Les icebergs sont relativement pérennes et leurs flancs peuvent facilement
déchirer les tôles minces qui constituent les coques des navires.(voir notre article Titanic .html).
Au cours du XXe siècle, plusieurs organisations furent créées pour l'étude et la surveillance des icebergs. Actuellement, l'International Ice Patrol contrôle et publie leur
déplacement dans l'océan Atlantique
nord.
Les icebergs provenant de l'Antarctique sont
suivis par le National Ice
Center. Ceux qui mesurent plus de 10 milles marins (18,52 kilomètres) de longueur
(plus grand axe) sont désignés par un nom composé d'une lettre indiquant le
quadrant d'origine, suivie par un nombre, incrémenté pour chaque nouvel iceberg.
La première lettre signifie que l'iceberg est issu :
Ensuite, il fut un temps, sur le site :
"Avant que certains icebergs ne se dégradent complètement , ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres. Originaire d'environ 75° de latitude nord dans la baie de Baffin, un iceberg peut parcourir jusqu'à 4000 km au sud à environ 40° de latitude nord (800 km au sud de Saint-Jean). Les Observations très rares dans les Bermudes et l'Irlande ont eu lieu bien au-delà de cette limite normale.
Les icebergs résultent généralement de la fragmentation d'une masse de glace débouchant sur la mer (front de glacier, glace de barrière...). Cette fragmentation, appelée "vêlage", produit une masse de glace flottante pouvant alors dériver vers le large.
Très souvent, en raison de la taille de leur partie immergée, les icebergs s'échouent temporairement sur le fond qu'ils peuvent racler en y laissant leur empreinte, puis reprennent leur errance, parfois quelques années plus tard.
Certains icebergs présentent des zébrures de teinte foncée correspondant à une formation géologique : ce sont de très anciens bancs de cendre volcanique ou des inclusions de moraines...Parfois, les icebergs présentent des zones de colorations rouges, orangées ou vertes qui sont dues à la présence de différentes sortes d'algues, les diatomées (Bacillariophyta) ".
Mais aussi, il fut un temps, sur le site:
, on découvrait ceci :
" Dans l'océan Arctique, les sources plus haute latitude des icebergs sont l'Archipel du Svalbard au nord de la Norvège et les îles de l'Arctique russe. La production des icebergs provenant de ces sources n'est pas grand-estimée 6.28 km cube (1,5 miles cubes) par an sur un total de 250 à 470 km cubes (60-110 miles cubes) pour toute la région arctique. On estime que 26 pour cent provient de Svalbard, 36 pour cent provient de la Terre Franz Josef, 32 pour cent est ajoutée par la Nouvelle-Zemble, environ 6 pour cent commence à Severnaya Zemlya, et de 0,3 pour cent proviennent de l'île Ouchakov. De nombreux icebergs provenant de ces sources pour entrer directement dans la mer de Barents peu profondes ou des mers de Kara, où ils échoué. Sentiers en boucle de banquise fragmentée sont laissés comme des icebergs aller au-delà des obstacles"
et , il fut un temps, sur le site :
On découvrait le morcellement d'un bord de ce glacier.
Ces images ont été réalisées, nous dit-on , grâce au radar Asar
(Advanced Synthetic Aperture Radar), embarqué à bord du
satellite Envisat.
Hélas malgré le perfectionnement des satellites nous n'avons pas beaucoup vu de photos semblables pour
les milliers d'icebergs qui circulent dans le
bassin arctique:
Fin de citation :
Mais allons,
plus loin, et parlons
un peu aussi de l'explorateur
d'Adolphus W. Greely, qui avoue,
de manière très surprenante, pour ne pas choquer ses lecteurs,
devoir cacher certaines choses...
C'est en effet, le
13 Avril 2007, que nous avons eu le plaisir
de recevoir par la Poste l'ouvrage de 580 pages,
d'Adolphus W. Greely, édité en
1889, par la Librairie Hachette, mais paru dès
1886 à New York chez
Charles Scribner's Sons, sous le titre
"Three Years of Arctic Service" :
En effet, déjà
dans la préface de l'auteur, nous découvrons d'abord les propos suivants :
" Depuis, la transmission au Département de la guerre de mes Rapports officiels, je n'ai épargné ni ma santé, ni mes forces pour
préparer un livre qu'on me demandait de toutes parts : le
ministre a bien voulu me permettre d'y reproduire les cartes, les
dessins et les fragments de mon journal officiel.
La plus grande partie de ce volume est basée toutefois sur mes
notes personnelles :j'ai fait aussi de larges emprumts aux carnets
très complets du lieutenant Lockwood et du sergent Brainard, les seuls, du reste, en outre du mien, qui aient été tenus quotodiennement pendant notre retraite vers le sud et le séjour à Camp Clay.
De crainte que mes récits des merveilles de ces régions éloignées ne fussent taxés d'exagérations enthousiastes, je n'ai point osé reproduire la plupart des lignes écrites sous l'impression de phénomènes qu'on accuse si souvent les voyageurs de peindre de couleurs trop vives..... "
Vous avez bien noté, nous l'espèrons, que l'auteur nous explique qu'il a pris un soin tout particulier, à minimiser
(et nous le regrettons vivement), l'impact
de certains phénomènes bizarrement décrits par d'autres explorateurs, et survenus dans la zone polaire en question.
Voilà une chose qui ne manque pas de nous interpeller au départ, car c'est justement ces phénomènes
"embarrassants", qui font l'objet de toute l'attention du site
ARTivision.fr.
Mais quittons
ce bref historique de
Greely, où il nous parle encore des exploits de
Bessels, de Bryan, Chester, Tyson, Budington, Nares, Stephenson , Aldrich, etc., et passons au texte même du livre de ce
Greely, où l'on peut lire en pages 33 et 34,
une description surprenante d'icebergs, telle que :
"
...La station elle-même est située sur un îlot de syénite, maigrement revêtu de sol et de gazon.Le point culminant en atteint à peine 30 mètres : pendant cette belle
journée de juillet, (1882), les isbergues éparses sur le port étaient encore si
nobreuses, que de là-haut nous en comptâmes plus de cent. Leurs énormes masses, dont l'éclatante blancheur tranche admirablement sur les teintes glauques de la mer, avaient souvent occupé, nos regards et nos pensées. Ces voyageuses aux ailes de neige ne sont général que des messagères de paix; mais, la veille nême, comme le navire entrait dans le port, la vaguelette soulevée par notre passage vint frapper paresseusement une superbe montagne de glace toute fouillée, toute sculptée en arches majestueuses, en tourelles rénelées, en colonnades grandioses, d'où jaillissaient des cascatelles. Cette si légère impulsion suffit pour détruire l'équilibre de l'isbergue; en quelques secondes le merveilleux édifice s'écroulait : la mer blanchissait d'écume sous la chute de myriades de débris; de tous côtés des vagues colossales la creusaient de leurs sillons. Nous tressaillions d'effroi au bruit formidable des détonations successives, tant la puissance irrésistible de cette fille des glaciers frappait de surprise les moins impressionnables d'entre nous. "
Voici deux photos d'icebergs de l'ouvrage :
On découvre d'emblée alors, le fait qu'à l'époque, en
1889, le traducteur considérait l'iceberg du genre féminin
(et qu'il l'écrivait isbergue).
D'autre part, on peut se demander si
Greely qui, chose surprenante, considérait ces icebergs comme des "messagers de paix", et qui en admirait leurs énormes masses, et leur l'éclatante blancheur, savait qu'ils étaient faits d'eau douce. ? Aux historiens de répondre à cette épineuse question....
D'ailleurs
Greely, prétend aussi, comme beaucoup d'autres chercheurs actuellement, que ces icebergs sont
"des filles de glaciers", alors que l'on a très peu de rapports photographiques montrant des icebergs se séparant de
leurs masses glacières d'origine.
Il nous appartient maintenant d'examiner ici, le
très remarquable fascicule, de la revue de la revue
"Sciences et Avenir" n°
142 Hors série d'Avril-Mai 2005 :
Tout ce qui précède dans les autres volets de cet article, concernant
Titan, et en passant rapidement
Mars, constitue
selon nous bien sûr,
un fait bien cadré dans le domaine scientifique, et qui
pourtant ne figure pas dans les dix faits sélectionnés par la revue en question, et par exemple,
près de 4 mois après, rien ne vient nous éclairer sur cette image, pourtant surprenante, de
Titan déjà vue plus haut :
Photo publiée par la NASA le 17 Déc. 2004
Notons cependant que dans ce remarquable numéro spécial, de
Sciences et Avenir, il y a en
7e position, un super article, où Mme
Marie Noelle Houssais fait état d'une théorie
prétenduement bien structurée, expliquant que
"la dérive de la glace polaire", mise en
évidence par
Fridtjof Nansen en
1896, après une dérive de son navire
le Fram durant
35 mois sur la banquise, est due, d'une part,
au vent qui souffle dans le coin, et d'autre part à
la force de Coriolis, bien connue et, nous dit-on, expliquée scientifiquement.
Et pour
les fortiches en Science, voici quelques éléments de
cette théorie concernant la
"force de Coriolis"
, et en couleurs, on découvre ceci :
Tout cela serait
super, si
les chercheurs
hors normes,
Williams REED, et Marschall
B.Gardner (voir plus haut leurs ouvrages),
eux, ne nous disaient pas
(il y a plus de
100 ans pour les deux), que
l' énorme dérive de la banquise, ne peut venir que
de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la
Terre,
et de plus, ces fleuves sont à
l'origine de la création
des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des
"ouvertures polaires",
où régne un froid terrible...
Terminons
cependant notre propos par
la surprenante méditation, en date du
30 Mars du Grand Maître de
Findhorn, qui pour nous s'appelle aussi,
l'ICI (l'Intelligence Cosmique Intrinsèque, par analogie avec l'IA )...
Voilà
en effet, des propos
qui vont faire, hurler de dépit, et aussi faire courir des frissons glacés, le long de la colonne vertébrale, des mécréants agnostiques zététiques et autres intellectuels blasés,
car rien ne se passe parhasard, sur cette planète, parait-il... :
Rien n'est le fruit du Hasard
Il y a un
dessein, et un Plan
parfaits
sous-jacents à toute vie,
et tu fais partie de cette globalité;
tu fais donc partie de ce
dessein et de ce plan
parfaits.
Lorsque tu vois d'étranges
choses se passer
et que tu te demandes pourquoi elles t'arrivent,
prends du temps pour voir
comment tout cela s'articule,
et tu verras qu'il y a une raison à toute
chose.
Les raisons
peuvent te surprendre,
mais sois prêt néanmoins à les
accepter et à apprendre au travers
elles,
et ne lutte pas
contre elles.
La vie
devrait se dérouler sans effort.
Une fleur ne lutte pas pour s'épanouir au
soleil,
alors pourquoi devrais-tu lutter pour t'épanouir
par la grâce de l' amour infini de
La Source ?
Si c'est le cas, cela vient de toi, et cela ne fait pas partie
de
Son dessein et de Son plan
parfaits pour
toi.
La simplicité est Son sceau, alors garde la vie simple.
Reste sans cesse en contact
avec Elle,
et regarde-toi
te déployer dans Son
amour.
****************************
La petite
voix : Eileen
Caddy, Le Souffle
d'or(1994).
Méditation pour le 30
Mars, après adaptation d'ARTivision.fr,
Que dire de plus encore ici, sinon, qu'il nous reste à déterminer très modérément bien sûr, ce que représente vraiment
La Source en question (On sait déjà, que le sieur George Adamski, a aussi utilisé parfaitement, ce vocable)...
Mais, voici que ce
31 Mars 2025, au soir
(alors que la confrérie médiatico-politique s'entre-déchire, à la suite d'une décision judiciaire, très particulière), nous avons eu,
la grande opportunité,
de visualiser, à
22h50, cet
excellent documentaire, tel que :
et qui
a embrayé,
très logiquement, sur
celui qui suit :
(déja présenté à notre article tel que :
volet-9.html) :
et disons que,
finalement,
ces deux images, sont
les marche-pieds modernes, de
cette recherche néo-évhémériste relativiste, du site
ARTivision.fr,
(site qui existe depuis Janvier 1997), et
une fois de plus,
disons, que,
c'est effectivement, notre Sinbad français des temps modernes, Robert Charroux, né Robert Grugeau, le 7 Avril 1909 à Payroux, et qui nous a quitté le 24 Juin 1978, à Vienne en France, (et disons le, une fois encore), qu'il a été l'un des premiers, à lancer, ce thème en France, en 1963 avec son ouvrage :

Ce néo-évhémérisme, relativiste, qui est aussi appelé, la théorie des anciens astronautes, est une théorie, qui est toujours contestée, par les archéologues officiels, alors qu'elle est de plus en plus, confirmée par les extraordinaires découvertes, faites, dans l'exploration, de notre environnement lunaire, et aussi l'étude des panoramas d'autres planètes, comme Mars, Miranda, Callisto; Cérès...etc..., de notre système solaire...
Mais avant de s'extasier, sur les superbes performances, des peintures primitives de Lascaux et autres régions préhistoriques, nos brillants archéologues officiels, devraient d'abord, faire un premier congrès pour discuter de la nature, de cette incroyable lithographie préhistorique janais exposée au grand public :
Comme aussi, nos astronomes et consorts affiliés, avant de sortir les images de fantomatiques trous noirs, nous mettre d'emblée en 3D les éléments fantastiques de la "muraille de Chine" suivante... comme des multiples "sapins", bien noirs qui émaillent, ce paysage lunaire, plutôt désarmant, et surtout jamais commenté, sur aucune chaine, de télé mondiale :
Et Image hallucinante,(Merci mille fois, à l'internaute béni qui nous en trouvera l'échelle), que l'on pouvait découvrir, fut un temps, sur le site de la NASA, actuellement bloqué : https://www.hq.nasa.gov/pao/History/SP-362/contents.htm