents à l'appui.

    Fin de la note n°16, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


,Depuis, cartes expéditions civiles, mesures à certaines latitudes des pôles, sont interdites, prohibées. Apporter les preuves tangibles de cette réalité plongerait l'Humanité dans une vision cosmique aux antipôdes des rapports stériles et nuissibles que nous entretenons aujourd'hui avec note planète . Ce serait une nouvelle révolution copernic      Mais voyonsienne libératrice. Des puissances millitaires dirigeant notre planète en ont pourtant décidé autrement, interdisant purement et simplement l'accès aux pôles...

    Sources ( Extrait du livre de Karl-Heinz Engels: La Théorie des corps creux. Extrait du livre Jaune N° 6 des Editions Félix . )


     Et pour ceux qui connaissent l'Allemand : Extraits du livre de Karl-Heinz Engels : Die Hohlkörper-Theorie (La Théorie des Corps Creux), Querdenker-Autoren Union, 1993.

     Fin du texte de Karl-Heinz Engels.

V Quand Super Hasard, fait surgir, juste au bon moment FONT>, un texte en latin où la légende apparaît spectaculairement.


     le 03/01/2013, nous avons reçu la missive remarquable suivante :

From: Pierre
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...

     Bonjour Fred,

          Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...

     Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")

, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".

     Ce qui m'interpelle le plus dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.

     La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!

     Les intra-terrestres eux même, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand!

     Même eux, puisque la "respiration" dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.

     Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement. (Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).

     La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...

     Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?

     Amicalement,

     Pierre.


     Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches pointues d'ARTivision.

     Nous avons vite retrouvé, le n° 27 de la revue Top Secret de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n°), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :

  


     L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".

     Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste, puisse en dire plus, si cela lui plait :


      Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:

"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,

(note du Webmaster)

     Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569 (->).

     Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique.

     J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...

     Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.

     Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.

eVoici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :

     Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Ja Pour tout contact avec ARTivision
cob Croyen d'Hertogenbosch
(Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.


          Pierre C.



     Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en rouge dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin.

     Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon de cette nature au Pôle Nord. Il avait seulement entendu une affaire à peine semblable, arrivée autour du Pôle Sud, à un certain, Arthur Gordon Pym,(voir plus haut), dans le roman, hélas inachevé, d'Egard Poe de 1838, et remis en exergue par Jules Verne, au chapitre 5 de son œuvre "Le sphinx des Glaces" publié en 1897.

     Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569, et texte qui nous parle d'un vortex boréal fantastique, que le sieur Siragusa (voir plus haut), connaissait assurément avant le 20 Mai 1972, où il montra lors d'une conférence à Paris, une photo du Pôle Nord avec un grand trou.

     Merci surtout à Super Hasard, de nous avoir permis de retrouver dans nos dossiers, juste au moment voulu, un document exceptionnel, qui prouve que des explorateurs du Grand Nord du XVIe en savaient déjà, bien plus sur le vortex polaire que certains bien-pensants de nos contemporains.

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire".

VI Quand La revue Nexus, dans son n°83 de Nov-Déc 2012, en remet une couche (qui se veut scientifique) dans l'affaire de la Terre creuse.


     D'abord notons ceci... Voici la couverture de la revue Nostra N° 283 du 20-26 Avril 1977 :


     Cette revue bien décriée par les bien-pensants de l'époque, avait au moins eu l'audace de présenter en 1977 dans sa couverture, le thème de la Terre creuse, car cela devait être important puisque c'était le savant atomiste très atypique, Jacques Bergier, qui en parlait. Voir notre article :


     Revoyons maintenant les couvertures de deux numéros de Nexus, dont nous avons déjà parlé :

  

     Comme on le voit le thème de la Terre creuse qui pour ARTivision, est d'une importance inouïe, et qui surclasse tous les autres, est considéré par cette revue, comme sujet très secondaire, voir même peut-être insignifiant et futile, qui ne mérite pas que l'on en parle dans sa couverture.

     D'ailleurs c'est si dérisoire, que l'auteur dans le n° 83 de l'article intitulé "Terre creuse : Une troublante Théorie" n'a même pas jugé bon de mentionner que la revue Nexus avait déjà sorti un article en 2002 sur le sujet, et bien sûr, soit il ignorait l'article admirable de Mr Pascal Cazotte déja étudié plus haut, soit, et c'est plus grave il a jugé cet article, comme manquant de compétences scientifiques en rapport à son propre niveau, en oubliant que les théories scientifiques ne sont valables que pour une époque et souvent sont remises en question d'une génération à une autre. En effet, l'histoire des sciences, nous permet de savoir que les scientifiques n'agissent qu'en fonction des informations admises par leurs mentors universitaires et si par exemple, on leur apprend que l'énergie du Soleil est due à des réactions atomiques basées sur le noyau de l'hélium, ils s'en tiendront là, et feront leurs thèses et leurs calculs sur l'équation fondamentale tirant l'énergie de l'hélium. Et ils en resteront là, jusqu'à l'apparition d'une nouvelle théorie plus générale. Il n'y avait pas si longtemps avant la découverte de la célèbre formule E=MC² d'Einstein, on admirait la théorie de la contraction proposée par Helmholtz, qui dès 1854 supposait qu'il y avait transformation de l'énergie de gravitation en énergie thermique et que le Soleil devait se contracter par simple effet de l'attraction gravitationnelle vers son centre et produire ainsi de la chaleur par compression des masses gazeuses.

      Donc tout est relatif dans ce monde et le domaine de la Science est lui aussi, fonction du niveau d'évolution de ses chercheurs dans le Temps et l'Espace. Le Vrai (à un certain degré de connaissance de nos universités) est donc aussi impalpable que le Faux. Les lois que l'on applique à un moment donné doivent s'adapter aux découvertes nouvelles pour s'y intégrer tant soit peu. Les révolutions culturelles sont difficilement acceptées par les mandarins et des "martyrs" en font souvent les frais. L'histoire de la Science est criblée de cas de cette nature, comme par exemple l'histoire déjà vue plus haut du philosophe Giordano Bruno auteur de près d'une centaine d'ouvrages qui affirmait que la Terre n'était pas du tout le centre du Monde, et qu'en plus l' univers était infini, comme l'infinie puissance divine, et possédait des mondes innombrables - non plus un monde unique et limité, comme l'admettait Saint-Thomas d'Aquin, après Aristote. Pour ces paroles totalement admises actuellement, il a horriblement été pourchassé par la Sinistre Inquisition, qui en l'an de grâce 1600, n'a pas hésitéà le brûler vif, sur ordre du Saint-office, et ce Giordano Bruno, n'a jamais, à notre connaissance, été réhabilité, ou même canonisé, ce qui n'aurait pratiquement rien coûté, actuellement à l'Église qui l'a brulé
.

     Pour en savoir bien plus avec images, voir notre article :


     Les détracteurs zélés diront vite qu'à l'époque, la science était à ses balbutiements et il en est heureusement plus de même actuellement.

     Voyez cependant l'affaire de d'Immanuel Velikovsky et de bien d'autres, qui furent des précurseurs très critiqués.

      Il faut noter aussi, (nous l'avons déjà expliqué), que les scientifiques n'agissent qu'en fonction des informations et des lois admises dans leurs universités et donc, ils construiront alors leurs appareils de mesure, en tenant compte des seules données admises. Le site ARTivision, a présenté plus haut, au paragraphe IV, une thèse qui s'oppose totalement à celle des scientifiques actuels, et qui dit que le Soleil n'est pas du tout brûlant.... C'est le rayonnement, encore inconnu de ce Soleil, qui en traversant d'abord, les couches de l' Éther de la planète (non accepté par la science), et puis ensuite les couches de l'atmosphère, qui fait apparaitre chaleur et lumière sur la Terre, ce qui somme toute, est plus logique pour organiser la vie dans notre système solaire.

      Un autre exemple : De nombreux explorateurs et aviateurs ont prétendu avoir atteint le Pôle Nord, sans savoir que leur instruments de navigation sont conçus en fonction de connaissances contemporaines de la Terre, c'est à dire qu'ils prennent en compte des données sur la sphéricité de la Terre, et qu'ils ne fonctionnent qu'approximativement aux abords de la concavité polaire. Les ingénieurs qui ont fabriqué ces instruments, ignorent donc l'existence de cette concavité, et les resultats de leurs appareils sont donc faussés obligatoirement...

   En effet, dans un article intitulé "La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous l'admirable schéma très didaDIV>

     ctique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au supposé Pôle Nord officiel :


    Et, il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, les angles Alpha, Bêta, et Gamma ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma, et donc que la position déterminée par l'explorateur en sera automatiquement faussée sur le terrain. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire que nous évoque, notre bien pratique schéma suivant d'une pomme :

  

      Nous n'allons do nc pas vous saturer des schémas et termes scientifiques exposés dans cet article du Nexus n° 83 en question, dont on vous avait déjà montré le début :



     Par contre nous vous présentons d'abord cet entrefilet de la page 102 :


     Il y a de cela bien des années, nous avons en effet écrit à l'Editeur Albin Michel pour lui demander très respecteusement, de tout faire pour traduire cet ouvrage "Hollow planets" de Jan lamprecht de 1998, car cet ouvrage complétait parfaitement celui de Raymond Bernard "La Terre creuse" qu' Albin Michel avait si judicieusement publié en 1971.

     Hélas la politesse se perd de nos jours, car nous n'avons jamais reçu de réponse. Sans doute un nouveau rédacteur en chef était totalement hermétique à cette affaire de Terre creuse. Il s'en mordra les doigts, car la Divulgation approche à grands pas, et assurément cet Editeur va se faire court-circuiter par un autre plus vif et plus habile .

     Puis, il nous semble primordial de vous présenter aussi ce passage scabreux, extrait des pages 100 et 101 :


     Nous avons alors soulignés en rouge, les phrases condescendantes qui nous interpellent dans ce texte.

     Il n'y a pas bien longtemps, nous avons fait de grands éloges, à la revue Nexus pour le remarquable article, de son n°73 de Mars-Avril 2011, et article à vulgarisation scientifique, de 8 pages, venant probablement d'un astronome qui se fait appeler Eupalinos , sans doute pour ne pas salir sa réputation officielle et subir ainsi les railleries ignares, de ses éventuels collègues. Voir notre article :


     Mais, ici, il n'en sera pas de même, pour cet article de ce Monsieur Pierre Fontanel, car paradoxalement, il traite en premier lieu, la Théorie de la Terre creuse, de "théorie fantaisiste", et dit en plus, que les ouvertures polaires sont pour lui, une "hypothèse, avec images douteuses à l'appui"...

     Nous dirons alors, à ce Monsieur de tourner sa langue 7 fois dans son logement, avant que de dire, que seule sa méthode prétendument scientifique est valable, et que tout autre chose, n'est que canular et supercherie.


     Il faut alors savoir que cette image fut présentée par ARTivision, dès le 21/04/2004 dans notre article: Byrdalicesuite.html

     Et donc ce monsieur Pierre Fontanel, avait tout le loisir de faire analyser par des spécialistes, les caractéristiques intimes de cette photo et de publier ensuite un rapport fermant le bec à tous ces gogos qui croient au soi-disant canular. Le site ARTivision lui, ne s'est pas contenté de se tourner les pouces entre temps, et il a demandé (nous l'avons vu dèjà plus haut), à un infographiste qualifié, de nous sortir ses conclusions à ce sujet : Revoici donc, une fois de plus, en substance, ce qu'il nous a révélé :

""     Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses..."


      Si cela s'averrait exact, nous serions là en ff0000 size=6>document exceptionnel  et inestimable
.

      Donc voilà une affaire à suivre de très près, et affaire où aurait dû entrer en jeu, ce Monsieur Pierre Fontanel, qui a certaiment bien plus de moyens d'agir que nous.

     Et puisque, ce Monsieur parle aussi d'une ouverture de plus de 1000 km de diamètre, nous lui redisons encore que, compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d'environ 12713 km et que sur la photo testée l'arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire, nous donne pour cette ouverture réelle du trou 1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma présenté dans le livre "La Terre creuse", de Raymond BERNARD déjà cité plus haut :


      Mais nous avons aussi vu, ce que ce Monsieur Pierre Fontanel, s
emble totalement ignorer, c'est que cette affaire de diamètre de l'ouverture polaire est tout à fait illusoire, car ce diamètre varie en fonction de la Respiration de la planète Terre, qui est un organisme vivant, (et cela n'est pas enseigné dans nos universités).

     Quant à parler de manière totalement dérisoire, de Guerre froide, de secret millitaire, d'illuminati et consorts... ce monsieur feint d'ignorer qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus évéillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York en Sept. 2001... etc..., et bien d'autres affaires encore cachées...

     Voir quelques unes de ces affaires dans nos articles :




     Alors, il faut savoir que le niveau du secret concernant l'affaire de la Terre creuse , est au-dessus de tout ce qui précède et donc tout est fait, pour nous cacher au plus haut niveau, la Vérité sur cette affaire qui concerne, cela va de soi, l'Humanité entière.

      Mais, terminons par ce paragraphe :

Étoile interne ?

     Ce qui dérange le plus, dans le modèle de Terre creuse, c'est l'éventualité d'une étoile interne. D'après les observations ( note du webmaster: mot très mal choisi, car il s'agit simplement d'hypothèses sans vérification) une si petite étoile ne pourrait que s'effondrer. Mais peut-on extrapoler à une étoile interne des données d'observations d'étoiles classiques ? Ne s'agit-il pas de deux réalités très différentes ?

     En effet ce Monsieur vient de marquer un bon point, car depuis belle lurette, le site ARTivision a parlé d'un soleil interne, qui pourrait fonctionner comme une luciole ou un poisson phare. (Voir plus haut).

      Mais, nous l'avons déjà écrit au-dessus, les savants actuels, ne savent même pas comment fonctionne le Soleil extérieur de la Terre, à plus forte raison, celui jamais vu, de l'intérieur.

     Mais, on aura sans doute fait un Grand pas, dans la connaissance de notre système solaire, le jour où, nos scientifiques auront la preuve que le sieur Howard Menger, a dit la vérité. Reprenons donc, volontairement, ici, son extraordinaire propos que nous lisons en page 220 de son ouvrage :


     La phrase suivante, témoigne bien de la grande modestie de l'auteur, et elle raconte , un voyage hors norme, qu'il aurait fait dans un vaisseau spatial de ses amis :

     " Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant."

surtout pour quelqu'un qui n'avait rien des qualités d'un astrophysicien.

      Rappelons que cet Howard Menger, a produit dans son livre, des photos de la Lune, dont voici une, qu'aucun spécialiste n'a pu expliquer jusqu'à présent :


     On y voit parfaitement dans le coin supérieur gauche, une portion du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à la Lune...

      Alors, Monsieur Pierre Fontanel, au lieu de critiquer systématiquement, les photos des pôles de la Terre, en voilà, une autre, très claire de la Lune, que vous pouvez faire analyser par des Maîtres de l'art en photographie, et là au moins, si cette photo est authentique,, et qu'il ne s'agit pas d'une maquette, vous aurez la preuve indirecte absolue, que le Soleil n'est pas du tout un corps très chaud, comme on vous l'a appris à l'université. Point Barre...

     Enfin pour terminer, voyons ce paragraphe de la page 111 :


     Voyons d'abord, puisque l'auteur en parle, ce qui se trouve dans ce N° 70 de Nexus :


     Comme vous le voyez, il n'est nulle part question, d'un article où est évoquée, l'affaire de la Terre creuse. Par contre, nous nous félicitons d'y trouver, un article qui remet en question cette affaire, évoquée plus haut, du BIG BANG...

     Ensuite disons, Bravo pour cette initiative, invitant les scientifiques à réévaluer les masses des diverses planètes de notre système solaire. Mais, il faudrait être certain de connaître parfaitement toutes les planètes du système, sinon les calculs seront très approximatifs. Or, le site ARTivision prétend, en partant de sources ésotériques, que la Terre aurait une sœur jumelle inconnue, nommée l'Anti-Terre, qui évoluerait symétriquement à elle, en restant continuellement cachée derrière le Soleil, sans pour autant, appartenir à la même orbite que celle de notre planète :


    Et voici son orbite, d'après le chercheur ami Frendelvel:


     Pour en savoir plus prière de consulter nos pages :

     Donc, à bon entendeur salut...

VII Conclusion.


     Nous avons, dans cet article voulu prouver que certaines légendes devaient être reconsidérées comme des bribes ancestrales d'un véritable récit historique.

     D'autre part, le site ARTivision, prétend aussi démontrer que le Temps des Révélations est bien arrivé, et que tout un chacun est porteur d'un brin de Vérité, et est assimillable à la goutte d'eau de pluie qui va rejoindre immanquablement l'océan, où elle y puisera, force et régénération. Nous sommes donc tous individuellement reliés à cette Énergie Cosmique, aussi appelée le Très Haut, actuellement en grande mutation, et nous avons tous notre petite pierre à apporter à l'édifice fantastique qui se construit actuellement, d'en déplaise à ceux qui croient être les seuls à posséder la vraie connaissance.

     Pour vous montrer justement que sur ARTivision, rien ne se passe par hasard, et tout arrive juste au bon moment, voici une missive qui correspond parfaitement au souhait que nous avons émis à la fin du paragraphe VI ci-dessus de cet article :

From: J.F ....
Sent: Saturday, January 12, 2013 9:06 AM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: Découvrir
          Bonjour,

     Je découvre et parcours votre site avec beaucoup d'intérêt et de curiosité, j'y ai été amené en travaillant un peu sur les mystères des pyramides égyptiennes. Bravo pour vos recherches et les hypothèses qui en découlent, sans parti pris ni certitudes ésotériques.

     Concernant les trous polaires, je souhaiterais savoir si vous avez déjà tenté de valider certaines des photos que vous publiez, à l'aide d'un logiciel d'analyse du type TUNGSTENE (fiche Science et vie de Mai 2012 jointe à ce sujet). En particulier, la photo du trou polaire nord publiée de la page 23 de la revue "Civilisations diparues" de même que celles du Sciences et Vie de novembre 2004, ou Ciel et Espace N° 326 de juillet 1997.

     Ces logiciels, (pour autant qu'on puisse les utiliser...) permettent l'analyse très pointue des photos non seulement numériques, mais également argentiques par l'une des méthodes employées, optique ou algébrique.


     Merci de votre avis, peut-être d'ailleurs en avez vous déjà parlé, auquel cas pardonnez ma naïveté de débutant sur votre site.

          Cordialement.

          J-F.


Fin de citation.

      Bien sûr, nous avons vivement remercié l'internau    &nte J-F, pour sa contribution très utile aux recherches plutôt sélectives d'ARTivision. Cette missive nous réjouit particulièrement et répond tout à fait aux préoccupations que nous venons justement d'exprimer plus haut, vis à vis du sieur Pierre Fontanel, ainsi que vis à vis, des détracteurs zélés, qui parlent souvent vainement, sans agir.

       N'étant pas fortiche en informatique ARTivision a toujours cherché à découvrir des internautes qui pourraient appliquer leur connaissance aux images que nous présentons et qui surprennent souvent nos correspondants. Le logiciel TUNGSTENE, que nous ne connaissions pas, tombe donc à pic, (si son prix n'est pas prohibitif), pour permettre à tous les internautes passionnés d'exercer, leur vigilance, vis à vis de toutes ces images bidonnées qui nous envahissent sur le Web. Nous l'avons dit plus haut, nous n'avons trouvé qu'un seul infographiste ayant accepter (et cela il l'a fait gratuitement), de nous traiter l'image célèbre ci-dessous :


      Que la Force, et la Joie de la découverte, soient donc avec les plus téméraires de cette affaire inouïe de Terre creuse.

      Et, pour parfaire ce qui a été dit plus haut, voici ce qu'en pense un très Grand Maître:

Consultations pour cet article:
ARTivision est un site ésotérique strictement personnel de :
Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@wanadoo.fr

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Quand, la légende rejoint la réalité...

I Introduction.

     En mettant un peu d'ordre dans divers documents nous sommes tombés récemment sur des articles qui vont alors nous permettre une brève synthèse de la théorie de la Terre creuse, théorie vraiment hors normes, au sujet de laquelle nous avons déjà publié plus de 70 articles.

II Genèse de l'affaire.


    Commençons, si vous le voulez bien, par cette photocopie d'un article très important de Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons seulement le début :



et article publié dans le n° 21 de la revue Nexus de Juillet-Aout 2002, dont voici la couverture :



     et voici le sommaire, où nous avons souligné en rouge l'article en question :



D'autre part plus bas, nous analyserons aussi certains points du n° 83 de Nov-Dec 2012 tel que :



On y trouvera alors ceci :



    En relation avec le sujet de notre article, on peut alors présenter ces lignes du n° 21 de Nexus :



    Vous avez donc bien noté qu'à l'origine, le mot légende signifiait "ce qui doit être lu".

    Mais comme l'auteur, nous parle entre choses des grecs. Voyons tout de suite, ce qui pouvait être lu sur les grecs dans leur tradition .

    Pour être loyal, disons déjà, que nous avons recomposé les colonnes de ce petit fascicule :



tel que :



    Après avoir bien lu, les mots soulignés en rouge, il ne nous reste, une fois de plus à nous poser la question cruciale :

" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis" justement au Pôle Nord qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

    De plus, on apprend que le dieu "Apollon rencontra les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse". Curieux n'est-ce pas !!!, d'autant que Billie Faye Woodard, ce Colonel, viré de l'Armée US, instruit dans la Zone 51, et qui aurait visité, sous l'instigation de l'Armée de son pays, l'intérieur de notre planète, nous révéle les mêmes choses inouies : Voir alors nos articles :



    Notons aussi, que nous avions déjà parlé des hyperporéens dans un article intitulé "Quand on parle en Russie de l'Hyperborée" et placé à :


     A vous de juger...

    Mais, il appartient ici à ARTvision d'avancer une explication concernant ce "Paradis", où les dieux grecs allaient se resourcer. Des spécil alistes en mythologie mondiale, des historiens aguerris, des docteurs en littérature, des anthropologues affirmés, des psychologues et consorts, trouveront des dizaines d'explications,( sauf la bonne), au fait que pour atteindre ce paradis des grecs, il fallait prendre la direction du Pôle Nord. La bonne explication, bien que fantastique en elle-même, est qu'il existe assurément un vortex au Pôle Nord, qui permet d'accèder à l'intérieur de la Terre et le voilà en image :


    Notre ami de longue date, Frédéric, dont le super site est tel que :


,nous explique que cette photo, est extraite de la vidéo plutôt ancienne :


    La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" . Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à cette ancienne vidéo, n'est-ce pas !!!

     Mais dès 2004, nous avions pu extraitre du site: http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui hélas n'existe plus, cette image :



qui, comme on le voit, est la portion supérieure, un peu plus inclinée, de la superbe photo précédente.

    Cette inclinaison s'explique par le schéma suivant :



    On voit alors que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord.

      Quand à cette affaire de mer libre du Pôle Nord, si souvent évoquée par ARTivision, pour mieux la visualiser, jetez donc un petit coup d'oeil sur ceci, où justement cette mer libre immense, apparaît comme un fond bleu sombre :



      Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules qui fleurisent en ce moment, sur la thèse de la Terre creuse que le site ARTivision fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès Septembre 2000.

     Voyez-vous même :

   

     C'est d'abord dans son article sorti dès le 21/12/2000 :

qu' ARTivision a présenté en 2004, cet incroyable trou polaire vu juste au-dessus.

     Donc photo très surprenante se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23) : Cette image venait à l'époque (nous,... nous n'avons rien à cacher, alors que ces opuscules eux, évitent soigneusement de parler d'ARTivision), d'un site allemand http://www.pousada.ch/erde/pol.html, qui actuellement est remplacé par autre chose, tout différent. Voici donc cette photo étonnante qui prétend montrer le trou polaire nord de notre planète :





     Après quelques recherches, nous avons appris, il y a quelque temps déjà, que cette photo aurait été captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, (Certains n'ont pas hésité pour noyer le poisson gênant, sans aucune preuve, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo ). Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particilier le 21/04/04 à l'article:


où, le site ARTivision , a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue de cette image, faite par un infographiste qualifié :

      Voici donc ici, une partie, de la conclusion de cet infographiste, et conclusion que les protagonistes des opuscules précédents , ont dû prendre en compte (sans, nous l'avons dit, citer une seule fois le vocable ARTivision), pour oser présenter à nu, cette photo dans leur fascicule :

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

      Nous n'avons pour l'instant hélas aucun moyen de certifier tout cela. Donc voilà une affaire à suivre de très près.

      Cependant nous avons fait quelques calculs concernant le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d’environ 12713 km et que sur la photo testée l’arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire nous donne 1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma :


      Schéma tiré de l'ouvrage incontournable et devenu très rare, de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru chez ALbin Michel en 1971 ouvrage pratiquement introuvable, même en librairie spécialisée, et dont voici la couverture:


      Mais, tous ces calculs sont parfaitement dérisoires, car chose inouïe, ces trous polaires, paraît-il, s'ouvrent et se ferment, en fonction de la "respiration" de la planète ...

     Que celui qui a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, cherche donc à en savoir bien plus , dans les documents tangibles , qui ne demandent qu'à être sortis de leurs cocons...

     Pour le novice rappelons alors l'historique de tout cela concernant notre bonne planète Terre. En effet on découvre, par exemple, qu'à une époque, on croyait fermement comme vérité absolue :
 
Que la Terre était plate, fixe et le centre de l'univers.

Puis, on a dit qu'elle est ronde.

Puis on a dit qu'elle tourne sur elle-même et autour du soleil .

( Le philosophe Giordano Bruno, en a fait horriblement les frais, à cause de la sinistre Inquisition, quien l'an de grâce 1600,  n'a pas hésitéà le brûler vif,  sur ordre du Saint-office voir les images dans notre article :FlyingSaucersDec59.html

Puis, on a dit qu'elle est aplatie au pôle, et donc qu'elle est un ellipsoïde de révolution.

Puis on dit, ces derniers temps, qu'elle est creuse, avec un petit soleil au centre.

(Ceci reste à être démontré clairement et ARTivision s'y évertue régulièrement )

Puis on dit désormais qu'elle est vivante , qu'elle inspire par le Pôle Nord,
et expire par le Pôle Sud.

(voir notre article incroyable en date du 15/06/2011, à :
http://www.artivision.fr/AtlantideGodard.html
)

................................et ce n'est sans doute qu'un début .............................

    Nous pourions reprendre l'exemple précédent en ce qui concerne le Soleil, et ce serait toutaussi surprenant, et cela ferait  tomberencore plus le novice , à la renverse.

     Mais découvrons un peu plus, l'excellente prose de Mr Pascal Cazottes dans ce n°21 de Nexus :



    Les phrases en rouge sont assez claires et significatives pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? Sauf que le être creuse avec surtout, un soleil central tel que le découvrirent les norvégiens Olaf Jansen et son père, partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord. Voir notre traduction lancée en exclusivité, dès le 6 Avril 2001 à :


    Nous n'allons pas bien sûr, exposer ici les 5 pages de cet excellent travail de Mr Pascal Cazottes, mais tout de même nous ne résistons pas au plaisir de vous transmettre ceci déjà présenté dans notre article : FlyingsaucersDec59.html:

     " D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro» qui vous expliqueront que les ouvertures aux pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses ouvertures ".

     Et pour illustrer encore mieux, cette étrange affirmation, nous découvrons aussi cela en page 31 :

     " Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd le 14 juin 1947. En effet, ce jour-là, alors qu'il survolait une nouvelle étendue où la glace semblait régner en maître, quelle ne fut pas sa surprise lorsque se présenta soudain devant lui une longue vallée étroite et profonde, exhibant une végétation à la richesse tout à fait remarquable. De plus, un soleil généreux semblait dispenser en pennanence ses rayons bienfaisants à cet authentique paradis perdu.

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite."


     Nous remercions vivement la revue Nexus et surtout Monsieur Pascal Cazottes de nous offrir la propice occasion de formuler ici, ce nouveau paragraphe.

    Nous invitons donc ici dès lors, le néophyte qui entre pour la première fois, dans ARTivision par cet article, à bien attacher sa ceinture, car à l'altitude où l'on va voguer maintenant, il risque d'y avoir de très fortes turbulences.

     En effet, tout cela serait considéré, comme le dit Monsieur Cazottes , comme spéculation gratuite , s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ?

Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo prise --> par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....

"Fin de citation"

    Mais, dans le livre de R Bernard, mentionné plus haut, on trouve on le sait, ce schéma déjà aussi présenté :


et, on découvre là, que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre. Mais, nous avons aussi découvert sur le site :

ce schéma :



     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.

    Nous avons alors poussé l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

      On résume, alors tout cela en disant désormais, que notre planète Terre est une "entité vivante"
, qu'elle inspire par le Pôle Nord, et expire par le Pôle Sud.

      Pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo :


,publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".

    Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation).

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien. Voir alors notre article :

     Comment Siragusa avait-il pu obtenir ces photos jamais vues dans la presse à l'époque? En sortant la photo en question, lors de la conférence du 20 Mai 1972 à Paris, il a déclaré : " Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord, qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public ".

    Curieux que tout cela, n'est-ce pas !! A vous de juger, documents à l'appui....

      Mais reprenons ici, la fin du texte de Mr Pascal Cazottes, où il nous parle d'une légende célèbre d'Asie centrale : L'Agartha...

Début de citation :

L'Agharta


     Pour en terminer avec nos mythes et légendes, lesquels font très certainement appel à notre mémoire collective, il nous faut encore parler de l'incontournable Agartha. Essentiellement connu par les bouddhistes d'Asie Centrale, le royaume d'Agartha se présente comme un gigantesque dédale de souterrains et de cavernes parcourant le globe tout entier. Refuge des peuples provenant des continents perdus de MU et de l'Atlantide, l'Agartha aurait vu se développer la plus grande civilisation qui n'ait jamais existé sur terre et n'existera sans doute jamais. Foyer de progrès, d'intelligence et de sagesse, ce monde souterrain abriterait d'immenses bibliothèques de pierre contenant toute la connaissance de l'univers. L'Agartha a une capitale, Shambhalla, et un souverain, le Roi du Monde. Ce dernier, doté de pouvoirs inconnus aux hommes de la surface, maîtriserait toutes les forces de l'univers. Il lui arrive parfois de faire quelques brèves apparitions dans notre monde. À chaque fois, des miracles ont jalonné son chemin (des paralytiques se sont mis à marcher, des morts ont été ressuscités, etc.). Lors de sa dernière apparitions en Inde, il montait un superbe éléphant d'un blanc immaculé, était lui-même de blanc vêtu et tenait dans sa main droite une pomme d'or surmontée d'un agneau. (Note n° 1 du Webmaster: l'auteur fait référence ici à l'ouvrage très surprenant du Dr. Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924 chez Plon et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai lu" dans la prestigieuse collection hélas disparue " L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :

  

     Voici quelques bribes, des pages en question :

     " Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :

     "La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...

...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres , les herbes et les buissons se mettent à pousser ; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète
""

Fin de citation

      Avouons que ces propos du Dr Ossendowski surclassent de très loin les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoop journalistique, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...

     Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature .

     Mais peut-on imaginer que cette civilisation veuille bien un jour, prendre un contact officiel avec les nations de lale délabrement
que nous offrent les affaires terrestes de ce moment....A vous de juger..., et suite du texte de Mr P. Cazottes
.

     Les accès à l' Agartha sont bien cachés et gardés par des forces inimaginables, de sorte que seuls quelques rares initiés peuvent y pénétrer, comme ces lamas ayant atteint la sagesse absolue. Ce qui nous amène naturellement â penser au Tibet, terre, aujourd'hui martyre, qui a vu naître les plus anciennes traditions sur le fabuleux royaume souterrain, et dont le sous-sol serait occupé par Shambhalla, véritable cité de lumière. Le Roi du monde est, bien entendu, le lieu de prédilection pour parvenir jusqu'au sein de l'Agartha. Cependant, des passages ,existeraient également en Égypte, en Irlande, en Islande, dans le désert de Gobi et dans la forêt vierge d'Amazonie. Alors, rêve d'un monde meilleur ou réalité insaisissable, l'Agartha hantera sans doute encore longtemps l'imaginaire humain.

Aucune certitude


     Ainsi que nous venons de le voir tout au long de cet article, la terre creuse n'est pas un sujet facile à traiter. Ses facettes sont multiples et les preuves font cruellement défaut. De sorte qu'aucune certitude ne puisse être définitivement acquise dans un sens comme dans l'autre. Tout n'est ici qu'affaire de conviction ou de croyance. En ce qui me concerne, je serais enclin à penser qu'il existe bel et bien «quelque chose» sous nos pieds. Je ne sais pas si notre terre a la forme d'une sphère creuse dont la cavité serait occupée pzu un hypothétique soleil, mais j'ai le sentiment qu'une si riche mythologie sur le monde souterrain n'aurait pas pu se développer dans le monde entier, comme elle l'a fait, s'il n'y avait pas eu, au départ, quelques éléments tangibles laissant imagine- que... D'autre part, il existe quelques témoignages troublants concernant des rencontres avec des êtres semblant avoir élu domicile dans les entrailles de la terre. Ainsi, celui de la baronne de Beausoleil, savante du XVIIe siècle et experte en minerais, qui nous dit avoir vu, un jour, dans une mine de Hongrie, à 500 toises de profondeur, "des petits nains, de la hauteur de trois à quatre paulmes, spectres épouvantables à ceux que l'expérience dans la descente des mines n'a pas encore assurés". À contrario, des hommes à la peau blanche et de très grande taille auraient été vus en plein c œur de la forêt amazonienne, sortis de je ne sais quel souterrain. Et voilà qui vient encore compliquer notre affaire. Un homme, cependant, avait peut-être su y voir clair. Je veux parler de Jules Verne, décédé au début du XXe siècle. Cet écrivain de génie qui avait si bien décrit, dans son ouvrage "De la terre à la lune", la conquête par l'homme de notre satellite naturel, 104 ans avant que Neil Armstrong n'y pose le pied, (Note n° 2 du Webmaster: nous avons démontré sur ARTtivision que pratiquement, toutes les photos montrant les évolutions des américains sur la Lune, sont manifestement truquées. A vous d'en tirer les conclusions qui s'imposent : En effet le site ARTivision, fut l'un des premiers sites, dans son article daté du 30/04/2000 :


sur le Web français, à parler de ces bizarreries découvertes dans les photos de la NASA, puis est venu aussi le livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux publié aux Editions Carnot en Décembre 2000, et dont le site est à : http://lheureux.free.fr/

     ARTivision a publié ensuite, de nombreux articles traitant de ce même sujet :

     Mais, bien avant l'arrivée de l'Internet, on doit savoir c'est que, d'abord, un américain même, qui a tout dévoilé, à ses risques et périls dès 1976. En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD.

  

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     Bill Reid Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'est un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo. Son ouvrage, on s'en doute n'a jamais été traduit en français, et est tout simplement le précurseur incontestable, qui avait déjà à l'époque flairé le Gigantesque Bluff , à l'égard de l'Humanité entière, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les fusées "Apollo" et les "LEM".

     Hélas aucun éditeur français, n'a eu le courage de traduire cet ouvrage et les gogos de toute nature par exemple comme ceux si fiers de leurs revues d'astronomie, comme cette revue Ciel&Espace et consorts ont continué jusqu'en Octobre 2012, à nous radoter les exploits que furent pour eux, les débarquements lunaires d'Apollo 11, à Apollo 17 : (voir notre article : http://www.artivision.fr/France-Antilles27Aout2012.html, daté du 09/09/2012 ) , et désormais les protagonistes des chaînes de télé ayant pignon sur rue, ont maintenant un gros travail à faire pour se recycler dans la connaissance de cette intolérable supercherie, et ils sont encore très réticents à admettre le fait inouï que la NASA les a abusés lamentablement.

    Fin de la note n° 3, et suite du texte du de Mr Pascal Cazottes)


, avait fait preuve là, et pour le moins, d'une intuition sans faille. Se pourrait-il qu'il en fut de même dans son livre "Voyage au centre de la terre", écrit en 1864, soit seulement un an avant celui sur l'épopée lunaire ? Je laisserai au lecteur le soin de répondre à cette dernière question.


Fin du texte de Mr Pascal Cazottes.

(Note n° 4 du Webmaster: Jules Verne sans avoir imaginé comme Euler (un siècle avant, presque) qu'au centre de la Terre, il y avait un Soleil, en savait bien plus, qu'on ne le pense sur la constitution probable de l'intérieur de notre planète, car notre grand Maître de la Science Fiction, savait effectivement en plus, une chose extraordinaire , que les savants actuels ignorent toujours :

    En effet dans son ouvrage " Voyages et aventures du capitaine Hatteras" , ouvrage publié en 1866, et dont voici deux présentations modernes:

  

et, dans le chapitre XXIV intitulé : "Cours de cosmographie polaire", on trouve au tome 2 Le désert de glace ceci :

"Enfin, de nos jours, on a prétendu qu'il existait aux pôles une immense ouverture, d'où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l'intérieur du globe; "
     Comme on le voit donc , c'est clair , net , et sans bavure. Donc, dès au moins 1866, lors de la sortie de son livre précité, Jules Verne en savait plus que nous, sur les ouvertures polaires, alors que le Webmaster d'ARTivision, lui, n'a découvert cela, qu'en 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre déjà présenté plus haut "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":

     Notons que Jules Verne aurait pu s'inspirer dans son roman, VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE ( de 1864) au sujet du soleil central (qu'il a ignoré) et placé à l'intérieur de notre bonne vieille Terre, de cet ouvrage publié d'abord en anglais puis en français en 1821 :



      Cet ouvrage est d'un certain Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin, ouvrage en 3 volumes édité à Paris par les libraires Caillot père et fils. Pour en savoir plus, voir svp, notre article :Byrdalice.html .

    Mais, il nous appartient aussi ici de présenter sur la pointe des pieds, une extraordinaire déclaration reçue par un fidèle ami, dont les recherches sur le sujet sont pousées. Cette déclaration lui est venue d'une amie astrophysicienne, dont nous ne pouvons dévoiler ici le pays d'origine, et dame qui prétend qu'elle a vu :

" so-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-highlight: yellow; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA">des rapports officiels qui stipulent du passage vers l'intra-Terre aux pôles avec des photos "terrestres et satellites", "
    Que dire de plus sur tout cela, sinon de parodier la célébre réplique : "Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre" par celle-ci :

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire"

    Fin de la note n° 4, et suite du texte du de Mr Pascal Cazottes)


    Précisons aussi que ce texte de Mr Pascal Cazottes se termine par cette Webographie :


    Rappelons alors, que notre article dont l'url est cité en troisième position sur la liste précédente, est totalement obsolète, et doit être remplacé par la page:


    Mais, si nous avons aussi reproduit la publicité qui accompagnait en la page 33, la fin de l'article de Mr P. Cazottes, ce n'est pas pour faire de la frime, mais c'est surtout pour mettre en évidence cette déclaration inouïe, qui se trouve dans les pages 193 et 194 de cet ouvrage extraordinaire intitulé"LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif, et poétique en plus :

     " Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir
. "

     Mais pour être fair-play , et contenter tant soit peu les puristes, nous allons présenter maintenant, quelques extraits d'un article tout à fait opposé à notre thèse et publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997. Pour l'auteur de cet article, l'affaire de la Terre creuse n'est qu'un fantasme relevant entièrement du mythe . Voyez vous-même :


     Puis à la page 68 on trouve ceci :


     Dans son laïus qui se veut sérieux, l'auteur semble pourtant avoir volontairement oublié de citer les travaux du mathématicien et astronome Euler qui , (nous l'avons vu plus haut) a parlé le premier de cette affaire de Soleil central au sein d'une Terre creuse à coque unique, et l'auteur de l'article ose citer Edgar Rice Burroughs sans rien expliquer sur sa théorie. En effet Edgar Rice Burroughs, (dont le celèbre Tarzan est bien connu), avec la série de ses romans les Pellucidar, aborde le thème de la Terre creuse avec un réalisme surprenant qui aboutit à l'ouvrage : Au cœur de la Terre en 1914.

     Voici donc grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée sur ces Pellucidar, par Russ Manning , et on sait que ces vignettes sont parues journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan monter dans un Zeppelin, pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable :

     Vous avez bien noté nous l'espérons, que dans cette BD, il est mentionné que Pellucidar se trouve au centre de la Terre, et que l'on peut y accéder, soit par l'insolite ouverture du Pôle Nord, soit à travers le seul autre chemin que Tarzan connaisse, c'est-à-dire une couche de 800 km de roche, (donc sans doute par des tunnels connus secrets de lui). Il y a aussi cette information qu' à l'ouverture polaire les compas sont inutilisables et aussi qu'au trou polaire, le brouillard est éternel à cause de la rencontre de l'air froid du Pôle et l'air chaud qui monte du centre de la Terre à travers un tunnel de 800 km. Et puis il y a le fait que l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus. Il y même un schéma montant le soleil de Pelucidar et chose surprenante, son satellite nommé Bhodes. Mais si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste du roman, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile d'Edgard Rice Burroughs qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage "Fantôme des pôles" (voir à ce sujet notre article audelaGrandNord.html) que Rice Burroughs avait probablement lu...Á vous de juger tout cela !!!

     Mais revenons à la page 68 de l'article du Ciel&espace n° 326. Nous avons aussi souligné en rouge la phrase : " Si le thème de la Terre creuse appartient à présent au domaine de la science fiction.." . Ceci prouve que l'auteur a définitivement classé cette affaire de Terre creuse dans la science-fiction. Les expéditions de Byrd, et des autres explorateurs ayant découvert une mer libre au Pôle Nord, il ne connaît pas. Les oasis d'eaux libres, les polynias, les températures qui augmentent à proximité du pôle, s'expliquent vite fait, par des considérations thermodynamiques. Point Barre.

     D'ailleurs, il met entre guillemets l'expression "mystère polaire", ce qui veut dire qu'il n'y pas rien de mystérieux au pôle sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre. D'ailleurs dit-il aussi "les pôles ne sont-ils pas la porte vers l'infra-monde et ses démons ?", comme le dirait, ont pu le penser, bien des religions, qui y placent l'Enfer.

     Et voici le bouquet final de l'article :


      Arrêtons là, voulez vous ce tissu de banalités, mais nous avons tout de même préféré présenter ici, l'image d'un vortex ( Hé oui, il y en a au moins un, ici), relatif à l'aventure d'Arthur Gordon Pym d'Egar Poe, et surtout cette phrase sublime finale soulignée en rouge : "La science, mon garçon, est faite d'erreurs, écrit-il, mais d'erreurs qu'il est bon de commettre, car elle mènent peu à peu à la vérité" .

     Et que l'auteur en prenne lui-même de la graine.

     En ce qui concerne la Vérité, ARTivision, pense qu'elle est donc comme la ligne de l'horizon que chercherait à joindre un novice dans son petit bateau. Il s'apercevrait, bien vite, qu'elle recule à mesure qu'il avance vers elle.

    Voir à ce sujet nos articles :



    Cet article du Ciel&espace n° 326, est de Juillet 1997, et nous pensons son auteur aurait pu découvrir à l'époque, comme nous l'avons fait, cette photo très énigmatique du Pôle Nord :



    Ce document de la NASA, nous l'avons personnellement obtenu en 1977, des mains de l'Agence USIS qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait aussi une photo mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication . On aimerait bien savoir pourquoi ?... Et l'auteur de l'article du Ciel&Espace n° 326 en question pourrait bien aussi y trouver matière à s'interroger plus longuement...

III Quand les esquimaux, nous en disent bien plus.


    Il nous appartient maintenant, de nous pencher sur la Tradition<Quand La légende rejoint la réalité... /B>, qui nous vient d'un peuple courageux vivant à l'intérieur profond du Cercle polaire.

    Commençons voulez-vous par l'ouvrage intitulé en anglais "Not of this World" de Peter Kolosimo, et en français "Archéologie Spatiale", paru en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :

  

    Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Dans le livre de poche en anglais paru en 1970, on trouve en page 92, ce passage :


,et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :


     Nous sommes alors partis à la recherche de l'origne, éventuelle, de cette si surprenante déclaration.

    Et nous avons trouvé alors que cette citation apparaissait dans l'ouvrage célèbre "Le Matin des Magicien" de Louis Pauwels, et de Jacques Bergier, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :

  

     Mais, ce livre célèbre, est sorti à l'origine en 1960, chez Gallimard, sous l'aspect :


      Nous n'avons pas, hélas, le privilège de possèder cet ouvrage de 1960, et nous avions demandé, avec déférence, à l'internaute qui a la chance de l'avoir, de nous en scannériser si possible la deuxième couverture, afin que nous puissions lire le texte qui s'y trouve. Le matin même du 8/11/2011, l'aimable et fidèle internaute Pierre L, (que nous remercions ici vivement), nous a envoyé ceci :


     Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage "Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de notre intérêt, sans cesse croissant, pour le Passé prestigieux de notre Planète.

      Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972, (après pas mal de péripéties), pages 253 et 254, re-strcturées par nos soins:

  
On découvre alors que dans le New york Herald tribune du 11 Juin 1958 que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google, que l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le 11 Juin 1958 dans le New york Herald Tribune, " s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "

Cette thèse officielle a aussi été déjà présentée notre article :

, concernant l'origine des esquimaux, et thèse tirée de l'ouvrage intitulé : "10 000 ans d'histoire Arctique" de J-L Gidding de 1973)
.

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :

" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.

- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe?

- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan

- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ...
"

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse, déjà hardie pour l'époque, de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.

      C'est alors que, Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent le passage le plus inouï, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :

" Or que dit le folklore esquimau? Il p arle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "

     On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels, ont-ils pu puiser une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude, , ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de l'Institut vénérable Smithson, paru le 11 Juin 1958 dans le New York Herald Tribune, que se trouve ce passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).

      La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce New York Herald Tribune du 11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.

     Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité. Mais, nous qui avons découvert les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur ce passage surprenant. ARTivision , prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la Terre intérieure, vers les zones polaires, et l'on va vite découvrir pourquoi, dans d'autres documents.

    Mais, ces savants du XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas", et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage :

"Le Matin des Magiciens" pages 257-258

     Ces Savants du XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?

    Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant deux vimanas en mouvement , tableau, hélas dont nous ignorons l'origine :


    Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :

      N'est-ce pas alors le moment, de replacer ici, notre amusante réplique, vue plus haut :

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire"

    Mais il y a d'autres légendes concernant les Esquimaux.

     Dans l'opuscule de 16 pages de 1873, intitulé "La mer libre du pôle Nord" de Jules Gay :



     on découvre ceci :

      Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices l'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises, m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord sont venus sur leurs côtes..."

    Nous voilà arrivés au passage le plus surprenant de l'opuscule de Jules GAY, et c'est ce passage qui nous a déterminés à mettre en ligne le texte en question dans la page :


    Faisons alors ici une petite digression:

    Sans peut-être, s'en rendre compteJules Gay, qui connaissait les ouvrages de Kane et de Hayes (Puisqu'il les cite au début de son opuscule), anticipe et amplifie ici la phrase, très audacieuse suivante du livre de Hayes ainsi énoncée : " ...les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être que ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue ..."

      Bien sûr ni Hayes, ni kane, ni Gay, ne pouvaient imaginer à l'époque qu'il ne sagissait pas que quelquesîles éparses de la région polaire, mais bien d'un continent immense et intérieur à notre Terre. Cette affaire de légende superbement évoquée par Jules Gay, nous invite aussi à vous présenter ce passage superbe du livre que publia Kane en 1857, et ouvrage que l'on peut trouver sur le site :



     Et pour les puristes, voici le paragraphe surprenant déjà en anglais :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

    Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

     Alors chers détracteurs zélés ou mieux zététiques et autres scientifiques blasés qui ne cherchent pas à en savoir plus sur cette affaire génante de mer libre , sauf de dire que Dr Elisha Kane et aussi le Dr Isaac Hayes, étaient plutôt timbrés, demandez-vous pourquoi plus près de nous, a contrario, Neil Armstrong, après sa prétendue descente sur le sol lunaire, est devenu pratiquement comme un ours en cage, et nous invitons vivement le novice, à analyser avec le plus grand soin, les quelques lignes suivantes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:


et dans l'article concernant LaMerLibreduPoleNord.html, cité un peu plus haut, on peut lire aussi surtout :

    " Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes (et cela n'a pas du tout plu, au nommé Paul Émile Victor ) , voici que pour Neil Armstrong décédé le 25 Août 2012, qui, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage d'outre-terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant, que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités... "

Fin de la digression...

     Mais voici une autre affaire aussi curieuse, concernant les esquimaux : Jetons alors un furtif coup d'oeil, sur le passage admirable page 150, du livre de 1971 de Raymond Bernard " La Terre creuse" déjà présenté plus haut :


      Le Webmaster du site ARTivision, qui aime retrouver la source d'un document, a cherché pendant prés de 40 ans, dans quel ouvrage R. Bernard avait trouvé cette incroyable légende, concernant les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord pour indiquer leur origine...

      C'est ainsi que nous avons même commandé en, Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence l' ouvrage sorti, aux Editionx Flies France en 2006 :

  

      N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant l'affaire des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'Editeur, et même à l'auteur Maurice Coyaud dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi, selon nous, bien sûr, une prétention inégalée, de se croire être des as du savoir concernant les esquimaux...

      Récemment cependant, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de 1907, suivant :

  

      Et en page 180, on découvre alors :


     Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux " Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "

     De plus donc, si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste de ses ancêtres en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même une légende transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du DR SENN qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à deux niveaux : " sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste ".

     Le premier niveau est que l'esquimau a oublié effectivement pourquoi il pointe le doigt en direction du nord , et le deuxième niveau, c'est le Dr Senn lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors il ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de cette énigmatique Mer libre du Pôle. Il a donc, comme vous le voyez, loupé le coche, alors qu'il avait en main, les attributs d'une énorme découverte .

     Mais faisons ici une deuxième digression :

      Ils ont aussi, loupé le coche, ceux qui, comme René Guénon dans son ouvrage intitulé "Le Roi du Monde", publié en 1958 chez Gallimard, parle de ces affaires polaires de manière tout à fait symbolique, faisant partie de l'imaginaire collectif, ou pour ne pas le dire mieux, d'un fantasme séculaire. (Il est vrai qu'en 1958, il ne pouvait disposer comme nous, de photos satellites, mais il avait beaucoup d'autres moyens de se rendre compte, qu'il y avait vraiment un mystère concernant le Pôle Nord, et cela lui est passé sous le nez très malencontreusement).

     " D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".


      Confondre l'Olympe des grecs et l'Hyperborée, (mentionnée plus haut), c'est vraiment faire un amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce René Guenon, reconnaisse qu'à l'origine, la localisation de la fameuse "contrée suprême", d'après certains textes, aurait été primitivement polaire.

    Voyons maintenant un autre son de cloche, bien plus réaliste :

     En effet c'est le grand ésotériste français Serge Hutin, qui dans son petit livre de poche intitulé "Hommes et civilisations fantastiques" paru en 1970 chez l'Editeur J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue " L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238 :

  

nous dit, en page 44 et 45 ceci :


    On voit que, Serge Hutin était particulièrement informé sur ces mystères polaires, car il connaissait déjà en 1970 le livre en anglais de R. Bernard, non encore publié en français (Il le sera l'année suivante en 1971). Dommage qu'il situe l'aventure de Byrd en Alaska alors qu'elle a eu lieu, aux abords, de la région en rouge de notre carte déjà connue :



    Mais cet auteur, qui a bien compris l'énorme importance de cette affaire polaire, va nous en dire, bien plus, dans un nouvel ouvrage paru en 1976, tel que :


    Et là, en pages 46 et 47, il met carrément le pied dans le plat :



     Précisons alors que, ce n'est qu'en 1913, que l'écrivain Marshall B.Gardner, un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de ce soleil central. En 1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.

    Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage que nous avons aussi le privilège de posséder :

  


    Et c'est pour en savoir encore bien plus sur tout cela, qu'ARTivision, a publié déjà, près de 90 articles, sur ce sujet si ahurissant.

    Il y a même, des gens qui ont loupé aussi le coche, quand après avoir eu en main l'ouvrage de R. Bernard, la Terre creuse de 1971, sont vite partis le revendre pour de la menue monnaie, et c'est ainsi que nous avons pu en trouver un, à Paris chez Gibert Jeune, en 1977, pour seulement 11 F, pour le parain de notre fils qui cherchait cet ouvrage depuis 2 ans.

    Cet inconnu, qui a revendu son livre, pour une bouchée de pain l'aurait certainement gardé, si deux années plus tard, il l'avait encore, et s'il avait pu aussi découvrir, les quelques lettres ci-dessous de la revue Nostra, concernant la "Théorie de la Terre Creuse". La revue Nostra,, quand elle avait alors le privilège d'exister, nous instruisait souvent sur ce que bien d'autres revues préféraient taire. (Remarque: à l'époque, on écrivait OVNI à la place d'ovnis, et nous avons mis, comme à notre habitude en relief, les mots clés, selon nous bien sûr, de ces lettres)

Nostra en Avril 1979 , et qui a été publiée en début Mai 1979 :

LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.

    Recevant votre revue depuis parution, j'ai lu avec un vif intérêt l'article du n° 363 de fin Mars 1979 de M.J.L. Bérault sur “l'Agartha”, la cité souterraine qui abriterait les “Maîtres Inconnus” du Monde. Le lama Lobsang Rampa, cité dans cet article a effectivement prouvé son haut degré d'initiation, puisque dans un livre publié à Londres en 1971 et intitulé “Feeding the flame”, il annonçait déjà la prochaine destitution d'un président des Etats-Unis, événement impensable, avant l'affaire du Watergate qui allait précipiter, on le sait, en 1974, la chute du Président Nixon.
    Ce Lama affirme de plus que cette cité souterraine de l'Agartha appartient à un autre monde immense, non encore découvert par nous, mais situé à l'intérieur de la Terre, qui est creuse et possède un soleil central, qui y entretient vies et civilisations, (voir “Crépuscule” J'ai Lu )
    D'ailleurs dans votre article paru dans le n°283 d'Avril 1977, le regretté Jacques Bergier (qui paradoxalement ne croyait pas aux O.V.N.l.) présente cette thèse de la “Terre creuse” comme très possible étant donné que les photos prises par satellites des pôles de la Terre sont frappées d'un “top secret” mondial .

  Pourtant la revue “Science et Vie” annonçait dans son n° 510 de Mars 1960 la découverte en plein Pôle Sud de “l’Oasis de Benguer” où la température dépassait 25° et où vivaient des oiseaux de plusieurs espèces. Le livre du Docteur Raymond Bernard paru en 1971 chez Albin Michel, pratiquement introuvable et intitulé “la Terre Creuse” donne davantage de détails sur cette oasis, ainsi que sur l’Agartha et les trous situés aux pôles et permettant d’y accéder.
    Bergier, affirme également qu'un homme d’affaires anglais Mr Mc Donald aurait fondé à Londres en 1961 une société des partisans de la “Terre Creuse”. Connaissez-vous l'adresse de cette société et existe-t-il en France une société analogue ? Cette thèse mériterait en effet que nous puissions en étudier le pour et le contre, si fantastique qu'elle paraisse cependant.
F.I. (Guadeloupe)

Réponse de NOSTRA n° 369 du 8 Mai 1979 à notre précédente lettre.

    "Nous n’avons plus entendu parler de cette société depuis l’article de Jacques Bergier et, à notre connaissance, aucun mouvement identique n'existe on France. Il n’en reste pas moins que cette théorie de la Terre creuse compte toujours de nombreux partisans et que le mystère n'est pas près d'être élucidé."

Deuxième lettre d'un lecteur qui répond à la nôtre:

    LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.

    C’est avec un peu de retard, que j'apporte mon témoignage dans la conception de la Terre creuse qu'un lecteur de la Guadeloupe, dans le n° 369 de Nostra, a si brillamment évoqué. J'espère que ce lecteur n'a pas eu d'ennuis suite à cet exposé, car par ordre des services officiels, il y a un “top secret, sinon beaucoup de personnes disparaîtraient de la surface pour aller à l'intérieur de notre bonne vieille Terre, trouver la paix. C'est d'ailleurs de cette même Terre intérieure que viennent les O.V.N.I, surveiller le dessus, car l'homme n'est pas sérieux et se détruit lui-même, Ces O.V.N.I., d'ailleurs, se déplacent le plus simplement du monde, leur système de rotation serait basé sur le principe du gyroscope. Ils viennent donc de l'intérieur de la Terre. J'aimerais connaître d' autres partisans de ce phénomène qui sera tôt ou tard découvert des habitants de l'extérieur.
    J'espère vivre assez longtemps pour voir cela. De toute façon, si une guerre mondiale se déclare tôt ou tard, il n'y a que dans cette Terre que certains privilégiés pourront sauvegarder leur existence.
c.l. (Paris)

Réponse de Nostra-- N°384 du 15 Août 1979.

    "Vous n'êtes pas le seul , en effet, a exprimer une si totale croyance en cette théorie de la Terre creuse. Mais d’autres la réfutent pour des raisons qui seraient trop long d’exposer. Nous espérons pouvoir un jour, faire le point des recherches."


    Nous avons beaucoup regretté par la suite, de n'avoir pas pris contact, il y a déjà, hélas, des lustres, avec ce Monsieur c.I. de Paris, qui a l'air d'en savoir beaucoup plus qu'il n'en dit. Avec un peu de chance, quelqu'un qui le connaît, ou lui même, s'il est toujours vivant, pourrait découvrir notre site et nous contacter. C'est d'ailleurs en partie aussi, pourquoi nous avons aussi décidé d'écrire aujourd'hui cet article, car le temps presse, désormais.

Troisième lettre d'un autre lecteur:

LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE

    Dans le n° 425 de votre revue (du 29 mai au 4 juin 1980), un article de Mr Jean Brun fait état de la découverte, faite par l'amiral Byrd, en 1926, d'une “Oasis de l'Arctique”, découverte faite à pied, en marchant sur la banquise.
Mais M. Brun ne mentionne pas les deux expéditions de Byrd, faites en avion, l'une en 1947au-delà” du Pôle Nord, l'autre en 1959 “au-delà” du Pôle Sud. Les temps “au-delà” ayant une signification spéciale, clairement explicitée dans l'article de Serge Hutin publié dans le n° 3 du “Grand Albert”.
    Ce dernier article se réfère à la théorie de “la Terre creuse”, titre d'un ouvrage fort intéressant de Raymond Bernard (Albin Michel, 1971), actuellement retiré de l'édition en France, et fort difficile à avoir aux USA (titre américain "The Hollow Earth", l969, University Book). Car ce sujet est tabou aux USA, comme les OVNI, d'ailleurs, selon R. Bernard. Cela a d'ailleurs été confirmé par Jacques Bergier qui, en 1977, a bien voulu me communiquer l'adresse de la Société Mac Donald qui, en Angleterre, s'occupe de ces questions, J'ai adressé à ce dernier une lettre, mais sans réponse, malgré un rappel.
    Avez-vous, aujourd'hui, quelques nouvelles informations, de votre côté, sur ces importants sujets ?
M. R.N. (Le Chesnay) Union théosophique.


Réponse NOSTRA n° 428 du 19 au 25 Juin 1980

    "Hélas non, nous n'avons rien appris de nouveau sur ces sujets depuis qu'ils ont été traités dans “Nostra”. Mais il est évident que nous publierons immédiatement toute information qui pourrait nous parvenir."

Quatrième lettre d'une autre personne :

"La Terre Creuse"
    Quelques mots m’étonnent dans l’article sur le "6 ème continent l’Antarctique", non parce qu’il pourrait être un vestige de l’Atlantide, mais parce que vous dites: “Contrairement à l’Arctique qui est pour l’essentiel une mer gelée..” N’avez-vous pas lu “La Terre Creuse” de Raymond Bernard introuvable aujourd’hui ? j’aimerais tant le retrouver ! N’avez-vous jamais fait des articles sur l’Arctique ou sur des possibilités que l’intérieur de la Terre était habité ?
M.D. (Paris)

Réponse de Nostra n° 473 du 6 Mai 1981.

"Nous avons à plusieurs reprises évoqué ce problème dans Nostra , notamment Jacques Bergier dans le n° 263."

    Nous aimerions également, évidemment, que cette dame nous contacte sur le Web, si elle est toujours de ce monde.

Fin de la deuxième digression ...


    Mais revenons, si vous le voulez bien, à notre affaire d'Esquimaux.

    Dans l'ouvrage de Serge Hutin, présenté plus haut "Des mondes souterrains au Roi du monde", on trouve, en page 50, cette extraordinaire révélation :


L'ouvrage de Paul Emile Victor "Banquise" serait sorti en 1939 chez Grasset, et a été réédité en 1946 sous la forme :


     Cependant il convient ici de citer quelques éléments d'une missive très importante que nous avons reçue d'un aimable internaute le 13 Janvier 2014 :

-----Message d'origine-----
De : D..................
Envoyé : lundi 13 janvier 2014 16:19
À : fred.idylle@orange.fr
Objet : Votre dossier BYRD Dilemne Lexical


           Bonjour M. Idylle,

     Avant tout et puisque nous sommes encore à la période des v?ux, je vous adresse tous mes v?ux de bonne et heureuse année 2014 et vous souhaite de réussir à poursuivre encore toute cette année vos enquêtes et vos recherches passionnantes.

     Vos articles et dossiers m'interpellent depuis plusieurs années, notamment ceux de la Terre Creuse, car j'ai lu beaucoup de livres et de récits d'aventures sur les régions polaires depuis 30 ans. Je suis par ailleurs de formation scientifique.

     Dans votre dossier "ByrdDilemme Lexical" (que j'ai consulté fin décembre 2013), vous demandez à vos lecteurs des infos sur le livre "BANQUISE" de Paul-Emile VICTOR (PEV). Il se trouve que je possède ce livre en édition originale de 1939:


     J'ai donc fait la recherche pour vous par rapport au livre de Serge Hutin qui cite PEV en disant "ils sont grands, ils sont terribles, ceux de l'intérieur". Je me demande si Serge HUTIN n'a pas cité ce texte de mémoire car on ne trouve pas exactement le même texte dans le livre BANQUISE, mais c'est tout de même très approchant. Ces phrases sont issues d'un chant de duel entre hommes du Groenland où PEV a vécu. Les pages 65 et 66 du livre sont tout à fait intéressantes à ce sujet. Toutefois, officiellement, les hommes de l'intérieur sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis) et pas de "l'intérieur de la Terre".

     Regardez cependant la page 69 du livre BANQUISE, car elle me semble encore plus intéressante :


Elle concerne la « Légende des peuples ». On y parle des « Timertsit », mot inuit qui signifie « les gens qui voyage DANS l?intérieur ».

J?ai surligné en jaune les lignes qui me semblaient les plus importantes, mais je n?ai peut-être pas tout vu dans ce chapitre...

Quoiqu?il en soit, si cette modeste contribution peut vous aider dans vos recherches d?indices, j?en serais très heureux.

Je vous souhaite bon courage dans vos recherches.

Bien sincèrement

D......................


     Nous avons bien sûr remercié à cette époque, grandement l'internaute D.................., pour sa si aimable participation aux recherches pointues d'ARTivision.

     Une question se pose alors ici : Comment le très grand ésotériste français Serge Hutin a pu ecrire dans son livre ce qui précède concernant les esquimaux, sans avoir en main le livre de P.E.V. en question (bien sûr il aurait aussi pu le consulter à la Bibliothèque Nationale de Paris) ? C'est pratiquement impensable !! Y a-t-il eu deux tirages particuliers de cet ouvrage en 1939, ou bien pire encore, le manuscrit d'origine de P.E.V. qu'aurait consulté Serge Hutin, a-t-il été modifié à la première impression ? Voilà une autre énigme à laquelle nous aimerions bien, avoir la solution...

     N'empêche que là, Paul Emile Victor, a lui aussi agi, comme le dr SENN, "loupé le coche", malgré le fait qu'il ait noté cette incroyable expression des esquimaux, ( Les gens qui voyagent dans l'intérieur) à ne pas confondre avec " les hommes de l'intérieur qui sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis)".

     En effet ARTivision, a découvert, qu'il a descendu impitoyablement en flèche Isaac Hayes, pour ses "épanchements lyriques", concernant la Mer libre du Pôle. voir à ce sujet notre article :


    Tout ce qu'ARTivision, a bénévolement réalisé, depuis la découverte en 1972, de l'ouvrage incontournable de Raymond Bernard "La Terre creuse" (dont nous avons pourtant critiqué certains défauts, dans notre article : RaymondBernardouvrageTC.html), c'est ce Monsieur Paul Emile Victor, qui aurait pu et dû l'entreprendre, et avec des moyens au moins dix fois supérieurs...


    Paul Emile Victor est décédé le 7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis ( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler) s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main, la missive extraordinaire en date du 18 Mai 2003 (mais hélas il n'était plus de ce monde) qui suit. Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :

Pour le 19 Mars 2003 à :

Pour le 9 Janvier 2006 : et aussi à d'autres dates).


     En effet, le18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40% depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


     Fin de citation

     Voila donc un fantas bgcolor="#FFFF00" tique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante qui n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue... Devinez alors pourquoi une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre ainsi bien, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom, de l'explorateur américain Isaac Israel Hayes (1832-1881), qui nous raconte son émerveillement à la découverte de cette mer libre du Pôle Nord. Voici quelques éléments de l'ouvrage suivant de 1877, que nous avons sous la main :

  

     Si donc les observateurs modernes mentionnés dans ce communiqué sont tombés à la renverse à la découverte de cette mer libre, celle-ci, était connue depuis des lustres par Jules Verne et par bien d'autres explorateurs américains, russes, français etc...

     A bon entendeur salut !!!.

     Mais revenons à nos chers esquimaux dont on parle aussi, à propos d'une disparition très mystérieuse, dans leur communauté.

     Nous, avons aussi en effet, cette énigme non résolue, soulignée par P. Kolosimo dans son livre de 1971, déjà cité, en page 101 et pour les puristes, ceci se trouve en page 92 du livre anglais en question.

  

Et voici, de quoi il s'agit :


     Nous avons déjà largement évoqué, cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:


      Pour tenter de résoudre cette énigme, on peut déjà placer ici, une partie de notre traduction d'amateur du livre, "The SmokyGod", placé par ARTivision, dès le 6 Avril 2001 en exclusivité, sur le Net Français, à l'url :


     Voici donc cette tranche du texte en question :

    "On était autour du premier Septembre , (1829 : rappel du Webmaster) plus de cinq mois, nous l'avons calculé, après avoir fait nos adieux à Stockholm. Subitement nous eûmes, une peur bleue, en entendant dans le lointain le chant de certaines personnes. Tout de suite après nous avons aperçu un énorme bateau qui descendait la rivière, droit dans notre direction. Ceux qui chantaient à bord formaient un chœur puissant dont l'écho se répercutait d'une berge à l'autre de la rivière comme mille voix, remplissant l'univers entier d'une vibrante mélodie. La musique d'accompagnement était exécutée sur des instruments à cordes qui ressemblaient assez à nos harpes.

    Nous n'avions jamais vu un si grand bateau, et si différent en matière de construction.

    À ce moment précis, notre sloop se trouvait au calme et pas loin du rivage. Le bord de la rivière, était couvert de belle façon, d'arbres gigantesques de plusieurs centaines de pieds de haut. Il nous semblait être aux abords de quelque forêt primitive qui sans aucun doute, devait s'étirer loin à intérieur.

    L'immense embarcation, fit une pause et presque immédiatement après, une barge fut déposée sur l'eau et six hommes de stature gigantesque, se sont rapprochés de notre petit sloop. Ils nous ont parlé dans une langue étrange. Nous avons deviné, cependant, à leur manière d'agir qu'ils n'étaient pas inamicaux. Ils ont parlé entre eux un bon bout de temps, et l'un d'entre eux fut pris d'un fou rire énorme, comme si notre vue était devenue pour eux, une étrange découverte. L'un d'entre eux a examiné scrupuleusement notre boussole qui a semblé les intéresser tous, bien plus qu'aucune autre partie de notre sloop.
"

    Se pourrait-il, que ces esquimaux aient été emportés à l'intérieur de la Terre par un bateau de même nature que celui décrit dans ce Smoky God ?

    Voici d'ailleurs deux images tirées du livre en anglais correspondant :


     A gauche, on voit la découverte du Soleil brumeux par les norvégiens Olaf Jansen et son père, à bord de leur petit sloop, et à droite on voit les géants, qui receptionnent les deux norvégiens, dans leur immense bateau.

    Mais pour les puristes, qui trouveraient que notre traduction laisse à désirer, voici une autre traduction plus professionelle, extraite de l'ouvrage publié en 2007, par notre amie canadienne Ischaia :


    Edité par les Éditions Saint-Germain-Morya au Québec ...


     Rappelez-vous aussi cependant, le témoignage de surprenant de l'amiral Wrangel mentionné dans l'opuscule de Jules GAY : "La mer libre du pôle Nord" de 1873, tel que :

      "Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants, de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises, m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes, venus d'une île plus chaude située au nord, , ont abordé leurs côtes. " ".

     On pourrait déjà penser, que nous avons trouvé suffisamment d'énigmes concernant le mystère du Pôle nord, dans l'histoire de ce valeureux peuple esquimau vivant durement et de manière très austère dans ces régions arctiques où le froid se taille la part du lion. Mais il y a encore mieux...

     Voici en effet autre chose sur les esquimaux, que nous confie Jules Gay, dans son surprenant opuscule sui :

    " Lors du premiervoyage de Ross et de Parry, en 1818, ces navigaleurs entrèrent en relations avec les Esquimaux de la baie Melville. Tous se refusèrent à croire que les navires venaient du sud.

"De ce côté, disaient-ils, tout était glace; il n'y avait d'hommes que dans la direction du nord, où étaient leurs demeures, et d'où ils étaient descendus sur cette côte pour pécher des narvals". Plus tard, Ross retrouva chez les Esquimaux de la presqû ile de Boothia-Félix cette même croyance à un climat plus doux et à une eau libre dans le nord.

    Tel est l'ensemble des preuves qui nous paraissent établir l'existence d'une mer libre, au moins pendant l'été, autour du pôle Nord. Si quelques-unes de ces preuves, prises isolément, peuvent paraître insulfisantes, il nous semble que leur réunion ne peut guère laisser de doutes sur l'objet que nous avions en vue
".

En conclusion on voit ici que Jules GAY reprend ses arguments principaux en faveur de la Mer libre, mais une fois de plus, son subconscient l'invite à insister sur des détails hors nomes que la communauté scientifique de son temps, a volontairement mis sous le boiseau, à savoir, que (revoir notre article :LaMerLibreduPoleNord.html), d'une part dans ces détails, il y avait cette affaire de beaucoup d'arbres flottés d'espèces inconnues. Jules GAY aurait dû ici, nous en dire plus à ce sujet, et nous avons dans l'article en question déjà parlé de bourgeons verts et de la fêve d'Entada... Mais où Jules Gay marque tout de même, des points, que l'on ne trouve pas ailleurs, sauf chez les Russes , à savoir (on l'a vu juste au dessus), que des bateaux et des hommes seraient venus d'une île plus chaude située au nord, acoster sur les rivages des esquimaux, et cela n'est-ce pas ne peut être attribué à l'imagination très peu fertile, des naturels de ces rivages.

     Mais il existe un autre fait qui surprend et qui concerne la vie des esquimaux : Quand on demande à certains de ces derniers, où ils supposent que leur entité va après la mort, ils ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni le soleil du jour, ni les étoiles du soir, ni l'immensité du cosmos qui les environne, mais ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à l'intérieur de la terre, d'une bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent un torride redoutable feu central, fait de métaux en fusion. Mais lisez plutôt ce qui suit tiré de notre ouvrage déjà présenté plus haut :



     Voici donc, un extrait des pages 206 et 207 restructurées par nos soins :


     Et, voici donc notre modeste traduction :

Religion


      "La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.

      "Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais >, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."

     Fin de la traduction.


     ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à des réminicences ancestrales d'un passé millénaire , ayant trait à une époque bénie, où ces esquimaux vivaient à l'intérieur paradisiaque de la planète.

      Rendons donc ici hommage, à ce peuple si valeureux des esquimaux, qui lorsque, l'on sait lire entre les lignes de leur Tradition, nous montre qu'il existe surtout, un très grand secret, ...caché à l'Humanité entière, par nos scélérats de Gouvernements, qui vont bientôt mordre la poussière à ce sujet, car le Temps des Révélations est bien arrivé, et ARTtivision s'évertue à le montrer régulièrement. Ce secret est celui qui dépasse de loin tous les autres, et tout le reste à côté, paraît être bien dérisoire. Donc les principales recherches du site ARTtivision, concernent désormais, le sujet des "ouvertures polaires" (Notez bien les guillemets qui ont une grande importance), et celui de la Terre creuse.

     Voici donc quelques silhouettes furtives de ce peuple, si courageux et méritant :

  

  

A vous de juger, une fois de plus tout cela, documents à l'appui ...

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire".

IV Quand la légende (à l'origine ce qui doit être lu), prend une forme très contemporaine, qui s'oppose aux dires des scientifiques actuels.


     A propos de légende, en voici une très officielle et cartographique, qui figure dans un livre réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :




     Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé justement une légende. N'est-ce pas ?

     Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace". Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question dans de très nombreux articles de notre site.

     Revenons alors à notre affaire de légende où, comme on le voit tout de même, il faut "savoir lire entre les lignes".

     Le 26 Octobre 2012, nous avons eu le privilège de recevoir de notre fidèle et passionnée amie Monique, de très nombreux documents anciens et nous sommes tombés en arrêt, devant celui-ci de 2 pages :



      Hélas nous n'avons pas pu déterminer sur le moment, de quelle revue ou journal, étaient extraites ces deux pages. Mais plus tard, en tapant le mot "Engels", dans notre moteur de recherche Windows, nous sommes tombés sur notre article :


Où, Super Hasard, nous a conduit à découvrir le site :


, qui présente justement le texte des deux pages en question, sauf deux paragraphes...

     Nous avons découvert ainsi que les deux pages ont été publiées par le n° 0 du magazine Morphéus en Novembre-Décembre 2003, soit un an après l'admirable texte de Mr Pascal Gazotte, du magazine Nexus n° 21, étudié plus haut.

     Nous passerons à grands pas, sur l'historique présenté dans la première page ci-dessus, en regrettant vivement de ne pas y trouver, le nom (déjà vu plus haut) du génial mathématicien et astronome suisse Léonard Euler (1707-1783), qui semble être le premier à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un soleil central. Il y a aussi bizarrement le paragraphe qui dit qu'en "1913 présente un petit mécanicien de l'illinois a présenté sa conception de la structure de la terre...." . Il semble alors de l'auteur de l'article ignorait ou a voulu ignorer, que ce mécanicien ne pouvait êt re autre que l'écrivain Marshall B.Gardner, un habitant justement d'AURORA dans l'Illinois, qui publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de d'un soleil central. On sait d'ailleurs aussi qu'en 1920, ce mécanicien réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire. Cet "écart" sur ce mécanicien nous semble alors très curieux. D'autre part dans un article d'un niveau aussi élevé, il eu aussi été préférable de ne pas gaspiller son temps, pour parler de la théorie ridicule du nommé Cyrius Teed...

Laissons tomber donc cet historique peu clair, et plongeons tout de suite dans le vif du sujet :

Contradiction des théories actuelles


     L'astronomie enseigne que tout est parti du big-bang. (Note n° 5 du Webmaster : Mais certains scientifiques prétendent actuellement remettre en cause cette hypothèse du Big Bang. Voyez vous-même :


     On voit donc , que les dogmes les plus ancrés de la Science, peuvent à un moment donné, battre de l'aile, et celui de la Terre pleine, va lui aussi bientôt voler assurément en éclats. Fin de la note n° 5, et suite du texte de K.H. Engels )


Dans le bouillon originel, tous les éléments étaient répartis de façon régulière. Par les forces d'attraction, des "boulettes", nos planètes se seraient formées dans le bouillon. La physique enseigne, en outre, que de grandes concentrations de masse donnent des densités de masse importantes, car la matière est comprimée.

     Selon cette thèse, les grands objets célestes devraient avoir une densité supérieure aux petits objets, parce qu'à l'intérieur la pression est plus grande. Cependant, une observation plus poussée des planètes de notre système solaire nous montre le contraire.

     En effet dans notre système solaire les petites planètes ont en moyenne une densité 5 fois supérieure aux grandes planètes.

     Jupiter a 900 fois le volume de la Terre, mais soi-disant une densité de 1,8 grammes/cm3, la Terre, ayant quant à elle une densité de 5,5 grammes/cm3. La théorie actuelle de formation des corps célestes est donc contredite par ces données.


Les tentatives d'explication de ce non sens.


     Parce que c'est également un non-sens pour les astronomes, on affirme que les grandes planètes sont faites de matériaux plus légers. Malheureusement, il n'y a pas de preuves pour cette affirmation, et il est difficile de concevoir que certaines planètes comme la Terre aient attiré des matériaux plus lourds, alors que Jupiter se serait "spécialisé" dans des matériaux plus légers. Dans le bouillon originel, nous dit-on, tout était réparti de manière uniforme.

     La Terre ne peut pas retenir l'hydrogène à cause de sa masse qui est trop faible. Il se dilue dans l'univers, c'est ce que disent les scientifiques. Jupiter serait composée en grande partie d'hydrogène, à cause de sa faible masse.

     Là aussi nous voyons deux comportements très différents. Il n'y a que l'hydrogène, disent les scientifiques, qui puisse être retenu par les grandes planètes, additionné aux éléments que l'on trouve sur Terre. L'hydrogène devrait donc constituer la majeure partie de la masse de Jupiter. Mais les astronomes prétendent que l'hydrogène ne constitue qu'une faible part de l'atmosphère de Jupiter. Le gaz devrait donc se trouver à l'intérieur de cette planète.

     Étrange: les grandes planètes ont dans leur noyau des éléments très légers (l'hydrogène), les plus petites comme la Terre ont les éléments les plus lourds.
(Note n° 6 du Webmaster : Mais pendant que l'on est dans le coin parlons aussi de Saturne. En effet sur le site :


, on peut peut lire ceci de très classique : " La densité moyenne de Saturne est ainsi de 0,7 ; en d'autres termes, plongée dans une piscine imaginaire remplie d'eau, Saturne flotterait à la surface comme un ballon. Cela suggère que Saturne est, à l'instar de Jupiter, formée des éléments constitutifs de la nébuleuse solaire primitive, c'est-à-dire surtout d'hydrogène et d'hélium ". Mais il se trouve que dès le début des années 80, notre bonne amie parisienne Colette Cyril Lefèvre, qui étaient en correspondance avec les amis du célèbre et très villipendé George Adamski, nous avait confié un texte dactylographié exposant un voyage d'Adamski, qui eu lieu, le 26 mars 1962, en direction de Saturne, où il assista à une conférence où prenaient part, 12 Maîtres Comsiques. Voulez-vous un petit échantillon du début du voyage et du paysage aperçu ?


     Ce texte d'Adamski, n'avait jamais été publié nulle part, et il est intitulé : "My trip to the Twelve Counsellors Metting that took place on Saturn" in Mars 1962, et alors nous avons contacté à ce sujet " la Fondation Adamski : G.A.F Internationnal/Adamski Fondation. P.O.Box 1722-Vista, CA 920085 USA" dont le site est à :


     Cette Fondation nous avait alors déconseillé en 2007 de publier ce voyage, sans doute par peur du tollé général que cela allait causer à l'époque . Mais le Temps des Révélations est bien arrivé, car justement le 27 Mai 2011, nous avons reçu, un message de l'Observatoire des Parasciences, dont l'url est catmartmail@gmail.com, et qui nous avertissait de la récente publication des ouvrages suivants :

  

     C'est dans le deuxième fascicule "les Inédits" que l'on trouve ce voyage d'Adamski sur Saturne.. Dur dur, n'est-ce pas!!! Donc nous aurions dû suivre notre intuition et dès le début du site ARTivision, publier ce voyage qui n'aurait pas manqué déjà à l'épôque, de faire grincer des dents, les détracteurs et autres debunkers zélés ou zététiques.

     Voici donc, en plus clair, le début du voyage en question:


     Il ne semble pas alors qu'Adamski soit entré dans un Sauna d'hydrogème et de d'hélium n'est-ce pas !.

Pour ceux qui veulent en savoir plus, sur cet incomparable Adamski, prière de consulter nos articles :



     Cette Dame Colette Cyril Levèfre était aussi en correspondance avec Lobsang Rampa, et nous a confié avant son décès en 1988, deux missives de ce dernier. Voir notre article Rampa.html

     De plus, cette Dame, nous a aussi fait part en Nov 1979 d'une portion de lettre d'une de ses amies, lettre qu'elle a reçue en 1971, et concernant justement le sujet de "La Terre creuse" :

     Et voici ce que cette amie lui disait :

- J'ai lu avec bonheur "la Terre creuse" de R.Bernard, et je l'ai fait connaître autour de moi, mais je n'ai rencontré que "scepticisme" et "indifférence", sauf pour une personne amie d'un médecin navigateur qui est allé jusqu'à l'entrée du centre de la calotte glacière formant entrée d'un tunnel et où il n'a pas osé s'aventurer plus loin, car il y faisait sombre. Mais, là, il y avait rencontré de la végétation et de la vie animale, son grand étonnement....
     Mais, puisqu'il faut battre le fer quand il est chaud et comme l'on parle ici de cette affaire surprenante de la Terre creuse, et de Lobsang Rampa, il est peut-être utile maintenant de préciser, pour le lecteur qui entre la première fois dans le site ARTivision, quelques éléments du sujet en question, révélés par le livre suivant, de Rampa :

  


     Lobsang et son maître, sont entrain d'explorer un long tunnel extraordinaire, sorte d'épine dorsale de la planète, taillée dans le roc à l'époque de l'Atlantide...

      " Lobsang, me dit mon guide, il y a sur cette terre de nombreuses choses que les gens ne comprennen     S'arrêtant, il désigna l'une des étranges choses sur les peintures, puis poursuivit : "Ces véhicules sortent de la terre et volent autour d'elle afin de voir ce que font les gens, et pour s'assurer que leur sécurité n'est pas menacée par ceux qu'ils appellent les concurrents".

     Je pensai que l'intérieur de la terre était un lieu bien étrange où vivre ; il devait y faire affreusement sombre, et j'y aurais eu très peur, moi à qui il faut le réconfort d'une lampe dès que vient l'obscurité. Mon guide sourit et dit, comme s'il avait deviné ma pensée : " Mais, Lobsang, l'intérieur de la terre n'est pas obscur ; ils ont un soleil, un peu comme le nôtre, mais plus petit et beaucoup plus puissant. Ils sont beaucoup plus intelligents que nous. Mais dans le futur, vous apprendrez beaucoup de choses sur les gens de la terre intérieure. Venez, maintenant, Lobsang. "

     Et plus loin on trouve finalement :

     "....Ceci est un passage conduisant au monde intérieur. Nous pensons qu'il a été scellé par les ouvriers du monde intérieur afin de préserver leur civilisation lors du déluge qui frappa cette terre. Nous croyons que si ceci était ouvert, je veux dire si nous pouvions l'ouvrir, les gens nous assailliraient et nous écraseraient pour avoir osé violer leur intimité. Nous, lamas de rang supérieur, sommes souvent venus en ce lieu pour essayer, par la télépathie, de communiquer avec ceux en dessous. Ils ont reçu nos messages, mais ils se refusent à avoir quoi que ce soit à faire avec nous ; ils nous disent que nous aimons la guerre, que nous sommes aussi ignorants que des enfants qui essaieraient de faire sauter le monde ; ils nous ont dit, par télépathie, qu'ils avaient l'œil sur nous et qu'ils interviendraient s'ils jugeaient nécessaire de le faire. Nous ne pouvons aller plus loin : ceci est la fin, c'est la ligne de séparation entre deux mondes".


     Nous espérons que l'éditeur nous pardonnera cette incursion dans le texte du livre en question et souhaitons qu'il ne prenne pas ombrage du fait que nous y avons extrait ces phrases si importantes pour la suite de notre article.

      Vous avez bien noté, nous l'espérons, qu'à l'époque les gens de l'intérieur, refusaient de prendre contact avec nous, car notre mentalité n'excède pas celle des enfants ignorants, jouant à une sorte de Monopoly militaire, où règnent agressivité et violence.

     Mais les choses ont changé et les Maîtres de la Confédération Galactique, ont décidé d'agir en accord avec les gens de l'intérieur, pour remettre à zéro, les compteurs de cette planète Terre. Donc patience, et ouvrez l'œil...

      Il n'est pas besoin en effet d'insister sur le fait que les conflits armés pullulent sur cette planète et certains sont même arrivés à croire qu'en se suicidant et en tuant en même temps, des dizaines de personnes, ils vont pouvoir être adulés et choyés dans l'au-delà. Il ne savent pas que leur prétendu sacrifice de kamikazes, et leur désir absolu de vengeance, dans quelques années très proches, seront considérés comme ayant été, totalement vains et inutiles.

     Disons en passant, et nous l'avons déjà spécifié dans d'autres articles du site ARTivision, que ce site devrait être considéré comme un site anti-suicide, car ne dit-on pas souvent, "Aux innocents les mains pleines", alors qu'en fonction des incroyables découvertes de ce site, à ceux qui mettent fin à leurs jours délibérement sans vouloir attendre un peu que la Révélation proche arrive, on devrait dire : "Aux innocents les mains vides". En voilà deux qui n'ont pas eu la chance de connaître ARTivision avant de commettre leur forfait :



     Nous avons bien sûr, supprimé la photo de la jeune fille, pour ne pas augmenter encore le chagrin et l'amertume, de ses proches.

     Les Âmes des deux protagonistes en question, doivent désormais comprendre, peut-être mieux que nous , la phrase du Grand Maître, qui sera explicitée davantage, plus bas :

Tu es dans le monde, mais tu n'es pas de ce monde
I1 est inutile de laisser les façons d'être du monde t'enfoncer.

     Quant à ceux, qui voudraient immiter sans réfléchir longuement, ces protagonistes, il ne nous reste qu'à leur dire : À bon entendeur salut...

     De plus certains internautes ont du mal à assimiler le fait que l'on est, que des minus, vis à vis ces peuples évolués, qui ne veulent pas ouvertement intervenir dans nos scabreuses affaires.

     En Avril 2005, un internaute nous disait :

     "A vrai dire la théorie de la Terre creuse me revient sans arrêt à l'esprit et j'essaie de la fuir, mais je n'y arrive pas vraiment; elle est tellement merveilleuse ! Par contre elle porte tellement de conséquences si elle vraie, qu'elle en est effrayante. Cette révélation va bouleverser le monde, quand les preuves seront là. "

     Que penser de tout cela ? A notre avis, seule la peur de l'inconnu et, de ce qui remet en question notre savoir intime, peut distiller cette notion d'angoisse évoquée par cet internaute au sujet de cette théorie de la Terre creuse.

     Si les habitants de l'intérieur, beaucoup plus évolués que nous, voulaient nous envahir et nous imposer leur système de vie, ( comme dans le style du livre et du film "La guerre des mondes"), il y a longtemps qu'ils l'auraient fait. Mais tout au contraire, il faut savoir que vu, (nous l'avons déjà dit) notre agressivité à tous les niveaux et notre attitude conquérante, belliqueuse et guerrière, ils ont hésité des siècles avant de nous contacter. Mais, il est désormais, Grand Temps que tout cela change, pour que cette Terre retrouve, la Paix et l'harmonie et enfin l'âge d'Or, dont parlent justement nos légendes.

     Pour nous, la découverte d'un monde nouveau de sagesse sous nos pieds ou même sur la Lune ne peut que nous réconforter en des lendemains meilleurs. Mais encore faudrait-il que nos gouvernants vendent la mêche, mais ils préfèrent évidemment le statut-quo, où ils savent nous mener efficacement par le bout du nez.

    Fin de la note n° 6, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Du non sens à l'absurde..


     Pour le Soleil, c'est encore plus fou : il doit être énorme et très léger (densité: 1,4 g/cm3). À cause de sa faible densité, on pense qu'il doit s'y produire une fusion d'hydrogène. C'est un non sens, car le soleil devrait avoir dans son noyau les éléments les plus lourds. Comment peut-il y avoir une fusion d'hydrogène, qui est un des éléments les plus légers? Comme le soleil a un poids trop faible, les scientifiques affirment qu'il est fait à 98 % d'hydrogène et d'hélium, alors que nous savons que tous les corps célestes doivent être faits des mêmes matériaux, comme ils viennent tous du même bouillon.

     On prétend que le soleil a une force d'attraction 28 fois supérieure à celle de la Terre. Un centimètre cube de la surface du soleil pèserait donc 28 fois plus qu'un centimètre cube de la surface de la Terre, alors que sa densité est quatre fois moins importante. Et tout cela doit être du gaz. Comprendra qui pourra !


(Note n° 7 du Webmaster : Cette affaire folle et incroyable du Soleil, a déjà été évoquée plusieurs fois par ARTivision, et on en a déduit alors, que la surface du soleil qui ne serait pas du tout brûlante. Pour expliquer cela reprenons l'exemple simple suivant :

      Voici le schéma de fonctionnement d'une loupe convergente :

>

     Un primitif vivant au fin fond de l'Amazonie, qui serait déjà surpris, en voyant qu'en plein jour que l'on peut allumer un feu avec cette simple loupe, il serait encore plus étonné de découvrir qu'après l'arrivée de la flamme dans les brindilles de bois, que la loupe est parfaitement froide.

     Cette analogie avec la loupe, va nous permettre à un niveau bien supérieur, de comprendre ce qui se passe du côté du Soleil.

     On sait en effet, que l'axe de l'équateur et celui de l'écliptique sont inclinés l'un sur l'autre de 23° environ et, il en résulte que le pôle n'est plus le point où la lempérature est minima. Pour mieux visualiser tout cela, empruntons à l'ouvrage "Astronomie et l'exploration spatiale", publié à Hachette Jeunesse en juillet 1985, le schéma suivant, que nous avons un peu modifié:



     Mais, ce qui est rarement expliqué dans les manuels scolaires, c'est qu'étant donné que la Terre ne décrit pas exactement un cercle autour du Soleil, mais une ellipse, on découvre alors que la distance de la Terre au Soleil est environ de 147 millions de kilomètres au mois de Janvier, et est de 152 millions de kilomètres au mois de Juillet, et autrement dit le Soleil est, paradoxalement, plus près de la Terre en hiver, qu'en été, de 5 millions de Km . Le site :

http://fr.vikidia.org/wiki/R%C3%A9volution_de_la_Terre_autour_du_Soleil

, nous illustre schématiquement tout cela admirablement :


Et on voit bien là, que la Terre est plus proche du soleil en hiver, qu'elle ne l'est en été.

     Dans les sphères officielles, on explique ce phénomène justement par l'inclinaison de 23 ° de l'axe de la Terre par rapport au plan de l'écliptique et qui fait que les rayons du soleil sont toujours obliques par rapport à l'axe de rotation de la Terre. Et, pour ARTivision, cela est très discutable...

     Si donc le soleil était une boule de feu émettant chaleur et lumière en direction de la Terre, son action aurait certaimement augmenté grandement en avançant de 5 millions de Km de sa cible. Des maquettes à l'échelle, et des simulations informatiques, le démontreraient sans doute.

     Mais , si vous tenez à avoir une explication non officielle de ce surprenant phénomène, alors accrochez vous solidement aux murs car cela peut-être vous déstabiliser fortement:

     Nous avons en effet, sous la main, l' ouvrage extraordinaire d'un certain "contacté ", nommé Howard Menger, aussi célèbre que le fameux Adamski, et ouvrage intitulé : "Mes amis les hommes de l'espace", dont voici la couverture :


paru aux Editions DERVY-LIVRES en Juillet 1965 , (voir à ce sujet, l'article de notre ami Joël Baran à : http://www.artivision.fr/Howardmenger.html) nous lisons page 220, la phrase suivante qui témoigne bien de la grande modestie de l'auteur et qui raconte là, un voyage qu'il aurait fait dans un vaisseau spatial de ses amis :

     " Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant."

     Surprenant n'est-ce pas !!! surtout pour quelqu'un qui n'avait rien des qualités d'un astrophysicien. Rappelons que cet Howard Menger, a produit dans son livre, des photos de la Lune, dont voici une, qu'aucun spécialiste n'a pu expliquer jusqu'à présent :


on y voit parfaitement dans le coin supérieur gauche, une portion du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à la Lune...

     Mais voyons maintenant l' explication qui est présentée par un certain Maître cosmique nommé Pomar, et explication placée à notre article : Byrdalice.html telle que :

     "Il y a aussi un autre fait qui contribue à démolir les théories scolastico-scientifiques grâce à la giration de la Terre autour du Soleil, vous avez l’été lorsque vous êtes au point le plus éloigné du Soleil, et l’hiver quand vous en êtes au plus près. Pour justifier anomalie votre science a émis l'hypothèse de l'obliquité des rayons et de la durée des jours. Cela est vrai, mais en fait, c'est dû à l'action des rayons obscurs qui viennent du soleil. S'il en était autrement, l'énorme accroissement de température que la Terre devrait subir au périhélie ne pourrait expliquer le retour cyclique de votre pâle et froid soleil des journées d'hiver. Je chercherai plus tard à vous confirmer le principe que je viens d'exposer : plus grande est la densité des stratifications atmosphériques traversées, plus grande est la chaleur des rayons. Comme toute autre planète, votre Terre, dans son mouvement de rotation autour de son axe, doit entraîner la rotation de l'atmosphère qui prend de ce fait un aspect parabolique. Elle se dispose donc sous une forme ellipsoïde avec le petit axe superposé à celui de la Terre. Il s'ensuit que le rayon solaire traversant l'équateur trouvera une plus grande épaisseur atmosphérique et par conséquent produira plus de chaleur qu'aux pôles. Voilà pourquoi la zone équatoriale est brûlante alors qu'en zone polaire règne la glace. En conclusion il faut se convaincre de l'erreur de vos savants qui font du Soleil ce distributeur d'énergie, une gigantesque pile infernale, qui devrait être aussi la cause des valeurs hyperboliques de la température des étoiles.

     Ceci est une autre théorie bâtie par vous, terriens, avec vos fausses convictions qui amènent des conclusions inexactes , à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "


     Certains détracteurs, diront vite, que nous n'avons jamais lu cela, dans un texte faisant autorité... Alors ARTtivision dira : Lisez plutôt ceci:

From: Phil ........
Sent: Wednesday, October 10, 2012 6:38 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: Du Soleil froid...

    Bonjour Cher Fred,

    Votre article quant au Soleil froid est fascinant. Sauf erreur de ma part, il me semble que Fulcanelli n'a pas été mentionné...

    En effet, dans "Les demeures philosophales" Tome 1, l'auteur écrit des choses à propos du Soleil froid...

    Etes-vous au courant ?

    Si cela vous intéresse, je vous scanne la page concernée.

    A bientôt Fred.

    Phil


    Nous avons remercié vivement Phil , pour cette affaire de Soleil froid (que nous ne connaissions pas), du Grand alchimiste Fulcanelli.

     Voici donc quelques lignes des pages 50 et 51, de l'ouvrage en question :



Renversant n'est-ce pas !!!. Mais saisissons la balle en vol, et lisez aussi ce qui suit, qui est tiré de notre article :


    Voici en effet, une photo du satellite de Saturne, Titan, que nous a présentée, le "Figaro Magazine" du Samedi 13 Nov. 2004 :


      On voit alors que la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" en question, présente une luminosité remarquable, et, on nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan". Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008 suivant :


, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez cela vous-même :


    Alors, on se demande, comment ce flaiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc stupéfiant , et les images suivantes de Titan :

  

ne présentent pas du tout, des paysages glaciaires correspondant à une température de -180°, comme les scientifiques de la NASA l'affirment, mais plutôt, des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...

    Fin de la note n° 7, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Explications par la Théorie des corps creux.


     Ce sont bizarrement les plus petits corps célestes qui ont la plus grande densité: les fragments de la ceinture d’astéroïdes ont une densité qui va jusqu'à 8 g/cm3.

     Tout cela a un sens si on part du fait que les corps célestes sont creux à l'intérieur. Les astéroïdes et les planétoïdes ne le sont pas. Ils sont des fragments d'une planète ancienne et donc logiquement des corps solides. Nous voyons bien qu'un morceau du lapin en chocolat pris tout seul n'est plus creux. On peut vérifier la théorie des corps célestes creux dans un laboratoire.

     En faisant tourner du gaz dans un piston, il se forme au centre un espace sans particules, le début d'une cavité.

(Note n° 8 du Webmaster :, l'auteur aurait pu nous fournir ici, un schéma explicatif n'est-ce pas!!! Mais nous, de notre côté, nous pouvons imaginer aussi, une expérience qui serait faite par les astronautes en apesenteur, qui auraient emporter dans l'espace un récipient d'eau, (ou aussi par exemple, de glycérine), pouvant former, en apesanteur une boule d'eau d'environ de 20 cm de diamètre, que l'on mettraiten giration sur elle-même, et là, nous serions curieux de voir, si, d'abord la région des pôles s'applatit effectivement progressivement, puis si, aux deux pôles, on ne verrait pas deux petits vortex se former. Enfin, si après cela, on ne verrait pas au centre de la boule, apparaître petit à petit un vide notoire . Voir le schéma suivant :


     Les astronautes ont peut-être fait déjà cette expérience, qui est restéeévidemment ultra-secrète.

    Fin de la note n° 8, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    C'est la force centrifuge qui en est responsable, elle pousse les particules les plus lourdes vers l'extérieur.Si le gaz est fait d'éléments différents, ils se répartissent selon le poids spécifique de chaque élément.

     Karl-Heinz Engels montre que toutes les planètes doivent être creuses, selon l'histoire de la genèse de l'univers communément admise. (Note n° 9 du Webmaster : Le site ARTtivision n'est pas un site scientifique, mais essentiellement ésotérique, c'est-à-dire qu'il a effectivement parlé de la vacuité intérieure des autres planètes, en passant par des messages transcendants, autrement dit, des messages venant d'entités évoluant dans des dimensions supérieures à 3. Chacun est libre de croire ou non, à ces messages, mais le site ARTtivision, dont les recherches sont essentiellement basées sur une "intuition toujours renouvellée", croit à ces messages après recoupement entre eux. Nous avons déjà plus haut évoqué le message incroyable qui dit que toutes les planètes sont creuses, et message qui se trouve aux pages 193 et 194 de cet ouvrage extraordinaire intitulé"LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. Mais, voici autre chose de transcendant, tiré de l'ouvrage "La Quête éternelle", d'un certain Joseph Whitfield :

  


    "...La planète Terre contient plus de secrets que l'homme n'ose en rêver. Ce que je vous dis maintenant est seulement l'un de ces grands secrets. Vous vous rappelez que Prime Nova racontait â Victor que le Soleil était creux, comme toutes les planètes. De grandes civilisations existent à l'intérieur de la Terre. Je ne vais pas vous parler d'elles maintenant, mais sachez qu'en plus de cet espace sous Terre, l'écorce terrestre abrite aussi de grandes cités civilisées..."

Fin de la note n° 9, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    Tout le monde admet que les planètes se sont constituées à partir de nuages de gaz en rotation qui se sont refroidis lentement. Toutes doivent avoir un noyau solide et lourd. Parce que l'on part du fait que la pression doit être plus grande au centre et que les connaissances sur les tremblements de terre n'ont pas pu prouver ce noyau solide, on prétend que le noyau des planètes est fait de plasma. C'est de la matière qui est si chaude et dont les atomes sont si denses (ils n’ont plus d'enveloppe d'électrons) que les lois de la physique n'ont plus de valeur. Cela tombe bien, car on n'est pas en mesure d'expliquer les phénomènes que l'on rencontre par des théories connues...


Feu nucléaire du Soleil et de la Terre.


     À propos du plasma, que personne n'a pu démontrer sur terre ou sur une autre planète, Engels dit la chose suivante: "Dans le soleil, il y aurait une fusion nucléaire, alors que sa densité est très faible. Les atomes d'hydrogène ont donc beaucoup d'espace.

     D'un autre côté, le noyau de la Terre doit être fait d'éléments plus lourds tels que le fer et le nickel, qui sont si denses qu'ils n'ont plus d'enveloppe. La probabilité que les atomes se rencontrent est beaucoup plus grande pour la Terre que pour le soleil, car les atomes y sont déjà compressés, donc, la probabilité d'une fusion nucléaire est plus grande.

     Si le soleil est une réacteur à fusion nucléaire, la Terre devrait en être un beaucoup plus puissant, elle aurait donc dû disparaître depuis longtemps dans un feu d’artifice nucléaire"
.


(Note n°10 du Webmaster : A propos de cette affaire de plasma, voici, ce que nous en pensons alors dans notre article cité déjà plus haut : CieletEspaceSept2012enquestion.html.

     " Le 5/07/10, nous avons eu aussi le bénéfice de découvrir dans la même Grande Surface du coin, la revue Science Magazine26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :


      Extrayons-en alors quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:


      Puis il y a :


     et voici enfin encore l'image inouie en question :


      Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons de notre Soleil arrivent à percer sans problème, une atmosphère plus de 12 fois plus épaisse que la nôtre (1200 km au lieu de 100km), ensuite, ces rayons vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère. Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle encore plus extraordinaire du Pôle Sud

     

     Fin de la note n° 10, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)
"

Omission de la force centrifuge.


     Revenons aux nuages de gaz en rotation : d'après Engels, la science a oublié la force centrifuge dans ses théories sur la genèse des planètes. Sans force centrifuge il n'y a pas de gravitation. Et l'interaction de ces deux facteurs crée nécessairement des corps creux. La gravitation réunit les particules, les plus lourdes sont poussées vers le centre. Elle a un effet de tri de l'extérieur vers l'intérieur. La force centrifuge pousse toutes les particules lourdes vers l'extérieur. L'effet est inverse. Il doit donc se former une cavité au centre. La combinaison de ces deux forces antagonistes induit l'apparition d'une coquille solide, dont les particules les plus lourdes sont déposées là où les deux forces s'annulent. La densité diminue en s'éloignant de ce centre, d'un côté vers la surface; de l'autre, vers le noyau qui est vide. L'objet qui en découle est creux à l'intérieur. Fragile comme une boule de sapin de Noël...

Carte des pôles classée Secret Défense .


     Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ?

     C'est pourquoi, Il ne faut pas s'étonner de la difficulté à se procurer des cartes du Pôle Nord. Dr. Rosner, responsable de la Faculté de Géographie de Tübingen, en Allemagne, a reconnu que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait partie des secrets militaires. Même la cartographie de l'océan Arctique, effectuée par les sous-marins atomiques, est protégée par le secret-défense. (Note n° 11 du Webmaster : En ce qui concerne cette affaire de sous-marins atomiques, nous avons eu l'occasion d'en parler dès le 02/12/2012 dans notre Article :


où il est précisé : " Vous avez bien lu plus haut : LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.. Donc L'homme propose, et cependant c'est le Maître du Temps qui lui, dispose. Pas un seul de ces cargos sous-marins, si bien décrits plus haut, n'a vu le jour alors que le monde du commerce est très puissant, et n'hésite pas une seconde pour faire valoir ses droits. Certains diront vite fait, que la technologie n'était pas encore au point dans le temps qui a suivi cet exposé du sieur Georges Lacoste, ou que cela n'a pu se réaliser pour d'autres raisons économiques non connues etc...

     Le site ARTivision, pense que nos progrès en Informatique et consorts,, nous auraient vite permis de surmonter les difficultés inhérentes à la construction de ces cargos sous-marins. Mais ARTivision affirme aussi, que le passage sous le Pôle de nombreux sous-marins"était bien trop dangeureux ", pour que l'on s'y risque, à cause bien sûr du vortex polaire, qui s'y manifeste à certains moments.
"

      A vous de juger, une fois de plus, tout cela !!!

     Mais on voit alors que ce passage parlant du remplacement du satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, a déjà été exposé en partie plus haut, et nous reprenons ici, à dessein, cet extraordinaire cliché composite, qui a échappé à l'élimination, et qui donne raison au sieur Siragusa, présenté largement ci-dessus :


    Aux spécialistes de répondre, mais nous, pour l'instant, il ne nous reste qu'à dire, comme les Anglo-Saxons embarrassés, devant une situation hors normes : NO COMMENT.

    Fin de la note n° 11, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


     En tant que particulier, il est difficile voire impossible, de se procurer des images des pôles. Quand Lamprecht a voulu acheter une carte de l'Antarctique auprès d'une entreprise sud-africaine spécialisée, l'ordinateur lui a répondu que ces cartes n'étaient pas disponibles, étant sous le sceau du secret-défense.

     La raison est simple. Le Pôle Sud a également une ouverture vers le centre de la Terre. Des vents chauds et des courants s'échappent en direction de l'océan polaire.


(Note n°12 du Webmaster : En effet s'il est certes difficile d'obtenir des photo satellites montrant le Pôle Sud, pour l'instant nous allons nous contenter de cette photo mosaïque, que nous a envoyée le 19 Octobre 2012, notre ami Jean Philippe :


    Cette image est tirée du site :


    Certains ne manqueront pas de dire à ce sujet : "Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale " voir le site:


    D'abord pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :


     Mais nous serions heureux d'apprendre, (mais nous en doutons fortement), par un spécialiste, que cette formmule prend bien en compte, le fait que nous montre l'image envoyée par Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé.

       Mieux, ce disque semble se juxtaposer étrangement, à cet autre disque, "bien noir", de l'Antarctique :


     Cette image provient, on le sait, de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sauf celle-ci :

    La légende qui présente cette photo est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire, n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir.


    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication concernant sa présence très insolite à l'endroit en question.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

      C'est alors qu'un certain internaute Fabrice c....., nous a interpellés sévèrement, le 21 Mai 2006, pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

      Il arrive parfois que certains médias se jettent sur les images qui nous viennent de l'espace, sans même daigner nous expliquer leur caractère insolite.

      Ainsi cet internaute blasé, Fabrice c....., en découvrant aussi la présence de disques noirs sur pas mal d'images des régions polaires nord comme par exemple celles-ci découvertes au journal télévisé de 19/20, le Mercredi 04/10/06, de France 3 et sur le site http://info.france3.fr/index-fr.php :

    


, n'hésiterait pas une seconde à qualifier ces disques noirs, comme étant dus à "la limite de la couverture satellitaire..." habituelle.

      De plus, l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007. Voici donc de quoi il s'agit :



      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire ("Ils décident de ce que nous devons croire et penser") de la couverture de sa revue, et formule qui s'applique parfaitement au contexte de notre article sur l'illusion, n'est pas ? :

" "Ils"décident de ce que nous devons croire et penser "

      Il nous reste maintenant à nous demander, (concernant, à la page 5 de la revue, l'entrefilet présenté ici sur la droite de la couverture), comment il se fait, que sur l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher. A vous de juger !!

      De même, il est bon de savoir que le 29/05/08, nous avons reçu de l'ami Jean-Carlo S... l'invitation à visiter le site : www.worldwidetelescope.org, où l'on peut télégarger un logiciel d'astronomie de Microsoft donnant des images extraordinaires, dont celles-ci qui concernent la Terre :

    

     Comme on le voit, l'existence d'une pastille plutôt énorme, à l'emplacement de la région polaire, ne saurait aucunement représenter le pôle géographique en question. Alors que fait donc cette pastille ? A vous de juger!

     De même concernant cette fois-ci l'Arctique sur le site :


    On découvre alors, cette image avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internautes se sont aussi évidemment demandés la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une autre réponse:


    Vous avez bien noté, que le nommé Guilhem, donne sa prétendue explication, qui n'est qu'une réponse de normand, car il ne dit pas du tout, pourquoi aucun des satellites en question n'arrive pas à prendre la zone incriminée, en photo.

    Cependant, il est à noter que l'internaute Patrick C...... et le Guilhem en question, et bien d'autres inconnus qui ont jubillé, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté dans nos articles cette photo assurément trafiquée du pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!! A vous de juger

     Rappelons qu'ARTivision, a déjà évoqué cette affaire de circulation des satellites aux pôles de la Terre, dans nos articles :mystifications.html, et Larondedessatellites.html, où d'abord, on trouve une image surprenante réalisée par ordinateur donnant la trajectoire de tous les débris de matériels lancés à l'époque dans l'espace terrestre :


    Ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer également, tangentiellement à un disque, ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre. Les rationnalistes endurcis, trouveront bien sûr une explication très vaseuse à cela.

    D'autres gens, qui se disent cultivés, ont affirmé en public, que certains satellites, survolent allègrement les pôles :

    En effet le 14 Nov. 2000, nous avons enregistré sur la chaîne Tempo, la rediffusion de l'émission bien connue de Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner, "C'est pas sorcier", consacrée justement aux satellites de la Terre. Mais écoutons textuellement, ce que nous dit Jamy au sujet du satellite SPOT, qui orbite à 830 Km de la Terre:

  "Comment le satellite SPOT, peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre, SPOT ne passe pas au même endroit et peut ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."

  Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de cette déclaration, qui montrent comment on nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites connus passent par les pôles, et qu'ils balayent ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce genre d'émission est destiné à la jeunesse, et qu'il ne faut pas lui demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les protagonistes, eux-mêmes, de cette émission, ont été "initiés" à "cette affaire polaire" , vue plus haut.

    Fin de la note n° 12, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Constitution de la planète Terre.


     La planète Terre loin d'être une boule de feu en fusion recouverte d'une fine couche de magma refroidi serait donc un corps creux à double système tectonique. Une tectonique de surface que nous connaissons tous et une tectonique de la couche interne.

     La Terre serait donc constituée de 2 sphères imbriquées l'une dans l'autre séparées par la matière la plus dense à savoir le magma (au point d'équilibre de la gravitation et de la force centrifuge).



(Note n°13 du Webmaster : Pas besoin de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir que la zone d'équilibre bleu foncé entre la force centrifuge et la force centripède, sur le schéma précédent est tout à fait imaginaire et ne peut exister, car elle entrainerait des flottements et des glissements perpetuels entre les deux zones des coques terrestres qu'elle sépare et rendant la vie impossible à l'intérieur comme à l'extérieur , ou tout bougerait sans arrêt.

     Mis à part, le discours officiel qui veut que la pression interne de notre planète, fait circuler le magma dans les couches supérieures de la coquille terrestre, ce magma provenant du centre de la Terre, nous n'avons trouvé qu'une seule explication, plus ou moins acceptable (qui a trait à la soupape d'une cocote minute (un autocuiseur) qui se met à tourner et à siffler quand la pression interne est trop forte). Cette explication, est celle qui nous vient de l'entité transcendante Ramtha , dans son livre intititulé "la Redécouverte de la perle de la Sagesse Ancienne" :
     Comme ce texte, est très confus, nous avons traduit en langage plus clair, et les onomatopées propres et habituelles de Ramtha , ont été enlevées.

" Les gens de l'intérieur, qui sortent à la surface de la Terre, le font pour analyser la coquille extérieure de leur demeure et voir comment elle se comporte. Ils sont alors très inquiets, car il y a eu des explosions à l'intérieur de la Terre, dans les mers , et dans l'atmosphère. Comprenez-vous que les explosions faites dans la terre, sont ressenties dans leurs cieux. Ce que l'on appelle des volcans, et des zones de tremblements de terre en surface, sont des points de compression élaborés par vos frères de l'intérieur , dans des lieux où les énergies accumulées peuvent être libérées, afin d'éviter que leur royaume ne soit détruit. Les choses sont ainsi. Force et vapeur et énergie, y sont relâchées. Il doit y avoir un lieu où l'énergie est atténuée de sorte que si ce lieu est externe l'énergie ne pourra pas se diriger vers l'intérieur, et ceci évitera l'effondrement des structures internes. D'où la raison des manifestations qui ont lieu ces temps-ci à la surface externe de la Terre. "


    Dur.. Dur.. n'est-ce pas!!! A vous de juger.

    Fin de la note n° 13, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    Le double mouvement tectonique engendre une énergie en partie diffusée dans le cosmos mais en partie concentrée au cœur du corps creux, sorte de surplus énergétique à même de créer des conditions favorables à la vie à l'intérieur de la planète.

La Notion de Haut et de Bas.


     Si vous affirmez à un enfant français que les chinois marchent la tête à l'envers en dessous de ses pieds, il croira à une blague, ne parvenant pas à comprendre un tel phénomène. La notion de haut et de bas est une question d'échelle. L'homme est trop petit pour percevoir la convexité de la planète.

(Note n°14 du Webmaster : Rappelez-vous les propos que tenait autrefois (à une époque pas si éloignée), un partisan de la thèse de la Terre plate, qui affirmait ceci : "La Terre ne peut être ronde car les gens des antipodes tomberaient dans le vide". Bien sûr, il ignorait que la loi de gravitation, autrement dit que la pesanteur collerait, ces gens des antipodes, comme lui à la terre ferme. Donc pour lui la normalité était que la Terre ne pouvait être que plate. Pour certains orthodoxes, la Terre actuellement ne peut être que pleine car si elle était creuse, les gens de la couche intérieure, tomberaient vers le centre de la planète. Voici un schéma que propose le Dr Raymond Bernard pour expliquer que c'est l'inverse. Les gens de la surface intérieure sont aussi plaqués au sol, par la pesanteur venant du sphéroide coloré en rouge sur le schéma suivant :


Ce schéma est bien sûr, tiré du livre américain de 1920 :

  


de Marschall B.Gardner déjà présenté plus haut tel que :

  


    A vous de juger, documents à l'appui...

    Fin de la note n° 14, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


    La relativité du haut et du bas est identique pour des hommes marchant sur une surface concave à l'intérieur d'un corps creux,      c'est aussi une question d'échelle.


L'Hypothèse d'une vie Intraterrestre.


     Si les conditions d'une vie intra-terrestre sont réunies selon cette théorie, elles sont cependant très éloignées des conditions de vie en surface. Le biorythme doit être fondamentalement différent car cette vie est plongée dans une éternelle lumière sans alternance jour/nuit. La constitution biologique, cellulaire, diffèrent nécessairement, la notion d'espace et de temps diverge de nos conceptions formées en surface. Ce monde interne est un paradigme totalement étranger à notre conditionnement culturel. En d'autres termes, il est impensable...

(Note n°15 du Webmaster : L'auteur de cet article ne croit donc pas du tout à la possibilité d'une vie organisée à l'intérieur de la Planète. Dommage qu'il n'avait pas encore lu à l'époque de fin 2003 l'ouvrage incontournable "The Smoky God"de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson paru en 1908, et que nous avions pourtant traduit en amateur déjà dès le 6 Avril 2001 :

  

    Et notre traduction se trouve à : http://www.artivision.fr/SmokyGod.html

    Et, il y est bien précisé que le soleil brille la journée pendant 12 heures et s'estompe, en paraissant comme la Lune, pendant les 12 autres heures. Ce n'est donc pas un soleil de même nature celui de l'extérieur, n'en déplaise à certains détracteurs zélés qui auraient voulu qu'il en soit ainsi. Même son de cloche environ, dans l'ouvrage plus ancien, déjà vu plus haut, et qui est d'un certain Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin :



    Voilà donc encore une affaire de soleil qui dérange grandement les bien-pensants. Rappelons donc ici notre déclaration dans notre article : http://www.artivision.fr/TerrecreuseSVJDec2000.html

    "Et voici notre réponse en date du 2/03/01 :

     " Je n'ai aucun moyen de savoir si ce soleil intérieur est structuré comme celui que nous connaissons à l'extérieur, et si ses radiations ont les mêmes effets que le notre. Le concept que certains appellent "La Nature" et que d'autres, par" l'architecte de l'univers", et d'autres encore par bien d'autres noms, comme la Source, ou Le Très Haut, nous surprendra toujours. Des êtres vivants réussissent à évoluer dans des conditions les plus épouvantables et certains même comme les lucioles par exemple sont capables de fabriquer de la lumière froide, avec des cellules que nous n'avons pas réussi encore à faire se reproduire isolément en grand nombre car cela remplacerait avantageusement nos moyens nocturnes d'éclairage ( Voir aussi plus bas l'affaire du Poisson-phare)...

....     A la recherche d'une certaine  information spatiale  dans nos archives, nous sommes tombés en arrêt ce 26/02/02 devant un encadré remarquable du n° 187 de la revue NOSTRA en date du 5 Nov 1975, que nous vous transcrivons ci-dessous intégralement :

( TEL-AVIV )
LES SECRETS DU POISSON-PHARE

     Son nom scientifique est " photoblepharon palpebratus". Mais les plongeurs qui peuvent admirer cet étonnant spécimen de la faune océane l'appellent plus simplement , "le poisson-phare". Il est long de sept centimètres environ et ses eaux de prédilection sont celles du golfe d'Elath, en lsraël. Non content d'émettre une très forte lumière, il présente la particularité d'en diriger le faisceau à son gré, comme s'il s'agissait d'un projecteur.
     On a surtout insisté, jusqu'ici, sur son aspect féerique. Mais les époux Morin, professeurs de l'Université de Los Angeles, sont allés plus avant dans les investigations et voici ce qu'ils nous révèlent â son sujet.
           - Le « phare » est un organe en forme de haricot placé juste sous les yeux et porteur de bactéries luminescentes. Le poisson l'utilise pour se procurer sa nourriture. Parfois, de véritables bancs se forment, pour balayer le fond de la mer d'une nappe de lumière extrêmement brillante où apparaissent les petits crustacés convoités.
           - Le même phare est un moyen de défense. Le poisson éblouit et aveugle ses adversaires, lesquels s'enfuient, au comble de la terreur.
     Certains pêcheurs ont capturé des poissons-phares et les ont placés en aquarium. Il leur devenait possible de lire le journal, en pleine nuit, rien qu'en se tenant à un mètre de la vitre protectrice.



      Fin de l'entrefilet encadré.

      Que dire de plus devant cette ingéniosité de la Nature à créer toujours, de quoi nous émerveiller chaque fois un peu plus et n'est-il pas imaginable de croire que, si elle a été capable de réaliser un tel phénomène, il ne lui serait pas, selon nous, plus difficile, d'en créer un autre, en la matière d'un soleil placé au centre de la Terre, dans le cas, ( Et il reste aux scientifiques à le démontrer) que cette dernière serait creuse? Qu'en pensez-vous ?

    Donc seuls les privilégiés comme Olaf Jansen et son père Jens,



qui ont pénétré dans ce Monde intérieur pourraient nous analyser ce phénomène et tenter de le décrire et encore faudrait-il qu'ils soient des scientifiques munis d'appareils adéquates et non de simples pêcheurs comme Olaf Jansen et son père , qui n'avaient pas les connaissances requises pour cela.

    Mais, il est bon ici de rappeler ici, les sublimes paroles du Maître Pomar, dont avons simplement présenté plus haut, le nom :

       "...qui amènent des conclusions inexactes, à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "

    Mais il y a encore bien mieux en ce qui concerne la vie sur les autres planètes. Cependant nous invitons les novices, à bien s'accocher aux murs car, ce qui suit, va casser le moule, et pourtant cette information date déjà d'Avril 2001:

    En effet, en plus de la page 112 très explicite, de cet ouvrage :


où l'on trouve ceci :      "La thèse retenue par vos scientifiquesn'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.

   Votrecentre de la Terre est creux et possède son propre Soleil générateur de Vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre.Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central. L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central ....
"

, donc en plus, il y a en pages 121 et 122, (et mieux vaut ne pas être soumis à de fréquents vertiges), car on y trouve alors : "L'utopie réside dans l'idée de croire que la vie ne peut se manifester qu'à l'extérieur de votre planète. Cette réalité représente le dernier maillon des niveaux de vie de votre Terre. Chaque plan possède ses terres, ses paysages, ses mers intérieures, ses soleils. Vous êtes le dernier maillon qui ignore l'existence des autres et ne peut pas encore bénéficier volontairement et consciemment des contacts de ces humanités. Vous avez toujours préféré croire que les interventions des Ordres élevés venaient du ciel.

    Oui, les Pléiadiens et d'autres viennent du ciel, mais les Ordres de la Fraternité blanche, les Melchizédek, l'Ordre du Soleil de Jade et d'autres, viennent de l'intérieur de votre Terre. En portant votre regard vers l'intérieur de vous-mêmes, vous trouverez cette réalité. Quand, dans d'autres livres, nous vous parlions des sept corps des planètes, nous ne faisions pas allusion à une vie extérieure à ces corps, mais bien à une vie intérieure.

    Quand une planète arrive à son terme, toutes les humanités se retirent. Reste en dernier la civilisation extérieure. Quand celle-ci se retire à son tour, c'est l'annonce officielle de la fin de cette planète.

    Vos scientifiques vous diraient : "Mais il n'y a pas de vie sur la surface de telle au telle planète !" N'oubliez pas que ces planètes n'ont pas la même qualité vibratoire que la vôtre et que ce n'est pas parce que vos yeux humains n'y ont pas repéré de vie, qu'il n'y en a pas !

    Votre sphère est constituée de sept manifestations ou corps intérieurs et extérieurs. Chaque niveau possède sept réalités qui demandent à être découvertes. Chacune vous fera explorer le son et la couleur dans toutes les tonalités (les sept couleurs fondamentales et les différentes notes musicales). Vous n'en avez pas fini avec cette planète !
"

Fin de citation...et bien sûr , No Comment...

    Fin de la note n°15, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


Pôle: Zones militaires interdites .


     Cette théorie de la Terre creuse devrait être facilement démontrable. Des expéditions aux pôles comme les fit l'Amiral Byrd, devrait confirmer ou infirmer cette théorie. L'Amiral Byrd confirme cette réalité prétendant être passé à l'intérieur de la planète. (Note n°16 du Webmaster : L'auteur fait ici allusion au prétendu Carnet de vol de Byrd apparu à la fin des années 1990 concernant le vol de ce dernier du 19 Fevrier 1947. Notre canadien Robert Momer parfaitement bilingue nous disait à l'époque que le style de ce texte ne semble pas du tout correspondre au "verbe" d'un homme cultivé comme le Vice amiral Byrd.

Il n'en reste pas moins vrai que Cette aventure du vice Amiral Byrd est si extraordinaire, que l'on pourrait facilement, faire un rapprochement avec l'aventure, bien connue, d'Alice au pays des merveilles que nous devons au mathématicien et écrivain britannique Lewis CAROLL en 1865. Nous savons en effet, qu'Alice est plongée dans ce roman, par un concours de circonstances, dans un monde fantastique où rien ne se passe comme on pourrait le supposer. Il en a été de même, on le sait déjà, pour le vice Amiral Byrd, qui a pénétré dans un univers si insolite qu'il défie l'imagination la plus échevelée


     C'est le 10 Novembre 2000, nous avons reçu par la poste d'un très aimable internaute suisse (que nous avons hélas perdu de vue car il est peut-être décédé depuis), le " Carnet de bord ", attribué au vice Amiral Byrd de l'epoque et correspondant à sa célèbre expédition du 19 Février 1947 (Voir notre bibliographie à biblioterrecreuse.html)

     Et voici les deux premières pages de ce journal de bord ou carnet de vol de Byrd :

  


     On note cependant dans ce texte, des allusions verbales germaniques en provenance du peuple souterrain, et par exemple le mot "au revoir" et peut-être encore le "léger accent" des hôtes de Byrd ou encore peut-être le mot "Flugelrads" qui signifient "machines volantes" ou "navettes aériennes".

     Nous avons fait une modeste traduction de ce texte étrange,(où Byrd dit avoir vu un Mammouth vivant), que nous vous livrons à la page :

     Mais, ARTivision, préfère de loin, aller fouiller dans les revues ou journaux de l'époque, pour y trouver des propos hors-normes incontournables de Byrd, tel que cela, est exprimé dans ce qui suit :

    Le 21 Septembre 2010, nous avons reçu du grand ami canadien Sébastien C......, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :


        Amitiés
        Sébastien


    Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, voici le document en question :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:


Traduisons alors grosso modo ce passage :

       " Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié..

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

    Rappelons ici un autre texte plus récent, où Byrd s'est exprimé d'une manière tout à fait analogue :

    En effet Byrd s'exprime en Janvier 1956 dans le n° du Selection du Reader's Digest, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique", que nous avons le privilège de possèder :

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, il nous parle de l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     " Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà" et non "autour" du pôle. Le même raisonnement utilisé plus haut et concernant des étendues glacées et neigeuses très caractérisées, s'applique donc aussi ici. Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (mais là, on le sait, Bryd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même phrase. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933 pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inoui, à la fin de notre article :


Nous pourrions bien sûr produire d'autre doocument qui prouvent que l'amiral Byrd à bien été confronté à une réalité qui dépasse de loin les ecrits des meilleurs auteurs de science fiction. Il ne nous reste à ARTivision que de mettre la main sur ce qui suit, où il est ecrit :

    " Janvier 1956: " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du pole Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle". Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 Février 1956.
    Notons avec soin le terme "au-delà" (déjà explicité plus haut), et non "au-dessus, ou derriére" utilisé, une fois de plus, par l'amiral Byrd.

    Il nous faut alors, bien sûr, retrouver absolument, au moins un journal américain ou canadien, ou autres, qui a publié, le 13 Février 1956, ou les jours suivants cette incroyable déclaration, de l'amiral Byrd. Merci d'avance à tout chercheur enthousiasmé par cette tâche capitale .

Un grand bravo déjà à l'internaute qui touchera pratiquement le Gros Lot et découvrant le journal ou la revue qui a publié ce qui précède.

    Il est est de même pour ce qui suit : Mars 1956 :"La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire ". Vice-amiral Byrd le 13 Mars 1956 à son retour du Pôle Sud."

    Faudrait alors pouvoir fouiller, dans les journaux en question, à partir du 13 Mars 1956, et les jours suivants...

    Rappelons aussi enfin, que c'est dans le LIFE



du 25 Mars 1957 que nous avons trouvé cette phrase sublime de Byrd en anglais:

"that enchanted continent in the sky, land of everlasting mystery."


et qui traduite donne :

"ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère!"

     Mais il nous appartient de rappeler ici, ce qui suit, pour ce Monsieur Serge Jodra, sans doute un astronome qualifié, auteur de l'article étudié plus haut du "Ciel et espace de Juillet 1997", et intitulé "Terre creuse voyage au centre d'un fantasme" et qui met entre guillemets l'expression "mystère polaire", ce qui veut dire qu'il n'y pas rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre.

     En effet, le 26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de l'ami Sébastien du Canada, la missive suivante dont voici le début :

----- Original Message -----
From: sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd

          Bonjour Fred,

     J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le pôle sud en Février 1947. (voir fichier joint)

Et voici l'url :

.....................suite coupée...........


     Merci mille fois encore, à Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches d'ARTtivision.

     Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site :

     Le titre surprend déjà : Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ?

     Traduisons quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.

     D'abord tout au début, on trouve " Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atterri à Little America jeudi, et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré, pour déterminer si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.

     Byrd dit que l'expédition de la Navy sous son commandement allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".


     Quel tissu de sous-entendus, Byrd nous livre là ? Il faut savoir lire entre les lignes, bien sûr.

     En effet d'abord, pour savoir si l'immense continent possède des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m )
, capables de le séparer en diverses portions, il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc cette affaire d'îles à déterminer est un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.

     Puis il y a ceci :"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde". Comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ? .

    Puis il y a cette déclaration inouïe de Byrd : "I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" : "J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle". Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration, s'apparente énormément à celle que Byrd, aurait dite plus haut en Février 1947 (le jour n'étant pas hélas précisé), et concernant le Pôle Nord : "J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)...", alors qu'ici il s'agit du Pôle Sud, le 31 janvier 1947. Aux spécialistes de résoudre cette énigme saugrenue : BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? COMME C'EST BIZARRE...

    Plus loin, il y a aussi cette affaire d' inacessibillité que nous avons déjà traitée dans notre article :


    Affaire à suivre plus tard.

     Tout cela nous amène à croire que, ce sont encore Ray Palmer et Raymond bernard, qui nous en donnent l'explication :

     "Le 13 Janvier 1956, nous apprenons ce qu'il en a été réellement. A cette date, les rapports de l'US Navy parlent de l'atteinte d'un point à 4300 km au-delà du Pôle Sud. La distance totale fut réalisée sur une zone terrestre. "

      Le site ARTtivision cherche bien sûr, (nous l'avons déjà dit plus haut), avec une ardeur inégalée, comment trouver au moins un, journal qui a publié ces rapports.

     Plus bas, on trouve aussi, "I'd like somebody to get intothat vast unknown area on the other side of the pole " he said.

Cette affirmation de Byrd est superbe et très explicite: " J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette immense zone inconnue, au-delà du Pôle"... Que dire de plus ici sinon que Byrd vient là de mettre le pied carrément dans le plat. Que ceux qui veulent encore le dédouaner concernant sa découverte extraordinaire et la considérant comme tout à fait banale, continuent à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, jusqu'à ce qu'ils soient bientôt balayés par le souffle puissant des révélations incontournables qui approche.

     Et pour terminer nos phrases soulignées on a ceci :

" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "

     Et nous voilà arrivés à cette affaire de zone inaccessible, mentionnée au début de cet article...

     Mais voyons alors un autre son de cloche :

    Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:

----- Original Message -----
From: Christophe G.......
To: fred Idylle
Sent: Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject: Re: NEWS PAPER OF BYRD
     Cher Fred,

     Voici un petit exemple de documents officels du New-York Times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.

     Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...

source :


     Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !

     Bien à toi.

     Christophe.

      En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors:

     Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge : " Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible a la surface de la terre".

     Toujours cette affaire de région inaccessible et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.
     Puis, il y a cette carte de l'expédition :

     Sous la carte, on découvre l'affaire d'une région couverte de mystérieux lacs, et dans les lignes qui suivent, c'est l'affaire de l'Oasis de Bunger, qui est évoquée, sans que l'on nous en dise beaucoup plus, que ce que nous connaissons déjà :


     Mais quelques jours plus tard, on nous en dira tout de même, un peu plus dans le document ByrdOASIS87720893.pdf suivant :


    Notre modeste traduction donne à peu près cela :

     " Oasis dans l'Antarctique.

     La découverte d'une seconde "oasis" dans l'Antarctique par des aviateurs performants de l'amiral Byrd semble confirmer le fait que le continent polaire sud n'est pas le simple étalage continu de zones congelées tel que le monde le conçoit. L'existence de vastes étendues de terre nue parsemées de lacs d'eau douce suggère la possibilité d'établir là, des colonies permanentes, à partir de laquelle les ressources minérales de ces régions accidentées, pourraient être exploitée pour le bénéfice de l'humanité. (Note du Webmaster: Hum, humm...Chacun sait que ce sont toujours les mêmes, bien assis dans la société, qui en profitent).

     Les oasis sont associées dans notre esprit à des palmiers qui poussent dans le désert. Inutile de dire, qu' il n'y en a aucun de ces oasis dans l'Antarctique. (Note du Webmaster :...Bien sûr, c'est le journaliste du New York Times qui parle, et non Byrd)...

     Mais dans l'un des lacs au moins, une trace de vie végétale a été trouvée. Ce lac est environné d'une la glace mince, dans son eau tiede vivent des algues et aussi on y trouve des cristaux minéraux. En effet, cette présence d'algues pourrait être l'origine de la couleur extraordinaire de ces lacs qui, lors de leur survol, donnait l'impression d'une illusion d'optique. Un hydravion se posa sur la surface d'un lac et a changé cette illusion en un fait surprenant explicable. Les lacs étaient là, non gelés. La zone autour d'eux était libre de glace, avec des plages assez larges pour accueillir des escadrons d'avions. Des affleurements coniques de roche rouge foncé ou rose s'apparentaient à de petits volcans. Tout le reste dans cette terre étrangère reste mystérieux et inexpliqué.

     Une expédition scientifique est maintenant sur le chemin de l' Oasis de Bunger. Peut-être qu'au retour des explorateurs Byrd, leur rapport affinera notre information. Il serait important de savoir si ces oasis sont alimentées par des sources chaudes ou s'ils sont simplement des zones ouvertes, comme des tranchées au travers d'un glacier. Cela intéresse le développement futur du continent sud, pour ses sources chaudes, et ses clairières volcaniques qui pourraient être en mesure de soutenir l'activité humaine toute l'année. Quelle que soit l'importance de ces oasis polaires insoupçonnée peuvent avoir, elles sont certainement les plus surprenantes découvertes de l'opération Highjump."


     Vous avez bien noté, que le journaliste du New York Times, a été subjugué par la présence surprenante de ces oasis dans une région de l'Antarctique où le - 50°, est plutôt souvent de rigueur .

      A vous de juger, cette nouvelle approche de l'affaire, documents à l'appui.

    Fin de la note n°16, et suite du texte du de Karl-Heinz Engels)


, Depuis, cartes expéditions civiles, mesures à certaines latitudes des pôles, sont interdites, prohibées. Apporter les preuves tangibles de cette réalité plongerait l'Humanité dans une vision cosmique aux antipôdes des rapports stériles et nuissibles que nous entretenons aujourd'hui avec note planète . Ce serait une nouvelle révolution copernicienne libératrice. Des puissances millitaires dirigeant notre planète en ont pourtant décidé autrement, interdisant purement et simplement l'accès aux pôles...

    Sources ( Extrait du livre de Karl-Heinz Engels: La Théorie des corps creux. Extrait du livre Jaune N° 6 des Editions Félix . )


     Et pour ceux qui connaissent l'Allemand : Extraits du livre de Karl-Heinz Engels : Die Hohlkörper-Theorie (La Théorie des Corps Creux), Querdenker-Autoren Union, 1993.


Fin du texte de Karl-Heinz Engels.

V Quand Super Hasard, fait surgir, juste au bon moment, un texte en latin où la légende apparaît spectaculairement.


     le 03/01/2013, nous avons reçu la missive remarquable suivante :

From: Pierre
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...

     Bonjour Fred,

          Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...

     Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")

, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".

     Ce qui m'interpelle le plus dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.

     La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!

     Les intra-terrestres eux même, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand!

     Même eux, puisque la "respiration" dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.

     Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement. (Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).

     La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...

     Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?

     Amicalement,

     Pierre.


     Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches pointues d'ARTivision.

     Nous avons vite retrouvé, le n° 27 de la revue Top Secret de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n°), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :

  


     L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".

     Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste, puisse en dire plus, si cela lui plait :


      Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:

"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,

(note du Webmaster)

     Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569 (->).

     Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique.

     J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...

     Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.

     Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.

eVoici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :

     Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.


          Pierre C.



     Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en rouge dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin.

     Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTtivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon de cette nature au Pôle Nord. Il avait seulement entendu une affaire à peine semblable, arrivée autour du Pôle Sud, à un certain, Arthur Gordon Pym,(voir plus haut), dans le roman, hélas inachevé, d'Egard Poe de 1838, et remis en exergue par Jules Verne, au chapitre 5 de son œuvre "Le sphinx des Glaces" publié en 1897.

     Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569, et texte qui nous parle d'un vortex boréal fantastique, que le sieur Siragusa (voir plus haut), connaissait assurément avant le 20 Mai 1972, où il montra lors d'une conférence à Paris, une photo du Pôle Nord avec un grand trou.

     Merci surtout à Super Hasard, de nous avoir permis de retrouver dans nos dossiers, juste au moment voulu, un document exceptionnel, qui prouve que des explorateurs du Grand Nord du XVIe en savaient déjà, bien plus sur le vortex polaire que certains bien-pensants de nos contemporains.

"Légende, vous parlez de légende? Comme cela semble légendaire".

VI Quand La revue Nexus, dans son n°83 de Nov-Déc 2012, en remet une couche (qui se veut scientifique) dans l'affaire de la Terre creuse.


     D'abord notons ceci... Voici la couverture de la revue Nostra N° 283 du 20-26 Avril 1977 :


     Cette revue bien décriée par les bien-pensants de l'époque, avait au moins eu l'audace de présenter en 1977 dans sa couverture, le thème de la Terre creuse, car cela devait être important puisque c'était le savant atomiste très atypique, Jacques Bergier, qui en parlait. Voir notre article :


     Revoyons maintenant les couvertures de deux numéros de Nexus, dont nous avons déjà parlé :

  


     Comme on le voit le thème de la Terre creuse qui pour ARTtivision, est d'une importance inouïe, et qui surclasse tous les autres, est considéré par cette revue, comme sujet très secondaire, voir même peut-être insignifiant et futile, qui ne mérite pas que l'on en parle dans sa couverture.

     D'ailleurs c'est si dérisoire, que l'auteur dans le n° 83 de l'article intitulé "Terre creuse : Une troublante Théorie" n'a même pas jugé bon de mentionner que la revue Nexus avait déjà sorti un article en 2002 sur le sujet, et bien sûr, soit il ignorait l'article admirable de Mr Pascal Cazotte déja étudié plus haut, soit, et c'est plus grave il a jugé cet article, comme manquant de compétences scientifiques en rapport à son propre niveau, en oubliant que les théories scientifiques ne sont valables que pour une époque et souvent sont remises en question d'une génération à une autre. En effet, l'histoire des sciences, nous permet de savoir que les scientifiques n'agissent qu'en fonction des informations admises par leurs mentors universitaires et si par exemple, on leur apprend que l'énergie du Soleil est due à des réactions atomiques basées sur le noyau de l'hélium, ils s'en tiendront là, et feront leurs thèses et leurs calculs sur l'équation fondamentale tirant l'énergie de l'hélium. Et ils en resteront là, jusqu'à l'apparition d'une nouvelle théorie plus générale. Il n'y avait pas si longtemps avant la découverte de la célèbre formule E=MC² d'Einstein, on admirait la théorie de la contraction proposée par Helmholtz, qui dès 1854 supposait qu'il y avait transformation de l'énergie de gravitation en énergie thermique et que le Soleil devait se contracter par simple effet de l'attraction gravitationnelle vers son centre et produire ainsi de la chaleur par compression des masses gazeuses.

     Voyez cependant l'affaire de d'Immanuel Velikovsky et de bien d'autres, qui furent des précurseurs très critiqués.

      Il faut noter aussi, (nous l'avons déjà expliqué), que les scientifiques n'agissent qu'en fonction des informations et des lois admises dans leurs universités et donc, ils construiront alors leurs appareils de mesure, en tenant compte des seules données admises. Le site ARTivision, a présenté plus haut, au paragraphe IV, une thèse qui s'oppose totalement à celle des scientifiques actuels, et qui dit que le Soleil n'est pas du tout brûlant.... C'est le rayonnement, encore inconnu de ce Soleil, qui en traversant d'abord, les couches de l' Éther de la planète (non accepté par la science), et puis ensuite les couches de l'atmosphère, qui fait apparaitre chaleur et lumière sur la Terre, ce qui somme toute, est plus logique pour organiser la vie dans notre système solaire.

      Un autre exemple : De nombreux explorateurs et aviateurs ont prétendu avoir atteint le Pôle Nord, sans savoir que leur instruments de navigation sont conçus en fonction de connaissances contemporaines de la Terre, c'est à dire qu'ils prennent en compte des données sur la sphéricité de la Terre, et qu'ils ne fonctionnent qu'approximativement aux abords de la concavité polaire. Les ingénieurs qui ont fabriqué ces instruments, ignorent donc l'existence de cette concavité, et les resultats de leurs appareils sont donc faussés obligatoirement...

   En effet, dans un article intitulé "La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au supposé Pôle Nord officiel :


    Et, il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, les angles Alpha, Bêta, et Gamma ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma, et donc que la position déterminée par l'explorateur en sera automatiquement faussée sur le terrain. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire que nous évoque, notre bien pratique schéma suivant d'une pomme :

  

      Nous n'allons donc pas vous saturer des schémas et termes scientifiques exposés dans cet article du Nexus n° 83 en question, dont on vous avait déjà montré le début :



     Par contre nous vous présentons d'abord cet entrefilet de la page 102 :


     Il y a de cela bien des années, nous avons en effet écrit à l'Editeur Albin Michel pour lui demander très respecteusement, de tout faire pour traduire cet ouvrage "Hollow planets" de Jan lamprecht de 1998, car cet ouvrage complétait parfaitement celui de Raymond Bernard "La Terre creuse" qu' Albin Michel avait si judicieusement publié en 1971.

     Hélas la politesse se perd de nos jours, car nous n'avons jamais reçu de réponse. Sans doute un nouveau rédacteur en chef était totalement hermétique à cette affaire de Terre creuse. Il s'en mordra les doigts, car la Divulgation approche à grands pas, et assurément cet Editeur va se faire court-circuiter par un autre plus vif et plus habile .

     Puis, il nous semble primordial de vous présenter aussi ce passage scabreux, extrait des pages 100 et 101 :


     Nous avons alors soulignés en rouge, les phrases condescendantes qui nous interpellent dans ce texte.

     Il n'y a pas bien longtemps, nous avons fait de grands éloges, à la revue Nexus pour le remarquable article, de son n°73 de Mars-Avril 2011, et article à vulgarisation scientifique, de 8 pages, venant probablement d'un astronome qui se fait appeler Eupalinos , sans doute pour ne pas salir sa réputation officielle et subir ainsi les railleries ignares, de ses éventuels collègues. Voir notre article :


     Mais, ici, il n'en sera pas de même, pour cet article de ce Monsieur Pierre Fontanel, car paradoxalement, il traite en premier lieu, la Théorie de la Terre creuse, de "théorie fantaisiste", et dit en plus, que les ouvertures polaires sont pour lui, une "hypothèse, avec images douteuses à l'appui"...

     Nous dirons alors, à ce Monsieur de tourner sa langue 7 fois dans son logement, avant que de dire, que seule sa méthode prétendument scientifique est valable, et que tout autre chose, n'est que canular et supercherie.


     Il faut alors savoir que cette image fut présentée par ARTivision, dès le 21/04/2004 dans notre article: Byrdalicesuite.html

     Et donc ce monsieur Pierre Fontanel, avait tout le loisir de faire analyser par des spécialistes, les caractéristiques intimes de cette photo et de publier ensuite un rapport fermant le bec à tous ces gogos qui croient au soi-disant canular. Le site ARTivision lui, ne s'est pas contenté de se tourner les pouces entre temps, et il a demandé (nous l'avons vu dèjà plus haut), à un infographiste qualifié, de nous sortir ses conclusions à ce sujet : Revoici donc, une fois de plus, en substance, ce qu'il nous a révélé :

""     Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses..."


      Si cela s'averrait exact, nous serions là en présence d'undocument exceptionnel  et inestimable.

      Donc voilà une affaire à suivre de très près, et affaire où aurait dû entrer en jeu, ce Monsieur Pierre Fontanel, qui a certaiment bien plus de moyens d'agir que nous.

     Et puisque, ce Monsieur parle aussi d'une ouverture de plus de 1000 km de diamètre, nous lui redisons encore que, compte tenu du diamètre polaire de la Terre qui d'environ 12713 km et que sur la photo testée l'arc de la courbure terrestre mesure 15,5 cm un calcul élémentaire, nous donne pour cette ouverture réelle du trou 1494 km pour l'ouverture et nous arrondissons à 1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les 2300 km du schéma présenté dans le livre "La Terre creuse", de Raymond BERNARD déjà cité plus haut :


      Mais nous avons aussi vu, ce que ce Monsieur Pierre Fontanel, semble totalement ignorer, c'est que cette affaire de diamètre de l'ouverture polaire est tout à fait illusoire, car ce diamètre varie en fonction de la Respiration de la planète Terre, qui est un organisme vivant, (et cela n'est pas enseigné dans nos universités).

     Quant à parler de manière totalement dérisoire, de Guerre froide, de secret millitaire, d'illuminati et consorts... ce monsieur feint d'ignorer qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus évéillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York en Sept. 2001... etc..., et bien d'autres affaires encore cachées...

     Voir quelques unes de ces affaires dans nos articles :




     Alors, il faut savoir que le niveau du secret concernant l'affaire de la Terre creuse , est au-dessus de tout ce qui précède et donc tout est fait, pour nous cacher au plus haut niveau, la Vérité sur cette affaire qui concerne, cela va de soi, l'Humanité entière.

      Mais, terminons par ce paragraphe :

Étoile interne ?

     Ce qui dérange le plus, dans le modèle de Terre creuse, c'est l'éventualité d'une étoile interne. D'après les observations ( note du webmaster: mot très mal choisi, car il s'agit simplement d'hypothèses sans vérification) une si petite étoile ne pourrait que s'effondrer. Mais peut-on extrapoler à une étoile interne des données d'observations d'étoiles classiques ? Ne s'agit-il pas de deux réalités très différentes ?

     En effet ce Monsieur vient de marquer un bon point, car depuis belle lurette, le site ARTivision a parlé d'un soleil interne, qui pourrait fonctionner comme une luciole ou un poisson phare. (Voir plus haut).

      Mais, nous l'avons déjà écrit au-dessus, les savants actuels, ne savent même pas comment fonctionne le Soleil extérieur de la Terre, à plus forte raison, celui jamais vu, de l'intérieur.

     Mais, on aura sans doute fait un Grand pas, dans la connaissance de notre système solaire, le jour où, nos scientifiques auront la preuve que le sieur Howard Menger, a dit la vérité. Reprenons donc, volontairement, ici, son extraordinaire propos que nous lisons en page 220 de son ouvrage :


     La phrase suivante, témoigne bien de la grande modestie de l'auteur, et elle raconte , un voyage hors norme, qu'il aurait fait dans un vaisseau spatial de ses amis :

     " Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant."

     Surprenant n'est-ce pas !!! surtout pour quelqu'un qui n'avait rien des qualités d'un astrophysicien.

      Rappelons que cet Howard Menger, a produit dans son livre, des photos de la Lune, dont voici une, qu'aucun spécialiste n'a pu expliquer jusqu'à présent :


     On y voit parfaitement dans le coin supérieur gauche, une portion du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à la Lune...

      Alors, Monsieur Pierre Fontanel, au lieu de critiquer systématiquement, les photos des pôles de la Terre, en voilà, une autre, très claire de la Lune, que vous pouvez faire analyser par des Maîtres de l'art en photographie, et là au moins, si cette photo est authentique,, et qu'il ne s'agit pas d'une maquette, vous aurez la preuve indirecte absolue, que le Soleil n'est pas du tout un corps très chaud, comme on vous l'a appris à l'université. Point Barre...

     Enfin pour terminer, voyons ce paragraphe de la page 111 :


     Voyons d'abord, puisque l'auteur en parle, ce qui se trouve dans ce N° 70 de Nexus :


     Comme vous le voyez, il n'est nulle part question, d'un article où est évoquée, l'affaire de la Terre creuse. Par contre, nous nous félicitons d'y trouver, un article qui remet en question cette affaire, évoquée plus haut, du BIG BANG...

     Ensuite disons, Bravo pour cette initiative, invitant les scientifiques à réévaluer les masses des diverses planètes de notre système solaire. Mais, il faudrait être certain de connaître parfaitement toutes les planètes du système, sinon les calculs seront très approximatifs. Or, le site ARTivision prétend, en partant de sources ésotériques, que la Terre aurait une sœur jumelle inconnue, nommée l'Anti-Terre, qui évoluerait symétriquement à elle, en restant continuellement cachée derrière le Soleil, sans pour autant, appartenir à la même orbite que celle de notre planète :


    Et voici son orbite, d'après le chercheur ami Frendelvel:


     Pour en savoir plus prière de consulter nos pages :

     Donc, à bon entendeur salut...

VII Conclusion.


     Nous avons, dans cet article voulu prouver que certaines légendes devaient être reconsidérées comme des bribes ancestrales d'un véritable récit historique.

     D'autre part, le site ARTivision, prétend aussi démontrer que le Temps des Révélations est bien arrivé, et que tout un chacun est porteur d'un brin de Vérité, et est assimillable à la goutte d'eau de pluie qui va rejoindre immanquablement l'océan, où elle y puisera, force et régénération. Nous sommes donc tous individuellement reliés à cette Énergie Cosmique, aussi appelée le Très Haut, actuellement en grande mutation, et nous avons tous notre petite pierre à apporter à l'édifice fantastique qui se construit actuellement, d'en déplaise à ceux qui croient être les seuls à posséder la vraie connaissance.

     Pour vous montrer justement que sur ARTivision, rien ne se passe par hasard, et tout arrive juste au bon moment, voici une missive qui correspond parfaitement au souhait que nous avons émis à la fin du paragraphe VI ci-dessus de cet article :

From: J.F ....
Sent: Saturday, January 12, 2013 9:06 AM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: Découvrir
          Bonjour,

     Je découvre et parcours votre site avec beaucoup d'intérêt et de curiosité, j'y ai été amené en travaillant un peu sur les mystères des pyramides égyptiennes. Bravo pour vos recherches et les hypothèses qui en découlent, sans parti pris ni certitudes ésotériques.

     Concernant les trous polaires, je souhaiterais savoir si vous avez déjà tenté de valider certaines des photos que vous publiez, à l'aide d'un logiciel d'analyse du type TUNGSTENE (fiche Science et vie de Mai 2012 jointe à ce sujet). En particulier, la photo du trou polaire nord publiée de la page 23 de la revue "Civilisations diparues" de même que celles du Sciences et Vie de novembre 2004, ou Ciel et Espace N° 326 de juillet 1997.

     Ces logiciels, (pour autant qu'on puisse les utiliser...) permettent l'analyse très pointue des photos non seulement numériques, mais également argentiques par l'une des méthodes employées, optique ou algébrique.


     Merci de votre avis, peut-être d'ailleurs en avez vous déjà parlé, auquel cas pardonnez ma naïveté de débutant sur votre site.

          Cordialement.

          J-F.


Fin de citation.

      Bien sûr, nous avons vivement remercié l'internaute J-F, pour sa contribution très utile aux recherches plutôt sélectives d'ARTivision. Cette missive nous réjouit particulièrement et répond tout à fait aux préoccupations que nous venons justement d'exprimer plus haut, vis à vis du sieur Pierre Fontanel, ainsi que vis à vis, des détracteurs zélés, qui parlent souvent vainement, sans agir.

       N'étant pas fortiche en informatique ARTivision a toujours cherché à découvrir des internautes qui pourraient appliquer leur connaissance aux images que nous présentons et qui surprennent souvent nos correspondants. Le logiciel TUNGSTENE, que nous ne connaissions pas, tombe donc à pic,(si son prix n'est pas prohibitif), pour permettre à tous les internautes passionnés d'exercer, leur vigilance, vis à vis de toutes ces images bidonnées qui nous envahissent sur le Web. Nous l'avons dit plus haut, nous n'avons trouvé qu'un seul infographiste ayant accepter (et cela il l'a fait gratuitement), de nous traiter l'image célèbre ci-dessous :


      Que la Force, et la Joie de la découverte, soient donc avec les plus téméraires de cette affaire inouïe de Terre creuse.

      Et, pour parfaire ce qui a été dit plus haut, voici ce qu'en pense un très Grand Maître :
C ette époque n'est pas ordinaire.
Contemple le déploiement du plan vaste et splendide du Très Haut .
Voici le temps des changements  les plus merveilleux ;
sois donc préparé à n'importe quoi à tout moment.
Il n'y a rien d'accidentel ni d'hasardeux dans ces rassemblements d'âmes
qui se font en ce moment en vue de l'énorme travail à venir.
Il y a un plan très défini qui est en train de se déployer ;
déploie-toi avec lui ! Ne crains rien, bannis toute peur.
Reconnais la main du Très Haut en toute chose;
vois la perfection de tout cela et rends-en grâce éternellement !
Sois prêt et aie la volonté d'accepter tes responsabilités.
Cette vie n'est pas pour les tire-au-flanc
ou les âmes qui ont peur des responsabilités.
Le Nouvel Age demande force, courage et dévouement,
ainsi qu'une foi et une croyance dures comme du roc.
C'est une merveilleuse aventure, et donc l'esprit d'aventure
est exigé pour s'y lancer et en faire partie.
Avance avec tout ce qui arrive, tranquillement et paisiblement,
sans aucune tension, car tout est très, très bien.

La petite voix :Eileen Caddy.Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 6 Novembre , après adaptation d'ARTivision.



    Mais, il y a encore, bien plus à découvrir :

Sors de ton petit trou
et élargis ta conscience,
et réalise qu'il n'existe pas de limite.
Il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas voir plus loin qu'eux-mêmes
ou le groupe ou la communauté où ils vivent.
Ils sont tellement liés par des petites choses mesquines
qu'ils ont de la difficulté à grandir de quelque manière que ce soit.
C'est là que d'immenses changements sont nécessaires, et au plus vite.
Ne sois pas satisfait uniquement par
ce que tu peux comprendre
,
mais sois prêt à aller plus loin, à oser aller là
où tu n'as plus pied
et à faire ce qui est apparemment impossible.
C'est ainsi que tu progresses.
Accepte d'être étiré jusqu'à être sur le point de craquer, et encore plus loin !
Vis aux confins de quelque chose
de complètement nouveau
.
Ne crains pas le nouveau et l'inconnu,
mais fais simplement un pas à la fois
dans la confiance et la foi absolues
,
en sachant que chaque pas te conduira vers
le merveilleux ciel nouveau
et la merveilleuse nouvelle Terre.

La petite voix :Eileen Caddy.Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 24 Mai, après adaptation d'ARTivision.

    Mais, il y a plus fort encore, car le "Grand Maître", parle implicitement, aussi de la notion de vies multiples de l'humain, ainsi que l'affirment de nombreux articles d'ARTivision...

Tu es dans le monde mais tu n'es pas de ce monde.

Il est inutile de laisser les façons
d'être du monde t'enfoncer
.

Jouis-en mais n'essaye pas de les posséder

et ne leur permets pas de te posséder.

Dans le Nouvel Age, il n'est pas nécessaire
d'être vêtu de hardes et couvert de cendres,

ou d'aller partout en déclarant que tu es un misérable pécheur

et n'es pas digne d'être appelé l' enfant bien-aimé du Très Haut.

Cet enseignement appartient aux temps anciens
et il est faux et sans réalité.

Accepte le fait que nous faisons Un
avec Ce Très Haut et qu'Il est en toi.

Sens-toi tiré hors des ténèbres de cet enseignement erroné vers la lumière glorieuse.

Laisse l'ancien derrière et laisse-le mourir d'une mort naturelle.

Entre dans le nouveau, renais en Esprit et en Vérité,

et découvre la signification de la vraie liberté.

Le Très Haut a besoin de toi libre et non pas ligoté par toi-même

et par le souci de ta propre personne.
Sois comme un tout petit enfant, libre et joyeux,

et vis dans l'éternel présent.


***********************

La petite voix :Eileen Caddy.Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 11 Avril, après adaptation d'ARTivision.

     Comme on le voit, ces sublimes paroles, rejoignent parfaitement les textes ésotériques , qui axent notre démarche sur l'appréciation de l'éternel Présent.

           Fred IDYLLE

     Article mis en page le 21/12/2012 , et revu le 23/12/2012 , et revu le 24/12/2012 , et revu le 25/12/2012 , et revu le 26/12/2012 , et revu le 28/12/2012 , et revu le 30/12/2012 , et revu le 01/01/2013 , et revu le 03/01/2013 , et revu le 05/01/2013 , et revu le 08/01/2013 , et revu le 09/01/2013 , et revu le 10/01/2013 , et revu le 12/01/2013 , et revu le 14/01/2013 , et revu le 15/01/2013 , et revu le 16/01/2013 , et revu le 05/02/2013 , et revu le 15/02/2013 , et revu le 25/02/2013 , et revu le 4/03/2013 , et revu le 29/04/2013 , et revu le 17/05/2013 , et revu le 16/11/2014 , et revu le 15/07/2016 , et revu le 23/02/2017, et revu le 24/02/2020.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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